2éme confinement - histoire érotique

Un soir pendant le 2ème confinement , je suis seul, ma femme, mon amour est avec ma bénédiction chez son amant. Il y avait longtemps qu'elle n'en avait pas gardé un aussi longtemps. J'ai 63 ans et Sylvie 58, je suis un jeune retraité et Sylvie sans profession rémunératrice. On s'est connu il y a 43 ans, elle était vierge , moi pas.
Mais partons un peu dans le passé. Nous ne sommes pas ce qu'on appelle un couple libertin mais plutôt un couple libre sexuellement, nous n'avons jamais fréquenté les clubs échangistes ou soirées privées liées au sexe. Par mon regard sur ma chérie, son comportement et sa beauté qui attiraient le regard des hommes, je savais qu'elle ne pourrait rester fidèle toute sa vie et comme j'avais l'intention de la partager avec la mienne, rapidement je lui ai dit qu'elle était libre sexuellement à condition de ne pas passer pour un cocu et de me tenir au courant. Moi-même n'ayant jamais été fidèle, je ne voyais pas pourquoi elle ne pourrait pas avoir cette possibilité, je l'aimais, elle m'aimait, ensemble on faisait l'amour souvent et de manière fusionnelle.
Ma belle est restée fidèle quelques années puis a pris un premier amant pendant quelques fois, à chaque fois, elle me racontait les détails et de on faisait l'amour encore plus fort. Les aventures augmentaient de rythme , interrompues uniquement trois mois avant notre désir de faire un enfant et pendant ses grossesses.
J'étais originaire d'un village dans les Hautes-Pyrénées, Sylvie et nos enfants y passaient le mois d'août. Prenant mes congés en juillet où nous partions tous les quatre au bord de la mer, Sylvie restait seule avec les enfants, je les retrouvais pendant mes jours de repos. Elle y retrouvait une amie Marie-Jeanne qui possédait un chalet avec son mari. Toutes les deux étaient très complices et se racontaient tout. Marie-Jeanne lui raconta avoir eu une aventure avec un copain du même âge l'été précédent et lui dit que c'était un bon coup. Un jour, elle le croisèrent et Jean-Jacques leur proposa d'aller dans son chalet boire un verre, Sylvie était avec notre plus jeune fils dans sa poussette. Marie-Jeanne voyant que Sylvie et Jean-Jacques avaient l'air de se rapprocher proposa d'amener notre enfant goûter chez elle. Peu après son départ, Sylvie et Jean-Jacques s'embrassaient et filaient dans la chambre faire l'amour. Rapidement elle entreprit une fellation à son futur amant puis l'attira en elle. Pendant toutes ces vacances, régulièrement Marie-Jeanne a gardé nos enfants pendant que Sylvie allait rejoindre discrètement Jean-Jacques dans son chalet, elle découvrit dès la 2eme fois que son amant savait jouer de sa langue pour affoler son clito. La fin de ces vacances marqua aussi la fin de cette liaison. C'était il y a trente an. L'été suivant, Jean-Jacques était en couple et il se maria l'hiver qui suivit.
Comme moi, ma chérie alternait les aventures d'un soir avec des liaisons de quelques mois, elle eut quelques coups de cœur qui correspondaient à une entente sexuelle très importante, le plus important eu lieu avec un de ses prof de fitness, pendant trois mois, elle ne pensait qu'à retrouver son amant, elle ressentait un besoin inexpliqué de sucer son sexe, d'avoir la langue de son amant en train de fouiller sa chatte et d'avoir sa bite en train de limer son vagin. Ce besoin presque animal disparu d'un coup.
L'été 2019, Sylvie alla rejoindre Marie-Jeanne pour un w.e. prolongé dans mon village, elles croisèrent Jean-Jacques divorcé depuis plusieurs années, la magie opéra à nouveau et Sylvie retrouva le lit de Jean-Jacques presque aussitôt. N'ayant plus d'enfant à s'occuper, le séjour avec Marie-Jeanne se transforma en séjour à baiser sans arrêt avec cet amant retrouvé. Jeune retraité habitant Bordeaux à vingt kilomètres de chez nous, cette liaison devint régulière. Je le connais depuis toujours, il sait qu'il peut coucher avec ma femme grâce à mon accord que ce soit actuellement ou il y a bientôt trente ans. Il m'a prêté son chalet pour y amener une maîtresse qui avait besoin de discrétion, en contrepartie il a pu profiter de ma femme pendant quarante-huit heures. Comme toujours, lors de nos retrouvailles, j'aimais avoir les détails de ses parties de jambes en l'air alors qu'elle n'aime pas que je lui raconte les miennes. On aime particulièrement lorsque je suis en train de lui faire un cunnilingus qu'elle raconte comment Jean-Jacques ou un autre opère lorsqu'il est à ma place.
Nous arrivons à cette période étrange de ces confinement, lors du premier, pendant toute cette période on est resté cloîtré, Jean-Jacques a du se contenter de contact par mail, sms ou téléphone. Cet été il a déménagé et habite à quelques kilomètres de son ancien appartement et le nouveau à la particularité d'être près d'un centre commercial, grâce à ça en cochant la case « achat de 1ère nécessité », Sylvie va régulièrement faire ses achats chez Jean-Jacques , ils font l'amour puis elle court acheter deux ou trois bricoles et revient à la maison. La semaine dernière il a téléphoné lui demandant s'il pouvait venir en fin d'après-midi prenant le risque de débourser 135€, il est resté dîner puis en gentil copain et gentil mari, je les ai laissés passer la nuit ensemble dans une chambre d'amis. Il était venu une fois passer le nuit avec Sylvie mais cette fois-là, j'avais invité Mathilde, ma copine. En allant leur amener le café, je suis arrivé au moment où Jean-Jacques était sur ma chérie et qu'elle avait un bel orgasme. J'ai attendu quelques instants puis ma chérie m'a tendu les bras pour me faire un gros bisous en signe de bonjour.
Et ce coup-ci, c'était le tour de Sylvie d'aller passer la nuit chez son amant, toujours avec son attestation de sortie pour achat de 1ère nécessité.
Je connais leur rituel, un gros patin en guise de bonjour, un apéritif au vin rouge suivi d'un petit repas en finissant la bouteille de vin puis direction le lit. Je sais que ma chérie aimé se déshabiller devant lui puis lui enlever ses vêtements un par un ne gardant que le slip. Elle aime ensuite se mettre à genoux devant lui, baisser son dernier rempart en dévoilant la verge lentement puis la prendre en bouche. Elle aime alterner les bisous sur le gland, lécher la verge sur toute la longueur, titiller le gland du bout de la langue puis le sucer en entier. Une fois la cadence trouvée elle appuie sur les fesses et n’hésite pas 6 venait caresser l'anus avec son majeur. Ensuite, elle sait que son amant va s'occuper de sa chatte, impudique, elle écarte les cuisses au maximum pour laisser l’accès libre à sa bouche et à sa langue, il ne lui faut pas longtemps pour jouir. Selon les jours ou les soirs, Jean-Jacques va la prendre dans la chatte ou parfois préfère la sodomiser. Il leur arrivé de s'endormir avec la queue ramollir de Jean-Jacques encore dans le vagin. Je connais ce rituel puisque c'est son préféré avec moi.
Je sais que demain matin, avant de prendre son petit-déjeuner elle va me passer un coup de téléphone et après le café retourner au lit refaire l'amour avant de le quitter.
Il faut un peut jongler car depuis le premier déconfinement, nous avons une relation échangiste avec un couple d'amis. Ce sont nos retrouvailles post-confinement qui ont dégénérées pour finir avec l’épouse de l'autre dans le lit. Depuis la mi-mai, nous avons inversé les couples trois fois, mais ça, c'est une autre histoire.
Certains diront que nous avons une vie de couple bien particulière, on s'en moque, on s'aime et nos mœurs nous conviennent.