11 - Images sordides du coït entre un phoque lubrique et une chienne en chaleur

- Par l'auteur HDS Monkypython -
Auteur homme.
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Récit libertin : 11 - Images sordides du coït entre un phoque lubrique et une chienne en chaleur Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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11 - Images sordides du coït entre un phoque lubrique et une chienne en chaleur
Les trois hommes avaient assisté au spectacle en silence et avaient hâte de reprendre ma femme en main. René commenta laconiquement :
- Cette salope préfère la bite, c'est clair.
- Allez, connasse, viens t'occuper de notre copain.
Robert la tira sans ménagement par les cheveux et amena son visage contre le bas-ventre du gros René qui ouvrait sa braguette. Il eut tôt fait de sortir une bite épaisse, assez courte qu'il vint poser sur les lèvres de Maria. Celle-ci, à quatre pattes sur le lit, toujours maintenue par Robert n'était pas en position de force. Elle finit par ouvrir sa bouche pour laisser entrer le gland. Le reste suivit, elle se mit à le sucer, encouragée par ses précédents partenaires. Robert s’amusait à lui enfoncer le godemiché laissé par la lesbienne dans le vagin puis dans l’anus. Il avait pris goût au bruit que faisaient ses mains sur le cul en bombe de ma femme et claquait de nouveau les fesses rebondies. Maria continuait à pomper le sexe du mollusque en se faisant bourrer les autres orifices sous les quolibets des trois compères :
- Pompe bien, salope !
- Elle va arriver à faire bander René, la gourmande.
- Elle a le con prêt pour un cheval, cette pute. Même son cul est grand ouvert.
- On devrait appeler du renfort pour la bourrer pendant qu’elle suce.
- Non, laisse-la pour René, il va pouvoir se régaler. Ce n’est pas tous les jours qu’on tombe sur un coup pareil.
- Si elle continue comme ça, elle va l’avoir, sa récompense.
- La queue de René bien dure au fond du trou.
Ma femme était nue, à quatre pattes sur le lit, à pratiquer une fellation à un vieux vicieux. Les trois hommes autour d’elle étaient tous habillés, car même René avait gardé ses habits en ne sortant que sa queue. Elle était donc dans une position d’infériorité évidente. Cette situation était encore amplement amplifiée par le fait qu’elle était dans la posture d’une femelle soumise qui quémandait un rapport sexuel comme une chienne en chaleur. Ses partenaires s’en jouaient avec délectation. Robert tapotait sur l’extrémité du godemiché qu’il enfonçait dans son anus et lui claquait les fesses avec un joli bruit. Roland devait trouver la chose gracieuse car il entreprit de donner une fessée à Maria qui continuait à pomper la bite du gros René sans protester malgré les coups répétés. Il la tapait à deux mains, les coups claquaient fort et devaient faire mal. Cela tournait à la démonstration de force, cette femelle était domptée, soumise au bon vouloir de ses maîtres. Elle avait le cul rougi, elle commença à sangloter, de rage, d’humiliation, de désir peut-être, de douleur aussi et on lui demanda :
- Et maintenant, connasse, dis-nous ce que tu préfères, te faire baiser ou te faire enculer ?
- Baisez-moi, bande de connards !
- En plus d’être une salope, tu es grossière.
- Traitez moi de ce que vous voulez, je m’en fous.
- Sacré René ! A toi l'honneur d'étrenner sa moule toute lisse !
- Je ne vais pas me priver. Tu diras à ton mari que je m’excuse de te baiser sans capote, mais j’ai peur de débander.
- Mon mari ? Que voulez vous qu’il dise mon mari, après tout ce que vous m’avez fait. Vous m’avez transformée en putain. De toutes façons, tout le monde ici m’a baisée sans capote.
- Allez, allonge-toi et écarte les cuisses, ma belle.
- Baisez-moi, qu’on en finisse !
- Elle est mignonne.
Maria avait crié en sanglotant, elle pleurait de rage, elle criait aussi son désir charnel exacerbé. Comme Saint Thomas, j’avais maintenant la preuve de ce que je craignais sans vouloir y croire. L'impensable se produisit. Maria fut mise sur le dos, le vieux pachyderme s'installa entre ses cuisses, monta sur elle et d'un coup de reins lui fourra sa queue jusqu’à la garde. La pièce devait être équipée d’une installation sophistiquée avec laquelle on pouvait filmer la scène de plusieurs angles et aussi faire des gros plans, c’était la pensée technique à laquelle je me raccrochais en regardant ces images invraisemblables. L’objectif s’était focalisé sur les sexes des deux partenaires, et offrait un gros plan sur celui de Maria et du vieux. Maria était ouverte, ses lèvres semblaient rougies au fer, écartée au point de laisser le vagin béant, le vieux bandait comme un bouc. Sa queue semblait incongrue, une colonne de chair dure comme du marbre perdue dans la graisse du ventre, le membre était raide, ferme, conquérant et pointait fièrement vers le ventre offert, on aurait dit l’étrave d’un navire fendant une mer de viande flasque. Le vieux remonta son ventre, ajusta la queue raide sur la fente béante, il entra en une seule poussée, tant il était attendu et désiré. Au début, elle chercha encore à éviter la langue curieusement pointue qu'il dardait vicieusement mais elle finit par capituler et lui laissa sa bouche qu'il embrassa goulûment en y fourrant sa langue de serpent. Cette vision me dégouttait. Comment ce gros tas de graisse pouvait-il copuler ainsi sur ma femme ! L’éléphant de mer prenait soin de ne pas écraser sa femelle, il forniquait en appui sur les mains, sa graisse tressautait à chaque assaut, son gros cul flasque et graisseux suivait ses coups de reins, c’était une marée de graisse, des vagues de chair sans consistance qui allaient et revenaient inlassablement sur Maria, qui semblait minuscule, fragile et sur le point d’être écrasée et étouffée. Malgré sa masse et son âge, le vieux ne faiblissait pas, il ramonait mon épouse chérie avec la régularité d’un métronome, sans hâte et avec application.
Et le comble, c'est que Maria perdait le contrôle de ses sens. Elle avait toujours le godemiché fiché dans le cul et son ventre de femme sensuelle et généreuse répondait aux assauts de celui qui la prenait, son désir latent la submergeait, elle voulait son plaisir plus que tout. Je la vis agripper le gros porc, empoigner la graisse des fesses et accompagner son coït de tout son bassin. Elle releva ses cuisses sans arriver à croiser ses jambes sur son partenaire trop gros pour elle comme elle le faisait d’ordinaire, tandis que sa bouche mangeait maintenant celle du vieux vicieux qui jouait avec sa langue. On distinguait par moment le godemiché fiché tout entier dans son cul et qui devait lui dilater la fente. Les images se succédaient, enchaînant les gros plans sur le sexe et sur le visage de Maria, sous les yeux experts des deux précédents partenaires qui assistaient à la scène en silence, fascinés eux aussi par cet accouplement contre nature. C’était autre chose que les amours de la belle et la bête, quelque chose d’animal tant le désir de la belle était bestial, et l’apparence du mâle obèse était quasi inhumaine. En silence, ils constataient que la farce scabreuse était en train de virer aux noces barbares entre une poupée et un vieux pachyderme. Ils devaient également savourer leur domination sur cette belle et jeune femme, épouse respectable métamorphosée en catin lubrique, totalement soumise à leur volonté, toute aussi prête à assouvir leur propre désir que celui du vieux vicieux à qui ils l’avaient offerte.
La saillie de Maria allait bon train, elle avait encore relevé sa croupe pour aller au devant des assauts de son mâle, elle offrait toute sa féminité au pieu de chair qui coulissait en elle, investie jusqu’au plus profond de son être dans cette chevauchée dantesque. Elle avait capitulé, toute retenue avait été balayée. Son visage s’était transfiguré, ses yeux étaient révulsés, sa bouche déformée par un rictus. Non, Maria ne simulait pas, elle exprimait le désir à l’état pur qui montait du plus profond de son être, je lui en voulais d’arborer, maintenant et avec ce partenaire improbable, cette expression de désir extrême que je connaissais si bien, j’avais du mal à supporter que tant de décadence puisse déboucher sur tant de jouissance. Proportionnellement à la montée en puissance de son désir, j’étais submergé d’une jalousie aussi rageante qu’impuissante. Elle avait perdu toute pudeur, toute retenue, elle transpirait de désir et d’envie de mâle. Ma petite femme adorée encourageait maintenant le vieux phoque, elle tenait sa tête à deux mains et le dévorait, le couvrait de baisers, mangeait sa bouche, enroulait sa langue avec celle qui jaillissait du triple menton. Sa répulsion naturelle pour ce bouc était vaincue. Métamorphosée par l’intensité de son désir sexuel, Maria se donnait à lui sans retenue, elle lui appartenait tout entière, il était son roi et usait de tous les droits sur son esclave, elle remerciait son seigneur de bien vouloir l’honorer. Et l'autre porc eut sa victoire, il la baisa en maître absolu, la posséda corps et âme, forniquant dans une dernière ligne droite à grands coups de reins violents. Maria perdit le contrôle de son corps, telle une poupée désarticulée, elle se tordit dans tous les sens comme si tous ses muscles voulaient en même temps leur part de plaisir, gigotant autour du membre fiché en elle comme soumise à des décharges électriques, elle jouit enfin en hurlant son plaisir. L’orgasme avait été aussi fulgurant que colossal, à dire vrai, je n’avais jamais vu ni Maria ni personne jouir aussi fort, même l’orgasme d’anthologie qu’elle avait eu avec Philippe était surclassé. Et pourquoi avec ce vieux libidineux ? Était justement parce qu’il était vieux et moche, gras à en dégoûter une otarie ? Était ce dû à l’incongruité de cet accouplement, était ce parce qu’elle avait franchi un point de non retour dans la soumission en consentant puis réclamant un rapport sexuel sordide avec un type auquel, dans son état normal, elle répugnerait même de faire la bise ? Serait elle masochiste ? Était ce à cause du contexte, les rapports avec les deux beaux-frères l’avaient elle préparée pour la queue du papy obèse ? Il ne lui avait pourtant rien fait de spécial, à part l’écraser de son gros ventre et l’étouffer dans la graisse, il l’avait juste baisée sans faillir, il avait su tirer partie du désir latent de Maria, méthodiquement, en vieux routier vicieux. Je me perdis en conjonctures, sans avoir de réponse, mais les faits étaient là, ma femme avait joui avec ce vieux porc bien plus intensément qu’avec moi, ou avec n’importe lequel des amants qui l’avaient chevauchée devant moi.
Après s'être soulagé en elle, le phoque s'écroula en l'écrasant. Le vieux avait rempli le ventre de mon épouse de semence, cette réalité me dégouttait, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qui s’était passé et qui continuait à se passer au plus profond de son être, je visualisais que son vagin avait recueilli le sperme en fanfare, dans l’orgasme l’étui si hospitalier se contractait autour du membre au moment de l’éjaculation, l’idée que ses spermatozoïdes étaient en train de s’activer dans l’utérus de la femme de ma vie m’horrifiait, je songeai avec effroi que l’immonde tas de graisse l’avait peut-être engrossée. Qu’un enfant puisse avoir été ainsi conçu me donnait envie de vomir Une autre pensée me taraudait le cerveau, angoissante celle là : elle avait été trop loin dans la soumission et la déchéance, elle avait consenti qu’on la traite comme un paillasson, elle ne pouvait pas en sortir indemne. Après s’être accouplée avec ce vieux repoussant, elle ne pourrait qu’accepter de la faire avec n’importe qui. Elle avait dépassé le point de non retour et en avait tiré une jouissance extrême, non, rien ne serait plus jamais pareil, il y aurait forcément un avant et un après.
Malgré sa masse, le vieux phoque se releva avec une souplesse inattendue, sans doute pressé de vanter ses exploits. Sauf en payant de belles putes, ce n'était pas tous les jours qu'il devait baiser une femme comme celle-là, une honnête femme mariée, encore moins l’envoyer sur la lune. Il n’avait pas sauté une femme vénale, il n’avait pas abusé d’une femme venue quémander du travail, une faveur ou des espèces, elle ne s’était pas vendue pour de l’argent, mais juste parce qu’elle en avait eu envie après une série de circonstances aussi invraisemblables qu’illogiques, et il ne l'avait pas loupée. Ses compagnons complices de l’ignominie qui avaient assisté à l'orgasme invraisemblable de mon épouse flattaient son ego en le félicitant avec force accolades, commentant grassement la jouissance des femelles mariées soit disant sérieuses et fidèles et plus particulièrement la lubricité de celle qui venait d'être soumise :
- Tu ne l’as pas loupée, cette salope !
- C’est une bombe atomique. Je vais féliciter son mari, il peut être fier de son épouse.
- Laisse-le tranquille, tu as déjà baisé sa femme.
- En plus, tu l’as remplie de foutre jusqu’aux yeux.
Tétanisée, Maria était recroquevillée sans bouger et pleurait en soupirant et en tremblant. Après l’orgasme insensé et foudroyant qu’elle avait eu, l’amoureuse s’était transformée en marionnette sans vie propre, seulement secouée de spasmes convulsifs, comme consumée par tant de plaisir. Le regard vide, elle semblait avoir du mal à se remettre de son insensé voyage au septième ciel. Robert lui demanda :
- Qu’est ce qu’il y a maintenant ? Tu as eu ce que tu voulais, non ?
- J’ai honte, si vous saviez comme j’ai honte.
- Tu voulais te faire foutre, non ?
- Vous m’avez prise tous les trois.
- Et alors ? On ne sera pas les derniers de la soirée à te passer dessus.
- Que va dire mon mari ?
- Il est cocu et tu le consoleras.
- Vous ne vous rendez pas compte, je ne pourrais plus le regarder en face.
- Tu as pris ton pied, c’est le principal.
- J’ai honte.
- Tu verras, ça va passer, la honte ne tue personne.
Et elle se remit à pleurer. Ils récupérèrent le godemiché enfoncé dans la croupe de ma femme et sortirent tous les trois en devisant gaiement, l’abandonnant en sanglots sur le lit. Ce fut la fin de la bande vidéo.
Maria était assise sur le deuxième canapé, prostrée. Elle me demanda :
- Je te dégoutte, non ?
- Toi, non, mais ce que j'ai vu, oui.
- C'est pareil, c'est moi qui étais sur ces images. Tu veux que je parte de la maison ? Que je te quitte et que je disparaisse de ta vue ?
- Non, bien sûr que non.
- Tu ne pourras pas vivre avec une putain comme moi. J'ai perdu toute dignité. Tu as vu le film, tu sais ce que je suis devenue cette nuit !
Elle releva sa chemise de nuit et me montra son sexe rasé que je voyais ainsi pour la première fois. J'avais toujours adoré le minou si mignon de mon épouse, mais je devais admettre que la vue de cette fente lisse ainsi exposée me troublait beaucoup. Son ventre rond, son pubis de petite fille contrastait avec sa vulve fendue dont les lèvres nues ne parvenaient pas à cacher le clitoris ni l'entrée de son con. On ne pouvait s'empêcher de penser qu'on se trouvait devant une femelle lubrique très vicieuse qui ne demandait qu'à s'envoyer en l'air avec le premier mâle venu.
Je voulus la consoler :
- Trois salopards ont abusé de toi, mais tu es toujours la même.
- Pas trois, mais six, j’ai même eu des rapports avec sept mecs. Tu dois tout savoir.
- Quoi ?
- Tu as bien entendu ! Pas moins d'une femme et de sept types m'ont baisée hier soir.
- Merde.
- Quand les trois premiers allaient partir, un type est entré, il a mis sa queue dans ma bouche et il s’est soulagé comme ça, sans rien dire, je ne sais même pas qui c’était. Après un autre a demandé si la place était libre, il a sorti son sexe et l’a enfoncé dans mon cul. Lui non plus n’a pas été long, je n’ai pas vu son visage non plus. Après, je me suis endormie un moment. A mon réveil, un garçon était là, à me regarder dormir toute nue. Il a attendu que je me réveille et il s'est déshabillé aussi. Il m'a dit qu'il ne m'avait pas quittée des yeux de toute la soirée jusqu'au moment où il m'a regardée du bar monter avec Roland. Alors quand René lui avait dit qu'il pouvait monter pour tirer un coup avec moi, il ne s'était pas fait prier. Il était beau, très jeune, je ne suis même pas sur qu’il avait dix-huit ans, et aussi puceau qu'on peut l'être. Je ne sais pas pourquoi mais je l'ai laissé monter sur moi. Il avait tellement envie qu'il en a oublié de mettre un préservatif et qu'il m'a pénétrée immédiatement. Je n'ai pas eu le temps de faire un mouvement qu'il avait déjà fini et qu'il éjaculait au fond de mon ventre. Il était très doux et très timide et m'a demandé s'il pouvait rester un peu avec moi. En fait, je l'ai gardé en moi un petit moment et quand il a retrouvé son érection, je ai expliqué moi-même comment il devait s'y prendre pour que j'aie du plaisir. Il a suivi mes conseils et mes encouragements et finalement nous avons joui tous les deux ensemble. Il m'a avoué que c'était sa première fois avec une femme. Je sais qu'il aura un bon souvenir de moi. En me lavant, je me rappelle avoir ri toute seule en réalisant que je venais de me faire baiser par un gamin. Il ne me manquait plus que ça, faire la sortie des écoles, jouer les initiatrices et dépuceler des petits branleurs. Quoique ! S'envoyer en l'air avec des vieux bonhommes aussi pervers que gras ne valait guère mieux. Après, je me suis rhabillée pour revenir vers le bar. Une espèce de brute barrait le passage. Sans un mot, il m'a écrasée contre la rambarde, s'est contenté d'écarter ma culotte et m'a prise en force dans les escaliers en se moquant de ma fente rasée. J'avais les jambes décollées du sol et comme je devais me retenir fermement à la rampe, il a eu le champ libre pour me baiser. Il avait un sexe énorme et m'a fait mal. Je l’ai supplié de faire ça sur un divan à coté. Alors il m'a portée avec sa queue toujours en moi, et m'a baisée sur la banquette. J'ai honte de dire que j'ai encore joui. Cela s'est passé sur la mezzanine au dessus du bar, juste au-dessus d’où tu étais avec les autres. Je pourrais le reconnaître, celui-là, c'était un arabe d’une cinquantaine d’année, avec une petite moustache. Tu vois, cette nuit tout le monde est passé sur ta femme. Et en plus, ce salaud n'avait pas de préservatif non plus. Il ricanait en me disant à l'oreille que je pouvais aller rejoindre mon mari maintenant avec le con plein de jus de melon.
Maria éclata en sanglot. Je ne savais pas quoi faire pour la consoler. Elle continua :
- Je n’ai rien fait pour l’empêcher de me baiser, rien.
- C'est tout de même un viol, ça !
- Et je n’ai pas pu me retenir de jouir, j’ai crié pendant qu’il me remplissait le ventre de son foutre.
- Tu n’étais pas dans ton état normal.
- Tu m’entends, j’ai joui comme une folle, et il a ri de moi, il m’a dit que j’étais une vraie truie.
- Le salaud !
- Non, il a raison. Et il a continué en disant que je pouvais toujours jouer les petites bourgeoises vertueuses au bras de mon mari, il m’avait baisée, il m’avait vu devenir folle au bout de sa bite, et ça le faisait marrer.
- Il t’a quand même forcée, pratiquement violée !
- On ne viole pas une putain comme moi, on s'en sert quand on en a envie et on la renvoie chez son mari après, voilà tout. N’oublie pas qu’on m’a rasé la chatte pour que tout le monde sache ce que je suis, toi y compris. En plus j’ai jouis avec tout le monde, à chaque fois qu’on m’a baisée. A chaque fois, tu te rends compte. J’en ai honte.
- Ne dis pas des choses pareilles ! Tu crois que tu pourras oublier ce qu’on t’a fait ?
- Plus tard, je ne sais pas. Pour le moment, je ne me supporte plus moi-même. Et je ne peux pas supporter l'idée de t'avoir perdu.
- Ecoute, tu es toujours ma femme. On a encore fait une très grosse bêtise tous les deux ce soir, mais je t'aime, je ne peux ni ne veux vivre sans toi.
- C'est vrai ?
- C'est la seule chose importante, notre amour. On a eu une sacrée leçon tous les deux, il faut en tirer le meilleur parti et continuer. Au moins maintenant on sait ce qu'il ne faut pas faire. Le sexe sans amour tue l'amour.
- Moi en tout cas je le sais maintenant.
- Et moi donc !
- J’espère au moins que tu as aimé me voir dans cette cassette porno.
- C’est vrai que c’est un vrai film porno. Un vrai, un vécu. Et avec ma femme comme actrice principale. Je dois reconnaître que ça m’a excité.
- Au point de te masturber ?
- Aujourd’hui non, mais si je le regarde une autre fois, oui, c’est possible.
- Tu me promets de ne pas être dégoutté ? Je voudrais que tu sois capable de te masturber en me regardant baiser dans le film.
- Je le ferais peut-être. Mais pourquoi tu veux que je me masturbe ?
- L’idée que tu le fasses, la simple idée, ça me rend folle. Tu te rappelles avec Philippe et surtout avec Eric ?
- J’en ai encore honte.
- Moi, ça me fait un effet dingue, c’est plus fort que tout. J’aime être une putain, ta petite putain que tout le monde baise devant toi.
- Alors, une autre fois, si on baise à plusieurs, je te regarderais baiser en me branlant.
- Ce sera génial.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Salut... Ce texte est sublime. Tout me plaît , l'homme spectateur, la femme avilie,
consentante, jouisseuse et ces 3 mecs sans aucun respect. Le rythme et les détails du
texte m'ont fait jouir.merci

Merci de vos commentaires, ils sont autant d'encouragements.
Monkypython

Histoire Erotique
super !!!
vivement la suite...

Histoire Erotique
genial!!!



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