16 - Maria au firmament des salopes / Acte 2
Récit érotique écrit par Monkypython [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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16 - Maria au firmament des salopes / Acte 2
Antoine tint sa promesse, du moins une de celles qu’il m’avait faites, je pense qu’il baisait toujours ma femme, il me donna une copie du fameux film dont nous avions parlé. Je profitai de la première occasion où j’étais seul à la maison pour le voir.
Cela commence par un cadrage d’une belle chambre, sans doute une chambre d’hôtel de luxe, une grande baie vitrée très claire, une magnifique salle de bain et aussi un énorme lit. La qualité de l’image est professionnelle, le son et la musique sont excellents. Puis l’image se pose sur la vedette féminine avec des gros plans sur son visage, sa bouche, la caméra la montre de la tête aux pieds, se place au raz du sol et partant de ses ballerines, remonte le long de ses jambes gainées de bas noirs, ses cuisses, arrive à la robe rouge très courte, découvre la lisière des bas et le haut des cuisses nues sans en dévoiler plus, puis suit la robe rouge jusqu’à la poitrine, s’arrête à nouveau sur les lèvres. Puis l’image recule jusqu’à embrasser presque toute la pièce et Philippe entre en scène.
Philippe la prit dans ses bras et l’embrassa en s’amusant à jouer avec la langue de Maria devant la caméra, les lèvres se touchant, les langues s’emmêlant et s’enroulant l’une avec l’autre. Puis il passa derrière elle, l’embrassa dans le cou, la caressa en insistant sur les seins dont il fit bander les bouts. Maria se laissait faire, elle avait passé le bras en arrière et lui caressait les cheveux. Puis Philippe demanda :
- Bonjour, ma jolie. Dis-nous comment tu t’appelles.
- Maria, tu sais bien.
- Moi oui, mais tous nos amis veulent te connaître. Tu vis seule ?
- Non, je suis mariée.
- Et tu l’aimes ton mari ?
- Oui bien sur.
- Il sait que tu es là ?
- Ne dis pas de bêtises, non, il ne serait pas très content.
- Il sait que je te baise ?
- Ça, il le sait, tu lui as dit toi-même.
- Et il sait que tu le trompes presque tous les jours ?
- Non, je ne peux pas tout lui dire.
- Et pour aujourd’hui ?
- J’espère qu’il ne le saura jamais.
- Pourquoi ?
- Je ne veux pas lui faire de la peine.
- Et pourquoi tu es venue alors ?
- Parce que j’en ai envie.
- Tu vas encore tromper ton mari.
- Oui, un peu.
- Beaucoup plutôt qu’un peu, tu sais qu’il y a beaucoup de monde qui va te baiser.
- Tu me l’as dit, oui.
- Et tu veux essayer avec plusieurs ?
- Je voudrais aller avec plusieurs hommes, oui c’est vrai, j’ai honte mais c’est vrai.
- Tu m’as dit que tu aurais moins honte si tu ne sais pas avec qui tu baises.
- Oui, c’est vrai, j’aurais moins honte de le faire sans savoir avec qui.
- Même si, eux, te connaissent ?
- Tant pis, oui.
- Ils te connaissent, connaissent ton mari, et ils vont te baiser sans que toi tu saches qui ils sont, tu es d’accord ?
- Oui, je veux bien aller avec eux.
- En plus, tu sais qu’il y a quelqu’un qui va tout filmer.
- Tu me l’as dit, mais je ne sais pas si c’est bien.
- Mais si, ça fera un bon souvenir. Combien de mecs tu veux te faire ?
- Je ne sais pas, au moins deux.
- Ils sont trois, ça va ?
- C’est super.
- Alors, on y va ?
- D’accord, on le fait.
- Tu vas mettre ce bandeau sur tes yeux
- D’accord, je le mets.
- Tu ne vois plus rien ?
- Non, c’est le noir complet, s’il te plait, vérifie s’il ne peut pas tomber.
- Non, c’est bon, tu l’as bien serré. Viens, tu vas t’asseoir sur le lit.
- D’accord, donne-moi la main pour me guider.
- Voila, tu es prête ?
- Je suis prête.
- Prête à tout ?
- A beaucoup de choses, oui.
- De choses cochonnes ?
- Je vais être très cochonne.
- Je veux être fier de toi.
- Tu ne vas pas être déçus et eux non plus.
- On les fait entrer ?
- Je les attends.
Et Philippe ouvrit la porte derrière laquelle attendaient les trois hommes qui pénétrèrent dans la chambre.
Et Philippe ouvrit la porte derrière laquelle attendaient les trois hommes qui pénétrèrent dans la chambre. Maria, en appui sur ses mains et légèrement renversée sur l’arrière était assise, les cuisses sagement serrées ; elle souriait aux nouveaux venus. Philippe entama les salutations :
- Voilà, c’est Maria, je ne vous présente pas puisque vous la connaissez déjà elle et son mari d’ailleurs. Elle ne vous voit pas mais elle vous entend bien sûr. Soyez galants, si vous êtes gentils avec elle, elle sera encore plus gentille avec vous. Dites-lui bonjour et allez vous asseoir à coté d’elle.
- Bonjour Maria.
- Bonjour messieurs.
Numéro 1 et numéro 2 s’assirent de chaque coté d’elle, numéro 3 resta debout devant. Numéro 1 posa sa main sur le genou de son coté, Maria tourna la tête vers lui, toujours souriante. Elle montrait ainsi qu’elle était d’accord et qu’il pouvait aller plus loin. Le message fut bien compris par tout le monde.
Numéro 1 se pencha vers Maria et l’embrassa sur la bouche, sa langue joua avec celle de Maria avant que le baiser ne devienne plus torride. Numéro 2 ne voulut pas être en reste, il s’octroya le buste et pelota la poitrine, puis passa les mains sous la robe pour se saisir des seins et les extraire hors des vêtements ; il put alors les caresser, les embrasser et sucer les bouts tout à son aise. Pendant ce temps, Numéro 3 s’occupait du bas. Il s’était accroupit, avait doucement écarté les genoux et contemplait le petit triangle de tissu qui voilait à peine la partie la plus intime de la femme. Il suivait les lèvres entrouvertes, la fente humide du bout des doigts et avec le tranchant de la main réussissant à y insinuer le tissu de la petite culotte. L’effet était des plus torrides, la fente était ouverte, les lèvres nues et épilées semblaient boursouflées en ressortant de part et d’autre de la culotte.
Le caméraman promenait son objectif sur le corps de la femme, partait des ballerines, glissait le long des jambes gainées de bas noirs, traînait à la lisière des bas sur les cuisses nues, s’attardait sur ce que tout le monde voulait voir, un sexe épilé et ouvert par la petite culotte que Numéro 3 s’amusait à tirer vers le haut et vers le bas, le bouton d’amour rougi par le frottement du sous-vêtement semblait gonflé, puis on reprenait l’ascension en suivant les boutons de la robe rouge, on arrivait aux seins nus caressés et mangés par la bouche avide de Numéro 2, et après la poitrine, c’était la tête, serrée par les mains de Numéro 1 qui lui mangeait la bouche, qui jouait avec la langue agile, qui mordait les lèvres. Après on redescendait en oblique en suivant le bras droit pour constater que la main féminine avait ouvert ceinture et braguette, disparu dans le pantalon, et ressortait doucement du caleçon en branlant la belle queue qu’elle y avait trouvée. Les évènements commençaient à se précipiter, Numéro 2 proposa :
- Vous ne préférez pas qu’on la mette à poil ?
- Si, c’est une bonne idée.
- Moi aussi j’ai envie de savoir comment elle faite.
- Allez, ma jolie, montre nous tes trésors.
Six mains s’activèrent sur les boutons et la robe eut tôt fait de disparaître comme par enchantement, puis Maria souleva légèrement les fesses et releva les jambes le temps qu’on lui enlève sa petite culotte. Ce mouvement naturel me sembla très sensuel, c’était très excitant de constater qu’elle ne subissait rien, elle offrait tout. Elle apparut enfin en corset et bas noir. Quelqu’un avait eu la bonne idée de délacer le haut du corset pour libérer les petits nichons qui semblaient offerts sur un plateau.
Par coquetterie, Maria gardait ses cuisses bien serrées. Numéro 3 s’écria :
- Allez ma jolie, montre-nous comment tu es faite
- C’est ça, on a envie de voir ta petite chatte
- Sois mignonne, écarte les cuisses.
Les gestes suivirent ces paroles, deux mains écartèrent doucement les genoux ronds de la belle.
- Regardez-moi ça comme c’est mignon.
- Tu as une belle petite chatte dis donc.
- C’est gentil.
- C’est ton mari qui te demande de te raser la chatte ?
- Non, c’est moi.
- Et il ne dit rien ?
- Au contraire, il aime.
- Nous aussi, on aime.
- Merci.
- Une petite touffe en haut, et pas un poil pour gêner la queue, cette chatte est idéale.
Chacun pouvait aussi apprécier le minou épilé avec juste une petite touffe de poils bien taillés au dessus de la fente idéalement apprêtée pour l’amour. Quelqu’un demanda :
- On peut toucher ?
- Mon minou adore qu’on s’occupe de lui.
- Ça, ne t’inquiète pas, on va s’en occuper.
- Tant mieux.
Une main se mit à la caresser, à chatouiller le clitoris, un doigt, puis deux s’insinuèrent dans la fente, attaquèrent un va et vient langoureux sous les yeux des autres :
- Elle est trempée, la petite chérie.
- Philippe a raison, c’est une chaudasse.
- Tu vas voir, ma jolie, on va s’en occuper, de ta chatte.
- On va la gaver de saucisse.
- Si vous pouviez être doux ! Mon minou aime qu’on le traite avec tendresse.
- Pauvre petit minou, ça va être sa fête !
- Moi, j’ai envie de la démonter.
- Mais d’abord, laissez-moi lui bouffer la chatte.
Chacun reprit sa place et ses activités avec plus d’aise, Numéro 1 embrassant la bouche, Numéro 2 dévorant les seins, Numéro 3 mangeant le sexe. Ce dernier, après avoir longuement léché la moulette, agacé et branlé le clitoris, investi le con de tous ses doigts, s’était relevé et se déshabillait. Numéro 2 avait jugé qu’il avait mangé assez de mamelles pour la journée. Il sortit sa queue, de taille modeste, la posa sur les lèvres que son compagnon lui avait cédées et eut le bonheur de sentir son sexe happé par une bouche gourmande. Maria passait d’une queue à l’autre, tantôt branlant, tantôt butinant ou suçant avec ardeur, elle voulait s’occuper des deux membres, donner du plaisir. On avait presque oublié Numéro 3 qui venait de réapparaître dans le champ de la caméra, du moins sa queue avec son capuchon de latex qui n’eut pas à chercher longtemps l’entrée du paradis, et s’enfonça d’un coup dans le con avide. Numéro 3 était aux anges :
- Dites, les gars, si je vous téléphonais de quelque part en vous disant que je suis en train de baiser la femme de Bernard, vous me croiriez ?
- Certainement pas, j’aurai plutôt cru que tu étais en train de te branler devant sa photo.
- Moi non plus, pour moi, pour moi il n’y avait que Bernard qui baisait sa femme.
- Et pourtant, je suis entre ses cuisses, et je viens de lui planter ma queue au fond de la chatte.
- Moi j’ai l’impression de rêver quand je la vois sucer ma queue, d’ailleurs, elle est très douée pour la sucette, vous verrez.
- Si vous saviez comme elle est bonne, elle est souple et ouverte comme une mature, mais bien serrée comme une jeunette, un vrai régal.
- Laisse-en pour les copains.
Maria fut ainsi baisée une première fois, une queue dans le ventre, une autre dans la bouche et la troisième dans la main. Puis les deux autres la prirent chacun leur tour. Après, ce fut un vrai festival, Maria fut mise sur le dos, sur le ventre, à quatre pattes, empalée sur l’un, reprise par l’autre. On lui remplissait la bouche et le sexe jusqu’à ce que quelqu’un constate que Madame ne protestait nullement quand on s’occupait de son cul, quand on lui claquait les fesses ou qu’un ou plusieurs doigts furetaient dans le petit trou ; alors quand l’explorateur entreprit d’y introduire son sexe, comme il n’y eut ni protestations, ni cris, il la sodomisa tranquillement devant les yeux incrédules mais réjouis de ses compagnons. A quatre pattes, dans la position de la chienne en chaleur, Maria concentrait toutes les attentions sur son fessier. La caméra filmait en gros plan le cul qui semblait encore plus blanc à cause des sous-vêtements noirs, bas et corset qui rehaussaient l’image, la fente apparaissait ouverte du bas du dos jusqu'au pubis, les lèvres vaginales ne cachaient ni le clitoris violacé ni l’entrée du vagin plus sombre, le petit œil semblait bien noir. Avec ce gros cul, rond, charnu, bien gras, on avait envie de lui donner des tapes, de le voir rougir, on avait aussi envie de violer le petit trou, d’éclater la rondelle sombre. Alors elle eut droit à plusieurs fessées qui lui rougirent le cul, les mains claquaient assez fort pour lui faire mal mais les bites qu’elle suçait l’empêchaient de protester. Comme si cela ne suffisait pas, Numéro 3 éjacula dans la bouche et s’aperçut que Maria déglutissait pour avaler la semence. Le jeu consistait maintenant à lui pilonner le vagin ou le cul, quitter son préservatif pour venir vider ses couilles au fond de la gorge. Elle fut prise par devant, par derrière, par la bouche, par un, ou par deux mâles en même temps, puis même par les trois à la fois, bref, elle eut de très nombreux rapports, fut contrainte d’avaler de nombreuses giclées de foutre, se vit souiller et tartiner le dos, le visage, les cheveux. Cela dura jusqu’à épuisement des stocks de sperme et après une débauche d’énergie impressionnante.
L’homme à la petite bite, Numéro 2, s’avoua vaincu :
- Putain, je n’ai jamais tant baisé de ma vie, je suis vidé.
- Ça, on peut dire qu’elle a de l’appétit, la belle Maria !
- Je n’en reviens pas d’avoir baisé la femme d’un de mes amis, ça me parait incroyable.
- Je ne sais pas vous, mais moi j’ai quelques remords en pensant à lui.
- Moi aussi, c’est un brave type.
- Qu’est-ce que vous voulez, sa femme est trop bonne.
- Vous savez ce qu’on dit, il vaut mieux avoir des remords que des regrets.
- Moi, ça m’aurait fait chier que vous l’ayez tous baisée sauf moi.
- Pareil pour moi.
- Je vais vous laisser, ma femme va arriver et je dois aller la chercher à la gare.
- Amène-la ici si tu veux !
- Vous seriez déçus, ce n’est pas un bon coup.
- Alors salut.
- A une prochaine fois.
Numéro 2 alla se laver, s’habilla et sortit de la chambre en dix minutes qui permirent à chacun de faire une petite pause réparatrice. Maria semblait la plus en forme, allongée sur le dos, les yeux toujours bandés, elle semblait attendre une suite. Le premier à émerger fut Numéro 3. Il vint tout contre elle, la caressa, enfonça ses doigts dans la fente et la branla, puis se fit lécher les doigts. Puis il prit en main sa queue de taille honnête mais encore molassone et la promena sur le visage de Maria. Quand le gland se trouva sur les lèvres, la langue sortit, le lécha puis la queue passa en sens inverse et disparut presque entièrement dans la bouche. La coquine était très douée pour réveiller les organes fatigués, celui qu’elle travaillait avec ferveur eut bientôt fière allure. Numéro 3 avait sa petite idée en tête, il fit mettre Maria à quatre pattes et passa derrière elle. Il lui caressa la fente d’un orifice à l’autre, répartit le jus de sa chatte sur le petit trou. Il enfonça ses doigts dans les deux orifices offerts et trouva sans doute l’anus trop sec pour son goût car il écarta les fesses et cracha sur le petit trou. Maria savait ce qu’il voulait, elle ne s’étonna pas de sentir la queue s’enfoncer dans ses reins. Le cochon n’avait pas mis de préservatif, il voulait réellement la posséder, cela n’était pas du tout à mon goût, mais Maria aimait sentir la queue nue aller et venir dans son cul et Numéro 3 savourait particulièrement ce rapport :
- Tu aimes ça, on dirait.
- J’aime bien, c’est vrai. C’est meilleur quand on ne met pas de préservatif.
- Tu es folle, ça peut être dangereux !
- Rassure-toi, tu n’es pas le premier à me prendre comme ça.
- Et pas le dernier non plus, non ?
- J’espère que non.
- Tu savais que j’ai toujours fantasmé sur toi ?
- Non, bien sur que non, comment je l’aurais su.
- Et pourtant, je t’ai toujours trouvée très bandante. Tu portes souvent des minijupes, moi comme les autres je guettais le moindre de tes mouvements pour essayer de voir ta petite culotte.
- Ça par contre, je m’en suis aperçue. Vous êtes tous des petits cochons.
- J’ai beaucoup fantasmé sur ce qui se passait sous tes jupettes mais je pensais que tu étais une femme sérieuse.
- Et qu’est-ce qui a pu te faire changer d’avis ?
- J’ai vu Philippe te rouler une pelle en te mettant la main au cul sous les yeux de tout le monde, de la façon qu’il t’a pelotée, j’ai compris qu’il te sautait quand il voulait.
- Il m’avait dit que personne n’avait rien vu.
- Quand on veut préserver sa réputation, il faut être plus discrète.
- Je retiendrais la leçon.
- Ce jour-là, j’ai su qu’il n’y avait pas que ton mari qui fourrait ta petite chatte.
- Ce n’est pas parce qu’une femme mariée se laisse aller une fois ou deux qu’elle n’est pas sérieuse.
- Peut-être, mais ce n’est plus pareil, tu n’étais plus si fidèle que ça.
- Même si je ne l’avais trompé qu’une seule petite fois ?
- Pour moi, il y avait une ouverture, si tu trompais ton mari avec lui, tu pouvais bien faire la même chose avec moi.
- Alors je devenais une femme facile, une salope.
- Pas une salope, mais en plus d’être une belle plante sexy, je savais que tu étais chaude.
- Merci. Alors tu as eu envie de moi ?
- Je rêvais de te baiser comme Philippe. En plus, ton amant nous en a raconté de belles sur toi.
- Quoi, par exemple ?
- Que tu ne te contentais pas de te faire sauter de temps en temps, comme la plupart des femmes qui trompent leurs maris.
- Ah, non ?
- Il nous a dit que tu étais une petite vicieuse.
- Et tu l’as cru ?
- Il a des preuves, des photos.
- De moi ?
- De toi, oui, mais pas toute seule. Il en a plusieurs, où on te voit sucer, lui et un noir, entre autres.
- Il vous a montré ça ? Il m’avait promis de ne les montrer à personne.
- D’autres où tu te fais sauter. Il n’aurait jamais du vous les montrer.
- Comme on les voit te sauter l’un après l’autre, on sait aussi que tu aimes les partouzes.
- Il me fait passer pour une grosse salope.
- Alors moi aussi j’ai eu envie de t’enfiler.
- Tu vois tout arrive, toi aussi tu m’as sautée.
- Tu sais, je penserai à ce moment à chaque fois que je te verrai.
- Je prends ça comme un compliment.
- C’est un compliment, Philippe avait raison, tu es vraiment un bon coup.
- Merci.
- Et à chaque fois que je vous verrai ensemble, toi et ton mari, j’y penserai aussi.
- Laisse mon mari en dehors de ça, tu veux.
- A chaque fois que je vais le voir et lui serrer la main, j’aurais une furieuse envie de lui raconter comment j’ai enculé sa petite femme chérie.
- Ne fais pas ça, je t’en supplie.
- J’en aurais envie mais ce ne serait pas drôle. Ce sera bien meilleur de te regarder jouer les épouses vertueuses, te tenir sagement assise avec tes cuisses bien serrées alors qu’on est quatre ici à qui tu n’as plus rien à cacher. Et tout ça en te demandant lequel d’entre nous a vidé ses couilles dans ton cul.
- Je préfère ne jamais le savoir.
- Tu es sûre ? tu peux enlever ton bandeau, tu verras qui je suis.
- Je ne veux pas.
- Tu vas passer ta vie à guetter le moindre des faits et gestes des amis de ton mari, le moindre des regards pour essayer de le deviner.
- Non, je m’en fiche.
- Mais tu vas te poser la question tous les jours, tu ne pourras pas t’en empêcher.
- Tu as peut-être raison, mais je préfère ne pas savoir.
Numéro 3 accéléra la cadence, il la sodomisait comme une chienne, à grands coups de reins avec des « han » de bûcheron, d’une main il avait agrippé ses bourrelets à la ceinture et la tenait par la nuque de l’autre. Il se libéra dans les reins, comme un animal qui remplirait une femelle, en la tirant par les cheveux. Il avait assouvi son phantasme, enculer la femme qui était mariée avec un de ses amis intimes. Son forfait accompli, il essuya sa queue avec le drap et se leva. Lui aussi s’apprêta pour partir.
Il ne restait que Numéro 1. Assis sur le bord du lit, il avait assisté à l’accouplement sans bouger, sans doute fasciné comme moi par la bestialité du rapport, par la soumission de cette femme qui se acceptait tout. Il s’allongea contre Maria, la caressa et lui fit des câlins dans le cou et sur les seins. Sa douceur et sa tendresse étonnaient après la fureur bestiale et dominatrice de Numéro 3. Maria fut sensible à ses attentions, je sentais que celui qui ne demandait rien, qui n’imposait rien, obtiendrait tout d’elle. Elle l’enlaça et lui rendit ses baisers, puis se mit sur le dos en l’entraînant sur elle. Pour la première fois de la soirée, Maria faisait l’amour. Les cuisses bien écartées, elle caressa le membre presque raide, l’affermit encore en le décalottant et le branlant, le guida dans son ventre. Sexes et langues intimement imbriqués l’un dans l’autre, les deux partenaires s’embrassaient et se caressaient, le mâle ne bougeait pratiquement pas les reins tandis que la femme ondulait sous lui. Je connaissais Maria par cœur, et je voyais monter son désir, sa langue était occupée mais ses yeux et son corps parlaient à sa place. Numéro 1 faisait de son mieux pour la satisfaire, il la caressait partout, suçait les seins dont les pointes, excités par le plaisir, se tendaient à l’extrême. Maria se frottait sur le corps de son amant, elle croisa ses jambes sur le dos de son amant pour mieux lui offrir son ventre, se mit à lui caresser les cheveux et à lui mordiller les oreilles. Sa voix tremblait d’excitation :
- Baise-moi, mon chéri, baise-moi bien.
- Tu veux que je change, peut-être tu préfères être dessus.
- Non, c’est très bien comme ça, baise-moi comme ça, surtout ne t’arrête pas.
- Tu aimes ?
- C’est magnifique.
- C’est toi qui es magnifique.
- Merci, tu me baises très bien.
- Je voudrais tant te donner du plaisir.
- Tu es en train de me rendre folle.
- Moi aussi je deviens fou.
- Je t’en prie, résiste encore un peu.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, tu m’excites trop.
- Ne jouis pas encore.
- A propos, tu sais que je n’ai pas mis de préservatif ?
- Bien sur que je le sais, c’est bien meilleur sans.
- Ça ne te gêne pas si je décharge dans ton ventre ?
- Tu me plais trop, je veux que tu me donnes tout.
- Comment je peux te plaire, tu ne veux pas savoir qui je suis.
- Tu me plais, c’est tout, et je veux tout de toi. Je vais être à toi, ta femme, tu vas me posséder.
- Tu veux mon sperme ?
- Tout, je te dis. Je veux que tu inondes mon ventre de ta semence.
- Rien que l’idée, ça me rend fou.
- Maintenant, tu vas me baiser plus fort.
- Comme ça ?
- Encore plus fort.
- Je vais te faire mal.
- Non, n’aie pas peur, ma chatte en a vu d’autres.
- Tu aimes être violentée ?
- A la fin quand je suis très excitée, c’est ce que j’aime, être prise en force. Baise-moi, ne t’arrête pas.
- C’est de la folie.
- Prends-moi, envoie tout.
- Ça-y est, je décharge.
- Oh oui, c’est bon.
Et Maria cria son plaisir. J’avais beau réfléchir, elle avait eu d’innombrables rapports mais c’était son premier véritable orgasme de l’après-midi. Je n’avais entendu que des râles et des soupirs sortir de sa bouche, maintenant c’étaient de véritables cris de plaisir qui jaillissaient de sa gorge. Maria jouissait comme une folle, sans aucune retenue. Elle démontrait encore une fois qu’elle était une magnifique femelle faite pour l’amour et le plaisir. Je jurerais volontiers que Numéro 1 n’avait jamais possédé de femme comme elle, lui aussi était monté au septième ciel. Les deux amants s’écroulèrent l’un à coté de l’autre, Maria l’embrassa longuement avec tendresse et Numéro 1 se leva pour disparaître du champ. Maria resta quelque temps immobile, et finit par se relever sur ses coudes en demandant :
- Philippe, tu es là ?
- Bien sur, tu peux enlever ton bandeau, tout le monde est parti.
- D’accord.
Maria retrouva la vue, elle souriait. La caméra balaya une nouvelle fois son corps, des jambes aux cuisses, s’arrêta sur le sexe, remonta sur elle, détailla le visage et la bouche souriante, revint sur le sexe. Philippe passait des lèvres de la bouche aux lèvres du sexe, ouvertes par tant de luttes amoureuses, il ne manqua pas le filet de sperme qui s’échappait du vagin pour aller se mélanger à ce qui sortait de l’anus et souillait les draps, il venait de prouver à tout le monde comment on pouvait posséder la femme d’un autre, la posséder corps et âme au point d’en avoir fait son esclave sexuelle, une esclave ravie de son sort, prête à tout pour satisfaire son maître. Le maître ajouta :
- Je te présente Lucien, tu ne le connais pas encore.
- Non.
- Il a tout filmé, tu sais, c’est un petit chef d’œuvre de film de cul.
- Ah bon !
- Mais regarde dans quel état tu as mis le caméraman !
- Ce n’est pas de ma faute.
- Bien sur que si, maintenant, tu ne vas pas le laisser dans cet état.
- Comment ça ?
- Il bande comme un malade, tu vas lui faire une petite pipe pour le soulager.
- Tu me fais faire de drôles de choses.
- C’est toi qui veux les faire.
- Oui, c’est vrai.
- Tant qu’on y est, va te laver le cul, je vais te fourrer pendant que tu suces mon pote.
- Encore ? Mais tu m’as déjà prise avant que les autres n’arrivent.
- Peut-être, mais là, je n’en peux plus.
- Ça va être encore ma fête si je comprends bien.
- Tu es rodée maintenant.
- Je suis épuisée et vous allez m’achever. Je vais être morte en rentrant à la maison.
- Ne t’inquiète pas, ton mari va retrouver sa petite femme entière, on ne va rien casser.
- Ce n’est pas possible, il va s’apercevoir de quelque chose.
- Il a l’habitude, ne me dis pas qu’il ne s’aperçoit de rien quand il te passe dessus après Antoine.
- Il ne m’a jamais rien dit.
- Tu sais ce qu’on dit, qui ne dit mot consent.
- Ça je ne sais pas.
- Tu parles ! Il te défonce avec son énorme queue, il te remplit de foutre, alors il doit s’en apercevoir.
- C’est qu’il ne sait rien pour Antoine.
- Il croit peut-être que c’est moi le coupable.
- Je ne sais, tu sais, je ne la ramène pas trop avec ça.
- Il sait qu’il est cocu mais pas à quel point.
- Je préfère qu’il n’en sache pas trop.
- Il sait que sa femme aime la queue, mais il ne sait pas la longueur de saucisse que tu as prise.
- C’est à peu près ça, mais aujourd’hui, j’ai été trop loin.
- Mais non. Et s’il trouve que tu es plus ouverte que d’habitude, tu trouveras bien une explication.
- J’espère, je ne voudrais pas qu’il sache.
- C’est rien à coté des travaux qu’il va devoir faire chez vous.
- Les travaux ? Quels travaux ?
- Il est tellement cocu qu’avec ses cornes il ne va pas passer par les portes.
- Idiot ! C’est vrai qu’aujourd’hui, j’ai fait fort.
- Allez, prépare toi à prendre encore un peu de saucisses.
- Idiot !
Et le film s’arrêta là.
Quant à moi, le mari, sans doute avais-je eu un rapport, le soir même, après les autres, sans doute le con de mon épouse était-il plus trempé que d’habitude, sans doute avais-je trempé mon sexe dans une semence étrangère, mais je ne m’en étais pas rendu compte. Maria était toujours prête, bien disposée pour l’amour, prenait du plaisir avec moi et m’en donnait en retour, je n’en demandais pas plus. Le reste, je ne voulais pas le voir.
Je visionnai le film deux ou trois de suite pour tenter de reconnaître l’un ou l’autre des partenaires de l’hôtel mais, soit les images avaient été retouchées, soit le caméraman était très fort, on y reconnaissait que Maria, Maria de la tête aux pieds et dans les moindres détails de son anatomie, on la voyait sucer, baiser, se faire prendre par devant ou par derrière, mais jamais on ne distinguait le visage de ses partenaires. Il n’y avait qu’un détail, Numéro 3 avait une grosse tâche de naissance sur une fesse, si un jour je le voyais nu, alors je connaîtrai son identité. Ma femme s’en fichait, mais personnellement j’aurai voulu savoir.
Cela commence par un cadrage d’une belle chambre, sans doute une chambre d’hôtel de luxe, une grande baie vitrée très claire, une magnifique salle de bain et aussi un énorme lit. La qualité de l’image est professionnelle, le son et la musique sont excellents. Puis l’image se pose sur la vedette féminine avec des gros plans sur son visage, sa bouche, la caméra la montre de la tête aux pieds, se place au raz du sol et partant de ses ballerines, remonte le long de ses jambes gainées de bas noirs, ses cuisses, arrive à la robe rouge très courte, découvre la lisière des bas et le haut des cuisses nues sans en dévoiler plus, puis suit la robe rouge jusqu’à la poitrine, s’arrête à nouveau sur les lèvres. Puis l’image recule jusqu’à embrasser presque toute la pièce et Philippe entre en scène.
Philippe la prit dans ses bras et l’embrassa en s’amusant à jouer avec la langue de Maria devant la caméra, les lèvres se touchant, les langues s’emmêlant et s’enroulant l’une avec l’autre. Puis il passa derrière elle, l’embrassa dans le cou, la caressa en insistant sur les seins dont il fit bander les bouts. Maria se laissait faire, elle avait passé le bras en arrière et lui caressait les cheveux. Puis Philippe demanda :
- Bonjour, ma jolie. Dis-nous comment tu t’appelles.
- Maria, tu sais bien.
- Moi oui, mais tous nos amis veulent te connaître. Tu vis seule ?
- Non, je suis mariée.
- Et tu l’aimes ton mari ?
- Oui bien sur.
- Il sait que tu es là ?
- Ne dis pas de bêtises, non, il ne serait pas très content.
- Il sait que je te baise ?
- Ça, il le sait, tu lui as dit toi-même.
- Et il sait que tu le trompes presque tous les jours ?
- Non, je ne peux pas tout lui dire.
- Et pour aujourd’hui ?
- J’espère qu’il ne le saura jamais.
- Pourquoi ?
- Je ne veux pas lui faire de la peine.
- Et pourquoi tu es venue alors ?
- Parce que j’en ai envie.
- Tu vas encore tromper ton mari.
- Oui, un peu.
- Beaucoup plutôt qu’un peu, tu sais qu’il y a beaucoup de monde qui va te baiser.
- Tu me l’as dit, oui.
- Et tu veux essayer avec plusieurs ?
- Je voudrais aller avec plusieurs hommes, oui c’est vrai, j’ai honte mais c’est vrai.
- Tu m’as dit que tu aurais moins honte si tu ne sais pas avec qui tu baises.
- Oui, c’est vrai, j’aurais moins honte de le faire sans savoir avec qui.
- Même si, eux, te connaissent ?
- Tant pis, oui.
- Ils te connaissent, connaissent ton mari, et ils vont te baiser sans que toi tu saches qui ils sont, tu es d’accord ?
- Oui, je veux bien aller avec eux.
- En plus, tu sais qu’il y a quelqu’un qui va tout filmer.
- Tu me l’as dit, mais je ne sais pas si c’est bien.
- Mais si, ça fera un bon souvenir. Combien de mecs tu veux te faire ?
- Je ne sais pas, au moins deux.
- Ils sont trois, ça va ?
- C’est super.
- Alors, on y va ?
- D’accord, on le fait.
- Tu vas mettre ce bandeau sur tes yeux
- D’accord, je le mets.
- Tu ne vois plus rien ?
- Non, c’est le noir complet, s’il te plait, vérifie s’il ne peut pas tomber.
- Non, c’est bon, tu l’as bien serré. Viens, tu vas t’asseoir sur le lit.
- D’accord, donne-moi la main pour me guider.
- Voila, tu es prête ?
- Je suis prête.
- Prête à tout ?
- A beaucoup de choses, oui.
- De choses cochonnes ?
- Je vais être très cochonne.
- Je veux être fier de toi.
- Tu ne vas pas être déçus et eux non plus.
- On les fait entrer ?
- Je les attends.
Et Philippe ouvrit la porte derrière laquelle attendaient les trois hommes qui pénétrèrent dans la chambre.
Et Philippe ouvrit la porte derrière laquelle attendaient les trois hommes qui pénétrèrent dans la chambre. Maria, en appui sur ses mains et légèrement renversée sur l’arrière était assise, les cuisses sagement serrées ; elle souriait aux nouveaux venus. Philippe entama les salutations :
- Voilà, c’est Maria, je ne vous présente pas puisque vous la connaissez déjà elle et son mari d’ailleurs. Elle ne vous voit pas mais elle vous entend bien sûr. Soyez galants, si vous êtes gentils avec elle, elle sera encore plus gentille avec vous. Dites-lui bonjour et allez vous asseoir à coté d’elle.
- Bonjour Maria.
- Bonjour messieurs.
Numéro 1 et numéro 2 s’assirent de chaque coté d’elle, numéro 3 resta debout devant. Numéro 1 posa sa main sur le genou de son coté, Maria tourna la tête vers lui, toujours souriante. Elle montrait ainsi qu’elle était d’accord et qu’il pouvait aller plus loin. Le message fut bien compris par tout le monde.
Numéro 1 se pencha vers Maria et l’embrassa sur la bouche, sa langue joua avec celle de Maria avant que le baiser ne devienne plus torride. Numéro 2 ne voulut pas être en reste, il s’octroya le buste et pelota la poitrine, puis passa les mains sous la robe pour se saisir des seins et les extraire hors des vêtements ; il put alors les caresser, les embrasser et sucer les bouts tout à son aise. Pendant ce temps, Numéro 3 s’occupait du bas. Il s’était accroupit, avait doucement écarté les genoux et contemplait le petit triangle de tissu qui voilait à peine la partie la plus intime de la femme. Il suivait les lèvres entrouvertes, la fente humide du bout des doigts et avec le tranchant de la main réussissant à y insinuer le tissu de la petite culotte. L’effet était des plus torrides, la fente était ouverte, les lèvres nues et épilées semblaient boursouflées en ressortant de part et d’autre de la culotte.
Le caméraman promenait son objectif sur le corps de la femme, partait des ballerines, glissait le long des jambes gainées de bas noirs, traînait à la lisière des bas sur les cuisses nues, s’attardait sur ce que tout le monde voulait voir, un sexe épilé et ouvert par la petite culotte que Numéro 3 s’amusait à tirer vers le haut et vers le bas, le bouton d’amour rougi par le frottement du sous-vêtement semblait gonflé, puis on reprenait l’ascension en suivant les boutons de la robe rouge, on arrivait aux seins nus caressés et mangés par la bouche avide de Numéro 2, et après la poitrine, c’était la tête, serrée par les mains de Numéro 1 qui lui mangeait la bouche, qui jouait avec la langue agile, qui mordait les lèvres. Après on redescendait en oblique en suivant le bras droit pour constater que la main féminine avait ouvert ceinture et braguette, disparu dans le pantalon, et ressortait doucement du caleçon en branlant la belle queue qu’elle y avait trouvée. Les évènements commençaient à se précipiter, Numéro 2 proposa :
- Vous ne préférez pas qu’on la mette à poil ?
- Si, c’est une bonne idée.
- Moi aussi j’ai envie de savoir comment elle faite.
- Allez, ma jolie, montre nous tes trésors.
Six mains s’activèrent sur les boutons et la robe eut tôt fait de disparaître comme par enchantement, puis Maria souleva légèrement les fesses et releva les jambes le temps qu’on lui enlève sa petite culotte. Ce mouvement naturel me sembla très sensuel, c’était très excitant de constater qu’elle ne subissait rien, elle offrait tout. Elle apparut enfin en corset et bas noir. Quelqu’un avait eu la bonne idée de délacer le haut du corset pour libérer les petits nichons qui semblaient offerts sur un plateau.
Par coquetterie, Maria gardait ses cuisses bien serrées. Numéro 3 s’écria :
- Allez ma jolie, montre-nous comment tu es faite
- C’est ça, on a envie de voir ta petite chatte
- Sois mignonne, écarte les cuisses.
Les gestes suivirent ces paroles, deux mains écartèrent doucement les genoux ronds de la belle.
- Regardez-moi ça comme c’est mignon.
- Tu as une belle petite chatte dis donc.
- C’est gentil.
- C’est ton mari qui te demande de te raser la chatte ?
- Non, c’est moi.
- Et il ne dit rien ?
- Au contraire, il aime.
- Nous aussi, on aime.
- Merci.
- Une petite touffe en haut, et pas un poil pour gêner la queue, cette chatte est idéale.
Chacun pouvait aussi apprécier le minou épilé avec juste une petite touffe de poils bien taillés au dessus de la fente idéalement apprêtée pour l’amour. Quelqu’un demanda :
- On peut toucher ?
- Mon minou adore qu’on s’occupe de lui.
- Ça, ne t’inquiète pas, on va s’en occuper.
- Tant mieux.
Une main se mit à la caresser, à chatouiller le clitoris, un doigt, puis deux s’insinuèrent dans la fente, attaquèrent un va et vient langoureux sous les yeux des autres :
- Elle est trempée, la petite chérie.
- Philippe a raison, c’est une chaudasse.
- Tu vas voir, ma jolie, on va s’en occuper, de ta chatte.
- On va la gaver de saucisse.
- Si vous pouviez être doux ! Mon minou aime qu’on le traite avec tendresse.
- Pauvre petit minou, ça va être sa fête !
- Moi, j’ai envie de la démonter.
- Mais d’abord, laissez-moi lui bouffer la chatte.
Chacun reprit sa place et ses activités avec plus d’aise, Numéro 1 embrassant la bouche, Numéro 2 dévorant les seins, Numéro 3 mangeant le sexe. Ce dernier, après avoir longuement léché la moulette, agacé et branlé le clitoris, investi le con de tous ses doigts, s’était relevé et se déshabillait. Numéro 2 avait jugé qu’il avait mangé assez de mamelles pour la journée. Il sortit sa queue, de taille modeste, la posa sur les lèvres que son compagnon lui avait cédées et eut le bonheur de sentir son sexe happé par une bouche gourmande. Maria passait d’une queue à l’autre, tantôt branlant, tantôt butinant ou suçant avec ardeur, elle voulait s’occuper des deux membres, donner du plaisir. On avait presque oublié Numéro 3 qui venait de réapparaître dans le champ de la caméra, du moins sa queue avec son capuchon de latex qui n’eut pas à chercher longtemps l’entrée du paradis, et s’enfonça d’un coup dans le con avide. Numéro 3 était aux anges :
- Dites, les gars, si je vous téléphonais de quelque part en vous disant que je suis en train de baiser la femme de Bernard, vous me croiriez ?
- Certainement pas, j’aurai plutôt cru que tu étais en train de te branler devant sa photo.
- Moi non plus, pour moi, pour moi il n’y avait que Bernard qui baisait sa femme.
- Et pourtant, je suis entre ses cuisses, et je viens de lui planter ma queue au fond de la chatte.
- Moi j’ai l’impression de rêver quand je la vois sucer ma queue, d’ailleurs, elle est très douée pour la sucette, vous verrez.
- Si vous saviez comme elle est bonne, elle est souple et ouverte comme une mature, mais bien serrée comme une jeunette, un vrai régal.
- Laisse-en pour les copains.
Maria fut ainsi baisée une première fois, une queue dans le ventre, une autre dans la bouche et la troisième dans la main. Puis les deux autres la prirent chacun leur tour. Après, ce fut un vrai festival, Maria fut mise sur le dos, sur le ventre, à quatre pattes, empalée sur l’un, reprise par l’autre. On lui remplissait la bouche et le sexe jusqu’à ce que quelqu’un constate que Madame ne protestait nullement quand on s’occupait de son cul, quand on lui claquait les fesses ou qu’un ou plusieurs doigts furetaient dans le petit trou ; alors quand l’explorateur entreprit d’y introduire son sexe, comme il n’y eut ni protestations, ni cris, il la sodomisa tranquillement devant les yeux incrédules mais réjouis de ses compagnons. A quatre pattes, dans la position de la chienne en chaleur, Maria concentrait toutes les attentions sur son fessier. La caméra filmait en gros plan le cul qui semblait encore plus blanc à cause des sous-vêtements noirs, bas et corset qui rehaussaient l’image, la fente apparaissait ouverte du bas du dos jusqu'au pubis, les lèvres vaginales ne cachaient ni le clitoris violacé ni l’entrée du vagin plus sombre, le petit œil semblait bien noir. Avec ce gros cul, rond, charnu, bien gras, on avait envie de lui donner des tapes, de le voir rougir, on avait aussi envie de violer le petit trou, d’éclater la rondelle sombre. Alors elle eut droit à plusieurs fessées qui lui rougirent le cul, les mains claquaient assez fort pour lui faire mal mais les bites qu’elle suçait l’empêchaient de protester. Comme si cela ne suffisait pas, Numéro 3 éjacula dans la bouche et s’aperçut que Maria déglutissait pour avaler la semence. Le jeu consistait maintenant à lui pilonner le vagin ou le cul, quitter son préservatif pour venir vider ses couilles au fond de la gorge. Elle fut prise par devant, par derrière, par la bouche, par un, ou par deux mâles en même temps, puis même par les trois à la fois, bref, elle eut de très nombreux rapports, fut contrainte d’avaler de nombreuses giclées de foutre, se vit souiller et tartiner le dos, le visage, les cheveux. Cela dura jusqu’à épuisement des stocks de sperme et après une débauche d’énergie impressionnante.
L’homme à la petite bite, Numéro 2, s’avoua vaincu :
- Putain, je n’ai jamais tant baisé de ma vie, je suis vidé.
- Ça, on peut dire qu’elle a de l’appétit, la belle Maria !
- Je n’en reviens pas d’avoir baisé la femme d’un de mes amis, ça me parait incroyable.
- Je ne sais pas vous, mais moi j’ai quelques remords en pensant à lui.
- Moi aussi, c’est un brave type.
- Qu’est-ce que vous voulez, sa femme est trop bonne.
- Vous savez ce qu’on dit, il vaut mieux avoir des remords que des regrets.
- Moi, ça m’aurait fait chier que vous l’ayez tous baisée sauf moi.
- Pareil pour moi.
- Je vais vous laisser, ma femme va arriver et je dois aller la chercher à la gare.
- Amène-la ici si tu veux !
- Vous seriez déçus, ce n’est pas un bon coup.
- Alors salut.
- A une prochaine fois.
Numéro 2 alla se laver, s’habilla et sortit de la chambre en dix minutes qui permirent à chacun de faire une petite pause réparatrice. Maria semblait la plus en forme, allongée sur le dos, les yeux toujours bandés, elle semblait attendre une suite. Le premier à émerger fut Numéro 3. Il vint tout contre elle, la caressa, enfonça ses doigts dans la fente et la branla, puis se fit lécher les doigts. Puis il prit en main sa queue de taille honnête mais encore molassone et la promena sur le visage de Maria. Quand le gland se trouva sur les lèvres, la langue sortit, le lécha puis la queue passa en sens inverse et disparut presque entièrement dans la bouche. La coquine était très douée pour réveiller les organes fatigués, celui qu’elle travaillait avec ferveur eut bientôt fière allure. Numéro 3 avait sa petite idée en tête, il fit mettre Maria à quatre pattes et passa derrière elle. Il lui caressa la fente d’un orifice à l’autre, répartit le jus de sa chatte sur le petit trou. Il enfonça ses doigts dans les deux orifices offerts et trouva sans doute l’anus trop sec pour son goût car il écarta les fesses et cracha sur le petit trou. Maria savait ce qu’il voulait, elle ne s’étonna pas de sentir la queue s’enfoncer dans ses reins. Le cochon n’avait pas mis de préservatif, il voulait réellement la posséder, cela n’était pas du tout à mon goût, mais Maria aimait sentir la queue nue aller et venir dans son cul et Numéro 3 savourait particulièrement ce rapport :
- Tu aimes ça, on dirait.
- J’aime bien, c’est vrai. C’est meilleur quand on ne met pas de préservatif.
- Tu es folle, ça peut être dangereux !
- Rassure-toi, tu n’es pas le premier à me prendre comme ça.
- Et pas le dernier non plus, non ?
- J’espère que non.
- Tu savais que j’ai toujours fantasmé sur toi ?
- Non, bien sur que non, comment je l’aurais su.
- Et pourtant, je t’ai toujours trouvée très bandante. Tu portes souvent des minijupes, moi comme les autres je guettais le moindre de tes mouvements pour essayer de voir ta petite culotte.
- Ça par contre, je m’en suis aperçue. Vous êtes tous des petits cochons.
- J’ai beaucoup fantasmé sur ce qui se passait sous tes jupettes mais je pensais que tu étais une femme sérieuse.
- Et qu’est-ce qui a pu te faire changer d’avis ?
- J’ai vu Philippe te rouler une pelle en te mettant la main au cul sous les yeux de tout le monde, de la façon qu’il t’a pelotée, j’ai compris qu’il te sautait quand il voulait.
- Il m’avait dit que personne n’avait rien vu.
- Quand on veut préserver sa réputation, il faut être plus discrète.
- Je retiendrais la leçon.
- Ce jour-là, j’ai su qu’il n’y avait pas que ton mari qui fourrait ta petite chatte.
- Ce n’est pas parce qu’une femme mariée se laisse aller une fois ou deux qu’elle n’est pas sérieuse.
- Peut-être, mais ce n’est plus pareil, tu n’étais plus si fidèle que ça.
- Même si je ne l’avais trompé qu’une seule petite fois ?
- Pour moi, il y avait une ouverture, si tu trompais ton mari avec lui, tu pouvais bien faire la même chose avec moi.
- Alors je devenais une femme facile, une salope.
- Pas une salope, mais en plus d’être une belle plante sexy, je savais que tu étais chaude.
- Merci. Alors tu as eu envie de moi ?
- Je rêvais de te baiser comme Philippe. En plus, ton amant nous en a raconté de belles sur toi.
- Quoi, par exemple ?
- Que tu ne te contentais pas de te faire sauter de temps en temps, comme la plupart des femmes qui trompent leurs maris.
- Ah, non ?
- Il nous a dit que tu étais une petite vicieuse.
- Et tu l’as cru ?
- Il a des preuves, des photos.
- De moi ?
- De toi, oui, mais pas toute seule. Il en a plusieurs, où on te voit sucer, lui et un noir, entre autres.
- Il vous a montré ça ? Il m’avait promis de ne les montrer à personne.
- D’autres où tu te fais sauter. Il n’aurait jamais du vous les montrer.
- Comme on les voit te sauter l’un après l’autre, on sait aussi que tu aimes les partouzes.
- Il me fait passer pour une grosse salope.
- Alors moi aussi j’ai eu envie de t’enfiler.
- Tu vois tout arrive, toi aussi tu m’as sautée.
- Tu sais, je penserai à ce moment à chaque fois que je te verrai.
- Je prends ça comme un compliment.
- C’est un compliment, Philippe avait raison, tu es vraiment un bon coup.
- Merci.
- Et à chaque fois que je vous verrai ensemble, toi et ton mari, j’y penserai aussi.
- Laisse mon mari en dehors de ça, tu veux.
- A chaque fois que je vais le voir et lui serrer la main, j’aurais une furieuse envie de lui raconter comment j’ai enculé sa petite femme chérie.
- Ne fais pas ça, je t’en supplie.
- J’en aurais envie mais ce ne serait pas drôle. Ce sera bien meilleur de te regarder jouer les épouses vertueuses, te tenir sagement assise avec tes cuisses bien serrées alors qu’on est quatre ici à qui tu n’as plus rien à cacher. Et tout ça en te demandant lequel d’entre nous a vidé ses couilles dans ton cul.
- Je préfère ne jamais le savoir.
- Tu es sûre ? tu peux enlever ton bandeau, tu verras qui je suis.
- Je ne veux pas.
- Tu vas passer ta vie à guetter le moindre des faits et gestes des amis de ton mari, le moindre des regards pour essayer de le deviner.
- Non, je m’en fiche.
- Mais tu vas te poser la question tous les jours, tu ne pourras pas t’en empêcher.
- Tu as peut-être raison, mais je préfère ne pas savoir.
Numéro 3 accéléra la cadence, il la sodomisait comme une chienne, à grands coups de reins avec des « han » de bûcheron, d’une main il avait agrippé ses bourrelets à la ceinture et la tenait par la nuque de l’autre. Il se libéra dans les reins, comme un animal qui remplirait une femelle, en la tirant par les cheveux. Il avait assouvi son phantasme, enculer la femme qui était mariée avec un de ses amis intimes. Son forfait accompli, il essuya sa queue avec le drap et se leva. Lui aussi s’apprêta pour partir.
Il ne restait que Numéro 1. Assis sur le bord du lit, il avait assisté à l’accouplement sans bouger, sans doute fasciné comme moi par la bestialité du rapport, par la soumission de cette femme qui se acceptait tout. Il s’allongea contre Maria, la caressa et lui fit des câlins dans le cou et sur les seins. Sa douceur et sa tendresse étonnaient après la fureur bestiale et dominatrice de Numéro 3. Maria fut sensible à ses attentions, je sentais que celui qui ne demandait rien, qui n’imposait rien, obtiendrait tout d’elle. Elle l’enlaça et lui rendit ses baisers, puis se mit sur le dos en l’entraînant sur elle. Pour la première fois de la soirée, Maria faisait l’amour. Les cuisses bien écartées, elle caressa le membre presque raide, l’affermit encore en le décalottant et le branlant, le guida dans son ventre. Sexes et langues intimement imbriqués l’un dans l’autre, les deux partenaires s’embrassaient et se caressaient, le mâle ne bougeait pratiquement pas les reins tandis que la femme ondulait sous lui. Je connaissais Maria par cœur, et je voyais monter son désir, sa langue était occupée mais ses yeux et son corps parlaient à sa place. Numéro 1 faisait de son mieux pour la satisfaire, il la caressait partout, suçait les seins dont les pointes, excités par le plaisir, se tendaient à l’extrême. Maria se frottait sur le corps de son amant, elle croisa ses jambes sur le dos de son amant pour mieux lui offrir son ventre, se mit à lui caresser les cheveux et à lui mordiller les oreilles. Sa voix tremblait d’excitation :
- Baise-moi, mon chéri, baise-moi bien.
- Tu veux que je change, peut-être tu préfères être dessus.
- Non, c’est très bien comme ça, baise-moi comme ça, surtout ne t’arrête pas.
- Tu aimes ?
- C’est magnifique.
- C’est toi qui es magnifique.
- Merci, tu me baises très bien.
- Je voudrais tant te donner du plaisir.
- Tu es en train de me rendre folle.
- Moi aussi je deviens fou.
- Je t’en prie, résiste encore un peu.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, tu m’excites trop.
- Ne jouis pas encore.
- A propos, tu sais que je n’ai pas mis de préservatif ?
- Bien sur que je le sais, c’est bien meilleur sans.
- Ça ne te gêne pas si je décharge dans ton ventre ?
- Tu me plais trop, je veux que tu me donnes tout.
- Comment je peux te plaire, tu ne veux pas savoir qui je suis.
- Tu me plais, c’est tout, et je veux tout de toi. Je vais être à toi, ta femme, tu vas me posséder.
- Tu veux mon sperme ?
- Tout, je te dis. Je veux que tu inondes mon ventre de ta semence.
- Rien que l’idée, ça me rend fou.
- Maintenant, tu vas me baiser plus fort.
- Comme ça ?
- Encore plus fort.
- Je vais te faire mal.
- Non, n’aie pas peur, ma chatte en a vu d’autres.
- Tu aimes être violentée ?
- A la fin quand je suis très excitée, c’est ce que j’aime, être prise en force. Baise-moi, ne t’arrête pas.
- C’est de la folie.
- Prends-moi, envoie tout.
- Ça-y est, je décharge.
- Oh oui, c’est bon.
Et Maria cria son plaisir. J’avais beau réfléchir, elle avait eu d’innombrables rapports mais c’était son premier véritable orgasme de l’après-midi. Je n’avais entendu que des râles et des soupirs sortir de sa bouche, maintenant c’étaient de véritables cris de plaisir qui jaillissaient de sa gorge. Maria jouissait comme une folle, sans aucune retenue. Elle démontrait encore une fois qu’elle était une magnifique femelle faite pour l’amour et le plaisir. Je jurerais volontiers que Numéro 1 n’avait jamais possédé de femme comme elle, lui aussi était monté au septième ciel. Les deux amants s’écroulèrent l’un à coté de l’autre, Maria l’embrassa longuement avec tendresse et Numéro 1 se leva pour disparaître du champ. Maria resta quelque temps immobile, et finit par se relever sur ses coudes en demandant :
- Philippe, tu es là ?
- Bien sur, tu peux enlever ton bandeau, tout le monde est parti.
- D’accord.
Maria retrouva la vue, elle souriait. La caméra balaya une nouvelle fois son corps, des jambes aux cuisses, s’arrêta sur le sexe, remonta sur elle, détailla le visage et la bouche souriante, revint sur le sexe. Philippe passait des lèvres de la bouche aux lèvres du sexe, ouvertes par tant de luttes amoureuses, il ne manqua pas le filet de sperme qui s’échappait du vagin pour aller se mélanger à ce qui sortait de l’anus et souillait les draps, il venait de prouver à tout le monde comment on pouvait posséder la femme d’un autre, la posséder corps et âme au point d’en avoir fait son esclave sexuelle, une esclave ravie de son sort, prête à tout pour satisfaire son maître. Le maître ajouta :
- Je te présente Lucien, tu ne le connais pas encore.
- Non.
- Il a tout filmé, tu sais, c’est un petit chef d’œuvre de film de cul.
- Ah bon !
- Mais regarde dans quel état tu as mis le caméraman !
- Ce n’est pas de ma faute.
- Bien sur que si, maintenant, tu ne vas pas le laisser dans cet état.
- Comment ça ?
- Il bande comme un malade, tu vas lui faire une petite pipe pour le soulager.
- Tu me fais faire de drôles de choses.
- C’est toi qui veux les faire.
- Oui, c’est vrai.
- Tant qu’on y est, va te laver le cul, je vais te fourrer pendant que tu suces mon pote.
- Encore ? Mais tu m’as déjà prise avant que les autres n’arrivent.
- Peut-être, mais là, je n’en peux plus.
- Ça va être encore ma fête si je comprends bien.
- Tu es rodée maintenant.
- Je suis épuisée et vous allez m’achever. Je vais être morte en rentrant à la maison.
- Ne t’inquiète pas, ton mari va retrouver sa petite femme entière, on ne va rien casser.
- Ce n’est pas possible, il va s’apercevoir de quelque chose.
- Il a l’habitude, ne me dis pas qu’il ne s’aperçoit de rien quand il te passe dessus après Antoine.
- Il ne m’a jamais rien dit.
- Tu sais ce qu’on dit, qui ne dit mot consent.
- Ça je ne sais pas.
- Tu parles ! Il te défonce avec son énorme queue, il te remplit de foutre, alors il doit s’en apercevoir.
- C’est qu’il ne sait rien pour Antoine.
- Il croit peut-être que c’est moi le coupable.
- Je ne sais, tu sais, je ne la ramène pas trop avec ça.
- Il sait qu’il est cocu mais pas à quel point.
- Je préfère qu’il n’en sache pas trop.
- Il sait que sa femme aime la queue, mais il ne sait pas la longueur de saucisse que tu as prise.
- C’est à peu près ça, mais aujourd’hui, j’ai été trop loin.
- Mais non. Et s’il trouve que tu es plus ouverte que d’habitude, tu trouveras bien une explication.
- J’espère, je ne voudrais pas qu’il sache.
- C’est rien à coté des travaux qu’il va devoir faire chez vous.
- Les travaux ? Quels travaux ?
- Il est tellement cocu qu’avec ses cornes il ne va pas passer par les portes.
- Idiot ! C’est vrai qu’aujourd’hui, j’ai fait fort.
- Allez, prépare toi à prendre encore un peu de saucisses.
- Idiot !
Et le film s’arrêta là.
Quant à moi, le mari, sans doute avais-je eu un rapport, le soir même, après les autres, sans doute le con de mon épouse était-il plus trempé que d’habitude, sans doute avais-je trempé mon sexe dans une semence étrangère, mais je ne m’en étais pas rendu compte. Maria était toujours prête, bien disposée pour l’amour, prenait du plaisir avec moi et m’en donnait en retour, je n’en demandais pas plus. Le reste, je ne voulais pas le voir.
Je visionnai le film deux ou trois de suite pour tenter de reconnaître l’un ou l’autre des partenaires de l’hôtel mais, soit les images avaient été retouchées, soit le caméraman était très fort, on y reconnaissait que Maria, Maria de la tête aux pieds et dans les moindres détails de son anatomie, on la voyait sucer, baiser, se faire prendre par devant ou par derrière, mais jamais on ne distinguait le visage de ses partenaires. Il n’y avait qu’un détail, Numéro 3 avait une grosse tâche de naissance sur une fesse, si un jour je le voyais nu, alors je connaîtrai son identité. Ma femme s’en fichait, mais personnellement j’aurai voulu savoir.
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