8 - Piège à cocus
Récit érotique écrit par Monkypython [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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8 - Piège à cocus
Les jeux coquins de ma petite femme pimentaient notre vie sexuelle. Elle prenait maintenant le plus grand soin de son corps et de son apparence physique. Par exemple, elle fréquentait maintenant les instituts de beauté, se faisait masser, apprenait à se maquiller, à se coiffer chez les esthéticiennes. Dans le même temps, la nouvelle Maria renouvelait sa garde-robe, affichant sa volonté de provoquer et de séduire. Ses nouveaux vêtements et sous-vêtements étaient tous très sexy, et elle cherchait manifestement à susciter l'envie et le désir chez tous les hommes, moi y compris. Si elle voulait que les hommes se retournent sur son passage, c’était réussi. Sa dernière emplette avait été une robe noire à paillettes, très courte et qui moulait tous les contours de sa silhouette. De plus, elle la portait sans soutien-gorge, ses seins étaient mis en valeur en faisant pointer les bouts, ils donnaient l’impression qu’ils voulaient s'échapper par les cotés. Le généreux décolleté constitué de deux étroits triangles de tissu moulant maintenus par un petit cordon passant derrière le cou ne parvenait pas à cacher la moitié des seins heureusement petits, en laissant les épaules largement dénudées.
Mais cela n'était rien à coté de ce qui se passait en dessous de la ceinture, surtout si elle persistait à vouloir porter cette robe sans culotte. Elle lui arrivait tout juste au raz du minou, moulait les fesses rebondies et dessinait avec une troublante précision la raie du cul. Le vêtement était comme une deuxième peau sur cette partie intime. Il est vrai que bien des femmes portent ce genre de robe très sexy sans provoquer d'émeute, mais d'imaginer ma petite chérie se promenant dans la rue avec juste ce bout de chiffon sur son cul nu me rendait dingue. Elle le savait, la garce, elle admirait sa silhouette devant son miroir, se cambrait en mettant sa croupe en saillie en me demandant si cela lui faisait un gros cul. Je lui affirmai au contraire que son cul allait faire tourner toutes les têtes. En réalité, j'aurais pu dire qu’elle avait un gros cul de chienne en rut qui allait avoir tous les mâles après elle.
Je sortis donc ainsi un samedi matin, ma petite bombe au bras et nous croisâmes par hasard des connaissances. Roland, un garagiste qui fréquentait tous les midis le même restaurant que moi, me présenta son épouse Eliane et leur beau-frère Robert. Quant à moi, je leur présentai ma femme qu'ils saluèrent à leur tour. Ils insistèrent alors pour nous inviter prendre l'apéritif. Éliane et Roland logeaient non loin de là et nous firent entrer peu après dans leur bel appartement. Nous sommes allés nous installer au salon, dans des fauteuils si profonds que Maria perdit l'équilibre en s'asseyant et tomba dedans à la renverse les quatre fers en l'air sous quatre paires d’yeux qui avaient tous convergés vers le même point. Cette allumeuse n’avait pas de culotte, elle venait de nous dévoiler pendant quelques secondes son anatomie la plus intime. Personne ne fit de commentaires, personne n'avait rien perdu de la scène, on s'était bien rincé l'œil.
Nous prîmes donc l'apéritif et quand Eliane apprit que je réparais des volets, voulut me montrer à tout prix les siens pour les automatiser. Maria, Roland et Robert préférèrent rester au salon tandis que j'accompagnais notre hôtesse. Nous passâmes donc en revue toutes les pièces et je vis que l'appartement était immense, ce qui fait que notre visite dura un bon moment. Puis nous arrivâmes à leur chambre à coucher Eliane me laissa d'abord voir la fermeture par moi-même, puis s'assit sur le bord du lit pour m'expliquer ce qu'elle voulait.
C'était une belle femme, plus grande que moi, un peu plus âgée et plus forte que Maria, mais bien séduisante. Elle portait aussi une robe courte qui ne manqua pas de dévoiler très vite le haut des cuisses. Elle vit que je cherchais à détourner les yeux sans le vouloir vraiment, et me fit un large sourire. Elle ne tenait pas ses genoux serrés et dévoilait le triangle blanc de sa culotte tandis qu'elle parlait.
Elle me proposa de prendre place à coté d'elle pour continuer à discuter commodément et quand je fus installé, recula pour s'allonger sur le coté, appuyée sur une main. Dans son mouvement, elle écarta délibérément les cuisses assez largement pour me laisser me rendre compte de la quasi-transparence du sous-vêtement. Elle me sourit, une jambe repliée sous elle, et l'autre prenant appui sur son pied. Elle ne fit rien pour rabattre sa robe remontée presque à la ceinture. Je dus rougir en la voyant si décidée à ne rien me cacher de ses dessous car elle se moqua de moi :
- C'est moi qui te mets mal à l'aise ?
- Un peu, oui
- Et moi qui voudrais tant que tu te sentes le mieux possible avec moi. Je ne te plais pas ?
- Bien sûr que si, la question n'est là. Mais nous sommes mariés tous les deux et nos conjoints sont à coté.
- Ce n'est pas grave. Crois-moi, Roland et Robert doivent être en train de roucouler autour de ta jolie petite colombe qui ne doit pas détester qu'on lui fasse la cour.
Après s'être relevée, elle vint contre moi, passa ses bras autour de mon cou et m'embrassa longuement sur la bouche en enroulant sa langue autour de la mienne dès que j’entrouvris les lèvres. Elle écarta un peu son ventre collé contre moi pour passer la main et atteindre la bosse sur mon pantalon. Elle me caressa à travers le tissu en me mordillant l'oreille et chuchota :
- Tu me baiseras la prochaine fois.
J'essayai de reprendre contenance en rejoignant ceux qui étaient restés au salon. Quand je rentrai dans la pièce, je trouvai Maria seule, debout contre la fenêtre, le visage fermé, tandis que les deux hommes bavardaient de leur coté en sirotant un verre. A peine me vit-elle qu'elle se saisit de son sac et que nous prîmes congé précipitamment.
Une fois dans la voiture, je m'étonnai :
- Je peux savoir pourquoi on est parti si vite ?
- Pourquoi as-tu tant tardé à revenir ? Tu étais si bien que ça avec Eliane ?
- Elle a voulu me montrer tous les volets et l'appartement est très grand.
- Je suis sûre que cette garce a tout fait pour te retenir exprès le plus longtemps possible. Elle savait ce qui allait se passer.
- Mais que s'est-il passé au juste ?
- Ces deux salauds ont essayé de me violer, voilà.
- Quoi ?
- Tu as bien entendu. Et quand je dis essayer, je devrais dire qu’ils ont réussi. En tout cas, Robert, lui, m'a bel et bien sautée. J'ai la sensation d'avoir encore sa sale bite entre mes cuisses.
- Il t’a pénétrée ?
- Quelle question ! Tu veux sentir son sperme ? J'en ai plein le ventre.
- Merde ! Et qu'est ce qu'on peut faire maintenant ?
- Qu'est ce que tu veux faire ? Aller lui casser la gueule ? Ca ne servira à rien d'autre que d'attirer des ennuis.
- Et comment cela s'est-il passé ?
- Dès que tu es parti avec leur complice, ils sont venus s'asseoir de chaque coté de moi sur le sofa. Ils ont commencé à me dire que j'étais très jolie, très séduisante, et que ma robe m'allait très bien, qu'elle mettait mon corps en valeur, surtout mes belles cuisses. Après ils m'ont demandé si je portais une petite culotte noire ou si c'était ma touffe de brune qu'ils avaient vue. L'un disait que j'avais une culotte et l'autre affirmait que je n'en avais pas. Ils finirent par dire que pour lever le doute, il n'y avait qu'une solution, c'était de leur montrer. J'ai refusé en croyant d'abord que c'était une plaisanterie. Mais ils n'ont pas arrêté d'insister lourdement. Après ils ont commencé à promener les mains sur moi et je me suis levée pour aller de l'autre coté du sofa. Robert m'a suivie et m'a bloquée contre le dossier puis sans attendre m'a envoyé une main entre les cuisses pour attraper ma motte. J'essayais d'empêcher Roland de relever ma robe quand il m'a tirée par les bras vers l'arrière. Je me suis retrouvée déséquilibrée, avec les pieds touchant à peine par terre, le dos arque bouté sur le dossier du sofa. Robert en profita pour me remonter la robe jusqu'à la ceinture et pour me tripoter, en commentant à son compère l'état de ma chatte trempée. Il m'a dit que je ne les avais pas provoqués pour rien et qu'il avait un beau cadeau pour moi : je l'ai vu défaire son pantalon et sortir sa queue. Je me suis débattue plus fort en criant que je ne voulais pas mais Roland m'a tirée encore plus en arrière et Robert n'a eu aucun mal à m'écarter les jambes pour s'installer entre mes cuisses. Il m'a pénétrée d'un coup de toute la longueur de sa queue et a commencé ses mouvements de va-et-vient pour me baiser tandis que son beau-frère ricanait en me pelotant les nichons de sa main libre. Je l'entendais dire à Robert de se dépêcher pour qu'il profite aussi de mon trou avant ton retour. L'autre lui répondit qu'il avait rarement enfilé une femelle avec un con comme le mien. Puis comme j'ai compris que cela ne servait à rien de me débattre en vain, ils ont cru que je m'étais finalement soumise et qu'ils allaient me baiser avec mon consentement. Robert a demandé à son beau-frère de me relâcher et même de m'aider à reprendre une position plus confortable. En attendant que j'ai récupéré un peu de forces et retrouvé une position plus stable, j'ai du rester un bon moment immobile, les bras enlacés autour de Robert qui s'agitait entre mes cuisses qu'il maintenait relevées. Il n'a pas arrêté de faire coulisser son membre en moi sans que je n'oppose de résistance. Maintenant que j'y pense, c'est même étonnant qu'il n'ait pas déchargé avant tellement il m'a limée. Les deux compères me félicitaient d'être devenue raisonnable et gentille et me promettaient de me faire prendre mon pied. Puis Roland a dégagé le haut de ma robe pour me mettre les seins à l'air. Comme je l'ai regardé sans rien dire, il a cru que je voulais qu'il s'occupe aussi de moi. Il m'a pelotée en m'embrassant et en me suçant les tétons puis a cherché ma bouche. Je me suis alors tournée vers lui de tout mon corps comme pour chercher ses baisers et d'un coup de vrille violent, j'ai réussi à me dégager de lui et de Robert qui finissait de jouir dans mon ventre. J'ai couru vers la cheminée et je me suis emparée d'un tisonnier pour les menacer. Mais ils sont restés sous l'effet de la surprise, ridicules, l'un avec les bras encore tendus et l'autre avec la queue toute raide et poisseuse de sperme. Robert était furieux, il m'a promis qu'un jour il me baiserait tellement qu'il en aurait mal à la bite, mais ils n'ont pas insisté. Après, j'ai pu me rhabiller et tu es enfin arrivé.
Nous décidâmes d'en rester là. J'étais furieux d'être encore une fois cocu, et plus encore de la manière dont ma femme avait été baisée : je m'en voulais terriblement. Je n'osais même pas parler des avances si précises d'Eliane. Pour se remonter un peu le moral et changer d'horizon, Maria partit passer deux semaines chez ses parents. Comme un fait exprès, Eliane m'appela quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous chez elle. Elle me fit entrer au salon, habillée d'un joli tailleur noir très chic. Après les banalités d'usage, elle vint s'asseoir sur le large accoudoir de mon fauteuil.
L'ambiance, la sensualité de cette femme, et l'espace qui s'ouvrait entre les deux genoux ronds me poussèrent à poser ma main sur une cuisse à la frontière de la jupe. Eliane devait attendre que je fasse le premier pas et m'encouragea à poursuivre sa conquête en m'embrassant à pleine bouche avec fougue. Ma main eut tôt fait d'atteindre la petite culotte que je franchis allègrement pour remonter une fente large et chaude, me frayer un passage dans une toison drue et plonger au cœur d'une féminité torride. La dame ne fut pas en reste. Elle avait déjà défait mon pantalon et s'était emparée de mon sexe raide qu'elle tenait bien en main, faisant preuve d'une belle compétence. Ainsi saisi, je tirai la culotte vers le bas avec l'aide d'Eliane qui ne cessait de m'embrasser avidement. Enfin déculottée, elle tendit le bras vers la petite table et se saisit d'un préservatif qu'elle mit sur mon sexe qu'elle n'avait pas lâché, puis se laissa tomber sur le sol en m'entraînant sur elle. Quelques secondes plus tard, nos sexes étaient imbriqués l'un dans l'autre, et je la pris sur le tapis du salon.
Après un bref passage par la salle de bain, Eliane apparut dans une nuisette très courte et totalement transparente, ce qui mettait en valeur ses gros seins et sa touffe noire. Elle me conduisit dans sa chambre à coucher où nous passâmes deux bonnes heures au lit. Il m'est impossible de dire exactement ce que nous avons fait ; Eliane se comportait comme une vrai machine sexuelle : elle pratiquait la fellation, la sodomie, et tous les arts sexuels avec l'expérience d'une professionnelle zélée ; par ailleurs, elle savait comment redonner à un membre exténué une nouvelle vigueur pour participer à d'autres jeux. Ce fut un moment mémorable d'où je sortis complètement vidé. Je la regardais en m’habillant, elle était assise sur le vide, toujours dans son voile transparent, incroyablement impudique et provocante, ses seins tendaient le voile, ses mamelons le perçaient, et rien n’arrêtait le regard entre ses cuisses ouvertes. Quelqu’un frappa à la porte, les cuisses se refermèrent pudiquement quoique fort lentement et pas complètement non plus, et un adolescent entra puis s’excusa :
- Excuse-moi, Eliane, je croyais que tu étais seule.
- Non, tu vois bien, notre ami Bernard est venu me faire un petit coucou.
- Ah, d’accord, je reviendrais plus tard.
- Je descends dans dix minutes.
Durant toute la conversation, Eliane n’avait pas bougé, pas tenté de cacher quoi que ce soit au regard du jeune homme, il n’avait pas quitté des yeux la chatte nue. Je m’étonnai :
- C’est gênant comme situation.
- Ne t’inquiète pas, il a l’habitude, il sait que j’ai des aventures et que son père est d’accord.
- C’est le fils de Roland ?
- Mon beau-fils oui. C’est un gentil garçon, un peu timide.
- Il t’a bien regardée tu sais.
- Je sais bien, ce n’est pas la première fois qu’il voit ma chatte. Comme ça, il sait comment est faite une femme.
- Tu crois que c’est bien ?
- Sûrement que c’est bien qu’il s’intéresse au sexe des femmes, c’est de son âge. Je crois qu’en ce moment il doit se masturber en rêvant de moi.
- Tu n’as pas peur qu’il veuille aller plus loin ?
- Il veut aller plus loin, il me l’a dit.
- Tu vois, j’ai raison.
- Il y a six mois, j’étais assise en chemise de nuit, il est passé derrière moi, il m’a massé la nuque et il a commencé par m’embrasser dans le cou.
- Et tu l’as laissé faire ?
- Il était touchant, je l’ai laissé jouer avec mes seins.
- Tu es folle, il est très jeune.
- C’est ce que je lui ai dit. Je lui ai demandé de ne pas me toucher avant ses quinze ans.
- Tu joues avec le feu.
- Ce n’est pas un jeu, c’est l’école de la vie.
- Et tu veux être la maîtresse d’école ?
- Je vais le dépuceler pour son anniversaire.
- Et son père ?
- On en a parlé, il est d’accord.
- De mieux en mieux.
- Avec moi le gamin connaîtra une vraie femme, je suis sûre que je vais bien le déniaiser, l’éduquer.
- Il a de la chance ce jeune.
- Il va avoir une femme expérimentée pour le guider dans sa vie sexuelle.
- Il va baiser sa belle-mère oui.
- Je suis sa belle-mère et il va me baiser dans deux mois. Et alors ? Tu peux penser ce que tu veux, je m’en fiche.
- De toutes façons, ça ne me regarde pas.
Au moment de repartir, elle me demanda si notre petite aventure m'avait plu et si j'allais le dire à ma femme ; je lui répondis que j'avais passé un très bon moment avec elle et que Maria saurait bientôt tout. Elle espéra que je n'ai pas de regrets, elle m’assura que le jour prochain où ma femme me rendrait la monnaie de ma pièce, elle saurait me consoler et me faire oublier les débordements d’une femme en colère, et on se quitta.
Je savais bien que j’avais fait une grosse connerie, et je savais aussi que c’en était une autre que d’avouer ma faute. Comme je l'avais craint, Maria explosa de colère dès qu'elle apprit mon incartade :
- Salaud, tu ne vaux pas mieux que ceux qui ont abusé de moi, pas mieux qu’un salopard de violeur.
- Quand même…
- C’est comme ça que tu me consoles ?
- Je me suis fait piéger.
- Elle ne t’a pas violé, toi, tu l’as fait de ton plein gré. Puisque c’est comme ça, la prochaine fois que je verrais Roland, je serais consentante, il va pouvoir me sauter tranquillement, il n'aura pas besoin de me forcer lui non plus.
- Tu ne vas pas coucher avec lui ?
- Je vais me gêner, tiens ! A la première occasion qui se présentera, je lui demanderais de me passer dessus.
- Tu es sérieuse ?
- Tu le sais, la première fois que je t’ai trompé, je l’ai fait avec Philippe pour me venger, je croyais que ça ne te servirait de leçon, mais non, Monsieur recommence. Tant pis pour toi, je vais refaire la même chose avec le mari de cette putain d'Eliane. Et je vais faire même pire, je vais être encore plus salope avec Roland qu’avec Philippe, et tu l’auras bien cherché.
Fatalement, on se revit un samedi matin dans un petit bar du Vieux Port. Ma femme alla directement s'asseoir à coté de Roland tandis que je m'installai à coté d'Eliane qui arborait un petite sourire moqueur comme si elle savait déjà ce qui se passait dans la tête de mon épouse qui se montrait des plus avenante avec Roland, elle proposa de passer la soirée ensemble. Eliane objecta qu'ils participaient ce soir à une sortie dans une boîte un peu spéciale et quand Maria demanda si on pouvait les accompagner, avoua avec une fausse pudeur qu'ils fréquentaient une boîte échangiste où nous pouvions venir si vraiment on le voulait, nous serions les bienvenus, mais ils nous faudrait participer à tous leurs jeux, avoir des rapports sexuels avec d’autres partenaires, en bref, entrer dans le monde du libertinage en toute connaissance de cause. Je déclinai la proposition mais mon épouse insista, en disant que puisque les hommes appréciaient seulement les femmes très cochonnes, elle ne pourrait savoir si elle était à la hauteur qu’en essayant de l’être, ce sera une belle occasion pour goûter à des plaisirs inconnus. Quand Eliane voulut l'avertir de ce qui se passait dans ce genre d'endroit, Maria se buta en disant qu'elle n'était pas idiote et que de toute façon elle comptait sur Roland pour la chaperonner. Elle ajouta perfidement qu’un peu de libertinage ne pourrait lui faire que du bien.
Quand tout fut dit, nous convînmes d'un rendez-vous pour vingt et une heures. Je m'absentais un moment pour un gros besoin naturel, ce qui me prit un certain temps à cause d’un consommateur qui devait être constipé et qui squattait les toilettes. Je laissais donc ma femme seule avec le couple libertin un bon moment, nos amis partirent quelques instants après mon retour à la table. Je demandai à ma femme :
- Tu sais ce que tu fais, je suppose ? Tu sais aussi que Roland ne pense qu'à te sauter.
Alors, elle partit à rire et déclara :
- Mais tout le monde le sait, je le sais, Eliane le sait, Roland le sait, et même le patron du bar le sait, et non seulement que Roland veut me sauter, mais en plus que c'est ce que je cherche.
- Comment ça, le patron du bar ?
- Dès ton départ de table, Roland m'a embrassée et m'a peloté la chatte et les nichons ; il me les a même déballés pour me sucer les bouts, il a relevé ma robe en me faisant écarter les cuisses pour tripoter ma moule devant tout le monde.
- Je ne te crois pas.
- Demande au patron du bar si ce n’est pas vrai. Je me suis assise sur ses genoux les nichons à l’air, Roland m’a doigtée, branlée, et comme je n'ai pas de culotte, le patron et les autres clients se sont bien rincé l'œil pendant que ta copine Eliane guettait ton retour.
- Tu es vraiment une vicieuse.
- Plus que ne tu crois.
- Tu aimes t’exhiber maintenant ?
- Pourquoi pas ?
- Je ne sais pas, ça ne te gêne pas que tout le monde voie ta chatte ?
- Au contraire, ça me plait. J’ai fait exprès de bien écarter les cuisses pour qu’on voie ma fente d’un bout à l’autre.
- Tu veux qu’on te considère comme un trou à bites ?
- Pourquoi pas, c’est ce que je suis, non ? J’ai dit assez fort pour que tous les voyeurs du bar puissent l’entendre que je mouillais, que j’avais envie d’une grosse queue, qu’il pouvait me la fourrer où il voulait et quand il voulait, même là tout de suite avant que mon mari revienne.
- Tu as dit cela ?
- A haute voix, fort et clair je te dis.
- Et tu l’aurais fait ? Devant tout le monde ?
- Il aurait pu me sauter sur la banquette devant les habitués du bar s’il avait voulu. Ah, ceux-là, ça les a sortis de leur train-train, ce n’est pas tous les jours qu’ils ont une fille qui fait le spectacle à domicile, ils n’en ont pas loupé une seconde, ils se sont même agglutinés autour de moi comme des mouches. Ils auraient bien voulu que je me fasse sauter devant eux, ils ont du être déçus quand Roland a dit qu’il préférait patienter jusqu’à ce soir pour me baiser comme je le mérite. Il m’a dit que je ne perdais rien pour attendre.
- Tu es folle.
- Même en ta présence, il avait glissé une main entre mes cuisses pour me tripoter sous la table. Il s’amusait même à me pincer et à m’asticoter le clitoris à chaque fois que je parlais.
- Tu t’es laissée faire ?
- Ça m’a bien plu. Tu ne t’es aperçu de rien ?
- Non, j’aurais du ?
- Je n’étais pas très discrète, et Roland non plus. A part toi, tout le monde a vu le manège sous la table.
- Tu es contente de toi ?
- Pour moi, tout est parfait.
- Alors je n'aie plus rien à ajouter, puisque tu es une grande fille qui sait ce qu’elle veut ; tout le monde sait à quoi s'en tenir.
Mais cela n'était rien à coté de ce qui se passait en dessous de la ceinture, surtout si elle persistait à vouloir porter cette robe sans culotte. Elle lui arrivait tout juste au raz du minou, moulait les fesses rebondies et dessinait avec une troublante précision la raie du cul. Le vêtement était comme une deuxième peau sur cette partie intime. Il est vrai que bien des femmes portent ce genre de robe très sexy sans provoquer d'émeute, mais d'imaginer ma petite chérie se promenant dans la rue avec juste ce bout de chiffon sur son cul nu me rendait dingue. Elle le savait, la garce, elle admirait sa silhouette devant son miroir, se cambrait en mettant sa croupe en saillie en me demandant si cela lui faisait un gros cul. Je lui affirmai au contraire que son cul allait faire tourner toutes les têtes. En réalité, j'aurais pu dire qu’elle avait un gros cul de chienne en rut qui allait avoir tous les mâles après elle.
Je sortis donc ainsi un samedi matin, ma petite bombe au bras et nous croisâmes par hasard des connaissances. Roland, un garagiste qui fréquentait tous les midis le même restaurant que moi, me présenta son épouse Eliane et leur beau-frère Robert. Quant à moi, je leur présentai ma femme qu'ils saluèrent à leur tour. Ils insistèrent alors pour nous inviter prendre l'apéritif. Éliane et Roland logeaient non loin de là et nous firent entrer peu après dans leur bel appartement. Nous sommes allés nous installer au salon, dans des fauteuils si profonds que Maria perdit l'équilibre en s'asseyant et tomba dedans à la renverse les quatre fers en l'air sous quatre paires d’yeux qui avaient tous convergés vers le même point. Cette allumeuse n’avait pas de culotte, elle venait de nous dévoiler pendant quelques secondes son anatomie la plus intime. Personne ne fit de commentaires, personne n'avait rien perdu de la scène, on s'était bien rincé l'œil.
Nous prîmes donc l'apéritif et quand Eliane apprit que je réparais des volets, voulut me montrer à tout prix les siens pour les automatiser. Maria, Roland et Robert préférèrent rester au salon tandis que j'accompagnais notre hôtesse. Nous passâmes donc en revue toutes les pièces et je vis que l'appartement était immense, ce qui fait que notre visite dura un bon moment. Puis nous arrivâmes à leur chambre à coucher Eliane me laissa d'abord voir la fermeture par moi-même, puis s'assit sur le bord du lit pour m'expliquer ce qu'elle voulait.
C'était une belle femme, plus grande que moi, un peu plus âgée et plus forte que Maria, mais bien séduisante. Elle portait aussi une robe courte qui ne manqua pas de dévoiler très vite le haut des cuisses. Elle vit que je cherchais à détourner les yeux sans le vouloir vraiment, et me fit un large sourire. Elle ne tenait pas ses genoux serrés et dévoilait le triangle blanc de sa culotte tandis qu'elle parlait.
Elle me proposa de prendre place à coté d'elle pour continuer à discuter commodément et quand je fus installé, recula pour s'allonger sur le coté, appuyée sur une main. Dans son mouvement, elle écarta délibérément les cuisses assez largement pour me laisser me rendre compte de la quasi-transparence du sous-vêtement. Elle me sourit, une jambe repliée sous elle, et l'autre prenant appui sur son pied. Elle ne fit rien pour rabattre sa robe remontée presque à la ceinture. Je dus rougir en la voyant si décidée à ne rien me cacher de ses dessous car elle se moqua de moi :
- C'est moi qui te mets mal à l'aise ?
- Un peu, oui
- Et moi qui voudrais tant que tu te sentes le mieux possible avec moi. Je ne te plais pas ?
- Bien sûr que si, la question n'est là. Mais nous sommes mariés tous les deux et nos conjoints sont à coté.
- Ce n'est pas grave. Crois-moi, Roland et Robert doivent être en train de roucouler autour de ta jolie petite colombe qui ne doit pas détester qu'on lui fasse la cour.
Après s'être relevée, elle vint contre moi, passa ses bras autour de mon cou et m'embrassa longuement sur la bouche en enroulant sa langue autour de la mienne dès que j’entrouvris les lèvres. Elle écarta un peu son ventre collé contre moi pour passer la main et atteindre la bosse sur mon pantalon. Elle me caressa à travers le tissu en me mordillant l'oreille et chuchota :
- Tu me baiseras la prochaine fois.
J'essayai de reprendre contenance en rejoignant ceux qui étaient restés au salon. Quand je rentrai dans la pièce, je trouvai Maria seule, debout contre la fenêtre, le visage fermé, tandis que les deux hommes bavardaient de leur coté en sirotant un verre. A peine me vit-elle qu'elle se saisit de son sac et que nous prîmes congé précipitamment.
Une fois dans la voiture, je m'étonnai :
- Je peux savoir pourquoi on est parti si vite ?
- Pourquoi as-tu tant tardé à revenir ? Tu étais si bien que ça avec Eliane ?
- Elle a voulu me montrer tous les volets et l'appartement est très grand.
- Je suis sûre que cette garce a tout fait pour te retenir exprès le plus longtemps possible. Elle savait ce qui allait se passer.
- Mais que s'est-il passé au juste ?
- Ces deux salauds ont essayé de me violer, voilà.
- Quoi ?
- Tu as bien entendu. Et quand je dis essayer, je devrais dire qu’ils ont réussi. En tout cas, Robert, lui, m'a bel et bien sautée. J'ai la sensation d'avoir encore sa sale bite entre mes cuisses.
- Il t’a pénétrée ?
- Quelle question ! Tu veux sentir son sperme ? J'en ai plein le ventre.
- Merde ! Et qu'est ce qu'on peut faire maintenant ?
- Qu'est ce que tu veux faire ? Aller lui casser la gueule ? Ca ne servira à rien d'autre que d'attirer des ennuis.
- Et comment cela s'est-il passé ?
- Dès que tu es parti avec leur complice, ils sont venus s'asseoir de chaque coté de moi sur le sofa. Ils ont commencé à me dire que j'étais très jolie, très séduisante, et que ma robe m'allait très bien, qu'elle mettait mon corps en valeur, surtout mes belles cuisses. Après ils m'ont demandé si je portais une petite culotte noire ou si c'était ma touffe de brune qu'ils avaient vue. L'un disait que j'avais une culotte et l'autre affirmait que je n'en avais pas. Ils finirent par dire que pour lever le doute, il n'y avait qu'une solution, c'était de leur montrer. J'ai refusé en croyant d'abord que c'était une plaisanterie. Mais ils n'ont pas arrêté d'insister lourdement. Après ils ont commencé à promener les mains sur moi et je me suis levée pour aller de l'autre coté du sofa. Robert m'a suivie et m'a bloquée contre le dossier puis sans attendre m'a envoyé une main entre les cuisses pour attraper ma motte. J'essayais d'empêcher Roland de relever ma robe quand il m'a tirée par les bras vers l'arrière. Je me suis retrouvée déséquilibrée, avec les pieds touchant à peine par terre, le dos arque bouté sur le dossier du sofa. Robert en profita pour me remonter la robe jusqu'à la ceinture et pour me tripoter, en commentant à son compère l'état de ma chatte trempée. Il m'a dit que je ne les avais pas provoqués pour rien et qu'il avait un beau cadeau pour moi : je l'ai vu défaire son pantalon et sortir sa queue. Je me suis débattue plus fort en criant que je ne voulais pas mais Roland m'a tirée encore plus en arrière et Robert n'a eu aucun mal à m'écarter les jambes pour s'installer entre mes cuisses. Il m'a pénétrée d'un coup de toute la longueur de sa queue et a commencé ses mouvements de va-et-vient pour me baiser tandis que son beau-frère ricanait en me pelotant les nichons de sa main libre. Je l'entendais dire à Robert de se dépêcher pour qu'il profite aussi de mon trou avant ton retour. L'autre lui répondit qu'il avait rarement enfilé une femelle avec un con comme le mien. Puis comme j'ai compris que cela ne servait à rien de me débattre en vain, ils ont cru que je m'étais finalement soumise et qu'ils allaient me baiser avec mon consentement. Robert a demandé à son beau-frère de me relâcher et même de m'aider à reprendre une position plus confortable. En attendant que j'ai récupéré un peu de forces et retrouvé une position plus stable, j'ai du rester un bon moment immobile, les bras enlacés autour de Robert qui s'agitait entre mes cuisses qu'il maintenait relevées. Il n'a pas arrêté de faire coulisser son membre en moi sans que je n'oppose de résistance. Maintenant que j'y pense, c'est même étonnant qu'il n'ait pas déchargé avant tellement il m'a limée. Les deux compères me félicitaient d'être devenue raisonnable et gentille et me promettaient de me faire prendre mon pied. Puis Roland a dégagé le haut de ma robe pour me mettre les seins à l'air. Comme je l'ai regardé sans rien dire, il a cru que je voulais qu'il s'occupe aussi de moi. Il m'a pelotée en m'embrassant et en me suçant les tétons puis a cherché ma bouche. Je me suis alors tournée vers lui de tout mon corps comme pour chercher ses baisers et d'un coup de vrille violent, j'ai réussi à me dégager de lui et de Robert qui finissait de jouir dans mon ventre. J'ai couru vers la cheminée et je me suis emparée d'un tisonnier pour les menacer. Mais ils sont restés sous l'effet de la surprise, ridicules, l'un avec les bras encore tendus et l'autre avec la queue toute raide et poisseuse de sperme. Robert était furieux, il m'a promis qu'un jour il me baiserait tellement qu'il en aurait mal à la bite, mais ils n'ont pas insisté. Après, j'ai pu me rhabiller et tu es enfin arrivé.
Nous décidâmes d'en rester là. J'étais furieux d'être encore une fois cocu, et plus encore de la manière dont ma femme avait été baisée : je m'en voulais terriblement. Je n'osais même pas parler des avances si précises d'Eliane. Pour se remonter un peu le moral et changer d'horizon, Maria partit passer deux semaines chez ses parents. Comme un fait exprès, Eliane m'appela quelques jours plus tard pour me donner rendez-vous chez elle. Elle me fit entrer au salon, habillée d'un joli tailleur noir très chic. Après les banalités d'usage, elle vint s'asseoir sur le large accoudoir de mon fauteuil.
L'ambiance, la sensualité de cette femme, et l'espace qui s'ouvrait entre les deux genoux ronds me poussèrent à poser ma main sur une cuisse à la frontière de la jupe. Eliane devait attendre que je fasse le premier pas et m'encouragea à poursuivre sa conquête en m'embrassant à pleine bouche avec fougue. Ma main eut tôt fait d'atteindre la petite culotte que je franchis allègrement pour remonter une fente large et chaude, me frayer un passage dans une toison drue et plonger au cœur d'une féminité torride. La dame ne fut pas en reste. Elle avait déjà défait mon pantalon et s'était emparée de mon sexe raide qu'elle tenait bien en main, faisant preuve d'une belle compétence. Ainsi saisi, je tirai la culotte vers le bas avec l'aide d'Eliane qui ne cessait de m'embrasser avidement. Enfin déculottée, elle tendit le bras vers la petite table et se saisit d'un préservatif qu'elle mit sur mon sexe qu'elle n'avait pas lâché, puis se laissa tomber sur le sol en m'entraînant sur elle. Quelques secondes plus tard, nos sexes étaient imbriqués l'un dans l'autre, et je la pris sur le tapis du salon.
Après un bref passage par la salle de bain, Eliane apparut dans une nuisette très courte et totalement transparente, ce qui mettait en valeur ses gros seins et sa touffe noire. Elle me conduisit dans sa chambre à coucher où nous passâmes deux bonnes heures au lit. Il m'est impossible de dire exactement ce que nous avons fait ; Eliane se comportait comme une vrai machine sexuelle : elle pratiquait la fellation, la sodomie, et tous les arts sexuels avec l'expérience d'une professionnelle zélée ; par ailleurs, elle savait comment redonner à un membre exténué une nouvelle vigueur pour participer à d'autres jeux. Ce fut un moment mémorable d'où je sortis complètement vidé. Je la regardais en m’habillant, elle était assise sur le vide, toujours dans son voile transparent, incroyablement impudique et provocante, ses seins tendaient le voile, ses mamelons le perçaient, et rien n’arrêtait le regard entre ses cuisses ouvertes. Quelqu’un frappa à la porte, les cuisses se refermèrent pudiquement quoique fort lentement et pas complètement non plus, et un adolescent entra puis s’excusa :
- Excuse-moi, Eliane, je croyais que tu étais seule.
- Non, tu vois bien, notre ami Bernard est venu me faire un petit coucou.
- Ah, d’accord, je reviendrais plus tard.
- Je descends dans dix minutes.
Durant toute la conversation, Eliane n’avait pas bougé, pas tenté de cacher quoi que ce soit au regard du jeune homme, il n’avait pas quitté des yeux la chatte nue. Je m’étonnai :
- C’est gênant comme situation.
- Ne t’inquiète pas, il a l’habitude, il sait que j’ai des aventures et que son père est d’accord.
- C’est le fils de Roland ?
- Mon beau-fils oui. C’est un gentil garçon, un peu timide.
- Il t’a bien regardée tu sais.
- Je sais bien, ce n’est pas la première fois qu’il voit ma chatte. Comme ça, il sait comment est faite une femme.
- Tu crois que c’est bien ?
- Sûrement que c’est bien qu’il s’intéresse au sexe des femmes, c’est de son âge. Je crois qu’en ce moment il doit se masturber en rêvant de moi.
- Tu n’as pas peur qu’il veuille aller plus loin ?
- Il veut aller plus loin, il me l’a dit.
- Tu vois, j’ai raison.
- Il y a six mois, j’étais assise en chemise de nuit, il est passé derrière moi, il m’a massé la nuque et il a commencé par m’embrasser dans le cou.
- Et tu l’as laissé faire ?
- Il était touchant, je l’ai laissé jouer avec mes seins.
- Tu es folle, il est très jeune.
- C’est ce que je lui ai dit. Je lui ai demandé de ne pas me toucher avant ses quinze ans.
- Tu joues avec le feu.
- Ce n’est pas un jeu, c’est l’école de la vie.
- Et tu veux être la maîtresse d’école ?
- Je vais le dépuceler pour son anniversaire.
- Et son père ?
- On en a parlé, il est d’accord.
- De mieux en mieux.
- Avec moi le gamin connaîtra une vraie femme, je suis sûre que je vais bien le déniaiser, l’éduquer.
- Il a de la chance ce jeune.
- Il va avoir une femme expérimentée pour le guider dans sa vie sexuelle.
- Il va baiser sa belle-mère oui.
- Je suis sa belle-mère et il va me baiser dans deux mois. Et alors ? Tu peux penser ce que tu veux, je m’en fiche.
- De toutes façons, ça ne me regarde pas.
Au moment de repartir, elle me demanda si notre petite aventure m'avait plu et si j'allais le dire à ma femme ; je lui répondis que j'avais passé un très bon moment avec elle et que Maria saurait bientôt tout. Elle espéra que je n'ai pas de regrets, elle m’assura que le jour prochain où ma femme me rendrait la monnaie de ma pièce, elle saurait me consoler et me faire oublier les débordements d’une femme en colère, et on se quitta.
Je savais bien que j’avais fait une grosse connerie, et je savais aussi que c’en était une autre que d’avouer ma faute. Comme je l'avais craint, Maria explosa de colère dès qu'elle apprit mon incartade :
- Salaud, tu ne vaux pas mieux que ceux qui ont abusé de moi, pas mieux qu’un salopard de violeur.
- Quand même…
- C’est comme ça que tu me consoles ?
- Je me suis fait piéger.
- Elle ne t’a pas violé, toi, tu l’as fait de ton plein gré. Puisque c’est comme ça, la prochaine fois que je verrais Roland, je serais consentante, il va pouvoir me sauter tranquillement, il n'aura pas besoin de me forcer lui non plus.
- Tu ne vas pas coucher avec lui ?
- Je vais me gêner, tiens ! A la première occasion qui se présentera, je lui demanderais de me passer dessus.
- Tu es sérieuse ?
- Tu le sais, la première fois que je t’ai trompé, je l’ai fait avec Philippe pour me venger, je croyais que ça ne te servirait de leçon, mais non, Monsieur recommence. Tant pis pour toi, je vais refaire la même chose avec le mari de cette putain d'Eliane. Et je vais faire même pire, je vais être encore plus salope avec Roland qu’avec Philippe, et tu l’auras bien cherché.
Fatalement, on se revit un samedi matin dans un petit bar du Vieux Port. Ma femme alla directement s'asseoir à coté de Roland tandis que je m'installai à coté d'Eliane qui arborait un petite sourire moqueur comme si elle savait déjà ce qui se passait dans la tête de mon épouse qui se montrait des plus avenante avec Roland, elle proposa de passer la soirée ensemble. Eliane objecta qu'ils participaient ce soir à une sortie dans une boîte un peu spéciale et quand Maria demanda si on pouvait les accompagner, avoua avec une fausse pudeur qu'ils fréquentaient une boîte échangiste où nous pouvions venir si vraiment on le voulait, nous serions les bienvenus, mais ils nous faudrait participer à tous leurs jeux, avoir des rapports sexuels avec d’autres partenaires, en bref, entrer dans le monde du libertinage en toute connaissance de cause. Je déclinai la proposition mais mon épouse insista, en disant que puisque les hommes appréciaient seulement les femmes très cochonnes, elle ne pourrait savoir si elle était à la hauteur qu’en essayant de l’être, ce sera une belle occasion pour goûter à des plaisirs inconnus. Quand Eliane voulut l'avertir de ce qui se passait dans ce genre d'endroit, Maria se buta en disant qu'elle n'était pas idiote et que de toute façon elle comptait sur Roland pour la chaperonner. Elle ajouta perfidement qu’un peu de libertinage ne pourrait lui faire que du bien.
Quand tout fut dit, nous convînmes d'un rendez-vous pour vingt et une heures. Je m'absentais un moment pour un gros besoin naturel, ce qui me prit un certain temps à cause d’un consommateur qui devait être constipé et qui squattait les toilettes. Je laissais donc ma femme seule avec le couple libertin un bon moment, nos amis partirent quelques instants après mon retour à la table. Je demandai à ma femme :
- Tu sais ce que tu fais, je suppose ? Tu sais aussi que Roland ne pense qu'à te sauter.
Alors, elle partit à rire et déclara :
- Mais tout le monde le sait, je le sais, Eliane le sait, Roland le sait, et même le patron du bar le sait, et non seulement que Roland veut me sauter, mais en plus que c'est ce que je cherche.
- Comment ça, le patron du bar ?
- Dès ton départ de table, Roland m'a embrassée et m'a peloté la chatte et les nichons ; il me les a même déballés pour me sucer les bouts, il a relevé ma robe en me faisant écarter les cuisses pour tripoter ma moule devant tout le monde.
- Je ne te crois pas.
- Demande au patron du bar si ce n’est pas vrai. Je me suis assise sur ses genoux les nichons à l’air, Roland m’a doigtée, branlée, et comme je n'ai pas de culotte, le patron et les autres clients se sont bien rincé l'œil pendant que ta copine Eliane guettait ton retour.
- Tu es vraiment une vicieuse.
- Plus que ne tu crois.
- Tu aimes t’exhiber maintenant ?
- Pourquoi pas ?
- Je ne sais pas, ça ne te gêne pas que tout le monde voie ta chatte ?
- Au contraire, ça me plait. J’ai fait exprès de bien écarter les cuisses pour qu’on voie ma fente d’un bout à l’autre.
- Tu veux qu’on te considère comme un trou à bites ?
- Pourquoi pas, c’est ce que je suis, non ? J’ai dit assez fort pour que tous les voyeurs du bar puissent l’entendre que je mouillais, que j’avais envie d’une grosse queue, qu’il pouvait me la fourrer où il voulait et quand il voulait, même là tout de suite avant que mon mari revienne.
- Tu as dit cela ?
- A haute voix, fort et clair je te dis.
- Et tu l’aurais fait ? Devant tout le monde ?
- Il aurait pu me sauter sur la banquette devant les habitués du bar s’il avait voulu. Ah, ceux-là, ça les a sortis de leur train-train, ce n’est pas tous les jours qu’ils ont une fille qui fait le spectacle à domicile, ils n’en ont pas loupé une seconde, ils se sont même agglutinés autour de moi comme des mouches. Ils auraient bien voulu que je me fasse sauter devant eux, ils ont du être déçus quand Roland a dit qu’il préférait patienter jusqu’à ce soir pour me baiser comme je le mérite. Il m’a dit que je ne perdais rien pour attendre.
- Tu es folle.
- Même en ta présence, il avait glissé une main entre mes cuisses pour me tripoter sous la table. Il s’amusait même à me pincer et à m’asticoter le clitoris à chaque fois que je parlais.
- Tu t’es laissée faire ?
- Ça m’a bien plu. Tu ne t’es aperçu de rien ?
- Non, j’aurais du ?
- Je n’étais pas très discrète, et Roland non plus. A part toi, tout le monde a vu le manège sous la table.
- Tu es contente de toi ?
- Pour moi, tout est parfait.
- Alors je n'aie plus rien à ajouter, puisque tu es une grande fille qui sait ce qu’elle veut ; tout le monde sait à quoi s'en tenir.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
extra cool vivement la suite que j'attendrais avec impatience
Vivement la suite :)
histoire supper cool :)