[Parenthèse] Ma première fois avec un dominateur (1/2)

- Par l'auteur HDS QuentinAuService -
Auteur homme.
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Récit libertin : [Parenthèse] Ma première fois avec un dominateur (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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[Parenthèse] Ma première fois avec un dominateur (1/2)
Devant l’interphone, mon coeur battait la chamade. Plusieurs fois déjà, j’avais failli envoyer un texto, pour décommander.

Mais revenons un peu en arrière, si vous le voulez bien. C’était il y a 4 ans. J’avais 21 ans, et j’avais fait mon coming out depuis déjà 2 ans. Tout se passait bien, je voyais des mecs de temps à autres, mais quelque chose manquait à mon épanouissement sexuel. Je le sentais. Depuis toujours j’en rêvais, sans jamais avoir osé sauter le pas. Un fantasme qui me suivait depuis l’enfance et qui, je le savais depuis mon adolescence, portait un nom très simple. Quatre lettres : BDSM.

J’avais déjà été avec des mecs entreprenants, un peu directifs. Mais ce que je voulais, c’était plus. Ce que je voulais, c’était essayer avec un véritable Maître. Un alpha au naturel dominant, qui saurait littéralement m’asservir.

Naturellement, j’avais commencé mes recherches sur Internet. Ça n’était pas évident, car je suis me suis rendu très vite compte du déséquilibre entre les dominants, et les dominés. L’offre de soumission était grande, la demande faible. Autre facteur qui ne jouait pas en ma faveur : j’étais exigeant. Je voulais trouver, au minimum, un mec bien foutu, qui sache s’exprimer et qui ne soit pas porté sur des pratiques qui me rebutaient, comme la scatophilie ou l’urophilie.
Heureusement, j’avais quand même quelques atouts en main : j’étais jeune, maigre, imberbe et avec de belles fesses. Des atouts, semble t-il, très prisés.

Après quelques semaines de dialogues infructueux, souvent très courts, j’ai fini par avoir un feeling avec un mec. Il disait s’appeler Mouss, « 37 ans, grand black, musclé, tbm ». Après quelques échanges, nous avions convenu d’un rendez-vous chez lui, puisque je vivais encore chez mes parents, à l’époque.

Voilà donc comment je me suis retrouvé devant cet interphone, dans tous mes états, sans doute rouge comme une tomate.

Prenant mon courage à deux mains, je sonnai. Une, deux, trois, quatre secondes. On décrocha. Je n’eus pas le temps de former la moindre syllabe, qu’une voix sèche retentit :
- Troisième étage, porte de droite.

La porte se déverrouilla. Stupéfait, je pris l’ascenseur jusqu’au troisième étage, puis, prenant une grande inspiration, frappai à la porte. Une, deux, trois, quatre secondes. Celle-ci s’ouvrit sur un grand black, déjà en caleçon, le visage dur, avec pourtant un je-ne-sais-quoi qui mettait en confiance. Je décidai de me présenter :
- Salut, c’est Quentin, je…
- Entre.

Sa voix avait retenti comme un coup de fouet, me stoppant net. Mécaniquement, j’obéis et me retrouvai dans un salon meublé très sobrement avec simplement un canapé clic-clac, une table basse et une caisse dont je ne voyais pas le contenu. Pour détendre l’atmosphère, j’essayai de faire la discussion :
- C’est sympa chez v…
- Ta gueule. Déshabille-toi.

Nouveau coup de fouet verbal. Mouss ne voulait pas perdre de temps, visiblement. Il avait la voix rauque, sèche. Ses phrases étaient courtes et pleines d’autorité. J’obéis, laissant mes vêtements dans un coin, près de la porte d’entrée.

- Dans le coin. Colle tes mains sur le mur et penche-toi. Bien cambré.

J’obéis.

- C’est bien.

Ces deux mots avaient provoqué en moi en profonde décharge de satisfaction. Comme si le simple fait d’être félicité, comme un enfant qui a bien fait ses devoirs, suffisait à mon cerveau pour libérer la précieuse dopamine responsable de notre bonheur. Un léger sourire se peignit sur mon visage tourné vers le sol.

Il s’approcha de moi et m’empoigna les fesses, se penchant pour me susurrer à l’oreille. Je sentais son torse chaud et musclé qui s’appuyait contre mon dos. Mouss sentait la sueur, mais pas une odeur désagréable, c’était une odeur très masculine. L’odeur d’un Mâle.

- Je t’explique : le blabla, on l’a fait en amont. Ici, tu es soumis, et je suis Maître, et ce sera le cas jusqu’à ce que j’en décide autrement. Tu ne parles pas si je ne te l’ordonne pas. Tu m’obéis, et en échange, je m’occuperai de ton petit cul (en prononçant « petit cul », il me colla une petite claque légère sur la fesse droite). C’est bien compris ?

- Oui, Maître.

En prononçant ces mots, je sentis ma queue qui commençait à durcir. Mouss s’éloigna, fouilla dans sa caisse et revint.
Je sentis qu’il me passait une lanière de cuir autour du cou.

- C’est ton collier d’esclave. Retiens bien ça : c’est très important, car c’est ce qui marque ton appartenance au Maître. C’est bien compris ?

- Oui, Maître.

Ses paroles résonnent encore en moi. Je dois avouer qu’il est fort possible que mon attachement aux concepts de « collier d’esclave » et « d’appartenance », je l’ai hérité de cette première séance avec Mouss, car ce sont des choses très importantes pour moi, aujourd’hui.

- En cas de gros pépin, tu diras « Loch-Ness », et je lèverai le pied. C’est compris ?

- Oui, Maître.

Il plaqua à nouveau son torse chaud contre mon dos et commença à me caresser le bout des seins. Il s’appuyait sur mon dos, et je peinais vraiment à le retenir. Il me pinça les tétons. Je gémis.

- Sensible des tétons ?

- Oui, Maître. Très.

Il rit, et alla fouiller dans sa caisse. Il rit, et revint accompagné d’un léger bruit de cliquetis en provenance de ses mains.

- Tourne-toi. Dos au mur, le torse bombé, la poitrine en avant. Vite !

Le cliquetis provenait de pinces à seins. Il me tira un peu les tétons pour les faire durcir, et, sans délicatesse, leur mis les pinces. Je gémis à nouveau.

- Qu’est-ce qu’on dit, esclave ?

J’avais vu assez de vidéo porno sur le sujet pour savoir quoi répondre. Sauf que cette fois, c’était la vraie vie.

- Merci, Maître.

- Bien. Maintenant retourne toi, tends bien ton cul en arrière, et écarte les fesses avec tes mains.

Il s’accroupit pour approcher son visage de mon cul, cracha sur mon anus et étala sa salive de l’index.

- Tu as l’habitude de te faire enfiler ?

- Plutôt, Maître.

- À quelle fréquence ?

- Plusieurs fois par mois.

- Combien ?

- Trois ou quatre.

- C’était quand, la dernière fois ?

- Il y a cinq jours, Maître.

- Bien.

Nouvelle décharge de plaisir. J’aimais être félicité, donc, par extension, j’aimais satisfaire les ordres de Mouss.
Après m’avoir caressé un peu le trou, il commença à appuyer dessus, du bout du doigt. Puis, son doigt s’aventura en moi. Je soupirai. J’entendis Mouss rire.

- Tu aimes ça ?

- Oui, Maître.

- Tant mieux. Je sais comment te récompenser, lorsque tu auras été bien docile.

Il me doigta un peu, et retourna à sa caisse. Quand il revint, j’écartais toujours mes fesses avec les mains. Je sentis qu’il appliquait de la crème sur mon anus, puis, il vin le caresser avec quelque chose de froid et métallique. Je ne mis pas longtemps à comprendre qu’il s’agissait d’un plug, et Mouss ne mit pas longtemps avant de me l’introduire complètement.

- C’est vrai, que tu as l’habitude de te faire enfiler. Très bien, ça nous facilitera la tâche à tous les deux. Tu peux lâcher tes fesses.

Il me colla une petite claque dessus, puis m’attrapa par la gorge et me retourna de force.

- Croise tes bras dans ton dos.

J’obéis. Il colla son torse contre le mien et son genoux sur mon entrejambe. Je sentais sa queue durcir contre mon bas ventre à travers son caleçon. Son visage presque collé au mien, je sentais son souffle chaud sur ma peau.

Il m’embrassa. D’abord seulement avec ses lèvres sur les miennes, langoureusement, tendrement. Puis il devint plus entreprenant. Sa langue envahit ma bouche, laissant à l’entrée toute forme de délicatesse. Il était devenu sauvage.

Sans s’arrêter de me dévorer la bouche, il saisit la chaîne qui faisait le lien entre les pinces sur mes seins, et commença à jouer avec, tirant parfois dessus. Un gémissement plus grand que les autres me força à détourner la tête, décollant ainsi ma bouche de la sienne.

Il m’attrapa le mention et tourna de force mon visage vers le sien. De son autre main, il me colla une gifle.

- J’avais pas fini. Ouvre la bouche.

J’obéis. Il cracha dedans.

- Avale.

J’obéis à nouveau.

- Très bien.

Nouvel élan d’excitation. Il me lécha les lèvres avant d’y déposer un baiser, puis de me coller une autre gifle.

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