2eme Dévergondage de Patricia.
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 14 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Osiris ont reçu un total de 65 249 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 5 463 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
2eme Dévergondage de Patricia.
2eme Dévergondage de Patricia.
Cela fait maintenant trois semaines que j’ai eu mon aventure plus que scabreuse avec Karim et mon beau-frère en spectateur malgré lui. Malgré ma honte, j’y pense tous les jours. Donc trois semaines après, un lundi matin , puisque je ne travaille pas ce jour-là, on frappe à ma porte.
J’ouvre ma porte et là, je vois Karim accompagné d’une jeune femme noir comme lui.
Bonjour Patricia,je pense que tu as très envie de me revoir. Il rentre et aussitôt, profitant de ma surprise, me fourre sa langue dans ma bouche, sa main droite se pose sur mon sexe à travers ma robe. Je reste là, bras ballants et j’écarte mes cuisses en me laissant faire et sans résister. Ma culotte commença à s’humidifier.
Il s’arrêta net et me présenta l’une de ses plus jeunes femmes. Il en avait trois. Elle se prénommait, Malia. Cette femme était belle, très mince et avait apparemment environ une trentaine d’années.
Il me dit qu’il ne pouvait pas rester car il avait des problèmes à régler mais qu’il reviendra pour rechercher Malia et qu’il viendrait avec un copain. Par contre, il me laisse en compagnie de Malia pour parfaire mon éducation. Il me conseille vivement, de me laisser faire, sinon, il reviendra avec moins de sentiments. Aussitôt, sans me dire autre chose, il part sans m’adresser le moindre regard ni parole.
Je me retrouve seule, avec cette fille, complètement désemparée.
Malia, avait avec elle, une petite valise de voyage qu’elle posa sur le sol.
Elle vient près de moi et me dit de m’asseoir à côté d’elle sur le divan.
Pour commencer, je vais jouer au docteur avec toi. Il faut que je tu sois propre de partout, extérieur comme de l’intérieur. Je ne comprends pas ce qu’elle me dit.
As-tu déjà fait l’amour avec une fille ? Je lui réponds que non, bien sûr et que rien que d’y penser cela me dégoûte.
Il faut un début à tout, ma belle. Laisse toi faire et tu ne le regretteras pas.
Elle prend deux doigts et m’ordonne de les mouiller avec ma salive. Elle les met dans ma bouche.
Écarte bien tes cuisses, je sens sa main remonter à l’intérieur de mes cuisses.
Elle arrive à ma culotte, qu’elle écarte sur le côté et pénètre sans retenue ma chatte.
J’ouvre ma bouche de stupeur.
Et bien dit ! tu mouilles déjà petite vicieuse. Tu n’aimes pas les filles à part ça. Menteuse.
Ce n’est pas toi, mais c’est à cause de Karim, lui dit je.
Lève toi maintenant et met toi entièrement nue, suit moi dans la salle de bain et ne bronche pas, sinon , j’appelle Karim.
Après hésitation de ma part, elle me presse d’obéir sans réfléchir.
Pendant que je me déshabille, je la vois prendre une poche de liquide transparent relier à un tuyau avec un robinet au bout, un peu comme une perfusion.
Rentre dans la douche, me dit elle, je vais te laver.
Elle prend la poche de liquide et l’accroche en haut de la douche au-dessus de moi sur la paroi en verre.
As-tu du lait de toilette ? Je lui réponds que oui. Donne-le-moi.
Elle en prend une grosse noisette sur ses doigts et en enduit le bout du robinet sur toute sa longueur.
Maintenant, penche toi, présente- moi ton cul. Elle écarte mes fesses et me pénètre avec précaution avec l’embout et ouvre le robinet.
Je sens le liquide qui pénètre doucement dans mon fondement.
Redresse toi maintenant, elle prend du liquide de douche et me savonne tout le corps,
Je sens ses mains sur mes seins, elle me pince mes tétons sans ménagement. Aussitôt, ils se redressent malgré la douleur.
Ses mains descendent vers mon ventre, un doigt rentre dans mon nombril, tourne dedans.
Elles descendent encore, se tournent vers mes fesses, prends la canule et la fait rentrée et sortir de mon anus. Je commence à sentir mon ventre qui se gonfle sous l’effet du liquide et aussi une d’envie d’aller aux toilettes.
Je la vois prendre une noisette de crème sur deux doigts, à l’aide d’une de ses mains, elle me prend la tête et dirige ma bouche vers la sienne, je sens sa langue qui me pénètre à l’intérieur pendant que les doigts remplis de crème pénètrent facilement ma chatte. Elle me branle tres vigoureusement. Mes jambes ont du mal à me soutenir. Ses doigts quittent mon vagin et son index touche mon urètre en tournant autour et en appuyant dessus avec insistance. Cela me donne envie d'uriner. Quelques gouttes sortent de mon petit trou.
Allez ma pisseuse, laisse toi aller. Un grand jet doré sort avec fracas, Malia me bouche le trou avec son index, le jet d’urine part dans tous les sens, elle rigole. J’ai honte.
Involontairement, je commence à jouir avec toujours cette envie de plus en plus pressens d’aller aux toilettes.
Sans me prévenir, elle retire sa main, me retire la canule car la poche est vide, je reste sur ma faim.
Elle me dit, va te vider maintenant et reviens aussitôt sous la douche.
Quel soulagement, je sens mon ventre se vider et redevenir plat.
Cela fait du bien de te soulager ? Viens vite, et nettoie ton cul.
Maintenant, que tu es propre, sèche toi et viens sur le canapé, emporte une grande serviette et un oreiller.
Mets la serviette. Double la et allonge toi dessus sur le dos, pose tes hanches sur l’oreiller et
soulève ton cul. Écarte bien les cuisses afin que je puisse avoir un accès facile à tes trous.
Mais, je ne veux pas, je vais porter plainte dit Patricia. N’importe quoi dit Malia.
Ferme ta gueule, sinon j’appelle Karim.
Maintenant, dit Malia, voilà ce que tu vas devoir subir.
Inutile de se servir de jouets ou de godemichés, je vais me servir de mes mains et de mes poings pour te faire monter au plafond. Tu as de la chance, mes mains sont fines et je suis une habituée de cette pratique. Crois- moi, après mon passage, les queues de ses messieurs te paraîtront ridicules.
Par contre, je dois te dilater le cul avec un plug gonflable pour la suite des évènements. Elle sort de son sac un objet noir en forme de cône d’environ 4 cm de diamètre dans sa partie la plus grosse. L’ensemble est relié par un petit tuyau souple avec une petite poire gonflable au bout.
Mais tu es complètement folle, c’est trop gros, dit Patricia.
Malia ne dit rien et enduit le cône d’un liquide visqueux qu’elle prends dans sa petite valise. Elle s’approche de Patricia. Maintenant soulèvent tes fesses et ne bougent surtout pas. Malia prend le cône avec sa main droite, le présente devant l’anus. Avec le pouce de la main gauche, elle commence à tourner autour du clitoris, Patricia commence à respirer plus fort. Soudain, le cône commence à perforer la pastille et s’enfonce doucement dans les fesses.
Malia masturbe ce pauvre petit anneau en faisant un mouvement de va-et-vient pendant cinq bonnes minutes. Avec sa main droite, elle me donne des petites claques sur mon clitoris. Complètement perdu entre cette sensation de douleur et de douceur, mon premier orgasme me tétanise. Des contractions incontrôlables écrasent la plug maintenue à l’intérieur par Malia.
C’est bien, dit Malia, tu es très réceptive, elle me donne un baiser et rentre sa langue dans ma bouche en guise de récompense. La plug est entièrement en toi maintenant. Tu es une bonne petite pute soumise.
Prépare toi, je vais commencer à le gonfler. Après quelques coups de pompes, je sens mon cul se dilater et s’ouvrir doucement. Je commence à gémir doucement.
Cela suffit pour le moment dite Malia, je vais continuer au fur et à mesure.
Bon, maintenant passons aux choses sérieuses. Malia déposa, sur ma chatte ce liquide visqueux en quantité et en même temps s’enduit copieusement sa main droite.
Elle commence à introduire deux doigts dans mon vagin en tournant régulièrement sa main de gauche à droite, je geins très fort.
Maintenant, me dit-elle, laisse toi aller, ouvre toi, c’est ça, décontracte ta chatte. Tu ne peux pas la voir mais crois- moi, elle s’ouvre bien, tu mouilles énormément ma salope.
Je sens le troisième et le quatrième doigt qui veulent rentrer. Elle pousse fort, très fort sa main. Mes lèvres s'écartent et commencent à capituler. Je respire bruyamment la bouche grande ouverte. Mon corps est rempli de frisons. Je mouille comme jamais. Je suis totalement sous son emprise.
Mon corps était là mais ma tête je ne sais pas.
Elle redonne quelques pressions sur la poire du Plug et mon cul s’ouvre à nouveau un peu plus. Je recommence à crier de plaisir et de douleur mêlée.
Au bout d’un quart d’heure de ce traitement, mon sexe était grossièrement ouvert, elle retire ses doigts doucement, ma vulve se resserre aussitôt.
Elle rentre son pouce à l’intérieur de sa main, remet du liquide visqueux et poussa à nouveau doucement mais avec force. Elle redouble sa caresse sur mon clitoris en appuyant plus fort. Je commence à délirer, mon corps se tend. L’entrée de mon vagin céda sous la poussée et s’ouvre d’un coup. Un son rauque sort de ma bouche. Au bord de l’évanouissement, je sens mon sexe prêt à éclater et ma vulve qui serre son poignet.
Sa main est maintenant entièrement dans mon corps.
Elle ne bouge plus, sa main reste immobile, je ressens une sensation intense de plénitude.
Mon trou du cul reste distendu par le plug.
C’est bien me dit-elle, tes deux orifices sont bien remplis, tu es vraiment une petite salope comme me l’a dit Karim. Il sera fier de moi tout à l’heure.
Elle enfonce sa main plus profondément et avec deux doigts, tourne autour du col de l’utérus.
Elle le serre entre ses doigts et imprime une rotation de ses doigts autour. Je suis soudain prise de tremblements, cela déclenche une série de spasmes et de contractions violentes. J’ai un orgasme ultra violent, presque à en perdre connaissance. Je suis en sueur et mon corps entier est tétanisé. Mon vagin se contracte en cadence sur sa main à me faire mal. Mon cul fait la même chose sur son sexe en plastique. Je n’en peux vraiment plus, c’est trop. Je pleure de plaisir et de douleur, je ne sais plus. Arrête, Malia, je t’en supplie.
A ces paroles, elle s’arrêta et retira avec une grande précaution, sa main de mon corps en me disant de tousser pour faciliter la sortie.
Eh bien, dis- elle, j’ai rarement connu une fille comme toi ! Surtout à ton âge. Quel tempérament.
Repose toi maintenant, tu en auras encore besoin pour la suite. Je te laisse le plug dans tes fesses. Tu comprendras plus tard. J’appelle Karim et son pote Ali. Ils vont venir d’ici une vingtaine de minutes.
Suite de l’histoire dans le retour de Karim et de son pote.
Cela fait maintenant trois semaines que j’ai eu mon aventure plus que scabreuse avec Karim et mon beau-frère en spectateur malgré lui. Malgré ma honte, j’y pense tous les jours. Donc trois semaines après, un lundi matin , puisque je ne travaille pas ce jour-là, on frappe à ma porte.
J’ouvre ma porte et là, je vois Karim accompagné d’une jeune femme noir comme lui.
Bonjour Patricia,je pense que tu as très envie de me revoir. Il rentre et aussitôt, profitant de ma surprise, me fourre sa langue dans ma bouche, sa main droite se pose sur mon sexe à travers ma robe. Je reste là, bras ballants et j’écarte mes cuisses en me laissant faire et sans résister. Ma culotte commença à s’humidifier.
Il s’arrêta net et me présenta l’une de ses plus jeunes femmes. Il en avait trois. Elle se prénommait, Malia. Cette femme était belle, très mince et avait apparemment environ une trentaine d’années.
Il me dit qu’il ne pouvait pas rester car il avait des problèmes à régler mais qu’il reviendra pour rechercher Malia et qu’il viendrait avec un copain. Par contre, il me laisse en compagnie de Malia pour parfaire mon éducation. Il me conseille vivement, de me laisser faire, sinon, il reviendra avec moins de sentiments. Aussitôt, sans me dire autre chose, il part sans m’adresser le moindre regard ni parole.
Je me retrouve seule, avec cette fille, complètement désemparée.
Malia, avait avec elle, une petite valise de voyage qu’elle posa sur le sol.
Elle vient près de moi et me dit de m’asseoir à côté d’elle sur le divan.
Pour commencer, je vais jouer au docteur avec toi. Il faut que je tu sois propre de partout, extérieur comme de l’intérieur. Je ne comprends pas ce qu’elle me dit.
As-tu déjà fait l’amour avec une fille ? Je lui réponds que non, bien sûr et que rien que d’y penser cela me dégoûte.
Il faut un début à tout, ma belle. Laisse toi faire et tu ne le regretteras pas.
Elle prend deux doigts et m’ordonne de les mouiller avec ma salive. Elle les met dans ma bouche.
Écarte bien tes cuisses, je sens sa main remonter à l’intérieur de mes cuisses.
Elle arrive à ma culotte, qu’elle écarte sur le côté et pénètre sans retenue ma chatte.
J’ouvre ma bouche de stupeur.
Et bien dit ! tu mouilles déjà petite vicieuse. Tu n’aimes pas les filles à part ça. Menteuse.
Ce n’est pas toi, mais c’est à cause de Karim, lui dit je.
Lève toi maintenant et met toi entièrement nue, suit moi dans la salle de bain et ne bronche pas, sinon , j’appelle Karim.
Après hésitation de ma part, elle me presse d’obéir sans réfléchir.
Pendant que je me déshabille, je la vois prendre une poche de liquide transparent relier à un tuyau avec un robinet au bout, un peu comme une perfusion.
Rentre dans la douche, me dit elle, je vais te laver.
Elle prend la poche de liquide et l’accroche en haut de la douche au-dessus de moi sur la paroi en verre.
As-tu du lait de toilette ? Je lui réponds que oui. Donne-le-moi.
Elle en prend une grosse noisette sur ses doigts et en enduit le bout du robinet sur toute sa longueur.
Maintenant, penche toi, présente- moi ton cul. Elle écarte mes fesses et me pénètre avec précaution avec l’embout et ouvre le robinet.
Je sens le liquide qui pénètre doucement dans mon fondement.
Redresse toi maintenant, elle prend du liquide de douche et me savonne tout le corps,
Je sens ses mains sur mes seins, elle me pince mes tétons sans ménagement. Aussitôt, ils se redressent malgré la douleur.
Ses mains descendent vers mon ventre, un doigt rentre dans mon nombril, tourne dedans.
Elles descendent encore, se tournent vers mes fesses, prends la canule et la fait rentrée et sortir de mon anus. Je commence à sentir mon ventre qui se gonfle sous l’effet du liquide et aussi une d’envie d’aller aux toilettes.
Je la vois prendre une noisette de crème sur deux doigts, à l’aide d’une de ses mains, elle me prend la tête et dirige ma bouche vers la sienne, je sens sa langue qui me pénètre à l’intérieur pendant que les doigts remplis de crème pénètrent facilement ma chatte. Elle me branle tres vigoureusement. Mes jambes ont du mal à me soutenir. Ses doigts quittent mon vagin et son index touche mon urètre en tournant autour et en appuyant dessus avec insistance. Cela me donne envie d'uriner. Quelques gouttes sortent de mon petit trou.
Allez ma pisseuse, laisse toi aller. Un grand jet doré sort avec fracas, Malia me bouche le trou avec son index, le jet d’urine part dans tous les sens, elle rigole. J’ai honte.
Involontairement, je commence à jouir avec toujours cette envie de plus en plus pressens d’aller aux toilettes.
Sans me prévenir, elle retire sa main, me retire la canule car la poche est vide, je reste sur ma faim.
Elle me dit, va te vider maintenant et reviens aussitôt sous la douche.
Quel soulagement, je sens mon ventre se vider et redevenir plat.
Cela fait du bien de te soulager ? Viens vite, et nettoie ton cul.
Maintenant, que tu es propre, sèche toi et viens sur le canapé, emporte une grande serviette et un oreiller.
Mets la serviette. Double la et allonge toi dessus sur le dos, pose tes hanches sur l’oreiller et
soulève ton cul. Écarte bien les cuisses afin que je puisse avoir un accès facile à tes trous.
Mais, je ne veux pas, je vais porter plainte dit Patricia. N’importe quoi dit Malia.
Ferme ta gueule, sinon j’appelle Karim.
Maintenant, dit Malia, voilà ce que tu vas devoir subir.
Inutile de se servir de jouets ou de godemichés, je vais me servir de mes mains et de mes poings pour te faire monter au plafond. Tu as de la chance, mes mains sont fines et je suis une habituée de cette pratique. Crois- moi, après mon passage, les queues de ses messieurs te paraîtront ridicules.
Par contre, je dois te dilater le cul avec un plug gonflable pour la suite des évènements. Elle sort de son sac un objet noir en forme de cône d’environ 4 cm de diamètre dans sa partie la plus grosse. L’ensemble est relié par un petit tuyau souple avec une petite poire gonflable au bout.
Mais tu es complètement folle, c’est trop gros, dit Patricia.
Malia ne dit rien et enduit le cône d’un liquide visqueux qu’elle prends dans sa petite valise. Elle s’approche de Patricia. Maintenant soulèvent tes fesses et ne bougent surtout pas. Malia prend le cône avec sa main droite, le présente devant l’anus. Avec le pouce de la main gauche, elle commence à tourner autour du clitoris, Patricia commence à respirer plus fort. Soudain, le cône commence à perforer la pastille et s’enfonce doucement dans les fesses.
Malia masturbe ce pauvre petit anneau en faisant un mouvement de va-et-vient pendant cinq bonnes minutes. Avec sa main droite, elle me donne des petites claques sur mon clitoris. Complètement perdu entre cette sensation de douleur et de douceur, mon premier orgasme me tétanise. Des contractions incontrôlables écrasent la plug maintenue à l’intérieur par Malia.
C’est bien, dit Malia, tu es très réceptive, elle me donne un baiser et rentre sa langue dans ma bouche en guise de récompense. La plug est entièrement en toi maintenant. Tu es une bonne petite pute soumise.
Prépare toi, je vais commencer à le gonfler. Après quelques coups de pompes, je sens mon cul se dilater et s’ouvrir doucement. Je commence à gémir doucement.
Cela suffit pour le moment dite Malia, je vais continuer au fur et à mesure.
Bon, maintenant passons aux choses sérieuses. Malia déposa, sur ma chatte ce liquide visqueux en quantité et en même temps s’enduit copieusement sa main droite.
Elle commence à introduire deux doigts dans mon vagin en tournant régulièrement sa main de gauche à droite, je geins très fort.
Maintenant, me dit-elle, laisse toi aller, ouvre toi, c’est ça, décontracte ta chatte. Tu ne peux pas la voir mais crois- moi, elle s’ouvre bien, tu mouilles énormément ma salope.
Je sens le troisième et le quatrième doigt qui veulent rentrer. Elle pousse fort, très fort sa main. Mes lèvres s'écartent et commencent à capituler. Je respire bruyamment la bouche grande ouverte. Mon corps est rempli de frisons. Je mouille comme jamais. Je suis totalement sous son emprise.
Mon corps était là mais ma tête je ne sais pas.
Elle redonne quelques pressions sur la poire du Plug et mon cul s’ouvre à nouveau un peu plus. Je recommence à crier de plaisir et de douleur mêlée.
Au bout d’un quart d’heure de ce traitement, mon sexe était grossièrement ouvert, elle retire ses doigts doucement, ma vulve se resserre aussitôt.
Elle rentre son pouce à l’intérieur de sa main, remet du liquide visqueux et poussa à nouveau doucement mais avec force. Elle redouble sa caresse sur mon clitoris en appuyant plus fort. Je commence à délirer, mon corps se tend. L’entrée de mon vagin céda sous la poussée et s’ouvre d’un coup. Un son rauque sort de ma bouche. Au bord de l’évanouissement, je sens mon sexe prêt à éclater et ma vulve qui serre son poignet.
Sa main est maintenant entièrement dans mon corps.
Elle ne bouge plus, sa main reste immobile, je ressens une sensation intense de plénitude.
Mon trou du cul reste distendu par le plug.
C’est bien me dit-elle, tes deux orifices sont bien remplis, tu es vraiment une petite salope comme me l’a dit Karim. Il sera fier de moi tout à l’heure.
Elle enfonce sa main plus profondément et avec deux doigts, tourne autour du col de l’utérus.
Elle le serre entre ses doigts et imprime une rotation de ses doigts autour. Je suis soudain prise de tremblements, cela déclenche une série de spasmes et de contractions violentes. J’ai un orgasme ultra violent, presque à en perdre connaissance. Je suis en sueur et mon corps entier est tétanisé. Mon vagin se contracte en cadence sur sa main à me faire mal. Mon cul fait la même chose sur son sexe en plastique. Je n’en peux vraiment plus, c’est trop. Je pleure de plaisir et de douleur, je ne sais plus. Arrête, Malia, je t’en supplie.
A ces paroles, elle s’arrêta et retira avec une grande précaution, sa main de mon corps en me disant de tousser pour faciliter la sortie.
Eh bien, dis- elle, j’ai rarement connu une fille comme toi ! Surtout à ton âge. Quel tempérament.
Repose toi maintenant, tu en auras encore besoin pour la suite. Je te laisse le plug dans tes fesses. Tu comprendras plus tard. J’appelle Karim et son pote Ali. Ils vont venir d’ici une vingtaine de minutes.
Suite de l’histoire dans le retour de Karim et de son pote.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Osiris
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très chaud!
tres bien
Vivement la suite