35 ans célibataire suite n°2
Récit érotique écrit par Fantasmscen [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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35 ans célibataire suite n°2
Deux mois ont passé. Nathalie et ses parents sont nos invités. Je croise Nathalie ma nièce en revenant dans ma chambre.
- Où vas-tu Nath ?
- Faire pipi…
Je l’attends…
- Tu t’es bien essuyée ?
- Oui.
- Fais voir !
Je baisse son pantalon de pyjama et glisse ma main entre ses cuisses.
- Oui, tu as l’air de t’être bien essuyée… écarte mieux tes cuisses !
Nathalie obéit. Je peux lui enfoncer un doigt dans sa chatte.
- Là par contre tu es humide.
- Je ne m’essuie pas si loin.
- Tu es même de plus en plus humide pour ne pas dire trempée… regarde mes doigts !
- Oh oui ! je vais mouiller mon pantalon.
- Tu as raison. Enlève-le et allons dans ta chambre, je vais te sécher.
- Merci Daniel.
Sa chambre est à l’opposé de celle de ses parents et de ma femme et moi ce qui garantie une certaine tranquillité. L’éclairage public suffit et me dispense d’allumer la lumière, évitant ainsi d’attirer l’attention.
- Couche-toi Nath. Les cuisses bien écartées.
Je lui lèche la chatte, ma langue glisse dans son vagin, Nath mouille de plus en plus et elle s’en aperçoit.
- Ca ne marche pas Daniel, plus tu me lèches plus je mouille.
- Tu as raison Nath mais il faut insister.
Je déboutonne sa veste de pyjama, lui embrasse le ventre et remonte sur ses seins.
- Tu crois que ça va faire quelque chose ?
- Bien sur !
- Pour l’instant je trouve que je suis de plus en plus mouillée.
Je me couche sur elle et l’embrasse sur la bouche.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- En t’embrassant sur la bouche, je vais t’obliger à saliver et ainsi tu mouilleras moins entre tes cuisses. Tu comprends ?
- Oui.
- Sors ta langue et mets-la dans ma bouche… oui comme ça… tourne-la… bien…
- Et tu dois toucher mes seins ?
- Bien sur, fais-moi confiance, je sais quoi faire.
Je fais descendre mon pantalon et ma queue tendue se dresse aussitôt entre ses cuisses. Mon gland trouve seul le chemin de sa chatte et je le sens forcer les lèvres mouillées. Je pénètre ma nièce. A 35 ans elle est encore très innocente.
- Pourquoi tu fais ça ?
- Pour empêcher ton foutre de sortir.
- Mon quoi ?
- Ton foutre, ton jus, ce qui sort de ta chatte… laaa…
- Hummm, tu bouges en moi !
- Oui, tu aimes ?
- Oui.
Sans cesser de l’embrasser sur la bouche, de lui caresser les seins, je la besogne sauvagement, faisant claquer mon bas ventre contre le sien. Heureusement que je lui bouffe la langue car ainsi j’étouffe ses gémissements.
Rapidement je sens la sève monter en moi et je n’ai que le temps de sortir de Nath pour lui cracher de longs jets de sperme sur le ventre.
- Etale-ça sur ta chatte !
- Comme ça ?
- Oui, mets-en partout… c’est ça qui t’empêchera de mouiller ta culotte.
Je place à nouveau mon gland sur sa vulve et la pénètre.
- Encore ?
- C’est presque fini…
- Oh ce n’est pas grave, tu peux continuer.
- On recommencera demain. Tu veux ?
- Oui.
- Même si tu n’es pas mouillée.
- Ça marchera quand même ?
- Oui, je te ferai mouiller pour te baiser. En attendant tu vas te tourner que je t’encule… hummm, ton anus est recouvert de foutre et de sperme, ça va glisser comme dans du beurre.
Et en effet c’est sans aucun effort que ma verge pénètre son anus. Je la sodomise tout en lui pétrissant les seins.
- Fais moins de bruit, Nath ! on pourrait nous entendre.
- Et alors ? on n’a pas le droit de faire ça ?
- Non.
- C’est pas bien ?
- Non. Mais si personne ne le sait ce n’est pas grave et on pourra recommencer mais il ne faut surtout le dire à personne.
- Je ne dirai rien. Promit.
- C’est bien…
Collé contre elle, la bite lui ramonant le cul, je lui caresse les seins, le ventre, le pubis. Je l’embrasse dans le cou. Nathalie tourne la tête.
- Embrasse-moi Daniel.
Je m’exécute. Nos langues s’unissent en un long baiser tandis que mes doigts lui astiquent le clito, la faisant se cabrer sous ce nouveau plaisir.
J’éjacule dans son cul, en sors, la retourne pour ce que je pense être un dernier baiser.
- Bonne nuit Nath.
- Tu pars ?
- Oui, gourmande.
- Encore dans le cul !
- Non, un baiser et je pars.
- Je crie si tu ne viens pas dans mon cul !
- coquine…
Obligé de m’exécuter, je la sodomise encore et il me faut la satisfaire encore un bon quart d’heure avant qu’elle consente à me laisser partir.
- Où vas-tu Nath ?
- Faire pipi…
Je l’attends…
- Tu t’es bien essuyée ?
- Oui.
- Fais voir !
Je baisse son pantalon de pyjama et glisse ma main entre ses cuisses.
- Oui, tu as l’air de t’être bien essuyée… écarte mieux tes cuisses !
Nathalie obéit. Je peux lui enfoncer un doigt dans sa chatte.
- Là par contre tu es humide.
- Je ne m’essuie pas si loin.
- Tu es même de plus en plus humide pour ne pas dire trempée… regarde mes doigts !
- Oh oui ! je vais mouiller mon pantalon.
- Tu as raison. Enlève-le et allons dans ta chambre, je vais te sécher.
- Merci Daniel.
Sa chambre est à l’opposé de celle de ses parents et de ma femme et moi ce qui garantie une certaine tranquillité. L’éclairage public suffit et me dispense d’allumer la lumière, évitant ainsi d’attirer l’attention.
- Couche-toi Nath. Les cuisses bien écartées.
Je lui lèche la chatte, ma langue glisse dans son vagin, Nath mouille de plus en plus et elle s’en aperçoit.
- Ca ne marche pas Daniel, plus tu me lèches plus je mouille.
- Tu as raison Nath mais il faut insister.
Je déboutonne sa veste de pyjama, lui embrasse le ventre et remonte sur ses seins.
- Tu crois que ça va faire quelque chose ?
- Bien sur !
- Pour l’instant je trouve que je suis de plus en plus mouillée.
Je me couche sur elle et l’embrasse sur la bouche.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- En t’embrassant sur la bouche, je vais t’obliger à saliver et ainsi tu mouilleras moins entre tes cuisses. Tu comprends ?
- Oui.
- Sors ta langue et mets-la dans ma bouche… oui comme ça… tourne-la… bien…
- Et tu dois toucher mes seins ?
- Bien sur, fais-moi confiance, je sais quoi faire.
Je fais descendre mon pantalon et ma queue tendue se dresse aussitôt entre ses cuisses. Mon gland trouve seul le chemin de sa chatte et je le sens forcer les lèvres mouillées. Je pénètre ma nièce. A 35 ans elle est encore très innocente.
- Pourquoi tu fais ça ?
- Pour empêcher ton foutre de sortir.
- Mon quoi ?
- Ton foutre, ton jus, ce qui sort de ta chatte… laaa…
- Hummm, tu bouges en moi !
- Oui, tu aimes ?
- Oui.
Sans cesser de l’embrasser sur la bouche, de lui caresser les seins, je la besogne sauvagement, faisant claquer mon bas ventre contre le sien. Heureusement que je lui bouffe la langue car ainsi j’étouffe ses gémissements.
Rapidement je sens la sève monter en moi et je n’ai que le temps de sortir de Nath pour lui cracher de longs jets de sperme sur le ventre.
- Etale-ça sur ta chatte !
- Comme ça ?
- Oui, mets-en partout… c’est ça qui t’empêchera de mouiller ta culotte.
Je place à nouveau mon gland sur sa vulve et la pénètre.
- Encore ?
- C’est presque fini…
- Oh ce n’est pas grave, tu peux continuer.
- On recommencera demain. Tu veux ?
- Oui.
- Même si tu n’es pas mouillée.
- Ça marchera quand même ?
- Oui, je te ferai mouiller pour te baiser. En attendant tu vas te tourner que je t’encule… hummm, ton anus est recouvert de foutre et de sperme, ça va glisser comme dans du beurre.
Et en effet c’est sans aucun effort que ma verge pénètre son anus. Je la sodomise tout en lui pétrissant les seins.
- Fais moins de bruit, Nath ! on pourrait nous entendre.
- Et alors ? on n’a pas le droit de faire ça ?
- Non.
- C’est pas bien ?
- Non. Mais si personne ne le sait ce n’est pas grave et on pourra recommencer mais il ne faut surtout le dire à personne.
- Je ne dirai rien. Promit.
- C’est bien…
Collé contre elle, la bite lui ramonant le cul, je lui caresse les seins, le ventre, le pubis. Je l’embrasse dans le cou. Nathalie tourne la tête.
- Embrasse-moi Daniel.
Je m’exécute. Nos langues s’unissent en un long baiser tandis que mes doigts lui astiquent le clito, la faisant se cabrer sous ce nouveau plaisir.
J’éjacule dans son cul, en sors, la retourne pour ce que je pense être un dernier baiser.
- Bonne nuit Nath.
- Tu pars ?
- Oui, gourmande.
- Encore dans le cul !
- Non, un baiser et je pars.
- Je crie si tu ne viens pas dans mon cul !
- coquine…
Obligé de m’exécuter, je la sodomise encore et il me faut la satisfaire encore un bon quart d’heure avant qu’elle consente à me laisser partir.
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