12.07.1997 2ème partie
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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12.07.1997 2ème partie
Samedi 12.07.1997
Chapitre 8 : Quand tout part de travers
— Je ne veux pas la faire comme dans les films où je me dois mettre genoux à terre et faire ma demande... Je profite de cette occaz pour vous prendre à témoin et demander officieusement ta main chère Caline en attendant d'officialiser mon geste avec toute mon équipe auprès de tes géniteurs... Madame Caline... Voulez vous être la femme de mon cœur, mon épouse que je chérirerai, aimerai et ferai tout mon possible pour la rendre heureuse ?
Les larmes aux yeux, Caline ne sait que répondre. M'approchant d'elle, prennant ses mains dans les miens je lui dis :
— Caline... Tu as illuminé ma vie depuis que je t'ai vu à l'aéroport, j'ai appris à te connaître et je sais qu'il n'y a que toi et uniquement toi qui pourra me rendre heureux et avec qui je veux partager mes secrets !
— Hamed... Tu... Tu... Je veux... Oui... Je veux finir ma vie dans tes bras, je veux partager les bons et les mauvais moments avec toi... Et rien qu'avec toi !
Tous se sont mis debout pour manifester leurs joies à cette nouvelle et à cette réponse favorable de la part de l'interessée, qui m'offre ses lèvres pour un tendre et long baiser qui ferait bander un eunuque.
Ma mère, tout sourire, revient de la cuisine avec une bouteille de champagne.
— Que cette future union soit longue, heureuse et incassable ! Trinquons ! Dit-elle
L'euphorie collective nous a pris. Nous vidons verre après verre. Quand la seconde bouteille fut vidée, nous nous sommes dirigés vers le patio. Chacun y va de ses blagues à propos des couples mariés et elles (les blagues) deviennent progressivement hots.
Après avoir bien ri, mes frères et moi laissions tomber le seul vêtement qui nous habille pour sauter dans le bassin suivi par notre mère.
Caline et mon père ont pris place sur deux transats côte à côte, un verre de Whisky à la main en nous regardant patoger et à jouer comme des ados.
À peine vidé, que mon père réapprovisionne le verre de Caline en forçant un peu (beaucoup) sur la dose qui, comme il le souhaite, est un facteur déclencheur de ľhilarité de la demoiselle, brisant les limites morales que son éducation lui impose. Ne me demandez pas quelles sont ses et ces limites ?
Malgré les bruits qu'on fait dans le bassin, j'entends mon père dire :
— Je suis fier de mon fils... Tu es mignonne à croquer... Et... Si j’avais quelques années de moins...
— Je vous aurai peut-être donné votre chance ! Répond Caline avec une petite pointe... D’ironie ? De coquetterie ?
Je m’interpose entre les deux, un peu amusé mais surtout jaloux.
— Désolé papa... Premier venu, premier servi !
— Oh mon chéri... Tu es jaloux de snton papa ? S'escalffe Caline.
— Si tu crois que je suis jaloux, viens piquer une tête !
À peine ai-je fini ma phrase qu'elle saute debout et en moins de temps pour le dire, elle se défait de sa robe, sous le regard incrédule de l'assistance. Vacillante elle s'avance doucement vers nous. Cette démarche nous indique le réel état de sobriété de ma chérie. Je vois dans les yeux de mes frères l'admiration qu'ils ont pour cette, pour ma, déesse. J'en suis plus que fier, plus que ravi et très honnoré que cette miss aura mon nom gravé dans son cœur pour toujours.
Depuis que je fréquante Caline, je n'ai jamais eu la chance et le plaisir de la voir aussi coquine. S'assayant sur le bord du bassin, elle présente à nos yeux une vie imprenable de sa chatte toute lisse.
Je ne peux pas exclure que la position qu'elle a prise, ne puisse pas faire le même effet à mes frères et à moi... Moi je bande comme un âne, alors je m'imagine qu'il en est de même avec mes frères.
Avec grande délicatesse, Halim offre sa main, invitant sa future belle-sœur à sauter dans ce bassin, qui ne peut plus cacher l'excitation que nos sexes démontre. La tenant par les hanches, mon frère s'assure que ľimmersion, de ce corps envoutant, ce fasse sans trop de soucis. Ils se tiennent face à face. Soutenant mon regard, elle approche ses lèvres de ceux de mon frère, qui ne tardent pas à se souder dans un passionnant baiser qui ne peut être ignoré par les anges tellement le silence qui pèse à ce moment-là est à couper le souffle.
— Alors heureuse... Tu as enfin la réponse à ta question ? Je ne suis pas jaloux puisque je sais que seul mon nom est, sera, à jamais gravé dans ton cœur... Tu peux embrasser qui tu veux, baiser avec qui tu veux, je sais qu'il n'y a que moi que tu aimeras, tout comme moi, il n'y a que toi qui pourra me faire jouir !
— Même pas moi ? M'apostrophe ma mère en se collant à mon dos.
— Physiquement, vous pouvez tous me faire jouir, mais mentalement, seule Caline réussira l'examen !
— Attends... Si j'ai bien compris... Tu viens de m’avouer que cela t’excitera que je me balade nue devant des mecs, que je me fasse baiser par d’autres devant toi ? Résume Caline.
— Je suis désolée de te l’annoncer mais ton homme est candauliste ! Dit ma mère.
— Con…quoi ?
— Non pas con... Hihihi... Il est candauliste !
— Quoi être ça ?
— C’est un homme qui adore voir sa femme nue devant les autres et surtout qui aime voir sa femme prendre du plaisir avec d’autres hommes qu'il soit présent, de préférence, mais aussi s'il est absent à la seule condition d'en être informé !
— Tu crois que c’est le genre de Hamed ? Questionnane mon frère Hakim.
— J’en ai bien l’impression ! Affirme ma reum.
— Mais... Mais... Je veux un homme... Un vrai de vrai... Qui me défende, me protége des autres... Je ne peux pas vivre avec un homme comme ça ! Crie presque ma bien aimée.
— C’est toi qui vois ! Mais ça peut avoir des avantages ! Ajoute mon père.
— Comment ça ? Demande ai-je, ignorant moi-même cet état des choses.
— Caline peut changer de partenaires et cela te faira plaisir, et vous vous évitez la monotonie !
— Ce n’est pas ma vision du couple ! S'excalme Caline qui s'est détachée de ľemprise de mon frère.
Halim se colle au dos de ma chérie, saisissant ses seins et dit :
— On dirait que cette demoiselle s'est déjà pris une tonne de bites avant de tomber sur celle de mon frère !
— Non, c'est pas vrai, avant ton frère j'en ai connu que 2... Queues... Mais je suis heureuse avec ce que j'ai sous la main ! S'emporte presque Caline, sans pour autant se dégager des mains qui l'emprisonnent.
— Je comprends, ce n’est pas une pratique commune, mais réfléchis bien aux avantages ! Enchérit ma mère.
— Dis donc petite coquine, on dirait que tu sais de quoi tu parles ! Dit en riant mon père.
— Allez Mam... Plus de détails ! Hurle presque Hakim qui suit la discution de loin.
— Nous sommes naturistes comme vous le savez... Mais je peux vous assuréer que 90% des naturistes sont échangistes, mélangistes ou les deux à la fois... Ajoute ma mère. Et bien entendu on fait partie de cette catégorie et il nous arrive aussi de changer de partenaires ! Renchérit Patricia.
— Tu as couché avec d’autres hommes mam ? Demande Hakim.
— Oui et d’autres femmes aussi ! Répond mon père.
— Tata Monika entre autre ! Avoue ai-je.
— Donc maman est bi... Et toi paa ?
— Vous savez les enfants, il y a quelques régles à respecter si vous voulez que votre couple dure dans le temps en toute harmonie... La principale est : la confiance... Votre mère me raconte toutes ses aventures, même celle avec son fils !
— Avec le quel d'entre nous maman ?... Puisque cela n'était pas avec moi ! Interroge Halim.
— En additionnant 1+1... Cela ne peut être qu'avec Hamed ! Conclue Hakim.
— Bon calcule ! Fait mon père avant de rajouter. Un de ses fantasmes qu'elle a su réaliser !
— Et nous alors... On compte pour du beurre ? S'indigne mon frère.
— J'aime le sexe... Dit ma mère... Et si vous croyez qu'il est si simple de vivre avec 4 zboub (pluriel de zob) qui se balancent sous mes yeux et qu'il ne t'est permis que d'en utiliser qu'un seul...
— Et nous alors ? On y aura droit aussi ? Questionne Hakim qui bave comme un cochon.
— Je ne l'avais prévu comme ça, mais puisqu'on en parle... Rien ne nous l'interdit aujourd'hui d'autant plus que vous êtes tous majeurs et concentant ! Répond ma mère qui ne tient plus en place.
— Mais cela est interdit ! S'esclame Caline.
— Pour moi cela n'est pas de l'inceste... C'est de l'échangisme... Échange de bons procédés... S'il y a accord de tout le monde... Moi je suis d'accord... Mon mari est aussi d'accord... Reste à savoir si mes enfants sont d'accord ? Dit ma mère en se hissant hors du bassin pour s'accrocher au cou de mon père pour échanger un long et doux baiser.
De la main droite, mon père nous fait signe de le rejoindre. Halim et Hakim n'en croivent pas leurs yeux et en deux temps, trois mouvements, se retrouvent près de mes géniteurs.
Me retrouvant seul avec Caline, je la prends entre mes bras et dépose un fougueux baiser à faire honte à Casanova.
— On les rejoint ? Demande ai-je en observant le quatior qui se forme tout près de nous.
— C'est parce que tu veux baiser ta mère... Ou... Pour me voir baiser avec tes frères ?
— Regardes... Regardes le plaisir que tu vas avoir avec la bite de mon père !
— Nom d'un... Mais il est monstrueux ! Dit Caline en voyant la queue de mon père en érection, avant de rajouter : Pourquoi tu n'as pas eu la chance d'avoir un si gros zob ?
— C'est pas la grosseur qui compte... Il suffit de savoir l'utiliser ! Dis-je en la poussant pour sortir du bassin et rejoindre l'attroupement qui s'est formé autour de ma mère.
— Caline... Viens à mon secour ! Appelle la mère.
En s'approchant, on vit que ma mère est à genoux, entrain de sucer la bite de Hakim en branlant mouellement les deux autres zobs.
Sans trop refléchir, Caline prend place près de ma mère et jette son dévoulu sur le membre de mon paternel pour lui assurer une rigidité à toute épreuve. De sa main gauche, elle s'active modestement sur ma lance à sperme.
Maman saute de la bite à Halim à celle de Hakim, en leurs pratiquant une fellation bien baveuse.
— Tu sais Pat... Si j'avais une queue comme celle de ton homme j'irai pas voir ailleur !
— Entre nous... Si je vais voir ailleur, c'est juste pour remercier les Dieux du sexe de m'avoir offert un homme avec un pénis comme ça !
À peine a-t-elle fini sa phrase que maman s'empare des lèvres de ma chérie pour lui coller un fougueux baiser diaboliquement excitant. Admiratif qu'on est, chacun s'astique sa tige avec fureur en espérant avoir le privilége d'éteindre le feu qui flambe entre les cuisses de ces dames.
C'est la nuit où tous les interdits allaient être jetés aux oubliettes et effacés d'un revers de la main ou plutôt d'un coup de rein.
— Ouiiii... Patricia... Jamais... Encore... Crie Caline qui ne sait plus alligner deux mots compréhensible.
— Allez les enfants... C'est bien agréable de voir 2 nanas qui se bécottent... Mais le vrai jeu est ailleur ! Diit mon père impatient.
Nous aidons mon père à séparer ces deux gazelles qui nous font baver et regagnons le confort des fauteuils rembourrés de notre salon.
Ma mère s'allonge sur le dos en faisant bien attention d'écarter au maximum ses cuisses en disant :
— Hakim... Halim... Venez... Faites plaisir à maman et baisez moi comme il se doit ! Faites de moi votre salope...
Sans plus attendre, mon frère se jette, la tête en premier entre les gambettes de ma génétrice pour lui bouffer la moule alors que l'autre frangin lui tend son zob à pomper. Elle s'active sur le membre de mon frère comme s'il c'est une question de vie ou de mort. Gémissant sans disconuité, ma mère ondule du bassin sous l'effet des coups de langue que son fils lui imprime. Ce fils qui se régale en mordillant son clito de ses lèvres et en fourrant son nez dans cette intimité toute humide qui la vu sortir il y a plus de 26 ans.
— Viens Halim... Viens... Prends-moi... Je te veux...
Comment peut-on refuser une telle invitation ?
Sans trop se faire prier, mon frère se relève, en plaçant les jambes de notre mère sur ses épaules et d'un seul coup de rein il enfonce sa tige toute raide dans le puits d'amour de cette chienne en chaleur. Il n'y a plus aucun lien sanguain entre ces deux personnages qui ne cachent plus le bonheur ressenti.
— Pu.... Que c'est bon...
— Hummm Pat... Pat... J'en rêvais depuis si long... Temps ! Hein.... Hein... Prends ça ma cochonne...
Mes yeux ne pouvent quitter cette scène euphorique qui se joue devant moi. J'en ai même oublié la présence de l'autre couple que forme mon père avec ma meuf.
Me retournant, je vois que Caline se tient sur la pointe des pieds pour pouvoir largement jouer avec la langue de mon paternel. Ne se faisant pas trop prier, mon père, en maintenant Caline par les hanches, lui enroule la langue du mieux qu'il le peut.
Ma petite princesse, a bien du mal à dissimuler ses attentes et sans ignorer le pouvoir qu'elle a sur les hommes dit :
— Viens... Viens abriter ton gros monstre dans mon puits aux plaisirs !
Incrédule, je regardais en live 2 films X. L'un, avec comme actrice principale ma mère qui se fait ramoner par ses fils et l'autre, avec la future maman de mes enfants qui se fait plaisir avec mon père. Et moi dans tout ça ?
Juste le spectateur de nos dérives.
Sans m'offuquer, je vois Caline courber l'échine et baisser la tête pour venir déposer de petits baisers sur le gland de mon père avant de l'engloutir dans sa fine bouche experte. En me fixant de son regard de braise, sa langue enlace le zob du père de mes frères, le léchant sous toutes les coutures.
Imperturbable je detourne les yeux pour focaliser mon regard sur le plaisir que ma mère est entrain de vivre en se faisant labourer la chatte et la bouche par les queues de sa progéniture.
Comme d'un commun accord, mes frères se retirent des oriffices qu'ils ont pris d'assaut (au plus grand plaisir de la victime) et imposent à notre mère de se mettre à 4 pattes.
Hakim, a pris la place de son frère et vient s'engouffrer dans la chatte trempée, de cette mère qui n'a plus peur de nous révéler sa vraie nature. Avec délicatesse, il frotte le bout de son gland circoncis à la moule inondée avant de la pénètrer en profondeur.
Les gémissements qui sortent des fonds de l'âme de notre mère ne font qu'ajouter de la chaleur à leurs étreintes.
— Aaaah… Oui ! Comme ça !
—Attends ma jolie ce n’est que le début, lui promet mon frère.
Malgré tous mes efforts je n’arrive pas à garder les yeux trop longtemps sur ce tableau si charnel que ma mère forme avec mes frères. Je ne savais plus si s'est de la jalousie ou de la curiosité ou bien de la crainte, mais mon esprit me commande, m'ordonne, de fixer mon attention sur l'autre couple.
Je retrouve, alors, Caline et mon père engagés dans une multitude de positions sexuelles, indéchiffrables.
Est-ce voulu, ou bien c'est-il égaré, je vois distinctement l'index de mon paternel qui a pris ses aises dans le trou intime de la mère de mes (futures) enfants.
Je ne sais jusqu'à présent comment Caline a réussi cette acrobatie, mais toujours est-il, qu'elle "chevauche" (et il s'y connais bien) son partenaire en prenant appui sur ses 4 membres, apprpchant délicatement son bassin de ce zob dressé, exerçant des pressions contre cette verge comme pour évaluer les difficultés qui peuvent survenir lors d'une inévitable pénétration.
À ma grande surprise, elle s'est mise à frotter cette tige en chair contre son petit trou, ce lieu sacré qu'elle m'avait toujours refusé. Elle comprime le pénis et exerce des rotations qui enflamment leur coït. Puis elle pose ses pieds sur les genoux de mon père, qui enchaîne les va-et-vient de son bassin. Il la tient par la taille et exerce des mouvements de bas en haut, des petites rotations et pressions.
— Ooohhh…
Caline me jette des regards pleins de plaisir qui donneraient, à tout homme, la preuve de son innoncence s'il lui arrivait de commettre, non pas un, mais une série d'homicides ou famicides. Et sans oublier, avec cela, d'y joindre le plus beau sourire qu'elle a en stock.
Défie-t-elle ma passion, mon amour ou bien jauge-t-elle la profondeur de ma jalousie ?
— Ah ! S’écrit-elle, saisie de tremblements. Je… Ouiiii !
Caline jouit comme rarement je l'ai vu jouir, très vite rejoint par mon père qui retire son pénis de ce lieu interdit pour arroser comme il se doit son ventre et ses seins. Je le regarde étaler les traces de sperme dessinées, sur le clitoris et la vulve de ma chérie avec son gland, tout fier.
— Papa… Euuh... Je peux t'appeller ainsi ?
— Heuuu... Je ne sais pas.. Mais why not si tu le veux !
— Tu es aussi bon que ton fils ! Dit Caline.
— Et toi, tu es presque aussi cochonne que sa mère... On remettera ça quand tu veux !
Je me réveille dans mon lit après quelques heures de sommeil. Je ne me souviens pas avoir monté les marches… Tout est embrouillé dans ma tête. Je dévisage ma copine qui dorme paisiblement.
Ce rêve était portant si réel.
Est-ce que cela était un rêve ou une réalité ?
Une réalité ou un dérapage ou alors une envie que j'avais retenue, caché dans un coin de mon cerveau, pendant des années et qui a réussi à ce libérer lors de cette soirée : "accord commun" ?
Pourtant...
Des questions et des questions se bousculent dans ma tête à m'en faire mal.
Une réponse nette, claire, précise et sans ambiguité possible m'est donnée lorsqu'on s'est tous retrouvé autour de la table de notre petit déjeuné...
J'assiste là, à un... Concours de "roulage de pelle".
Ma fierté, mon amour propre, m'a poussé à participer à ce jeu concours. Sans hésiter une fraction de seconde, je me jette sur ma reum, en écartant un peu violamment mon frère ainé.
— Holla mec... Je suis presque certain qu'il y en aura pour tout le monde ! S'écrit Hakim.
— Je sais, mais hier soir personne n'était venue prendre de mes nouvelles... Me demander si tout allait bien pour moi... Chacun était avec sa moule !
— Tu vois... Monsieur est réellement jaloux ! Dit Caline d'un air moqueur.
— Ouais... Mais juste jaloux de ne pas avoir pu pariciper à vos jouissances et non pas jaloux de quelqu'un qui puisse désirer ma Caline !
— "Ma Caline"? Je ne suis pas ta chose mec ! Déclare l'interessée.
— Non... Mais... Tu... Tu es mon amour, ma raison d'être, mon rayon de soleil !
— Ahhh... Si ça ce n'est pas une déclaration d'amour, c'est que je n'ai rien compris de la vie ! Déclare mon père... Honte à toi jeune fille si tu laisses une autre demoiselle te le prendre... Car je n'ai plus que celui là en Stock... Les deux ne sont plus dispo ! Ajoute-il.
Sur ces belles paroles, Caline me jette un regard plein d'amour et m'aggrippe le cou de ses bras. Déposant ses lèvres sur les miens dans un fougueux baiser qu'elle m'a rarement offert.
— Je suis super-extra-méga amoureuse de toi aussi ! Me sussure-t-elle à l'oreille. Je suis à toi jusqu'à que la mort nous sépare, ajoute-elle.
Une ovation génerale se fît entendre par les membres de la famille.
— Allez les hommes... À table ! Caline, thé ou café ? Demande ma mère une fois le calme revenu.
— Café noir sans sucre s'il vous plait !
Après avoir pris place pour déguster les croissants qui ornent la table, s'adressant à ma mère, Caline demande :
— Vous savez... Pour une première rencontre, je viens de franchir toutes mes limites... M'exposer nue devant des inconnus, faire l'amour avec mon future... Beau-père... À quoi dois-je m'attendre de plus ?
— Rien... Si ce n'est : de jouir !
— Tu sais Caline... Il n'y a rien de plus beau que de faire l'amour ! Rajoute mon père.
— Et c'est quoi l'amour ?
— Pour moi "faire l'amour" c'est... "Baiser" avec tendresse, concentement, jouir et faire jouir, accepter ses fantasmes, vos fantasmes et les réaliser ! Répond-il.
— Une autre question... Vous êtes échangistes ?
— Echangistes, mélangistes, libertins… Ça porte plusieurs noms mais on peut dire que oui ! Répond ma génétruice.
— Euhhhh... Je ne sais pas si je peux vous le demander... Dit Caline en regardant mes parents... Mais cela... Comment dire... Hier soir... Il y a eu... On a eu droit à des relations "incestueuses"... Vous le faites souvent ?
— Non... C'était la première fois... Du moins, j'ai déjà fais cela il y a quelques années avec Hamed... Mais je ne te cache pas que c'était un fantasme que je nourrissait... Et j'en avais déjà discuté avec mon homme qui ne vouait aucune contre indication tant que les enfants accepteraient, tant qu'ils ne soient pas forcés à le faire... Vous a-t-on forcé les enfants ?
— Non ! Répondent mes frères.
— Avec moi quand même un peu ! Dis-je avec un grabd sourire, avant de rajouter, tu en avais parlé de ce fantasme avec Tata Monika ?
— Oui c'est vrai... Mais je ne lui ai jamais demander de "me le réaliser"... C'était elle seule qui avait monté le plan ! Se justifie Patricia.
— Je sais... Hamed m'a tout avoué... Hihihi ! S'esclaffe Caline.
— À moi de te poser une question chère Caline ! Demande mon père. As-tu déjà essayé avec une femme ?
— Oui et... Non... Je ne suis pas une oie blanche... Mais... Comment dire... Ça ne m’attire pas vraiment... On a un peu jouer avec ma meilleure amie à touche minou mais cela s'était arrété à ce stade... Peut-être que je n'ai pas encore trouvé la "bonne" personne !
— J’étais comme toi au début mais c’est un couple qui m’a fait découvrir la joie de lécher et de se faire lécher par une femme ! Et c’est un délice ! Acclame ma mère.
— Et tu le fais souvent ? Demande mon frère Halim.
— Non... Mais si l’occasion se présente, je ne dis pas non ! Tu sais... Ton père était aussi rétissant que moi au début, en ce qui concerne les jeux "homosexuals" et... Comment dire... C'était ce couple, que nous avont connu au "Club Méd" qui nous ont fait découvrir ce plaisir... Ou plutôt... Ils nous ont apprit à accepter notre "bisexualité" lors d'une partie de jambes en l'air, quand il a réussi à faire une fellation à votre père qui a bien changé depuis !
— Comment ça ? Questionne ai-je.
— Disons qu’il accepte, maintenant, lui aussi une belle queue aussi bien dans la bouche qu’ailleurs !
— Yooo papa... Tu es du même avis que moi... Sucer une bite c'est un délice ! Dis-je.
— Beurk ! S'expriment mes frères d'une même voix.
— Je vous l'ai toujours dis les enfants... Ne jamais juger avant ďavoir essayer ! Dit, mon père, en rigolant.
— Excusez moi Patricia... Cela ne te déranges pas de voir ton mari dans les bras ďune autre personne ? Demande Caline.
— Non... Car sais qu'il m'aime et n'aimera que moi... Et aussi car on s'était promis de tout ce dire... Comme je l'ai fais quand j'ai fait l'amour avec mon fils... Bon, je ne dis pas que j'aime pas mes enfants, maisi il sait que si je "baise"... Et j'insiste ici sur le mot "baise" avec mes fils ou X ou Y... Cela n’est juste que pour prendre du plaisir... Ou comme vous dites "s'envoyer en l'air" ! On continuera à s’aimer même si c’est tellement agréable de changer de partenaire ! Explique ma mère, du mieux qu'elle le peut.
— Moi, je ne pourrais pas ! Nous fait entendre Caline.
— Je comprends... Tu as tous les droits d'accepter ou de refuser ! Dis-je. Mais... Pensais-tu avant de rencontrer ma famille, que tu allais vivre... Ou dois-je dire... Que tu allais accepter de vivre ce que tu as vécu hier soir ? Dis-je.
— Non, pas du tout, c’est vrai !
— Et pourtant tu as apprécié ?
— Oui, beaucoup !
— Et votre aventure avec Chocolat ?
— C'est qui "Chocolat" ? Demande Hakim.
— Elle te le dira si elle veut !
Rouge de honte, Caline ne sait quoi répondre.
— Il ne faut pas se mettre de barrières... Il faut juste profiter de la vie, car on n'est que de passage sur cette terre ! Philosophe mon père.
— C’est une belle philosophie ! Mais...
À suivre....
Chapitre 8 : Quand tout part de travers
— Je ne veux pas la faire comme dans les films où je me dois mettre genoux à terre et faire ma demande... Je profite de cette occaz pour vous prendre à témoin et demander officieusement ta main chère Caline en attendant d'officialiser mon geste avec toute mon équipe auprès de tes géniteurs... Madame Caline... Voulez vous être la femme de mon cœur, mon épouse que je chérirerai, aimerai et ferai tout mon possible pour la rendre heureuse ?
Les larmes aux yeux, Caline ne sait que répondre. M'approchant d'elle, prennant ses mains dans les miens je lui dis :
— Caline... Tu as illuminé ma vie depuis que je t'ai vu à l'aéroport, j'ai appris à te connaître et je sais qu'il n'y a que toi et uniquement toi qui pourra me rendre heureux et avec qui je veux partager mes secrets !
— Hamed... Tu... Tu... Je veux... Oui... Je veux finir ma vie dans tes bras, je veux partager les bons et les mauvais moments avec toi... Et rien qu'avec toi !
Tous se sont mis debout pour manifester leurs joies à cette nouvelle et à cette réponse favorable de la part de l'interessée, qui m'offre ses lèvres pour un tendre et long baiser qui ferait bander un eunuque.
Ma mère, tout sourire, revient de la cuisine avec une bouteille de champagne.
— Que cette future union soit longue, heureuse et incassable ! Trinquons ! Dit-elle
L'euphorie collective nous a pris. Nous vidons verre après verre. Quand la seconde bouteille fut vidée, nous nous sommes dirigés vers le patio. Chacun y va de ses blagues à propos des couples mariés et elles (les blagues) deviennent progressivement hots.
Après avoir bien ri, mes frères et moi laissions tomber le seul vêtement qui nous habille pour sauter dans le bassin suivi par notre mère.
Caline et mon père ont pris place sur deux transats côte à côte, un verre de Whisky à la main en nous regardant patoger et à jouer comme des ados.
À peine vidé, que mon père réapprovisionne le verre de Caline en forçant un peu (beaucoup) sur la dose qui, comme il le souhaite, est un facteur déclencheur de ľhilarité de la demoiselle, brisant les limites morales que son éducation lui impose. Ne me demandez pas quelles sont ses et ces limites ?
Malgré les bruits qu'on fait dans le bassin, j'entends mon père dire :
— Je suis fier de mon fils... Tu es mignonne à croquer... Et... Si j’avais quelques années de moins...
— Je vous aurai peut-être donné votre chance ! Répond Caline avec une petite pointe... D’ironie ? De coquetterie ?
Je m’interpose entre les deux, un peu amusé mais surtout jaloux.
— Désolé papa... Premier venu, premier servi !
— Oh mon chéri... Tu es jaloux de snton papa ? S'escalffe Caline.
— Si tu crois que je suis jaloux, viens piquer une tête !
À peine ai-je fini ma phrase qu'elle saute debout et en moins de temps pour le dire, elle se défait de sa robe, sous le regard incrédule de l'assistance. Vacillante elle s'avance doucement vers nous. Cette démarche nous indique le réel état de sobriété de ma chérie. Je vois dans les yeux de mes frères l'admiration qu'ils ont pour cette, pour ma, déesse. J'en suis plus que fier, plus que ravi et très honnoré que cette miss aura mon nom gravé dans son cœur pour toujours.
Depuis que je fréquante Caline, je n'ai jamais eu la chance et le plaisir de la voir aussi coquine. S'assayant sur le bord du bassin, elle présente à nos yeux une vie imprenable de sa chatte toute lisse.
Je ne peux pas exclure que la position qu'elle a prise, ne puisse pas faire le même effet à mes frères et à moi... Moi je bande comme un âne, alors je m'imagine qu'il en est de même avec mes frères.
Avec grande délicatesse, Halim offre sa main, invitant sa future belle-sœur à sauter dans ce bassin, qui ne peut plus cacher l'excitation que nos sexes démontre. La tenant par les hanches, mon frère s'assure que ľimmersion, de ce corps envoutant, ce fasse sans trop de soucis. Ils se tiennent face à face. Soutenant mon regard, elle approche ses lèvres de ceux de mon frère, qui ne tardent pas à se souder dans un passionnant baiser qui ne peut être ignoré par les anges tellement le silence qui pèse à ce moment-là est à couper le souffle.
— Alors heureuse... Tu as enfin la réponse à ta question ? Je ne suis pas jaloux puisque je sais que seul mon nom est, sera, à jamais gravé dans ton cœur... Tu peux embrasser qui tu veux, baiser avec qui tu veux, je sais qu'il n'y a que moi que tu aimeras, tout comme moi, il n'y a que toi qui pourra me faire jouir !
— Même pas moi ? M'apostrophe ma mère en se collant à mon dos.
— Physiquement, vous pouvez tous me faire jouir, mais mentalement, seule Caline réussira l'examen !
— Attends... Si j'ai bien compris... Tu viens de m’avouer que cela t’excitera que je me balade nue devant des mecs, que je me fasse baiser par d’autres devant toi ? Résume Caline.
— Je suis désolée de te l’annoncer mais ton homme est candauliste ! Dit ma mère.
— Con…quoi ?
— Non pas con... Hihihi... Il est candauliste !
— Quoi être ça ?
— C’est un homme qui adore voir sa femme nue devant les autres et surtout qui aime voir sa femme prendre du plaisir avec d’autres hommes qu'il soit présent, de préférence, mais aussi s'il est absent à la seule condition d'en être informé !
— Tu crois que c’est le genre de Hamed ? Questionnane mon frère Hakim.
— J’en ai bien l’impression ! Affirme ma reum.
— Mais... Mais... Je veux un homme... Un vrai de vrai... Qui me défende, me protége des autres... Je ne peux pas vivre avec un homme comme ça ! Crie presque ma bien aimée.
— C’est toi qui vois ! Mais ça peut avoir des avantages ! Ajoute mon père.
— Comment ça ? Demande ai-je, ignorant moi-même cet état des choses.
— Caline peut changer de partenaires et cela te faira plaisir, et vous vous évitez la monotonie !
— Ce n’est pas ma vision du couple ! S'excalme Caline qui s'est détachée de ľemprise de mon frère.
Halim se colle au dos de ma chérie, saisissant ses seins et dit :
— On dirait que cette demoiselle s'est déjà pris une tonne de bites avant de tomber sur celle de mon frère !
— Non, c'est pas vrai, avant ton frère j'en ai connu que 2... Queues... Mais je suis heureuse avec ce que j'ai sous la main ! S'emporte presque Caline, sans pour autant se dégager des mains qui l'emprisonnent.
— Je comprends, ce n’est pas une pratique commune, mais réfléchis bien aux avantages ! Enchérit ma mère.
— Dis donc petite coquine, on dirait que tu sais de quoi tu parles ! Dit en riant mon père.
— Allez Mam... Plus de détails ! Hurle presque Hakim qui suit la discution de loin.
— Nous sommes naturistes comme vous le savez... Mais je peux vous assuréer que 90% des naturistes sont échangistes, mélangistes ou les deux à la fois... Ajoute ma mère. Et bien entendu on fait partie de cette catégorie et il nous arrive aussi de changer de partenaires ! Renchérit Patricia.
— Tu as couché avec d’autres hommes mam ? Demande Hakim.
— Oui et d’autres femmes aussi ! Répond mon père.
— Tata Monika entre autre ! Avoue ai-je.
— Donc maman est bi... Et toi paa ?
— Vous savez les enfants, il y a quelques régles à respecter si vous voulez que votre couple dure dans le temps en toute harmonie... La principale est : la confiance... Votre mère me raconte toutes ses aventures, même celle avec son fils !
— Avec le quel d'entre nous maman ?... Puisque cela n'était pas avec moi ! Interroge Halim.
— En additionnant 1+1... Cela ne peut être qu'avec Hamed ! Conclue Hakim.
— Bon calcule ! Fait mon père avant de rajouter. Un de ses fantasmes qu'elle a su réaliser !
— Et nous alors... On compte pour du beurre ? S'indigne mon frère.
— J'aime le sexe... Dit ma mère... Et si vous croyez qu'il est si simple de vivre avec 4 zboub (pluriel de zob) qui se balancent sous mes yeux et qu'il ne t'est permis que d'en utiliser qu'un seul...
— Et nous alors ? On y aura droit aussi ? Questionne Hakim qui bave comme un cochon.
— Je ne l'avais prévu comme ça, mais puisqu'on en parle... Rien ne nous l'interdit aujourd'hui d'autant plus que vous êtes tous majeurs et concentant ! Répond ma mère qui ne tient plus en place.
— Mais cela est interdit ! S'esclame Caline.
— Pour moi cela n'est pas de l'inceste... C'est de l'échangisme... Échange de bons procédés... S'il y a accord de tout le monde... Moi je suis d'accord... Mon mari est aussi d'accord... Reste à savoir si mes enfants sont d'accord ? Dit ma mère en se hissant hors du bassin pour s'accrocher au cou de mon père pour échanger un long et doux baiser.
De la main droite, mon père nous fait signe de le rejoindre. Halim et Hakim n'en croivent pas leurs yeux et en deux temps, trois mouvements, se retrouvent près de mes géniteurs.
Me retrouvant seul avec Caline, je la prends entre mes bras et dépose un fougueux baiser à faire honte à Casanova.
— On les rejoint ? Demande ai-je en observant le quatior qui se forme tout près de nous.
— C'est parce que tu veux baiser ta mère... Ou... Pour me voir baiser avec tes frères ?
— Regardes... Regardes le plaisir que tu vas avoir avec la bite de mon père !
— Nom d'un... Mais il est monstrueux ! Dit Caline en voyant la queue de mon père en érection, avant de rajouter : Pourquoi tu n'as pas eu la chance d'avoir un si gros zob ?
— C'est pas la grosseur qui compte... Il suffit de savoir l'utiliser ! Dis-je en la poussant pour sortir du bassin et rejoindre l'attroupement qui s'est formé autour de ma mère.
— Caline... Viens à mon secour ! Appelle la mère.
En s'approchant, on vit que ma mère est à genoux, entrain de sucer la bite de Hakim en branlant mouellement les deux autres zobs.
Sans trop refléchir, Caline prend place près de ma mère et jette son dévoulu sur le membre de mon paternel pour lui assurer une rigidité à toute épreuve. De sa main gauche, elle s'active modestement sur ma lance à sperme.
Maman saute de la bite à Halim à celle de Hakim, en leurs pratiquant une fellation bien baveuse.
— Tu sais Pat... Si j'avais une queue comme celle de ton homme j'irai pas voir ailleur !
— Entre nous... Si je vais voir ailleur, c'est juste pour remercier les Dieux du sexe de m'avoir offert un homme avec un pénis comme ça !
À peine a-t-elle fini sa phrase que maman s'empare des lèvres de ma chérie pour lui coller un fougueux baiser diaboliquement excitant. Admiratif qu'on est, chacun s'astique sa tige avec fureur en espérant avoir le privilége d'éteindre le feu qui flambe entre les cuisses de ces dames.
C'est la nuit où tous les interdits allaient être jetés aux oubliettes et effacés d'un revers de la main ou plutôt d'un coup de rein.
— Ouiiii... Patricia... Jamais... Encore... Crie Caline qui ne sait plus alligner deux mots compréhensible.
— Allez les enfants... C'est bien agréable de voir 2 nanas qui se bécottent... Mais le vrai jeu est ailleur ! Diit mon père impatient.
Nous aidons mon père à séparer ces deux gazelles qui nous font baver et regagnons le confort des fauteuils rembourrés de notre salon.
Ma mère s'allonge sur le dos en faisant bien attention d'écarter au maximum ses cuisses en disant :
— Hakim... Halim... Venez... Faites plaisir à maman et baisez moi comme il se doit ! Faites de moi votre salope...
Sans plus attendre, mon frère se jette, la tête en premier entre les gambettes de ma génétrice pour lui bouffer la moule alors que l'autre frangin lui tend son zob à pomper. Elle s'active sur le membre de mon frère comme s'il c'est une question de vie ou de mort. Gémissant sans disconuité, ma mère ondule du bassin sous l'effet des coups de langue que son fils lui imprime. Ce fils qui se régale en mordillant son clito de ses lèvres et en fourrant son nez dans cette intimité toute humide qui la vu sortir il y a plus de 26 ans.
— Viens Halim... Viens... Prends-moi... Je te veux...
Comment peut-on refuser une telle invitation ?
Sans trop se faire prier, mon frère se relève, en plaçant les jambes de notre mère sur ses épaules et d'un seul coup de rein il enfonce sa tige toute raide dans le puits d'amour de cette chienne en chaleur. Il n'y a plus aucun lien sanguain entre ces deux personnages qui ne cachent plus le bonheur ressenti.
— Pu.... Que c'est bon...
— Hummm Pat... Pat... J'en rêvais depuis si long... Temps ! Hein.... Hein... Prends ça ma cochonne...
Mes yeux ne pouvent quitter cette scène euphorique qui se joue devant moi. J'en ai même oublié la présence de l'autre couple que forme mon père avec ma meuf.
Me retournant, je vois que Caline se tient sur la pointe des pieds pour pouvoir largement jouer avec la langue de mon paternel. Ne se faisant pas trop prier, mon père, en maintenant Caline par les hanches, lui enroule la langue du mieux qu'il le peut.
Ma petite princesse, a bien du mal à dissimuler ses attentes et sans ignorer le pouvoir qu'elle a sur les hommes dit :
— Viens... Viens abriter ton gros monstre dans mon puits aux plaisirs !
Incrédule, je regardais en live 2 films X. L'un, avec comme actrice principale ma mère qui se fait ramoner par ses fils et l'autre, avec la future maman de mes enfants qui se fait plaisir avec mon père. Et moi dans tout ça ?
Juste le spectateur de nos dérives.
Sans m'offuquer, je vois Caline courber l'échine et baisser la tête pour venir déposer de petits baisers sur le gland de mon père avant de l'engloutir dans sa fine bouche experte. En me fixant de son regard de braise, sa langue enlace le zob du père de mes frères, le léchant sous toutes les coutures.
Imperturbable je detourne les yeux pour focaliser mon regard sur le plaisir que ma mère est entrain de vivre en se faisant labourer la chatte et la bouche par les queues de sa progéniture.
Comme d'un commun accord, mes frères se retirent des oriffices qu'ils ont pris d'assaut (au plus grand plaisir de la victime) et imposent à notre mère de se mettre à 4 pattes.
Hakim, a pris la place de son frère et vient s'engouffrer dans la chatte trempée, de cette mère qui n'a plus peur de nous révéler sa vraie nature. Avec délicatesse, il frotte le bout de son gland circoncis à la moule inondée avant de la pénètrer en profondeur.
Les gémissements qui sortent des fonds de l'âme de notre mère ne font qu'ajouter de la chaleur à leurs étreintes.
— Aaaah… Oui ! Comme ça !
—Attends ma jolie ce n’est que le début, lui promet mon frère.
Malgré tous mes efforts je n’arrive pas à garder les yeux trop longtemps sur ce tableau si charnel que ma mère forme avec mes frères. Je ne savais plus si s'est de la jalousie ou de la curiosité ou bien de la crainte, mais mon esprit me commande, m'ordonne, de fixer mon attention sur l'autre couple.
Je retrouve, alors, Caline et mon père engagés dans une multitude de positions sexuelles, indéchiffrables.
Est-ce voulu, ou bien c'est-il égaré, je vois distinctement l'index de mon paternel qui a pris ses aises dans le trou intime de la mère de mes (futures) enfants.
Je ne sais jusqu'à présent comment Caline a réussi cette acrobatie, mais toujours est-il, qu'elle "chevauche" (et il s'y connais bien) son partenaire en prenant appui sur ses 4 membres, apprpchant délicatement son bassin de ce zob dressé, exerçant des pressions contre cette verge comme pour évaluer les difficultés qui peuvent survenir lors d'une inévitable pénétration.
À ma grande surprise, elle s'est mise à frotter cette tige en chair contre son petit trou, ce lieu sacré qu'elle m'avait toujours refusé. Elle comprime le pénis et exerce des rotations qui enflamment leur coït. Puis elle pose ses pieds sur les genoux de mon père, qui enchaîne les va-et-vient de son bassin. Il la tient par la taille et exerce des mouvements de bas en haut, des petites rotations et pressions.
— Ooohhh…
Caline me jette des regards pleins de plaisir qui donneraient, à tout homme, la preuve de son innoncence s'il lui arrivait de commettre, non pas un, mais une série d'homicides ou famicides. Et sans oublier, avec cela, d'y joindre le plus beau sourire qu'elle a en stock.
Défie-t-elle ma passion, mon amour ou bien jauge-t-elle la profondeur de ma jalousie ?
— Ah ! S’écrit-elle, saisie de tremblements. Je… Ouiiii !
Caline jouit comme rarement je l'ai vu jouir, très vite rejoint par mon père qui retire son pénis de ce lieu interdit pour arroser comme il se doit son ventre et ses seins. Je le regarde étaler les traces de sperme dessinées, sur le clitoris et la vulve de ma chérie avec son gland, tout fier.
— Papa… Euuh... Je peux t'appeller ainsi ?
— Heuuu... Je ne sais pas.. Mais why not si tu le veux !
— Tu es aussi bon que ton fils ! Dit Caline.
— Et toi, tu es presque aussi cochonne que sa mère... On remettera ça quand tu veux !
Je me réveille dans mon lit après quelques heures de sommeil. Je ne me souviens pas avoir monté les marches… Tout est embrouillé dans ma tête. Je dévisage ma copine qui dorme paisiblement.
Ce rêve était portant si réel.
Est-ce que cela était un rêve ou une réalité ?
Une réalité ou un dérapage ou alors une envie que j'avais retenue, caché dans un coin de mon cerveau, pendant des années et qui a réussi à ce libérer lors de cette soirée : "accord commun" ?
Pourtant...
Des questions et des questions se bousculent dans ma tête à m'en faire mal.
Une réponse nette, claire, précise et sans ambiguité possible m'est donnée lorsqu'on s'est tous retrouvé autour de la table de notre petit déjeuné...
J'assiste là, à un... Concours de "roulage de pelle".
Ma fierté, mon amour propre, m'a poussé à participer à ce jeu concours. Sans hésiter une fraction de seconde, je me jette sur ma reum, en écartant un peu violamment mon frère ainé.
— Holla mec... Je suis presque certain qu'il y en aura pour tout le monde ! S'écrit Hakim.
— Je sais, mais hier soir personne n'était venue prendre de mes nouvelles... Me demander si tout allait bien pour moi... Chacun était avec sa moule !
— Tu vois... Monsieur est réellement jaloux ! Dit Caline d'un air moqueur.
— Ouais... Mais juste jaloux de ne pas avoir pu pariciper à vos jouissances et non pas jaloux de quelqu'un qui puisse désirer ma Caline !
— "Ma Caline"? Je ne suis pas ta chose mec ! Déclare l'interessée.
— Non... Mais... Tu... Tu es mon amour, ma raison d'être, mon rayon de soleil !
— Ahhh... Si ça ce n'est pas une déclaration d'amour, c'est que je n'ai rien compris de la vie ! Déclare mon père... Honte à toi jeune fille si tu laisses une autre demoiselle te le prendre... Car je n'ai plus que celui là en Stock... Les deux ne sont plus dispo ! Ajoute-il.
Sur ces belles paroles, Caline me jette un regard plein d'amour et m'aggrippe le cou de ses bras. Déposant ses lèvres sur les miens dans un fougueux baiser qu'elle m'a rarement offert.
— Je suis super-extra-méga amoureuse de toi aussi ! Me sussure-t-elle à l'oreille. Je suis à toi jusqu'à que la mort nous sépare, ajoute-elle.
Une ovation génerale se fît entendre par les membres de la famille.
— Allez les hommes... À table ! Caline, thé ou café ? Demande ma mère une fois le calme revenu.
— Café noir sans sucre s'il vous plait !
Après avoir pris place pour déguster les croissants qui ornent la table, s'adressant à ma mère, Caline demande :
— Vous savez... Pour une première rencontre, je viens de franchir toutes mes limites... M'exposer nue devant des inconnus, faire l'amour avec mon future... Beau-père... À quoi dois-je m'attendre de plus ?
— Rien... Si ce n'est : de jouir !
— Tu sais Caline... Il n'y a rien de plus beau que de faire l'amour ! Rajoute mon père.
— Et c'est quoi l'amour ?
— Pour moi "faire l'amour" c'est... "Baiser" avec tendresse, concentement, jouir et faire jouir, accepter ses fantasmes, vos fantasmes et les réaliser ! Répond-il.
— Une autre question... Vous êtes échangistes ?
— Echangistes, mélangistes, libertins… Ça porte plusieurs noms mais on peut dire que oui ! Répond ma génétruice.
— Euhhhh... Je ne sais pas si je peux vous le demander... Dit Caline en regardant mes parents... Mais cela... Comment dire... Hier soir... Il y a eu... On a eu droit à des relations "incestueuses"... Vous le faites souvent ?
— Non... C'était la première fois... Du moins, j'ai déjà fais cela il y a quelques années avec Hamed... Mais je ne te cache pas que c'était un fantasme que je nourrissait... Et j'en avais déjà discuté avec mon homme qui ne vouait aucune contre indication tant que les enfants accepteraient, tant qu'ils ne soient pas forcés à le faire... Vous a-t-on forcé les enfants ?
— Non ! Répondent mes frères.
— Avec moi quand même un peu ! Dis-je avec un grabd sourire, avant de rajouter, tu en avais parlé de ce fantasme avec Tata Monika ?
— Oui c'est vrai... Mais je ne lui ai jamais demander de "me le réaliser"... C'était elle seule qui avait monté le plan ! Se justifie Patricia.
— Je sais... Hamed m'a tout avoué... Hihihi ! S'esclaffe Caline.
— À moi de te poser une question chère Caline ! Demande mon père. As-tu déjà essayé avec une femme ?
— Oui et... Non... Je ne suis pas une oie blanche... Mais... Comment dire... Ça ne m’attire pas vraiment... On a un peu jouer avec ma meilleure amie à touche minou mais cela s'était arrété à ce stade... Peut-être que je n'ai pas encore trouvé la "bonne" personne !
— J’étais comme toi au début mais c’est un couple qui m’a fait découvrir la joie de lécher et de se faire lécher par une femme ! Et c’est un délice ! Acclame ma mère.
— Et tu le fais souvent ? Demande mon frère Halim.
— Non... Mais si l’occasion se présente, je ne dis pas non ! Tu sais... Ton père était aussi rétissant que moi au début, en ce qui concerne les jeux "homosexuals" et... Comment dire... C'était ce couple, que nous avont connu au "Club Méd" qui nous ont fait découvrir ce plaisir... Ou plutôt... Ils nous ont apprit à accepter notre "bisexualité" lors d'une partie de jambes en l'air, quand il a réussi à faire une fellation à votre père qui a bien changé depuis !
— Comment ça ? Questionne ai-je.
— Disons qu’il accepte, maintenant, lui aussi une belle queue aussi bien dans la bouche qu’ailleurs !
— Yooo papa... Tu es du même avis que moi... Sucer une bite c'est un délice ! Dis-je.
— Beurk ! S'expriment mes frères d'une même voix.
— Je vous l'ai toujours dis les enfants... Ne jamais juger avant ďavoir essayer ! Dit, mon père, en rigolant.
— Excusez moi Patricia... Cela ne te déranges pas de voir ton mari dans les bras ďune autre personne ? Demande Caline.
— Non... Car sais qu'il m'aime et n'aimera que moi... Et aussi car on s'était promis de tout ce dire... Comme je l'ai fais quand j'ai fait l'amour avec mon fils... Bon, je ne dis pas que j'aime pas mes enfants, maisi il sait que si je "baise"... Et j'insiste ici sur le mot "baise" avec mes fils ou X ou Y... Cela n’est juste que pour prendre du plaisir... Ou comme vous dites "s'envoyer en l'air" ! On continuera à s’aimer même si c’est tellement agréable de changer de partenaire ! Explique ma mère, du mieux qu'elle le peut.
— Moi, je ne pourrais pas ! Nous fait entendre Caline.
— Je comprends... Tu as tous les droits d'accepter ou de refuser ! Dis-je. Mais... Pensais-tu avant de rencontrer ma famille, que tu allais vivre... Ou dois-je dire... Que tu allais accepter de vivre ce que tu as vécu hier soir ? Dis-je.
— Non, pas du tout, c’est vrai !
— Et pourtant tu as apprécié ?
— Oui, beaucoup !
— Et votre aventure avec Chocolat ?
— C'est qui "Chocolat" ? Demande Hakim.
— Elle te le dira si elle veut !
Rouge de honte, Caline ne sait quoi répondre.
— Il ne faut pas se mettre de barrières... Il faut juste profiter de la vie, car on n'est que de passage sur cette terre ! Philosophe mon père.
— C’est une belle philosophie ! Mais...
À suivre....
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