6 bis - L'échangisme, la meilleure alternative au cocufiage
Récit érotique écrit par Monkypython [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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6 bis - L'échangisme, la meilleure alternative au cocufiage
Nos amis partis, nous revînmes sur les lieux de notre débauche. Maria était rayonnante. Elle avait apparemment été comblée par cette relation avec nos voisins. L’échangisme lui allait bien et elle m’avoua avec un air canaille :
- Tu sais que j’ai adoré faire l’amour à quatre dans le même lit.
- Je dois avouer que cela m’a plu aussi.
- Tu aimes qu’un autre homme me prenne devant toi ?
- C’est excitant, mais en plus il y avait Edith.
- Tu as aimé lui faire l’amour, non ?
- C’est une chic fille, très sensuelle et câline.
- Un bon coup quoi !
- Un bon coup aussi, comme toi pour Eric.
- Avoue qui tu as aimé te la faire.
- C’est vrai.
- Tu ne m’as pas remerciée, c’est grâce à moi si tu as couché avec elle.
- Son mari t’a payée en nature, je crois. Il ne s’est pas privé le cochon.
- C’est moi qui lui demandais de me prendre en force. Tu sais, je te regardais quand tu baisais avec elle, elle aimait trop et ça me rendait folle, je voulais qu’Eric me démonte la chatte.
- C’est ce qu’il t’a fait, non ?
- Je me suis éclatée. Et toi ?
- Il faut avouer que c’est une expérience excitante.
- Quand je fermais les yeux, je voyais ton visage et quand je les ouvrais, j’avais Eric entre les cuisses. J’avais l’impression que vous me faisiez l’amour tous les deux en même temps.
- Tu sais, je ressentais pratiquement la même chose.
- Moi je suis prête à recommencer quand tu veux avec qui tu veux.
- Moi aussi je crois. Mais je ne vais pas attendre si longtemps pour te prendre, j’ai envie de toi maintenant.
- Baise-moi alors. Le plus fort possible !
Je la pris sur le champ. La belle ne s’était pas encore lavée et mon sexe baignait dans le sperme d’Eric. Mais cela m’a excité encore plus et je pris un grand pied à faire l’amour à Maria qui ne fut pas en reste de plaisir non plus.
Nous étions allongés sur le lit, repus de sexe. En vérité, j’étais fourbu, épuisé. Maria semblait plus en forme, elle avait encore envie de parler :
- Maintenant je préfère t’avouer quelque chose
- Qu’est ce que tu as fait encore ?
- Tu sais, avec Eric, cet après midi ce n’était pas la première fois qu’on le faisait.
- Je sais, tu lui avais déjà fait une pipe.
- Non pas ça, on s’est vu hier et il m’a sautée.
- Quoi ?
- Hier on s’est encore croisé et on s’est fait la bise.
- Et alors ?
- On était sur le pas de la porte, je ne savais pas quoi faire et je lui ai demandé d’entrer s’il avait un moment.
- Bravo !
- Il s’est avancé et il m’a embrassée sur la bouche cette fois.
- De mieux en mieux.
- Il avait envie de moi et moi je n’en pouvais plus. Alors je l’ai emmené dans la chambre. Je me suis assise sur le bord du lit, et j’ai baissé son pantalon. Le pauvre, il avait une de ces triques ! Je l’ai tiré par la queue et une fois entre mes cuisses, je me suis renversée en l’entraînant sur moi, et il m’a sautée toute habillée sur le bord du lit
- C’était bien au moins ?
- On aurait dit deux puceaux maladroits. On était tellement énervés qu’on n’y arrivait pas. J’avais les cuisses ouvertes, la chatte comme une fontaine et il n’arrivait pas à trouver le trou.
- Apparemment, vous y êtes arrivés.
- Il a d’abord essayé d’écarter ma culotte mais je l’ai quittée. Lui, il n’arrivait à rien, il bandait comme un âne, mais il n’arrivait pas à me la mettre. Je me suis enfilé sa queue moi-même.
- Tu es si serviable.
- Ne te moque pas de moi. Je t’assure, je ne me contrôlais plus
- Maintenant ton ami connaît bien le chemin.
- Quel chemin ?
- Celui qui mène à ton cul pardi ! S’il a envie de se faire sucer ou de tirer un coup, il descend un étage et il se tape la salope du premier qui ne demande que ça.
Quelques jours après, Maria m’attendait dans le salon en déshabillé.
Sans me laisser le temps pour une quelconque explication, elle me prit par la main jusqu’à la chambre, défit mon pantalon, me suça et me branla avant de m'entraîner au lit où elle me demanda de la baiser avec violence. Son sexe était trop trempé pour ne pas avoir été rempli de semence par un autre. J’avais déjà eu cette sensation quelques jours auparavant en baisant ma femme juste après Eric. C’était exactement pareil maintenant. J'attendis qu'elle reprenne son souffle après son orgasme et lui demandai ingénument :
- Je peux savoir ce qui t'a mise dans cet état ?
- J'ai trouvé que c'était le meilleur moyen de me faire pardonner.
- Te pardonner de quoi ?
- Promets-moi de ne pas le prendre mal. J'ai été très vilaine aujourd'hui.
- Raconte !
- Tu es là depuis longtemps ?
- Quelques minutes à peine, pourquoi ?
- Eric est passé prendre le café après déjeuner. Au moment de partir, il m'a embrassée, m'a caressée. Au début, je ne voulais pas mais il avait tellement envie de moi que j'ai craquée. Je l'ai conduit jusqu'au lit et il m'a baisée tout l'après-midi. Il vient juste de partir, tu aurais pu le croiser dans l’escalier.
- Ou encore entre tes cuisses.
- Peut-être.
- Tu te rends compte que tu es mariée et que tu me fais cocu à chaque fois que tu te fais sauter par un autre ?
- Avec Eric, ce n'est pas pareil, tu sais qu’il me baise, il l’a même fait devant toi, et toi tu as fait la même chose avec sa femme, tu t’en rappelles au moins. Après ça, ce n’est pas parce qu’on a tiré quelques coups de plus que tu es plus cocu. C'est juste une petite liaison sans conséquence, une aventure purement sexuelle.
- Que ce soit lui ou un autre qui te passes dessus, je suis cocu tout pareil. Ne me dis pas qu’il va venir te baiser à tout bout de champ. Comme Philippe, je suppose !
- Philippe ne m’a baisée que cette fameuse fois, depuis il n’est pas revenu et je n’ai pas couché avec lui.
- On dirait que tu le regrettes. T’inquiète pas, ça va arriver !
- Excuse-moi, je pensais seulement que ce n'était pas si grave de s’amuser et de passer un peu de bon temps avec quelqu’un qui m’a prise plusieurs fois devant toi et dont tu as baisé la femme, je te le rappelle.
- Tu parles ! Il te baise sans capote alors que tu ne prends même pas la pilule et tu voudrais que je sois content sous prétexte que ton con est bien huilé ? Attention à ne pas aller trop loin, ma belle ! Tu peux me le dire, tu en as d’autres, des amants ?
- Ne sois pas bête, non bien sûr.
- C’est juste pour savoir, au cas où je trouve d’autres types dans mon lit.
Celle-là m'étonnait de plus en plus
Deux jours après cette mémorable séance, je perçus en rentrant à la maison un peu avant l’heure habituelle, des bruits bizarres qui venaient de notre chambre. Je refermai sans bruit et allai risquer un œil par la porte entrouverte. Ma tendre épouse, les lèvres pincées, gémissait à chaque mouvement et jouait à la bête à deux dos avec Eric qu’elle chevauchait. Celui-ci se laissait porter par la fougue de sa partenaire en lui caressant les seins et les fesses. Peu après, ils décidèrent de changer de position et se séparèrent un court instant. Maria s’allongea sur le dos pour accueillir Eric entre ses cuisses. Elle se saisit de sa verge, la tira nerveusement vers elle et la guida dans son ventre. Quand elle sentit le membre bien au fond, elle referma ses jambes très haut sur le dos de son partenaire. Je connaissais bien cette position car ma femme la pratiquait aussi avec son mari, et je savais les sensations qu’elle procurait à chacun. La femelle offrait son ventre à la pénétration avec le meilleur angle possible, elle accueillait la queue jusqu’à la racine, jusqu’aux couilles qui venaient battre contre ses fesses à chaque charge, le mâle devenait fou en la possédant si totalement. Sur cette lancée, les deux amants ne tarderaient pas à atteindre le nirvana. Au comble de l’excitation Maria frottait son clitoris sur le pubis de son partenaire et l’enlaçait en l’embrassant avec passion. Son amant n’était pas en reste : il besognait avec ardeur entre les cuisses de ma petite femme chérie, allant et venant dans son ventre avec entrain. Malgré le sentiment de jalousie et de colère que je sentais monter en moi, je ne pouvais m’empêcher d’admirer cette belle femme qui faisait l’amour sans retenue et de bander devant ce spectacle. Je fis le voyeur durant de longues minutes, je voulais rester jusqu’à l’orgasme de ma femme mais la peur d’être surpris était forte, peur d’être cocu et ridicule. Mari cocu et amoureux transi, la queue raide à me faire mal, j’allais me retirer comme un fantôme quand les yeux de Maria se posèrent sur moi.
Je crus d’abord mourir de honte sur place, ma femme s’arrêta de bouger et son amant prit conscience de ma présence, puis me vit. Je ne savais que faire, Maria réagit la première. Elle chuchota quelque chose à son étalon, se dégagea et se leva. Elle vint vers moi et prit mes mains en souriant :
- Viens avec nous.
- Je ne sais pas, je ferais mieux de vous laisser, non ?
- Viens, je te dis, Eric est d’accord.
Je me sentais submergé de ridicule et de honte, moi, le mari, j’avais la permission de l’amant de ma femme pour regarder comment il la baisait. Ridicule ou pas, je me laissai emmener par ma femme jusqu’au pied du lit. Elle s’assit face à moi, caressa l’énorme bosse de mon entrejambe, défit mon pantalon et le baissa. Pour ajouter à ma honte, mon sexe jaillit comme un diable en boîte tellement j’étais excité. Les mains douces de ma petite chérie me caressèrent, commencèrent à branler tout doucement ma queue dure comme de l’acier. Elle souriait, et je m’aperçus qu’Eric souriait aussi. Il était étendu sur le coté, d’abord gêné de mon intrusion, puis attentif à l’attitude de sa maîtresse, et maintenant amusé de la complaisance du mari. Maria me masturba avec douceur, je voyais qu’elle se délectait de cette situation scabreuse. Elle jouait avec moi, frottait avec sa paume mon gland douloureux, massait mes bourses prêtes à exploser. Elle se remit sur le dos, demanda à son amant de monter sur elle et de la prendre tout en continuant à me caresser. L’autre n’avait pas débandé et reprit sa place entre les cuisses de ma femme. Maria prit ma main et la porta sur ma queue, elle me demanda de regarder en me branlant moi-même. Alors, le mari obéissant fit ce qu’on lui demandait, je me masturbai tandis qu’un autre baisait ma femme. Eric n’avait pas débandé, bien au contraire, Maria n’eut pas besoin de raidir le membre dressé qui attendait son heure. Il monta sur elle et la pénétra d’un coup. Je n’avais pas quitté cette queue des yeux, je la vis disparaître dans le con offert, puis aller et venir dans le puit d’amour. Maria gémissait, se tordait sous les assauts de son amant, mais ne quittait pas ma queue des yeux, ou plutôt ma main qui astiquait ma queue de plus en plus vite. Elle aussi se tordait de plus en plus, elle tenait mes couilles dans sa main, et les serrait de plus en plus fort. Je n’en pouvais plus, j’allais exploser. J’essayais de m’arrêter, je lâchais mon sexe, mais ce fut en vain. Mon foutre jaillit soudain en de longs jets, tellement puissants qu’ils couvrirent les amants que je regardais. J’inondai tout, il y avait du sperme sur le visage de Maria, ses seins, le dos de son amant, les draps, partout. Maria cria, se convulsa en un orgasme d’une rare violence, et son amant vint à son tour, arqué pour lâcher sa semence au plus profond de son ventre.
Jamais je ne serais cru capable d’un tel acte, je me sentais plus honteux que jamais. Puis je me suis rhabillé et je suis allé m’asseoir dans le salon tandis que les deux amants allaient se laver. Eric passa l’embrasure de la porte, hésita un moment, puis se décida à partir en me faisant un petit salut de la main.
Maria apparut bientôt dans le salon en petite culotte. Aucun d’entre nous ne voulait envenimer les relations de notre couple tout en sachant à quoi s’en tenir. Ma femme volage se laissa tomber sur le canapé où je la débarrassai de sa culotte sans un mot. Elle s’était lavée, mais c’est dans un con plein de foutre que je me perdais quelques secondes plus tard. Je n’en revenais pas de bander encore à me faire mal, et j’étais tout aussi surpris de lire dans les yeux de la femelle qu’elle avait autant envie que moi. Elle m’encourageait tandis que je la prenais avec violence. Ma foi, elle aimait ça, cette salope, son vagin tapissé de foutre semblait étreindre ma queue puis commença à convulser. Elle jouit très vite et très fort tandis que je la remplissais de semence jusqu’aux yeux. Elle partit précipitamment se laver et revint ravie, parlant de tout et de rien, heureuse de s’en tirer à si bon compte.
Malheureusement pour moi, l’épouse adultère avait pris l’ascendant sur moi, j’avais cautionné son infidélité. Je me moquais de moi-même, j’avais scellé une sorte de pacte avec mon propre sperme, j’acceptais qu’elle me trompe quand elle en avait envie, nous n’avions pas besoin d’en parler, c’était un accord tacite mais néanmoins fortement scellé. Elle ajouta :
- Tu ne peux pas savoir comme j’ai joui avec Eric tout à l’heure, c’était énorme.
- Je l’ai bien vu.
- Moi aussi j’ai vu que tu étais excité comme un fou.
- J’étais hypnotisé par la scène, je ne pouvais rien faire d’autre que regarder.
- Et te masturber !
- Oui, et me masturber.
- Tu as joui très fort toi aussi, tu nous as salis nous, le lit, les draps, il y avait du sperme partout.
- Ça non plus je ne pouvais pas l’empêcher.
- Je ne voulais pas que tu empêches quoi que ce soit, au contraire. Ce qu’on fait aujourd’hui, c’était mon fantasme le plus fort.
- Ah bon ?
- Je rêvais de me faire baiser pendant que tu regardais en te branlant comme un fou, et c’est ce qui est arrivé. Moi, je recommence quand tu veux, tu sais.
- Moi pas, je n’y tiens pas vraiment. J’aurais préféré qu’on te baise à deux au lieu de me branler comme un con.
- Moi, ça m’a rendue folle. Ne t’inquiète pas, on baisera à trois une prochaine fois, je te le promets.
- Avec Eric ?
- Celui là ou un autre, on verra, les mecs ne demandent que ça.
- Tu en sais des choses sur les mecs, toi.
- J’en découvre tous les jours. Et j’ai d’autres phantasmes à vivre avec toi.
- Avec moi ? tu es sure ?
- Oui, avec toi et un autre.
- Je peux savoir lesquels ?
- Le premier de ma liste, c’était ce qu’on a fait aujourd’hui, le deuxième, ce serait de partager le même amant.
- Tu veux qu’on te baise à deux ?
- Oui, mais pas seulement, je voudrais que l’autre te prenne par derrière.
- Tu veux que je me fasse enculer ?
- Ça te choque ?
- Un peu, oui, tu veux faire de moi un cocu soumis à tes envies et à celles de tes amants.
- N’exagère pas, je voudrais qu’on le fasse une fois pour voir.
- C’est Eric qui te l’a proposé ?
- Pas du tout, je ne lui ai jamais parlé de ça, je te le jure. En fait, je voudrais que ce soit Philippe.
- Philippe ? Pourquoi Philippe ?
- D’abord parce qu’il a une plus belle queue, et après parce que c’est lui qui a étrenné mon petit trou à moi et que je voudrais qu’il fasse la même chose au tien.
- Ça, je ne m’y attendais pas. Tu voudrais que je devienne sa deuxième salope. On pourrait le supplier ensemble pour qu’il vienne à la maison nous baiser toutes les deux, toi d’abord parce que tu es sa femelle, et moi après parce que serais son petit pédé favori. Il sera notre homme, nous nous occuperons bien de lui, et il nous remerciera en te baisant, toi sa salope préférée et en m’enculant, moi sa petite pute de mari cocu. Il pourrait même nous prêter à ses amis, comme ça, il aura une salope pour ses amis hétéros et une autre pour ses amis homos.
- Je veux juste qu’il t’encule une fois, juste une fois.
- On va en rester là, tu veux !
Au vu d’indices flagrants qui prouvaient le passage d’un visiteur dans mon lit et sur ma femme, elle continuait à coucher avec Eric, je suppose que c’était avec lui, mais elle sut se montrer très discrète sur certaines de ses occupations privées et j'évitai d'aborder le sujet de front. D'autant plus qu'elle se montrait plus ardente que jamais avec moi.
En fait, ce fut une époque faste sexuellement parlant. Ma femme avait toujours envie de faire l'amour et ne me refusait jamais de passer à l'acte, bien au contraire. J'étais absolument certain de ne pas être le seul à profiter de ses bonnes dispositions. Souvent, sa bouche avait le goût âcre du pénis qu’elle avait sucé, son corps portait les traces de combats amoureux passionnés, son sexe était trop préparé et lubrifié pour ne pas avoir été investi et possédé. Je savais au plus profond de moi-même qu'Eric la prenait autant que moi sinon plus, mais les attentions de ma femme à mon égard rendaient mon nouveau statut de mari cocu bien agréable à supporter. Loin de satisfaire son appétit sexuel avec son amant, ses rapports adultères agissaient sur elle comme un puissant aphrodisiaque. Je couchais maintenant tous les jours avec une bombe sexuelle, une femelle volcanique. C’était comme si Maria s’échauffait et faisait les préliminaires en faisant l’amour avec son amant et baisait comme une folle avec moi. A chaque fois que je plongeais en elle, ma queue baignait dans le sperme de son amant et cela me plaisait et m’excitait aussi. En plus, j'avais eu droit à un bonus : j’avais appelé ma femme dans l’après midi et après une brève conversation, j’avais été surpris par des bruits bizarres et par la voix troublée de Maria. En y réfléchissant après avoir raccroché, j’eus la certitude qu’elle était en train de faire l’amour quand je l’avais appelée et que je l’avais entendue jouir au téléphone. Son mec aussi avait du prendre son pied, baiser une femme mariée pendant que son mari lui téléphone, la faire jouir et la faire crier dans le combiné, ce doit être bandant dans le genre. Le soir alors que nous faisions l'amour, elle avait joui la première et s'était retournée pour que je la finisse en levrette. Alors que j'allais la pénétrer, elle me tendit un tube de vaseline et me demanda de m'en enduire la queue pour la sodomiser. Je ne me suis pas posé de question et j'ai pris ma femme par le cul après plus de vingt ans de supplications infructueuses. Je sus à ce moment que j'étais le troisième à passer par ce trou tellement ce fut facile. Philippe l’avait étrenné, Eric la rodait, et moi, son mari, j’étais maintenant invité à participer à la fête. Décidément, Eric ne devait pas s'ennuyer dans mon lit. Mais s'il baisait ma femme, il la rendait plus attentionnée et plus coquine avec moi. Sans doute qu’elle le faisait pour se racheter de sa mauvaise conduite. Maria me trompait tous les jours ou presque mais j’étais un cocu heureux.
Par exemple, elle avait décrété qu'elle ne mettrait plus de culotte à la maison, et se promenait avec un tablier ou un petit linge qui la rendait très provocante. Elle ne portait pas non plus de sous-vêtements quand nous avions du monde à la maison. Elle savait qu'elle me rendait fou quand elle s'asseyait sur le canapé en face d'autres hommes avec une minijupe vraiment très courte et qu'elle croisait ses jambes. L’ombre sombre qui apparaissait pouvait être sa toison ou une petite culotte noire mais ma petite femme chérie s’arrangeait pour dissiper le doute en écartant suffisamment ses cuisses pour entrouvrir la fente accueillante de son joli minou. Je suis certain que plus d’un a emporté avec lui de sensuelles images de son entrecuisse, troublé sans aucun doute d'avoir été convié à entrer ainsi dans son jardin intime. Mais elle prenait alors une telle expression de candeur si naïve que chacun pouvait penser que la belle enfant devait être bien innocente pour montrer son minou de la sorte. Quant à moi, je raccompagnais toujours nos invités en bandant comme un âne et sautait sur cette femelle à peine la porte fermée, ce qui la ravissait et l’encourageait à en faire toujours plus. Et quand elle trouvait que je n’étais pas assez excité à son goût, elle me racontait ce qui m’avait échappé, comme un samedi soir par exemple :
- J’espère que la femme de Laurent n’aura pas la migraine en rentrant.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Le Laurent, il est parti avec une trique, je ne te raconte pas.
- A cause de toi ?
- Grâce à moi tu veux dire.
- Il a vu que tu n’avais pas de culotte ?
- Les autres l’ont vu, lui il a eu le temps de compter les poils de mon minou.
- A ce point ?
- Au début, je ne l’ai pas fait exprès, j’ai fait tomber la corbeille de fruits par terre, alors je me suis mise à les ramasser.
- J’étais accroupie, et il a voulu m’aider, il s’est accroupi en face de moi, bien en face. Il devait chercher les fruits à tâtons parce qu’il ne quittait pas une seconde des yeux le spectacle que je lui offrais. J’en ai fait un peu trop, je crois, à un moment je faisais le grand écart pour bien lui montrer la jolie fente que j’aie.
- Salope.
- Si tu veux me sauter, je suis toute mouillée
Madame fut satisfaite sur le champ. Un peu plus tard, dans un bar où nous prenions le café, elle me chuchota à l'oreille de regarder discrètement sous la table. Je m'empressai de le faire et elle écarta largement et longuement ses belles cuisses pour exposer à ma vue son joli minou de brune. En sortant, elle m'apprit que je n'avais pas été le seul à profiter du spectacle : les deux jeunes garçons installés un peu plus loin avaient été aux deuxièmes loges et n'avaient pas quitté ses cuisses des yeux. En arrivant à la maison, je la plaquai contre la porte de l'entrée et la prit debout. Maria fut très contente du résultat et me promit d'autres séances. En attendant, elle continuait à voir son amant en douce et j’étais certain qu’elle faisait autant l’amour avec lui qu’avec moi. Un soir alors que ma femme passait quelques jours chez ses parents, Edith me téléphona. Elle me demanda de lui rendre un service et de passer chez elle un peu plus tard. Ce que je fis. Son mari aussi était absent, en déplacement pour son travail. Après avoir mis en place un meuble qu’elle venait de recevoir, Edith me proposa de dîner avec elle, juste le temps de donner à manger à sa petite fille et à un petit garçon qu’elle gardait pour la nuit. J’étais plutôt ravi de passer la soirée avec elle et je courus chercher une bonne bouteille. Après un repas simple et convivial, un plat de pâtes à dire vrai, nous nous sommes mis à deviser de tout et de rien, sans revenir sur l’aventure que nous avions eu quelques semaines auparavant. De fil en aiguille, elle me demanda :
- Tu sais, mon mari … Je sais qu’il couche encore avec ta femme.
- Non, tu crois ?
- Je les ai vus, ils sortaient d’un hôtel tout près d’ici.
- Ensemble ?
- Bras dessus, bras dessous. Et contents du bon moment qu’ils venaient de passer.
- Merde.
- Comme tu dis, ta femme te trompe, mon mari me trompe. Moi j’ai envie qu’on en fasse autant.
- C’est bête de le faire juste pour te venger. Si tu n’en as pas envie, ce n’est pas bon.
- Je n’ai pas oublié comment tu m’a fait l’amour la dernière fois, j’ai envie de recommencer, c’était bon.
- Pour moi aussi c’était plus que bon.
- Tu veux bien qu’on le fasse ?
Edith ne me laissa pas le temps de dire oui. Elle me prit par la main et me conduisit dans sa chambre. Sans un mot, elle se déshabilla complètement et s’allongea sur le lit. Il ne me restait plus qu’à en faire autant. Un peu gauches pour recommencer, nous nous sommes vite échauffés et l’étreinte devint vite torride et passionnée. La belle Edith était toujours aussi magnifique et chaude et la nuit fut courte. Après un orgasme violent, nous fîmes trop de bruit semble-t-il et le petit se réveilla. Il apparut en couche avec son nounours à l’embrasure de la porte et Edith se leva, nue, pour aller le recoucher. Que c’est beau, l’innocence ! Le gamin ne s’étonna pas de voir sa maman nue et se rendormit de suite après un gentil câlin. Moi, j’étais bien moins innocent, je récupérais à peine de la précédente joute mais la chute de reins de ma compagne de la nuit provoqua en moi comme un électrochoc. Au retour cela s’amplifia quand elle fut de face, avec ses gros seins si fermes et sa touffe au vent. Elle fut accueillie par une belle érection qu’elle reçue sitôt au fond de ses reins où je luttais ardemment pour ne pas exploser trop vite. La nuit fut courte, blanche et agitée. Au petit matin, je partis à regret, content de moi. L’épouse d’Eric, sur la même longueur d’onde, me confia :
- Tu sais que je suis contente d’avoir couché avec toi ?
- C’était bien ?
- Super, encore mieux que la première fois. Et ça a duré toute la nuit. En fait c’est la première fois que je passe une nuit au lit avec un autre que mon mari.
- Et ?
- Il est cocu lui aussi.
- Mais toi, tu as aimé ?
- Trop, assez pour recommencer.
- Appelle-moi.
- Qu’est ce qu’on fait, on leur dit qu’on a couché ensemble ?
- Moi je ne dirais rien, eux ne nous ont rien dit, en tout cas ma femme ne m’a rien dit, c’est toi qui m’as appris qu’ils se revoyaient.
- Tu as raison, ils n’ont pas besoin de savoir, ils sont cocus, nous on le sait, c’est ce qui compte.
J’avais pris une revanche sur celui qui se tapait ma femme, et ce de la plus belle façon qui soit. Sa femme valait la mienne au lit et j’avais pris mon pied. En enculant Edith, je pensais à nos conjoints respectifs qui pratiquaient cela pratiquement tous les jours et le plaisir de la vengeance s’ajoutant au plaisir sexuel. Apparemment, ma belle partenaire y avait trouvé son compte.
Ma petite femme quant à elle prenait de plus en plus de goût pour la provocation. Elle ne portait plus que des robes ou des jupes vraiment courtes et en général des vêtements qui mettaient sa féminité en valeur. Elle aimait maintenant susciter la convoitise des hommes qui la croisaient et qui se retournaient sur son passage. Cela lui valut quelques mésaventures comme quelques mains au cul dans les bus bondés, mais elle ne s'en formalisait pas.
Elle se fit même agresser une fois par une bande d'une dizaine de gamins âgés de dix à treize ans environ. Ils la poussèrent vivement dans une entrée cochère d'un immeuble voisin du nôtre. Elle pensa qu'ils en voulaient à son sac à main, mais ils la coincèrent contre la rampe d'escalier ; la pauvre était tétanisée tandis qu'une multitude de petites mains avides couraient en même temps sur son corps de femme pour la palper sous toutes les coutures, ne laissant pas une seule partie inexplorée sous sa robe. Sans avoir pu réagir, elle se vit palpée, fouillée dans ses replis les plus intimes par tous les doigts qui se battaient pour la pénétrer par ses deux orifices. Elle ne réagit même pas quand la porte de l'ascenseur s'ouvrit. Les nouveaux arrivants firent fuir les gamins qui disparurent en riant et Maria se retrouva encore sous le choc, les seins à l'air, la jupe ouverte jusqu'au nombril et la culotte sur les genoux sous les yeux ébahis des deux hommes qui sortaient. Ils la soutinrent, la firent asseoir sur les premières marches de l'escalier pour qu'elle reprenne ses esprits. Ils lui proposèrent d'appeler la police, mais elle refusa. Peu à peu, elle recouvra ses moyens et se rendit alors compte qu'il ne lui restait plus rien à cacher à ses sauveteurs. Elle remonta sa culotte et se rhabilla devant eux, et partit en les remerciant. Plus tard, quand elle put enfin commenter sa mésaventure et se moquer d'elle-même, elle plaisantait en affirmant que ces deux-là avaient eu bien de la chance car on ne trouvait pas une femme nue dans sa cage d'escalier tous les jours, et qu'ils auraient dû plutôt la remercier elle.
Quand elle sortait avec moi, elle se promenait souvent sans culotte pour m'exciter. Elle s'arrangeait alors pour faire un petit numéro d'exhibitionniste, souvent dans les bars, même si pour cela elle régalait aussi d'autres spectateurs attentifs d'une vue privilégiée de ses atouts les plus intimes. Un jour, nous étions allés visiter un petit village alentours avant de nous reposer en prenant une consommation à la terrasse d'un bar. La coquine ne se privait pas de croiser et de décroiser ses jambes, avec des mouvements lents et bien calculés pour dévoiler ses charmes sans y paraître. Les passants hommes qui déambulaient sur le trottoir lorgnaient eux aussi sur ses cuisses.
Puis Maria dut se rendre aux toilettes, et pour cela s'enhardit à gravir un escalier en colimaçon sous lequel étaient attablés plusieurs jeunes consommateurs, juste à coté du comptoir où vaquait un barman. De ma place, je ne vis pas la scène mais j'étais certain qu'aucun n'allait se priver de la reluquer. Puis ma petite femme revint après un bon moment, un peu rouge et pressée de repartir. Après quelques pas, elle m'avoua :
- Tu sais ce qui m'est arrivé tout à l'heure ?
- Non, raconte.
- Un type du bar m'attendait à la sortie des toilettes et m'a coincée en haut de l'escalier.
- Et qu'est ce qu'il t'a fait ?
- Il m'a dit que ses copains et lui s'étaient régalés, et qu'ils me trouvaient très bandante. Il a continué que j'avais une belle chatte et il a commencé à me caresser en me proposant de passer un petit moment avec lui dans les toilettes. Après il a sorti un préservatif de sa poche et m'a dit qu'il savait comment s'occuper de moi. J'ai juste eu le temps de lui dire que c'était mon mari qui s'occupait de moi, de retirer sa main de dessous ma jupe et de me sauver comme j'ai pu.
- Tu ne vas pas t'étonner de rendre fou tout le monde à exhiber ton cul et ton minou comme tu le fais. Tu joues avec le feu. Avoue que tu provoques un peu trop, non !
- J'aime bien que les mecs pensent que je ne mets pas de culotte parce que j'ai le feu au cul. J'adore les allumer et me faire baiser par toi après.
- Tu ne perds rien pour attendre, ma petite cochonne.
Une fois dans la voiture, à peine dépassée la sortie du village, je m'arrêtai sur le bas coté de la route pour la sauter. Emoustillée aussi, Maria s'offrit sans retenue sans se préoccuper des cyclistes qui ne manquaient pas de jouer les voyeurs en passant, et nous eûmes tous les deux un sacré orgasme. Tout en roulant sur le chemin du retour, elle était très contente d'elle-même et me taquina gentiment :
- Je vois que tu apprécies que d'autres mecs profitent de mes petits trésors.
- C'est vrai que j'avais la trique, mais toi, tu avais bien mouillé ta figue pour la queue ton admirateur.
- Tu n'es pas juste. C'est vrai que j'ai un peu laissé ce type m'embrasser et me caresser et c'était bien agréable, mais c'était ta queue que je voulais, pas la sienne.
- Pourquoi ? Il ne te plaisait pas ? Ou alors tu as senti qu'il avait une petite bite qui ne te remplirait pas le con ?
- Idiot ! Au contraire, c'était un beau mec et je suis sûre qu'il avait une belle queue. Je ne l'ai pas touchée mais sa trique faisait une sacrée bosse à son pantalon. J'ai bien aimé qu'il frotte son gros machin contre moi mais ta petite femme est sérieuse et a réussi à contrôler ses envies de sexe. On dirait que tu le regrettes. Qu'est ce que tu aurais fait si j'étais revenue des toilettes en te disant qu'un inconnu venait de me sauter ?
- Je t'aurais baisée après lui, voilà. Je sais qu'après un petit coup de quéquette pris à la sauvette, ton con aurait été encore plus en feu pour moi.
- Salaud ! La prochaine fois, je m'en souviendrais, sois-en certain !
Cet épisode donna à ma charmante épouse le goût de provoquer les autres en voiture. Elle me demandait de conduire lentement sur la voie d’autoroute la plus à droite et commençait alors son petit numéro de charme. Comme elle ne portait aucun sous-vêtement, elle avait tôt fait de se déshabiller entièrement, et une fois nue, se caressait ou me caressait. Selon l’inspiration du moment, elle me faisait une petite pipe en s’arrangeant pour attirer l’attention des autres usagers. Immanquablement, les chauffeurs routiers qui voyaient tout du haut de la cabine de leur camion, nous doublaient en restant de longues minutes à notre hauteur. Le plus souvent, ils klaxonnaient, et Maria leur faisait alors un petit coucou en s’exhibant le plus possible. Elle souriait toujours en montrant ses seins, sa touffe ou ses fesses écartées. Comme cela la rendait folle et qu’elle ne manquait jamais de me demander de la sauter sur une aire de parking, je ne voyais aucun inconvénient à ses petites lubies. Jusqu’au jour où un routier plus acharné à mater que les autre fit une embardée et manqua d’un cheveu nous envoyer dans le décor. Je décidai alors que c’était trop dangereux et Maria passa à autre chose.
- Tu sais que j’ai adoré faire l’amour à quatre dans le même lit.
- Je dois avouer que cela m’a plu aussi.
- Tu aimes qu’un autre homme me prenne devant toi ?
- C’est excitant, mais en plus il y avait Edith.
- Tu as aimé lui faire l’amour, non ?
- C’est une chic fille, très sensuelle et câline.
- Un bon coup quoi !
- Un bon coup aussi, comme toi pour Eric.
- Avoue qui tu as aimé te la faire.
- C’est vrai.
- Tu ne m’as pas remerciée, c’est grâce à moi si tu as couché avec elle.
- Son mari t’a payée en nature, je crois. Il ne s’est pas privé le cochon.
- C’est moi qui lui demandais de me prendre en force. Tu sais, je te regardais quand tu baisais avec elle, elle aimait trop et ça me rendait folle, je voulais qu’Eric me démonte la chatte.
- C’est ce qu’il t’a fait, non ?
- Je me suis éclatée. Et toi ?
- Il faut avouer que c’est une expérience excitante.
- Quand je fermais les yeux, je voyais ton visage et quand je les ouvrais, j’avais Eric entre les cuisses. J’avais l’impression que vous me faisiez l’amour tous les deux en même temps.
- Tu sais, je ressentais pratiquement la même chose.
- Moi je suis prête à recommencer quand tu veux avec qui tu veux.
- Moi aussi je crois. Mais je ne vais pas attendre si longtemps pour te prendre, j’ai envie de toi maintenant.
- Baise-moi alors. Le plus fort possible !
Je la pris sur le champ. La belle ne s’était pas encore lavée et mon sexe baignait dans le sperme d’Eric. Mais cela m’a excité encore plus et je pris un grand pied à faire l’amour à Maria qui ne fut pas en reste de plaisir non plus.
Nous étions allongés sur le lit, repus de sexe. En vérité, j’étais fourbu, épuisé. Maria semblait plus en forme, elle avait encore envie de parler :
- Maintenant je préfère t’avouer quelque chose
- Qu’est ce que tu as fait encore ?
- Tu sais, avec Eric, cet après midi ce n’était pas la première fois qu’on le faisait.
- Je sais, tu lui avais déjà fait une pipe.
- Non pas ça, on s’est vu hier et il m’a sautée.
- Quoi ?
- Hier on s’est encore croisé et on s’est fait la bise.
- Et alors ?
- On était sur le pas de la porte, je ne savais pas quoi faire et je lui ai demandé d’entrer s’il avait un moment.
- Bravo !
- Il s’est avancé et il m’a embrassée sur la bouche cette fois.
- De mieux en mieux.
- Il avait envie de moi et moi je n’en pouvais plus. Alors je l’ai emmené dans la chambre. Je me suis assise sur le bord du lit, et j’ai baissé son pantalon. Le pauvre, il avait une de ces triques ! Je l’ai tiré par la queue et une fois entre mes cuisses, je me suis renversée en l’entraînant sur moi, et il m’a sautée toute habillée sur le bord du lit
- C’était bien au moins ?
- On aurait dit deux puceaux maladroits. On était tellement énervés qu’on n’y arrivait pas. J’avais les cuisses ouvertes, la chatte comme une fontaine et il n’arrivait pas à trouver le trou.
- Apparemment, vous y êtes arrivés.
- Il a d’abord essayé d’écarter ma culotte mais je l’ai quittée. Lui, il n’arrivait à rien, il bandait comme un âne, mais il n’arrivait pas à me la mettre. Je me suis enfilé sa queue moi-même.
- Tu es si serviable.
- Ne te moque pas de moi. Je t’assure, je ne me contrôlais plus
- Maintenant ton ami connaît bien le chemin.
- Quel chemin ?
- Celui qui mène à ton cul pardi ! S’il a envie de se faire sucer ou de tirer un coup, il descend un étage et il se tape la salope du premier qui ne demande que ça.
Quelques jours après, Maria m’attendait dans le salon en déshabillé.
Sans me laisser le temps pour une quelconque explication, elle me prit par la main jusqu’à la chambre, défit mon pantalon, me suça et me branla avant de m'entraîner au lit où elle me demanda de la baiser avec violence. Son sexe était trop trempé pour ne pas avoir été rempli de semence par un autre. J’avais déjà eu cette sensation quelques jours auparavant en baisant ma femme juste après Eric. C’était exactement pareil maintenant. J'attendis qu'elle reprenne son souffle après son orgasme et lui demandai ingénument :
- Je peux savoir ce qui t'a mise dans cet état ?
- J'ai trouvé que c'était le meilleur moyen de me faire pardonner.
- Te pardonner de quoi ?
- Promets-moi de ne pas le prendre mal. J'ai été très vilaine aujourd'hui.
- Raconte !
- Tu es là depuis longtemps ?
- Quelques minutes à peine, pourquoi ?
- Eric est passé prendre le café après déjeuner. Au moment de partir, il m'a embrassée, m'a caressée. Au début, je ne voulais pas mais il avait tellement envie de moi que j'ai craquée. Je l'ai conduit jusqu'au lit et il m'a baisée tout l'après-midi. Il vient juste de partir, tu aurais pu le croiser dans l’escalier.
- Ou encore entre tes cuisses.
- Peut-être.
- Tu te rends compte que tu es mariée et que tu me fais cocu à chaque fois que tu te fais sauter par un autre ?
- Avec Eric, ce n'est pas pareil, tu sais qu’il me baise, il l’a même fait devant toi, et toi tu as fait la même chose avec sa femme, tu t’en rappelles au moins. Après ça, ce n’est pas parce qu’on a tiré quelques coups de plus que tu es plus cocu. C'est juste une petite liaison sans conséquence, une aventure purement sexuelle.
- Que ce soit lui ou un autre qui te passes dessus, je suis cocu tout pareil. Ne me dis pas qu’il va venir te baiser à tout bout de champ. Comme Philippe, je suppose !
- Philippe ne m’a baisée que cette fameuse fois, depuis il n’est pas revenu et je n’ai pas couché avec lui.
- On dirait que tu le regrettes. T’inquiète pas, ça va arriver !
- Excuse-moi, je pensais seulement que ce n'était pas si grave de s’amuser et de passer un peu de bon temps avec quelqu’un qui m’a prise plusieurs fois devant toi et dont tu as baisé la femme, je te le rappelle.
- Tu parles ! Il te baise sans capote alors que tu ne prends même pas la pilule et tu voudrais que je sois content sous prétexte que ton con est bien huilé ? Attention à ne pas aller trop loin, ma belle ! Tu peux me le dire, tu en as d’autres, des amants ?
- Ne sois pas bête, non bien sûr.
- C’est juste pour savoir, au cas où je trouve d’autres types dans mon lit.
Celle-là m'étonnait de plus en plus
Deux jours après cette mémorable séance, je perçus en rentrant à la maison un peu avant l’heure habituelle, des bruits bizarres qui venaient de notre chambre. Je refermai sans bruit et allai risquer un œil par la porte entrouverte. Ma tendre épouse, les lèvres pincées, gémissait à chaque mouvement et jouait à la bête à deux dos avec Eric qu’elle chevauchait. Celui-ci se laissait porter par la fougue de sa partenaire en lui caressant les seins et les fesses. Peu après, ils décidèrent de changer de position et se séparèrent un court instant. Maria s’allongea sur le dos pour accueillir Eric entre ses cuisses. Elle se saisit de sa verge, la tira nerveusement vers elle et la guida dans son ventre. Quand elle sentit le membre bien au fond, elle referma ses jambes très haut sur le dos de son partenaire. Je connaissais bien cette position car ma femme la pratiquait aussi avec son mari, et je savais les sensations qu’elle procurait à chacun. La femelle offrait son ventre à la pénétration avec le meilleur angle possible, elle accueillait la queue jusqu’à la racine, jusqu’aux couilles qui venaient battre contre ses fesses à chaque charge, le mâle devenait fou en la possédant si totalement. Sur cette lancée, les deux amants ne tarderaient pas à atteindre le nirvana. Au comble de l’excitation Maria frottait son clitoris sur le pubis de son partenaire et l’enlaçait en l’embrassant avec passion. Son amant n’était pas en reste : il besognait avec ardeur entre les cuisses de ma petite femme chérie, allant et venant dans son ventre avec entrain. Malgré le sentiment de jalousie et de colère que je sentais monter en moi, je ne pouvais m’empêcher d’admirer cette belle femme qui faisait l’amour sans retenue et de bander devant ce spectacle. Je fis le voyeur durant de longues minutes, je voulais rester jusqu’à l’orgasme de ma femme mais la peur d’être surpris était forte, peur d’être cocu et ridicule. Mari cocu et amoureux transi, la queue raide à me faire mal, j’allais me retirer comme un fantôme quand les yeux de Maria se posèrent sur moi.
Je crus d’abord mourir de honte sur place, ma femme s’arrêta de bouger et son amant prit conscience de ma présence, puis me vit. Je ne savais que faire, Maria réagit la première. Elle chuchota quelque chose à son étalon, se dégagea et se leva. Elle vint vers moi et prit mes mains en souriant :
- Viens avec nous.
- Je ne sais pas, je ferais mieux de vous laisser, non ?
- Viens, je te dis, Eric est d’accord.
Je me sentais submergé de ridicule et de honte, moi, le mari, j’avais la permission de l’amant de ma femme pour regarder comment il la baisait. Ridicule ou pas, je me laissai emmener par ma femme jusqu’au pied du lit. Elle s’assit face à moi, caressa l’énorme bosse de mon entrejambe, défit mon pantalon et le baissa. Pour ajouter à ma honte, mon sexe jaillit comme un diable en boîte tellement j’étais excité. Les mains douces de ma petite chérie me caressèrent, commencèrent à branler tout doucement ma queue dure comme de l’acier. Elle souriait, et je m’aperçus qu’Eric souriait aussi. Il était étendu sur le coté, d’abord gêné de mon intrusion, puis attentif à l’attitude de sa maîtresse, et maintenant amusé de la complaisance du mari. Maria me masturba avec douceur, je voyais qu’elle se délectait de cette situation scabreuse. Elle jouait avec moi, frottait avec sa paume mon gland douloureux, massait mes bourses prêtes à exploser. Elle se remit sur le dos, demanda à son amant de monter sur elle et de la prendre tout en continuant à me caresser. L’autre n’avait pas débandé et reprit sa place entre les cuisses de ma femme. Maria prit ma main et la porta sur ma queue, elle me demanda de regarder en me branlant moi-même. Alors, le mari obéissant fit ce qu’on lui demandait, je me masturbai tandis qu’un autre baisait ma femme. Eric n’avait pas débandé, bien au contraire, Maria n’eut pas besoin de raidir le membre dressé qui attendait son heure. Il monta sur elle et la pénétra d’un coup. Je n’avais pas quitté cette queue des yeux, je la vis disparaître dans le con offert, puis aller et venir dans le puit d’amour. Maria gémissait, se tordait sous les assauts de son amant, mais ne quittait pas ma queue des yeux, ou plutôt ma main qui astiquait ma queue de plus en plus vite. Elle aussi se tordait de plus en plus, elle tenait mes couilles dans sa main, et les serrait de plus en plus fort. Je n’en pouvais plus, j’allais exploser. J’essayais de m’arrêter, je lâchais mon sexe, mais ce fut en vain. Mon foutre jaillit soudain en de longs jets, tellement puissants qu’ils couvrirent les amants que je regardais. J’inondai tout, il y avait du sperme sur le visage de Maria, ses seins, le dos de son amant, les draps, partout. Maria cria, se convulsa en un orgasme d’une rare violence, et son amant vint à son tour, arqué pour lâcher sa semence au plus profond de son ventre.
Jamais je ne serais cru capable d’un tel acte, je me sentais plus honteux que jamais. Puis je me suis rhabillé et je suis allé m’asseoir dans le salon tandis que les deux amants allaient se laver. Eric passa l’embrasure de la porte, hésita un moment, puis se décida à partir en me faisant un petit salut de la main.
Maria apparut bientôt dans le salon en petite culotte. Aucun d’entre nous ne voulait envenimer les relations de notre couple tout en sachant à quoi s’en tenir. Ma femme volage se laissa tomber sur le canapé où je la débarrassai de sa culotte sans un mot. Elle s’était lavée, mais c’est dans un con plein de foutre que je me perdais quelques secondes plus tard. Je n’en revenais pas de bander encore à me faire mal, et j’étais tout aussi surpris de lire dans les yeux de la femelle qu’elle avait autant envie que moi. Elle m’encourageait tandis que je la prenais avec violence. Ma foi, elle aimait ça, cette salope, son vagin tapissé de foutre semblait étreindre ma queue puis commença à convulser. Elle jouit très vite et très fort tandis que je la remplissais de semence jusqu’aux yeux. Elle partit précipitamment se laver et revint ravie, parlant de tout et de rien, heureuse de s’en tirer à si bon compte.
Malheureusement pour moi, l’épouse adultère avait pris l’ascendant sur moi, j’avais cautionné son infidélité. Je me moquais de moi-même, j’avais scellé une sorte de pacte avec mon propre sperme, j’acceptais qu’elle me trompe quand elle en avait envie, nous n’avions pas besoin d’en parler, c’était un accord tacite mais néanmoins fortement scellé. Elle ajouta :
- Tu ne peux pas savoir comme j’ai joui avec Eric tout à l’heure, c’était énorme.
- Je l’ai bien vu.
- Moi aussi j’ai vu que tu étais excité comme un fou.
- J’étais hypnotisé par la scène, je ne pouvais rien faire d’autre que regarder.
- Et te masturber !
- Oui, et me masturber.
- Tu as joui très fort toi aussi, tu nous as salis nous, le lit, les draps, il y avait du sperme partout.
- Ça non plus je ne pouvais pas l’empêcher.
- Je ne voulais pas que tu empêches quoi que ce soit, au contraire. Ce qu’on fait aujourd’hui, c’était mon fantasme le plus fort.
- Ah bon ?
- Je rêvais de me faire baiser pendant que tu regardais en te branlant comme un fou, et c’est ce qui est arrivé. Moi, je recommence quand tu veux, tu sais.
- Moi pas, je n’y tiens pas vraiment. J’aurais préféré qu’on te baise à deux au lieu de me branler comme un con.
- Moi, ça m’a rendue folle. Ne t’inquiète pas, on baisera à trois une prochaine fois, je te le promets.
- Avec Eric ?
- Celui là ou un autre, on verra, les mecs ne demandent que ça.
- Tu en sais des choses sur les mecs, toi.
- J’en découvre tous les jours. Et j’ai d’autres phantasmes à vivre avec toi.
- Avec moi ? tu es sure ?
- Oui, avec toi et un autre.
- Je peux savoir lesquels ?
- Le premier de ma liste, c’était ce qu’on a fait aujourd’hui, le deuxième, ce serait de partager le même amant.
- Tu veux qu’on te baise à deux ?
- Oui, mais pas seulement, je voudrais que l’autre te prenne par derrière.
- Tu veux que je me fasse enculer ?
- Ça te choque ?
- Un peu, oui, tu veux faire de moi un cocu soumis à tes envies et à celles de tes amants.
- N’exagère pas, je voudrais qu’on le fasse une fois pour voir.
- C’est Eric qui te l’a proposé ?
- Pas du tout, je ne lui ai jamais parlé de ça, je te le jure. En fait, je voudrais que ce soit Philippe.
- Philippe ? Pourquoi Philippe ?
- D’abord parce qu’il a une plus belle queue, et après parce que c’est lui qui a étrenné mon petit trou à moi et que je voudrais qu’il fasse la même chose au tien.
- Ça, je ne m’y attendais pas. Tu voudrais que je devienne sa deuxième salope. On pourrait le supplier ensemble pour qu’il vienne à la maison nous baiser toutes les deux, toi d’abord parce que tu es sa femelle, et moi après parce que serais son petit pédé favori. Il sera notre homme, nous nous occuperons bien de lui, et il nous remerciera en te baisant, toi sa salope préférée et en m’enculant, moi sa petite pute de mari cocu. Il pourrait même nous prêter à ses amis, comme ça, il aura une salope pour ses amis hétéros et une autre pour ses amis homos.
- Je veux juste qu’il t’encule une fois, juste une fois.
- On va en rester là, tu veux !
Au vu d’indices flagrants qui prouvaient le passage d’un visiteur dans mon lit et sur ma femme, elle continuait à coucher avec Eric, je suppose que c’était avec lui, mais elle sut se montrer très discrète sur certaines de ses occupations privées et j'évitai d'aborder le sujet de front. D'autant plus qu'elle se montrait plus ardente que jamais avec moi.
En fait, ce fut une époque faste sexuellement parlant. Ma femme avait toujours envie de faire l'amour et ne me refusait jamais de passer à l'acte, bien au contraire. J'étais absolument certain de ne pas être le seul à profiter de ses bonnes dispositions. Souvent, sa bouche avait le goût âcre du pénis qu’elle avait sucé, son corps portait les traces de combats amoureux passionnés, son sexe était trop préparé et lubrifié pour ne pas avoir été investi et possédé. Je savais au plus profond de moi-même qu'Eric la prenait autant que moi sinon plus, mais les attentions de ma femme à mon égard rendaient mon nouveau statut de mari cocu bien agréable à supporter. Loin de satisfaire son appétit sexuel avec son amant, ses rapports adultères agissaient sur elle comme un puissant aphrodisiaque. Je couchais maintenant tous les jours avec une bombe sexuelle, une femelle volcanique. C’était comme si Maria s’échauffait et faisait les préliminaires en faisant l’amour avec son amant et baisait comme une folle avec moi. A chaque fois que je plongeais en elle, ma queue baignait dans le sperme de son amant et cela me plaisait et m’excitait aussi. En plus, j'avais eu droit à un bonus : j’avais appelé ma femme dans l’après midi et après une brève conversation, j’avais été surpris par des bruits bizarres et par la voix troublée de Maria. En y réfléchissant après avoir raccroché, j’eus la certitude qu’elle était en train de faire l’amour quand je l’avais appelée et que je l’avais entendue jouir au téléphone. Son mec aussi avait du prendre son pied, baiser une femme mariée pendant que son mari lui téléphone, la faire jouir et la faire crier dans le combiné, ce doit être bandant dans le genre. Le soir alors que nous faisions l'amour, elle avait joui la première et s'était retournée pour que je la finisse en levrette. Alors que j'allais la pénétrer, elle me tendit un tube de vaseline et me demanda de m'en enduire la queue pour la sodomiser. Je ne me suis pas posé de question et j'ai pris ma femme par le cul après plus de vingt ans de supplications infructueuses. Je sus à ce moment que j'étais le troisième à passer par ce trou tellement ce fut facile. Philippe l’avait étrenné, Eric la rodait, et moi, son mari, j’étais maintenant invité à participer à la fête. Décidément, Eric ne devait pas s'ennuyer dans mon lit. Mais s'il baisait ma femme, il la rendait plus attentionnée et plus coquine avec moi. Sans doute qu’elle le faisait pour se racheter de sa mauvaise conduite. Maria me trompait tous les jours ou presque mais j’étais un cocu heureux.
Par exemple, elle avait décrété qu'elle ne mettrait plus de culotte à la maison, et se promenait avec un tablier ou un petit linge qui la rendait très provocante. Elle ne portait pas non plus de sous-vêtements quand nous avions du monde à la maison. Elle savait qu'elle me rendait fou quand elle s'asseyait sur le canapé en face d'autres hommes avec une minijupe vraiment très courte et qu'elle croisait ses jambes. L’ombre sombre qui apparaissait pouvait être sa toison ou une petite culotte noire mais ma petite femme chérie s’arrangeait pour dissiper le doute en écartant suffisamment ses cuisses pour entrouvrir la fente accueillante de son joli minou. Je suis certain que plus d’un a emporté avec lui de sensuelles images de son entrecuisse, troublé sans aucun doute d'avoir été convié à entrer ainsi dans son jardin intime. Mais elle prenait alors une telle expression de candeur si naïve que chacun pouvait penser que la belle enfant devait être bien innocente pour montrer son minou de la sorte. Quant à moi, je raccompagnais toujours nos invités en bandant comme un âne et sautait sur cette femelle à peine la porte fermée, ce qui la ravissait et l’encourageait à en faire toujours plus. Et quand elle trouvait que je n’étais pas assez excité à son goût, elle me racontait ce qui m’avait échappé, comme un samedi soir par exemple :
- J’espère que la femme de Laurent n’aura pas la migraine en rentrant.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Le Laurent, il est parti avec une trique, je ne te raconte pas.
- A cause de toi ?
- Grâce à moi tu veux dire.
- Il a vu que tu n’avais pas de culotte ?
- Les autres l’ont vu, lui il a eu le temps de compter les poils de mon minou.
- A ce point ?
- Au début, je ne l’ai pas fait exprès, j’ai fait tomber la corbeille de fruits par terre, alors je me suis mise à les ramasser.
- J’étais accroupie, et il a voulu m’aider, il s’est accroupi en face de moi, bien en face. Il devait chercher les fruits à tâtons parce qu’il ne quittait pas une seconde des yeux le spectacle que je lui offrais. J’en ai fait un peu trop, je crois, à un moment je faisais le grand écart pour bien lui montrer la jolie fente que j’aie.
- Salope.
- Si tu veux me sauter, je suis toute mouillée
Madame fut satisfaite sur le champ. Un peu plus tard, dans un bar où nous prenions le café, elle me chuchota à l'oreille de regarder discrètement sous la table. Je m'empressai de le faire et elle écarta largement et longuement ses belles cuisses pour exposer à ma vue son joli minou de brune. En sortant, elle m'apprit que je n'avais pas été le seul à profiter du spectacle : les deux jeunes garçons installés un peu plus loin avaient été aux deuxièmes loges et n'avaient pas quitté ses cuisses des yeux. En arrivant à la maison, je la plaquai contre la porte de l'entrée et la prit debout. Maria fut très contente du résultat et me promit d'autres séances. En attendant, elle continuait à voir son amant en douce et j’étais certain qu’elle faisait autant l’amour avec lui qu’avec moi. Un soir alors que ma femme passait quelques jours chez ses parents, Edith me téléphona. Elle me demanda de lui rendre un service et de passer chez elle un peu plus tard. Ce que je fis. Son mari aussi était absent, en déplacement pour son travail. Après avoir mis en place un meuble qu’elle venait de recevoir, Edith me proposa de dîner avec elle, juste le temps de donner à manger à sa petite fille et à un petit garçon qu’elle gardait pour la nuit. J’étais plutôt ravi de passer la soirée avec elle et je courus chercher une bonne bouteille. Après un repas simple et convivial, un plat de pâtes à dire vrai, nous nous sommes mis à deviser de tout et de rien, sans revenir sur l’aventure que nous avions eu quelques semaines auparavant. De fil en aiguille, elle me demanda :
- Tu sais, mon mari … Je sais qu’il couche encore avec ta femme.
- Non, tu crois ?
- Je les ai vus, ils sortaient d’un hôtel tout près d’ici.
- Ensemble ?
- Bras dessus, bras dessous. Et contents du bon moment qu’ils venaient de passer.
- Merde.
- Comme tu dis, ta femme te trompe, mon mari me trompe. Moi j’ai envie qu’on en fasse autant.
- C’est bête de le faire juste pour te venger. Si tu n’en as pas envie, ce n’est pas bon.
- Je n’ai pas oublié comment tu m’a fait l’amour la dernière fois, j’ai envie de recommencer, c’était bon.
- Pour moi aussi c’était plus que bon.
- Tu veux bien qu’on le fasse ?
Edith ne me laissa pas le temps de dire oui. Elle me prit par la main et me conduisit dans sa chambre. Sans un mot, elle se déshabilla complètement et s’allongea sur le lit. Il ne me restait plus qu’à en faire autant. Un peu gauches pour recommencer, nous nous sommes vite échauffés et l’étreinte devint vite torride et passionnée. La belle Edith était toujours aussi magnifique et chaude et la nuit fut courte. Après un orgasme violent, nous fîmes trop de bruit semble-t-il et le petit se réveilla. Il apparut en couche avec son nounours à l’embrasure de la porte et Edith se leva, nue, pour aller le recoucher. Que c’est beau, l’innocence ! Le gamin ne s’étonna pas de voir sa maman nue et se rendormit de suite après un gentil câlin. Moi, j’étais bien moins innocent, je récupérais à peine de la précédente joute mais la chute de reins de ma compagne de la nuit provoqua en moi comme un électrochoc. Au retour cela s’amplifia quand elle fut de face, avec ses gros seins si fermes et sa touffe au vent. Elle fut accueillie par une belle érection qu’elle reçue sitôt au fond de ses reins où je luttais ardemment pour ne pas exploser trop vite. La nuit fut courte, blanche et agitée. Au petit matin, je partis à regret, content de moi. L’épouse d’Eric, sur la même longueur d’onde, me confia :
- Tu sais que je suis contente d’avoir couché avec toi ?
- C’était bien ?
- Super, encore mieux que la première fois. Et ça a duré toute la nuit. En fait c’est la première fois que je passe une nuit au lit avec un autre que mon mari.
- Et ?
- Il est cocu lui aussi.
- Mais toi, tu as aimé ?
- Trop, assez pour recommencer.
- Appelle-moi.
- Qu’est ce qu’on fait, on leur dit qu’on a couché ensemble ?
- Moi je ne dirais rien, eux ne nous ont rien dit, en tout cas ma femme ne m’a rien dit, c’est toi qui m’as appris qu’ils se revoyaient.
- Tu as raison, ils n’ont pas besoin de savoir, ils sont cocus, nous on le sait, c’est ce qui compte.
J’avais pris une revanche sur celui qui se tapait ma femme, et ce de la plus belle façon qui soit. Sa femme valait la mienne au lit et j’avais pris mon pied. En enculant Edith, je pensais à nos conjoints respectifs qui pratiquaient cela pratiquement tous les jours et le plaisir de la vengeance s’ajoutant au plaisir sexuel. Apparemment, ma belle partenaire y avait trouvé son compte.
Ma petite femme quant à elle prenait de plus en plus de goût pour la provocation. Elle ne portait plus que des robes ou des jupes vraiment courtes et en général des vêtements qui mettaient sa féminité en valeur. Elle aimait maintenant susciter la convoitise des hommes qui la croisaient et qui se retournaient sur son passage. Cela lui valut quelques mésaventures comme quelques mains au cul dans les bus bondés, mais elle ne s'en formalisait pas.
Elle se fit même agresser une fois par une bande d'une dizaine de gamins âgés de dix à treize ans environ. Ils la poussèrent vivement dans une entrée cochère d'un immeuble voisin du nôtre. Elle pensa qu'ils en voulaient à son sac à main, mais ils la coincèrent contre la rampe d'escalier ; la pauvre était tétanisée tandis qu'une multitude de petites mains avides couraient en même temps sur son corps de femme pour la palper sous toutes les coutures, ne laissant pas une seule partie inexplorée sous sa robe. Sans avoir pu réagir, elle se vit palpée, fouillée dans ses replis les plus intimes par tous les doigts qui se battaient pour la pénétrer par ses deux orifices. Elle ne réagit même pas quand la porte de l'ascenseur s'ouvrit. Les nouveaux arrivants firent fuir les gamins qui disparurent en riant et Maria se retrouva encore sous le choc, les seins à l'air, la jupe ouverte jusqu'au nombril et la culotte sur les genoux sous les yeux ébahis des deux hommes qui sortaient. Ils la soutinrent, la firent asseoir sur les premières marches de l'escalier pour qu'elle reprenne ses esprits. Ils lui proposèrent d'appeler la police, mais elle refusa. Peu à peu, elle recouvra ses moyens et se rendit alors compte qu'il ne lui restait plus rien à cacher à ses sauveteurs. Elle remonta sa culotte et se rhabilla devant eux, et partit en les remerciant. Plus tard, quand elle put enfin commenter sa mésaventure et se moquer d'elle-même, elle plaisantait en affirmant que ces deux-là avaient eu bien de la chance car on ne trouvait pas une femme nue dans sa cage d'escalier tous les jours, et qu'ils auraient dû plutôt la remercier elle.
Quand elle sortait avec moi, elle se promenait souvent sans culotte pour m'exciter. Elle s'arrangeait alors pour faire un petit numéro d'exhibitionniste, souvent dans les bars, même si pour cela elle régalait aussi d'autres spectateurs attentifs d'une vue privilégiée de ses atouts les plus intimes. Un jour, nous étions allés visiter un petit village alentours avant de nous reposer en prenant une consommation à la terrasse d'un bar. La coquine ne se privait pas de croiser et de décroiser ses jambes, avec des mouvements lents et bien calculés pour dévoiler ses charmes sans y paraître. Les passants hommes qui déambulaient sur le trottoir lorgnaient eux aussi sur ses cuisses.
Puis Maria dut se rendre aux toilettes, et pour cela s'enhardit à gravir un escalier en colimaçon sous lequel étaient attablés plusieurs jeunes consommateurs, juste à coté du comptoir où vaquait un barman. De ma place, je ne vis pas la scène mais j'étais certain qu'aucun n'allait se priver de la reluquer. Puis ma petite femme revint après un bon moment, un peu rouge et pressée de repartir. Après quelques pas, elle m'avoua :
- Tu sais ce qui m'est arrivé tout à l'heure ?
- Non, raconte.
- Un type du bar m'attendait à la sortie des toilettes et m'a coincée en haut de l'escalier.
- Et qu'est ce qu'il t'a fait ?
- Il m'a dit que ses copains et lui s'étaient régalés, et qu'ils me trouvaient très bandante. Il a continué que j'avais une belle chatte et il a commencé à me caresser en me proposant de passer un petit moment avec lui dans les toilettes. Après il a sorti un préservatif de sa poche et m'a dit qu'il savait comment s'occuper de moi. J'ai juste eu le temps de lui dire que c'était mon mari qui s'occupait de moi, de retirer sa main de dessous ma jupe et de me sauver comme j'ai pu.
- Tu ne vas pas t'étonner de rendre fou tout le monde à exhiber ton cul et ton minou comme tu le fais. Tu joues avec le feu. Avoue que tu provoques un peu trop, non !
- J'aime bien que les mecs pensent que je ne mets pas de culotte parce que j'ai le feu au cul. J'adore les allumer et me faire baiser par toi après.
- Tu ne perds rien pour attendre, ma petite cochonne.
Une fois dans la voiture, à peine dépassée la sortie du village, je m'arrêtai sur le bas coté de la route pour la sauter. Emoustillée aussi, Maria s'offrit sans retenue sans se préoccuper des cyclistes qui ne manquaient pas de jouer les voyeurs en passant, et nous eûmes tous les deux un sacré orgasme. Tout en roulant sur le chemin du retour, elle était très contente d'elle-même et me taquina gentiment :
- Je vois que tu apprécies que d'autres mecs profitent de mes petits trésors.
- C'est vrai que j'avais la trique, mais toi, tu avais bien mouillé ta figue pour la queue ton admirateur.
- Tu n'es pas juste. C'est vrai que j'ai un peu laissé ce type m'embrasser et me caresser et c'était bien agréable, mais c'était ta queue que je voulais, pas la sienne.
- Pourquoi ? Il ne te plaisait pas ? Ou alors tu as senti qu'il avait une petite bite qui ne te remplirait pas le con ?
- Idiot ! Au contraire, c'était un beau mec et je suis sûre qu'il avait une belle queue. Je ne l'ai pas touchée mais sa trique faisait une sacrée bosse à son pantalon. J'ai bien aimé qu'il frotte son gros machin contre moi mais ta petite femme est sérieuse et a réussi à contrôler ses envies de sexe. On dirait que tu le regrettes. Qu'est ce que tu aurais fait si j'étais revenue des toilettes en te disant qu'un inconnu venait de me sauter ?
- Je t'aurais baisée après lui, voilà. Je sais qu'après un petit coup de quéquette pris à la sauvette, ton con aurait été encore plus en feu pour moi.
- Salaud ! La prochaine fois, je m'en souviendrais, sois-en certain !
Cet épisode donna à ma charmante épouse le goût de provoquer les autres en voiture. Elle me demandait de conduire lentement sur la voie d’autoroute la plus à droite et commençait alors son petit numéro de charme. Comme elle ne portait aucun sous-vêtement, elle avait tôt fait de se déshabiller entièrement, et une fois nue, se caressait ou me caressait. Selon l’inspiration du moment, elle me faisait une petite pipe en s’arrangeant pour attirer l’attention des autres usagers. Immanquablement, les chauffeurs routiers qui voyaient tout du haut de la cabine de leur camion, nous doublaient en restant de longues minutes à notre hauteur. Le plus souvent, ils klaxonnaient, et Maria leur faisait alors un petit coucou en s’exhibant le plus possible. Elle souriait toujours en montrant ses seins, sa touffe ou ses fesses écartées. Comme cela la rendait folle et qu’elle ne manquait jamais de me demander de la sauter sur une aire de parking, je ne voyais aucun inconvénient à ses petites lubies. Jusqu’au jour où un routier plus acharné à mater que les autre fit une embardée et manqua d’un cheveu nous envoyer dans le décor. Je décidai alors que c’était trop dangereux et Maria passa à autre chose.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
supere histoire excitante,bravo
belle performance ! mes compliments et merci pour ton message
georges
georges
Récits très exitants Bravo
Bof.