9 jours tranquilles à Antibes (3e chapitre)
Récit érotique écrit par Henrivakan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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9 jours tranquilles à Antibes (3e chapitre)
3e chapitre (pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents). Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
MERCREDI, 2eme jour à Antibes.
Vers 8h30, ça se réveille dans le voisinage. C’est le moment pour moi de sortir.
Je laisse Coralie dans les bras de Morphée. Je lui écris un petit mot gentil : « Quelle nuit ! Je te téléphone très bientôt. Bisous Henri. »
Je reste quelques minutes à m’étirer devant la tente pour permettre aux autres campeurs de bien voir que c’est moi, oui, C’EST MOI ( !) qui ai provoqué ces hurlements de plaisir dans la nuit !
Je suis un peu déçu du peu de réactions.
Dans mes rêves les plus fous, j’avais imaginé que les hommes allaient m’applaudir, mi-admiratifs, mi-jaloux. Que les femmes, les yeux mouillés de désir et les jambes tremblantes (à moins que ce ne soit l’inverse), feraient la queue pour essayer la mienne … Rien de tout ça …
Un couple devant sa caravane me dévisage avec un air de reproche.
A coté, 3 jeunes filles qui prennent ensemble leur petit déjeuner devant leurs 3 petites tentes. Elles me regardent en riant. Voilà ce que je cherchais ! Je me dirige vers elles.
-« Bonjours mesdemoiselles. Pouvez-vous m’indiquer ou se trouvent les sanitaires ? »
L’une d’elles me répond aimablement.
J’engage la conversation :
-« C’est la première fois que je dors sous une tente. J’ai eu du mal à trouver le sommeil. Vous n’avez pas ce genre de problème ? »
-« On a l’habitude. Mais cette nuit, c’est vrai qu’il y a eu du bruit, hi, hi, hi » (elles pouffent toutes les trois.
-« J’espère que ce n’est pas moi qui vous ai dérangé. »
C’est toujours la même fille qui répond :
-« Ben, votre amie est un peu, euh…, expressive … »
-« Ce n’est pas vraiment mon amie, c’est plutôt une copine ».
-« Pourtant vous avez l’air de bien vous entendre ... » (re-rire des filles).
-« C’est une fille très sympa. Mais ce n’est pas mon genre ».
-« Ah, bon ?! Et c’est quoi votre genre ? »
-« Je ne sais pas … Peut-être les blondes avec l’accent belge. » (Les filles sont blondes ou châtain et j’ai cru déceler un léger accent belge).
Elles protestent :
-« Hé ! On n’a pas d’accent ! »
-« Mais qui a dit que je parlais de vous ? »
Les filles rient.
-L’une de vous pourrait-elle m’accompagner jusqu’aux douches ? J’ai peur de me perdre en route. Et puis on pourrait bavarder … »
La moins jolie des trois et la plus bavarde se porte volontaire.
-« Au revoir les filles. Et à bientôt j’espère. »
En chemin je papote avec Clara (c’est son nom). J’apprends ainsi que ses 2 copines ont été très troublées par les cris de la nuit. Je lui fais comprendre que je suis disponible. Elle me dit ne pas être intéressée, car elle vient de rencontrer un garçon « très bien » (sic).
Nous échangeons nos téléphones et nous nous séparons.
Je m’empresse de sortir mon calepin pour noter les informations sur les 3 belges (elles sont bien belges comme je le pensais).
-Clara : châtain clair. A déjà un copain. Grosse. Baisable sans plus.
-Carine : longs cheveux blonds, yeux gris-bleus, très très jolie. Étudiante.
-Sylvie : Blonde, cheveux courts. Pas mal du tout.
Je complète la fiche de Coralie : Sodomie, n’aime pas ça. Très bonne suceuse, elle avale. Clitoridienne. Mérite un deuxième service.
Il est bien sûr hors de question que je pénètre dans les sanitaires puants du camping. Je récupère mon scooter. Avant de rentrer à mon studio, je passe au supermarché acheter quelques babioles.
Je trouve la même caissière qu’hier. Elle me reconnaît.
-« Alors, toujours fiancée ? »
-« Hé oui. »
-« Dommage … Vous savez, je compte toujours sur vous pour me présenter une amie. Je suis seul, vous êtes d’accord que ça ne peux pas durer.»
Je lui redonne mes coordonnées qu’elle avait soi-disant perdues.
Je rentre enfin chez moi pour me laver, me raser, me reposer et grignoter.
Vers 11 h, j’appelle Sarah. Elle va confier son fils à une voisine. Nous serons tranquille pour ce soir. Ça promet. Le rendez-vous est pris.
J’ai mon après-midi de libre. Je songe à réitérer une activité récréative avec Gaëlle. Je m’apprête à l’appeler quand mon téléphone sonne.
C’est Clara, la belge boulotte, qui me propose d’aller à la plage avec ses 2 amies en début d’aprem. Elles tiennent à me connaître mieux. Ben voyons ! Mon plan « cris de jouissance » a parfaitement fonctionné.
J’accepte avec joie.
La baignade et la bronzette, c’est pas mon truc. Mais il faut savoir faire quelques sacrifices …
Je prends mon déjeuner dans un café du centre ville. Je téléphone à Coralie (que ferais-je sans mon portable ?). Je prétexte une réunion de famille, je ne pourrais pas la voir aujourd’hui. Elle est déçue. J’en profite pour me renseigner sur ses projets de l’après-midi. Coup de chance, elle ne va pas à la plage.
J’apprends aussi qu’une voisine lui a fait une remarque agressive « vous devriez avoir honte mademoiselle ! Il y a des enfants dans ce camping ». Coralie s’imagine que c’est le fait d’avoir amené un garçon dans sa tente qui lui est reproché.
J’appelle ensuite Gaëlle. Malheureusement son seul moment de libre c’est justement quand je dois voir les belges. Zut, crotte, merde. Le choix est cornélien. D’un coté il y a une fille, de l’autre trois. Tant pis pour Gaëlle.
A 15 heures, comme prévu, je retrouve Carine, Sylvie et Clara.
Sylvie et Clara sont en monokinis. Elles sont craquantes. Les seins de Carine sont parfaits, ronds et fermes. Ceux de Sylvie paraissent un peu misérables à coté.
Je n’aime pas le soleil, alors je préfère me jeter à l’eau tout de suite. Les filles me rejoignent.
Je chahute avec elles, je les pousse. Dans la mêlée, j’en profite pour les tripoter. On rit beaucoup. Tout cela me fait bander dur.
Et quand il s’agit de sortir de l’eau, je suis coincé. Les filles me demande de venir avec elles.
-« Je ne peux pas. Vous m’avez mis dans un tel état que ce serait indécent que je sorte ainsi. Attendez que je me calme. » Dis-je en restant accroupi dans l’eau.
J’essaye d’être assez discret pour que les autres baigneurs et bronzeurs ne s’aperçoivent de rien.
Sylvie est beaucoup moins discrète ! Elle est déchainée :
-« On veut voir ! On veut voir ! »
Je leur dit que c’est à elles de se déplacer, je refuse de bouger.
Mon sexe, comme je l’ai déjà dit, est plutôt imposant, il dépasse largement de mon maillot.
Clara ne participe pas à cette agitation, Son copain Kamel (un petit black musclé), vient d’arriver. Ils sont tous les deux occupés à s ‘embrasser.
Sylvie se déplace et demande à voir. Je lui montre la bête.
-« Whaoo ! C’est monstrueux ! Je comprends mieux les cris de cette nuit. Viens voir Carine ! ».
Moi qui ne voulais pas me faire remarquer, me voilà le centre d’intérêt de toute cette partie de la plage.
Carine refuse d’abord de venir, puis elle cède à l’insistance de Sylvie. Elle rougie en voyant l’engin qui dépasse.
Je joue les faux modestes.
Je sais bien qu’une grosse bite ne procure pas plus de plaisir qu’une petite -puisque les femmes sont essentiellement clitoridiennes-. Mais je suis plutôt fier de mon instrument.
J’arrive enfin à me calmer. Et je peux rejoindre ma serviette sous le regard goguenard de quelques individus.
Je me rends compte que j’ai attrapé un coup de soleil sur les épaules. Carine se précipite pour me passer de la crème. Quel plaisir de se faire masser par une jolie fille.
Kamel et Clara nous quittent. Nous imaginons qu’ils ont mieux à faire. Les plaisanteries fusent.
20 minutes plus tard, après une halte au café où je leur offre des rafraichissements, je raccompagne à pied ces demoiselles. 1 km sous le soleil, c’aurait pu être pénible, mais j’arrive à rendre cet épisode des plus agréable et ludique : je poursuit les filles, j’attire Sylvie, je lui mordille le cou, je lui glisse une main dans le slip, j’embrasse furtivement Carine sur la bouche. Tout ça comme des jeux d’enfants facétieux. Ça ne va pas plus loin.
Je suis sérieux, il faut que je garde mes forces pour Sarah !
Mon histoire d’héritage me sert une nouvelle fois d’excuse. Je promets à Carine et à Sylvie de leur téléphoner demain, et de m’occuper d’elles. L’allusion les fait rire. Deux petites connes qui frétillent, y’a rien de plus excitant.
Il faut ensuite que je me retape tout le trajet pour récupérer mon scooter.
Je rentre chez moi pour me préparer. Je me lave. Je m’équipe des indispensables préservatifs et lubrifiant.
Les vacances commencent bien. Je me suis déjà tapé 2 nanas. Plus une autre ce soir. Et j’ai en réserve les 2 petites belges !
Ça fait beaucoup. Beaucoup trop. Je ne vais pas pouvoir assurer, il va peut-être falloir que j’élimine le superflu …
Le diner se déroule merveilleusement bien. Le cadre est cossu, chaque table est dans un box séparé. La nourriture est raffinée. La conversation est détendue.
Nous évoquons nos vies respectives. Moi, bien sûr, je ne vais pas lui dire que je saute sur toutes les filles qui passent. Alors je m’invente un passé plus calme.
Elle me parle de son mariage, de son mari qui l’a quittée quelques mois après la naissance de Paul. De ses débuts difficiles dans l’enseignement. Je plaisante en imaginant que ses élèves doivent apprécier d’avoir une prof aussi bien roulée et sexy. Elle me précise qu’au collège elle s’habille très strict et qu’elle est très sévère.
A dire vrai, tout cela m’ennuie. Je ne pense qu’à son cul, à sa chatte qui mouille, à tout ce que je vais lui faire tout à l’heure.
A minuit 30, je la raccompagne à pied jusque chez elle. Devant la porte de son appart, je l’embrasse langoureusement. Je commence à lui peloter les seins et à soulever sa robe.
C’est alors qu’elle me repousse. Elle m’aime beaucoup, mais elle ne couche pas le premier soir.
Je l’implore du classique « tu ne peux pas me laisser comme ça ?! ». Mais rien à faire. Cette allumeuse me répond :
-« Tu peux bien attendre jusqu’à demain.»
LA SALOPE, LA SALOPE, LA SALOPE !
A son âge, elle en est encore à « je ne couche pas le premier soir, et gnagnagna .. » J’ai payé 100 euros de restau, j’ai subit 2 heures de conversation assommantes. Pour elle j’ai abandonné 2 jolies filles en chaleur.
Tout ça pour rien ! La salope !
Je ne laisse rien paraître de ma rage, je la quitte en restant aimable.
JEUDI, 3e jour à Antibes
A cette heure (1 heure du mat), il est trop tard pour appeler Gaëlle ou pour recontacter Sylvie ou Carine.
Je vais essayer de me faire sucer par Coralie. C’est le genre de remède qui devrait me calmer.
Je lui téléphone. Bien sûr elle dormait. Bien sûr, elle est contente que je vienne lui faire une petite visite.
Je prends des précautions pour ne pas me faire voir par les belges (de toute évidence elles dorment).
Après quelques caresses et bisous, je fais comprendre à Coralie que je veux qu’elle me taille une pipe.
Elle s’exécute. Et comme hier, elle avale tout. Malgré le plaisir, je prends bien garde de ne pas grogner.
Je bavarde un peu avec Coralie. Elle me raconte que 3 types du camping l’ont draguée, l’un d’eux a insisté pour qu’elle vienne visiter la couchette de sa caravane. Elle ne comprend pas ce soudain succès auprès des garçons. Moi si …
Je lui conseille de profiter de tous ces beaux mâles, je ne suis pas jaloux.
Après ce petit intermède, mon excitation est revenue et ma trique aussi. Je lui propose une sodomie douce et pleine de plaisir –pas comme celle d’hier-.
Rien à faire, elle refuse. Elle a encore trop mal au cul.
Tout compte fait, ça m’arrange. Je suis fatigué. Mais je ne suis pas un gougeât, je ne la laisse pas sans rien. Je me contente de la branler, comme hier. Son orgasme arrive très vite.
J’ai hâte de retrouver mon lit douillet. J’informe Coralie que je ne pourrais probablement pas la revoir avant son départ (vendredi). Pour amoindrir son chagrin je lui sors quelques bobards du genre :
Tu es belle, tu es sensuelle, tu trouveras d’autres amants. La vie est trop courte, il faut en profiter un maximum.
Je l’embrasse tendrement et je m’éclipse.
Je rentre chez moi, il est 5 heures !
Je suis réveillé à 11 heures par la sonnerie de mon portable. C’est Nathalie, la caissière du supermarché. Je l’avais oubliée celle-là !
Elle me propose de sortir samedi soir avec son fiancé et une amie.
Ce projet lointain (dans 2 jours) me convient tout à fait.
Je note son téléphone et je raccroche.
Ça alors ! Je ne m’y attendais pas ! Je vais pouvoir me taper une provençale. Est-ce qu’elles jouissent avec l’accent ??
Quel est le programme d’aujourd’hui ?
Carine et Sylvie ? Bonne idée, mais il faut que je fasse gaffe de ne pas me faire griller par Coralie.
Gaëlle, la fan de sodo ?
En tout cas, ce soir je le réserve à Sarah, celle qui ne couche pas le premier soir.
Je vais tenter le coup avec Carine. Elle est bien plus réservée que Sylvie mais elle me plait beaucoup plus. Et puis elle a des yeux gris-bleus, si clairs qu’ils me donnent le vertige –je suis attiré irrésistiblement vers ce vide-. (Oui, je suis poète à mes heures).
Je lui téléphone. Je lui propose de venir chez moi pour s’amuser. Elle peut éventuellement venir avec Sylvie. Elle refuse mollement et me révèle qu’elle a un copain, un garçon très gentil. Et –plus grave- elle est fidèle. Pas de chance pour moi. Pourquoi n’a-t-elle rien dit avant ? Pourquoi s’est-elle laissée lutiner ? Ça devait probablement l’amuser de me faire marcher.
J’essaye de la convaincre, mais je me heurte à un mur.
Je téléphone ensuite à Sarah. Je fixe un nouveau rendez-vous pour ce soir. Cette fois ce sera juste pour un verre (ça me coutera moins cher).
J’appelle maintenant Gaëlle. Je tombe sur son répondeur. Décidément, cette fille n’est jamais disponible. Je raccroche sans laisser de message.
MERCREDI, 2eme jour à Antibes.
Vers 8h30, ça se réveille dans le voisinage. C’est le moment pour moi de sortir.
Je laisse Coralie dans les bras de Morphée. Je lui écris un petit mot gentil : « Quelle nuit ! Je te téléphone très bientôt. Bisous Henri. »
Je reste quelques minutes à m’étirer devant la tente pour permettre aux autres campeurs de bien voir que c’est moi, oui, C’EST MOI ( !) qui ai provoqué ces hurlements de plaisir dans la nuit !
Je suis un peu déçu du peu de réactions.
Dans mes rêves les plus fous, j’avais imaginé que les hommes allaient m’applaudir, mi-admiratifs, mi-jaloux. Que les femmes, les yeux mouillés de désir et les jambes tremblantes (à moins que ce ne soit l’inverse), feraient la queue pour essayer la mienne … Rien de tout ça …
Un couple devant sa caravane me dévisage avec un air de reproche.
A coté, 3 jeunes filles qui prennent ensemble leur petit déjeuner devant leurs 3 petites tentes. Elles me regardent en riant. Voilà ce que je cherchais ! Je me dirige vers elles.
-« Bonjours mesdemoiselles. Pouvez-vous m’indiquer ou se trouvent les sanitaires ? »
L’une d’elles me répond aimablement.
J’engage la conversation :
-« C’est la première fois que je dors sous une tente. J’ai eu du mal à trouver le sommeil. Vous n’avez pas ce genre de problème ? »
-« On a l’habitude. Mais cette nuit, c’est vrai qu’il y a eu du bruit, hi, hi, hi » (elles pouffent toutes les trois.
-« J’espère que ce n’est pas moi qui vous ai dérangé. »
C’est toujours la même fille qui répond :
-« Ben, votre amie est un peu, euh…, expressive … »
-« Ce n’est pas vraiment mon amie, c’est plutôt une copine ».
-« Pourtant vous avez l’air de bien vous entendre ... » (re-rire des filles).
-« C’est une fille très sympa. Mais ce n’est pas mon genre ».
-« Ah, bon ?! Et c’est quoi votre genre ? »
-« Je ne sais pas … Peut-être les blondes avec l’accent belge. » (Les filles sont blondes ou châtain et j’ai cru déceler un léger accent belge).
Elles protestent :
-« Hé ! On n’a pas d’accent ! »
-« Mais qui a dit que je parlais de vous ? »
Les filles rient.
-L’une de vous pourrait-elle m’accompagner jusqu’aux douches ? J’ai peur de me perdre en route. Et puis on pourrait bavarder … »
La moins jolie des trois et la plus bavarde se porte volontaire.
-« Au revoir les filles. Et à bientôt j’espère. »
En chemin je papote avec Clara (c’est son nom). J’apprends ainsi que ses 2 copines ont été très troublées par les cris de la nuit. Je lui fais comprendre que je suis disponible. Elle me dit ne pas être intéressée, car elle vient de rencontrer un garçon « très bien » (sic).
Nous échangeons nos téléphones et nous nous séparons.
Je m’empresse de sortir mon calepin pour noter les informations sur les 3 belges (elles sont bien belges comme je le pensais).
-Clara : châtain clair. A déjà un copain. Grosse. Baisable sans plus.
-Carine : longs cheveux blonds, yeux gris-bleus, très très jolie. Étudiante.
-Sylvie : Blonde, cheveux courts. Pas mal du tout.
Je complète la fiche de Coralie : Sodomie, n’aime pas ça. Très bonne suceuse, elle avale. Clitoridienne. Mérite un deuxième service.
Il est bien sûr hors de question que je pénètre dans les sanitaires puants du camping. Je récupère mon scooter. Avant de rentrer à mon studio, je passe au supermarché acheter quelques babioles.
Je trouve la même caissière qu’hier. Elle me reconnaît.
-« Alors, toujours fiancée ? »
-« Hé oui. »
-« Dommage … Vous savez, je compte toujours sur vous pour me présenter une amie. Je suis seul, vous êtes d’accord que ça ne peux pas durer.»
Je lui redonne mes coordonnées qu’elle avait soi-disant perdues.
Je rentre enfin chez moi pour me laver, me raser, me reposer et grignoter.
Vers 11 h, j’appelle Sarah. Elle va confier son fils à une voisine. Nous serons tranquille pour ce soir. Ça promet. Le rendez-vous est pris.
J’ai mon après-midi de libre. Je songe à réitérer une activité récréative avec Gaëlle. Je m’apprête à l’appeler quand mon téléphone sonne.
C’est Clara, la belge boulotte, qui me propose d’aller à la plage avec ses 2 amies en début d’aprem. Elles tiennent à me connaître mieux. Ben voyons ! Mon plan « cris de jouissance » a parfaitement fonctionné.
J’accepte avec joie.
La baignade et la bronzette, c’est pas mon truc. Mais il faut savoir faire quelques sacrifices …
Je prends mon déjeuner dans un café du centre ville. Je téléphone à Coralie (que ferais-je sans mon portable ?). Je prétexte une réunion de famille, je ne pourrais pas la voir aujourd’hui. Elle est déçue. J’en profite pour me renseigner sur ses projets de l’après-midi. Coup de chance, elle ne va pas à la plage.
J’apprends aussi qu’une voisine lui a fait une remarque agressive « vous devriez avoir honte mademoiselle ! Il y a des enfants dans ce camping ». Coralie s’imagine que c’est le fait d’avoir amené un garçon dans sa tente qui lui est reproché.
J’appelle ensuite Gaëlle. Malheureusement son seul moment de libre c’est justement quand je dois voir les belges. Zut, crotte, merde. Le choix est cornélien. D’un coté il y a une fille, de l’autre trois. Tant pis pour Gaëlle.
A 15 heures, comme prévu, je retrouve Carine, Sylvie et Clara.
Sylvie et Clara sont en monokinis. Elles sont craquantes. Les seins de Carine sont parfaits, ronds et fermes. Ceux de Sylvie paraissent un peu misérables à coté.
Je n’aime pas le soleil, alors je préfère me jeter à l’eau tout de suite. Les filles me rejoignent.
Je chahute avec elles, je les pousse. Dans la mêlée, j’en profite pour les tripoter. On rit beaucoup. Tout cela me fait bander dur.
Et quand il s’agit de sortir de l’eau, je suis coincé. Les filles me demande de venir avec elles.
-« Je ne peux pas. Vous m’avez mis dans un tel état que ce serait indécent que je sorte ainsi. Attendez que je me calme. » Dis-je en restant accroupi dans l’eau.
J’essaye d’être assez discret pour que les autres baigneurs et bronzeurs ne s’aperçoivent de rien.
Sylvie est beaucoup moins discrète ! Elle est déchainée :
-« On veut voir ! On veut voir ! »
Je leur dit que c’est à elles de se déplacer, je refuse de bouger.
Mon sexe, comme je l’ai déjà dit, est plutôt imposant, il dépasse largement de mon maillot.
Clara ne participe pas à cette agitation, Son copain Kamel (un petit black musclé), vient d’arriver. Ils sont tous les deux occupés à s ‘embrasser.
Sylvie se déplace et demande à voir. Je lui montre la bête.
-« Whaoo ! C’est monstrueux ! Je comprends mieux les cris de cette nuit. Viens voir Carine ! ».
Moi qui ne voulais pas me faire remarquer, me voilà le centre d’intérêt de toute cette partie de la plage.
Carine refuse d’abord de venir, puis elle cède à l’insistance de Sylvie. Elle rougie en voyant l’engin qui dépasse.
Je joue les faux modestes.
Je sais bien qu’une grosse bite ne procure pas plus de plaisir qu’une petite -puisque les femmes sont essentiellement clitoridiennes-. Mais je suis plutôt fier de mon instrument.
J’arrive enfin à me calmer. Et je peux rejoindre ma serviette sous le regard goguenard de quelques individus.
Je me rends compte que j’ai attrapé un coup de soleil sur les épaules. Carine se précipite pour me passer de la crème. Quel plaisir de se faire masser par une jolie fille.
Kamel et Clara nous quittent. Nous imaginons qu’ils ont mieux à faire. Les plaisanteries fusent.
20 minutes plus tard, après une halte au café où je leur offre des rafraichissements, je raccompagne à pied ces demoiselles. 1 km sous le soleil, c’aurait pu être pénible, mais j’arrive à rendre cet épisode des plus agréable et ludique : je poursuit les filles, j’attire Sylvie, je lui mordille le cou, je lui glisse une main dans le slip, j’embrasse furtivement Carine sur la bouche. Tout ça comme des jeux d’enfants facétieux. Ça ne va pas plus loin.
Je suis sérieux, il faut que je garde mes forces pour Sarah !
Mon histoire d’héritage me sert une nouvelle fois d’excuse. Je promets à Carine et à Sylvie de leur téléphoner demain, et de m’occuper d’elles. L’allusion les fait rire. Deux petites connes qui frétillent, y’a rien de plus excitant.
Il faut ensuite que je me retape tout le trajet pour récupérer mon scooter.
Je rentre chez moi pour me préparer. Je me lave. Je m’équipe des indispensables préservatifs et lubrifiant.
Les vacances commencent bien. Je me suis déjà tapé 2 nanas. Plus une autre ce soir. Et j’ai en réserve les 2 petites belges !
Ça fait beaucoup. Beaucoup trop. Je ne vais pas pouvoir assurer, il va peut-être falloir que j’élimine le superflu …
Le diner se déroule merveilleusement bien. Le cadre est cossu, chaque table est dans un box séparé. La nourriture est raffinée. La conversation est détendue.
Nous évoquons nos vies respectives. Moi, bien sûr, je ne vais pas lui dire que je saute sur toutes les filles qui passent. Alors je m’invente un passé plus calme.
Elle me parle de son mariage, de son mari qui l’a quittée quelques mois après la naissance de Paul. De ses débuts difficiles dans l’enseignement. Je plaisante en imaginant que ses élèves doivent apprécier d’avoir une prof aussi bien roulée et sexy. Elle me précise qu’au collège elle s’habille très strict et qu’elle est très sévère.
A dire vrai, tout cela m’ennuie. Je ne pense qu’à son cul, à sa chatte qui mouille, à tout ce que je vais lui faire tout à l’heure.
A minuit 30, je la raccompagne à pied jusque chez elle. Devant la porte de son appart, je l’embrasse langoureusement. Je commence à lui peloter les seins et à soulever sa robe.
C’est alors qu’elle me repousse. Elle m’aime beaucoup, mais elle ne couche pas le premier soir.
Je l’implore du classique « tu ne peux pas me laisser comme ça ?! ». Mais rien à faire. Cette allumeuse me répond :
-« Tu peux bien attendre jusqu’à demain.»
LA SALOPE, LA SALOPE, LA SALOPE !
A son âge, elle en est encore à « je ne couche pas le premier soir, et gnagnagna .. » J’ai payé 100 euros de restau, j’ai subit 2 heures de conversation assommantes. Pour elle j’ai abandonné 2 jolies filles en chaleur.
Tout ça pour rien ! La salope !
Je ne laisse rien paraître de ma rage, je la quitte en restant aimable.
JEUDI, 3e jour à Antibes
A cette heure (1 heure du mat), il est trop tard pour appeler Gaëlle ou pour recontacter Sylvie ou Carine.
Je vais essayer de me faire sucer par Coralie. C’est le genre de remède qui devrait me calmer.
Je lui téléphone. Bien sûr elle dormait. Bien sûr, elle est contente que je vienne lui faire une petite visite.
Je prends des précautions pour ne pas me faire voir par les belges (de toute évidence elles dorment).
Après quelques caresses et bisous, je fais comprendre à Coralie que je veux qu’elle me taille une pipe.
Elle s’exécute. Et comme hier, elle avale tout. Malgré le plaisir, je prends bien garde de ne pas grogner.
Je bavarde un peu avec Coralie. Elle me raconte que 3 types du camping l’ont draguée, l’un d’eux a insisté pour qu’elle vienne visiter la couchette de sa caravane. Elle ne comprend pas ce soudain succès auprès des garçons. Moi si …
Je lui conseille de profiter de tous ces beaux mâles, je ne suis pas jaloux.
Après ce petit intermède, mon excitation est revenue et ma trique aussi. Je lui propose une sodomie douce et pleine de plaisir –pas comme celle d’hier-.
Rien à faire, elle refuse. Elle a encore trop mal au cul.
Tout compte fait, ça m’arrange. Je suis fatigué. Mais je ne suis pas un gougeât, je ne la laisse pas sans rien. Je me contente de la branler, comme hier. Son orgasme arrive très vite.
J’ai hâte de retrouver mon lit douillet. J’informe Coralie que je ne pourrais probablement pas la revoir avant son départ (vendredi). Pour amoindrir son chagrin je lui sors quelques bobards du genre :
Tu es belle, tu es sensuelle, tu trouveras d’autres amants. La vie est trop courte, il faut en profiter un maximum.
Je l’embrasse tendrement et je m’éclipse.
Je rentre chez moi, il est 5 heures !
Je suis réveillé à 11 heures par la sonnerie de mon portable. C’est Nathalie, la caissière du supermarché. Je l’avais oubliée celle-là !
Elle me propose de sortir samedi soir avec son fiancé et une amie.
Ce projet lointain (dans 2 jours) me convient tout à fait.
Je note son téléphone et je raccroche.
Ça alors ! Je ne m’y attendais pas ! Je vais pouvoir me taper une provençale. Est-ce qu’elles jouissent avec l’accent ??
Quel est le programme d’aujourd’hui ?
Carine et Sylvie ? Bonne idée, mais il faut que je fasse gaffe de ne pas me faire griller par Coralie.
Gaëlle, la fan de sodo ?
En tout cas, ce soir je le réserve à Sarah, celle qui ne couche pas le premier soir.
Je vais tenter le coup avec Carine. Elle est bien plus réservée que Sylvie mais elle me plait beaucoup plus. Et puis elle a des yeux gris-bleus, si clairs qu’ils me donnent le vertige –je suis attiré irrésistiblement vers ce vide-. (Oui, je suis poète à mes heures).
Je lui téléphone. Je lui propose de venir chez moi pour s’amuser. Elle peut éventuellement venir avec Sylvie. Elle refuse mollement et me révèle qu’elle a un copain, un garçon très gentil. Et –plus grave- elle est fidèle. Pas de chance pour moi. Pourquoi n’a-t-elle rien dit avant ? Pourquoi s’est-elle laissée lutiner ? Ça devait probablement l’amuser de me faire marcher.
J’essaye de la convaincre, mais je me heurte à un mur.
Je téléphone ensuite à Sarah. Je fixe un nouveau rendez-vous pour ce soir. Cette fois ce sera juste pour un verre (ça me coutera moins cher).
J’appelle maintenant Gaëlle. Je tombe sur son répondeur. Décidément, cette fille n’est jamais disponible. Je raccroche sans laisser de message.
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