Notre vie en deux temps, Ma version et celle de ma femme.

- Par l'auteur HDS Robert Charmand -
Auteur homme.
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Récit libertin : Notre vie en deux temps, Ma version et celle de ma femme. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Notre vie en deux temps, Ma version et celle de ma femme.
Je m'appelle Jean-Claude, aujourd'hui j'ai 62ans, jeune, j'étais un peu timide les filles m'attiraient et avant d'oser les aborder, je me suis masturbé longtemps, ensuite, 1ers patins, découverte des seins au naturel et non dans les magasines , 1ère fois où une fille me laisse accéder à son minou puis enfin, 1ère fois où je fis l'amour, ce ne fut pas terrible pour ma partenaire, moi, j'étais fier de l'annoncer à tous mes copains qui avaient osé depuis longtemps. Je suis arrivé au bac avec 4 aventures sexuelles dont une de quelques mois qui m'a permis de m'initier au cunnilingus, chose que j’aimais pratiquer, qu'une jeune femme me l'aise poser mes lèvres sur son minou puis laisser ma langue jouer avec son clito me paraissait le sommet de l'intimité et de l'érotisme.

Bac en poche avec mention, je quittais ma province pour « monter" à Paris en 1ere année de prépa muni d'une bourse et avec une chambre à la cité U. Dès la 1ere tentative, je fus reçu à l’école d'ingénieur que je visai et donc, j'attaquai ma 2ème année parisienne avec moins de pression. Nous étions un groupe de copains et copines et les W.E. se passaient en fêtes où les couples se faisaient et se défaisaient. En ce début des années 80, beaucoup de nos copines avaient opté pour la libération de la femme mais certaines n'avaient pas franchi complètement le pas. J'avais remarqué Françoise, une belle étudiante dont j'étais un peu amoureux qui avait la réputation de ne pas coucher facilement, seuls 3 ou 4 se vantaient d'avoir réussi à la mettre dans leur lit. Lors d'une soirée, je partis vers les toilettes et tombais sur elle à genou face à un copain pantalon baissé et verge au garde à vous en train de lui faire une pipe magistrale, à mon passage, elle arrêta, me fit un grand sourire et reprit sa pipe. A mon retour, elle était seule, me sourit à nouveau et on entama une discussion, j'essayais de faire durer notre tête à tête pour la connaître un peu mieux . De temps en temps, elle flirtait avec un copain et le suçait. Un jour on à flirté ensemble puis lorsque j'ai voulu aller plus loin, elle me suça, on est sorti officiellement ensemble et du coup n'a plus sucé que moi, je dois dire qu'elle était très douée et je n'avais pas besoin de lui demander, j'avais le droit d’honorer sa poitrine mais son minou, seule ma main en avait fait connaissance. . Au bout de 3 mois, on se retrouva dans ma chambre, je la déshabillai , embrassai chaque parcelle de son corps et posais enfin ma bouche sur son abricot dont la touffe était bien taillée, les lèvres dégagées et la toison couper court. Elle écarta les cuisses et je pus insérer ma langue dans sa fente et découvrir enfin son clito que je tétais. Mes doigts, ma langue ont rattrapé des mois de frustration et lorsqu’elle partit dans son 1er orgasme, j'ai failli jouir en même temps . Elle me demanda de venir la rejoindre, je me plaçais entre ses cuisses et mon sexe se positionna face au sien. En me regardant dans les yeux elle me dit de venir, appuya sur mes fesses de ses 2 mains et mon sexe s'enfonça doucement en elle. Notre 1er coït fut assez rapide tant mon excitation était forte. Une fois couché , je la pris dans mes bras et doucement je lui ai dit « Je t'aime « . Elle m'avoua que ses 4 précédents amants ne lui a jamais fait de cunnilingus et qu’en préliminaire ils préféraient une fellation puis passaient au coït qui ne durait pas longtemps.
Pour nos parents, on vivait chacun dans sa chambre la liberté sexuelle n'avait pas atteint la génération précédente mais nous étions toujours chez l'un ou l’autre, nous passions nos jours et nuits collés l'un dans l'autre, on se découvrait de jour en jour il n'y avait pas un jour où on ne se retrouvait pas en 69,son odeur , son corps, son visage, tout s'excitait en elle. , un jour bien excitée, elle me présenta ses fesses et me demanda de la sodomiser doucement car elle ne l'avait jamais fait. Par la suite, de temps en temps, je la sodomisais mais c'était assez rare. Diplôme en poche, exempté se service militaire, j'ai décroché un job très rapidement qui m’envoyait pour 3 ans en Afrique noire et afin que Françoise puisse m'accompagner, je la demandais en mariage et on partit peu après. On arriva dans une petite bourgade et on s’installa dans le quartier « des expatriés « , nous étions une dizaine de couples allant de notre âge ( Françoise était la plus jeune) à une petite cinquantaine pour le plus ancien. La maison était très simple mais propre, on nous attribua un boy comme on disait à l'époque, Françoise trouva aussitôt un travail comme instit dans l'unique école et moi, mon bureau était tout près mais je me déplaçais régulièrement dans la brousse. L'ambiance, la chaleur, le peu de vêtement et notre jeunesse nous poussaient à baisser très souvent, je disais à Françoise que notre boy devait nous entendre et ça l'excitait de plus belle, son côté exhib ressortait. Elle me raconta qu'un jour où elle était seule, notre boy rentra dans notre chambre et l’a trouva nue sur le lit en train de se masturber, il resta figé sur le pas de porte, elle lui dit de ne pas rentrer mais pas non plus de partir, et sous ses yeux, elle continua et pris rapidement son pied. Dès lors, elle ne se gênait plus devant lui, prenait sa douche rideau ouvert, faisait la sieste nue en se masturbant et s'excitait à le voir yeux exorbités et une bosse énorme dans le short. Il savait qu'il pouvait regarder mais pas toucher. Jean-Claude : Nous nous recevions régulièrement entre expats, les discutions finissaient souvent sur le sexe et un collègue avait des théories très machistes sur ce sujet. Un dimanche matin, laissant Françoise dormir, je partis faire mon footing le long de la rivière et je découvris dans un coin retiré l'épouse du macho nue dans la rivière et comme elle m'avait vu aussi, je ne pus m'enfuir discrètement. On papota un moment, moi au bord, elle dans l'eau jusqu'au cou puis elle me demanda de tendre sa serviette pour qu'elle puisse sortir et avec un sourire me dit de ne pas en profiter pour regarder. Je fermais donc les yeux et elle vint s’enrouler dans sa serviette puis se tournant face à moi voulut me faire un petit baiser de remerciement, mes bras passèrent autour de sa taille et le petit baiser passa sur la bouche, nos lèvres s’ouvriront et nos langues se trouvèrent, on se retrouva étendu sur le rivage, la serviette s’ouvrit et j'ai découvert sa poitrine que j'ai honoré de baisers puis sa fente complètement épilée que j'ai léché du clito jusqu'à sa rondelle, je sentis sa main passer sous mon short pour caresser mon sexe puis me l' enlever entraînant le slip avant d’attaquer une superbe fellation qui finit en 69, enfin, je fis un demi-tour, me plaçais entre ses jambes et la pénétrais, elle écartait les cuisses au maximum, tendait les fesses pour venir à ma rencontre puis appuyait sur les miennes pour augmenter la pénétration. Étendue à mes côtés, elle me dit que son mari exigeait un sexe entièrement épilé, qu'il était très possessif mais avait horreur des baignades matinales et qu'elle en faisait tous les dimanches matin au même endroit. Jusqu'à la fin de son séjour, je courrais le dimanche le long de la rivière, on fit l'amour dans l'eau, son plaisir était de plonger pour me sucer en apnée, chaque séance de baise augmentait son plaisir de rendre son mari cocu. Un jour, peu avant leur retour en France alors que j'approchais d'elle, je la vis assise au bord de l'eau et l’entendis pleurer. Je m'assis à ses côtés et je m'aperçus qu'elle avait le visage tuméfié , elle me dit que son mari l'avait accusée de coucher avec leur boy, chose inexacte et l'avait frappée , elle me dit que sitôt en France elle demandait le divorce, ensuite, elle m’embrassa, baissa mon short et mon slip et me suça, j'avais l'impression que c'était la 1ere alors que ce fut la dernière, ensuite, elle se retourna et en écartant les fesses me demanda de la sodomiser, ce que je fit avec douceur, je me penchais sur elle, introduis ma langue dans son sillon et lui léchais sa rondelle, l'assouplis avec les doigts puis amenas mon gland à l'entrée et lentement m’enfonçais en elle. Une fois complètement introduit, j'ai commencé mon coït, d'abord lentement puis en accélérant. Je me suis vidé en elle et nous sommes resté emboîtés , elle à plat ventre sur sa serviette et moi étalé sur elle. Elle me dit qu'elle n'avait jamais donné ses fesses à son macho de mari, qu'il ignorait qu'elle avait couché avec tous ses collègues et qu'avant de repartir, elle allait baiser avec leur boy. Ce fut notre dernière fois ensemble. Je ne l'ai revue que la veille de son départ lors de leur pot.


Je m'appelle Françoise, après mon bac, je suis rentrée en fac et j'ai pu avoir une chambre à la cité U. Depuis mon 1er baiser d'amour, c'est-à-dire en mettant la langue, mes petits copains voulaient aller -plus loin et n'étant pas prête, j’ai pris l'habitude de leur faire une fellation d'autant plus facilement que j'aimais sentir leur sexe durcir dans ma bouche, au dernier moment, je l'enlevais de ma bouche et ils éjaculaient toujours à côté ; bien sûr, j’acceptait les caresses sur les seins et dans ma chatte. Lorsque je me sentis prête, j'ai laissé faire mon partenaire et je perdis banalement ma virginité. Mes amants suivant se contentaient d'une fellation suivie d'une baise qui ressemblait plus à un acte hygiénique qu'à un acte d'amour. Lors des fêtes communes, j'avais remarqué Jean-Claude mais il semblait ne pas me voir, aussi, le jour où il passa devant moi en train de sucer son copain, je n'ai pas hésité à interrompre ma fellation pour lui faire le plus beau des sourires, puis à son retour, alors que son copain était parti je l'ai interpellé pour parler avec lui et m'arranger pour le retenir longtemps . Un jour, on a commencé à flirter ensemble, plutôt que de faire l’amour , je lui ai fait une pipe et j'ai arrête de sucer les autres, enfin quelques mois plus tard, je me donnais à lui . Dès la 1ere fois et contrairement aux autres , il me fit un délicieux cunnilingus qui m'envoya en l'air rapidement quelle sensation d'avoir une bouche collée sur son minou, sentir une langue passer entre mes petites lèvres descendre vers mon anus, remonter pour titiller mon clito puis pénétrer dans mon vagin, rapidement, je sentis un orgasme m'envahir. Pour clore notre 1ere, il m'avoua qu'il m'aimait, moi, j'étais tombée amoureuse depuis longtemps . Après son diplôme il m'a épousée et on est parti pour 3 ans en Afrique. On a rapidement pris nos habitudes, j'ai été embauchée comme instit dans l'unique école, dès que possible, on baisait, Jean-Claude avait peur au début que notre boy nous entende, moi, ça s'excitait, mon côté exhib reprenait le dessus. Jean-Claude partait régulièrement en brousse 2 ou 3 jours et pendant ses absences, lorsque je rentrais, je me déshabillais, m'étendais sur le lit et me masturbais. Un jour, la porte s’ouvrit brusquement et notre boy s'est trouvé face à moi, je lui ai souri et lui ai fait signe de ne pas bouger, après ça, chaque fois que j'étais seule et allais dans la chambre, il venait mater, je voyais la bosse dans son short et ça s’excitait encore plus, il lui est arrivé de sortir son sexe et de se masturber, jamais il n'a osé s'approcher, je pense que je l'aurais peut-être laisse faire. Je n’hésitait pas à prendre mes douches les portes ouvertes et à passer nue devant lui. Les rideaux de la chambre étaient toujours fermés pour maintenir un peu de fraîcheur et plusieurs fois je les trouvais légèrement entrouverts lorsque je venait me faire plaisir, et je devais les remettre en place , un jour, j'ai oublié de les refermer et je me suis aperçu que quelqu'un me regardait, depuis, je ne touchais plus aux rideaux et des têtes différentes venaient me mater, c'était notre boy qui invitait ses potes à se rincer l'œil. Pendant une période, j'ai eu un doute sur la fidélité de Jean-Claude, lors de soirées entre expats, la femme d'un français très macho n'arrêtait pas de mater mon homme, etait- ce réel ou pour emmerder son mari ? Peut-être les 2. Le jeune assistant noir de mon mari passait régulièrement à la maison chercher des papiers pour lui et je remarquait qu'il restait de plus en plus longtemps surtout lorsque j'étais en maillot 2 pièces. Un jour, il est arrivé couvert de poussière et je lui ai proposé de se doucher, lorsque je lui ai apporté une serviette, il sortait de la douche, le sexe à demi dressé, on s'est regardé, il s'est approché de moi, m'a embrassée , j'ai posé ma main sur son sexe qui s'est dressé d'un coup, me suis mise à genou et l'ai sucé, ensuite, il m’a baissé mon maillot, à posé mes mains sur le lavabo et m'a prise en levrette, mon attirance avec la peau noire fut pour moi une révélation. Il nous restait 3 mois de contrat en Afrique et mon amant passait régulièrement s’occuper de moi, j'avais donné rarement mes fesses à mon chéri et lorsque mon amant s’aventura vers là, je lui dis d'y aller doucement, ce qu'il fit pour mon plus grand plaisir. Chaque fois que Jean-Claude s'absentait, mon amant passait me baiser, que c’était bon de varier les plaisirs avec lui, sentir son membre imposant s'incruster entre mes lèvres du haut ou du bas. J’aimais beaucoup mon mari mais j'étais accro à son sexe imposant, je le suçais, non je le dégustais j’aimais le sentir prendre de la raideur sous mes coups de langue et de gorge profonde, notre boy était notre témoin et il se masturbait sans arrêt, jamais devant Jean-Claude il n'a laissé paraître quoi que ce soit. Quelques jours avant notre retour en France , le directeur de l'école m'appela pour les formalités de fin de contrat, c’était un noir imposant de plus de 50 ans, j'arrivais, comme d'habitude dans ma robe légère avec juste un soutif et une culotte comme défense , il me complimenta sur mes qualités d’enseignante et sur ma beauté, il me demanda si on pouvait se faire la bise, je tendis la joue mais il m’enlaça et me roula un patin puis passa sa main sous ma robe, atteignit la culotte et passa un doigt dans ma chatte, j'aurais dû réagir mais je le laissais faire et lorsqu'il s'occupa de mon petit bouton, je lui mis la main sur la braguette, ouvris les boutons et tant bien que mal sortis sa queue déjà en érection, me mis à genou et l'embouchais aussitôt, il me fit me lever, ota ma culotte me fit assoir sur le bord de son bureau et vint m'introduire aussitôt, alors qu'il était en pleine action, un bruit nous obligea à tout interrompre et on a eu juste le temps d'être présentable avant que sa secrétaire ne tape à la porte, je rentrais chez nous, la culotte roulé dans mon sac à main . Notre futur départ ne nous permit pas de concrétiser. Jean-Claude : À notre retour en France , on s'installa à Paris, je continuai dans ma société, Françoise trouva un travail dans sa partie et une fois bien stable, on décida de faire un enfant, 11 mois après notre 1ere tentative, notre fils naissait. Peu après sa naissance, on partit quelques jours à Deauville chez ma sœur et son mari, une semaine plus tard, je laissais ma petite famille et retournais au boulot . Ces 5 jours de séparation me parurent une éternité loin de Françoise et de notre bébé.
Françoise : Après avoir passé une semaine de vacances en famille, Jean-Claude regagna Paris pour son boulot. Un voisin de 40 ans, ami de ma sœur passait souvent chez elle et je m'étais aperçu que même en présence de mon mari, il me dévorait des yeux. Le lundi, je promenais mon fils et en passant devant chez lui, il me fit signe et me proposa de venir boire un café, j'installais le Landau dans un coin , m'assurais qu'il dormait et me posais sur le canapé, il s'assit à mes côtés et je n'ai pas su comment je me suis retrouvée ses bras autour de moi et sa bouche sur la mienne, je sentais sa langue forcer ma bouche et je ne sais pas pourquoi, je répondis à son baiser, sa main s'empara d'un de mes seins puis descendit, passa sous ma jupe puis dans ma culotte, toute résistance m'avait abandonnée et je me laissais étendre sur le canapé. Ma culotte se retrouva sur le plancher, je sentis qu'il défaisait son pantalon et un instant plus tard qu'il approchait son sexe du mien , rapidement, je le sentis complètement rentré. Il m'embrassa et entrepris un lent coït qui me fit jouir. Je filais en vitesse me rincer sous la douche et répartis aussitôt avec mon bébé. Après 9 mois de grossesse j'ai eu l'impression de redevenir une femme désirée par un homme autre que mon mari. Les 4 jours qui me séparaient du retour de Jean-Claude, je les ai passé en ruse pour aller au moins une fois par jour me faire baiser par mon amant. C'était plus fort que moi, à chaque fois, je me disais que c'était la dernière fois et dès que possible, je retournais vers lui. Les fois suivantes furent plus complètes, il me déshabillai puis s'occupait de mon abricot qu'il embrassait et suçait de partout, de mon côté j'aimais le prendre en bouche, agacer son gland et sucer sa queue profondément, ensuite, il me prenait chaque fois dans une position différente. A l'arrivée de Jean-Claude, je redevins l'épouse modèle et vertueuse. Je ne suis plus jamais retourné seule chez ma belle-sœur , craignant de tomber sur mon amant, habitant là à demeure. J'aimes de plus en plus me montrer nue ou en dessous sexy, sur les plages naturistes, , écarter les jambes au passage des hommes. En présence d'amis à la maison, j'aime arriver le matin en déshabillé sans rien dessous, mon minou protégé uniquement de mon ticket de métro ou le soir, revenir en tenue de nuit leur faire la bise, certains osent poser leur mains sur ma poitrine, les plus habitués vont jusqu'à la poser à plat sur mon sexe mais interdiction de rentrer un doigt, Jean-Claude est content, une fois au lit, je lui saute dessus. Sur une plage déserte en Amérique du Sud, on se baignai nu avec Jean-Claude puis étalés sur nos serviettes, on profilait du soleil, un « local" est arrivé et nous voyant nus s'est déshabillé et est venu discuté avec nous, les yeux vers ma chatte qu'il avait bien en vue, ayant écarté les jambes à son intention, en souriant, mon chéri me dit qu'il retournait se baigner me laissant seule avec le gars dont la verge commençait à se redresser. Voyant ma non-hostilité, il s'est rapproché et a posé sa main sur ma cuisse puis l'amena au niveau de mon minou, Jean-Claude nous regardait et me faisait de grands sourires en levant le pouce, du coup, j'ai laissé sa main venir et son doigt me pénétrer, je n'étais pas inactive car j’ai commencé le caresser puis à le masturber, voyant les réactions de mon mari, je me suis penchée et je l'ai sucé, il arrêta ses caresses, s’étendit sur le sable et profita de cette aubaine qui ne dura pas longtemps car voyant sa jouissance proche, j'ai dirigé son sexe vers le sable et il se vida aussitôt. Voyant Jean-Claude ressortir de l'eau, il se rhabilla en un clin d'œil me remercia d'un grand sourire et partit rapidement. Jean-Claude, sourire aux lèvres me demanda si j'avais aimé, me prit par la main et m'amena dans notre chambre il ne me fit pas l’amour mais on baisa comme des bêtes. Quelques années plus tard, on laissa notre fils chez mes parents et on partit 2 semaines en Martinique, une copine installée là bas nous hébergeant, sans enfant, on a retrouvé notre fougue sexuelle ce qui faisait rire notre amie, on mangeait souvent au resto de son amant, un martiniquais grand et athlétique, ma copine me vantait ses mérites au lit et un jour elle me proposa de me le prêter, pour Jean-Claude, on passait la matinée à faire du shopping mais en réalité, j'allais chez lui me faire baiser, dès le 1er jour, je retrouvais le plaisir d'une peau noire et je me lâchais complètement, en 2 semaines, nous avons réussi 3 fois à berner Jean-Claude et les 3 fois j'ai joui comme une folle. J'aimais sa verge qui prenait des dimensions imposantes sous mes coups de langue et mes allers-retours avec ma bouche, j'aimais lorsque je sentais sa bitte à l'entrée de ma chatte entrouvrir mes lèvres et s'enfoncer en moi, j'aimais me sentir envahie par cet engin et me faire pilonner. 3 fois seulement mais 3 fois de baise comme rarement un amant m'a fait connaître, je ne parle pas de Jean-Claude qui est hors comparaison.
Il y a quelques années, je partais régulièrement à Lille 2 ou 3 jours par semaine pour mon travail, je descendait toujours dans un hôtel du centre ville avec toujours quelques collègues venus d'autres agences de province, nous avons plus ou moins sympathisé et 3 d'entres nous ont fait « bande à part « et on s'est retrouvé avec Bertrand tous les 2 à dîner le soir. J'étais très attirée par lui car il était noir et on s'est rapproché à chaque rencontre et le premier soir de notre 2ème déplacement, lorsqu'il m'a embrassé devant la porte de ma chambre, je l'ai fait rentrer. Pendant presque un an à raison d'un ou deux déplacements par mois, 3 nuits à chaque fois, on partageait le même lit, on a vécu presque comme un vrai couple, au lit, je l'ai sucé, j'ai avalé sa semence, il m'a léché de partout, sa langue à pénétré ma rondelle son sexe ma fait jouir par la chatte et par le cul, à part avec Jean-Claude, je n'ai connu un tel degré d'intimité et de complicité sexuelle. On devait être un peu amoureux mais jamais des mots d’amour n'ont été dits, j'aimais mon mari, il aimait sa femme et ce fut une parenthèse enchantée dans notre existence. Je me demande ce qui se passerait si on se croisait demain, la magie serait-elle toujours là, on serait toujours attiré l'un vers l'autre et on se retrouverait dans un lit â faire l'amour , je me souviens de son odeur, du goût de son sexe coulissant dans ma bouche de celui de son sperme lorsque j'ai appris à le laisser inonder ma bouche, lorsque je me masturbe en pensant à lui, mes lèvres intimes retrouvent la sensation que j'avais lorsque sa verge me pénétrait puis accélérait pour m'amener à la jouissance. L’année dernière, dans l'avion qui nous ramenait de nos vacances aux Antilles ou j'avais fait beaucoup d'exhib sur les plages mais sans aller plus loin, on était très excité tous les 2 et je me suis laissé aller à des confidences, je lui ai avoué mon amant de 5 jours après mon accouchement et ma liaison avec mon collègue pendant mes déplacements , arrivé chez nous, il m'a fallu lui donner des détails sur mes amants, il n'a rien dit mais m'a sauté dessus pour me baiser. À la fin 2019, je lui ai avoué mes écarts en Afrique et m’a liaison en Martinique avec l'amant de notre copine, rebelote, il m’a sauté dessus, je me demande s'il ne devient pas un peu candauliste. Il a été le témoin de flirts parfois très poussés, un 31 décembre aux yeux de tous je me suis laissée embrasser sur la piste de danse, je me suis faite caresser avec son accord je suis parti aux toilettes et je lui ai fait une fellation. Une fois, on a ramené chez nous un homme rencontré en boite, devant mon chéri, il m'a déshabillée, j'ai dansé nue dans leurs bras passant de l'un à l'autre, je les ai sucé à tour de rôle mais au dernier moment, je n'ai pas osé faire l'amour devant Jean-Claude, je ne suis excusée et il est reparti très déçu. J'ai embrassé pas mal d'hommes, sucé quelques uns laissé l'accès à mon minou â d'autres. Je ne vous en dit pas plus, si j'ai des révélations à faire, Jean-Claude aura la primeur de mes aveux. En fin de compte, en 40 ans de vie sexuelle, j'ai été raisonnablement infidèle.
Jean-Claude : Françoise en 2 temps m'a avoué avoir eu des relations extraconjugales, ces aventures dataient plus ou moins, la plus longue et la plus récente remontait 3 ou 4 ans, je n'ai pas été jaloux, contrairement à ce que j'aurais pensé, peut-être est-ce dû au recul. L'avenir me dira si elle a encore quelques aventures cachées, sans doute que oui, ce n'est pas grave, on s'aime.

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