Pourquoi être soumis
Récit érotique écrit par QuentinAuService [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pourquoi être soumis
Lorsque j'échange avec d'autres personnes sur ma condition de soumis en appartenance totale, une question qui revient très souvent est "Pourquoi ?".
Pourquoi renoncer à ma liberté ? Pourquoi me placer au service d'un autre homme ? Pourquoi me laisser volontairement réduire en esclavage ?
La soumission est un contrat, qu'il soit tacite ou, comme dans mon cas, écrit. Comme tout contrat, celui-ci engage les deux parties. Bien sûr, ce contrat est beaucoup plus contraignant pour le soumis, qui se place au service d'autrui au mépris de sa liberté propre. Pourtant, et c'est là que réside le paradoxe, le soumis est libre de signer ce contrat. C'est donc librement, que ce dernier renonce à sa liberté.En acceptant le soumis à son service, le Maître s'engage, tacitement ou non, à fournir au soumis une "rétribution" pour son service. Dans mon cas, cette "rétribution" est très simple : c'est le plaisir de servir Monsieur. En plaçant mon sexe sous cage et ma gorge sous collier, Monsieur m'a ouvert la porte d'un monde nouveau. Un monde idyllique où chaque acte est chargé d'une portée sensuelle, voire sexuelle, et où tout est jouissance. Le simple fait de nettoyer le sol, nu, à quatre pattes, le cul tendu en l'air, sans savoir si Monsieur va décider de me prendre sur le champ, prend alors une dimension orgasmique. Voilà un aperçu de ma vie.
En renonçant à ma liberté, j'ai rendu ma vie bien plus simple. Finies les interrogations diverses et variées. Je n'ai plus qu'un seul souci : savoir si Monsieur est heureux, et le rendre fier. Un sourire sur ses lèvres, un "c'est bien, esclave" ou encore une jouissance de sa part, sont autant de récompenses qui justifient, à mes yeux, la servitude. Si Monsieur estime le châtiment juste, je reçois la cravache, les pinces ou la fessée avec grand joie.
Il y a quelque chose de biologique là-dedans. Monsieur est, en quelque sorte, en charge de mes circuits de la récompense. Il distribue dopamine et sérotonine comme le Maître distribue des friandises à son chien. Enfin, et ce dernier point est très égocentrique mais je l'assume, il y a le recul sur ma condition. Le fait de pouvoir, à tout instant, me dire : "je suis un esclave sexuel, je suis un esclave domestique", cela me procure une jouissance folle. Comme si ma vie était devenue un fantasme qui ne cesse de s'assouvir, encore et encore.Lorsque Monsieur me baise, ou qu'il me prête à d'autres hommes qui me baisent, je me sens désiré. Désiré à la manière d'un objet sexuel peu digne d'être respecté, certes, mais un objet que l'on convoite. Être soumis c'est, pour reprendre la terminologie de goethienne, trouver son plaisir à être l'enclume au service du marteau.
Pourquoi renoncer à ma liberté ? Pourquoi me placer au service d'un autre homme ? Pourquoi me laisser volontairement réduire en esclavage ?
La soumission est un contrat, qu'il soit tacite ou, comme dans mon cas, écrit. Comme tout contrat, celui-ci engage les deux parties. Bien sûr, ce contrat est beaucoup plus contraignant pour le soumis, qui se place au service d'autrui au mépris de sa liberté propre. Pourtant, et c'est là que réside le paradoxe, le soumis est libre de signer ce contrat. C'est donc librement, que ce dernier renonce à sa liberté.En acceptant le soumis à son service, le Maître s'engage, tacitement ou non, à fournir au soumis une "rétribution" pour son service. Dans mon cas, cette "rétribution" est très simple : c'est le plaisir de servir Monsieur. En plaçant mon sexe sous cage et ma gorge sous collier, Monsieur m'a ouvert la porte d'un monde nouveau. Un monde idyllique où chaque acte est chargé d'une portée sensuelle, voire sexuelle, et où tout est jouissance. Le simple fait de nettoyer le sol, nu, à quatre pattes, le cul tendu en l'air, sans savoir si Monsieur va décider de me prendre sur le champ, prend alors une dimension orgasmique. Voilà un aperçu de ma vie.
En renonçant à ma liberté, j'ai rendu ma vie bien plus simple. Finies les interrogations diverses et variées. Je n'ai plus qu'un seul souci : savoir si Monsieur est heureux, et le rendre fier. Un sourire sur ses lèvres, un "c'est bien, esclave" ou encore une jouissance de sa part, sont autant de récompenses qui justifient, à mes yeux, la servitude. Si Monsieur estime le châtiment juste, je reçois la cravache, les pinces ou la fessée avec grand joie.
Il y a quelque chose de biologique là-dedans. Monsieur est, en quelque sorte, en charge de mes circuits de la récompense. Il distribue dopamine et sérotonine comme le Maître distribue des friandises à son chien. Enfin, et ce dernier point est très égocentrique mais je l'assume, il y a le recul sur ma condition. Le fait de pouvoir, à tout instant, me dire : "je suis un esclave sexuel, je suis un esclave domestique", cela me procure une jouissance folle. Comme si ma vie était devenue un fantasme qui ne cesse de s'assouvir, encore et encore.Lorsque Monsieur me baise, ou qu'il me prête à d'autres hommes qui me baisent, je me sens désiré. Désiré à la manière d'un objet sexuel peu digne d'être respecté, certes, mais un objet que l'on convoite. Être soumis c'est, pour reprendre la terminologie de goethienne, trouver son plaisir à être l'enclume au service du marteau.
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