7 - Les délices de la luxure

- Par l'auteur HDS Monkypython -
Auteur homme.
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Récit libertin : 7 - Les délices de la luxure Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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7 - Les délices de la luxure
Les délices de la luxure

Notre vie continua. Nous réussissions peu à peu à restaurer notre relation et notre sexualité redevint normale. Maria avait toujours autant de plaisir à faire l'amour avec moi et moi avec elle. Elle garda son sexe rasé quelque temps pour m'exciter. En plus maintenant, elle pratiquait volontiers la sodomie et m'encourageait même à la prendre par cette voie en guise de préliminaire pour notre plaisir à tous les deux. Ma femme avait aussi apprécié l'usage de godemichés et d'un vibromasseur. Après en avoir acheté plusieurs par correspondance, elle me demandait souvent de la prendre par le con avec un godemiché dans le cul. Elle se faisait jouir devant moi en remplaçant ma queue par le vibromasseur pour m'exciter. Au lit, nous racontions à nouveau nos envies et nos phantasmes. Maria disait qu'elle était toute à moi et que je pouvais disposer d'elle à ma guise : elle était prête à faire tout ce que je lui demanderais, avec moi ou avec qui je voudrais. Je plaisantais que j'allais la prendre au mot, mais nous n'étions jamais passé à l'acte.
Lors de notre dernière visite chez ses parents, nous rencontrâmes un autre couple à la terrasse d'un café. L'homme reconnut ma femme et la salua. Maria était visiblement très contente de le revoir. C'était Alex, un copain d'enfance, avec sa fiancée. Les deux anciens amis n'arrêtèrent pas de parler pendant plus de deux heures en évoquant leurs souvenirs. En fait, Alex était sorti avec ma femme à l'adolescence : c'était son premier amour. Ils riaient aux éclats en prononçant le mot amour, en nous expliquant qu'ils se donnaient juste de petits baisers en dansant et qu'ils se promenaient surtout en se tenant par la main. Maria les invita à passer à la maison s'ils le voulaient et Alex accepta de le faire si un de ses déplacements professionnels l'amenait dans notre région.
Et quelques semaines plus tard, il téléphona pour annoncer sa visite pour le week-end suivant. Maria était ravie à l'idée de revoir son ami. Le samedi soir, Alex arriva avec une petite valise et un énorme bouquet de fleurs. C'était une délicate attention qui toucha ma femme. Puis nous passâmes à table. Je voulus m'occuper de tout et Maria eut tout le loisir de discuter avec son copain. Ils évoquaient encore et toujours le bon vieux temps quand Alex sortit quelques vieilles photographies où on les voyait avec leurs copains. Ils demandaient des nouvelles d'un tel ou d'une autre et s'informaient mutuellement des derniers ragots. La soirée se poursuivit tard toujours sur le même thème.
J'étais ravi de voir ma femme heureuse, riant à tout bout de champ et je remerciais Alex en moi-même. C'était véritablement un garçon charmant à tout point de vue; physiquement, il n'était pas très grand non plus, mais plaisant à regarder, mince sans excès. Il avait un visage très sympathique et gardait toujours son sourire; en plus, il était gentil, agréable et avenant. Bref, le genre de garçon qu'on prend vite en affection. Lui-aussi avait eu une vie sentimentale difficile avec un divorce à la clé dont il se remettait à peine. En fait, il s'interrogeait sur le bien-fondé d'un nouveau mariage et demanda :
- Je ne sais pas comment vous faites pour rester mariés depuis plus de vingt ans.
- Il n'y a pas de secret, c'est l'amour.
- Mon mariage à moi n'a tenu que deux ans, et encore parce que je voulais à tout prix le préserver.
- Tu aimais beaucoup ta femme ?
- Plus que tout, mais elle ne m'aimait pas de la même façon et j'ai mis deux ans pour le comprendre.
- Alors votre couple ne pouvait pas marcher.
- Pourtant, j'ai tout supporté, même des choses humiliantes pour un mari.
- Elle ne te respectait pas ?
- Seulement en tête-à-tête. Mais en présence d'autres personnes, d'autres hommes surtout, alors elle se comportait comme si elle voulait me rabaisser.
- Peut-être était-ce involontaire, Alex.
- Non, elle savait bien ce qu'elle faisait, croyez-moi. Je vais vous raconter quelques petites choses et vous pourrez juger. Le jour même de notre mariage, Madame a préféré qu'on vende sa petite culotte plutôt qu'une jarretière. Et elle a invité le garçon d'honneur à la lui enlever en passant les mains sous sa robe de mariée. Tout le monde a trouvé l'idée très drôle, sauf moi. Heureusement que mes parents n'étaient pas là. Bernard, ne me dis pas que tu aurais aimé que Maria fasse la même chose.
- Non, tu as raison, mais toutes les femmes ne fonctionnent pas de la même façon. Peut-être que pour elle cela n'était qu'un jeu.
- Vous parlez d'un jeu ! A la fin de la soirée, je suis allé aux toilettes et je suis resté un bon moment assis sur la cuvette pour récupérer un peu. Un couple est entré et s'est enfermé juste dans les toilettes à coté. Tout de suite, ils ont commencé à s'embrasser et à se caresser. J'ai compris que c'était un couple illégitime qui tirait un coup à la sauvette. Sur le moment, je savourais le coté comique de la situation et j'essayais de deviner qui ils étaient. La femme ne parlait pas distinctement, elle chuchotait et gémissait plutôt, mais je comprenais ce que disait son partenaire : le fait de la voir se balader et danser avec tout le monde sans sa petite culotte lui avait donné des idées lubriques et comme la belle répondait à ses avances sans s'effaroucher, il était ravi de pouvoir sauter la mariée dans sa belle robe blanche. Il la prit debout contre la porte en lui disant qu'elle était superbe, avec un beau petit cul, de beaux nichons et une chatte très hospitalière. Cette vicieuse devait avoir très envie car elle jouit très vite et son mec tout de suite après. Je reconnus distinctement la voix de Sylvia quand elle se plaignit parce que le sperme coulait sur ses cuisses et qu'elle n'avait même pas de culotte. L'autre lui dit qu'elle n'avait qu'à se laver le cul dans le lavabo. Et elle le fit, sans se préoccuper qu'elle était dans des toilettes pour hommes. Vous imaginez, si quelqu’un était entré et qu'il avait surpris la mariée cul nu en train de se laver le sexe devant un autre que son mari !
- Votre mariage commençait bien mal, il faut l’admettre.
- Attends la suite ! La semaine suivante, nous devions faire une petite fête entre amis à la maison et j'ai préparé le repas. Sylvia s'occupait du reste et se promenait dans l'appartement avec juste une petite nuisette très courte et absolument transparente.
- Bernard aussi aime bien me voir avec ce genre de déshabillé coquin, comme ça se porte sans rien dessous, ça fait son petit effet.
- Tu as dis le mot juste, déshabillé. Le corps est recouvert d'un voile transparent qui colle à la peau dès qu'un mouvement plaque le tissu, ce qui a pour effet de faire ressortir les plus petits détails. Je lui avais dit plusieurs fois qu’il était grand temps de se préparer pour recevoir nos amis mais j’ai fini par comprendre qu’elle n’avait pas l'intention de se changer. Toujours est-il qu'elle les a reçus dans cette tenue comme si c'était la chose la plus naturelle qui soit. Personne n'a osé faire de remarque mais tous mes copains du bureau profitaient du spectacle et ne la quittaient pas des yeux comme s'ils étaient hypnotisés, surtout par la touffe brune qui se détachait du reste. Au début, tout le monde a été surpris et un peu gêné, mais j'étais le seul à être envahi de honte ; les femmes souriaient ironiquement en me regardant et les tous les hommes suivaient attentivement tous ses efforts pour s'exhiber, surtout quand elle se retournait ou qu’elle se penchait, elle s’est même mise à quatre pattes. Là, il n'y avait même plus de tissu pour couvrir ses fesses et sa fente.
- Je crois que, là, tu as raison, elle a dépassé les limites.
C’était l’hôpital qui se foutait de la charité. Ma petite femme qui était si prompte à critiquer l’épouse impudique d’Alex oubliait qu’elle avait fait pire : en plus de s'être offerte en spectacle, elle s’était offerte tout court en commençant par une fellation et en continuant par un coït torride avec Philippe devant moi. Et après j’avais tenu la chandelle pendant qu’elle baisait avec mon copain dans mon lit. Alex n'était pas le seul mari cocu de la terre.
Mon épouse intervenait de temps en temps, outrée de ce qu’une autre avait pu faire, oubliant sans doute ses propres frasques, tandis qu’Alex continuait son récit :
- Elle a fait encore mieux. Mes collègues trouvaient ma femme un peu spéciale, mais plutôt piquante. Elle aimait faire la fête et dès qu'on la faisait boire, c’était la vedette de la bande, elle adorait amuser la galerie. A chaque fois qu’elle buvait un peu trop, toute la bande criait « à poil, à poil », croyez-moi, elle ne se faisait pas prier longtemps pour monter sur une table ou sur le comptoir d’un bar pour faire un streap-tease.
- Pas jusqu’au bout quand même ?
- Bien sur que si, elle faisait presque toujours un streap-tease intégral.
- Elle n’avait pas froid aux yeux, ton ex.
- C’est plutôt ailleurs qu’elle n’avait pas froid. Elle était particulièrement impudique, même carrément exhibitionniste et comme tout le monde avait vu son cul à un moment ou à un autre, c’était le sujet de plaisanterie favori de nos amis, hommes et femmes d’ailleurs, les jolis nichons de Sylvia, le petit cul de Sylvia, la touffe de Sylvia, la fente de Sylvia, bref, vous voyez le genre. Je pense aussi qu'ils la trouvaient bandante, pas trop farouche, et que certains guettaient l'occasion de se la faire, ils lui faisaient des avances de plus en plus directes, avances qu’elle ne refusait pas vraiment.
- On s’imagine comment ça finit.
- Quand elle était saoule, elle passait de bras en bras, et se laissait peloter de partout, les copains ne retiraient leurs mains baladeuses que quand je les regardais faire, eux, ils étaient sans doute gênés de me regarder dans les yeux avec une main entre les cuisses de mon épouse…
- Et pas elle ? Quelle salope !
- Un peu plus tard, comme on s'invitait régulièrement entre nous, au cours d'une sauterie plutôt arrosée, après les grivoiseries d'usage dans ce genre de soirée, Sylvia lança l'idée d'un concours de la plus grosse queue et jura qu'elle récompenserait personnellement l'heureux gagnant. Les femmes qui n'avaient rien promis donc rien à perdre sinon s’amuser nous firent aligner en rang et mon épouse avec deux assistantes passa avec un mètre de couturière évaluer les six verges au garde à vous, en énonçant à haute voix longueur, diamètre et qualité de l'érection.
- Je n’aurais jamais pensé à un jeu comme ça, d’habitude, ce sont toujours les femmes qui se déshabillent. J’aurais bien voulu voir ça.
- Le vainqueur fut un collègue magasinier, plutôt limité intellectuellement, qui avait un sexe énorme.
- Rien dans la tête, tout dans le pantalon, je vois le genre.
- Bref, il bandait comme un cheval et ma femme palpa son braquemart un bon moment devant tout le monde et sous toutes les coutures.
- Le mec devait être fier de briller devant ses copains, pour une fois qu’il avait l’occasion d’être le meilleur.
- Sylvia dit que pour tenir sa promesse, il fallait un petit coin plus intime. Elle l'entraîna dans une chambre où ils passèrent presque une heure. Quand ils revinrent, on demanda à notre collègue si la récompense était bonne.
- Il n’allait pas dire le contraire.
- Goguenard et très content de lui, il déclara que Sylvia savait prendre autre chose que des mesures ; celle-ci en rajouta en assurant qu'elle aussi avait été copieusement récompensée, et en liquide s’il vous plait. Tout le monde applaudit très fort, moi je ne savais plus où me mettre. J’ai appris par la suite qu’il s’était vanté d’avoir possédé ma femme ce jour là et plusieurs fois après. En rentrant, on s'est disputé et elle m'a dit qu'elle était ma femme mais que le mariage n’est pas une prison et qu'elle était libre de faire ce qu'elle voulait avec qui elle voulait. Et moi, pauvre imbécile, j'ai accepté la situation par peur de la perdre et je l'ai laissée me tromper avec mes collègues et d'autres encore. Elle ne faisait même pas semblant de se cacher. Ce qui ne l'a pas empêché de partir un jour avec un de ses amants et de ne plus revenir.
- C'est triste, tu as du souffrir de cette histoire.
- C'est du passé maintenant. Parlons plutôt de vous. Comment faites-vous pour vous aimer et rester fidèles pendant si longtemps ?
- Pas si fidèles que ça. On a eu nos petites faiblesses nous aussi, chacun de nous a été voir ailleurs. Bernard a eu quelques aventures et moi je l'ai trompé pour me venger. J’ai sans doute été aussi vilaine que ta Sylvia. Mais on a compris que le sexe n'est pas le plus important.
- Alors, que faut-il faire pour ne pas tomber dans la monotonie et finir par tuer l'amour ?
- C'est difficile mais on y arrive. On a fait de grosses bêtises, surtout moi d’ailleurs, mais il y a eu du bon aussi. Et il nous reste nos petits phantasmes.
- Sexuels ?
- Très sexuels, mais aussi amoureux puisqu'on veut les vivre et les partager ensemble.
- Raconte.
- Puisque tu veux tout savoir, mon mari voudrait bien qu'on fasse l'amour à trois, avec un autre homme. L'idée d'aller au lit avec deux hommes pour moi toute seule me plait, ça m'excite beaucoup aussi. Je ne suis pas contre du moment que mon mari est avec moi, on y pense mais on ne l'a pas encore fait.
- Si vous décidez de concrétiser un jour, pensez à moi.
- Petit coquin ! Mais dis-moi ce qui t'excite le plus, une femme mariée qui pratique le triolisme ou faire l'amour avec une ancienne petite amie ?
- A vrai dire, les deux choses à la fois.
- D'accord, c'est noté. Après tout, ce ne serait pas mal d'aller au lit avec toi et avec mon mari en même temps. Qui sait, puisqu'on en a envie tous les trois, si les circonstances s'y prêtent, on le fera peut-être ensemble !
Quant à moi, je notai surtout que chacun voyait midi à sa porte et que l’objectivité pouvait souffrir quelques accommodements. Ainsi en était-il pour ce brave homme qui trouvait totalement amoral que sa femme couche avec d'autres hommes, ce qui ne l’empêchait aucunement de proposer une petite partouze à la mienne. Le soir, en faisant l'amour, je demandai à Maria :
- Tout à l'heure avec Alex, tu étais sérieuse ?
- Oui, bien sûr. Pour ma part, il n'y a pas de problème, du moment que tu le désires aussi.
- On parle bien de coucher avec Alex ?
- Moi je suis d'accord.
- Moi aussi je suis d'accord, à condition d’aller jusqu'au bout.
- Tu seras fier de moi, je baiserais mieux que jamais car tu seras avec moi.
- On le fait alors ?
- Demain, si tu veux. Tu verras, je te ferai passer une sacrée soirée.
- Et à Alex aussi ?
- Il se rappellera de moi celui là, je lui ferai sa fête à lui aussi.
- Apparemment, il te baisera volontiers.
- Moi aussi je vais bien le baiser, je vous prendrais tous les deux.
- J'ai hâte de te voir à l'œuvre.
- Je voudrais tant que tu m'aimes comme je suis, même si je deviens une salope intégrale à certains moments.
- Demain, c'est ce que je veux que tu sois.
- Alors, si mon mari m’encourage à être encore plus cochonne que je ne le suis, Alex et toi pourrez dire que je suis la plus grosse salope que vous aurez jamais baisée.
Tout en continuant d’aller et venir dans le ventre brûlant, je demandai encore :
- Tu as envie de baiser avec deux hommes ?
- Pas seulement, même si je l’ai déjà fait une fois et que j’adore ça. Mais ce qui me rend folle, c’est de me faire prendre par un autre sous tes yeux.
- Ça t’excite de me tromper sous mes yeux ?
- Tu ne peux pas savoir. La queue d’un mec dans mon ventre, et tes yeux sur moi, c’est le summum.
- Et pourquoi ?
- Je ne sais pas, c’est depuis que j’ai baisé Philippe sous tes yeux, tu te rappelles, ça m’a rendu folle.
- Bien sur que je me rappelle.
- Ça a été le moment le plus intense de ma vie. Après, il y a eu Eric, qui m’a prise aussi devant toi, c’était très bon aussi.
- Et tu as envie de recommencer ave Alex ?
- Cette fois, je veux aller encore plus loin, tu vas regarder et me prendre aussi.
- Et surtout que je te regarde baiser ?
- A coté de moi, pour que tu ne perdes pas une miette du spectacle.
- Sans rien faire ?
- Je veux juste que tu bandes, oui, que tu bandes comme un cerf pendant qu’Alex me baise.
- Et c’est tout ?
- Et que tu te touches, que tu te masturbes en regardant.
- Moi aussi je veux te baiser.
- Tu le feras, et tant que tu voudras. Je crois que je deviens une drôle de vicieuse.
Cette perspective m'amena moi aussi dans un état d'excitation extrême, et nous jouîmes très vite.
Le dimanche suivant, nous avions convenu de nous retrouver dans un bon restaurant de poisson vers midi. J'avais à travailler sur mon bateau et Maria et son ami devaient en profiter pour visiter un peu la ville. En fait, j'arrivai un peu en retard et Maria était déjà installée à une table. Elle était ravissante, à croquer même dans une petite robe de mousseline légère et très courte. J'embrassais ses lèvres pour un petit baiser de retrouvailles et lui demandai :
- Alex n'est pas avec toi ?
- Il a du aller aux toilettes, le pauvre.
- Pourquoi le pauvre ? Il est malade ?
- Non, pas du tout, mais il a du aller se nettoyer à cause de moi. J'ai été coquine avec lui.
- Coquine comment ?
- Tu veux que je te raconte ?
- J'aimerais bien, oui.
- Zut! Ma serviette est tombée sous la table.
- Attends, je vais la ramasser.
Je dus descendre de ma chaise pour ramasser la serviette et une petite surprise m'attendait. Ma petite chérie, cuisses grandes ouvertes, exposait sa belle motte à l'abri sous la nappe. Nue sous sa robe, la belle m'ouvrait sa fente intime où mes yeux se perdaient. Puis la coquine jugea sans doute qu'il était temps de terminer sa petite représentation et referma ses cuisses. Je revins donc à la surface, ravi du spectacle. Ma femme me surprenait toujours, même tant d'années. Et en prime, maintenant j'avais la trique.
Elle me chuchota :
- Tu as aimé ?
- Tu es magnifique. Mais dis-moi, tu t'es promenée toute la matinée comme cela ?
- Je n'avais pas envie de mettre une petite culotte aujourd’hui.
- Et Alex le sait ?
- Il a pu profiter du même spectacle que toi plusieurs fois, oui. Et avec des angles de vue très variés. Il doit pouvoir raconter en détails comment je suis faite.
- Il t'a dit quelque chose ?
- Non, pas à propos de mon minou, mais je crois qu'il n'a pas débandé de la matinée.
- C'est cruel de jouer avec lui de cette façon.
- Oh ! J'ai été encore plus vilaine avec lui.
- Plus vilaine ?
- Je l’ai touché, je l’ai tenu dans ma main, le pauvre chéri !
- Qu’est-ce que tu as pu lui faire ?
- Des petites misères le matin, mais je lui ai promis ma bouche et le reste.
- Tu l’as touché dans le bus ?
- En venant dans le métro, on était assis l'un en face de l'autre. Il y avait plein de monde mais cela ne m'a pas empêché de lui montrer ce que tu sais.
- Il n'a pas du être le seul à profiter de la vue.
- Je le sais bien, j'ai même vu plusieurs types me regarder franchement les cuisses. Tant mieux pour les veinards ! Quant à Alex, il était de plus en plus gêné. Il essayait de cacher la bosse de son pantalon avec sa veste sur les genoux mais il n'était pas à l'aise. Au moment où la place à coté de lui s'est libérée, j'en ai profité pour m'asseoir et le taquiner. Puis j'ai glissé la main sous sa veste et j'ai caressé la grosse bosse. Après, j'ai ouvert sa braguette et j'ai mis la main dans son caleçon. Le pauvre Alex ne disait rien du tout mais il était rouge comme une tomate. Il essayait de cacher ce que je faisais avec sa veste. Je me suis amusée à le caresser et à le branler et à force de jouer avec sa queue, je l'ai fait éjaculer dans son caleçon.
- Devant tout le monde ?
- J'ai été discrète. C'est à peine si le couple en face de nous a deviné mon manège. Enfin, la femme était plus maligne ou plus coquine, elle a tout compris car en partant elle m'a fait un clin d’œil en me souhaitant une bonne bourre.
- Tu n'as rien fait d'autre avec ton copain ?
- Non, rien qu'une petite branlette. Le reste sera pour tout à l'heure. Je suis tellement excitée qu'en rentrant je vous prends tous les deux. Je vais vous laisser sur les rotules.
- Ça promet ! Et c'est pour cela qu'Alex est dans les toilettes depuis si longtemps.
- Il doit avoir du sperme partout le petit chéri !
Alex revint enfin. Il semblait un peu gêné au début du repas mais se détendit très vite comme s'il ne s'était rien passé avec ma femme. En plus d'une bonne nourriture, la conversation fut très agréable, même pour moi qui ne partageais pas les mêmes souvenirs. Puis nous rentrâmes à la maison, tous trois légèrement émoustillés par un petit excès d'alcool.
Un détail me frappa en quittant le restaurant. Maria mit le feu à mon pantalon en me dévorant la bouche dans un baiser torride. En lui caressant la croupe, le remarquai que sa robe déjà très courte découvrait quasiment ses fesses, je froissai négligemment le tissu pour la remonter encore plus et régaler les regards indiscrets de la nudité de la dame. Deux garçons, ceux qui nous avaient servi, n’avaient rien perdu du spectacle, ils nous regardèrent partir en dévisageant Maria du coin de l’œil. Celle-ci avait pris mon bras comme il sied à une honnête femme mariée et devisait avec notre ami. En arrivant à la maison, profitant d’une courte absence de notre ami, je demandai à Maria :
- Tu as remarqué comment les garçons te regardaient en sortant du restaurant ?
- Et comment me regardait-ils ?
- Je ne sais pas, c’était bizarre.
- Je crois savoir pourquoi. Tu sais, ils ont du imaginer des choses à propos de nous. Et de moi surtout.
- Quelles choses, peut-on savoir ?
- Juste en rentrant au restaurant, j’ai sauté au cou d’Alex et j’ai frotté mon ventre contre lui en lui roulant des pelles. C’était plutôt torride comme démonstration, alors ils ont du penser que je suis du genre salope qui se fait sauter juste avant de retrouver son mari.
- Et tu as fait la même chose avec moi.
- Tu vois, ta femme vient de se faire une jolie réputation de salope intégrale.
- Ils ne se sont pas trompés de beaucoup, juste dans la chronologie des événements.
- Tu vas voir, c’est toi qui vas bientôt constater que je suis une salope à la hauteur de sa réputation.
- A toi de jouer alors !
Installés au salon nous écoutions de la musique en buvant un verre quand Maria se leva pour mettre un vieux disque. C'était ce qui passait à l'époque dans les discothèques qu'ils fréquentaient et ma femme se leva et demanda à notre invité de la faire danser, comme vingt ans plus tôt.
Je la trouvais belle dans sa petite robe de mousseline et je me dis que j'avais bien de la chance d'avoir une femme comme elle. Je la regardai danser, intimement collée contre son partenaire qu'elle avait enlacé tendrement. En fait, elle avait allumé un incendie qu’elle alimentait de ses frottements, son ventre plaqué sur son cavalier, son corps massant la bosse qui déformait le pantalon. Je savais que ma petite femme avait toujours apprécié la danse ainsi collée contre un homme qui ne pouvait s’empêcher de répondre à sa sensualité et en passant près d'eux pour aller au bar, je ne pus réprimer l'envie de l'embrasser. Elle me sourit et tourna son buste vers moi, un bras toujours autour du cou de son cavalier. Elle tendit ses lèvres, et je lui mangeai la bouche plus que je ne l'embrassai. Elle me rendait mes baisers avec passion, tandis que je caressais son visage de madone, son cou, ses épaules et ses seins.
Ensuite elle se tourna, posa ses lèvres sur celles d'Alex et l'embrassa à son tour. Je vis sa langue pénétrer dans la bouche de son cavalier pour un baiser fougueux, puis elle me redonna ses lèvres. Elle nous embrassait tour à tour, jouait avec sa langue dans nos bouches et mêlait nos salives à la sienne. Je la caressai encore et ma main plongea dans le décolleté de sa robe pour y palper ses seins et finir par les faire jaillir hors du vêtement malgré le soutien-gorge qui les empêchait de sortir tout à fait. Avec ses seins nus exposés aux regards et aux caresses, un bras passé autour du cou de chacun de nous, Maria continuait à nous donner des baisers passionnés. Je la sentais fiévreuse de désir et ne tardais pas à constater la chaleur de son ventre nu en plongeant la main sous sa robe. En fait de chaleur, c’était plutôt dans de la lave en fusion que j’avais glissé les doigts, le sexe était un volcan. La chérie avait littéralement le feu au cul, et elle avait deux pompiers manifestement bien disposés à son service pour l’éteindre. Nos lances étaient fin prêtes à l’emploi, la mienne me faisait même mal. J’avais trois doigts qui allaient et venaient dans son sexe, qui s’aventuraient de temps en temps dans l’anus, je savais comment entretenir la braise en fouillant sa fente et Alex embrassait et suçait ses tétons pendant qu'elle me donnait sa bouche. Les pointes de ses seins en érection, la coulée qui inondait sa fente, l’ardeur de ses baisers, trahissaient son état plus que ses gémissements, la belle enfant n’en pouvait plus de désir.
Nous étions heureux de prolonger délicieusement ces jeux érotiques et tendres. Puis nous finîmes par nous asseoir sur le canapé. Maria se trouvait entre nous, et je la tenais dans mes bras le buste en arrière sur mes cuisses pour continuer à l'embrasser et à caresser sa poitrine dénudée, tandis que ses genoux touchaient ceux d'Alex. Le pauvre garçon, malgré la petite conversation d'hier, ne savait plus trop que faire. Puis il se risqua à poser timidement la main sur une cuisse de ma femme et remonta doucement le long du bas satiné. Sous la robe, il dut arriver à la fin du bas et caressa un moment la peau nue de la cuisse comme pour se donner du courage. Et sa progression reprit pour arriver enfin à la jonction des deux cuisses. Il hésitait encore à s'aventurer plus loin quand Maria vint à son secours. Elle dégagea une main et releva doucement sa robe en ouvrant ses cuisses. Puis la main revint sur celle qui était posée sur son sexe et la caressa doucement en la plaquant plus intimement sur sa motte qui devait être moite. Ensuite, elle alla papillonner sur la bosse qui déformait déjà le pantalon de notre ami avant de revenir pour m'enlacer.
L'invitation était claire et Alex écartait maintenant le bas de la dentelle noire pour accéder à son trésor. Il commençait à explorer ces parties si intimes de ma femme, s'insinuait dans la fente humide, écartait les lèvres pour jouer avec son petit bouton d'amour, pour s'enfoncer dans un puits ruisselant et prometteur de plaisirs. Maria adorait qu'on joue ainsi avec sa féminité, qu'on la caresse et qu'on la fouille avec douceur. Ma petite chatte ronronnait d'aise puis ouvrit encore plus le compas de ses cuisses comme un écrin pour offrir un bijou fabuleux. Alex l'admira en la caressant encore puis il vint s'agenouiller entre ses cuisses pour l'embrasser et lui lécher sa belle chatte. Maria appréciait cette forme de caresse et caressait les cheveux de son ami. Alex avait compris que cette femme sensuelle et généreuse avait besoin de douceur et de tendresse pour s'abandonner aux plaisirs du sexe, et qu'elle se livrerait sans retenue s'il savait l'émouvoir. Intérieurement, je remerciai Alex d'être si doux et attentionné avec ma femme. J'étais content de la partager avec lui.
Maria nous entraîna à sa suite dans la chambre. Debout au pied du lit, elle continuait à embrasser son ami tandis que je faisais glisser sa robe qui tomba à ses pieds. Elle était nue avec seulement ses bas noirs, et son corps attisait encore plus notre désir de mâles. Puis elle s'agenouilla entre nous et s'activa simultanément sur nos braguettes d'où elle sortit nos sexes. Nos verges étaient dressées en l'honneur de la déesse qui les tenait et les branlait doucement. Maria introduisit alors la queue d'Alex dans sa bouche en continuant à me branler de sa main libre, puis me suça en le masturbant à son tour. Elle alternait ainsi branlettes et fellations. Elle nous avait rapproché au point que nos deux membres raides se touchaient quand elle léchait les deux glands d'un même coup de langue, avant de reprendre son petit jeu. Alex capitula. En fait, il se libéra sur le visage de la tortionnaire qui était en train de me sucer.
Maria eut un petit rire de gorge et nous nettoya tous les deux à petits coups de langue. Elle se releva alors, prit un préservatif sur la table de nuit et me le tendit avant de se mettre à quatre pattes sur le lit en tendant sa croupe vers moi. Elle savait qu'elle me rendait fou et je guidai fébrilement mon sexe dans son ventre pour prendre possession de son con. Mais Maria en avait décidé autrement. Elle se libéra de mon emprise et, en passant une main sous son ventre, guida mon membre douloureusement bandé sur l'œil rond de son anus. Je ne me fis pas prier pour entrer dans son trou du cul et la sodomisai sur-le-champ. Je ne tardai pas non plus à succomber à la pression de ce fourreau et déchargeai longuement entre ses reins.
Alex quant à lui avait contemplé cette scène sans en perdre une miette. Quand il découvrit que Maria demandait à se faire enculer, il commença à recouvrer toute sa vigueur et était déjà prêt à prendre la relève quand je me retirai. Ma femme lui avait réservé la chaleur de son ventre et se mettant sur le dos, l'attira sur elle pour qu'il la prenne. Pour moi, elle avait un autre phantasme à assouvir et elle me demanda de me masturber en la regardant faire l’amour avec Alex. Je n’en avais plus très envie, mais je commençais à me branler doucement tandis que son ami la prenait. Il profita donc de tout le feu attisé par nos caresses et qui la consumait, posséda son con ardent et la baisa tandis qu'elle se tordait déjà d'impatience à assouvir son désir de sexe. Maria ne me quitta pas des yeux, elle jouit très fort, longuement et très profondément et son orgasme déchaîna celui d'Alex.
Je compris qu'elle s'était complètement livrée quand elle se leva pour aller se laver à la salle de bains, tandis que la semence commençait à couler le long de ses cuisses. Elle s'allongea contre moi en revenant. Me voyant un peu jaloux, il y avait de quoi, non, une branlette pour moi le mari, son con pour l’autre et devant moi, elle chercha à me consoler en me disant que, même si elle était ma femme, elle avait voulu lui offrir ce qu'elle ne lui avait pas donné vingt ans auparavant. Elle se fit câline, très câline et recommença à m'embrasser. Elle savait ce qui me plaisait, me couvrait de caresses et de baisers et descendit peu à peu en dessous de la ceinture.
L'épouse modèle avait aussi appris à redonner de la vigueur à un sexe d'homme et s'affaira consciencieusement à en raffermir deux en l'occurrence. Sur le dos, elle fit placer Alex entre ses cuisses, les ouvrit très largement en les relevant et lui demanda de la prendre dans cette position par l'anus maintenant. Celui-ci devait sodomiser une femme pour la première fois et ne se fit pas prier pour emprunter cette voie ; il eut tôt fait de forcer la rondelle qui s'ouvrait si facilement pour laisser passer une nouvelle bite jusqu'à ce que les bourses entrent en contact avec ses fesses rebondies. Maria, ouverte et ainsi fourrée par son ami me donnait le reste de son corps en pâture à mes baisers. Je l'embrassais, la caressais, et jouais à mon tour avec elle. Elle semblait apprécier mes caresses, et plus particulièrement quand je m'occupais de sa figue ouverte.
En suivant sa fente toujours aussi trempée, j'allais de son clitoris à l'entrée de son con en y enfonçant mes doigts. La belle enculée qui s'émouvait déjà quand je la branlais avec les doigts s'emballa dès que je posai ma bouche sur ses lèvres vaginales. J'eus d'abord un peu d'appréhension en pensant qu'il devait rester du sperme d'un autre homme dans son sexe, mais mon hésitation fut de courte durée malgré la saveur corsée inhabituelle. J'avais trop envie de cette femelle. Je lui mangeai alors sa moule et d'un coup elle s'agita en plaquant ma bouche sur son sexe ; elle inonda alors ma bouche de son suc vaginal qui jaillit comme d'une fontaine dans son orgasme incontrôlé. Alex profita de son agitation pour éjaculer entre ses reins.
J'attendis qu'elle fût plus calme et qu'elle récupère un peu ses esprits et décidai de la baiser à mon tour. Je montai sur elle, et la pénétrai sans peine tellement elle était trempée, sans préservatif non plus. Maria avait envie elle aussi de sentir le sperme l'envahir une nouvelle fois et son con réclamait ma semence comme un dû. Son envie de jouir encore me troubla et je la chevauchai avec ardeur. Je me sentis partir et mon foutre lui remplit le ventre, provoquant chez elle un raz de marée qui la submergea à nouveau. Nous restâmes un long moment ainsi imbriqués, sous le regard bienveillant d'Alex.
Puis le sommeil nous surprit tous les trois, et ma femme passa la nuit avec son mari et son petit ami et amant. Au petit matin du lundi suivant, je dus quitter très tôt le lit conjugal pour aller travailler. Je laissai les deux tourtereaux assoupis, Alex toujours nu et Maria avec juste une petite culotte pour ne pas salir les draps. Je ne retrouvai ma petite femme qu'en fin d'après-midi, seule mais bien moins détendue que je ne l'aurais cru après s'être repue de sexe. Je lui demandai :
- Tu as de la peine parce qu'Alex est parti.
- Non, pas du tout.
- Alors, qu'est-ce qui t'arrive ?
- J'ai fait une bêtise et j'ai failli le payer très cher.
- Raconte !
- En fait, on m'a agressée à la gare.
- C'est vrai ?
- Il s'en est fallu d'un rien que je me fasse violer.
- A la gare ?
- Dans les toilettes, mais c'est de ma faute.
- Et pourquoi ?
- Tu veux que je te raconte ?
- Si tu veux.
- Mais d'abord, promets-moi de ne pas te fâcher.
- D'accord.
- Bon, je commence par le début. Quand tu es parti, tu nous as laissés au lit Alex et moi. Il devait être fatigué par notre nuit mais je me suis levée pour prendre le petit déjeuner et faire ma toilette. Après, je suis retournée le rejoindre au lit parce que j'avais envie de faire l'amour. Je l'ai sucé tout doucement et il s'est réveillé avec une belle érection. Mais il ne m'a pas donné ce que je voulais. En fait il a tellement insisté pour me prendre par derrière que je l'ai laissé me sodomiser et j'ai du me masturber après. Puis on s'est habillés et on a filé à la gare. On est arrivé juste au moment où ils annonçaient un retard de vingt minutes. Alex a prétexté un besoin et il est rentré dans les toilettes pour hommes. Je l'attendais sagement à la porte quand il m'a appelée en me disant qu'il n'y avait personne et que je pouvais rentrer. A peine j'avais passé la porte, il m'a poussée dans un cabinet et a mis le verrou en disant qu'on n'avait pas de temps à perdre. Il ne fallait pas chercher longtemps pour deviner ce qu'il voulait faire.
- Te sauter une dernière fois avant de partir ?
- Exactement et la vérité c'est que j'en avais encore plus envie que lui.
- Alors vous avez baisé dans les toilettes ?
- Comme des bêtes ! On s'est embrassé et il a déboutonné le haut de ma robe. Moi j'étais tellement excitée que j'ai eu du mal à sortir sa bite. Il a juste écarté ma culotte sans l'enlever et il m'a prise debout contre la porte. J'ai joui comme une folle presque tout de suite. Après mon orgasme, il a ressorti son sexe et il m'a demandé de me baisser pour décharger dans ma bouche. Lui non plus n'a pas tardé à jouir et je n'ai pas eu à le pomper beaucoup. Il avait juste fini d'éjaculer quand la porte s'est ouverte. Un grand type s'est vaguement excusé mais il n'était pas pressé de refermer la porte. Tu peux imaginer le tableau qu'on faisait Alex et moi. Après il a remonté son pantalon et est sorti tout de suite. Je suis restée quelques minutes de plus et je suis sortie du cabinet à mon tour. Le type qui m'avait vue avec Alex était là avec un autre homme, un arabe celui-là.
- Ils t'attendaient ?
- Plutôt, oui. Ils m'ont d'abord demandé si je savais que c'était des toilettes pour hommes. Je me suis excusée en essayant de sortir, mais ils m'ont coincée. Alors le grand m'a dit que j'allais leur faire la même chose qu'à mon petit copain. Comme il était derrière moi, il m'a prise par les seins en me coinçant les bras et en m'empêchant de bouger. Son copain l'arabe a commencé à déboutonner le bas de ma robe. Il était étrangement calme et prenait tout son temps. Puis il a baissé ma culotte et l'a complètement enlevée. Après il a commencé à me caresser le sexe tandis que son copain me pelotait les seins sans que je puisse les en empêcher. Ils ont discuté pour savoir lequel des deux allait me baiser le premier et l'arabe a sorti sa queue pour me la mettre. Je l'ai sentie toute raide sur ma fente mais heureusement qu'il n'a pas trouvé le trou tout de suite. C'est au moment où j'ai senti le gland me pénétrer que deux employés de la gare sont entrés. Ils ont tout de suite vu que je n'étais pas vraiment consentante et ont commencé à se disputer avec les deux salauds. Moi j'ai profité de la bousculade pour m'enfuir sans demander mon reste et j'ai couru jusqu'à la maison. Quand j'ai refermé la porte, je me suis regardée dans la glace et j'ai vu que ma robe était complètement ouverte en haut et en bas.
- Alors, tu as couru la touffe au vent ?
- La touffe au vent et les seins qui devaient sortir de la robe à chaque mouvement.
- Tu as fait le spectacle.
- J'espère qu'aucun voisin ne m'a vue nue dans la rue, j'aurais trop honte.
- Ne te plains pas, c'est moins grave que si les deux types t'avaient violée.
- Je ne sais pas comment je serais en ce moment. Si tu savais comme j'ai eu peur !
- J'espère que cela te servira de leçon.
Quelques mois de basse saison s'écoulèrent, durant lesquels je fus seul, du moins je le pensais, à jouir des charmes de la belle. Bien qu'il n'ait pas fait particulièrement froid cette année, Maria ne pouvait sortir cul nu comme à la belle saison et se devait de protéger sa petite chatte des morsures de l'hiver. Elle avait adopté des caleçons en lycra très moulants, portés à même la peau et sans sous-vêtements, qui mettaient en valeur ses formes féminines et suivaient particulièrement le sillon fessier. Parfois, suivant les positions ou les mouvements, le tissu s'incrustait dans la fente, ce qui avait pour effet de détailler et de séparer non seulement les lobes fessiers mais aussi les lèvres de son puits d'amour sans équivoque possible. Ce qui ne manquait pas de détourner de nombreux yeux concupiscents du droit chemin. Il n'y avait qu'à la maison où une température plus conviviale l'autorisait à se débarrasser de ses vêtements pour déambuler en déshabillé coquin. La belle enfant se faisait donc régulièrement réchauffer à grands coups d'injections annales ou vaginales, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Au lit, nous profitions aussi de cette pause dans nos nouvelles mœurs sexuelles pour évoquer nos exploits et faire le point. Les amants s’étaient succédés entre les cuisses de ma femme. Net déficit pour moi. Je pris conscience avec nostalgie que bien des choses avaient changé depuis que Philippe avait possédé ma femme. Je n’étais plus le seul à profiter de ses charmes et de ses talents, et devais désormais accepter comme une composante incontournable de notre relation de couple qu’elle avait besoin de relations sexuelles extra conjugales pour s’épanouir. Je n’étais pas spécialement aigri d’être cocu, mais rien n’était plus comme avant. Ma petite chérie parlait volontiers de ses amants, et si elle gardait une certaine affection pour Eric et pour Alex, elle décernait la palme du meilleur coup à Philippe. J’avais peur qu’il ne prenne pas seulement une grande place entre ses cuisses mais qu’il compte trop pour elle. Il avait été le premier, et bien qu'elle ne veuille pas l'avouer clairement, l'avait tellement bien baisée qu'elle avait eu une sorte de révélation : il lui avait donné l'envie de se servir pleinement de son corps et de son sexe pour satisfaire sa nature généreuse, et de connaître d'autres hommes. En fait, je pressentais que tôt ou tard, elle s'enverrait à nouveau en l'air avec lui, c'était dans l'ordre des choses. Elle en avait trop envie pour ne pas le faire. Quelque part, j’avais conscience qu’elle lui appartenait aussi.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J'aime cette progression et cette révélation de femme qui s'épanouit et se libère; non
pas de son mari mais de ses anciens blocages.
Sinon belle histoire dans la durée

Histoire Erotique
pas mal du tout,si je comprend bien,d autres aventures à suivre!?!welcom



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