Le plus grand amour de ma vie
Récit érotique écrit par Christiankiki6 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le plus grand amour de ma vie
Bien avant de connaître Marie-Jeanne, et même plusieurs années avant de connaître ma femme, à une époque où il n'était pas encore question de PACS, j'ai vécu une grande passion, un grand amour devrais-je dire, qui m'est resté gravé toute ma vie. Serais-je plus heureux aujourd'hui, si cette idylle s'était poursuivie? Je l'ignore, mais c'est aussi de ma faute si celle-ci a pris fin, un beau jour d'été.
C'est au début des années 1970 que cette histoire débuta, lorsque je fis la connaissance d'un jeune et beau garçon, Philippe, de deux ans plus jeune que moi. Je venais de prendre 19 ans, lorsque je le rencontrai au stade de son quartier. Nous avions une passion commune, la lutte Gréco-romaine, qu'il pratiquait ici-même depuis deux ans. J'avais autant d'années de pratique, dans un autre club de la ville, mais avais choisi d'en changer, pour mieux progresser, et s'il n'en fut rien, au résultat final, ni pour lui ni pour moi, c'est qu'une belle histoire d'amour s'installa d'abord entre nous, laquelle dura six ans tout juste. Je travaillais depuis près de deux ans à l'usine de métallurgie voisine, et disposais d'un petit studio. Venant à son tout d'y être embauché, il vint vivre chez moi, en colocation, avec l'accord de ses parents, et c'est ainsi que se forma notre couple, un amour discret que nous ne souhaitions pas afficher..
Nous ressentions des envies sexuelles, bien sûr, à cet âge, encore qu'il fut toujours puceau, tout comme moi, je l'avoue, (mais nous ne le sûmes qu'un peu plus tard), ne connaissant l'un comme l'autre que "la veuve poignet", qu'on appelait alors la branlette. Je l'avais découverte de bonne heure, au collège, lui dans les vestiaires du stade, et nous nous étions déjà touchés, bien sûr, sous la douche, ou en nous changeant, mais ce week-end là, les douches étaient en réparation. Sitôt arrivés dans le studio, il balança son sac en travers du lit, ses tennis dans l'entrée, et son tee-shirt dans la salle de bain, et commença à sauter sur le lit, juste en short. Je me déshabillai alors, moi aussi, restant juste en caleçon, et lui attrapai les jambes, le faisant choir sur le plumard. Ne s'en laissant pas conter, il se releva aussitôt, tira violemment sur mon caleçon, qui glissa le long de mes jambes, avant de me pousser sur le lit, lui s'aplatissant aussitôt sur moi, et m'immobilisant d'une clé de lutte bien serrée. La chaleur de son corps contre le mien, le souffle court de ses lèvres sur mon cou, tout cela m'excitait beaucoup, et je n'insistai pas, lui laissant une victoire facile, qu'un baiser sur mes lèvres vint récompenser. Notre Amour naquit ainsi.
S'étant assis à califourchon face à moi, il me regardait maintenant, avec un air amoureux qui en disait long sur son attente, Alors n'hésitant plus, je mis ma main à l'intérieur de son short, attrapai sa queue bien membrée, et commençai à le masturber doucement mais, aussitôt, il se leva pour enlever son short, et vint se rasseoir sur ma poitrine, son membre à portée de ma bouche, et ferma les yeux. Sans attendre, j'engloutis son superbe appareil, paré de poils noirs soyeux, dans ma bouche, et jusqu'au début de ma gorge, tandis que je lui caressais la raie de ma main droite, jusqu'à sa délicate rosette. Il ne disait plus rien, ne bougeait plus, se laissant sucer tant et plus, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus se retenir, et se mette à juter au fond de ma gorge. Je me demandais s'il allait bien, vaguement inquiet, quand même, en entendant un long râle, lorsque brusquement, il se laissa choir en arrière de tous son longs, recula de quelques centimètres, avant de chercher à se faire empaler par mon chibre, dur comme du marbre, mais moi, je n'étais pas de marbre, çà non ! Mon travail de sape sur son fion finit par me permettre d'y rentrer un doigt, puis deux, et mon beau bébé était mur désormais, pour son dépucelage anal, et ma décharge intervint presque aussitôt.
Après l'effort, le réconfort, si j'ose dire, nous prîmes une douche en commun, et nous voilà partis en ville au restaurant. Sur le pas de la porte, je l'embrassai sur ses lèvres, et lui roulai une gamelle en guise de remerciements, avant qu'il ne me dise: "En fait, c'est marrant, maintenant, on est comme dans un couple, mari et femme". Je reconnus qu'il n'avait pas tort, lui faisant remarquer toutefois que nous ne savions pas encore qui serait la femme et qui serait l'homme. "On pourra l'être à tour de rôle", me répondit-il, avec un sourire, "on a la même corpulence, mais on a pas d'habits de filles". C'est ainsi que nous partîmes, quelques jours plus tard du côté de Rouen, à une bonne centaine de kilomètres, courir les boutiques et les grandes surfaces, sans crainte d'être reconnus. Tout y passa, culotes, gaines, robes, et autres fanfreluches, jusqu'aux escarpins, taille 42, la dernière accessible en commerce, et qui était justement notre pointure. On avait pour plus d'un mois de mon salaire en fringues dans ma 2CV, au retour, mais au moins se faisait-on plaisir.
Impatients d'essayer quelques unes de nos fringues, c'est un chemin creux qui nous accueillit, où nous pûmes nous changer, et nous habiller en toute tranquillité. Les perruques, surtout, nous avaient complètement transformées, au point de faire illusion, comme nous pûmes le voir dans le rétroviseur. Ce furent alors de longs instants d'étreintes amoureuses, nous caressant, nous embrassant, nous suçant même, sur le siège arrière pourtant inconfortable, avant de nous terminer l'un l'autre, debout contre la voiture, dans une masturbation mutuelle. Ayant joui avant lui, il me fit une langoureuse toilette du bout de sa langue, avant de s'asseoir de nouveau sur le rebord de la banquette arrière, et je le terminai par une bonne pipe bien juteuse, au cours de laquelle il se lâcha complètement. C'est là que je compris qu'il ne simulait pas, qu'il avait réellement une sensualité exacerbée, à fleur de peau, et que c'est notre amour qui le transcendait ainsi.; Nous n'avions même pas pensé qu'on pourrait nous voir ainsi, mais personne ne passa et, reprenant nos esprits tout en nous rhabillant, je lui roulai une pelle bien baveuse..Nos amours démarraient sous les meilleures auspices.
C'est encore Philippe qui me demanda, au lit, où nous nous reposions de notre journée, si j'avais déjà fait l'amour avec une fille. Je lui répondis que non, ce qui était tout à fait vrai, et que j'en avais seulement embrassé une plusieurs fois sur la bouche, une cousine, aux vacances de Pâques dernières, mais sans plus. "C'est marrant" me répondit-il, "moi aussi, exactement comme toi, mais çà m'a donné aucun plaisir, c'était juste des bisous, avec nos langues mélangées, çà m'a donné aucune excitation, aucune envie... Dis moi, pourquoi on traite les garçons de pédés, quand ils font des choses ensemble ? Pourtant, c'est bon quand on est tous les deux comme maintenant".
Alors, je lui expliquait que je savais pas plus que lui, finalement, sauf que c'est un homme et une femme qui peuvent se marier et faire des enfants, pas deux hommes ensemble ou deux femmes ensemble, mais qu'en tous cas, moi, qui avais fait connaissance avec ses deux sœurs aussi, je les trouvai mignonnes, mais que je ne les aimais pas d'amour. "C'est toi, Philippe, que j'aime, même si tu es un garçon, c'est vraiment toi que j'aime plus que tout, qui m'a plu dès la première fois où je t'ai vu, et j'espère qu'on pourra faire notre vie ensemble". Il ne répondit rien, vint juste se blottir tout contre mon corps, nos lèvres se rencontrèrent et restèrent longtemps collées l'une contre l'autre... Morphée nous trouva ainsi, enserrés dans les bras l'un de l'autre.
C'est au début des années 1970 que cette histoire débuta, lorsque je fis la connaissance d'un jeune et beau garçon, Philippe, de deux ans plus jeune que moi. Je venais de prendre 19 ans, lorsque je le rencontrai au stade de son quartier. Nous avions une passion commune, la lutte Gréco-romaine, qu'il pratiquait ici-même depuis deux ans. J'avais autant d'années de pratique, dans un autre club de la ville, mais avais choisi d'en changer, pour mieux progresser, et s'il n'en fut rien, au résultat final, ni pour lui ni pour moi, c'est qu'une belle histoire d'amour s'installa d'abord entre nous, laquelle dura six ans tout juste. Je travaillais depuis près de deux ans à l'usine de métallurgie voisine, et disposais d'un petit studio. Venant à son tout d'y être embauché, il vint vivre chez moi, en colocation, avec l'accord de ses parents, et c'est ainsi que se forma notre couple, un amour discret que nous ne souhaitions pas afficher..
Nous ressentions des envies sexuelles, bien sûr, à cet âge, encore qu'il fut toujours puceau, tout comme moi, je l'avoue, (mais nous ne le sûmes qu'un peu plus tard), ne connaissant l'un comme l'autre que "la veuve poignet", qu'on appelait alors la branlette. Je l'avais découverte de bonne heure, au collège, lui dans les vestiaires du stade, et nous nous étions déjà touchés, bien sûr, sous la douche, ou en nous changeant, mais ce week-end là, les douches étaient en réparation. Sitôt arrivés dans le studio, il balança son sac en travers du lit, ses tennis dans l'entrée, et son tee-shirt dans la salle de bain, et commença à sauter sur le lit, juste en short. Je me déshabillai alors, moi aussi, restant juste en caleçon, et lui attrapai les jambes, le faisant choir sur le plumard. Ne s'en laissant pas conter, il se releva aussitôt, tira violemment sur mon caleçon, qui glissa le long de mes jambes, avant de me pousser sur le lit, lui s'aplatissant aussitôt sur moi, et m'immobilisant d'une clé de lutte bien serrée. La chaleur de son corps contre le mien, le souffle court de ses lèvres sur mon cou, tout cela m'excitait beaucoup, et je n'insistai pas, lui laissant une victoire facile, qu'un baiser sur mes lèvres vint récompenser. Notre Amour naquit ainsi.
S'étant assis à califourchon face à moi, il me regardait maintenant, avec un air amoureux qui en disait long sur son attente, Alors n'hésitant plus, je mis ma main à l'intérieur de son short, attrapai sa queue bien membrée, et commençai à le masturber doucement mais, aussitôt, il se leva pour enlever son short, et vint se rasseoir sur ma poitrine, son membre à portée de ma bouche, et ferma les yeux. Sans attendre, j'engloutis son superbe appareil, paré de poils noirs soyeux, dans ma bouche, et jusqu'au début de ma gorge, tandis que je lui caressais la raie de ma main droite, jusqu'à sa délicate rosette. Il ne disait plus rien, ne bougeait plus, se laissant sucer tant et plus, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus se retenir, et se mette à juter au fond de ma gorge. Je me demandais s'il allait bien, vaguement inquiet, quand même, en entendant un long râle, lorsque brusquement, il se laissa choir en arrière de tous son longs, recula de quelques centimètres, avant de chercher à se faire empaler par mon chibre, dur comme du marbre, mais moi, je n'étais pas de marbre, çà non ! Mon travail de sape sur son fion finit par me permettre d'y rentrer un doigt, puis deux, et mon beau bébé était mur désormais, pour son dépucelage anal, et ma décharge intervint presque aussitôt.
Après l'effort, le réconfort, si j'ose dire, nous prîmes une douche en commun, et nous voilà partis en ville au restaurant. Sur le pas de la porte, je l'embrassai sur ses lèvres, et lui roulai une gamelle en guise de remerciements, avant qu'il ne me dise: "En fait, c'est marrant, maintenant, on est comme dans un couple, mari et femme". Je reconnus qu'il n'avait pas tort, lui faisant remarquer toutefois que nous ne savions pas encore qui serait la femme et qui serait l'homme. "On pourra l'être à tour de rôle", me répondit-il, avec un sourire, "on a la même corpulence, mais on a pas d'habits de filles". C'est ainsi que nous partîmes, quelques jours plus tard du côté de Rouen, à une bonne centaine de kilomètres, courir les boutiques et les grandes surfaces, sans crainte d'être reconnus. Tout y passa, culotes, gaines, robes, et autres fanfreluches, jusqu'aux escarpins, taille 42, la dernière accessible en commerce, et qui était justement notre pointure. On avait pour plus d'un mois de mon salaire en fringues dans ma 2CV, au retour, mais au moins se faisait-on plaisir.
Impatients d'essayer quelques unes de nos fringues, c'est un chemin creux qui nous accueillit, où nous pûmes nous changer, et nous habiller en toute tranquillité. Les perruques, surtout, nous avaient complètement transformées, au point de faire illusion, comme nous pûmes le voir dans le rétroviseur. Ce furent alors de longs instants d'étreintes amoureuses, nous caressant, nous embrassant, nous suçant même, sur le siège arrière pourtant inconfortable, avant de nous terminer l'un l'autre, debout contre la voiture, dans une masturbation mutuelle. Ayant joui avant lui, il me fit une langoureuse toilette du bout de sa langue, avant de s'asseoir de nouveau sur le rebord de la banquette arrière, et je le terminai par une bonne pipe bien juteuse, au cours de laquelle il se lâcha complètement. C'est là que je compris qu'il ne simulait pas, qu'il avait réellement une sensualité exacerbée, à fleur de peau, et que c'est notre amour qui le transcendait ainsi.; Nous n'avions même pas pensé qu'on pourrait nous voir ainsi, mais personne ne passa et, reprenant nos esprits tout en nous rhabillant, je lui roulai une pelle bien baveuse..Nos amours démarraient sous les meilleures auspices.
C'est encore Philippe qui me demanda, au lit, où nous nous reposions de notre journée, si j'avais déjà fait l'amour avec une fille. Je lui répondis que non, ce qui était tout à fait vrai, et que j'en avais seulement embrassé une plusieurs fois sur la bouche, une cousine, aux vacances de Pâques dernières, mais sans plus. "C'est marrant" me répondit-il, "moi aussi, exactement comme toi, mais çà m'a donné aucun plaisir, c'était juste des bisous, avec nos langues mélangées, çà m'a donné aucune excitation, aucune envie... Dis moi, pourquoi on traite les garçons de pédés, quand ils font des choses ensemble ? Pourtant, c'est bon quand on est tous les deux comme maintenant".
Alors, je lui expliquait que je savais pas plus que lui, finalement, sauf que c'est un homme et une femme qui peuvent se marier et faire des enfants, pas deux hommes ensemble ou deux femmes ensemble, mais qu'en tous cas, moi, qui avais fait connaissance avec ses deux sœurs aussi, je les trouvai mignonnes, mais que je ne les aimais pas d'amour. "C'est toi, Philippe, que j'aime, même si tu es un garçon, c'est vraiment toi que j'aime plus que tout, qui m'a plu dès la première fois où je t'ai vu, et j'espère qu'on pourra faire notre vie ensemble". Il ne répondit rien, vint juste se blottir tout contre mon corps, nos lèvres se rencontrèrent et restèrent longtemps collées l'une contre l'autre... Morphée nous trouva ainsi, enserrés dans les bras l'un de l'autre.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bonjour à vous deux,je trouve votre histoire délicieuse,aucun langage venu des marais .
, j' aime le respect qu' il y a entre vous !
je suis fier d' être homo face à un récit comme le votre. mais je le suis moins quand
on se traite de tout les mots qui sorte directement de la porcherie. le je vous
embrasse avec beaucoup de respect. Bonne chance G.h.B.
, j' aime le respect qu' il y a entre vous !
je suis fier d' être homo face à un récit comme le votre. mais je le suis moins quand
on se traite de tout les mots qui sorte directement de la porcherie. le je vous
embrasse avec beaucoup de respect. Bonne chance G.h.B.
Très belle histoire d'amour bravo
Tres beau tres doux ... La suite !
Très belle histoire ! A quand la suite ? :)