Toute une éducation, partie 6
Récit érotique écrit par July2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Toute une éducation, partie 6
Je remonte dans ma voiture et prends la direction de sa rue. Il habite dans un joli quartier de la ville. Les rues sont bordées d’arbres, les façades colorées et sur les terrasses des cafés règne une douceur de vivre.
L’entrée de son immeuble se fait par une petite cour intérieure. Je monte au troisième et dernier étage et sonne à la seule porte du palier.
- Salut bébé, me dit-il en ouvrant la porte.
- Salut.
Il attrape ma main et m’attire à l’intérieur. A peine a-t-il refermé la porte, qu’il me plaque contre cette dernière et m’embrasse.
- Tu m’as trop manquée ! J’ai pas arrêté de penser toi… Hier j’ai même failli appeler Alice par ton prénom…- Tu m’as manqué aussi…- Viens, donne moi ton sac, je vais le poser dans la chambre. Si tu veux faire un tour dans l’appart’, vas-y, fais comme chez toi…
Je jette un œil à la pièce à vivre. C’est une grande pièce composée d’une cuisine américaine sur un salon et une salle à manger, le tout dans un style industriel très classe. Je devine un couloir partant du salon qui doit probablement desservir l’espace nuit.
Xavier revient et m’invite à m’asseoir sur le canapé. Il me rejoint avec une bouteille de vin blanc et deux verres. Il les remplit et m’en tend un.
- Je t’ai préparé à manger. J’espère que ça sera bon, je ne cuisine pas trop.
- Fallait pas te donner cette peine, et je suis sûre que ce sera bon. En tout cas, ça sent bon.
- Et c'est finalement tout le week-end qu'on a pour nous... enfin si tu as envie de le passer avec moi...
- T'en as d'autres des questions cons ?
On discute de nos journées respectives, et je sens sa main remonter le long de ma cuisse sous ma jupe. Puis très vite, il pose nos 2 verres sur la table basse et m’entraîne dans sa chambre.
Il retire sa chemise et je pose mes mains sur son torse musclé. Il ouvre lentement mon chemisier, défaisant un à un les boutons, laissant traîner ses mains sur ma peau. Il fait de même avec la boutonnière de ma jupe.
- J’aime beaucoup que tu ne portes rien sous tes vêtements. C’est très excitant… me chuchote-t-il à l’oreille alors que je me retrouve nue perchée sur mes talons.
Il embrasse ma poitrine, suçote mes tétons, les mord. Je gémis alors que je sens le plaisir chauffer mon intimité.
Il me pousse pour me faire tomber sur le lit et m’enlève mes chaussures avant d’ouvrir son jeans et faire sortir sa queue de son boxer. Je la regarde avec gourmandise. Il remarque mon regard lubrique.
- T’inquiète, tu pourras en profiter autant que tu veux, mais d’abord je vais m’occuper de toi… j’ai envie de te faire plaisir, que tu prennes ton pied, que tu mouilles comme une salope, que tu cries ton plaisir à en faire râler les voisins !
Alors qu’il termine sa phrase, il se met à genoux au bout du lit, me tire à lui pour que mes fesses soient à l’extrême limite du limite du matelas.
- Écartes les jambes et poses tes pieds sur mes épaules.
J’obéis. Il fourre alors son visage entre mes cuisses et commence à embrasser mon sexe. Je sens sa langue aller et venir le long de mes grandes lèvres puis tournoyer autour de mon clito. Je sens l’orgasme arriver lorsqu’il glisse deux doigts en moi.
Soudain son portable sonne, faisant retomber un peu l’excitation qui montait en moi. Mais il laisse sonner et continuer de faire grimper le désir en moi. Quelques minutes plus tard, la sonnerie retentit à nouveau.
- Fait chier, dit-il en prenant son portable d’une main tout en continuant de faire aller et venir ses doigts. Fais pas de bruit, c’est Alice.
Je suis limite pétrifiée à l’idée qu’elle puisse deviner ce qu’on fait.
‘’ coucou ma puce. Ça va ? Oui, moi aussi ça va. Il profite d’un monologue de sa copine pour reprendre la course de sa langue sur mon clito, j’ai du mal à retenir mes gémissements. Oui, tu vas me manquer aussi pendant ces 4 jours, mais pas grave, on profitera un max quand tu auras finis tes exams et tes gardes. Nouveau monologue, nouveaux assauts divins sur ma chatte. Il lève les yeux vers moi et ses yeux sont pleins de malice. Ça marche ma chérie. A plus, je t’aime. ‘’ et il raccroche juste avant que je jouisse.
Il envoie son téléphone sur le tapis.
- Tourne toi bébé.
Encore une fois, j’obéis. Il pose ses mains de chaque côté de mes fesses et fait glisser sa queue lentement entre mes cuisses jusqu’à me pénétrer profondément.
Il passe une main devant moi, posant ses doigts sur mon clitoris pour le titiller. Ses mouvements sont lents mais intenses, provocant un nouvel orgasme. Puis il accélère la cadence et jouit en moi.
- Reste allongée poupée, me dit-il alors qu’il se retire.
Il revient vers moi et me demande de mettre mes mains dans les dos. Il les attache ensemble puis me faire m’asseoir en haut du lit, les épaules contre la tête de lit, les jambes relevées et écartées. Il enroule un bout de tissus noir autour de ma cheville et fait passer le restant sous le lit dont il fait le tour pour le nouer autour de mon autre cheville.
- Ce sont des liens de bondage… me dit-il face à mon air interrogateur.
Puis il s’en va dans la salle de bains attenante. J’entends de leur couler au lavabo. Quand il revient dans la chambre, il a refermé son jeans et enfilé un t-shirt blanc. Il passe à côté de moi et fouille dans mon sac pour en sortir le sextoy qu’il m’a envoyé au bureau. Il vient s’asseoir à côté de moi et murmure à mon oreille.
- J’ai envie de jouer encore un peu.
Et tout en m’embrassant, il introduit le stimulateur dans ma chatte. A peine a-t-il retirer ses lèvres des miennes que la sonnette retentit.
- Mais sois discrète, faudrait pas qu’elle t’entende, ajoute-t-il en activant les vibrations.
Je sens immédiatement le plaisir m’envahir, mais j’ai envie de le tuer…
Il quitte la pièce et tire la porte mais ne l’enclenche pas.
- Salut ma puce, je l’entends dire depuis le salon.
- Coucou mon amour !
Putain, j’y crois pas ! Y a sa copine dans le salon, et moi je suis là, à poil, attachée sur son lit, un truc vibrant dans la chatte et une envie de jouir presque incontrôlable. Mais je ne dois laisser échapper aucun gémissement, la porte n’étant pas fermée correctement, elle pourrait m’entendre.
- Tu as de la visite ? Lui demande-t-elle.
Les verres sur la table basse…
- Y a Davy qui mange ici ce soir, il est juste parti s’acheter des clopes. Il ne devrait plus tarder à revenir d’ailleurs.
- De toute façon, je ne reste pas, je suis juste passée chercher ma blouse que j’ai laissée chez toi. Je l’ai mise dans la penderie.
- Je vais te la chercher.
J’entends ses pas dans le couloir. Il ouvre la porte en grand et la referme assez vite, mais j’ai tout de même eu le temps d’apercevoir sa petite amie de dos. Une grande blonde fine. Et je me dis que heureusement qu’elle n’est pas tournée un même moment.
Xavier passe à côté de moi, un sourire aux lèvres. Il sort la blouse de la penderie et s’approche de moi. Il prend mon téton droit entre ses lèvres, l’aspire et le mordille. Je gémis doucement.
- Chut… fait-il doucement. Mais je te trouve ultra bandante bébé.
Et il quitte à nouveau la pièce, n’enclenchant toujours pas la porte. J’ai de plus en plus de mal à retenir mon envie de jouir.
- Tu crois qu’il arrive bientôt Davy ? Lui demande Alice.
- Je pense qu’il devrait plus trop tarder, pourquoi, tu voulais le voir ?
- Non, c’est juste que j’ai envie de faire ça depuis ce matin et que j’ai envie d’attendre 4 jours.
Un léger silence s’installe.
- Oh ma puce, gémit Xavier. Si Davy te voit en train de me sucer, il risque d’être jaloux.
Il gémit plusieurs fois.
- Viens, je voudrais pas que tu sois en manque pendant ces 4 jours… on va faire ça vite avant qu’il arrive…
Et je l’entends qui la plaque contre le mur avant de l’entendre elle pousser des petits cris de plaisir. Et je trouve ça très excitant de les écouter s’envoyer en l’air.
Quand j’entends la porte d’entrée claquer après qu’il l’aie saluer, je me laisse enfin aller au plaisir. Mon corps est parcouru de frissons et de spasmes alors que je pousse un oui de plaisir et que je mouille comme jamais.
- Ben dis donc bébé, il était moins une… tu es magnifique comme ça, avide de sexe.
- Et toi t’es un connard de m’avoir laissée comme ça alors qu’elle arrivait. Tu as intérêt à me prendre rapidement parce que je crève d’envie de t’avoir en moi…- Je suis pas un connard, je t’ai montré que le voyeurisme ça pouvait être excitant, dit-il en retirant le jouet de mon intimité avant de me détacher. Mais je suis désolé, j’avais pas prévu qu’elle se jette sur moi… et puis c’est ma copi… enfin bref… et malheureusement je suis qu’un homme, deux fois de suite oui, mais là tout de suite, une troisième fois ça va pas être possible. Va me falloir un peu de repos…
Je fais une petite moue triste.
- Mais t’inquiète pas, je me ferai pardonner. Et tu vas avoir ta dose de sexe ce week-end, je t’ai prévu un tas de trucs. D’ailleurs, tiens, allonge toi sur le ventre, je vais quand même te faire du bien, après tout j’ai des mains, une bouche et des accessoires.
Pour la troisième fois de la soirée, je lui obéis. Il embrasse alors mes fesses et enfonce ses doigts dans ma chatte ruisselante. Il reprend le sextoy et l’introduit à nouveau en moi, mais cette fois-ci, au lieu de placer le stimulateur externe sur mon clitoris, il fait tourner le jouet et le place à l’entrée de mon anus. Puis il met les vibrations en route.
- Vu ce que tu m’as dit de ta vie sexuelle, je suppose que t’as jamais essayé l’anal…- Tu supposes bien… je chuchote.
- Je te demande juste de me faire confiance alors, je ne te force à rien. Si tu veux arrêter, tu as juste à le dire.
Il passe ses doigts mouillés de mon excitation le long de ma raie.
- C’est une zone riche en terminaisons nerveuses et du coup très érogène, mais aussi douloureuse si l’on s’y prend mal ou qu’on est pas détendu. Alors laisse toi aller au plaisir, ne pense pas que ça peut faire mal et je te promets que tu aimeras ça. Maintenant mais toi en levrette bébé.
Je me mets à 4 pattes puis il écarte mes fesses et y promène sa langue. Et comme lors de notre première soirée ensemble, je trouve cela très agréable.
Pendant qu’il lèche mon petit trou, il me doigte vigoureusement. Puis il approche ses doigts de mon anus, en appuyant doucement dessus avec son index. Sentant qu’il est prêt à l’y introduire, je me crispe un peu devant la peur de l’inconnu. Et il le remarque.
- Détends toi ma belle, je ne veux pas te faire mal…
J’essaie de me concentrer sur les vibrations délicieuses que me procure le jouet. Et finis par me détendre.
Je sens alors son doigt me pénétrer doucement. D’abord déroutée, j’apprécie rapidement les sensations que cela me procure. Lorsqu’il exerce une pression un peu plus forte, une légère douleur survient, et sans que je manifeste une quelconque remarque, il retire son doigt.
- Ça suffit pour aujourd’hui. On continuera de faire ça tout doucement, je veux vraiment que tu apprécies. Ça été ?
- Oui, c’était très bon, lui dis-je en souriant.
- Je vais aller terminer de nous préparer à manger. Prends ton temps si tu as envie de prendre une douche ou rester un peu couchée.
- Ça marche.
Il sort de la chambre et je reste un instant allongée en repensant à tout ce qu’il m’a déjà fait vivre en peu de temps. Il m’a fait faire des choses que je n’aurais même pas imaginées il y a encore 10 jours.
Puis je décide de me doucher rapidement. 5 minutes plus tard, je rejoins Xavier dans la pièce à vivre, vêtue d’une de ses chemise.
- Tu serais pas en train d’essayer de te venger là ? Parce que si c’est le cas, ça marche… si je le pouvais, je te prendrais sans attendre sur la table…
Pour toute réponse, je lui souris non sans rougir de savoir l’effet que je lui fais.
- Par contre je suis désolé, mais avec tout ça, j’en ai oublié le gratin dans le four… du coup je nous ai commandé des pizzas, elles devraient pas tarder à arriver.
En attendant, on s’installe sur le canapé et je me blottis dans ses bras. Quand les pizzas sont livrées, on s’installe à la table de la salle à manger.
- J’espère que tu ne m’en veux pas pour avant avec Alice… dit-il presque honteux.
- Que tu l’aies sautée ou de m’avoir laissée dans cette position au risque que de nous faire prendre ?
- Les deux, répond-il sans oser me regarder.
- Sur le plan jalousie, je ne peux pas t’en vouloir, il n’y a pas de sentiment ou d’attache entre nous, c’est ta copine, et sur le plan sexe, j’ai trouvé ça excitant de vous savoir à quelques mètres, de vous imaginer, de me dire qu’elle ne se savait pas épiée. Par contre, j’avoue que j’étais un peu fâchée que me laisses une telle responsabilité… je me dis que si j’avais laissé le moindre son sortir, on était dans la merde… et là où je suis jalouse, ce n’est pas pour les sentiments, mais je comptais bien profiter de toi encore vu l’état dans lequel tout ça m’a mise.
- Promis bébé, je me ferai un plaisir de me faire pardonner.
Il reste silencieux un moment, jouant avec le bord du carton de sa pizza. Puis toujours en le grattant du bout du doigt et sans me regarder, il me dit :
- Tu sais, je n’ai jamais été infidèle et je n’ai jamais eu l’intention de l’être. J’aime sincèrement Alice, je suis bien avec elle, on prend notre pied et tout… j’avoue parfois elle m’énerve à me prendre un peu pour son petit toutou comme l’autre soir quand elle a décidé à la dernière minute que finalement valait mieux qu’on passe pas la nuit ensemble... mais en même temps je sais qu’elle est très stressée à cause de ses études…
Je ne sais pas quoi lui répondre. Je n’arrive pas comprendre le sens de cet aveu…et visiblement il le devine.
- Je dis pas ça dans le sens je culpabilise de la tromper. J’ai attendu tellement longtemps avant de pouvoir assouvir le désir que j’ai toujours eu pour toi, je l’ai dit l’autre jour, rien n’aurait été trop cher payé contre ne serait-ce qu’une nuit avec toi... je te dis ça parce que je veux pas que tu me prennes pour un salaud, notamment avec ce qu’il est passé avant.
- Si tu es un salaud, dans ce cas je ne vaux pas mieux que toi… faut être 2 pour tromper quelqu’un, je suis donc complice… après si tu veux on peut tout arrêter, y a aucun engagement entre nous. Je peux tout à fait prendre mes affaires et m’en aller…
Il lève alors les yeux vers moi.
- Non, non, du tout. J’ai pas envie qu’on arrête. Et même si j’en avais envie, j’arriverais pas à me passer de tout ça pour l’instant. Après le premier soir, je m’étais dit que ce serait le seul. J’avais assouvi mon fantasme. Puis tu m’as envoyé le sms pour me remercier et quand ton nom s’est affiché sur mon portable, j’ai compris que c’était loin d’être le dernier.
Il repousse sa pizza et me prends par la main.
- Allez viens, on va se mater un film. J’ai assez plombé l’ambiance
Il m’entraîne sur le canapé et on se regarde un vieux d’action où un flic, campé par Bruce Willis, passe une sale journée avant d’aller nous coucher. Et je ne passe pas vraiment une bonne nuit : déjà dormir dans un autre lit que le mien me fait toujours ça au début, et en plus je n’arrête pas de penser à la discussion qu’on a eu au cours du repas.
Réveillée aux aurores, je décide d’aller préparer le petit déjeuner à mon amant. Je nous prépare des bols de fruits, fais griller du pain et lorsque je l’entends ouvrir le robinet de la douche, je fais cuire des œufs à la coque.
Je termine de préparer les plateaux quand il pose ses mains sur ma taille.
- Ça donne faim tout ça, et je parle pas uniquement du petit-déjeuner. Malheureusement, vu l’heure, on va tout juste avoir le temps de manger avant de partir.
Je me tourne brusquement vers lui.
- Partir ? Mais où ? Je croyais qu’on passait le week-end reclus à s’envoyer en l’air, fais-je faussement étonnée en riant.
- Je te rappelle que je travaille le samedi matin bébé. J’ai donné congé à mon asv, Davy, du coup tu seras mon assistante sexy aujourd’hui.
- Mais j’y connais rien moi !
- T’en fais pas, j’ai déjà pu constater que tu apprenais très vite. Et de toute façon, c’est juste pour 3h, et le programme est pas chargé. De plus, je te présenterai quelqu’un avec qui tu vas sans doute bien t’entendre. Alors avale ton petit déjeuner et vas t’habiller poupée, on décolle dans 15 minutes.
Je mange rapidement avant d’aller me préparer. Un quart d’heure plus tard on est en route pour la clinique.
Arrivés sur place, il nous fait entrer et referme à clef derrière nous et m’emmène dans la salle de repos.
Là, il me plaque contre le mur, collant ses lèvres aux miennes. Je sens sa queue dressée à travers son jean contre ma cuisse.
- Tu sens l’effet que tu me fais ?
L’entrée de son immeuble se fait par une petite cour intérieure. Je monte au troisième et dernier étage et sonne à la seule porte du palier.
- Salut bébé, me dit-il en ouvrant la porte.
- Salut.
Il attrape ma main et m’attire à l’intérieur. A peine a-t-il refermé la porte, qu’il me plaque contre cette dernière et m’embrasse.
- Tu m’as trop manquée ! J’ai pas arrêté de penser toi… Hier j’ai même failli appeler Alice par ton prénom…- Tu m’as manqué aussi…- Viens, donne moi ton sac, je vais le poser dans la chambre. Si tu veux faire un tour dans l’appart’, vas-y, fais comme chez toi…
Je jette un œil à la pièce à vivre. C’est une grande pièce composée d’une cuisine américaine sur un salon et une salle à manger, le tout dans un style industriel très classe. Je devine un couloir partant du salon qui doit probablement desservir l’espace nuit.
Xavier revient et m’invite à m’asseoir sur le canapé. Il me rejoint avec une bouteille de vin blanc et deux verres. Il les remplit et m’en tend un.
- Je t’ai préparé à manger. J’espère que ça sera bon, je ne cuisine pas trop.
- Fallait pas te donner cette peine, et je suis sûre que ce sera bon. En tout cas, ça sent bon.
- Et c'est finalement tout le week-end qu'on a pour nous... enfin si tu as envie de le passer avec moi...
- T'en as d'autres des questions cons ?
On discute de nos journées respectives, et je sens sa main remonter le long de ma cuisse sous ma jupe. Puis très vite, il pose nos 2 verres sur la table basse et m’entraîne dans sa chambre.
Il retire sa chemise et je pose mes mains sur son torse musclé. Il ouvre lentement mon chemisier, défaisant un à un les boutons, laissant traîner ses mains sur ma peau. Il fait de même avec la boutonnière de ma jupe.
- J’aime beaucoup que tu ne portes rien sous tes vêtements. C’est très excitant… me chuchote-t-il à l’oreille alors que je me retrouve nue perchée sur mes talons.
Il embrasse ma poitrine, suçote mes tétons, les mord. Je gémis alors que je sens le plaisir chauffer mon intimité.
Il me pousse pour me faire tomber sur le lit et m’enlève mes chaussures avant d’ouvrir son jeans et faire sortir sa queue de son boxer. Je la regarde avec gourmandise. Il remarque mon regard lubrique.
- T’inquiète, tu pourras en profiter autant que tu veux, mais d’abord je vais m’occuper de toi… j’ai envie de te faire plaisir, que tu prennes ton pied, que tu mouilles comme une salope, que tu cries ton plaisir à en faire râler les voisins !
Alors qu’il termine sa phrase, il se met à genoux au bout du lit, me tire à lui pour que mes fesses soient à l’extrême limite du limite du matelas.
- Écartes les jambes et poses tes pieds sur mes épaules.
J’obéis. Il fourre alors son visage entre mes cuisses et commence à embrasser mon sexe. Je sens sa langue aller et venir le long de mes grandes lèvres puis tournoyer autour de mon clito. Je sens l’orgasme arriver lorsqu’il glisse deux doigts en moi.
Soudain son portable sonne, faisant retomber un peu l’excitation qui montait en moi. Mais il laisse sonner et continuer de faire grimper le désir en moi. Quelques minutes plus tard, la sonnerie retentit à nouveau.
- Fait chier, dit-il en prenant son portable d’une main tout en continuant de faire aller et venir ses doigts. Fais pas de bruit, c’est Alice.
Je suis limite pétrifiée à l’idée qu’elle puisse deviner ce qu’on fait.
‘’ coucou ma puce. Ça va ? Oui, moi aussi ça va. Il profite d’un monologue de sa copine pour reprendre la course de sa langue sur mon clito, j’ai du mal à retenir mes gémissements. Oui, tu vas me manquer aussi pendant ces 4 jours, mais pas grave, on profitera un max quand tu auras finis tes exams et tes gardes. Nouveau monologue, nouveaux assauts divins sur ma chatte. Il lève les yeux vers moi et ses yeux sont pleins de malice. Ça marche ma chérie. A plus, je t’aime. ‘’ et il raccroche juste avant que je jouisse.
Il envoie son téléphone sur le tapis.
- Tourne toi bébé.
Encore une fois, j’obéis. Il pose ses mains de chaque côté de mes fesses et fait glisser sa queue lentement entre mes cuisses jusqu’à me pénétrer profondément.
Il passe une main devant moi, posant ses doigts sur mon clitoris pour le titiller. Ses mouvements sont lents mais intenses, provocant un nouvel orgasme. Puis il accélère la cadence et jouit en moi.
- Reste allongée poupée, me dit-il alors qu’il se retire.
Il revient vers moi et me demande de mettre mes mains dans les dos. Il les attache ensemble puis me faire m’asseoir en haut du lit, les épaules contre la tête de lit, les jambes relevées et écartées. Il enroule un bout de tissus noir autour de ma cheville et fait passer le restant sous le lit dont il fait le tour pour le nouer autour de mon autre cheville.
- Ce sont des liens de bondage… me dit-il face à mon air interrogateur.
Puis il s’en va dans la salle de bains attenante. J’entends de leur couler au lavabo. Quand il revient dans la chambre, il a refermé son jeans et enfilé un t-shirt blanc. Il passe à côté de moi et fouille dans mon sac pour en sortir le sextoy qu’il m’a envoyé au bureau. Il vient s’asseoir à côté de moi et murmure à mon oreille.
- J’ai envie de jouer encore un peu.
Et tout en m’embrassant, il introduit le stimulateur dans ma chatte. A peine a-t-il retirer ses lèvres des miennes que la sonnette retentit.
- Mais sois discrète, faudrait pas qu’elle t’entende, ajoute-t-il en activant les vibrations.
Je sens immédiatement le plaisir m’envahir, mais j’ai envie de le tuer…
Il quitte la pièce et tire la porte mais ne l’enclenche pas.
- Salut ma puce, je l’entends dire depuis le salon.
- Coucou mon amour !
Putain, j’y crois pas ! Y a sa copine dans le salon, et moi je suis là, à poil, attachée sur son lit, un truc vibrant dans la chatte et une envie de jouir presque incontrôlable. Mais je ne dois laisser échapper aucun gémissement, la porte n’étant pas fermée correctement, elle pourrait m’entendre.
- Tu as de la visite ? Lui demande-t-elle.
Les verres sur la table basse…
- Y a Davy qui mange ici ce soir, il est juste parti s’acheter des clopes. Il ne devrait plus tarder à revenir d’ailleurs.
- De toute façon, je ne reste pas, je suis juste passée chercher ma blouse que j’ai laissée chez toi. Je l’ai mise dans la penderie.
- Je vais te la chercher.
J’entends ses pas dans le couloir. Il ouvre la porte en grand et la referme assez vite, mais j’ai tout de même eu le temps d’apercevoir sa petite amie de dos. Une grande blonde fine. Et je me dis que heureusement qu’elle n’est pas tournée un même moment.
Xavier passe à côté de moi, un sourire aux lèvres. Il sort la blouse de la penderie et s’approche de moi. Il prend mon téton droit entre ses lèvres, l’aspire et le mordille. Je gémis doucement.
- Chut… fait-il doucement. Mais je te trouve ultra bandante bébé.
Et il quitte à nouveau la pièce, n’enclenchant toujours pas la porte. J’ai de plus en plus de mal à retenir mon envie de jouir.
- Tu crois qu’il arrive bientôt Davy ? Lui demande Alice.
- Je pense qu’il devrait plus trop tarder, pourquoi, tu voulais le voir ?
- Non, c’est juste que j’ai envie de faire ça depuis ce matin et que j’ai envie d’attendre 4 jours.
Un léger silence s’installe.
- Oh ma puce, gémit Xavier. Si Davy te voit en train de me sucer, il risque d’être jaloux.
Il gémit plusieurs fois.
- Viens, je voudrais pas que tu sois en manque pendant ces 4 jours… on va faire ça vite avant qu’il arrive…
Et je l’entends qui la plaque contre le mur avant de l’entendre elle pousser des petits cris de plaisir. Et je trouve ça très excitant de les écouter s’envoyer en l’air.
Quand j’entends la porte d’entrée claquer après qu’il l’aie saluer, je me laisse enfin aller au plaisir. Mon corps est parcouru de frissons et de spasmes alors que je pousse un oui de plaisir et que je mouille comme jamais.
- Ben dis donc bébé, il était moins une… tu es magnifique comme ça, avide de sexe.
- Et toi t’es un connard de m’avoir laissée comme ça alors qu’elle arrivait. Tu as intérêt à me prendre rapidement parce que je crève d’envie de t’avoir en moi…- Je suis pas un connard, je t’ai montré que le voyeurisme ça pouvait être excitant, dit-il en retirant le jouet de mon intimité avant de me détacher. Mais je suis désolé, j’avais pas prévu qu’elle se jette sur moi… et puis c’est ma copi… enfin bref… et malheureusement je suis qu’un homme, deux fois de suite oui, mais là tout de suite, une troisième fois ça va pas être possible. Va me falloir un peu de repos…
Je fais une petite moue triste.
- Mais t’inquiète pas, je me ferai pardonner. Et tu vas avoir ta dose de sexe ce week-end, je t’ai prévu un tas de trucs. D’ailleurs, tiens, allonge toi sur le ventre, je vais quand même te faire du bien, après tout j’ai des mains, une bouche et des accessoires.
Pour la troisième fois de la soirée, je lui obéis. Il embrasse alors mes fesses et enfonce ses doigts dans ma chatte ruisselante. Il reprend le sextoy et l’introduit à nouveau en moi, mais cette fois-ci, au lieu de placer le stimulateur externe sur mon clitoris, il fait tourner le jouet et le place à l’entrée de mon anus. Puis il met les vibrations en route.
- Vu ce que tu m’as dit de ta vie sexuelle, je suppose que t’as jamais essayé l’anal…- Tu supposes bien… je chuchote.
- Je te demande juste de me faire confiance alors, je ne te force à rien. Si tu veux arrêter, tu as juste à le dire.
Il passe ses doigts mouillés de mon excitation le long de ma raie.
- C’est une zone riche en terminaisons nerveuses et du coup très érogène, mais aussi douloureuse si l’on s’y prend mal ou qu’on est pas détendu. Alors laisse toi aller au plaisir, ne pense pas que ça peut faire mal et je te promets que tu aimeras ça. Maintenant mais toi en levrette bébé.
Je me mets à 4 pattes puis il écarte mes fesses et y promène sa langue. Et comme lors de notre première soirée ensemble, je trouve cela très agréable.
Pendant qu’il lèche mon petit trou, il me doigte vigoureusement. Puis il approche ses doigts de mon anus, en appuyant doucement dessus avec son index. Sentant qu’il est prêt à l’y introduire, je me crispe un peu devant la peur de l’inconnu. Et il le remarque.
- Détends toi ma belle, je ne veux pas te faire mal…
J’essaie de me concentrer sur les vibrations délicieuses que me procure le jouet. Et finis par me détendre.
Je sens alors son doigt me pénétrer doucement. D’abord déroutée, j’apprécie rapidement les sensations que cela me procure. Lorsqu’il exerce une pression un peu plus forte, une légère douleur survient, et sans que je manifeste une quelconque remarque, il retire son doigt.
- Ça suffit pour aujourd’hui. On continuera de faire ça tout doucement, je veux vraiment que tu apprécies. Ça été ?
- Oui, c’était très bon, lui dis-je en souriant.
- Je vais aller terminer de nous préparer à manger. Prends ton temps si tu as envie de prendre une douche ou rester un peu couchée.
- Ça marche.
Il sort de la chambre et je reste un instant allongée en repensant à tout ce qu’il m’a déjà fait vivre en peu de temps. Il m’a fait faire des choses que je n’aurais même pas imaginées il y a encore 10 jours.
Puis je décide de me doucher rapidement. 5 minutes plus tard, je rejoins Xavier dans la pièce à vivre, vêtue d’une de ses chemise.
- Tu serais pas en train d’essayer de te venger là ? Parce que si c’est le cas, ça marche… si je le pouvais, je te prendrais sans attendre sur la table…
Pour toute réponse, je lui souris non sans rougir de savoir l’effet que je lui fais.
- Par contre je suis désolé, mais avec tout ça, j’en ai oublié le gratin dans le four… du coup je nous ai commandé des pizzas, elles devraient pas tarder à arriver.
En attendant, on s’installe sur le canapé et je me blottis dans ses bras. Quand les pizzas sont livrées, on s’installe à la table de la salle à manger.
- J’espère que tu ne m’en veux pas pour avant avec Alice… dit-il presque honteux.
- Que tu l’aies sautée ou de m’avoir laissée dans cette position au risque que de nous faire prendre ?
- Les deux, répond-il sans oser me regarder.
- Sur le plan jalousie, je ne peux pas t’en vouloir, il n’y a pas de sentiment ou d’attache entre nous, c’est ta copine, et sur le plan sexe, j’ai trouvé ça excitant de vous savoir à quelques mètres, de vous imaginer, de me dire qu’elle ne se savait pas épiée. Par contre, j’avoue que j’étais un peu fâchée que me laisses une telle responsabilité… je me dis que si j’avais laissé le moindre son sortir, on était dans la merde… et là où je suis jalouse, ce n’est pas pour les sentiments, mais je comptais bien profiter de toi encore vu l’état dans lequel tout ça m’a mise.
- Promis bébé, je me ferai un plaisir de me faire pardonner.
Il reste silencieux un moment, jouant avec le bord du carton de sa pizza. Puis toujours en le grattant du bout du doigt et sans me regarder, il me dit :
- Tu sais, je n’ai jamais été infidèle et je n’ai jamais eu l’intention de l’être. J’aime sincèrement Alice, je suis bien avec elle, on prend notre pied et tout… j’avoue parfois elle m’énerve à me prendre un peu pour son petit toutou comme l’autre soir quand elle a décidé à la dernière minute que finalement valait mieux qu’on passe pas la nuit ensemble... mais en même temps je sais qu’elle est très stressée à cause de ses études…
Je ne sais pas quoi lui répondre. Je n’arrive pas comprendre le sens de cet aveu…et visiblement il le devine.
- Je dis pas ça dans le sens je culpabilise de la tromper. J’ai attendu tellement longtemps avant de pouvoir assouvir le désir que j’ai toujours eu pour toi, je l’ai dit l’autre jour, rien n’aurait été trop cher payé contre ne serait-ce qu’une nuit avec toi... je te dis ça parce que je veux pas que tu me prennes pour un salaud, notamment avec ce qu’il est passé avant.
- Si tu es un salaud, dans ce cas je ne vaux pas mieux que toi… faut être 2 pour tromper quelqu’un, je suis donc complice… après si tu veux on peut tout arrêter, y a aucun engagement entre nous. Je peux tout à fait prendre mes affaires et m’en aller…
Il lève alors les yeux vers moi.
- Non, non, du tout. J’ai pas envie qu’on arrête. Et même si j’en avais envie, j’arriverais pas à me passer de tout ça pour l’instant. Après le premier soir, je m’étais dit que ce serait le seul. J’avais assouvi mon fantasme. Puis tu m’as envoyé le sms pour me remercier et quand ton nom s’est affiché sur mon portable, j’ai compris que c’était loin d’être le dernier.
Il repousse sa pizza et me prends par la main.
- Allez viens, on va se mater un film. J’ai assez plombé l’ambiance
Il m’entraîne sur le canapé et on se regarde un vieux d’action où un flic, campé par Bruce Willis, passe une sale journée avant d’aller nous coucher. Et je ne passe pas vraiment une bonne nuit : déjà dormir dans un autre lit que le mien me fait toujours ça au début, et en plus je n’arrête pas de penser à la discussion qu’on a eu au cours du repas.
Réveillée aux aurores, je décide d’aller préparer le petit déjeuner à mon amant. Je nous prépare des bols de fruits, fais griller du pain et lorsque je l’entends ouvrir le robinet de la douche, je fais cuire des œufs à la coque.
Je termine de préparer les plateaux quand il pose ses mains sur ma taille.
- Ça donne faim tout ça, et je parle pas uniquement du petit-déjeuner. Malheureusement, vu l’heure, on va tout juste avoir le temps de manger avant de partir.
Je me tourne brusquement vers lui.
- Partir ? Mais où ? Je croyais qu’on passait le week-end reclus à s’envoyer en l’air, fais-je faussement étonnée en riant.
- Je te rappelle que je travaille le samedi matin bébé. J’ai donné congé à mon asv, Davy, du coup tu seras mon assistante sexy aujourd’hui.
- Mais j’y connais rien moi !
- T’en fais pas, j’ai déjà pu constater que tu apprenais très vite. Et de toute façon, c’est juste pour 3h, et le programme est pas chargé. De plus, je te présenterai quelqu’un avec qui tu vas sans doute bien t’entendre. Alors avale ton petit déjeuner et vas t’habiller poupée, on décolle dans 15 minutes.
Je mange rapidement avant d’aller me préparer. Un quart d’heure plus tard on est en route pour la clinique.
Arrivés sur place, il nous fait entrer et referme à clef derrière nous et m’emmène dans la salle de repos.
Là, il me plaque contre le mur, collant ses lèvres aux miennes. Je sens sa queue dressée à travers son jean contre ma cuisse.
- Tu sens l’effet que tu me fais ?
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