9 - Baisée de chez baisée.
Récit érotique écrit par Monkypython [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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9 - Baisée de chez baisée.
A l'heure dite, nous étions à notre rendez-vous. Après le vestiaire, une hôtesse nous fit passer au bar où nous attendaient nos prétendus amis. Ils se levèrent et Roland félicita ma femme pour sa beauté en lui assurant qu'elle allait faire un tabac. Je n'en doutais pas une seconde, car elle était vraiment belle et sexy ce soir, la garce. Elle portait sa fameuse robe noire sur des bas noirs également qui mettaient encore plus en valeur ses jambes. Elle s’était mise sur son trente et un pour d’autres, tous ces Don Juan de pacotille qui s’agglutinaient autour d’elle comme des mouches sur un pot de miel et qui allaient en profiter. Je n’avais pas vraiment envie de la laisser comme ça, si prête à tomber toute rôtie entre leurs sales pattes, c’était trop facile. Mais Eliane en avait décidé autrement, elle me prit par le bras pour m'éloigner et, prétexte tout trouvé, je n’était pas dupe, cocu mais lucide, pour me présenter à plusieurs de ses amies, tandis que Roland faisait admirer mon épouse déjà conquise à un groupe d'hommes qui la jaugeaient en connaisseurs. Ils y avaient là des gros, des vieux, des jeunes, des gens de type maghrébin, et tous semblaient apprécier ses charmes et ses rondeurs, tandis que Roland la tenait serrée par la taille, allant même jusqu'à palper les fesses de cette belle femelle qui ne demandait apparemment pas mieux. Puis ils allèrent s'installer à une table libre pour boire un verre et je les perdis de vue un bon moment. J’essayai malgré tout de surveiller ma chérie, mais je ne la voyais pas d’où j’étais, je voyais cependant un attroupement se former par moment autour de leur table, en majorité des hommes. La dernière vision que j'eus de ma femme ce soir-là fut quand je la vis gravir les marches d'un escalier discret qui menait à l'étage, suivie par Roland qui la poussait par les fesses en relevant volontairement la robe.
Juste à coté de moi, deux jeunes commentaient l'événement :
- Tu connais la femme qui monte avec Roland ?
- Non, mais j'aimerais bien. C'est un sacré morceau.
- Tu as raison, elle a tout ce qu'il faut pour satisfaire un mec et elle en a envie.
- Comment le sais-tu ?
- Tout à l'heure, elle était avec Roland à la table devant nous et grâce à lui on a pu voir ce qu'elle avait entre les cuisses.
- Tu as vu sa culotte ?
- Un peu plus, oui ! Roland la tripotait, et comme elle s'est crue dans le noir à l'abri des regards indiscrets, elle s'est laissée faire. Ce cochon l'a couchée en arrière sur la banquette pour l'embrasser et lui a fait ouvrir les cuisses, a relevé la robe et lui a caressé la chatte en écartant la culotte sur le coté. Dans cette position, elle ne voyait pas qu'un projecteur éclairait le tableau par intermittence et que Roland exhibait sa motte à tout le monde. Je peux te dire que c'est une belle plante brune avec une figue bien ouverte et luisante de mouille et qu'elle aimait quand l'autre lui fourrait les doigts dans la figue.
- Un beau spectacle alors ?
- Une belle cochonne oui, à un moment Roland nous a fait signe d’approcher, on s’est assis autour d’eux, Roland nous a fait une petite place et on a pu la caresser nous aussi.
- Et elle se laissait faire ?
- Ça lui a bien plu, on l’a caressée partout, moi je lui ai tripoté les nichons, la chatte, j’ai joué avec son clitoris, j’ai doigté sa chatte tant que j’ai voulu. Et je n’étais pas le seul, tout le monde en a profité.
- Merde, j’ai loupé ça.
- Dommage pour toi.
- Et maintenant il va lui fourrer autre chose à cette salope, c’est une grosse pute ou quoi !
- Non, je les ai entendus parler entre eux, et ils disaient qu’elle est mariée et du genre fidèle. Elle a suivi Roland ici uniquement pour se venger de son mari qui l'a trompée avec Eliane.
- Ah, d’accord, encore un coup tordu. A mon avis, ils ne vont pas s’emmerder avec celle là, tu verras, il n’y a pas que Roland qui va lui passer dessus.
- Son beau-frère a l’intention de se la faire, et ils parlaient d’en faire profiter leurs collègues de la boite.
- En tout cas, moi aussi je lui passerais bien dessus, mariée ou pas. Tu ne peux pas savoir comment j’ai envie de la baiser, surtout depuis que je l’ai doigtée et branlée. Elle a l’âge de ma mère, et ça me fait fantasmer.
Eliane revint et m'entraîna à l'étage par un autre escalier dérobé. Nous entrâmes dans une petite pièce éclairée par une faible lumière tamisée et meublée d'un grand lit rond et d'une petite commode sur laquelle étaient bien en vue une petite boîte de crème que je supposais lubrifiante et une grosse coupe pleine de préservatifs. Eliane se déshabilla de suite et garda seulement un soutien-gorge en dentelle noire qui semblait devoir éclater, un porte-jarretelles et des bas noirs, ce qui mettait en valeur son opulente poitrine et sa touffe brune. Elle m'enleva elle-même mon pantalon et mon slip et me poussa nu sur le lit ; en guise d'entrée en matière, elle me fit allonger sur le dos pour s'occuper de moi, commença par me branler et me sucer, puis me mit un préservatif avant de s'enfiler sur ma queue. En fait, cette femme était belle, et me faisait bander, mais j'étais mal à l'aise. Je ne pouvais m'empêcher de penser que Maria devait être en ce moment dans une pièce semblable et qu'un pervers profitait d'elle pour assouvir ses phantasmes et la dépraver, et par-dessus le marché à cause de moi.
Eliane se rendit compte de mon état et me questionna :
- A quoi penses-tu ?
- Je ne peux pas m'empêcher de penser à ma femme.
- Ne t'inquiète pas pour elle, personne ne lui fera de mal, bien au contraire. Il n'y a pas de sadiques ici, juste de bons baiseurs qui vont s'occuper d'elle.
- Je ne sais pas si elle est bien prête pour cela.
- Une faible femme peut laisser plusieurs hommes sur les rotules si elle le décide.
- Toi, tu peux, mais je ne sais pas pour elle
- Elle n'est en sucre candi, la petite chérie. Cette petite chatte doit être rodée maintenant. Un bon bain, et il n’y paraîtra plus. Ce qui est bien avec le cul et le sexe, c’est que ça ne s’use pas, au contraire.
- Elle n’est pas tant rodée que tu crois.
- Si tu l'avais vue écarter les cuisses ce matin au bar, tu aurais été surpris.
- Elle m'a dit que Roland l'avait caressée.
- Elle voulait lui faire une pipe ou se faire sauter sur la banquette, devant tout le monde.
- Devant tout le monde ?
- Si je te le dis ! Elle n'a pas peur du loup, n'oublie pas qu'elle est montée avec Roland de son plein gré. Après lui, elle aura de nouvelles expériences sexuelles avec d'autres hommes.
- Plusieurs, tu crois ?
- D’abord les miens, Roland et Robert. Celui là ne va pas la manquer. Ta femme est un joli petit lot, elle leur plaisait beaucoup et ils voulaient la soumettre, la voir se vautrer avec eux dans un lit, puis l’entraîner avec plusieurs mecs dans leurs jeux bien sales. Ils ont tout fait pour l'avoir pour eux ce soir, bien docile et bien disposée. Après elle se fera prendre par d’autres, peut-être même par Ahmed s’il traîne par là, il est toujours à l’affût d’un tendron.
- Qui c’est celui-là ?
- Un arabe monté comme un âne qui traîne souvent ici, il sait qu’il a des chances de trouver où fourrer son énorme queue. Surtout s’il y a des nouvelles !
- Tu le connais ?
- Il m’a sautée plusieurs fois, il en a vraiment une très grosse. Mais je n’aime pas trop aller avec lui, c’est une brute avec une queue de cheval. Ta femme devrait aimer, en tout cas lui va apprécier ta pouliche.
- Ça te fait plaisir, pas vrai ? Tu as tout fait pour la mettre dans leur lit, non ?
- C'est vrai, je faisais partie du plan.
- Et toi, qu'est ce que tu y gagnes à pervertir ma femme ?
- C’est drôle de voir une sainte nitouche se transformer en pute, non ?
- Ma femme n’est ni une sainte nitouche ni une pute.
- Non, au départ, ta femme était sérieuse, je crois qu’elle n’avait pas spécialement envie de te tromper, ni avec Roland, ni avec un autre.
- Je ne pense pas, non.
- Eh bien, maintenant, elle va le faire par vengeance, elle va coucher avec Roland et avec d’autres, elle va même accepter de faire les trucs les plus pervers qui soient, juste pour te faire chier, pour que tu sois cocu de chez cocu, pour que tu comprennes qu’elle peut être aussi salope que moi si ça lui chante.
- Et c’est ça qui te fait plaisir ?
- C’est bien de voir jusqu’où peut aller la nature humaine. C’est fou ce que peuvent faire les gens quand on les pousse. Toi, tu as couché avec moi en sachant que ta femme pourrait en faire autant, pas vrai ?
- Si, c’est vrai.
- Tu le savais mais tu as pris le risque. Et ta femme, elle qui ne voulait pas se laisser faire quand Robert voulait juste la sauter gentiment, la pauvre chérie, aujourd’hui, après Roland, elle va baiser avec Robert et compagnie, mais elle va faire avec eux des trucs bien plus crades que la baise, et elle le fera volontiers, juste pour se venger.
- Tu crois ?
- Toi-même tu n’en reviendras pas quand tu sauras ce que ta petite femme chérie a été capable de faire avec d’autres mecs.
- Vous êtes des malades. Quel plaisir peut-on y trouver ?
- Tout le monde y trouve son compte, il n’y a qu’un petit bémol, c’est que ta femme va te cocufier en grand, mais bon, tu passes un bon moment avec moi, ça compte, non ?
- Je continue à dire que vous êtes tous des malades.
- On est peut-être des malades comme tu dis, mais on baise qui on veut, crois-moi, les hommes qui sont en train de baiser ta femme vont prendre leur pied par exemple, et moi j'aime le sexe et le changement, je couche avec toi et je vais prendre du plaisir aussi. De temps en temps, j'ai envie d'un autre homme que Roland ou Robert.
- Robert te baise toi aussi, tu es sa belle-sœur ?
- Cela te choque ? Robert me baise régulièrement, et Roland se fait ma sœur et tout le monde est content. C'est Robert qui est à l'origine de tout. D'abord il a eu ma sœur, puis par elle il m'a eue moi.
- Tu as été piégée aussi ?
- Si on peut dire, en vérité, je le voulais bien, il n’a pas eu à me forcer beaucoup. Veux-tu que je te raconte ?
- Si tu veux.
- Pour commencer, tu dois savoir que je me suis toujours intéressée au sexe et que depuis mon dépucelage jusqu'à mon mariage, je n'étais pas vraiment farouche et j'ai eu de nombreux hommes. A partir de quatorze ans, j'avais déjà un corps de femme et toujours une mentalité de gamine, ce qui attirait bien des regards. Tu sais comment sont les filles à cet âge ? Pas encore des femmes, plus des gamines non plus.
- C’est vrai que les filles de cet âge sont effrontées.
- Moi je l’étais. J’avais les plus gros seins de ma classe, un beau petit cul bien ferme, je mettais des jupettes à ras du bonbon et je prenais l’air le plus innocent qui soit en montrant tout ce que je pouvais. Des fois, je ne mettais pas de culotte, juste pour voir les mecs flipper sur moi.
- C’est du joli.
- On sent qu’on attire le regard des hommes, et on les regarde droit dans les yeux, on sait qu’on ne risque pas grand-chose.
- Tu parles, personne ne veut s’attirer des ennuis avec des mineures, il faut être fou.
- Alors on se sent des ailes. Tu ne peux pas savoir, juste parce qu’on a des nichons et trois poils sur la foufounette, on cherche à provoquer. Et le soir on se masturbe comme des folles en pensant à tous ceux qu’on a croisés. Un beau jour, un cousin bien plus âgé a jugé que j’avais tout d’une petite femme, il a commencé à me parler de sexe et de paroles en caresses, puis de caresses en attouchements, a fini par étrenner mon con tout neuf. Il a été mon premier amant et notre relation a duré quelques mois jusqu'au jour où mon beau-père, le deuxième mari de ma mère nous a surpris au lit. Mon cousin a déguerpi sans demander son reste et le beau-père s'est empressé de prendre sa place entre mes cuisses.
- Merde, ton beau-père a abusé de toi ?
- Non, il n’a pas abusé de moi, il m’a baisée mais j’étais consentante. Il a été mon amant pendant deux ans, mais j'en étais ravie. Il me considérait au lit comme l'égale de ma mère et me baisait bien.
- Et ta mère dans tout ça ?
- Elle était plutôt contente, je crois.
- Elle le savait ?
- Depuis le début. Elle m'a accompagnée elle-même chez le gynécologue pour me faire prendre la pilule, comme une vraie femme. Au cas où.
- C'est singulier, une mère qui encourage son mari à baiser sa propre fille ?
- Pourquoi pas ? Tout le monde y trouvait son compte : ma mère savait que son mari n'irait jamais voir ailleurs puisqu'il avait ce qu'il voulait à la maison, moi je baisais avec un homme mûr alors que mes copines jouaient encore à touche pipi, et Jean-Pierre avait la mère pour femme et la fille pour maîtresse en sachant qu'il pouvait nous avoir l’une et l’autre quand il voulait et tant qu'il voulait.
- Pas en même temps quand même ?
- C'est arrivé, mais pas souvent car ma mère était gênée de baiser et de jouir devant moi. Moi au contraire, j'étais plutôt excitée.
- En somme, ça marchait bien ?
- Très bien. Mieux qu'avec ma sœur en tout cas.
- Quoi ? Tu veux dire que ta sœur aussi a couché avec ton beau-père ?
- Pas longtemps, elle ne voulait pas baiser avec un vieux à l'époque.
- Alors ton beau-père a baisé ta mère, ta soeur et toi.
- Oui, c’est même le seul qui nous ait possédées toutes les trois. D’autres hommes nous ont baisées ma sœur et moi, mais ils n’ont pas eu ma mère. Et je ne sais pas si ma mère avait des amants, mais je n’ai jamais couché avec l’un d’eux.
- Quelle famille !
- Moi en tous les cas, j'ai toujours été portée sur le sexe et je ne pouvais pas me passer d'une queue depuis que j'avais découvert tout le plaisir que je pouvais prendre avec les hommes. Après le mariage, je me suis assagie pour me consacrer à ma famille même si je savais que Roland avait des aventures de son coté. Je ne l'avais trompé qu'une petite fois avant de connaître Robert. Ma sœur quant à elle a eu des débuts plus sérieux. Après être plus ou moins partie de la maison, elle s'est mariée jeune avec un type sérieux et courageux qui travaillait pour la boîte d'intérim dirigée par Robert. Un jour, ils ont eu quelques problèmes d'argent et Nathalie s'est présentée à l'agence pour chercher du travail. Robert l'a reçue et a accepté de la prendre à l'essai pour un poste à l'agence parce qu'il connaissait bien son mari. Elle s'est montrée compétente et son patron a commencé à l'emmener en clientèle avec lui, en rendez-vous d'affaire, au restaurant quand il invitait des clients et elle est vite devenue son bras droit. Au début, il lui faisait une cour très galante, puis lui a fait des avances de plus en plus précises. Jusqu'au soir où après un dîner d'affaire un peu arrosé, elle lui a cédé et qu'il l'a sautée dans la voiture. A partir de là, tout a changé. Il l'a prise en main pour tout ; non seulement il la baisait quand il voulait, mais en plus il lui a acheté une nouvelle garde-robe, des dessous sexy et en a fait sa créature. Peu à peu, elle a fini par se soumettre entièrement à lui en ne voyant que le bon coté des choses, comme une vie plus facile, les beaux cadeaux par exemple, ou une voiture de fonction flambant neuve. Non seulement il la baisait lui-même, mais il voulait qu'elle se donne à d'autres hommes pour lui. La première fois, il l'a jouée aux dés et elle s'est laissée sauter sur le bureau par un collègue de Robert. Après, il la proposait comme bonus aux clients les plus importants de l'agence avec lesquels ma sœur passait un moment dans une chambre d'hôtel. Petit à petit, elle est littéralement devenue sa pute et il a commencé à l'emmener dans ce club où il a investi de l'argent. Je plains son mari parce qu'à cette époque, non seulement son patron baisait sa femme, mais elle se faisait sauter par les amis de son amant, les clients, et les habitués de cette boîte, ce qui faisait bien du monde qui lui passait dessus. En fait, tout le monde à l'agence savait que Robert se tapait Nathalie et qu'il en faisait ce qu'il voulait, sauf le mari cocu jusqu'au jour où il surprit sa femme avec la queue de son patron dans la bouche. A la suite de cela, ils ont divorcé et Nathalie est partie vivre avec Robert. Comme je m'entends très bien avec ma sœur et que Robert a mis Roland dans sa poche, on a commencé à sortir tous les quatre, au cinéma, au restaurant, en boîte. Nathalie dansait presque toujours avec mon mari et moi avec le sien et il m'avait gentiment draguée. Un soir, on est allé finir la soirée chez eux et en dansant sur un disque, Robert a commencé à jouer avec ma sœur et à la caresser partout devant nous ; puis il s'est placé derrière elle, a passé la main sous la robe en la relevant sans se soucier de ce qu'on pouvait voir et l'a tripotée sans discrétion ; puis, toujours avec la main dans la culotte de ma sœur, il s'est tourné en riant vers Roland en lui demandant ce qu'il avait bien pu faire avec sa femme pour qu'elle soit si mouillée. L'autre jura que c'était impossible et Robert demanda à Nathalie de nous montrer sa motte. Ma sœur s'exécuta, enleva sa culotte, alla s'asseoir sur le canapé, et écarta les cuisses pour s'exhiber : son sexe grand ouvert luisait tellement elle était mouillée et son état se passait de commentaires. Robert proposa à mon mari d’y mettre les doigts et celui-ci envoya timidement la main. Robert l'encourageait de la voix et Nathalie se laissait faire en fermant les yeux. Puis Robert déclara que sa femme avait grand besoin de quelque chose de plus consistant pour la combler et invita mon mari à la baiser sur le canapé. Roland qui crevait d'envie de se taper ma sœur depuis longtemps s'installa entre ses cuisses, sortit sa queue et lui fourra sur-le-champ. Après, je savais ce qui allait arriver : Robert me voulait, et je n'avais pas l'intention de lui résister. Je me levai sans qu'il me le demande pour aller directement au lit. Là, je me suis déshabillée et il m’a prise. Tout le dimanche suivant, nos maris nous baisèrent copieusement toutes les deux chacun leur tour en s'excitant mutuellement du passage de l'autre. C'était bon et pour ma part, cela faisait longtemps que je n'avais pas été si comblée. Les hommes étaient très contents de disposer des deux sœurs comme ils voulaient et s'encourageaient mutuellement en nous prenant. Depuis ce jour, je fais presque autant l'amour avec mon beau-frère qu'avec mon mari. Si tu veux tout savoir, nous avons essayé de nombreuses combinaisons entre nous, deux femmes avec un homme, deux hommes avec une femme ; Nathalie m'a même fait l'amour pour exciter nos hommes pendant que Roland nous filmait. Je ne connaissais pas du tout l'amour avec une femme mais ça a été très bon et je ne me fais pas prier longtemps pour recommencer. Le spectacle de deux sœurs qui font l’amour fait fantasmer tout le monde, même moi quand je revois la cassette. Plus tard Roland a commencé à venir dans ce club et je l'ai suivi. Moi, je me contenterais bien de me faire sauter par les hommes qui fréquentent cette boîte, mais ce que Roland et Robert adorent, c'est pervertir des femmes sérieuses, casser leur morale et leur code de conduite dont elles sont si fières, les transformer en vraies salopes le temps de les baiser et de les soumettre à leurs phantasmes les plus vicieux avant de les rendre à leurs mecs. Généralement, ce sont des jeunes femmes mariées, des épouses modèles, comme la tienne par exemple. Mais il y a d'autres cas aussi croustillants.
- D'autres femmes comme elle ?
- Je me rappelle par exemple l'ex belle-sœur de Roland, une belle brune de famille très bourgeoise. C’est peut-être son coté collet monté qui plaisait tant à mon mari. Pendant son divorce avec son frère, mon mari lui a fait des avances et elle l'a envoyé promener comme un malpropre. Alors ils ont convenu que le meilleur moyen de lui rabattre le caquet était de la soumettre et de l'avilir sexuellement, et ont monté un plan tordu avec une fille soi-disant mineure avec laquelle ils ont fait baiser son fils, se sont servi de la relation du jeune avec une mineure pour la mettre dans une situation tellement difficile qu'elle a accepté de coucher avec Roland pour qu'il l'aide à s'en sortir. Après elle était prise dans un engrenage, Robert l'a sautée aussi et ils l'ont amenée dans cette boîte pour que tout le monde profite de la bourgeoise. Je me rappelle qu'elle est arrivée en tailleur très chic comme une femme du monde, inaccessible et surtout intouchable, pensant être dans un club mondain sans doute. Au début, l'atmosphère était guindée à leur table ; elle avait une petite faiblesse pour le champagne et après plusieurs bouteilles, la princesse était à point : elle riait aux éclats à tout propos, laissait Roland l'embrasser et la tripoter, et finit d'accepter de montrer sa culotte à tout le monde en écartant les cuisses ; Robert voulut fêter l'événement et on but encore plus ; elle voulut bien recommencer, debout cette fois et en remontant sa jupe, sous les applaudissements. Alors on la défia de faire un streap-tease sur la table et elle releva le pari. Elle était soule, et surtout vraiment belle, l'atmosphère était torride maintenant ; quand elle fit glisser sa petite culotte et qu'elle ne garda que son porte-jarretelles et ses bas, on l'arrosa de champagne et chacun voulut se délecter de ce noble liquide sur elle ; elle se laissait lécher en riant comme si on la chatouillait puis on l'a amenée comme cela jusqu'à la piste de danse pour la faire passer à poil de bras en bras. Tous les mecs présents avaient la chance de tenir dans leurs bras une femme comme elle une fois dans leur vie, normalement elle ne leur aurait même pas adressé la parole, et là, elle était à poil et ils pouvaient même la toucher. Elle continuait de picoler, buvait le champagne au goulot, et elle a perdu toute notion de tout. On l'a saoulée, excitée, et à la fin de la soirée quand elle a fait tout ce qu'on voulait avec tous les hommes présents qui en avaient envie, là crois-moi, personne n’a laissé passer son tour, on s'est arrangé pour que son propre fils la baise aussi. Le jeune avait été bien chauffé et il a été content de se taper cette belle femelle qu’on lui proposait. Ils ont pleuré tous les deux quand le gamin a joui en elle une première fois mais ils ont refait l'amour plusieurs fois devant tout le monde et la mère jouissait en criant que c'était son fils qui la baisait le mieux et qu'elle était à lui. C’était beau.
- Tu crois que c’est normal, une mère qui baise avec son fils ?
- On voyait qu'ils s'aimaient vraiment et c’est ça qui était trop beau.
- C’est un inceste.
- Et alors ? S’ils en avaient envie, qu’est-ce que ça peut faire ? Chacun voit les choses à sa façon.
- Je continue, ils s’aimaient d’amour, ils avaient des gestes tendres ; la mère n'arrêtait pas d'embrasser son fils et de lui lécher le visage ; elle l'encourageait à rester en elle et à la prendre encore et encore ; ils sont restés l’un dans l’autre et ils se sont endormis d'épuisement au matin. Quelle soirée mes aïeux ! Par la suite, on ne les a plus revus ici. Je les ai croisés une fois en ville ; ils marchaient main dans la main comme deux amoureux, alors je suppose qu'ils sont restés amants.
- Vous êtes des pervers.
- Une autre femme mariée, une honnête mère de famille sérieuse et fidèle avant de nous connaître, revient de temps en temps se faire baiser pour arrondir ses fins de mois difficiles. L'épouse modèle se transforme en salope qui accepte de se soumettre à tout avec n'importe qui du moment qu'on la paye bien. Je ne sais pas si son mari se doute qu'elle fait la putain dans des partouzes, mais il profite du fric des types qui baisent sa belle petite femme.
- J'espère que Maria ne deviendra pas comme elle.
- Non, ne t'inquiète pas. Ils vont juste la baiser copieusement et faire des trucs un peu cochons avec elle.
- C'est déjà beaucoup de savoir que deux vicieux la baisent comme ils veulent.
- Je suis sûre qu'elle va aimer. J'espère même pour toi qu'elle ne va pas trop aimer, sinon tu seras obligé de l'amener ici pour qu'elle puisse recommencer avec d'autres types. Moi par exemple, je suis devenue plus vicieuse depuis que mon mari m'amène ici et maintenant, j'ai besoin de cela pour me sentir bien. Tiens, pour te consoler, voilà une petite surprise qui arrive.
Une jeune femme entra : c'était Nathalie. Elle était plus petite, beaucoup plus mince que sa sœur cadette et presque blonde avec les cheveux courts ; les deux femmes ne portaient leur ressemblance et leur air de famille que sur le visage. Sans pratiquement dire un mot, elle se déshabilla entièrement et nous rejoignit au lit. Tout en elle était menu et joli, sa silhouette, son visage, ses seins, et son petit cul bien ferme. Tout, sauf son sexe que ses poils clairs ne parvenaient pas à cacher, et qui semblait comme une cicatrice ouverte entre ses cuisses. Elle aussi était une vraie machine programmée pour donner du plaisir à un homme, et elle vint joindre ses efforts à ceux de sa sœur pour m'épuiser dans la luxure.
La séance commença par une savante fellation à deux bouches où leurs langues s'emmêlaient autour de mon sexe. Puis chacune d'elle brouta avec moi le sexe de l'autre, embrassant et caressant tantôt sa sœur et tantôt moi-même. Puis elles s'emparèrent tour à tour de mon propre sexe que je vis magiquement gainé de latex pour me guider dans un des trous de l'autre femelle. Elles combinaient ainsi les postures et les pénétrations, me faisant baiser ou sodomiser leur sœur au gré de leur inspiration et savaient comment et à quel moment elles devaient s'arrêter pour ne pas me laisser jouir. Elles eurent chacune plusieurs orgasmes et je me rappelle avoir éjaculé quelques fois aussi. Cependant, elles ne laissèrent jamais de répit, usant de leur indiscutable science pour me faire bander. Je ne sais pas exactement le temps que notre combat dura mais je subis leurs ardeurs conjuguées toute la soirée, jusqu'au moment où elles m’abandonnèrent pratiquement à l'agonie. A ce moment, je n'aurais pu baiser aucune autre femme, ni même Miss Monde si elle s'était présentée tellement elles m'avaient vidé.
Après avoir repris conscience, je les rejoignis au bar pour reprendre un verre d'alcool régénérateur. Une de leurs amies me félicitait de ma performance et me faisait promettre de lui réserver un moment la prochaine fois quand Maria descendit l'escalier pour nous rejoindre au bar. Elle semblait fatiguée de sa nuit elle aussi et but un alcool fort, ce qui n'était pas dans ses habitudes. Un gros type libidineux me tendit une main molasse et me dit sur le ton de la confidence :
- Tu veux un autre verre ?
- Non, merci, j’ai déjà assez bu.
- A ta santé, mon vieux ! C’est la moindre des choses qu’on t’offre à boire.
- Merci.
- Dis plutôt merci à ta femme. J’ai été enchanté de connaître dans l’intimité une jeune femme si charmante, elle m’a fait passé un moment mémorable. Et avec toi, dans la vie de tous les jours, elle est comment au lit ? Une chaude ? Une vicieuse ?
- Normale, enfin je crois, pourquoi ?
- Je ne sais pas comment elle est avec toi, à la maison c’est sûrement la Fée du logis, sérieuse et tout et tout, mais avec nous tous, elle a montré un tempérament volcanique au lit.
- Ah !
- Fais attention, il ne faudrait pas que la petite chérie ne prenne froid à sa moule si mignonne maintenant. Tu vas voir, je suis sûr que tu ne l’as jamais vue comme ça. Au fait, depuis combien de temps vous êtes mariés ?
- Pas mal d’années, une vingtaine, pourquoi ?
- Pourquoi ? Parce que ce soir, ça a été une révélation pour elle. Ce qu’il lui faut à ta femme, c’est que tu l’emmènes de temps en temps dans une bonne soirée de baise comme ce soir. On la prend à trois ou quatre, on la défonce bien comme il faut, et on te la rend rassasiée pour un moment. Et docile comme tout, tu verras. En fait, c’est une sorte de cure, une cure de bite.
Je n’arrivai pas à imaginer ma femme avec ce type, je m’efforçais de croire qu’il faisait le fanfaron après avoir appris les exploits des deux autres qui lui avaient fait ce qu’ils avaient voulu. Eux, de cela je ne pouvais en douter, avaient matière à raconter sur ma femme au lit. Les deux beaux-frères vinrent au bar. Ceux-là furent moins discrets :
- Mon pote, ta bonne femme est une sacrée affaire quel que soit le coté par où on la prend.
- On s'est régalés à la baiser, ta petite femme.
Le gros ajouta à mon intention tout en me gratifiant de son plus beau sourire :
- Vous deux, vous revenez quand vous voulez.
- Il y aura toujours une petite place pour vous.
- Si ta femme veut revenir seule, c’est possible aussi.
- On peut même lui trouver des plans pour qu’elle se fasse payer pour sa peine si vous avez besoin de fric.
- Elle a un cul qui peut vous rapporter un max.
- Un cul et le reste.
- Tu as raison, elle est méritante la petite dame.
Je me sentais mal à l’aise en regardant tous les hommes présents dans la salle. En plus de Roland, de Robert, du vieux vicieux, il y avait aussi un arabe trapu et moustachu, peut-être le fameux Ahmed, deux jeunes, et deux ou trois autres types. Ils ricanaient en regardant ma femme et affichaient une expression ironique en posant les yeux sur moi. J’avais l’impression que ma femme avait été la salope vedette de la soirée et d’être moi-même le mari qu’on invite à une soirée pour avoir sa femme, le parfait cocu de service que quelqu’un occupe pendant qu’on baise sa femme, celui dont on se moque dans tous les vaudevilles. Je me demandais s’ils étaient tous passés sur le ventre de la mariée ce soir ou s’ils n’y avaient que Robert et Roland qui avaient usé et abusé d’elle et en avaient fait une publicité scabreuse. Il m’était impossible de croire que ma femme, jeune, belle, ma sublime aimée, ait pu s’accoupler avec un tel débris que ce vieux, cela me semblait une déchéance trop grande, non, elle n’avait pas forniqué avec lui, elle n’avait pas pu me faire ça. Néanmoins, Maria ne réagissait ni aux quolibets ni aux attouchements du vieux vicieux qui se tenait à coté d’elle en la serrant de près ; il n’arrêtait pas de lui palper les seins et les fesses en chuchotant des messes basses à son oreille, passant même la main sous la jupe en insistant très lourdement avec force rires gras sur l’état du fendu. Maria était dans un état de soumission totale, acceptait les moqueries, les mains baladeuses, sans volonté propre elle se contentait de sourire d’un air las. Je me demandais ce qu’ils avaient bien pu lui faire pour l’anesthésier à ce point.
Nous partîmes au petit matin, exténués. Juste au moment du départ, Eliane remit un petit paquet à ma femme en lui chuchotant quelque chose. Maria somnolait déjà dans la voiture et nous succombâmes au sommeil presque de suite. Au réveil, vers midi, nous prîmes un petit déjeuner silencieux. Quand je proposai à ma femme de retourner au lit, elle me dit qu'elle ne pourrait pas faire l'amour dans l'immédiat et m'expliqua que son sexe était irrité. Elle m'avoua qu'elle regrettait amèrement de s'être rendue dans cette boîte de pervers. Elle s'était conduite comme une imbécile et plusieurs hommes avaient profité d'elle comme d'une vraie putain. Les larmes aux yeux, elle me tendit le paquet qu'Eliane lui avait donné au petit matin. C'était un CD, avec une magnifique jaquette au nom du club, l’enregistrement de tous ses exploits qui avaient été filmés à son insu par-dessus le marché, la boîte en faisait commerce et chacun, participant, voyeur ou simple amateur, pouvait les acquérir soit dans le club, soit dans la boutique en ligne. En fait, j’étais plutôt inquiet de savoir que n’importe qui, mes relations privées et professionnelles incluses, pouvait acquérir un film pornographique de ma femme, pouvait voir ma respectable épouse se livrer à des pratiques sexuelles inavouables et dissolues.
Elle voulait que je regarde ce film, ne voulait rien me cacher de ses faits et gestes de la soirée, elle m’inquiéta en me disant qu’elle partirait si je ne voulais plus d'elle après ce qu'elle avait fait cette nuit. Mais qu’avait elle donc fait de si terrible ? J’étais partagé entre pudeur et voyeurisme.
Juste à coté de moi, deux jeunes commentaient l'événement :
- Tu connais la femme qui monte avec Roland ?
- Non, mais j'aimerais bien. C'est un sacré morceau.
- Tu as raison, elle a tout ce qu'il faut pour satisfaire un mec et elle en a envie.
- Comment le sais-tu ?
- Tout à l'heure, elle était avec Roland à la table devant nous et grâce à lui on a pu voir ce qu'elle avait entre les cuisses.
- Tu as vu sa culotte ?
- Un peu plus, oui ! Roland la tripotait, et comme elle s'est crue dans le noir à l'abri des regards indiscrets, elle s'est laissée faire. Ce cochon l'a couchée en arrière sur la banquette pour l'embrasser et lui a fait ouvrir les cuisses, a relevé la robe et lui a caressé la chatte en écartant la culotte sur le coté. Dans cette position, elle ne voyait pas qu'un projecteur éclairait le tableau par intermittence et que Roland exhibait sa motte à tout le monde. Je peux te dire que c'est une belle plante brune avec une figue bien ouverte et luisante de mouille et qu'elle aimait quand l'autre lui fourrait les doigts dans la figue.
- Un beau spectacle alors ?
- Une belle cochonne oui, à un moment Roland nous a fait signe d’approcher, on s’est assis autour d’eux, Roland nous a fait une petite place et on a pu la caresser nous aussi.
- Et elle se laissait faire ?
- Ça lui a bien plu, on l’a caressée partout, moi je lui ai tripoté les nichons, la chatte, j’ai joué avec son clitoris, j’ai doigté sa chatte tant que j’ai voulu. Et je n’étais pas le seul, tout le monde en a profité.
- Merde, j’ai loupé ça.
- Dommage pour toi.
- Et maintenant il va lui fourrer autre chose à cette salope, c’est une grosse pute ou quoi !
- Non, je les ai entendus parler entre eux, et ils disaient qu’elle est mariée et du genre fidèle. Elle a suivi Roland ici uniquement pour se venger de son mari qui l'a trompée avec Eliane.
- Ah, d’accord, encore un coup tordu. A mon avis, ils ne vont pas s’emmerder avec celle là, tu verras, il n’y a pas que Roland qui va lui passer dessus.
- Son beau-frère a l’intention de se la faire, et ils parlaient d’en faire profiter leurs collègues de la boite.
- En tout cas, moi aussi je lui passerais bien dessus, mariée ou pas. Tu ne peux pas savoir comment j’ai envie de la baiser, surtout depuis que je l’ai doigtée et branlée. Elle a l’âge de ma mère, et ça me fait fantasmer.
Eliane revint et m'entraîna à l'étage par un autre escalier dérobé. Nous entrâmes dans une petite pièce éclairée par une faible lumière tamisée et meublée d'un grand lit rond et d'une petite commode sur laquelle étaient bien en vue une petite boîte de crème que je supposais lubrifiante et une grosse coupe pleine de préservatifs. Eliane se déshabilla de suite et garda seulement un soutien-gorge en dentelle noire qui semblait devoir éclater, un porte-jarretelles et des bas noirs, ce qui mettait en valeur son opulente poitrine et sa touffe brune. Elle m'enleva elle-même mon pantalon et mon slip et me poussa nu sur le lit ; en guise d'entrée en matière, elle me fit allonger sur le dos pour s'occuper de moi, commença par me branler et me sucer, puis me mit un préservatif avant de s'enfiler sur ma queue. En fait, cette femme était belle, et me faisait bander, mais j'étais mal à l'aise. Je ne pouvais m'empêcher de penser que Maria devait être en ce moment dans une pièce semblable et qu'un pervers profitait d'elle pour assouvir ses phantasmes et la dépraver, et par-dessus le marché à cause de moi.
Eliane se rendit compte de mon état et me questionna :
- A quoi penses-tu ?
- Je ne peux pas m'empêcher de penser à ma femme.
- Ne t'inquiète pas pour elle, personne ne lui fera de mal, bien au contraire. Il n'y a pas de sadiques ici, juste de bons baiseurs qui vont s'occuper d'elle.
- Je ne sais pas si elle est bien prête pour cela.
- Une faible femme peut laisser plusieurs hommes sur les rotules si elle le décide.
- Toi, tu peux, mais je ne sais pas pour elle
- Elle n'est en sucre candi, la petite chérie. Cette petite chatte doit être rodée maintenant. Un bon bain, et il n’y paraîtra plus. Ce qui est bien avec le cul et le sexe, c’est que ça ne s’use pas, au contraire.
- Elle n’est pas tant rodée que tu crois.
- Si tu l'avais vue écarter les cuisses ce matin au bar, tu aurais été surpris.
- Elle m'a dit que Roland l'avait caressée.
- Elle voulait lui faire une pipe ou se faire sauter sur la banquette, devant tout le monde.
- Devant tout le monde ?
- Si je te le dis ! Elle n'a pas peur du loup, n'oublie pas qu'elle est montée avec Roland de son plein gré. Après lui, elle aura de nouvelles expériences sexuelles avec d'autres hommes.
- Plusieurs, tu crois ?
- D’abord les miens, Roland et Robert. Celui là ne va pas la manquer. Ta femme est un joli petit lot, elle leur plaisait beaucoup et ils voulaient la soumettre, la voir se vautrer avec eux dans un lit, puis l’entraîner avec plusieurs mecs dans leurs jeux bien sales. Ils ont tout fait pour l'avoir pour eux ce soir, bien docile et bien disposée. Après elle se fera prendre par d’autres, peut-être même par Ahmed s’il traîne par là, il est toujours à l’affût d’un tendron.
- Qui c’est celui-là ?
- Un arabe monté comme un âne qui traîne souvent ici, il sait qu’il a des chances de trouver où fourrer son énorme queue. Surtout s’il y a des nouvelles !
- Tu le connais ?
- Il m’a sautée plusieurs fois, il en a vraiment une très grosse. Mais je n’aime pas trop aller avec lui, c’est une brute avec une queue de cheval. Ta femme devrait aimer, en tout cas lui va apprécier ta pouliche.
- Ça te fait plaisir, pas vrai ? Tu as tout fait pour la mettre dans leur lit, non ?
- C'est vrai, je faisais partie du plan.
- Et toi, qu'est ce que tu y gagnes à pervertir ma femme ?
- C’est drôle de voir une sainte nitouche se transformer en pute, non ?
- Ma femme n’est ni une sainte nitouche ni une pute.
- Non, au départ, ta femme était sérieuse, je crois qu’elle n’avait pas spécialement envie de te tromper, ni avec Roland, ni avec un autre.
- Je ne pense pas, non.
- Eh bien, maintenant, elle va le faire par vengeance, elle va coucher avec Roland et avec d’autres, elle va même accepter de faire les trucs les plus pervers qui soient, juste pour te faire chier, pour que tu sois cocu de chez cocu, pour que tu comprennes qu’elle peut être aussi salope que moi si ça lui chante.
- Et c’est ça qui te fait plaisir ?
- C’est bien de voir jusqu’où peut aller la nature humaine. C’est fou ce que peuvent faire les gens quand on les pousse. Toi, tu as couché avec moi en sachant que ta femme pourrait en faire autant, pas vrai ?
- Si, c’est vrai.
- Tu le savais mais tu as pris le risque. Et ta femme, elle qui ne voulait pas se laisser faire quand Robert voulait juste la sauter gentiment, la pauvre chérie, aujourd’hui, après Roland, elle va baiser avec Robert et compagnie, mais elle va faire avec eux des trucs bien plus crades que la baise, et elle le fera volontiers, juste pour se venger.
- Tu crois ?
- Toi-même tu n’en reviendras pas quand tu sauras ce que ta petite femme chérie a été capable de faire avec d’autres mecs.
- Vous êtes des malades. Quel plaisir peut-on y trouver ?
- Tout le monde y trouve son compte, il n’y a qu’un petit bémol, c’est que ta femme va te cocufier en grand, mais bon, tu passes un bon moment avec moi, ça compte, non ?
- Je continue à dire que vous êtes tous des malades.
- On est peut-être des malades comme tu dis, mais on baise qui on veut, crois-moi, les hommes qui sont en train de baiser ta femme vont prendre leur pied par exemple, et moi j'aime le sexe et le changement, je couche avec toi et je vais prendre du plaisir aussi. De temps en temps, j'ai envie d'un autre homme que Roland ou Robert.
- Robert te baise toi aussi, tu es sa belle-sœur ?
- Cela te choque ? Robert me baise régulièrement, et Roland se fait ma sœur et tout le monde est content. C'est Robert qui est à l'origine de tout. D'abord il a eu ma sœur, puis par elle il m'a eue moi.
- Tu as été piégée aussi ?
- Si on peut dire, en vérité, je le voulais bien, il n’a pas eu à me forcer beaucoup. Veux-tu que je te raconte ?
- Si tu veux.
- Pour commencer, tu dois savoir que je me suis toujours intéressée au sexe et que depuis mon dépucelage jusqu'à mon mariage, je n'étais pas vraiment farouche et j'ai eu de nombreux hommes. A partir de quatorze ans, j'avais déjà un corps de femme et toujours une mentalité de gamine, ce qui attirait bien des regards. Tu sais comment sont les filles à cet âge ? Pas encore des femmes, plus des gamines non plus.
- C’est vrai que les filles de cet âge sont effrontées.
- Moi je l’étais. J’avais les plus gros seins de ma classe, un beau petit cul bien ferme, je mettais des jupettes à ras du bonbon et je prenais l’air le plus innocent qui soit en montrant tout ce que je pouvais. Des fois, je ne mettais pas de culotte, juste pour voir les mecs flipper sur moi.
- C’est du joli.
- On sent qu’on attire le regard des hommes, et on les regarde droit dans les yeux, on sait qu’on ne risque pas grand-chose.
- Tu parles, personne ne veut s’attirer des ennuis avec des mineures, il faut être fou.
- Alors on se sent des ailes. Tu ne peux pas savoir, juste parce qu’on a des nichons et trois poils sur la foufounette, on cherche à provoquer. Et le soir on se masturbe comme des folles en pensant à tous ceux qu’on a croisés. Un beau jour, un cousin bien plus âgé a jugé que j’avais tout d’une petite femme, il a commencé à me parler de sexe et de paroles en caresses, puis de caresses en attouchements, a fini par étrenner mon con tout neuf. Il a été mon premier amant et notre relation a duré quelques mois jusqu'au jour où mon beau-père, le deuxième mari de ma mère nous a surpris au lit. Mon cousin a déguerpi sans demander son reste et le beau-père s'est empressé de prendre sa place entre mes cuisses.
- Merde, ton beau-père a abusé de toi ?
- Non, il n’a pas abusé de moi, il m’a baisée mais j’étais consentante. Il a été mon amant pendant deux ans, mais j'en étais ravie. Il me considérait au lit comme l'égale de ma mère et me baisait bien.
- Et ta mère dans tout ça ?
- Elle était plutôt contente, je crois.
- Elle le savait ?
- Depuis le début. Elle m'a accompagnée elle-même chez le gynécologue pour me faire prendre la pilule, comme une vraie femme. Au cas où.
- C'est singulier, une mère qui encourage son mari à baiser sa propre fille ?
- Pourquoi pas ? Tout le monde y trouvait son compte : ma mère savait que son mari n'irait jamais voir ailleurs puisqu'il avait ce qu'il voulait à la maison, moi je baisais avec un homme mûr alors que mes copines jouaient encore à touche pipi, et Jean-Pierre avait la mère pour femme et la fille pour maîtresse en sachant qu'il pouvait nous avoir l’une et l’autre quand il voulait et tant qu'il voulait.
- Pas en même temps quand même ?
- C'est arrivé, mais pas souvent car ma mère était gênée de baiser et de jouir devant moi. Moi au contraire, j'étais plutôt excitée.
- En somme, ça marchait bien ?
- Très bien. Mieux qu'avec ma sœur en tout cas.
- Quoi ? Tu veux dire que ta sœur aussi a couché avec ton beau-père ?
- Pas longtemps, elle ne voulait pas baiser avec un vieux à l'époque.
- Alors ton beau-père a baisé ta mère, ta soeur et toi.
- Oui, c’est même le seul qui nous ait possédées toutes les trois. D’autres hommes nous ont baisées ma sœur et moi, mais ils n’ont pas eu ma mère. Et je ne sais pas si ma mère avait des amants, mais je n’ai jamais couché avec l’un d’eux.
- Quelle famille !
- Moi en tous les cas, j'ai toujours été portée sur le sexe et je ne pouvais pas me passer d'une queue depuis que j'avais découvert tout le plaisir que je pouvais prendre avec les hommes. Après le mariage, je me suis assagie pour me consacrer à ma famille même si je savais que Roland avait des aventures de son coté. Je ne l'avais trompé qu'une petite fois avant de connaître Robert. Ma sœur quant à elle a eu des débuts plus sérieux. Après être plus ou moins partie de la maison, elle s'est mariée jeune avec un type sérieux et courageux qui travaillait pour la boîte d'intérim dirigée par Robert. Un jour, ils ont eu quelques problèmes d'argent et Nathalie s'est présentée à l'agence pour chercher du travail. Robert l'a reçue et a accepté de la prendre à l'essai pour un poste à l'agence parce qu'il connaissait bien son mari. Elle s'est montrée compétente et son patron a commencé à l'emmener en clientèle avec lui, en rendez-vous d'affaire, au restaurant quand il invitait des clients et elle est vite devenue son bras droit. Au début, il lui faisait une cour très galante, puis lui a fait des avances de plus en plus précises. Jusqu'au soir où après un dîner d'affaire un peu arrosé, elle lui a cédé et qu'il l'a sautée dans la voiture. A partir de là, tout a changé. Il l'a prise en main pour tout ; non seulement il la baisait quand il voulait, mais en plus il lui a acheté une nouvelle garde-robe, des dessous sexy et en a fait sa créature. Peu à peu, elle a fini par se soumettre entièrement à lui en ne voyant que le bon coté des choses, comme une vie plus facile, les beaux cadeaux par exemple, ou une voiture de fonction flambant neuve. Non seulement il la baisait lui-même, mais il voulait qu'elle se donne à d'autres hommes pour lui. La première fois, il l'a jouée aux dés et elle s'est laissée sauter sur le bureau par un collègue de Robert. Après, il la proposait comme bonus aux clients les plus importants de l'agence avec lesquels ma sœur passait un moment dans une chambre d'hôtel. Petit à petit, elle est littéralement devenue sa pute et il a commencé à l'emmener dans ce club où il a investi de l'argent. Je plains son mari parce qu'à cette époque, non seulement son patron baisait sa femme, mais elle se faisait sauter par les amis de son amant, les clients, et les habitués de cette boîte, ce qui faisait bien du monde qui lui passait dessus. En fait, tout le monde à l'agence savait que Robert se tapait Nathalie et qu'il en faisait ce qu'il voulait, sauf le mari cocu jusqu'au jour où il surprit sa femme avec la queue de son patron dans la bouche. A la suite de cela, ils ont divorcé et Nathalie est partie vivre avec Robert. Comme je m'entends très bien avec ma sœur et que Robert a mis Roland dans sa poche, on a commencé à sortir tous les quatre, au cinéma, au restaurant, en boîte. Nathalie dansait presque toujours avec mon mari et moi avec le sien et il m'avait gentiment draguée. Un soir, on est allé finir la soirée chez eux et en dansant sur un disque, Robert a commencé à jouer avec ma sœur et à la caresser partout devant nous ; puis il s'est placé derrière elle, a passé la main sous la robe en la relevant sans se soucier de ce qu'on pouvait voir et l'a tripotée sans discrétion ; puis, toujours avec la main dans la culotte de ma sœur, il s'est tourné en riant vers Roland en lui demandant ce qu'il avait bien pu faire avec sa femme pour qu'elle soit si mouillée. L'autre jura que c'était impossible et Robert demanda à Nathalie de nous montrer sa motte. Ma sœur s'exécuta, enleva sa culotte, alla s'asseoir sur le canapé, et écarta les cuisses pour s'exhiber : son sexe grand ouvert luisait tellement elle était mouillée et son état se passait de commentaires. Robert proposa à mon mari d’y mettre les doigts et celui-ci envoya timidement la main. Robert l'encourageait de la voix et Nathalie se laissait faire en fermant les yeux. Puis Robert déclara que sa femme avait grand besoin de quelque chose de plus consistant pour la combler et invita mon mari à la baiser sur le canapé. Roland qui crevait d'envie de se taper ma sœur depuis longtemps s'installa entre ses cuisses, sortit sa queue et lui fourra sur-le-champ. Après, je savais ce qui allait arriver : Robert me voulait, et je n'avais pas l'intention de lui résister. Je me levai sans qu'il me le demande pour aller directement au lit. Là, je me suis déshabillée et il m’a prise. Tout le dimanche suivant, nos maris nous baisèrent copieusement toutes les deux chacun leur tour en s'excitant mutuellement du passage de l'autre. C'était bon et pour ma part, cela faisait longtemps que je n'avais pas été si comblée. Les hommes étaient très contents de disposer des deux sœurs comme ils voulaient et s'encourageaient mutuellement en nous prenant. Depuis ce jour, je fais presque autant l'amour avec mon beau-frère qu'avec mon mari. Si tu veux tout savoir, nous avons essayé de nombreuses combinaisons entre nous, deux femmes avec un homme, deux hommes avec une femme ; Nathalie m'a même fait l'amour pour exciter nos hommes pendant que Roland nous filmait. Je ne connaissais pas du tout l'amour avec une femme mais ça a été très bon et je ne me fais pas prier longtemps pour recommencer. Le spectacle de deux sœurs qui font l’amour fait fantasmer tout le monde, même moi quand je revois la cassette. Plus tard Roland a commencé à venir dans ce club et je l'ai suivi. Moi, je me contenterais bien de me faire sauter par les hommes qui fréquentent cette boîte, mais ce que Roland et Robert adorent, c'est pervertir des femmes sérieuses, casser leur morale et leur code de conduite dont elles sont si fières, les transformer en vraies salopes le temps de les baiser et de les soumettre à leurs phantasmes les plus vicieux avant de les rendre à leurs mecs. Généralement, ce sont des jeunes femmes mariées, des épouses modèles, comme la tienne par exemple. Mais il y a d'autres cas aussi croustillants.
- D'autres femmes comme elle ?
- Je me rappelle par exemple l'ex belle-sœur de Roland, une belle brune de famille très bourgeoise. C’est peut-être son coté collet monté qui plaisait tant à mon mari. Pendant son divorce avec son frère, mon mari lui a fait des avances et elle l'a envoyé promener comme un malpropre. Alors ils ont convenu que le meilleur moyen de lui rabattre le caquet était de la soumettre et de l'avilir sexuellement, et ont monté un plan tordu avec une fille soi-disant mineure avec laquelle ils ont fait baiser son fils, se sont servi de la relation du jeune avec une mineure pour la mettre dans une situation tellement difficile qu'elle a accepté de coucher avec Roland pour qu'il l'aide à s'en sortir. Après elle était prise dans un engrenage, Robert l'a sautée aussi et ils l'ont amenée dans cette boîte pour que tout le monde profite de la bourgeoise. Je me rappelle qu'elle est arrivée en tailleur très chic comme une femme du monde, inaccessible et surtout intouchable, pensant être dans un club mondain sans doute. Au début, l'atmosphère était guindée à leur table ; elle avait une petite faiblesse pour le champagne et après plusieurs bouteilles, la princesse était à point : elle riait aux éclats à tout propos, laissait Roland l'embrasser et la tripoter, et finit d'accepter de montrer sa culotte à tout le monde en écartant les cuisses ; Robert voulut fêter l'événement et on but encore plus ; elle voulut bien recommencer, debout cette fois et en remontant sa jupe, sous les applaudissements. Alors on la défia de faire un streap-tease sur la table et elle releva le pari. Elle était soule, et surtout vraiment belle, l'atmosphère était torride maintenant ; quand elle fit glisser sa petite culotte et qu'elle ne garda que son porte-jarretelles et ses bas, on l'arrosa de champagne et chacun voulut se délecter de ce noble liquide sur elle ; elle se laissait lécher en riant comme si on la chatouillait puis on l'a amenée comme cela jusqu'à la piste de danse pour la faire passer à poil de bras en bras. Tous les mecs présents avaient la chance de tenir dans leurs bras une femme comme elle une fois dans leur vie, normalement elle ne leur aurait même pas adressé la parole, et là, elle était à poil et ils pouvaient même la toucher. Elle continuait de picoler, buvait le champagne au goulot, et elle a perdu toute notion de tout. On l'a saoulée, excitée, et à la fin de la soirée quand elle a fait tout ce qu'on voulait avec tous les hommes présents qui en avaient envie, là crois-moi, personne n’a laissé passer son tour, on s'est arrangé pour que son propre fils la baise aussi. Le jeune avait été bien chauffé et il a été content de se taper cette belle femelle qu’on lui proposait. Ils ont pleuré tous les deux quand le gamin a joui en elle une première fois mais ils ont refait l'amour plusieurs fois devant tout le monde et la mère jouissait en criant que c'était son fils qui la baisait le mieux et qu'elle était à lui. C’était beau.
- Tu crois que c’est normal, une mère qui baise avec son fils ?
- On voyait qu'ils s'aimaient vraiment et c’est ça qui était trop beau.
- C’est un inceste.
- Et alors ? S’ils en avaient envie, qu’est-ce que ça peut faire ? Chacun voit les choses à sa façon.
- Je continue, ils s’aimaient d’amour, ils avaient des gestes tendres ; la mère n'arrêtait pas d'embrasser son fils et de lui lécher le visage ; elle l'encourageait à rester en elle et à la prendre encore et encore ; ils sont restés l’un dans l’autre et ils se sont endormis d'épuisement au matin. Quelle soirée mes aïeux ! Par la suite, on ne les a plus revus ici. Je les ai croisés une fois en ville ; ils marchaient main dans la main comme deux amoureux, alors je suppose qu'ils sont restés amants.
- Vous êtes des pervers.
- Une autre femme mariée, une honnête mère de famille sérieuse et fidèle avant de nous connaître, revient de temps en temps se faire baiser pour arrondir ses fins de mois difficiles. L'épouse modèle se transforme en salope qui accepte de se soumettre à tout avec n'importe qui du moment qu'on la paye bien. Je ne sais pas si son mari se doute qu'elle fait la putain dans des partouzes, mais il profite du fric des types qui baisent sa belle petite femme.
- J'espère que Maria ne deviendra pas comme elle.
- Non, ne t'inquiète pas. Ils vont juste la baiser copieusement et faire des trucs un peu cochons avec elle.
- C'est déjà beaucoup de savoir que deux vicieux la baisent comme ils veulent.
- Je suis sûre qu'elle va aimer. J'espère même pour toi qu'elle ne va pas trop aimer, sinon tu seras obligé de l'amener ici pour qu'elle puisse recommencer avec d'autres types. Moi par exemple, je suis devenue plus vicieuse depuis que mon mari m'amène ici et maintenant, j'ai besoin de cela pour me sentir bien. Tiens, pour te consoler, voilà une petite surprise qui arrive.
Une jeune femme entra : c'était Nathalie. Elle était plus petite, beaucoup plus mince que sa sœur cadette et presque blonde avec les cheveux courts ; les deux femmes ne portaient leur ressemblance et leur air de famille que sur le visage. Sans pratiquement dire un mot, elle se déshabilla entièrement et nous rejoignit au lit. Tout en elle était menu et joli, sa silhouette, son visage, ses seins, et son petit cul bien ferme. Tout, sauf son sexe que ses poils clairs ne parvenaient pas à cacher, et qui semblait comme une cicatrice ouverte entre ses cuisses. Elle aussi était une vraie machine programmée pour donner du plaisir à un homme, et elle vint joindre ses efforts à ceux de sa sœur pour m'épuiser dans la luxure.
La séance commença par une savante fellation à deux bouches où leurs langues s'emmêlaient autour de mon sexe. Puis chacune d'elle brouta avec moi le sexe de l'autre, embrassant et caressant tantôt sa sœur et tantôt moi-même. Puis elles s'emparèrent tour à tour de mon propre sexe que je vis magiquement gainé de latex pour me guider dans un des trous de l'autre femelle. Elles combinaient ainsi les postures et les pénétrations, me faisant baiser ou sodomiser leur sœur au gré de leur inspiration et savaient comment et à quel moment elles devaient s'arrêter pour ne pas me laisser jouir. Elles eurent chacune plusieurs orgasmes et je me rappelle avoir éjaculé quelques fois aussi. Cependant, elles ne laissèrent jamais de répit, usant de leur indiscutable science pour me faire bander. Je ne sais pas exactement le temps que notre combat dura mais je subis leurs ardeurs conjuguées toute la soirée, jusqu'au moment où elles m’abandonnèrent pratiquement à l'agonie. A ce moment, je n'aurais pu baiser aucune autre femme, ni même Miss Monde si elle s'était présentée tellement elles m'avaient vidé.
Après avoir repris conscience, je les rejoignis au bar pour reprendre un verre d'alcool régénérateur. Une de leurs amies me félicitait de ma performance et me faisait promettre de lui réserver un moment la prochaine fois quand Maria descendit l'escalier pour nous rejoindre au bar. Elle semblait fatiguée de sa nuit elle aussi et but un alcool fort, ce qui n'était pas dans ses habitudes. Un gros type libidineux me tendit une main molasse et me dit sur le ton de la confidence :
- Tu veux un autre verre ?
- Non, merci, j’ai déjà assez bu.
- A ta santé, mon vieux ! C’est la moindre des choses qu’on t’offre à boire.
- Merci.
- Dis plutôt merci à ta femme. J’ai été enchanté de connaître dans l’intimité une jeune femme si charmante, elle m’a fait passé un moment mémorable. Et avec toi, dans la vie de tous les jours, elle est comment au lit ? Une chaude ? Une vicieuse ?
- Normale, enfin je crois, pourquoi ?
- Je ne sais pas comment elle est avec toi, à la maison c’est sûrement la Fée du logis, sérieuse et tout et tout, mais avec nous tous, elle a montré un tempérament volcanique au lit.
- Ah !
- Fais attention, il ne faudrait pas que la petite chérie ne prenne froid à sa moule si mignonne maintenant. Tu vas voir, je suis sûr que tu ne l’as jamais vue comme ça. Au fait, depuis combien de temps vous êtes mariés ?
- Pas mal d’années, une vingtaine, pourquoi ?
- Pourquoi ? Parce que ce soir, ça a été une révélation pour elle. Ce qu’il lui faut à ta femme, c’est que tu l’emmènes de temps en temps dans une bonne soirée de baise comme ce soir. On la prend à trois ou quatre, on la défonce bien comme il faut, et on te la rend rassasiée pour un moment. Et docile comme tout, tu verras. En fait, c’est une sorte de cure, une cure de bite.
Je n’arrivai pas à imaginer ma femme avec ce type, je m’efforçais de croire qu’il faisait le fanfaron après avoir appris les exploits des deux autres qui lui avaient fait ce qu’ils avaient voulu. Eux, de cela je ne pouvais en douter, avaient matière à raconter sur ma femme au lit. Les deux beaux-frères vinrent au bar. Ceux-là furent moins discrets :
- Mon pote, ta bonne femme est une sacrée affaire quel que soit le coté par où on la prend.
- On s'est régalés à la baiser, ta petite femme.
Le gros ajouta à mon intention tout en me gratifiant de son plus beau sourire :
- Vous deux, vous revenez quand vous voulez.
- Il y aura toujours une petite place pour vous.
- Si ta femme veut revenir seule, c’est possible aussi.
- On peut même lui trouver des plans pour qu’elle se fasse payer pour sa peine si vous avez besoin de fric.
- Elle a un cul qui peut vous rapporter un max.
- Un cul et le reste.
- Tu as raison, elle est méritante la petite dame.
Je me sentais mal à l’aise en regardant tous les hommes présents dans la salle. En plus de Roland, de Robert, du vieux vicieux, il y avait aussi un arabe trapu et moustachu, peut-être le fameux Ahmed, deux jeunes, et deux ou trois autres types. Ils ricanaient en regardant ma femme et affichaient une expression ironique en posant les yeux sur moi. J’avais l’impression que ma femme avait été la salope vedette de la soirée et d’être moi-même le mari qu’on invite à une soirée pour avoir sa femme, le parfait cocu de service que quelqu’un occupe pendant qu’on baise sa femme, celui dont on se moque dans tous les vaudevilles. Je me demandais s’ils étaient tous passés sur le ventre de la mariée ce soir ou s’ils n’y avaient que Robert et Roland qui avaient usé et abusé d’elle et en avaient fait une publicité scabreuse. Il m’était impossible de croire que ma femme, jeune, belle, ma sublime aimée, ait pu s’accoupler avec un tel débris que ce vieux, cela me semblait une déchéance trop grande, non, elle n’avait pas forniqué avec lui, elle n’avait pas pu me faire ça. Néanmoins, Maria ne réagissait ni aux quolibets ni aux attouchements du vieux vicieux qui se tenait à coté d’elle en la serrant de près ; il n’arrêtait pas de lui palper les seins et les fesses en chuchotant des messes basses à son oreille, passant même la main sous la jupe en insistant très lourdement avec force rires gras sur l’état du fendu. Maria était dans un état de soumission totale, acceptait les moqueries, les mains baladeuses, sans volonté propre elle se contentait de sourire d’un air las. Je me demandais ce qu’ils avaient bien pu lui faire pour l’anesthésier à ce point.
Nous partîmes au petit matin, exténués. Juste au moment du départ, Eliane remit un petit paquet à ma femme en lui chuchotant quelque chose. Maria somnolait déjà dans la voiture et nous succombâmes au sommeil presque de suite. Au réveil, vers midi, nous prîmes un petit déjeuner silencieux. Quand je proposai à ma femme de retourner au lit, elle me dit qu'elle ne pourrait pas faire l'amour dans l'immédiat et m'expliqua que son sexe était irrité. Elle m'avoua qu'elle regrettait amèrement de s'être rendue dans cette boîte de pervers. Elle s'était conduite comme une imbécile et plusieurs hommes avaient profité d'elle comme d'une vraie putain. Les larmes aux yeux, elle me tendit le paquet qu'Eliane lui avait donné au petit matin. C'était un CD, avec une magnifique jaquette au nom du club, l’enregistrement de tous ses exploits qui avaient été filmés à son insu par-dessus le marché, la boîte en faisait commerce et chacun, participant, voyeur ou simple amateur, pouvait les acquérir soit dans le club, soit dans la boutique en ligne. En fait, j’étais plutôt inquiet de savoir que n’importe qui, mes relations privées et professionnelles incluses, pouvait acquérir un film pornographique de ma femme, pouvait voir ma respectable épouse se livrer à des pratiques sexuelles inavouables et dissolues.
Elle voulait que je regarde ce film, ne voulait rien me cacher de ses faits et gestes de la soirée, elle m’inquiéta en me disant qu’elle partirait si je ne voulais plus d'elle après ce qu'elle avait fait cette nuit. Mais qu’avait elle donc fait de si terrible ? J’étais partagé entre pudeur et voyeurisme.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le récit est bien, mais je comprends plus trop bien la chronologie.J'ai lu les récits
dans l'ordre et tout à coups, on a l'impression que c'est la première fois qu'elle va
tromper son mari; alors que dans les récits précédents, Monsieur est largement cocu et
Madame a déjà exploré différents aspects de la sexualité libérée.J'aimerais avoir un
petit éclaircissement.
Noël
dans l'ordre et tout à coups, on a l'impression que c'est la première fois qu'elle va
tromper son mari; alors que dans les récits précédents, Monsieur est largement cocu et
Madame a déjà exploré différents aspects de la sexualité libérée.J'aimerais avoir un
petit éclaircissement.
Noël
qui a t-il sur la vidéo ????
Je sent qu il va visionner !! ^^ Vivement la suite !