13.07.1997 (2/2)

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : 13.07.1997 (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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13.07.1997 (2/2)
Des révélations

13.07.97

— Caline... Tu es devenue une bonne petite salope qui aime la queue ! Lui avais-je dit. Il va falloir que tu assures ma vieille car tu risques d'en avoir toujours plus !

Après être rentrés de la plage, Caline et moi avons passé une soirée bien tranquille à la maison avec ma petite famille.
Une fois dans notre lit, Caline me dit :

— Hamed !
— Oui chérie ?
— Je me dois de te dire une chose... Mais laisse moi finir ma pensée sans m'interrompre !
— Heuu... Oui cocotte... Je t'écoute !
— Voilà... Depuis que nous sommes arrivés chez toi, tout... Comment dire... Tout est parti en vrille... Je veux dire par là, que je viens en 2 jours de franchir un tas de limites, de faire des expériences que je n'aurais même pas pu phantasmer : me mettre nue devant ta famille, me faire prendre par ton père, me faire enfiler par un "inconnu"... Ça fait beaucoup !
— Et ?
— Et ?... Je ne sais plus où j'en suis... Je ne sais plus ce que je veux, ce que je dois ou ne dois pas faire ! Je... Je ne sais plus quoi penser !
— Tu n'as pas aimé ce qu'on vient de vivre ?
— Si... Mais tout est allé trop vite ! Et ...
— Tu veux qu'on arrête ?
— Non... Qu'on se calme... Que tu te calme... Que je me calme !
— Ok... Ai-je dit avant d'éteindre la veilleuse et d'ajouter... Dors maintenant, la nuit te portera conseille !

On dit que les hommes ne pensent qu’à ça, que dès qu’ils voient un beau cul ou une belle poitrine, la seule chose à laquelle ils pensent : "Qu’elle est bonne !"
Mais le plus souvent, nous n’avons pas de couilles, euuuhhh... Je veux dire que rares sont ceux qui ont le courage d’aller plus loin.
Et quand on est entre nous, à part parler de nos voitures, de foot, rarement de politique et encore moins de culture... Quand on tape la discute, ça ne vole pas haut !
On vante aussi beaucoup nos exploits au lit et on parle plus facilement de nos conquêtes (rarement de nos femmes) que de notre salaire : à croir que l'argent qu'on gagne est plus "tabou" que les nanas qu'on baise.
Tel est le monde des hommes, bien sûre il y a des exceptions, mais...
Bref,
Les "moules ambulantes", les meufs, les nanas, ne sont pas comme ça (heureusement), elles adorent parler de fringues, des belles chaussures et de tout ce qu'elles peuvent avoir pour en mettre plein la vue aux copines, rendre jalouses leurs ennemies. Et les plus coquines adorent aborder le sujet qui concerne leurs mecs et leurs performances (au lit). À croire que le sexe est moins tabou chez les dames que chez les hommes... Ou alors...
Bref,

Le dimanche 20.07.1997

Alors que nous sommes entrain de dîner, Halim nous annonce que le lendemain, il a invité une demoiselle à notre table, pour le dîner.

— Ah ouais ? Elle s'appelle comment ?
— Yasmina ! Nous répond-il.
— Tu la connais d'où ? Allez... Racontes ! On veut tout savoir ?
— Oui...Hihihi... Pointure, tour de taille et de poitrine, si elle s'épile, si elle suce... Tout quoi ! Enchaîne Caline.
— Comme je viens de dire elle s'appelle Yasmina, elle est née en 79 et pour le reste attendez demain !
— Soirée Djelaba ? Questionnait Caline avec un large sourire.
— Hallo ?? C'est une première approche, ma chère Caline... Des nanas aussi "extraverties" que toi, j'en n'ai pas connu un tas dans mon bled... Alors soyez raisonnable et ne gâchez pas mon approche, l'avenir nous dire si elle acceptera notre style de vie ! Nous notifie mon frère.

Lundi 21.07.1997

Nous sommes tous impatient de rencontrer l'amoureuse de mon frère cadet.
19h30, voilà qu'on sonne et c'est Hakim qui se précipite pour ouvrir la porte à notre invité.

— Quelle bonne surprise chère Amira.. Lance ma mère.

Amira est la future compagne de mon frère aîné. C'est une jolie fille (à nos yeux), à vue d'œil, elle doit mesurer environ 1m65-66, visage rond, avec des cheveux noirs et coupe carrée qui étrangement met en valeur ses yeux noirs. Son sourire est charmeur et attire le regard tellement il donne envie de prendre ces lèvres dans un fougueux baiser.

— Amira... Je te présente Caline, la future femme de mon petit frère !
— Bonsoir jolie étrangère ! Cela est un plaisir de faire enfin ta connaissance... Hakim m'a souvent parlé de vous...
— Tu peux me tutoyer ! L'interrope Caline.
— Comme TU veux ! Reprend Amira... Je suis désolée de ne pas avoir eu la chance de te rencontrer plus tôt, je me devais d'être au cheville de ma grande mère qui habite à Zarzis !
— Zarzis ? Demande Caline.
— Une ville côtier au sud du pays ! Informe ai-je ma dulciné.
— Et comment va-t-elle ?
— Assez bien... Dieu merci, mais à son âge, 82 ans, elle a, comme on dit, un pied sur terre et un pied dans la tombe... On doit s'attendre à tout !
— Allez.. Voulez vous changer de sujet ? Gronde un peu ma mère.
— Excusez nous Tata ! S'excuse Amira en baissant les yeux.
— Que nous vaut le plaisir de ta venir chère Amira ?
— Oh Tonton... Je ne voulais pas rater les premiers pas de votre futre belle fille, j'ai déjà raté ceux de Caline !
— Que puis-je te servire à boire ma chère ? Demande mon père. Comme nous ? Un gin-tonic ?
— Avec grand plaisir, mais pas tassé... Laissez moi un brin de lucidité pour pouvoir apprécier les nouvelles venues ! — LES... Nouvelles venues ? Demande Halim.
— Ben ouais... Il me faut mieux connaître cette ravissante Caline et.... Comment qu'elle se nomme encore ?... Yasmina !

À peine le temps de lui servir son verre, qu'une nouvelle sonnerie se fait entendre. En un éclair, Halim se précipite pour ouvrir la porte à cette personne qui risque bien de faire de lui un homme heureux. Assis au salon, nous attendons, avec une certaine impatience, de découvrir la miss.
Et c'est alors que nous voyons une jolie demoiselle qui fait son apparition dans la maison. 1m70-75 à tout casser. Perchée sur ses escarpins talons aiguilles noirs d'au moins 5cm, vêtue d'une simple robe noire qui lui arrive un peu au dessus des genoux.
Je dirai au premier coup d'œil qu'elle fait un tranquille 90C de tour de poitrine et elle ne doit pas peser plus de 50kg en sortant de l'eau.

— Bienvenue ma chère Yasmina dans cette maison de tous des dangers !
— Merci... Mais je m'appelle Yasmine !
— Je vous prie de bien vouloir excusez ma faute jolie demoiselle... Yasmine !

Sur ces, voilà que ma douce génetrice nous convie à prendre place pour le dîner.
Mon père en tête de table, propose à Yasmine de se mettre à sa gauche et à Caline d'occuper le siège à sa droite, il m'ordonne ainsi qu'à mon frère Halim de prendre place près de nos chéries. Les 3 autres sièges étaient attribués à ma mère, à Amira et à Hakim de sorte qu'on respectair un tour de table qui donne le schéma "un homme-une femme".
Pendant que tout le monde prend ses aises, mon paternel s'occupe de nous servir à boire, tandis que notre mère dépose les plats, délicieusement concoctés sur la table.

— Alors, mes chers, en entrée il y a une bisque de crevettes puis vous aurez escalope de dinde panée avec des pommes gratinées ! Annonce la cheffe— Merci pour votre dévouement Ô ma bien aimée Patricia, mais je vous serais bien reconnaissant de lever votre verre à nos futures belle-filles, belle-sœurs, en souhaitant qu'elles accepteront notre mode de vie !

Tchin-tchin se fit entendre tout autour de la table, puis mon père s'affaire à servir la bisque de crevettes.

— Géniale cette soupe maman... Tu es la meilleure ! S'exprime Hakim.
— Effectivement future belle-maman, ta soupe est un délice ! Renchérit Caline.

Toutes les personnes conviées à ce dîner, ne tarissent pas d'éloges sur la saveur exceptionnelle de ce plat.
Et pour éviter que les chevilles de son épouse ne gonflent, mon père demande :

— Alors, chère Yasmine, racontes nous comment vous vous êtes connus Halim et toi ?
— Oh je crois qu'une rencontre comme la notre... On ne le voit que dans les films à l'eau de rose ! Je m'explique, il y avait au supermarché un stand de promotion pour de la tomate en concerve et je ne sais comment je suis rentrée dedans avec mon caddie et biensûr les échantillons, qui étaient sur ce stand, sont tombés et la première personne qui s'était précipitée à m'aider était Halim. Bref, une fois qu'on avait tout remis en ordre, il me proposa de boire un café, que je ne su décommander !
— Non c'est pas toute la vérité Papa... En fait... C'est vrai que cela c'était passé au supermarché, mais le truc c'est que je l'avais vu de loin et trouvant qu'elle correspondait à l'image de la fille que je serais fier de la voir à mes cotés, donc je l'ai suivi en cherchant le meilleur moyen de l'aborder et coup de chance, elle renverse les échantillons qui se trouvaient sur le stand... Et voilà !
— Tu ne m'as jamais raconté ça ? Dit stupéfaite Yasmine.
— C'est ce que l'on appelle "coup de foudre" ! Et que fais-tu de beau dans ta vie ? Demande ensuite mon père.
— Je travaille au service des litiges à la banque de "biiiip"* !
— Voilà... Je me disais bien que ta tête ne m'était pas inconnu... Je travail avec votre banque... Comment va Mr Farid ?
— Je crois qu'il est malade... Fièvre, je pense, je ne l'ai pas vu ces derniers jours ! Vous avez quelques litiges ?
— Non, du tout, mais nous nous connaissant, Mr Farid et moi depuis une bonne quinzaine d'années, et il m'arrive souvent d'aller lui dire bonjour quand je passe à la banque !

Le dîner s'était poursuivit dans une atmosphère des plus détendues, en parlant de tout et de presque rien. Comme à son habitude, mon frère Hakim nous a sorti des blagues sympa et quelques unes un peu en dessous de la ceinture, aux quelles nous avons bien rit.
En attendant que la mère et mes deux frères débarassent la table et mettent les fruits pour être dévorés après ce succulent repas, je dis en m'adressant à Yasmine :

— Dis moi chère Yasmine, ton nom, est un nom masculin... Car on dit "hedha (ce NDLR) el yasmine" et "Hedhihi (cette NDLR) el yasmina" !
— Effectivement... Mais sur mon acte de naissance, il est noté, "Yasmine fille de Sadok et Fawzia" ! M'informe cette dernière avec grand sourire.
— Alors t'es une fille manqué ou un garçon manqué ?
— Dans mon corps tu retrouveras une fille et un garçon et à celui que cela ne lui convient il n'a quoi voir ailleurs !
— Et en plus elle a du répondant ! S'exprime Caline avant d'ajouter, je pense... Très chère Yasmine, on va bien s'entendre toi et moi !

Toutes les personnes assises à cette table ont bien suivi cette petit conversation et on peut voir sur le visage de mon frère Halim un genre de rictus de fièreté.
À la fin du dîner, je propoe de finir la soirée avec un café ou un digestif dans la cours interieur de notre demeure par cette charmante nuit d'été quoi que un peu humide. Aux environs de minuit et après quelsues discutions plus ou moins animées sur de multiples sujets, allant du domain social à la politique, entrecoupées de quelques verres avec ou sans alcool, nos parents nous ont souhaité une bonne nuit nous laissons finir la soirée.
Nous nous retrouvons donc seuls et après quelques secondes, voire minutes de silence, nous avons commencé à ce poser des questions bateau, du genre comment on s'était connus, nos passions, nos envies, nos rêves d'avenir. Bref, des questions nécessairs pour étoffer nos connaissances les uns des autres, vu qu'il y avait 90% de chance que nous formerons une famille.
Seules,Yasmine et Caline, avaient refusé de tromper leurs lèvres dans un verre alcoolisé. N'empêche que le ton de ce cercle de jeunes adultes était joyeux.
Le temps passe, à rire, surtout de blagues cochonnes dont, nous garçons, avons le secret de les rendre encore plus cochonnes qui feraient rougir de honte une actrice hard du x.
Sans crier gare, Caline pose cette question en s'adressant à Amira :

— Alors, chère Amira... Dis-nous tout, il est comment au lit ton mec ?
— Caline ! M’indigne ai-je.
— Quoi ? Quel est ton problème... Tu n'as jamais voulu savoir ce que les filles se racontent entre elles ?
— Si... Mais là c'est un perso comme question !
— Hihihi... Tu as peur que ton frère ne soit pas à l'hauteur ?
— Ah pour ça... Je sais que mon frère est à l'hauteur de la réputation de la famille... Et je crois même que tu en était témoin !
— Ahha Caline... Tu as...
— Non... Non... Je... L'ai juste vu faire !
— "vu faire"? Avec qui ? Quand ? Où ?
— Oupsss... Je suppose que tu n'as jamais participé à une soirée "Djelaba"?
— Et toi Yasmine... Il est comment ton amoureux au lit ? Dis-je pour changer le ton.
— Wahhh Caline... Je crois que les deux verres de vin à table on fait leur effet sur toi ! S'amuse à dire mon frère Halim.
— Je veux juste pimenter cette fin de soirée... On va former une famille non ? Et dans toute les familles, il y a des secrets, et je me dis que moins de secret il y a entre nous, mieux c'est !
— Alors vas-y toi... Donnes nous quelques détails croustillants sur ta relation avec Hamed ! Lui ordonne presque Amira.
— Hamed ? C'est un mec doux, aimant, attentionné...
— Oui cela on le sais déjà... Mais au lit ?
— Au lit ? C'est un bon baiseur, endurant, à l'écoute des mes désirs, on partage nos phantasmes... Je te le prête si tu veux ? Dit Caline, en regardant fixement Amira dans les yeux, avant d'ajouter, Et toi Yasmine quelle est la note que tu donnes à Halim ?

Je vois que ce dernier se fait tout petit dans son siège.

— Eh bien, c’est que… Rougie-t-elle.
— Quoi ? Ne me dit pas que lui et toi, vous ne l’avez pas encore fait ?
— Bah…
— J’en crois pas mes oreilles ! Qu’est-ce que vous attendez ?!
— Ça va, il n’y a pas le feu, on prend notre temps ! Répond Yasmine rouge de honte.
— Au contraire ma belle... Cela fait combien de temps que vous vous fréquantez ? Non ! Ne me dis pas que ? Et toi aussi Amira ?

En se retournant vers mes frères elle dit :

— Halim, Hakim.... On ne vit qu’une fois... Vous n'avez pas envie de profiter de votre jeunesse ?
— Caline... Je ne crois que je me dois de te rappeler le principe de virginité dans notre monde arabo-musulman ? Répond Halim.
— Virginité mon cul... D'ailleurs même lui n'est plus vierge !

J'ai failli avaler de travers en entendant la réponse de ma chérie. Cette discution avait un effet des plus pervers sur le ver que je dissimule entre mes cuisses.

— Rassures toi Caline... Moi je sais déjà ce que Hakim a en dessous de son nombrile ! Un vrai petit monstre ! Montres lui mon amour !
— Le voir je l'ai déjà vu... Mais je n'ai pas encore eu le plaisir de le goûter ! Répond Caline.

Je vois que cet échange ne laisse pas notre chère Yasmine de marbre. Elle se tremousse tout discretement sur son siège en croisant et décroisant les jambes, ce qui a pour effet de remonter sa jupe.

— Allez... Hakim ! Montes nous ton petit monstre et fais le goûter à cette chaudasse ! Dit Amira.

Surpris par cette situation, Hakim hésite à se lever. Mais après un petit rappel à "l'ordre" par sa chèrie, il se lève et s'approche de sa promise, qui n'hésite pas une demie-seconde à défaire la braguette protectrice de la bête.
Il la laisse sortir son zob de son pantalon avant de l'agiter devant les lèvres de Caline. Ne se faisant pas trop prier, ma cochonne, laisse, docilement, ce morceau de chair envahir sa bouche. Le couvrant délicatement de petits bisous durant une petite vingtaines de secondes, elle le prit en bouche et commence à le sucer comme si sa vie en dépend.
Jettant un coup d'œil à Yasmine, je vois qu'elle cherche à répondre à la grande question du jour :

"Qu'est ce que je fais ici ? C'est quoi cette maison de ouf ?"

Malgré tout, elle bat le vent avec ses jambes comme si elle à refroidir la chaleur naissante entre ses cuisses.

— Et tu la laisse faire Hamed ? Me demande Amira.
— Chuuut ! Ne gâches pas le plaisir qu'elle est entrain de vivre, et notre plaisir de la voir ainsi occupée !

D'un coup de pied, j'indique à mon autre frère de porter son attention à sa miss au lieu d'être scotché à admirer les prouesses de ma dulcinée.
Retirant la bite de son amoureux des griffes de Caline, Amira agite le membre durcit de Hakim et dit :

— Regardez, ça... Il est bien dur là... Alors tu comprends mon bonheur Caline ? Interroge Amira.
— C'est vrai qu'il est pas mal ! Commente Caline. Mais à quelques millimètres près, j'ai aussi la même chose dans mon lit... Hamed... Montres lui ton bâton !

C'est une scène inimaginable qui se joue là. Amira et Caline sont hors de contrôle, mais cette situatuon a l'avanrage d'être des plus excitantes que moi avoir connu. Me levant, Amira m'extirpe le sexe déjà tout dur, de mon pantalon pour le goûter, pour le sucer. Ne cachant pas ma joie, je regarde mon frère Halim qui a sorti son zob à qui, il imprime une timide caresse.

— Pas mal ce qui se trouve dans le futal de ton homme ! Déclare Amira. Je n'en connais pas beaucoup de belle-sœurs aussi bien loties que nous !

Les deux cochonnes continuent de nous sucer sans trop se souciller de la présence du troisième couple de la fratrie. Tout aussi bien que moi, je ne crois pas que Hakim s'offusquera que nos dames nous prennent pour des bouts de viande.

— Allez, ne restez pas planté là tous les deux ! Encourage ai-je Halim et Yasmine. Rejouissez-vous... Donnez libre court à vos envies !

Yasmine, toute timide, regarde mon frère dans les yeux. Essayant de prononcer quelques mots :

— Est-ce que tu veux bien me… Enfin…
— Avec joie...Bien-sûr que oui mon amour... Répond-il. Depuis le temps que j’en avais envie !

Je m’imaginais pas que cela aurait été aussi facile, aussi simple avec une fille aussi pure et innocente. Elle cachait bien son jeu. Elle s’attaque à sa baguette comme une chienne à qui on aurait lancé un os. Elle avance sa main pour se saisir ce sexe.

— Regardes Caline ce que tu as réussi à faire ! Lance ai-je.

Amira relève elle aussi la tête et voyant le membre que la belle Yasmine es0 entrain de manipuler.

— Merde... Encore un monstre ! Déclare-t-elle. Votre père est aussi bien loti ?
— Leur père est plus volumineux ! Rèpond Caline.
— Mais comment tu sais tout ça toi ? Lui demande Amira.
— J’te racontes ça une fois que tu auras fini de faire jouir mon chéri... Promis-juré !

Elle est si mignonne Amira. Elle est comme Caline : elle ne sait pas tenir sa langue (au sens propre comme au figuré) et elle aime ça.
Elle se penche vers moi. Elle est quasi déchainée, me faisant des bisous sur le gland avant de le prendre entre ses lèvres. Je sens ses coups de langue, faisant coulisser ma tige au fond de sa gorge. J’en gémis de bonheur.

— Yeaaah ! Vas'y  ! Pompes-le ! L’encourage Caline.

Je ne sais pas si c'était aussi le cas d'Amira, mais je suis sûr et certain que pour Yasmine, c'est la première fois qu'elle se retrouve dans une espèce d’orgie comme ça.
Des filles qui sucent des mecs les unes devant les autres, sans que cela puisse dérange quiconque. Je ne peux pas m’empêcher de les regarder, elles sont belles et si bien foutues les unes que les autres.
Pour calmer le jeu ou, pour chauffer encore plus l'atmosphère, j'aide tant bien que mal Amira à se débarrasser de son haut et de son soutien-gorge. Elle a une très belle poitrine, peut-être un peu plus grosse que celle de mon amoureuse. Yasmine, qui ne perdait pas de vue le ménage qui se joue à quelques métres de ses yeux. Elle se déshabille aussi, ses seins sont aussi imposants que ceux de ma chérie mais ils ont ľair ďêtre plus ferme !
Pour comparer, je détourne mon regard vers ma belle. Elle a "osé" loger la bite de mon frère entre ses nichons et lui imprime une branlette espagnole des plus cochonnes. On voit ce gland tout rouge, prête à exploser, voulant presque s'enfuir d'entre les miches de Calineà chaque va-et-vient, mais l'étauest si ferme. Hakim grogne de plaisir.
Basculant la tête de droite à gauche, je vois que les deux autres couples ne cessaient de nos jetter des coups ďœils, pour estimer notre approche de la jouissance.
Je détournais le regard, pour fixer le mur d'en face et essayer de retarder l'explosion de mon foutre dans la bouche de mon infatiguable suceuse.

— Oh oui... Jasmine... Que tu es... C'est trop bon... Ohhhhh... Ouiiiiiii ! Crie Halim.
— Ahhhh ouiiiii ! Crie ai-je en écho à mon frère Hakim.
— Caline... Tu es bonne !
— Amira... J'en peux plus ! Avons nous hurlé, mon frère et moi, avant de remplir la bouche ďAmira de mon jus, et de voir mon frangin éclabousser le visage de sa maîtresse de ce sperme qui n'aura pas le plaisir de féconder ses ovules, même si je savais que fécondation il n'y aurait pas eu, vu que Caline prenait des pillules contraceptives.

— Bon... Maintenant que j'ai enfin fais jouir ton keum... Tu vas me raconter tes secrets chère Caline ! Dit Amira qui avait encore la tête sur les épaules.
— Alors là... Toi quand tu as quelque chose en tête ! Bon... Viens ici Yasmine pour te mettre un peu au parfum aussi ! Dit Caline tout en récoltant le précieux nectar qu'on lui avait déposé sur son visage.

— Avant tout, on va commencer par le commencement ! S'explique Caline
— C'est à dire ? Demande Amira.
— On va se faire une soirée Djelaba !
— Non t'es sérieuse là ? L'interroge Yasmine. Après tout ce que l'on vient de faire ?
— Soirée Djelava c'est le code de cette famille "naturiste" pour signifier que la ou les personnes qui sont présents dans les murs de ce "Menzel" ne seront pas choqués de passer une soirée à poil ! Et tel était ma surprise le premier jour que j'ai mis le pied dans cette maison !
— Nooon... Tu veux dire que depuis la première soirée ici, tu t'es retrouvé à poil ?
— Enfin... Oui et non... Hamed me connaissant assez bien, savait que cela ne me choquerai pas de me retrouver entourée de personnes nues et encore moins si c'est des membres de ma belle famille... Je dois vous avouer que déjà dés le début de notre relation, nous avons souvent discuté à propos de naturiste, exhib, voyeur... Nous avons même prévu de passer des vacances dans un centre naturiste mais c'était tombé à l'eau, mais si c'est aussi kiffant qu'ici, il y a de forte chance d'être des clients fidéles !
— Y aura t-il une place pour nous aussi ? Demandait Halim.
— Si Yasmine est d'accord ? Répond ai-je avec un grand sourire.
— Vas'y... La suite ! S'empresse Amira de dire.
— Ben la suite, c'est presque comme tu peux l'imaginer !
— z'y va Caline... Arrête de nous faire languir ! S'exprime enfin Yasmine.
— Ok ! Alors pour faire court... On m'a... Patricia... M'a expliqué la définition de la soirée Djelaba. Au début, je ne voulais pas mais en fin de soirée on a... Partouzé !
— Comment ça ? Demande toute étonnée Amira.
— On avait ou du moins moi avec tout ce que j'avais bu, je n'avais plus la tête sur les épaules et par défi, Hamed disait qu'il n'était pas jaloux... Pour voir s'il disait vrai... Je me suis faite... Prendre par son père !
— Et ses frères ? Demande Yasmine.
— Non... Ils étaient occupés ailleurs !
— C'est à dire ? Demande Yasmine étant plus interessée à connaître la suite du récit.
— Je... Je... Ne crois pas... Que... J'ai le droit de vous le dire ! Dit Caline en nous fixant, mes frères et moi des yeux.

Je lui faisais "non" de la tête, jugeant qu'elles, surtout Yasmine, n'étaient pas encore prêtes à accepter cette vérité. Toute les relations incestueuses sont tabous quelqu'elle soit la réligion, la nationalité ou l'éthnie. Mieux valait savoir à qui on à faire avant d'en parler.

À suivre...

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Texte coquin : 13.07.1997 (2/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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