L’anniversaire d’Enzo, mon beau fils. N°1

- Par l'auteur HDS Osiris -
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L’anniversaire d’Enzo, mon beau fils. N°1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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L’anniversaire d’Enzo, mon beau fils. N°1
L’anniversaire d’Enzo, mon beau fils.


Voici les personnages de cette histoire.
Je suis une femme brune de 40 ans, je m'appelle Sabrina.

Physiquement pas mal, je plais encore aux hommes et c'est moi qui raconte cette aventure.
Je vis avec mon compagnon Guillaume depuis maintenant six ans.

Il a un garçon de 18 ans, issu d'un premier mariage, qui réside principalement chez sa mère en raison de la proximité de son école. Il se nomme Enzo.
C'est un jeune homme plutôt timide et légèrement efféminé.
Sa mère, avec qui j'entretiens de bonnes relations, m'a confié qu'il a plus d'intérêt pour les garçons que pour les filles.

Actuellement, ma sœur jumelle Léa séjourne chez nous pour une durée de six mois. Elle fait bâtir une maison qui a subi des retards de construction et se retrouve sans domicile, ayant quitté son appartement trop tôt.
C'est une belle fille qui n'a pas froid aux yeux. Léa est divorcée depuis quatre ans et depuis cumule un nombre important d'aventures sexuelles.
Il n'y a pas de mystère entre nous.
Nous nous récitons, avec tous les détails, nos ébats intimes.
On se ressemble énormément, même voix, même couleur de cheveux.


La semaine prochaine, les congés scolaires commencent et Enzo sera présent trois jours pour célébrer son dix-huitième anniversaire chez son père.
Nous disposons d'un nombre suffisant de chambres pour l'accueillir.
Malheureusement, Guillaume, son père, ne sera pas présent le dernier jour ni la dernière nuit.
Il part en déplacement tous les dimanches soir pour la semaine et revient le vendredi après-midi.

Au niveau de notre couple, tout va bien pour le moment.
Bien que nous ne soyons pas souvent ensemble, nous savons tirer le meilleur parti du temps que nous passons en commun, diverses sorties, câlins bien sûr.

Sur ce point, nous sommes un couple libre.

Il arrive à mon partenaire d’avoir des aventures extraconjugales quand il n'est pas là, tout comme moi d'ailleurs.
Cependant, ce n'est pas un événement qui arrive fréquemment.
Par contre, on se livre totalement en divulguant chaque petit détail croustillant.

Nous adorons nous servir de jouets sexuels de tous genres.
Nous avons un gode ceinture que nous utilisons tous les deux.

J'apprécie particulièrement de sodomiser Guillaume, cela me procure une sensation de pouvoir et de domination.
De plus, même s'il n'est pas gay, mon conjoint en raffole, alors pourquoi ne pas en profiter.

Le jeudi suivant, en fin d'après-midi, Enzo arrive à la maison, déposé par sa mère.
Je présente ma sœur à la maman qui ne la connaissait pas, puis je les invite à prendre l'apéritif.

« Alors Enzo, dit ma sœur, quel effet ça fait d'avoir 18 ans ? » « Je suppose que tu attendais ce moment avec impatience. »
« Eh bien, à présent, j'ai la liberté de prendre toutes mes décisions en tant qu'adulte sans essuyer un refus de la part de mes parents. »
« Par exemple, je prendrais bien un gin-fizz pour fêter cela. »

Et il regarde sa mère tout en rigolant.
Par un regard, je demande l'approbation de sa mère qui accepte, vu le contexte.
Puis, au bout d’un certain temps, la maman d'Enzo prend congé et l'on se retrouve à trois pour le repas, Léa, Enzo et moi, Sabrina.
Le jeune garçon me redemande un autre verre, j'hésite et c'est ma sœur qui lui cède en disant,
« Oh, allez, ce n'est pas tous les jours que l'on a 18 ans. »
Au passage, elle nous resserre un autre verre.

Léa, qui n'a pas sa langue dans sa poche, commence à être indiscrète.

« Dit, Enzo, beau gosse comme tu es, tu dois faire tomber les filles comme des mouches. »
« As-tu déjà fait l'amour ? »
Enzo est très embarrassé pour lui répondre et devient rouge comme une pivoine :
« Non, pas encore, je n'en ai pas eu l'occasion.  »
« J'ai juste emballé une fille, mais cela ne m'a pas particulièrement plu. »
« Oh, mon pauvre petit, il faudra arranger cela rapidement », lui déclare-t-elle.
« À moins que tu préfères les garçons ? »

Toujours très incommodé, il lui répond qu'il ne sait pas trop.

Ma sœur ne connaît absolument pas ses tendances sexuelles et moi, je suis censée ne pas les connaître.

« Tu n'as pas d'appréhension à l'idée d'être seul avec deux séduisantes femmes sous le même toit ? » interroge-t-elle encore.
« Non, pourquoi ? »
« Eh bien, tu devrais, nous sommes de véritables vampires qui se lèvent la nuit pour s'attaquer à leurs proies. »
Et nous partons tous les trois dans un grand fou rire.

Le dîner se déroule de la même façon, malgré sa timidité, ce jeune homme est fort sympathique et c'est aux alentours de 23 heures que nous choisissons de nous retirer pour la nuit.

Léa me sollicite pour savoir si elle peut passer la nuit avec moi. Nous avons cette habitude de temps à autre, quand Guillaume est absent.

La chambre d'Enzo et de Léa se situe au premier étage.
La mienne se trouve au rez-de-chaussée.

« Bon, dors bien et reste vigilant face aux vampires et particulièrement à Léa, c'est elle la plus vorace. »
Au fait, n'oublie pas de prendre une douche, je t'ai mis le nécessaire dans ta chambre.



Une fois au lit, ma sœur me tient des propos surprenants.
« Elle me confie : « J'aimerais offrir à ce jeune homme un superbe présent d'anniversaire pour son dix-huitième anniversaire. »
« Ah bon ! » dis-je, étonnée. « Et tu as une idée  ? »
« Oui », me répond-elle, sûre d'elle.

« Je vais rentrer dans sa chambre entièrement dans l'obscurité, le caresser, le mordre et enfin le masturber. »
Estomaquer, je lui réponds :
« Mais tu deviens folle, Léa, c'est le fils de Guillaume et puis, ce que tu ne sais pas, c'est qu'il est probablement homosexuel. »
« C'est sa mère qui me l'a confié. »


« Et alors, je ne suis rien pour Guillaume ni pour Enzo. » « Par ailleurs, je suis sûr qu'il va beaucoup apprécier. »
« De plus, ce n'est pas illégal, mais juste un apprentissage, qu'il soit homosexuel ou non. »
« Dans l'obscurité, il ne saura pas qui lui a offert ce cadeau, que ce soit toi ou moi. »
« Demain matin, lors du petit déjeuner, son visage et son comportement seront sûrement très amusants à observer. »
« Il recherchera probablement l'autrice de ses caresses. »
« Alors qu'en penses-tu, sœurette ? »

« Je ne sais pas quoi en penser, mais je crois que ce n'est pas bien. »

« Eh bien, quoi qu'il en soit, je vais dans sa chambre dans une heure et je commence mes mamours. »
« J'ai d'autres projets pour lui en fonction de sa réaction de demain matin. »

Le moment crucial arrive, Léa entrouvre délicatement la porte de la chambre et s'approche tout doucement d'Enzo qui est déjà en train de dormir.

En le touchant délicatement, elle découvre qu'il est allongé sur le dos, uniquement un drap couvrant son corps dénudé. Son souffle est paisible et tranquille.
Elle abaisse entièrement le drap sur ses jambes, elle ne perçoit rien dans un premier temps, mais rapidement ses yeux s'acclimatent à la pénombre et commencent à discerner la silhouette du jeune homme.
Léa se met à genoux au bord du lit, laissant un de ses doigts effleurer délicatement la peau d'Enzo, en commençant par ses lèvres.

Sa main glisse et ses doigts chatouillent les petits mamelons qui se redressent docilement.
Léa a senti un léger mouvement d'Enzo, est-il réveillé ?

La main malicieuse poursuit sa descente, elle est désormais à plat sur le ventre et le caresse dans son ensemble.
Il ne fait aucun doute, Enzo est éveillé, mais il feint de dormir.

Malgré lui, sa respiration s'accélère.
Les doigts effleurent les poils du pubis et s'y amusent.

Entre en scène la main gauche de Léa qui effleure la poitrine, tandis que sa main droite poursuit sa descente, épouse le sexe et encercle intégralement les testicules qu'elle estime petits.

On perçoit dans la chambre quelques tout petits couinements du jeune garçon.

C'est le moment pour ma sœur de prendre en main la tige d'Enzo pour le masturber, d'abord lentement, puis plus vigoureusement. 

Sous l'effet du toucher, la tige initialement souple commence à se redresser et à se rigidifier entre les doigts de Léa.
Une fois de plus, et avec sa connaissance approfondie, ma sœur juge qu'elle est en contact avec une petite bistouquette.

Les légers couinements et soupirs évoluent en gémissements.

« Chut, lui dit ma sœur, joyeux anniversaire, mon grand. »

Elle lui applique sa main gauche à plat sur la bouche pour diminuer les vocalises et accélère encore les vas et viens de sa main.
Le corps du jeune homme ondule presque instantanément, et tout en poussant des gémissements, son sexe se contracte et projette vers le ciel des jets de sperme tiède qui s'étalent sur son abdomen.
La main ralentit et serre avec force le sexe d'Enzo pour en extraire tout le nectar, puis elle étend, tel un onguent, le sperme sur le ventre.
Elle lui chuchote doucement :

« Voilà, c'est tout pour ce soir, mon chéri ou ma chérie. »
« Mais au fait, que préfères-tu ? » Ma ou mon…
« Les deux sont bien, mais j’ai une préférence pour ma », lui répond Enzo d'une voix quasiment inaudible.
« J'avais une suspicion, maintenant, c'est plus évident. »

« Si tu souhaites me revoir demain soir, fais un geste au petit déjeuner. »
« Mais, je ne sais pas qui tu es, lui a-t-il dit en réponse. »
« Eh bien, cherche un moyen de faire passer le message à celle qui t'a procuré du plaisir. »
« L'une comprendra et l'autre, pas du tout. »

« En attendant, bonne nuit, Enzo, et peut-être à demain soir. »
Léa me rejoignit dans la chambre. 
Avec impatience et envie, je lui demande ce qu'elle a fait avec ce pauvre adolescent boutonneux.
« Alors, raconte-moi, j'ai hâte de savoir. »

« Tiens, je croyais que tu étais contre », me dit-elle.

Ma sœur me décrit minutieusement ses prouesses et son étonnement face à la petite taille du membre de l'adolescent.

Après son récit excitant, je me retourne et fais semblant de dormir, mais doucement, ma main trouve le chemin de mon sexe. 
Mes doigts commencent alors à me donner du plaisir, et tout cela se déroule dans un silence total pour ne pas éveiller les soupçons de Léa.

Après une nuit assez courte, on se retrouve devant la table du petit déjeuner.
Nous ne sommes que toutes les deux.
Enzo, dors encore.
Ce n'est qu'au bout d'une demi-heure que le garçon arrive, le regard fuyant.
Il nous embrasse pour nous dire bonjour et commence à prendre du café.
Je lui dis : « Tu n'es pas très bavard ce matin. »
« Tu n'as pas bien dormi », lui interroge Léa.
Toujours plongé dans sa tasse de café, il nous révèle : 
« J'ai bien dormi, mais j'ai eu un rêve étrange, très plaisant. »
L'une et l'autre, « Oh sérieux, qu'est-ce que c'était ce rêve ? »
« Je ne peux pas vous le révéler, mais j'aimerais tellement le refaire ce soir. »
Et là, il nous fixe du regard pour déceler tout éventuel changement.
Mais rien ne se passe.

Eh bien, Enzo, garde tes secrets pour toi, après tout, tu as le droit.
Ce soir, ton père rentre vers 16 h.
On ira au restaurant et l'on fêtera ton anniversaire samedi soir à la maison tous les quatre.

Dans le courant de la journée, Léa lui envoie un SMS anonyme grâce à une application de son téléphone Android.

« Comme j’ai cru comprendre que tu souhaites que je revienne cette nuit, j'ai déposé un masque de sommeil dans ta table de nuit ainsi qu’un gant en latex. »
« Mets-le masque sur tes yeux avant mon arrivée et le gant sur ton ventre. »

« Je veux te retrouver dans la même position qu'hier, allongé sur le dos. »

Comme convenu, Guillaume rentre à la maison vers seize heures. Le père et le fils se retrouvent après une séparation de trois semaines.

Moi, je suis heureuse de retrouver mon partenaire, car être seule peut parfois être lourd à porter. Heureusement, Léa est à la maison.
La soirée au restaurant se déroule sans accroc.
Une fois rentré, Guillaume demande à son fils s'il veut un digestif.

Enzo accepte volontiers, maintenant, il est grand ce jeune homme.

Après deux heures de débats qui expliquent la vie de chacun, le moment arrive de se mettre au lit, car il est déjà minuit passé.

Léa et Enzo se dirigent vers l'étage, chacun dans leur propre chambre.
Guillaume demeure dans le salon et se confectionne un autre verre.
Je me précipite dans notre chambre au rez-de-chaussée pour revêtir une délicate nuisette en dentelle semi-transparente.
Je suis consumée par un désir intense de faire l'amour.

Dès l'arrivée de Guillaume dans notre chambre, je lui ai cédé sans réserve, le laissant faire de moi ce qu'il désirait.
Il a utilisé un godemiché sur moi tout en me pénétrant avec son propre sexe, profitant de mon excitation exacerbée.
Mes deux orifices sont remplis et distendus à souhait.

Mon cul me brûle et glisse sans problème autour de la tige en silicone.
Je n'arrête pas de penser à ce qui peut se passer dans l'autre chambre avec Léa et Enzo.
Stimulée par ces idées folles et ses mouvements répétés dans mes ouvertures, un puissant orgasme me terrasse et me cloue sur place en un temps record.

« Je ne sais pas ce qui t'a mis dans cet état, mais tu m'as pris au dépourvu », me déclare Guillaume qui est resté sur sa faim.
« Mon pauvre chéri, je vais arranger cela. »
Je me retourne, ouvre la bouche et avale son sexe jusqu'au fond de ma gorge.

C'est lui qui me saisit par la tête et impose son tempo soutenu jusqu'à la fin, déversant une grande quantité de son sperme savoureux et tiède au fond de ma gorge.

Ensuite, viennent les confidences sur l'oreiller.

« Raconte-moi ce qui se passe, je t'ai rarement vu comme cela au cours de nos six ans de vie commune. »
« Tu as trouvé un super amant  ? »
« C'est ça ? » Me déclare Guillaume.
« Bien sûr que non, de toute façon, je te le dirai et je te raconterai tout, comme d'habitude. »
« Pour l'instant, ce n'est pas moi, mais Léa. »
« Quoi, Léa ? » me répond Guillaume.
« Actuellement, Léa se trouve dans la chambre de ton fils et elle est en train de faire l'amour avec lui. »
« Elle a commencé hier soir, et ce matin, Enzo a manifesté son envie de voir cela recommencer aujourd'hui. »
« Cependant, Enzo ne sait pas qui le caresse, la pièce reste totalement dans l'obscurité. »
« Il se peut que ce soit moi ou Léa. »

« Alors là, je suis stupéfait », me raconte son père.
« Je pensais que mon fils était attiré par les autres garçons. »
« Cela signifie-t-il qu'il n'est pas homosexuel ? »

« N'anticipe pas trop rapidement », « elle le stimule, lui procure du plaisir et l'amène à jouir, mais ils ne s'engagent pas encore sexuellement. »

« Enzo ne l'a pas encore pénétrée. » « Il est passif et se laisse faire. »
« C'est d'ailleurs l’objectif de Léa et c'est prévu demain soir après son anniversaire à la maison. »

« Mais j’y pense », me dit Guillaume.  « Si tu es si excitée, tu aimerais peut-être prendre la place de ta sœur et te « farcir », Enzo ? »
«  C’est ça ? »
« Eh, oui, ça me travaille depuis hier, mais je voulais d'abord en discuter avec toi pour connaître ton point de vue. »
« Espèce de vicieuse, c'est quand même mon fils. »

« Te connaissant, j'imagine que tu as déjà une idée claire de ce que tu veux faire avec lui,
n'est-ce pas ? »
« Tu me connais bien. »lui réponds Sabrina

« J’en ai deux. »
« Une, où j’interviens directement, et l’autre, je suis spectatrice avec ma sœur. »

« Il me semble que ton fils se sent plus épanoui dans une relation de soumission. »

« Tu le sais, j'aime bien être celle qui décide dans le lit. »
« Quand je te pénètre avec le gode, je ressens de la force et de la supériorité. »
« C'est moi qui mène le rythme et toi, tu endures mes attaques. »
« Eh bien, je souhaite faire la même chose avec Enzo.
« J’espère franchement que tu te trompes à son sujet », me répond Guillaume. 

« Et la deuxième idée, qu'est-ce que c'est ? »

« Eh bien, pourquoi ne pas essayer de joindre Stéphane ? » « Il est homosexuel, attirant, aimable, il a notre âge et nous sommes familiers avec lui. »
« Il pourrait être un très bon mentor pour Enzo et si ton fils explorait son orientation sexuelle, cela pourrait certainement l'aider à faire son choix. »

« Toutefois, je suis fermement convaincu qu'il choisira d'être un passif et que cette préférence est déjà en lui. »

Guillaume me répond
« Sache cependant que je te vois vraiment comme une personne dépravée. »
« Tu es diabolique. »
« C’est sans doute pour cette raison que je t'aime. »
« Oh, je te remercie, mon trésor, pour ce compliment. »

« Tu me tiens au courant dès lundi matin. »
« Pourvu qu'il morde à l'hameçon avec Léa et qui ne se laisse pas faire avec tes manières de soudard ou avec Stéphane. »
 « Je n'ai rien contre les homosexuels, mais cela serait pour l'avenir plus facile à vivre pour lui s'il était hétéro. » 
« Je pense que l’homosexualité n'est pas encore bien admise au sein de certaines personnes et de notre société. »


Soudainement, je constate que Guillaume se retourne et se met sur la verge du lubrifiant en abondance.
Je lui pose la question, « Que fais-tu donc ? »
« Pour te punir pour tes pensées insensées, retourne-toi et offre-moi ton joli derrière, je vais te prendre à la hussarde. »

Obéissante et avec grande envie, je lui offre mon petit trou qui se retrouve à nouveau comblé et bien rempli par le sexe de mon homme et non pas par un jouet en silicone.

Entre-temps, Enzo passe du bon temps avec Léa.
Comme auparavant, Léa entre dans la chambre, plongée dans l'obscurité totale. Elle remarque que le jeune a suivi les instructions envoyées par texto.

Enzo est allongé sur le dos, le masque de sommeil sur le visage et les gants en latex reposant sur son ventre.

Elle commence par mettre les gants, puis, tout comme la veille, elle débute par la bouche et descend progressivement vers le petit sexe de l'adolescent.
La seule distinction est qu'il ne s'agit pas de sa main ni de ses doigts, mais plutôt de sa bouche charnue.
Léa aspire les tétons d'Enzo, ensuite sa langue s'insinue dans son nombril puis absorbe sa petite tige dans sa bouche. 
Sa main droite ne reste pas inactive. Habillée avec le gant en latex, elle se dirige vers le petit cratère juste en dessous des testicules.
L'index tourne autour, par la suite pénètre l'orifice d'une phalange.
Tout en aspirant le sexe du jeune homme, le doigt profanateur pénètre et coulisse dans le conduit vierge et chaud d'Enzo.
Le jeune garçon répond de manière très positive.
Sous cette caresse, ses reins commencent à onduler.
« Peu importe qui tu es, mais continue avec ton doigt, c'est vraiment agréable », dit-il.
Alors, sans aucune hésitation, Léa accélère et insère directement un deuxième doigt.

Ce n'est qu'au bout de cinq minutes à peine que le jeune garçon se libère dans la bouche de Léa qui avale sans crainte les jets de sperme de l'adolescent.

Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner, Guillaume demande à son fils si la nuit s'était bien passée ?
Avant de répondre, Enzo échangea des regards avec Léa et moi, comme s'il tentait de nous interroger, mais aucun indice ne filtrait de nos visages.
Puis, il a donné sa réponse.
« Oui, mais au début, j'étais plutôt excité, probablement par l'alcool. » 
« Ensuite, j'ai bien dormi. » « La nuit est plutôt calme et douce dans cette maison, il n'y a aucun bruit. »
Et il précise : « J'apprécie particulièrement mes débuts de nuit. » « Ce sont des moments très plaisants. »
Guillaume observe ma sœur Léa, très enthousiaste de ce qu'elle entreprend avec le jeune homme.



La journée s'écoule tranquillement. Nous avons célébré l'anniversaire d'Enzo tous les quatre autour d'un succulent repas.
Le père a pourri son fils. Il offre à Enzo son permis de conduire et une petite voiture électrique, probablement une Zoé.
En ce qui concerne les présents de ma sœur et de moi-même, vous êtes désormais au courant de ce que c'est ou de ce qui est prévu.

Sans modifier ses habitudes, ce matin, Léa a transmis un autre message anonyme à Enzo.
« Je viendrai une nouvelle fois ce soir dans ta chambre, tu devras replacer le bandeau sur tes yeux avant mon arrivée. »
« N'essaie surtout pas de découvrir mon identité. »

« Ce soir, c'est à toi de me donner du plaisir en me faisant l'amour avec ta petite brindille, tes doigts et ta bouche. »
« Tu auras accès à l'intégralité de mes ouvertures, tu pourras pénétrer dans celle qui te fera plaisir. »
« Je compte sur toi pour être à la hauteur et durer beaucoup plus que les cinq minutes habituelles. »

La journée passe très vite et le soir arrive rapidement. Curieusement, c'est Enzo qui se couche en premier, prétextant une grande fatigue, suivi de près par ma sœur.

On reste donc tous les deux, Guillaume et moi, dans le salon.
« Guillaume me dit : Ces deux-là sont très pressés de se faire des câlins. »

« C'est bon signe et cela me donne des idées. »
« Mets-toi debout devant moi, Sabrina. »
« Enlève ta culotte et écarte tes cuisses, je vais te manger toute crue. » « Maintenant, tourne-toi et approche ton cul de ma bouche avide. »
« Arrête, lui dis-je, ils peuvent redescendre à tout moment et nous surprendre. »
Avec envie et plaisir, malgré le risque, je cède, prends la pose et présente ma figue et mon cul à ses lèvres.
Sa bouche et sa langue pointue prennent possession, d'abord, de ma fente qui commence à se liquéfier, puis de ma petite pastille qu'il pénètre et mouille en abondance avec sa salive.

Par mégarde, je laisse quelques cris sortir de ma bouche.

Naturellement, ce qui devait se produire arriva.

Il est probable que Léa a perçu mes gémissements et la voici qui descend à pas feutrés les escaliers, le torse découvert et ne portant qu'un petit slip couvrant à peine son joli derrière.

Elle me surprend les fesses en l'air avec la tête de son beau-frère cachée sous ma robe.

Guillaume, trop pris par son œuvre, n'a pas prêté attention et continue à aspirer bruyamment, produisant un son de succion intense.

Je suis au courant que Léa a toujours convoité de prendre ma place, ne serait-ce qu'une fois, pour étonner Guillaume et lui faire ainsi l'amour sans qu'il se rende compte de la supercherie.

Elle me fixe intensément du regard et m'indique clairement, par un geste avec sa langue, ce qu'elle souhaite entreprendre avec mon Guillaume.
Sans trop réfléchir et dans le feu de l'action, je cède à sa demande.

Elle se rapproche délicatement de Guillaume et s'agenouille juste à côté de lui.
Je m'éloigne en avançant, la tête de Guillaume émerge de ma robe et il découvre sa belle-sœur torse nue à ses pieds.
Il est complètement dépité, me regarde et regarde ma sœur.
« Mais vous me faites quoi, les deux nénettes ? »

Sans attendre, Léa commence à ouvrir le zip et d'un geste vif et brutal, elle baisse son pantalon.

Je reviens vers Guillaume pour lui dire dans le creux de l'oreille : 
« Laisse-toi faire, tu ne vas pas le regretter. »

Léa glisse sa main dans le slip et dévoile l'organe érigé de mon partenaire.
Elle le guide vers sa bouche et l'ingurgite entièrement.

Guillaume ne peut s'abstraire de produire un bruit rauque, étouffé par le plaisir.
Moi, je me repositionne et lui offre à nouveau mes deux intimités aux assauts de sa langue et de sa bouche.


Sans chercher à atteindre le plaisir de Guillaume, après un certain temps, Léa m'invite à me positionner au-dessus de la queue durcie.
D'autorité, ma sœur saisit à pleine main la tige et l'enfonce dans ma figue qui n'attendait que ça.
Ensuite, après quelques mouvements de va-et-vient, la tige maintenant humide et lubrifiée est positionnée au centre de ma petite pastille qui s'ouvre aisément sous la pression.

« À ton tour, ma chère sœur, termine avec ce monsieur. »
« Je doute qu'il puisse tenir encore longuement dans ce fourreau qui le comprime à souhait. »
« Je vous quitte, car on m'attend avec impatience dans la chambre d'Enzo. »

Elle se lève, pose un baiser discret, mais ardent sur les lèvres de mon homme, puis se retourne et remonte les escaliers toute joyeuse.
« Amusez-vous bien. »

Une fois rentrée dans la chambre noire, elle trouve Enzo à nouveau sur le dos, entièrement nu, avec le fameux bandeau sur les yeux.
Son petit sexe mou repose sur le côté.

Après avoir retiré sa culotte, Léa monte sur le lit. Entoure le visage du garçon de ses cuisses et lui pose délicatement sa vulve sur sa bouche.
« Maintenant, mon ange, montre-moi de quoi tu es capable. »
« Sors ton petit bout de langue et suce-moi comme il faut. »

Très hésitante, la langue du jeune homme trouve le sillon et s'infiltre dedans.

Mais, hélas pour Léa, le jeune homme n'est pas à la hauteur.
La langue reste pataude et ne pénètre pas réellement.
Léa se demande même s'il apprécie la saveur de son sexe.
Elle tend donc sa main vers l'arrière et remarque que le vermisseau du garçon reste immobile et n'élève pas la tête.
« Que t'arrive-t-il, Enzo, tu n'es pas en érection ? »

La réplique d'Enzo est glaciale.
« Je ne suis pas vraiment fan de l'odeur ni du goût. »

Léa, déçue et indignée, se couche sur le dos et attire le jeune garçon entre ses jambes.
Elle le masturbe et utilise la rigidité de son sexe pour l'introduire et l'aspirer dans le sien.
Elle le tient solidement entre ses jambes en position de ciseaux.
Enfin, Enzo commence à se mouvoir en elle. Étant donné la taille réduite du pénis, la jeune femme ne le perçoit que légèrement.
Pire, au fur et à mesure, elle sent la bite du petit se ramollir et pour finir, sortir de son calice.

Offusquée et blessée dans son orgueil, Léa se lève d’un bond et abandonne le garçon.
Elle lui dit, termine-toi en te branlant, puisque tu n’es bon qu’à ça.
Moi, je vais me coucher.
Bonne nuit.

Maintenant, c'est à vous, chères lectrices et lecteurs, de choisir la fin qui vous convient le mieux parmi les propositions qui suivent.

1ᵉ : Enzo demande à Léa de recommencer à lui faire l'amour.

2ᵉ : Moi, Sabrina, sa belle-mère, l'embroche avec mon gode ceinture, je me régale et lui aussi.

3ᵉ : Stéphane, notre copain homo, lui apprend les règles de l'homosexualité et le dévergonde, mais d’une manière beaucoup plus virile. 

À vous de choisir et de me confier votre préférence pour la fin de cette histoire.

Les avis des lecteurs

À vous de choisir et de me confier votre préférence pour la fin de cette histoire.
3ᵉ : Stéphane, notre copain homo, lui apprend les règles de l'homosexualité et le dévergonde, mais d’une manière beaucoup plus virile.



Texte coquin : L’anniversaire d’Enzo, mon beau fils. N°1
Histoire sexe : Une rose rouge
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