Sylvie apprend la guitare - histoire érotique

Depuis un mois Sylvie prend des cours de guitare. Je lui impose de recevoir son professeur nue sous une petite robe à fleurs. Gilles, son professeur, l’a remarqué et tandis qu’il la suit dans l’allée, je constate qu’il lui reluque les fesses moulées par le très fin tissus de la robe.
Malgré ma présence, il me semble qu’il se colle plus que nécessaire pour aider ma femme à placer ses doigts pour les accords. A plusieurs reprises, je le surprends à poser sa main sur l’épaule dénudée et laisser descendre ses doigts presque à toucher les seins de ma femme. Vous me direz que c’est ce que je cherche et je répondrai que j’en suis ravi.
Je les quitte, prétextant une sieste. Sans bruit je me place au fond du palier d’où j’ai une vue imprenable sur le salon sans qu’eux même puissent me voir.
Il ne perd pas de temps. Je ne suis pas absent depuis une minute que je le vois se placer derrière ma femme et lui poser ses deux mains sur les épaules de ma femme. Sylvie ne réagit pas et continue ses arpèges. Gilles fait tomber les bretelles de la robe sur les bras de Sylvie. Il glisse sa main sous son bras et la caresse sur le côté de son sein.
- Oh Gilles tu n’es pas sérieux !
- Allons Sylvie !... il me semblait bien que vous n’aviez pas de soutien-gorge.
- Non, arrête, mon mari est à côté !
- On s’en fout. Je suis sûr que ça t’excite.
Gilles l’embrasse dans le cou et lui pétrit son sein. Il lui emprisonne sa gorge et lui saisi le menton pour la forcer à lui donner ses lèvres. Il embrasse ma femme longuement tout en lui caressant le sein.
- Pose ta guitare !
- Non, laisse-moi.
Il lui enlève la guitare des mains et la renverse sur la chaise. A genoux devant elle, il lui retrousse la robe.
- Hummm pas de slip non plus…
- Arrête !
- Attend, tu es à poil sous ta robe et tu joues les vierges effarouchées ?
La parole entrecoupée par les baisers de son professeur, ma femme tente de lui faire entendre raison.
- Mon mari… tu comprends ?... à côté…
Gilles enfourne sa tête entre les cuisses de ma femme…
- Oh gilles… ta langue… ma chatte… tu me fais mouiller !
- Tu es trempée ma salope !
Il la tire vers lui, les cuisses en l’air.
- Hummm, oui ! lèche-moi le cul… ouiiii, ta langue dans mon cul… plus loin… encore !
De mon poste d’observation je ne perds pas une miette du spectacle. Je filme et je me masturbe en regardant ma femme me faire cocu.
Gilles lui a introduit un doigt dans l’anus et lui lèche le clito en même temps. Aux bruits qui me parviennent, aucun doute que ma femme ruisselle.
Gilles ôte pantalon et slip. S’asseyant sur une chaise, la queue dressée, il intime l’ordre à ma femme de le chevaucher face à lui. Au cri étouffé poussé par ma femme, je la suppose empalée sur cette bite étrangère. Elle remue, ondule, se penche vers son amant pour un long baiser. Gilles lui dégrafe la robe qui tombe sur la taille fine de ma femme. Il lui gobe les seins, les lèche, les mord sous ses gémissements. Il lui pétrit les fesses et ses doigts s’insinuent dans la raie. D’ici je ne peux pas distinguer mais il ne fait aucun doute qu’il lui a glisser au moins un doigt dans l’anus et à la réaction de ma femme, je parierais sur trois doigts.
Ma femme dans les bras, il se lève, sort de sa chatte, la retourne et lui colle le buste sur la table. Pliée en deux, elle lui expose ses fesses qu’il écarte pour y loger son gland.
- Non gilles, pas dans le cul, je n’aime pas ça !
Il ne prend même pas la peine de lui répondre et la sodomise.
- Salop !
Tenue solidement par les hanches, ma femme se fait défoncer le cul. J’entends les claquements du bas ventre de son professeur contre les fesses martyrisées de ma femme.
Gilles se couche contre elle, lui emprisonne son pubis, quelques coups plus forts, plus espacés, ça y est il lui a inondé le cul.
Satisfait, il se retire. Du sperme sort de l’anus de ma femme et coule entre ses cuisses.
Elle se retourne, boudeuse.
- Salop !
Elle ne peut en dire plus. Gilles l’a enlacée et l’embrasse goulument en la caressant partout. Ses fesses, son dos, ses seins, son pubis, tout y passe.
16 heures sonnent à la comtoise du salon ramenant les deux amants sur terre.
- Il est temps de nous rhabiller Sylvie, le cours est terminé et ton mari pourrait bien se pointer.
A regret, Sylvie rajuste sa robe sachant fort bien que je n’ai pas loupé un épisode de leurs ébats. Elle ne serait pas contre une partie à trois mais elle ignore si gilles serait partant.
- Gilles ?
- Oui ?
- Que dirais-tu de me baiser… avec mon mari ?
- Tu veux dire toi et deux hommes ?
- Oui.
- … il faudrait que ton mari accepte qu’un autre baise sa femme… et devant lui en plus…
- J’en fais mon affaire. Alors tu veux ?
- Oui, mais là je dois partir, j’ai une autre élève.
- Comme moi ?
- Non, moins douée.
- Alors samedi prochain ? avec mon mari ?
- Ok.
- A samedi mon amour.
Un dernier baiser et son professeur nous quitte.
- Tu as été géniale Sylvie. Vivement samedi.