Chantage sur ma belle sœur(suite et fin)

Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Chantage sur ma belle sœur(suite et fin)
Depuis la dernière visite de Karl, Virginie a retrouvé son époux Nicolas.
Comme toujours, il est revenu jeudi soir pour passer le week-end.
Comme c’est souvent le cas, Virginie s'est satisfaite de câlins sans rapports sexuels avant de se mettre au lit.
Virginie a tout mis en œuvre pour cacher sa situation avec son beau-frère.
Le mardi suivant, comme convenu, c'est en compagnie de Julien que je frappe à la porte du domaine de Virginie.
Le portillon se déploie de lui-même et surprise, elle n'est pas en tenue de sport. Je vois apparaître une Virginie vêtue d'une petite robe courte qui nous reçoit en s'approchant de nous.
« Bonjour Karl », dit-elle en m'embrassant et en serrant la main de Julien.
Dès notre arrivée sur les lieux, le portail se ferme de lui-même et plus aucun regard ne peut nous percevoir.
« Julien, laisse-moi te présenter Virginie, ma belle-sœur. »
« Virginie, je te présente Julien, mon ami le plus cher. »
Je leur dis à tous les deux.
« Ne vous inquiétez pas pour moi à l'avenir. »
« Je suis ici en tant que spectateur. »
« Julien, un rôle t'est attribué. »
« Prends soin de Virginie, elle en a vraiment besoin et je suis persuadé qu'elle deviendra très compréhensive. »
Julien, sans se laisser perturber, s'est tourné vers elle et lui a immédiatement parlé en utilisant le tutoiement.
« Compte tenu de ce qui nous attend prochainement, Virginie, tu pourrais faire un effort pour m'accueillir. »
Il s’avance vers elle, l’entoure de ses bras et lui donne un baiser passionné, en pressant sa langue pour pénétrer sa bouche.
Il s'esquive et lui déclare : « Voilà qui est plus approprié. »
Ma belle-sœur est désemparée.
Puis, Julien laisse glisser doucement ses mains de chaque côté de son corps sur le tissu de sa robe.
Il se penche à son oreille et lui murmure : « Tu sais ce que je vais faire sur le champ, en dépit de ton accord ? »
« Non », lui répond-elle avec une toute petite voix apeurée et en me regardant.
Je vais te retirer le fin rempart que je devine joli et raffiné que tu as sous ta robe.
« À partir de maintenant, tu n'en as plus vraiment besoin. »
Arrivé à la limite entre le tissu et la peau, il fait remonter ses mains sous la robe, puis fait descendre lentement sa culotte jusqu'à ses chevilles.
Ma belle-sœur lève chacun de ses pieds un par un pour libérer le passage.
La culotte disparaît entre les mains de Julien, qui, par réflexe, la porte à son nez pour en respirer l'odeur.
Ensuite, il la propose à Karl qui reproduit le geste.
« Virginie, je suis persuadé que nous allons trouver un terrain d'entente. »
« Ton parfum révèle beaucoup de choses sur ta personnalité. »
Ma belle-sœur est complètement abasourdie.
Une fois la surprise passée, elle nous convient de pénétrer dans le salon, les yeux scintillants
Elle nous verse un très bon whisky et se sert elle-même une coupe de champagne.
Julien n'est pas du genre à faire traîner les choses et il est clair que c'est lui qui initie la discussion.
« Donc, c'est toi qui es en quête d'aventures en dehors du mariage ? »
« Non, c'est faux, raconte Valérie, c'est la seule aventure que j'aie eue et maintenant, je le regrette. »
Julien étant assis en face de ma belle-sœur, je remarque qu'elle croise les jambes pour éviter son regard constamment attiré par son entrejambe.
« Karl m'a raconté que tu aimais faire des pipes. »
« Euh ! » « J'ai apprécié l'autre jour le sexe de ce jeune homme. »
« Est-ce que tu avales ? » « Parce qu'avec moi, c'est un impératif. »
« Je n'aime pas trop », lui répond Valérie.
« Très bien, nous allons le vérifier. » « Pose ta coupe sur la table et mets-toi à genoux et suce-moi », lui ordonne-t-il.
« Garde ta coupe à proximité, tu pourras ainsi mélanger mon sperme à ton champagne, ce sera bien meilleur. »
Moi, Karl, je suis là, dans mon fauteuil, bien à l'aise, jouant mon rôle de voyeur en train de déguster mon verre de vieux whisky. J'étais tout de même stupéfait par le langage vulgaire et humiliant que mon ami pouvait employer en présence d'une femme.
J'étais impatient de découvrir ce qui se passerait ensuite.
Sans résister, ma belle-sœur se lève, me dévisageant, puis s'agenouille entre les cuisses écartées de l'homme.
Elle lui déboutonne sa fermeture éclair et retire son pantalon. Par la suite, elle le dépouille de son slip déformé par l'érection, alors qu'il soulève le bassin.
Devant son regard, une verge de taille majestueuse se présente.
Valérie la saisit doucement et la place délicatement dans sa bouche.
Ses lèvres se métamorphosent et s'arrondissent autour.
Elle entame ainsi de longs et progressifs va-et-vient tout en faisant tourner sa langue autour du gland. Ses joues se creusent et aspirent.
Le visage de Julien change et semble énormément apprécier le savoir-faire de cette femme.
Virginie fait une pause pour savourer un peu de champagne qu'elle conserve dans sa bouche.
Elle saisit la tige et l'engloutit dans sa bouche pleine de liquide pétillant.
Simultanément, sa main masturbe efficacement le reste de la hampe resté à l'extérieur de la cavité.
Sans avertissement, tout aussi surpris par l’effet des bulles sur son gland, Julien se fige et se tend en produisant un son rauque et puissant.
C'est alors qu'il se déverse en profondes saccades dans la bouche de Valérie qui le déglutit par petites gorgées.
Elle se tourne, saisit sa coupe et rapidement, la vide d'un trait.
« Quelle bonne surprise, s'exclame Julien, Karl, tu avais raison, Virginie a énormément de potentiel. »
« Je ne suis pas particulièrement amateur de champagne, mais cette expérience me fait changer d'avis », a-t-il déclaré en riant.
Dans ma position assise, ma verge se trouvait serrée dans mon boxer. Ma seule envie était de me joindre à eux.
Virginie se sert à nouveau d'une autre coupe et nous dit en s'essuyant le contour des lèvres avec un essuie-tout : « Êtes-vous satisfait, messieurs ? », avec un large sourire.
Peu de temps après, Julien demande à Virginie si elle se connaissait des dons de femmes fontaine.
Ma belle-sœur lui répond qu'elle ne croit une seconde pas à ces histoires et que l'on voit ça uniquement dans les films pornographiques.
« Nous verrons cela. »
« Karl m'a dit que tu disposes d'une salle de sport entièrement équipée. »
« Car ici, ce n'est pas idéal, il y a de la moquette », déclare Julien.
« Absolument, c'est une salle superbe dotée d'un carrelage en résine. »
« Mais pourquoi une telle interrogation ? » questionne Virginie.
« Tu verras bien, rétorqua Julien sans attendre. »
« Karl, notre voyeur contraint, pourrais-tu enlever les derniers vêtements de madame ? »
Avec un grand sourire, je lui dis : « Avec plaisir, si je peux être d'une quelconque aide. »
Lorsque je me lève de mon fauteuil, Valérie aperçoit la protubérance apparaissant au niveau de ma braguette, mais elle ne fait aucune remarque.
En un rien de temps, Virginie se retrouve complètement nue.
On peut dire qu'elle ne gardait que sa petite robe et son soutien-gorge.
Julien remarque la beauté du corps bien sculpté de Virginie et ne manque pas de le lui faire savoir.
Bon sang, tu as un corps qui ferait pâlir une déesse grecque.
Allez, on lève le camp, il tend la main à Virginie et lui demande de nous emmener dans la salle de sport.
Julien trouve une superbe salle équipée de tout le nécessaire pour renforcer tous les muscles de son corps.
Naturellement, je suis déjà familier avec elle et cela me touche moins.
« C'est parfait, il y a des bancs de musculation ajustables en inclinaison, exactement ce dont nous avons besoin. »
« Virginie, prends place confortablement sur ce banc qui soulève légèrement ton torse et ton bassin », s'exclame Julien.
« Assure-toi de bien écarter les jambes de chaque côté et pose solidement les pieds au sol. »
Ma belle-sœur s'exécute et nous offre une vue sublimée de sa vulve brillante déjà entrouverte par la position favorable, mais aussi par le plaisir qu'elle a offert à Julien tout à l'heure.
Elle me fixe et dit : « Tu dois être ravi de me voir dans cet état, sournois beau-frère. »
« Effectivement, cela vaut le coup d'œil », lui répondis-je.
« Ma déesse, (tiens, un mot gentil de la part de Julien, c'est rare) je vais te faire couler lentement au départ, puis tu éjaculeras dans ma main comme une fontaine. »
Julien se place à côté d'elle et commence un baiser langoureux tout en caressant ses seins et l'ensemble de son corps.
Valérie lui saisit la tête avec ses mains et lui caresse les cheveux.
Sa peau se couvre de frissons.
Il se place entre ses jambes et commence, à l'aide de sa bouche, une exploration prolongée de son sexe dont les lèvres continuent de se séparer pour permettre à cette langue ferme et acérée de s'introduire.
Virginie commence à gémir, sans chercher à se contenir. De mon point de vue, je distingue clairement un minuscule ruisseau qui s'écoule et comble son petit trou.
Julien applique ce lubrifiant naturel sur un doigt tout en continuant à l'exciter avec sa bouche, le faisant pénétrer dans son petit sanctuaire secret.
Virginie, prise au dépourvu par cette intrusion, sursaute légèrement puis grogne à mesure que sa respiration s'intensifie.
Le petit pénis factice glisse doucement et facilement dans le canal étroit, constamment assisté par le flux de son vagin.
Le manège se prolonge depuis un moment et moi, je suis de plus en plus mal à l'aise en voyant ses deux lascars se donner autant de plaisir ?
« Maintenant, dit Julien, je crois que tu es prête, ma reine. »
Il se lève, se remet à nouveau à côté de Virginie et lui introduit avec grande douceur son majeur et son index dans son vagin plus que mouillé.
Ses doigts forment un crochet une fois à l'intérieur et il masse avec l'extrémité de la partie supérieure côté nombril un endroit plus dur dans le vagin.
« Tu sens une différence de sensibilité à cet endroit précis ? » lui demande l’homme.
« Oui, c'est très électrique, comme des petites décharges et très bon à la fois », lui répond son amante.
« Alors, prépare-toi à gicler dans ma main. »
« Ne te retiens pas. »
Julien entame une masturbation focalisée précisément sur ce point, non pas en déplaçant ses doigts, mais en effectuant des gestes verticaux de va-et-vient, tout en exerçant une pression considérable au bout de ses doigts.
Il accélère le rythme pour devenir de plus en plus rapide.
Valérie crie comme une furie.
Son sexe fait entendre d’intenses bruits de clapotis de plus en plus forts.
Julien se décide simultanément d'appuyer avec sa main gauche au-dessus de son mont de Venus, juste sur sa vessie.
C'est à ce moment que le miracle se produit.
Je constate que le visage de Virginie change pour manifester presque de la détresse.
Ma belle-sœur émet une puissante lamentation, la bouche largement ouverte, immédiatement suivie de gémissements profonds.
Valérie expulse trois ou quatre jets considérables de liquide qui trempent la main de Julien avant de se déverser au sol pour former une petite flaque.
Julien retire sa main avec précaution.
Il approche ses lèvres du visage de Virginie, la baise et lui conseille de se reposer un instant." Tu en auras besoin bientôt."
« À présent, tu es une femme fontaine, comprends-tu ? » « Ce n'est pas uniquement dans les films pour adultes. »
« Je n'ai jamais joui de cette façon. » « C'est extrêmement fort », dit-elle.
À peine remise de ses émotions, il lui demande si elle possède un lubrifiant intime.
« Non, je n'en ai pas, mais j'ai de l'huile d'amande douce, tu peux me l'apporter, Karl. »
« Je l'ai mise dans la salle de bain sur le petit meuble. »
Julien assiste Virginie pour se relever et la place, cette fois-ci sur le ventre, sur un grand pouf rempli de billes en polystyrène.
Dans cette position, la femme offre ses fesses sans retenue.
Ses seins sont en dehors du pouf et l'on peut admirer leurs fermetés.
Devinant la suite des événements, je prends la décision de me mettre nu comme eux.
« Regarde Virginie, un beau-frère tout dénudé, dit Julien. » « Tu choisis de nous rejoindre ? »
« Pas question, je suis toujours spectateur », et je lui donne le flacon d'huile d'amande douce et me rassoit.
« Virginie, je vais maintenant t'enculer pour encore te faire crier de plaisir et peut-être un peu de douleur. »
« Il faut cependant comprendre que la frontière entre le plaisir et la souffrance est très mince. »
Ma belle-sœur se relève d'un bon, « Je ne veux pas, tu vas me faire mal. »
Sans lui répondre vraiment, Julien lui demande si elle a déjà subi cette pratique ?
« Une fois, alors que nous étions encore très jeunes, Nicolas a tenté de me pénétrer, mais il n'y est pas parvenu », lui dit-elle.
« Tout à l'heure, tu as aimé le glissement de mon doigt dans ton petit cul. »
« Ce n'est pas une question de grosseur, mais de douceur. »
« Remets-toi en position immédiatement et laisse-moi faire. »
Désespérée, elle se couche à nouveau sur le ventre sur le pouf.
Julien applique de l'huile sur son doigt et entame délicatement une pénétration de son anus, progressivement et en toute douceur.
Il ramone délicatement le fourreau, puis voyant qu'il n'y a pas de réaction de douleur de Virginie, il glisse un deuxième doigt.
Aie, tu fais quoi ? dit la donzelle.
« Je te prépare doucement », lui répond le garçon.
Les deux doigts glissent en tandem et j'ai l'impression de capter une respiration plus intense de ma belle-sœur.
« Observe, lui dit Julien, tu commences à apprécier. »
« Je ressens ton corps réagir et ton petit derrière se dilater et s'ouvrir de manière autonome. »
« Il est désormais prêt à me laisser le passage. »
« Garde cette position, je vais mettre un préservatif. »
Julien fait son retour, s'agenouille derrière les superbes fesses de Virginie.
Il applique de l'huile d'amande douce sur son sexe et le positionne au cœur de la petite rosace qui vibre à son contact.
« Décontracte-toi Virginie », il pousse légèrement et je vois nettement le gland pénétrer la rondelle très doucement.
La bouche de la jeune femme s'ouvre et souffle.
« Lentement, reste comme ça », lui dit elle.
La petite rondelle exerce désormais une pression sur l'extrémité de la verge.
Moi, le voyeur notoire, je n'en peux plus.
Je saisis fermement mon membre et commence à me masturber devant ma belle-sœur qui m'observe tout en me souriant.
Tout progressivement, la totalité de la verge de Julien pénètre le joli cul de Virginie.
Caresse-toi en même temps, lui demande l'homme.
Elle passe ses mains en dessous et commence à se masturber.
Lui, de son côté, remet du lubrifiant sur son sexe et entame un lent mouvement de va-et-vient.
Au début un peu laborieux, le conduit se laisse finalement apprivoiser et s'ouvre pour favoriser une accélération des mouvements.
A présent, le tempo est constant et ininterrompu.
Virginie reprend ses plaintes en émettant de grands gémissements entrecoupés de rires chaotiques lorsque le membre atteint le point de pénétration maximale dans son fourreau.
Tout en me fixant du regard et entre deux gémissements, c'est elle qui demande à Julien de poursuivre à ce rythme.
« Poursuis, Julien, ne t'arrête pas, je ne ressens aucune souffrance et j'éprouve même un plaisir agréable s’intensifier. »
Sous le consentement de sa maîtresse, Julien déploie une intensité accrue, et les bruits de son bassin heurtant les fesses de Virginie deviennent nettement plus énergiques et soutenus.
De puissants râles s'échappent de sa bouche.
Tout à coup, le corps de la femme commence à convulser.
Virginie laisse échapper un cri d'émotion et de surprise qui se termine par une grande expiration.
Julien est informé, grâce à de multiples contractions sur son sexe, que le plaisir de Virginie atteint son summum.
Ayant réalisé sa mission, il se permet de libérer sa semence dans le préservatif, tout en maintenant la taille de Virginie. À part son souffle rapide, aucun bruit n'émane de ses lèvres.
Eh bien, moi, que suis-je devenu pendant cette joute sexuelle ?
Je me suis masturbé devant ma belle-sœur qui me regardait, tandis qu'elle était sodomisée, et juste avant son orgasme, j'ai atteint le mien et ai libéré plusieurs jets abondants de sperme dans l'air.
J'avais vraiment l'impression qu'elle me donnait une représentation de son orgasme et qu'elle consentait à cette situation juste pour moi.
Julien et Virginie se dirigent ensemble vers la salle de bain pour une petite douche rapide.
Moi, je retourne dans le salon pour préparer un autre apéritif pour la suite.
Très rapidement, les voilà revenus.
Chose étonnante, Virginie reprend une autre coupe.
Notre conversation tourne bien sûr autour de leurs ébats amoureux.
Virginie nous raconte qu'elle n'a jamais éprouvé dans sa vie des orgasmes aussi intenses et dévastateurs.
Qu'elle ait opté pour le plaisir qui lui a permis de se révéler en tant que femme fontaine.
« J'ai également pris plaisir à être sodomisée malgré ma frayeur, mais c'est très distinct et probablement, je crois qu'il faudrait le répéter plusieurs fois pour en apprécier toute la dimension », confie-t-elle.
« J'ai aussi particulièrement aimé te voir, Karl, atteindre le plaisir ultime face à moi en te masturbant. »
« C'est avec cette chaleur intense et omniprésente qui a embrasé mon ventre, contribué à mon orgasme anal. »
Virginie n'étant pas coutumière de la consommation d'alcool, elle commence à se sentir légèrement étourdie.
« Tu sais, Virginie, je savais que tu étais une femme destinée à l'amour», lui prononce son amant.
"Mon travail m'offre l'opportunité de côtoyer un grand nombre de femmes.
« Rares sont celles qui n'ont pas terminé dans mon lit, des très jeunes, des jeunes, des filles de ton âge et même des femmes d'âge mûr, prononce Julien. »
« Tu occupes une position privilégiée parmi toutes ces femmes. » « J'apprécie énormément ta manière de te donner totalement et sans aucune réserve. »
« Mais tu es un véritable Casanova, lui dit ma belle-sœur. »
« Probablement, et je vais te le prouver », lui répond Julien.
« Julien, je ne souhaite pas te décevoir, mais je suis exténuée, brisée et totalement vidée de mon énergie. »
« Peut-être une autre fois ! »
« Non, ma belle, il n'y aura pas de seconde occasion, je ne reviendrai pas. »
« C'est à présent que je souhaite te prendre dans ton puits d'amour. »
« Je suis convaincu qu'il a encore la capacité de couler comme un fleuve. »
« Karl, dis-lui, toi », affirme-t-elle.
« Virginie, n'oublie pas, je t'avais mise en garde. »
« Julien est un véritable marathonien du sexe. »
« Je t'avais prévenu que c'était toi qui allais implorer miséricorde. »
« Quoi qu'il arrive, c'est la dernière fois que tu as des relations sexuelles avec Julien. »
« Tu as parfaitement accompli notre accord. »
« Nous pourrons tous les deux reprendre, disons, des rapports plus traditionnels de belle-sœur et de beau-frère. »
« En tout cas, sois assuré de mon silence par rapport à mon frère Nicolas. »
Dans son personnage de femme soumise et humiliée, surtout après quelques verres de champagne, Virginie se lève, nous saisit individuellement par la main et nous guide à nouveau vers la salle d'entraînement.
Une fois entrée dans la pièce, elle va à la recherche d'un tapis doux et s'y allonge sur le dos.
« Karl, apporte-moi le traversin de yoga sur ta droite. »
Je lui passe, elle soulève le bassin en s'appuyant sur ses pieds et positionne le traversin juste au niveau de ses reins dans le dos.
Dans cette position, Valérie offre son corps à Julien comme une forme de sacrifice.
Elle saisit le petit flacon contenant l'huile d'amande et, en utilisant la pipette, elle injecte une généreuse quantité de ce lubrifiant naturel à l'intérieur de son vagin et de son anus.
« Désormais, c'est à toi, Julien, que je m'adresse. »
« Fais ce que tu veux de moi, fais-moi jouir autrement, je t'en donne l'autorisation, mais c'est la dernière fois. »
Ayant un doute sur son alcoolémie,
Je lui précise et lui fais remarquer : « Virginie, es-tu certaine de ce que tu demandes à Julien ? »
« Absolument, je maîtrise parfaitement ce que je fais et ce que je veux, et puis tu es là pour me servir de garde-fou. »
« Rassure-toi, me dit-elle, je ne suis pas ivre, j'ai juste la dose qui me permet de m'émanciper. »
« Julien déclare : « C'est une réponse audacieuse et courageuse qui me réjouit totalement. »
« Tu as raison, après tout, car c'est la dernière fois. » « Terminons sur une note céleste, ma déesse. »
« Je ne prévoyais pas ça au début, je voulais juste te faire l'amour de manière ordinaire. »
« Mais puisque tu me le demandes, voici une autre méthode pour donner un plaisir hors du commun et extrêmement fort à une femme. »
« Quoi qu'il arrive, si tu éprouves le moindre inconfort, je stoppe tout de suite. »
« Comme tu as pu le remarquer, mon sexe est plus grand que la moyenne. »
« C'est mon père qui m'a transmis cela. »
« Observe mes mains, elles sont délicates, fines et élancées. »
« C'est un héritage que m'a laissé ma mère. »
« Eh bien, c'est cette main qui va doucement et profondément explorer ta féminité. »
« Elle sera totalement aspirée à l'intérieur de ton vagin, bien au chaud. »
Absolument, je maîtrise parfaitement ce que je fais et tu es là pour me servir de garde-fou. »
« Es-tu toujours consentante pour tenter l'expérience, ma beauté ? »
Virginie réfléchit et donne cette réponse.
« Jusqu'ici, malgré ton langage parfois agressif et ta posture de mâle conquérant, tu as toujours fait preuve de douceur et d'attention. »
« Je te fais donc confiance et je suis prête à participer, mais soit d'une délicatesse extrême. »
Julien pénètre dans la cuisine et nettoie soigneusement ses mains avec du savon.
Il revient rapidement et applique de l'huile d'amande douce sur sa main droite.
« Valérie, je me prépare à commencer. » Décontracte-toi et n'hésite pas à me dire « stop ».
Il s'introduit directement dans le vagin avec deux doigts de sa main droite et entame un mouvement de va-et-vient lent tout en caressant l'ensemble de la zone autour du clitoris avec deux doigts de sa main gauche.
Il introduit progressivement un troisième, puis un quatrième dans l'ouverture qui s'offre et se libère lentement.
Pour atteindre ce type de pénétration, il faut impérativement prendre du temps, cela est nécessaire.
À ce moment-là, Virginie ventile très profondément.
Il ôte graduellement ses doigts et applique de nouveau du lubrifiant sur sa main.
« Je ne te fais pas mal, Virginie ? »
« Non, pas du tout, tu es très tendre, poursuis », répondit la jeune femme.
Julien reprend son forage à l'endroit où il s'était arrêté.
Au bout de trois quarts d’heure de ce traitement, L'homme modifie sa main droite en forme de bec de canard, c'est-à-dire qu'il replie son pouce vers l'intérieur de ses doigts.
Il invite ma belle-sœur à respirer doucement, mais profondément, ce qu'elle fait en toute confiance.
C'est à cet instant qu'il exerce une pression continue sur sa main tout en la faisant pivoter progressivement dans un sens puis dans l'autre. Il suscite une stimulation délicate autour du clitoris.
« Décontracte-toi, mon amour, et maintenant pousse juste un peu. »
La main pivote toujours dans un sens puis dans l'autre, ensuite se cale dans une certaine position en adéquation avec la forme de l'ouverture.
Comme par enchantement, Julien perçoit que sa main se trouve littéralement aspirée dans cette ventouse et pénètre sans entrave à l'intérieur du vagin jusqu'au poignet.
Virginie est submergée par toutes les nouvelles sensations qu'elle ressent.
Son corps entier est recouvert de perles de sueur.
Une douce chaleur envahie son ventre.
« Virginie, je suis maintenant à l'intérieur de ton corps. »
« Que récents tu, mon amour ? »
« J'éprouve une plénitude sans précédent », a répondu la jeune femme.
« Je ne souffre pas. »
« Je me sens entièrement remplie, comblée, soumise, distendue, mon corps est en apesanteur, intégralement sous ton contrôle. »
Oui, c'est tout à fait ça. Julien lui répond : « Je t'ai complètement en mon pouvoir, Virginie. »
« Ne bouge surtout pas, Valérie, je vais te caresser le col de ton utérus. »
Ma belle-sœur commence à avoir une respiration bruyante.
L'homme trouve et débusque aisément le col de la soumise.
Il place un de ses doigts précisément au milieu du passage et constate que le col est légèrement entrouvert. Il en conclu que Valérie traverse actuellement sa phase d'ovulation.
Le bout de son doigt tourne dans un sens puis dans l'autre sur l'ouverture du canal qui s'ouvre et se laisse pénétrer partiellement.
« Stoppe, lui dit ma belle-sœur, c'est un plaisir insupportable, je vais atteindre l'extase. »
Dans un cri envoûtant, le corps en entier se contorsionne, Virginie est contrainte de jouir sous cette nouvelle caresse.
Sa cyprine ne cesse de s'écouler de son vagin tout autour du poignet de Julien.
Ne luisant pas de répit, Julien pivote lentement sa main et place l'extrémité de ses doigts sous le nombril.
Il localise vite le petit point G, une sorte de région plus ferme située dans la partie basse du vagin.
Il stimule longuement cette zone en la frottant de manière circulaire avec le bout de ses doigts en se basant sur les plaintes de sa complice qui n'en peut plus.
Soudainement et sans prévenir, Virginie se cabre et vibre de nouveau, puis pousse des gémissements languissants.
Son méat urinaire s'ouvre spontanément et rejette par saccades une fois de plus plusieurs jets de fluide limpide qui se meurent sur le sol.
« Stop, Julien, je suis épuisée de fatigue. »
L'homme ne se détourne pas pour autant et lui déclare :
Rappelle-toi ce que tu m'as dit tout à l'heure.
Pour rappel, voici tes paroles :
« Fais ce que tu veux de moi, fais-moi jouir autrement, je t'en donne l'autorisation, mais c'est la dernière fois. »
« Je ne fais que respecter ta demande », lui proclame Julien.
« J'arrête immédiatement si tu ressens la moindre douleur. »
Mais non, crétin, je n'ai absolument aucune douleur, au contraire, je plane.
« Dans ce cas, nous n'avons pas encore terminé, ma chérie, il te reste un orgasme à me donner pour me contenter. »
Dans le ventre de la soumise, il plie les doigts de sa main pour créer un point.
Il entame alors un lent mouvement de va-et-vient tout en faisant tourner sa main à l'intérieur du vagin.
Depuis ma position d'observateur, je distingue clairement le point qui crée une légère protubérance se déplaçant sous la paroi abdominale de Valérie.
Valérie halète et ses yeux ont du mal à me fixer.
Julien commence à lui titiller son anus avec son majeur et son index de son autre main, puis les insère directement dans son fourreau préalablement lubrifié par Virginie elle-même.
Malgré son épuisement, je constate que les membres de Virginie commencent à vibrer.
De puissantes contractions se diffusent dans son ventre alors qu'un cri étouffé s'éteint dans sa bouche.
Elle vient d'avoir son quatrième orgasme.
En faisant très attention, Julien retire délicatement sa main de l'entrejambe de sa compagne, avant de se précipiter tendrement vers ses lèvres pour l'embrasser et lui caresser les seins.
La soumise réagit tendrement aux baisers, ouvrant la bouche pour accueillir sa langue.
Julien se retire et insère son membre toujours rigide et en érection dans l'orifice qui reste légèrement ouvert.
Virginie le suce, l'avale et l'aspire, elle reçoit sa récompense quasiment instantanément.
Il se liquéfie au cœur de sa bouche et je remarque que sa soumise engloutit tout son sperme sans aucune répugnance.
« Virginie, tu es vraiment exceptionnelle. »
Julien l'aide à ce relevé et l'emmène à nouveau se doucher.
Pendant ce temps, moi, je m'habille et débarrasse nos verres.
Face à ces scènes fantastiques, j'ai connu trois orgasmes extraordinaires en me masturbant.
Quand ils reviennent, je questionne Virginie sur ce qu'elle souhaite faire.
Elle me confie, épuisée, qu'elle souhaite aller se coucher.
Nous sommes d'accord.
Nous l'accompagnons tous les deux en la soutenant.
Julien lui offre un dernier bisou sur les lèvres, pendant que de mon côté, je l'embrasse sur les joues et laisse sa petite culotte, que j'avais conservée dans ma poche, sur sa table de nuit.
« Fais de beaux rêves, ma déesse, lui dévoile Julien. »
Je verrouille la porte à clé et reconduis Julien chez lui.
Chose étonnante, dans la voiture, Julien ne parle pas de Virginie.
Le lendemain, dans l'après-midi, je téléphone à Virginie pour lui demander comment elle va.
Elle me répond qu'elle a dormi jusqu'à 11 heures et que son corps est encore endolori.
« Veux-tu venir manger avec ton frère samedi midi à la maison ? »me propose-t-elle.
« Je ne préfère pas, j'ai mûrement réfléchi cette nuit et je ne suis pas satisfait de ma conduite à ton égard. »
« Je préfère attendre un peu pour que nous puissions nous revoir. »
« Je ne t'en tiens pas rigueur. » « Julien est un amant extraordinaire et j'en ai bien profité. »
« Et puis, j'ai adoré te voir jouir devant moi. »
« Tu as une bite moins extravagante que Julien, mais elle a son charme. »
Après environ deux semaines, ma belle-sœur essaie de me joindre et laisse un message sur la boîte vocale.
Je consulte mon message pour en connaître le contenu.
« Salut Karl, je compte sur toi pour un café en fin de journée, c'est indispensable. »
Comme de coutume, en fin de journée, vers 17 h 30, je vais chez Virginie pour savourer mon café brésilien.
Elle me reçoit vêtue de la même petite robe que lors de notre précédente rencontre avec Julien.
On s’installe dans le salon et elle entame une conversation.
« Tu avais raison, Karl, ton frère me trompe. »
« T'es certaine de ça, comment le sais-tu ? »
« J'ai surpris une discussion au téléphone, Nicolas pensait que j'étais dans le jardin. »
« Il s'exprimait d'une voix étouffée. »
« J'ai bien saisi la conclusion de la conversation :
« À lundi soir, mon amour, je t'aime. »
Je lui réponds : « Je comprends mieux, maintenant. »
« Cela explique son manque de libido avec toi. »
« Tu comptes faire quoi ? »
Rien, me dit-elle. Je préfère qu'il ne sache pas que je suis au courant de son secret.
Par contre, je compte bien rattraper le temps perdu et en profiter sans remords ni repentir.
Je déguste mon café mal à l'aise.
« Karl, j'ai une surprise pour toi et il est impératif que tu joues le jeu. »
« Tu bois ton café avant et ensuite, je te le propose. »
« Laisse-toi faire, Karl, je te pose sur les yeux un masque de sommeil et je t'emmène dans la salle de sport. »
Virginie me guide et me demande de m'allonger sur un tapis de sport.
Je m'allonge, toujours sans rien voir, et je sens que Virginie me place dans ma main droite un petit morceau de tissus et dans ma gauche un vêtement léger plus volumineux.
« Maintenant, c'est le moment de ta surprise, enlève le bandeau. »
J'ouvre les yeux et je découvre ma belle-sœur nue, les jambes écartées au-dessus de mon visage.
Sans me donner le temps de réfléchir, Virginie s'accroupit et place son sexe sur ma bouche.
« J'en ai une envie dévorante, étanche-toi à ma source, espèce de voyeur », me confit-elle.
Et voilà comment je suis devenu l'amant officiel de ma belle-sœur.
À plusieurs occasions, Virginie a ressenti le désir de revoir Julien.
Nous formons désormais un trio d'exception depuis six mois maintenant.
Ah, oui, dans ma main gauche, je détenais sa robe noire et dans ma main droite, sa petite culotte.
Fin.
Comme toujours, il est revenu jeudi soir pour passer le week-end.
Comme c’est souvent le cas, Virginie s'est satisfaite de câlins sans rapports sexuels avant de se mettre au lit.
Virginie a tout mis en œuvre pour cacher sa situation avec son beau-frère.
Le mardi suivant, comme convenu, c'est en compagnie de Julien que je frappe à la porte du domaine de Virginie.
Le portillon se déploie de lui-même et surprise, elle n'est pas en tenue de sport. Je vois apparaître une Virginie vêtue d'une petite robe courte qui nous reçoit en s'approchant de nous.
« Bonjour Karl », dit-elle en m'embrassant et en serrant la main de Julien.
Dès notre arrivée sur les lieux, le portail se ferme de lui-même et plus aucun regard ne peut nous percevoir.
« Julien, laisse-moi te présenter Virginie, ma belle-sœur. »
« Virginie, je te présente Julien, mon ami le plus cher. »
Je leur dis à tous les deux.
« Ne vous inquiétez pas pour moi à l'avenir. »
« Je suis ici en tant que spectateur. »
« Julien, un rôle t'est attribué. »
« Prends soin de Virginie, elle en a vraiment besoin et je suis persuadé qu'elle deviendra très compréhensive. »
Julien, sans se laisser perturber, s'est tourné vers elle et lui a immédiatement parlé en utilisant le tutoiement.
« Compte tenu de ce qui nous attend prochainement, Virginie, tu pourrais faire un effort pour m'accueillir. »
Il s’avance vers elle, l’entoure de ses bras et lui donne un baiser passionné, en pressant sa langue pour pénétrer sa bouche.
Il s'esquive et lui déclare : « Voilà qui est plus approprié. »
Ma belle-sœur est désemparée.
Puis, Julien laisse glisser doucement ses mains de chaque côté de son corps sur le tissu de sa robe.
Il se penche à son oreille et lui murmure : « Tu sais ce que je vais faire sur le champ, en dépit de ton accord ? »
« Non », lui répond-elle avec une toute petite voix apeurée et en me regardant.
Je vais te retirer le fin rempart que je devine joli et raffiné que tu as sous ta robe.
« À partir de maintenant, tu n'en as plus vraiment besoin. »
Arrivé à la limite entre le tissu et la peau, il fait remonter ses mains sous la robe, puis fait descendre lentement sa culotte jusqu'à ses chevilles.
Ma belle-sœur lève chacun de ses pieds un par un pour libérer le passage.
La culotte disparaît entre les mains de Julien, qui, par réflexe, la porte à son nez pour en respirer l'odeur.
Ensuite, il la propose à Karl qui reproduit le geste.
« Virginie, je suis persuadé que nous allons trouver un terrain d'entente. »
« Ton parfum révèle beaucoup de choses sur ta personnalité. »
Ma belle-sœur est complètement abasourdie.
Une fois la surprise passée, elle nous convient de pénétrer dans le salon, les yeux scintillants
Elle nous verse un très bon whisky et se sert elle-même une coupe de champagne.
Julien n'est pas du genre à faire traîner les choses et il est clair que c'est lui qui initie la discussion.
« Donc, c'est toi qui es en quête d'aventures en dehors du mariage ? »
« Non, c'est faux, raconte Valérie, c'est la seule aventure que j'aie eue et maintenant, je le regrette. »
Julien étant assis en face de ma belle-sœur, je remarque qu'elle croise les jambes pour éviter son regard constamment attiré par son entrejambe.
« Karl m'a raconté que tu aimais faire des pipes. »
« Euh ! » « J'ai apprécié l'autre jour le sexe de ce jeune homme. »
« Est-ce que tu avales ? » « Parce qu'avec moi, c'est un impératif. »
« Je n'aime pas trop », lui répond Valérie.
« Très bien, nous allons le vérifier. » « Pose ta coupe sur la table et mets-toi à genoux et suce-moi », lui ordonne-t-il.
« Garde ta coupe à proximité, tu pourras ainsi mélanger mon sperme à ton champagne, ce sera bien meilleur. »
Moi, Karl, je suis là, dans mon fauteuil, bien à l'aise, jouant mon rôle de voyeur en train de déguster mon verre de vieux whisky. J'étais tout de même stupéfait par le langage vulgaire et humiliant que mon ami pouvait employer en présence d'une femme.
J'étais impatient de découvrir ce qui se passerait ensuite.
Sans résister, ma belle-sœur se lève, me dévisageant, puis s'agenouille entre les cuisses écartées de l'homme.
Elle lui déboutonne sa fermeture éclair et retire son pantalon. Par la suite, elle le dépouille de son slip déformé par l'érection, alors qu'il soulève le bassin.
Devant son regard, une verge de taille majestueuse se présente.
Valérie la saisit doucement et la place délicatement dans sa bouche.
Ses lèvres se métamorphosent et s'arrondissent autour.
Elle entame ainsi de longs et progressifs va-et-vient tout en faisant tourner sa langue autour du gland. Ses joues se creusent et aspirent.
Le visage de Julien change et semble énormément apprécier le savoir-faire de cette femme.
Virginie fait une pause pour savourer un peu de champagne qu'elle conserve dans sa bouche.
Elle saisit la tige et l'engloutit dans sa bouche pleine de liquide pétillant.
Simultanément, sa main masturbe efficacement le reste de la hampe resté à l'extérieur de la cavité.
Sans avertissement, tout aussi surpris par l’effet des bulles sur son gland, Julien se fige et se tend en produisant un son rauque et puissant.
C'est alors qu'il se déverse en profondes saccades dans la bouche de Valérie qui le déglutit par petites gorgées.
Elle se tourne, saisit sa coupe et rapidement, la vide d'un trait.
« Quelle bonne surprise, s'exclame Julien, Karl, tu avais raison, Virginie a énormément de potentiel. »
« Je ne suis pas particulièrement amateur de champagne, mais cette expérience me fait changer d'avis », a-t-il déclaré en riant.
Dans ma position assise, ma verge se trouvait serrée dans mon boxer. Ma seule envie était de me joindre à eux.
Virginie se sert à nouveau d'une autre coupe et nous dit en s'essuyant le contour des lèvres avec un essuie-tout : « Êtes-vous satisfait, messieurs ? », avec un large sourire.
Peu de temps après, Julien demande à Virginie si elle se connaissait des dons de femmes fontaine.
Ma belle-sœur lui répond qu'elle ne croit une seconde pas à ces histoires et que l'on voit ça uniquement dans les films pornographiques.
« Nous verrons cela. »
« Karl m'a dit que tu disposes d'une salle de sport entièrement équipée. »
« Car ici, ce n'est pas idéal, il y a de la moquette », déclare Julien.
« Absolument, c'est une salle superbe dotée d'un carrelage en résine. »
« Mais pourquoi une telle interrogation ? » questionne Virginie.
« Tu verras bien, rétorqua Julien sans attendre. »
« Karl, notre voyeur contraint, pourrais-tu enlever les derniers vêtements de madame ? »
Avec un grand sourire, je lui dis : « Avec plaisir, si je peux être d'une quelconque aide. »
Lorsque je me lève de mon fauteuil, Valérie aperçoit la protubérance apparaissant au niveau de ma braguette, mais elle ne fait aucune remarque.
En un rien de temps, Virginie se retrouve complètement nue.
On peut dire qu'elle ne gardait que sa petite robe et son soutien-gorge.
Julien remarque la beauté du corps bien sculpté de Virginie et ne manque pas de le lui faire savoir.
Bon sang, tu as un corps qui ferait pâlir une déesse grecque.
Allez, on lève le camp, il tend la main à Virginie et lui demande de nous emmener dans la salle de sport.
Julien trouve une superbe salle équipée de tout le nécessaire pour renforcer tous les muscles de son corps.
Naturellement, je suis déjà familier avec elle et cela me touche moins.
« C'est parfait, il y a des bancs de musculation ajustables en inclinaison, exactement ce dont nous avons besoin. »
« Virginie, prends place confortablement sur ce banc qui soulève légèrement ton torse et ton bassin », s'exclame Julien.
« Assure-toi de bien écarter les jambes de chaque côté et pose solidement les pieds au sol. »
Ma belle-sœur s'exécute et nous offre une vue sublimée de sa vulve brillante déjà entrouverte par la position favorable, mais aussi par le plaisir qu'elle a offert à Julien tout à l'heure.
Elle me fixe et dit : « Tu dois être ravi de me voir dans cet état, sournois beau-frère. »
« Effectivement, cela vaut le coup d'œil », lui répondis-je.
« Ma déesse, (tiens, un mot gentil de la part de Julien, c'est rare) je vais te faire couler lentement au départ, puis tu éjaculeras dans ma main comme une fontaine. »
Julien se place à côté d'elle et commence un baiser langoureux tout en caressant ses seins et l'ensemble de son corps.
Valérie lui saisit la tête avec ses mains et lui caresse les cheveux.
Sa peau se couvre de frissons.
Il se place entre ses jambes et commence, à l'aide de sa bouche, une exploration prolongée de son sexe dont les lèvres continuent de se séparer pour permettre à cette langue ferme et acérée de s'introduire.
Virginie commence à gémir, sans chercher à se contenir. De mon point de vue, je distingue clairement un minuscule ruisseau qui s'écoule et comble son petit trou.
Julien applique ce lubrifiant naturel sur un doigt tout en continuant à l'exciter avec sa bouche, le faisant pénétrer dans son petit sanctuaire secret.
Virginie, prise au dépourvu par cette intrusion, sursaute légèrement puis grogne à mesure que sa respiration s'intensifie.
Le petit pénis factice glisse doucement et facilement dans le canal étroit, constamment assisté par le flux de son vagin.
Le manège se prolonge depuis un moment et moi, je suis de plus en plus mal à l'aise en voyant ses deux lascars se donner autant de plaisir ?
« Maintenant, dit Julien, je crois que tu es prête, ma reine. »
Il se lève, se remet à nouveau à côté de Virginie et lui introduit avec grande douceur son majeur et son index dans son vagin plus que mouillé.
Ses doigts forment un crochet une fois à l'intérieur et il masse avec l'extrémité de la partie supérieure côté nombril un endroit plus dur dans le vagin.
« Tu sens une différence de sensibilité à cet endroit précis ? » lui demande l’homme.
« Oui, c'est très électrique, comme des petites décharges et très bon à la fois », lui répond son amante.
« Alors, prépare-toi à gicler dans ma main. »
« Ne te retiens pas. »
Julien entame une masturbation focalisée précisément sur ce point, non pas en déplaçant ses doigts, mais en effectuant des gestes verticaux de va-et-vient, tout en exerçant une pression considérable au bout de ses doigts.
Il accélère le rythme pour devenir de plus en plus rapide.
Valérie crie comme une furie.
Son sexe fait entendre d’intenses bruits de clapotis de plus en plus forts.
Julien se décide simultanément d'appuyer avec sa main gauche au-dessus de son mont de Venus, juste sur sa vessie.
C'est à ce moment que le miracle se produit.
Je constate que le visage de Virginie change pour manifester presque de la détresse.
Ma belle-sœur émet une puissante lamentation, la bouche largement ouverte, immédiatement suivie de gémissements profonds.
Valérie expulse trois ou quatre jets considérables de liquide qui trempent la main de Julien avant de se déverser au sol pour former une petite flaque.
Julien retire sa main avec précaution.
Il approche ses lèvres du visage de Virginie, la baise et lui conseille de se reposer un instant." Tu en auras besoin bientôt."
« À présent, tu es une femme fontaine, comprends-tu ? » « Ce n'est pas uniquement dans les films pour adultes. »
« Je n'ai jamais joui de cette façon. » « C'est extrêmement fort », dit-elle.
À peine remise de ses émotions, il lui demande si elle possède un lubrifiant intime.
« Non, je n'en ai pas, mais j'ai de l'huile d'amande douce, tu peux me l'apporter, Karl. »
« Je l'ai mise dans la salle de bain sur le petit meuble. »
Julien assiste Virginie pour se relever et la place, cette fois-ci sur le ventre, sur un grand pouf rempli de billes en polystyrène.
Dans cette position, la femme offre ses fesses sans retenue.
Ses seins sont en dehors du pouf et l'on peut admirer leurs fermetés.
Devinant la suite des événements, je prends la décision de me mettre nu comme eux.
« Regarde Virginie, un beau-frère tout dénudé, dit Julien. » « Tu choisis de nous rejoindre ? »
« Pas question, je suis toujours spectateur », et je lui donne le flacon d'huile d'amande douce et me rassoit.
« Virginie, je vais maintenant t'enculer pour encore te faire crier de plaisir et peut-être un peu de douleur. »
« Il faut cependant comprendre que la frontière entre le plaisir et la souffrance est très mince. »
Ma belle-sœur se relève d'un bon, « Je ne veux pas, tu vas me faire mal. »
Sans lui répondre vraiment, Julien lui demande si elle a déjà subi cette pratique ?
« Une fois, alors que nous étions encore très jeunes, Nicolas a tenté de me pénétrer, mais il n'y est pas parvenu », lui dit-elle.
« Tout à l'heure, tu as aimé le glissement de mon doigt dans ton petit cul. »
« Ce n'est pas une question de grosseur, mais de douceur. »
« Remets-toi en position immédiatement et laisse-moi faire. »
Désespérée, elle se couche à nouveau sur le ventre sur le pouf.
Julien applique de l'huile sur son doigt et entame délicatement une pénétration de son anus, progressivement et en toute douceur.
Il ramone délicatement le fourreau, puis voyant qu'il n'y a pas de réaction de douleur de Virginie, il glisse un deuxième doigt.
Aie, tu fais quoi ? dit la donzelle.
« Je te prépare doucement », lui répond le garçon.
Les deux doigts glissent en tandem et j'ai l'impression de capter une respiration plus intense de ma belle-sœur.
« Observe, lui dit Julien, tu commences à apprécier. »
« Je ressens ton corps réagir et ton petit derrière se dilater et s'ouvrir de manière autonome. »
« Il est désormais prêt à me laisser le passage. »
« Garde cette position, je vais mettre un préservatif. »
Julien fait son retour, s'agenouille derrière les superbes fesses de Virginie.
Il applique de l'huile d'amande douce sur son sexe et le positionne au cœur de la petite rosace qui vibre à son contact.
« Décontracte-toi Virginie », il pousse légèrement et je vois nettement le gland pénétrer la rondelle très doucement.
La bouche de la jeune femme s'ouvre et souffle.
« Lentement, reste comme ça », lui dit elle.
La petite rondelle exerce désormais une pression sur l'extrémité de la verge.
Moi, le voyeur notoire, je n'en peux plus.
Je saisis fermement mon membre et commence à me masturber devant ma belle-sœur qui m'observe tout en me souriant.
Tout progressivement, la totalité de la verge de Julien pénètre le joli cul de Virginie.
Caresse-toi en même temps, lui demande l'homme.
Elle passe ses mains en dessous et commence à se masturber.
Lui, de son côté, remet du lubrifiant sur son sexe et entame un lent mouvement de va-et-vient.
Au début un peu laborieux, le conduit se laisse finalement apprivoiser et s'ouvre pour favoriser une accélération des mouvements.
A présent, le tempo est constant et ininterrompu.
Virginie reprend ses plaintes en émettant de grands gémissements entrecoupés de rires chaotiques lorsque le membre atteint le point de pénétration maximale dans son fourreau.
Tout en me fixant du regard et entre deux gémissements, c'est elle qui demande à Julien de poursuivre à ce rythme.
« Poursuis, Julien, ne t'arrête pas, je ne ressens aucune souffrance et j'éprouve même un plaisir agréable s’intensifier. »
Sous le consentement de sa maîtresse, Julien déploie une intensité accrue, et les bruits de son bassin heurtant les fesses de Virginie deviennent nettement plus énergiques et soutenus.
De puissants râles s'échappent de sa bouche.
Tout à coup, le corps de la femme commence à convulser.
Virginie laisse échapper un cri d'émotion et de surprise qui se termine par une grande expiration.
Julien est informé, grâce à de multiples contractions sur son sexe, que le plaisir de Virginie atteint son summum.
Ayant réalisé sa mission, il se permet de libérer sa semence dans le préservatif, tout en maintenant la taille de Virginie. À part son souffle rapide, aucun bruit n'émane de ses lèvres.
Eh bien, moi, que suis-je devenu pendant cette joute sexuelle ?
Je me suis masturbé devant ma belle-sœur qui me regardait, tandis qu'elle était sodomisée, et juste avant son orgasme, j'ai atteint le mien et ai libéré plusieurs jets abondants de sperme dans l'air.
J'avais vraiment l'impression qu'elle me donnait une représentation de son orgasme et qu'elle consentait à cette situation juste pour moi.
Julien et Virginie se dirigent ensemble vers la salle de bain pour une petite douche rapide.
Moi, je retourne dans le salon pour préparer un autre apéritif pour la suite.
Très rapidement, les voilà revenus.
Chose étonnante, Virginie reprend une autre coupe.
Notre conversation tourne bien sûr autour de leurs ébats amoureux.
Virginie nous raconte qu'elle n'a jamais éprouvé dans sa vie des orgasmes aussi intenses et dévastateurs.
Qu'elle ait opté pour le plaisir qui lui a permis de se révéler en tant que femme fontaine.
« J'ai également pris plaisir à être sodomisée malgré ma frayeur, mais c'est très distinct et probablement, je crois qu'il faudrait le répéter plusieurs fois pour en apprécier toute la dimension », confie-t-elle.
« J'ai aussi particulièrement aimé te voir, Karl, atteindre le plaisir ultime face à moi en te masturbant. »
« C'est avec cette chaleur intense et omniprésente qui a embrasé mon ventre, contribué à mon orgasme anal. »
Virginie n'étant pas coutumière de la consommation d'alcool, elle commence à se sentir légèrement étourdie.
« Tu sais, Virginie, je savais que tu étais une femme destinée à l'amour», lui prononce son amant.
"Mon travail m'offre l'opportunité de côtoyer un grand nombre de femmes.
« Rares sont celles qui n'ont pas terminé dans mon lit, des très jeunes, des jeunes, des filles de ton âge et même des femmes d'âge mûr, prononce Julien. »
« Tu occupes une position privilégiée parmi toutes ces femmes. » « J'apprécie énormément ta manière de te donner totalement et sans aucune réserve. »
« Mais tu es un véritable Casanova, lui dit ma belle-sœur. »
« Probablement, et je vais te le prouver », lui répond Julien.
« Julien, je ne souhaite pas te décevoir, mais je suis exténuée, brisée et totalement vidée de mon énergie. »
« Peut-être une autre fois ! »
« Non, ma belle, il n'y aura pas de seconde occasion, je ne reviendrai pas. »
« C'est à présent que je souhaite te prendre dans ton puits d'amour. »
« Je suis convaincu qu'il a encore la capacité de couler comme un fleuve. »
« Karl, dis-lui, toi », affirme-t-elle.
« Virginie, n'oublie pas, je t'avais mise en garde. »
« Julien est un véritable marathonien du sexe. »
« Je t'avais prévenu que c'était toi qui allais implorer miséricorde. »
« Quoi qu'il arrive, c'est la dernière fois que tu as des relations sexuelles avec Julien. »
« Tu as parfaitement accompli notre accord. »
« Nous pourrons tous les deux reprendre, disons, des rapports plus traditionnels de belle-sœur et de beau-frère. »
« En tout cas, sois assuré de mon silence par rapport à mon frère Nicolas. »
Dans son personnage de femme soumise et humiliée, surtout après quelques verres de champagne, Virginie se lève, nous saisit individuellement par la main et nous guide à nouveau vers la salle d'entraînement.
Une fois entrée dans la pièce, elle va à la recherche d'un tapis doux et s'y allonge sur le dos.
« Karl, apporte-moi le traversin de yoga sur ta droite. »
Je lui passe, elle soulève le bassin en s'appuyant sur ses pieds et positionne le traversin juste au niveau de ses reins dans le dos.
Dans cette position, Valérie offre son corps à Julien comme une forme de sacrifice.
Elle saisit le petit flacon contenant l'huile d'amande et, en utilisant la pipette, elle injecte une généreuse quantité de ce lubrifiant naturel à l'intérieur de son vagin et de son anus.
« Désormais, c'est à toi, Julien, que je m'adresse. »
« Fais ce que tu veux de moi, fais-moi jouir autrement, je t'en donne l'autorisation, mais c'est la dernière fois. »
Ayant un doute sur son alcoolémie,
Je lui précise et lui fais remarquer : « Virginie, es-tu certaine de ce que tu demandes à Julien ? »
« Absolument, je maîtrise parfaitement ce que je fais et ce que je veux, et puis tu es là pour me servir de garde-fou. »
« Rassure-toi, me dit-elle, je ne suis pas ivre, j'ai juste la dose qui me permet de m'émanciper. »
« Julien déclare : « C'est une réponse audacieuse et courageuse qui me réjouit totalement. »
« Tu as raison, après tout, car c'est la dernière fois. » « Terminons sur une note céleste, ma déesse. »
« Je ne prévoyais pas ça au début, je voulais juste te faire l'amour de manière ordinaire. »
« Mais puisque tu me le demandes, voici une autre méthode pour donner un plaisir hors du commun et extrêmement fort à une femme. »
« Quoi qu'il arrive, si tu éprouves le moindre inconfort, je stoppe tout de suite. »
« Comme tu as pu le remarquer, mon sexe est plus grand que la moyenne. »
« C'est mon père qui m'a transmis cela. »
« Observe mes mains, elles sont délicates, fines et élancées. »
« C'est un héritage que m'a laissé ma mère. »
« Eh bien, c'est cette main qui va doucement et profondément explorer ta féminité. »
« Elle sera totalement aspirée à l'intérieur de ton vagin, bien au chaud. »
Absolument, je maîtrise parfaitement ce que je fais et tu es là pour me servir de garde-fou. »
« Es-tu toujours consentante pour tenter l'expérience, ma beauté ? »
Virginie réfléchit et donne cette réponse.
« Jusqu'ici, malgré ton langage parfois agressif et ta posture de mâle conquérant, tu as toujours fait preuve de douceur et d'attention. »
« Je te fais donc confiance et je suis prête à participer, mais soit d'une délicatesse extrême. »
Julien pénètre dans la cuisine et nettoie soigneusement ses mains avec du savon.
Il revient rapidement et applique de l'huile d'amande douce sur sa main droite.
« Valérie, je me prépare à commencer. » Décontracte-toi et n'hésite pas à me dire « stop ».
Il s'introduit directement dans le vagin avec deux doigts de sa main droite et entame un mouvement de va-et-vient lent tout en caressant l'ensemble de la zone autour du clitoris avec deux doigts de sa main gauche.
Il introduit progressivement un troisième, puis un quatrième dans l'ouverture qui s'offre et se libère lentement.
Pour atteindre ce type de pénétration, il faut impérativement prendre du temps, cela est nécessaire.
À ce moment-là, Virginie ventile très profondément.
Il ôte graduellement ses doigts et applique de nouveau du lubrifiant sur sa main.
« Je ne te fais pas mal, Virginie ? »
« Non, pas du tout, tu es très tendre, poursuis », répondit la jeune femme.
Julien reprend son forage à l'endroit où il s'était arrêté.
Au bout de trois quarts d’heure de ce traitement, L'homme modifie sa main droite en forme de bec de canard, c'est-à-dire qu'il replie son pouce vers l'intérieur de ses doigts.
Il invite ma belle-sœur à respirer doucement, mais profondément, ce qu'elle fait en toute confiance.
C'est à cet instant qu'il exerce une pression continue sur sa main tout en la faisant pivoter progressivement dans un sens puis dans l'autre. Il suscite une stimulation délicate autour du clitoris.
« Décontracte-toi, mon amour, et maintenant pousse juste un peu. »
La main pivote toujours dans un sens puis dans l'autre, ensuite se cale dans une certaine position en adéquation avec la forme de l'ouverture.
Comme par enchantement, Julien perçoit que sa main se trouve littéralement aspirée dans cette ventouse et pénètre sans entrave à l'intérieur du vagin jusqu'au poignet.
Virginie est submergée par toutes les nouvelles sensations qu'elle ressent.
Son corps entier est recouvert de perles de sueur.
Une douce chaleur envahie son ventre.
« Virginie, je suis maintenant à l'intérieur de ton corps. »
« Que récents tu, mon amour ? »
« J'éprouve une plénitude sans précédent », a répondu la jeune femme.
« Je ne souffre pas. »
« Je me sens entièrement remplie, comblée, soumise, distendue, mon corps est en apesanteur, intégralement sous ton contrôle. »
Oui, c'est tout à fait ça. Julien lui répond : « Je t'ai complètement en mon pouvoir, Virginie. »
« Ne bouge surtout pas, Valérie, je vais te caresser le col de ton utérus. »
Ma belle-sœur commence à avoir une respiration bruyante.
L'homme trouve et débusque aisément le col de la soumise.
Il place un de ses doigts précisément au milieu du passage et constate que le col est légèrement entrouvert. Il en conclu que Valérie traverse actuellement sa phase d'ovulation.
Le bout de son doigt tourne dans un sens puis dans l'autre sur l'ouverture du canal qui s'ouvre et se laisse pénétrer partiellement.
« Stoppe, lui dit ma belle-sœur, c'est un plaisir insupportable, je vais atteindre l'extase. »
Dans un cri envoûtant, le corps en entier se contorsionne, Virginie est contrainte de jouir sous cette nouvelle caresse.
Sa cyprine ne cesse de s'écouler de son vagin tout autour du poignet de Julien.
Ne luisant pas de répit, Julien pivote lentement sa main et place l'extrémité de ses doigts sous le nombril.
Il localise vite le petit point G, une sorte de région plus ferme située dans la partie basse du vagin.
Il stimule longuement cette zone en la frottant de manière circulaire avec le bout de ses doigts en se basant sur les plaintes de sa complice qui n'en peut plus.
Soudainement et sans prévenir, Virginie se cabre et vibre de nouveau, puis pousse des gémissements languissants.
Son méat urinaire s'ouvre spontanément et rejette par saccades une fois de plus plusieurs jets de fluide limpide qui se meurent sur le sol.
« Stop, Julien, je suis épuisée de fatigue. »
L'homme ne se détourne pas pour autant et lui déclare :
Rappelle-toi ce que tu m'as dit tout à l'heure.
Pour rappel, voici tes paroles :
« Fais ce que tu veux de moi, fais-moi jouir autrement, je t'en donne l'autorisation, mais c'est la dernière fois. »
« Je ne fais que respecter ta demande », lui proclame Julien.
« J'arrête immédiatement si tu ressens la moindre douleur. »
Mais non, crétin, je n'ai absolument aucune douleur, au contraire, je plane.
« Dans ce cas, nous n'avons pas encore terminé, ma chérie, il te reste un orgasme à me donner pour me contenter. »
Dans le ventre de la soumise, il plie les doigts de sa main pour créer un point.
Il entame alors un lent mouvement de va-et-vient tout en faisant tourner sa main à l'intérieur du vagin.
Depuis ma position d'observateur, je distingue clairement le point qui crée une légère protubérance se déplaçant sous la paroi abdominale de Valérie.
Valérie halète et ses yeux ont du mal à me fixer.
Julien commence à lui titiller son anus avec son majeur et son index de son autre main, puis les insère directement dans son fourreau préalablement lubrifié par Virginie elle-même.
Malgré son épuisement, je constate que les membres de Virginie commencent à vibrer.
De puissantes contractions se diffusent dans son ventre alors qu'un cri étouffé s'éteint dans sa bouche.
Elle vient d'avoir son quatrième orgasme.
En faisant très attention, Julien retire délicatement sa main de l'entrejambe de sa compagne, avant de se précipiter tendrement vers ses lèvres pour l'embrasser et lui caresser les seins.
La soumise réagit tendrement aux baisers, ouvrant la bouche pour accueillir sa langue.
Julien se retire et insère son membre toujours rigide et en érection dans l'orifice qui reste légèrement ouvert.
Virginie le suce, l'avale et l'aspire, elle reçoit sa récompense quasiment instantanément.
Il se liquéfie au cœur de sa bouche et je remarque que sa soumise engloutit tout son sperme sans aucune répugnance.
« Virginie, tu es vraiment exceptionnelle. »
Julien l'aide à ce relevé et l'emmène à nouveau se doucher.
Pendant ce temps, moi, je m'habille et débarrasse nos verres.
Face à ces scènes fantastiques, j'ai connu trois orgasmes extraordinaires en me masturbant.
Quand ils reviennent, je questionne Virginie sur ce qu'elle souhaite faire.
Elle me confie, épuisée, qu'elle souhaite aller se coucher.
Nous sommes d'accord.
Nous l'accompagnons tous les deux en la soutenant.
Julien lui offre un dernier bisou sur les lèvres, pendant que de mon côté, je l'embrasse sur les joues et laisse sa petite culotte, que j'avais conservée dans ma poche, sur sa table de nuit.
« Fais de beaux rêves, ma déesse, lui dévoile Julien. »
Je verrouille la porte à clé et reconduis Julien chez lui.
Chose étonnante, dans la voiture, Julien ne parle pas de Virginie.
Le lendemain, dans l'après-midi, je téléphone à Virginie pour lui demander comment elle va.
Elle me répond qu'elle a dormi jusqu'à 11 heures et que son corps est encore endolori.
« Veux-tu venir manger avec ton frère samedi midi à la maison ? »me propose-t-elle.
« Je ne préfère pas, j'ai mûrement réfléchi cette nuit et je ne suis pas satisfait de ma conduite à ton égard. »
« Je préfère attendre un peu pour que nous puissions nous revoir. »
« Je ne t'en tiens pas rigueur. » « Julien est un amant extraordinaire et j'en ai bien profité. »
« Et puis, j'ai adoré te voir jouir devant moi. »
« Tu as une bite moins extravagante que Julien, mais elle a son charme. »
Après environ deux semaines, ma belle-sœur essaie de me joindre et laisse un message sur la boîte vocale.
Je consulte mon message pour en connaître le contenu.
« Salut Karl, je compte sur toi pour un café en fin de journée, c'est indispensable. »
Comme de coutume, en fin de journée, vers 17 h 30, je vais chez Virginie pour savourer mon café brésilien.
Elle me reçoit vêtue de la même petite robe que lors de notre précédente rencontre avec Julien.
On s’installe dans le salon et elle entame une conversation.
« Tu avais raison, Karl, ton frère me trompe. »
« T'es certaine de ça, comment le sais-tu ? »
« J'ai surpris une discussion au téléphone, Nicolas pensait que j'étais dans le jardin. »
« Il s'exprimait d'une voix étouffée. »
« J'ai bien saisi la conclusion de la conversation :
« À lundi soir, mon amour, je t'aime. »
Je lui réponds : « Je comprends mieux, maintenant. »
« Cela explique son manque de libido avec toi. »
« Tu comptes faire quoi ? »
Rien, me dit-elle. Je préfère qu'il ne sache pas que je suis au courant de son secret.
Par contre, je compte bien rattraper le temps perdu et en profiter sans remords ni repentir.
Je déguste mon café mal à l'aise.
« Karl, j'ai une surprise pour toi et il est impératif que tu joues le jeu. »
« Tu bois ton café avant et ensuite, je te le propose. »
« Laisse-toi faire, Karl, je te pose sur les yeux un masque de sommeil et je t'emmène dans la salle de sport. »
Virginie me guide et me demande de m'allonger sur un tapis de sport.
Je m'allonge, toujours sans rien voir, et je sens que Virginie me place dans ma main droite un petit morceau de tissus et dans ma gauche un vêtement léger plus volumineux.
« Maintenant, c'est le moment de ta surprise, enlève le bandeau. »
J'ouvre les yeux et je découvre ma belle-sœur nue, les jambes écartées au-dessus de mon visage.
Sans me donner le temps de réfléchir, Virginie s'accroupit et place son sexe sur ma bouche.
« J'en ai une envie dévorante, étanche-toi à ma source, espèce de voyeur », me confit-elle.
Et voilà comment je suis devenu l'amant officiel de ma belle-sœur.
À plusieurs occasions, Virginie a ressenti le désir de revoir Julien.
Nous formons désormais un trio d'exception depuis six mois maintenant.
Ah, oui, dans ma main gauche, je détenais sa robe noire et dans ma main droite, sa petite culotte.
Fin.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour les prénoms, il s'agit d'une erreur de ma part. Il faut retenir Virginie et c'est tout. Mille excuses.
Osiris.
Osiris.
Ah oui effectivement.
Parce que la vie continue sans divorce.
C'est un choix.
Trop de bien en jeux.
Osiris.
C'est un choix.
Trop de bien en jeux.
Osiris.
Pourquoi parler de Virginie et de Valérie ?
Une erreur ou j'ai pas tout compris ? Lol
Sinon appart cela très beau texte !
Une erreur ou j'ai pas tout compris ? Lol
Sinon appart cela très beau texte !
Et le divorce ??? 🤔

