35 ans célibataire suite n°3 - histoire érotique

Il est 7 heures, je prépare le petit déjeuner. Nathalie apparait en pyjama. Je l’embrasse sur la bouche et la serre contre moi. Mes mains saisissent ses fesses, remontent sous sa veste de pyjama et redescendent sous le pantalon. Elle est moche mais baiser ma nièce m’excite et mis à part le visage, le reste est très acceptable.
- J’adore tes fesses Nathalie… c’est trop risqué ici, allons dans ta chambre.
Je déboutonne sa veste de pyjama. Ses seins sont bien fermes. Je les lèche goulument tout en me masturbant. Je baisse son pantalon et la pousse sur le lit. Le visage enfoui entre ses cuisses ouvertes, je lui bouffe la chatte humide. Je remonte sur elle. Ma bitte en érection pénètre son vagin. Nathalie gémit de plaisir. Elle me bouffe la langue et m’excite par ses paroles obscènes.
- Baise-moi cochon… oui plus fort, défonce-moi la chatte… tripote-moi le cul… oui, dans l’anus…
- Hummm, oui j’adore te baiser ma nièce chérie… tout le monde croit que tu es sage hein ?
- Oui mais je suis ta salope… encule-moi !... oui, c’est bon… Hummm dans mon cul…
- Je vais t’inonder le cul de mon sperme salope.
- Oui, vas-y !...
- Tu devrais aller te laver Nathalie… fais attention de ne pas laisser mon sperme couler sur ton pyjama… et reviens vite, on n’a pas terminé.
- Oui, je me dépêche…
Je vais piquer une tête dans la piscine pour effacer les traces de nos ébats et quand je reviens, Nathalie est assise et joue à la console vidéo. Je me place derrière elle et lui caresse le cou. Je descends sur ses épaules, entraînant son corsage pour mieux les découvrir. Je me penche sur elle et l’embrasse dans le creux de son cou tandis que mes mains glissent sous son soutien gorge pour peloter ses seins.
- Tu veux encore me baiser ?
- Oui.
- Mes parents vont finir par s’en apercevoir.
- Tu as raison, je vais me contenter de te peloter et de t’embrasser mais il faut que tu leur fasses ta comédie pour passer la dernière semaine de vacances ici.
- Et Sylvie, elle le saura !
- Non, elle travaille et nous on baisera quand elle sera chez ses clients. Tu veux ?
- Oui…
Ses parents, trop heureux de s’en débarrasser et d’être seuls une semaine ne font aucune difficulté et le lundi, à peine le portail refermé sur ma femme, je la pousse sur le rebord de la fenêtre et l’enlace pour un long baiser. Je passe ma main derrière sa cuisse et remonte sous sa chemise de nuit.
- Tu portes une petite culotte sous ta chemise de nuit Nath ?
- Toujours, oui.
- Je vais en deviner la couleur rien qu’au toucher.
- C’est vrai ?
Je la caresse longuement devant, derrière, entre ses cuisses. Je sens la culotte s’humidifier.
- Rose.
- Non, elle est blanche.
- Pas possible ! montre-moi !
Nathalie soulève sa chemise de nuit.
- A l’envers aussi ?
Je tire sur la petite culotte pour la retourner découvrant ainsi le pubis de Nath. Je m’agenouille et le lui embrasse. Ma langue s’insinue dans sa fente chaude et humide. Je lui écarte les cuisses pour avoir accès à la vulve. Nath gémit et me caresse les cheveux. La chatte bien humidifiée, il est temps de la baiser. Je me relève, soulève Nathalie et l’assoies sur le rebord de la fenêtre. Je baisse mon short. Elle est juste à la bonne hauteur et ma queue dressée frotte doucement sur la vulve trempée de ma nièce. Doucement, centimètre par centimètre, je pénètre son vagin. Mon gland disparait, happé par sa chatte gourmande. Un dernier coup puis une poussée progressive et ma queue est tout entière dans le chaud fourreau de Nath. Je baisse ses bretelles et lui découvre ses seins que je pelote avidement. Je me colle contre elle, l’embrasse sur la bouche, agrippe ses hanche et commence de longs va et vient en elle. Nath serre ses cuisses autour de ma taille et m’emprisonne dans ses bras.
- Baise-moi, oui, plus fort ! bourre-moi la chatte.
J’accélère mes coups de reins, le clapotis de mon sexe allant et venant dans sa chatte trempée, ses propos crus, sa chemise de nuit à moitié défaite, tout concoure à m’exciter un maximum.
- Je vais t’inonder la chatte salope !
- Oui met-moi tout !
Ma langue tourne dans sa bouche, mes mains lui serrent ses seins, ma bite lui laboure le vagin.
- Ca vient ! Nath, ça vient ! han !
- Ouiii !!! oh, oui. Je sens ton sperme chaud dans ma chatte. Restes-y, ne sort pas tout de suite… remue encore en moi.
J’obtempère et la besogne encore un peu avant de sortir de sa chatte. Un long filet de sperme en coule et se répand sur sa cuisse.
- A genoux Nath et suce moi la bite ! je ne veux plus voir une trace de foutre dessus.
Nathalie me gobe la queue et la lèche consciencieusement. Ma verge nickel, je relève ma nièce et l’enlace tendrement. Nos bouches s’unissent…
- Viens Nath. Rentrons. On sera mieux sur le lit…