9 jours tranquilles à Antibes. 5e chapitre.

- Par l'auteur HDS Henrivakan -
Récit érotique écrit par Henrivakan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : 9 jours tranquilles à Antibes.  5e chapitre. Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Jeunes Drague
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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9 jours tranquilles à Antibes. 5e chapitre.
(pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.


Je traine un peu en attendant le rendez-vous avec les belges. Je réfléchi à la stratégie pour amener la sage Carine dans mon lit.
L’astuce c’est de lui faire comprendre qu’elle rate beaucoup en restant fidèle. Tous ces plaisirs, ces expériences, ces rencontres, ces joies, que son petit ami ne pourra pas lui apporter …
Sylvie a déjà dû lui raconter mes exploits. De quoi l'émoustiller. Peut-être s’est-elle masturbée en pensant à moi ? …
Ça me fait penser que j’ai amené avec moi deux magazines féminins qui pourraient me servir. Je vais les chercher. Dans l’un il y a un horoscope érotique, dans l’autre un test assez « hard » sur la sexualité.
C’est dans les magazines féminins qu’il y a le plus de cul !

Je retrouve les filles au café. Après avoir discuté de leur circuit en car et d’autres bêtises, je parle de mes magazines et leur propose de faire les tests. Elles sont d’accord.
Je commence par l’horoscope érotique.
Sylvie (celle avec qui j’ai déjà couché) est gémeau : « Vous êtes une cérébrale. Les choses du sexe vous intéressent peu. Vous préférez les préliminaires à la pénétration. Meilleur partenaire : balance. »
Sylvie se révolte : « c’est complétement faux ! ».
Clara (celle qui est avec Kamel) est vierge. « Signe de la terre. Vous bouillonnez à l’intérieur. Vos fantasmes longuement contenus ne demandent qu’à exploser. Pratique préférée : le Sado-maso soft. Recevoir la fessée, être attachée, avoir les yeux bandés, c’est ce qui vous excite. Meilleur partenaire : vierge. »
Nous rigolons. Heureusement que notre table est un peu à l’écart.
Carine (celle que je veux me faire) est taureau : « Tempérament de feu. Vous dégagez un fort magnétisme sexuel. Vous aimez les pénétrations profondes et musclées. Position préférée : la levrette. Meilleur partenaire : poisson. »
Carine proteste : « C’est n’importe quoi ! »
J’interviens : « Peut-être que tu ne te connais pas bien. En tout cas, je suis poisson … On est fait l’un pour l’autre. »
Les filles sont toujours sensibles aux horoscopes, même celles qui prétendent ne pas y croire. Pour info, je ne suis pas poisson.

Cette première lecture commentée nous a bien amusé, nous passons au test sur la sexualité.
Il s’intitule « Êtes-vous un bon coup ? »
A chaque question il est proposé 3 réponses « A », « B » ou « C ». Celle qui a une majorité de « A » est un très mauvais coup : « vous êtes du genre coincée, votre copain –si vous avez réussi à en garder un- n’a pas de chance ». Pour une majorité de « B » : « vous aimez le sexe mais vous pouvez encore vous améliorer ». Pour une majorité de « C » : « Les hommes doivent se disputer votre compagnie. Vous aimez le sexe et vous aimez faire plaisir à votre partenaire. C’est tout ce que recherchent les hommes ».

Voici quelques-unes des questions les plus « hard » :
Combien de partenaires avez-vous eu ? :
A : moins de 3
B : entre 3 et 10
C : plus de 10

Avalez-vous le sperme ? :
A : jamais
B : parfois
C : souvent

Pratiquez-vous la sodomie ? :
A : jamais
B : parfois
C : souvent

Faire l’amour avec 2 hommes ?
A : jamais
B : pas encore, mais j’en rêve.
C : je l’ai déjà fait.

Chacune répond tour à tour. Ça suscite pas mal de commentaires du genre « Quoi ! T’as jamais fait ça, tu ne sais pas ce que tu rates ! ».
Je reste en dehors de la conversation et je me régale. Les meufs, lorsqu’elles sont en groupe, il suffit de les mettre à l’aise et d’orienter la conversation sur le cul, ensuite elles s’encouragent mutuellement à faire des confidences très osées. On peut plus les arrêter.
Ce test est l’occasion pour l’une ou l’autre de raconter ses expériences.
C’est Clara qui nous fait le récit le plus bandant. Elle nous raconte son initiation à la sodomie.
Pour fêter sa réussite au Bac, elle est partie en vacances en Grèce avec une amie.
« L’ambiance était chaude. On n’a pas arrêté de se faire draguer. Beaucoup de grecs sont très beaux et il est difficile de résister à la tentation. Dès le lendemain de notre arrivée, nous sommes sorties en boite avec deux beaux garçons qui nous avaient abordées sur la plage. 2 heures plus tard, j’étais au lit avec l’un d’eux. Après une fellation et une pénétration vaginale, il a voulu me sodomiser. J’étais plutôt réticente. Il m’a alors dit que c’était la spécialité du pays. Il a prétendu que de nombreuses femmes ne venaient en Grèce que pour ça. Je me suis laissée faire. La première fois ne fut pas géniale du tout. Mais il a recommencé plus tard, et cette fois, j’vous jure, j’ai pris un pied pas possible !
Au cours du séjour, j’ai couché avec deux autres types. Tous ont voulu me prendre par derrière.
Ma copine ne s’est pas ennuyée non plus.
La dernière nuit là-bas a été un peu glauque. Il vaut mieux pas que je vous raconte. »
Nous insistons, elle en a trop dit, on veut connaître les détails.
« Non, c’est trop crad »
Ça nous donne encore plus envie de savoir.
Elle finit par céder.
« Le dernier jour de notre séjour, mon amie Hélène est rentrée à l’hôtel vers 4 heures du mat. Elle était saoule et accompagnée par 1 grec et un noir. Le grec avait l’air d’un voyou. Le noir était, je crois, le videur de la discothèque. Leur arrivée bruyante m’a réveillé (j’étais seule). Hélène rigolait bêtement et se laissait peloter. Les garçons ont proposé une partouze. J’ai refusé.
J’étais inquiète de laisser ma copine avec ces 2 types louches. J’ai essayé de la raisonner, mais rien à faire.
Le noir s’est foutu à poil et en exhibant son sexe dressé il m’a dit en anglais « regarde ce que tu rates ! ». Il avait une bite énorme. J’en avais jamais vu de pareille. Ça n’a fait que renforcer mes inquiétudes.
Mais bon, qu’est-ce que je pouvais faire ? Je leur ai juste dit de mettre des préservatifs et je suis sortie.
20 minutes plus tard, je suis revenue devant la porte de la chambre. Les bruits qui s’en échappaient indiquaient clairement que tout se passait bien. Très bien pour Hélène et les garçons (on rigole tous). Ses soupirs et ses cris de jouissance m’ont presque fait regretter de ne pas être restée.
Je me suis promenée encore une demi-heure. Quand je suis revenue, il n’y avait plus de bruit, j’ai ouvert la porte. Les gars étaient partis. Ils avaient laissé la lumière allumée. Hélène ronflait à poil sur le lit, dans une position indécente.
Le spectacle était plutôt dégeu. Des capotes usagées, des mouchoirs sales, du sperme, des taches marron (j’vous avais prévenu que c’était sordide). Encore pire, à y regarder de plus près, j’ai vu que du sperme s’écoulait du cul d’Hélène ! Vous vous rendez compte, un de ces salauds l’avait enculée sans préservatif !
J’ai rangé un peu. A midi Hélène a émergé avec la gueule de bois. Elle ne se souvenait pas des détails de sa nuit. Elle a paniqué en apprenant qu’il n’y avait pas eu de préso.
Heureusement tout ça s’est bien terminé. Elle a fait des tests en rentrant. Elle avait rien choppé ! »
A l’écoute de ce récit, Carine est devenue rouge. Est-ce parce qu’elle est choquée, ou parce qu’elle est excitée ?

Sans surprise, aux résultats du test, c’est Clara qui l’emporte avec une majorité de « C ». Sylvie arrive ensuite à cheval sur « B » et « C ». Quant à la pauvre Carine, elle a surtout des « A ». L’une des seules réponses « B » qu’elle ait donnée est pour la fellation, elle accepte de temps en temps d’avaler.
Nous charrions gentiment Carine. Et avec l’aide de Sylvie, j’enfonce le clou, je lui sors les arguments classiques des séducteurs :
-« Il faut tout essayer, sinon comment tu peux savoir si tu aimes ou pas … »
-« Si t’as eu qu’un seul mec, comment tu peux savoir que c’est le bon ? Il faut pouvoir comparer pour choisir. »
-« Tu aimes la cuisine de ta mère, ça ne doit pas t’empêche d’aller au restau de temps en temps. » (Pour ceux qui n’auraient pas compris, ceci est une métaphore, il faut comprendre : ton mec baise correctement, mais ça ne doit pas t’empêcher de gouter à d’autres hommes.)

Je propose à Carine de venir chez moi avec Sylvie pour un plan à trois, pour qu’elle commence à faire de nouvelles expériences. Elle refuse l’air outré.
Sylvie vient à mon secours.
-« Allez, viens, ça va être drôle ! ».
Elle rit, mais refuse.
Clara n’est pas concernée, elle a précisé que Kamel lui suffisait amplement.
Tant pis. J’entraine Sylvie chez moi.
Tous ces récits m’ont excités. Ça va être sa fête !

Une fois dans mon studio, je trouve un moment pour mettre en route la caméra, et c’est parti !
Sylvie est déchainée, elle veut que je la baise sans préliminaire.
Je change plusieurs fois de positions. Je tente même, à tout hasard, une sodomie, mais elle m’en empêche. Idem pour y mettre un doigt. Je vais lui conseiller de planter sur son trou de balle un écriteau « propriété privée, défense d’entrer », ce sera plus clair.
Plutôt mijaurée pour une fille qui se prétend libérée !
J’arrive enfin à la faire jouir. Une fois calmée, elle se jette sur moi, elle arrache le préservatif et embouche goulument ma queue. C’est génial !
J’adore quand une fille prend l’initiative de me sucer après la baise. C’est encore meilleur après une sodo et encore mieux quand il n’y a pas eu de capote. C’est un signe d’abandon total !
J’éjacule dans sa bouche. Sylvie va tout recracher dans le lavabo. J’en profite pour éteindre la caméra.
Puis nous nous endormons l’un contre l’autre.
Oui, je lui fais la grande faveur de partager ma nuit. C’est surtout que j’ai la flemme de la raccompagner.

SAMEDI. 5e jour à Antibes

Une sorte de pieuvre monstrueuse enserre mon sexe. Cette bestiole ouvre une bouche couverte de ventouses baveuses. Elle aspire ma queue !
Je me réveille en sursaut. Sylvie est en train de me sucer. Elle me fait mal, car j’ai une furieuse envie de pisser.
Je l’arrête, je l’embrasse, je la remercie pour cette délicieuse manière de me dire bonjour.
Je fais ce que j’ai à faire, puis je descends acheter des croissants et du lait frais.
Nous prenons ensemble notre petit déjeuner. Sylvie est restée nue.
Elle me demande alors pourquoi je suis ainsi à vouloir coucher avec toutes les femmes.
L’ambiance paisible de cette matinée m’incite à lui faire une confidence que je n’avais jamais faite.
Je lui raconte l’épisode de ma jeunesse qui fut déterminant.
« A 18 ans, j’étais encore puceau. J’étais alors assez timide et ça ne facilitait pas les choses.
Dans ma classe de terminale, j’étais secrètement amoureux d’une jolie fille, très douce, qui s’appelait Armelle. Après plusieurs mois, j’avais enfin osé l’aborder et nous sommes sortis ensembles quelques fois. Sortir dans le sens aller au cinéma, réviser nos cours, rien de plus.
Je suis allé jusqu’à lui demander si je pouvais l’embrasser, mais elle n’a pas voulu. Je n’ai pas insisté. J’avais alors l’idée qu’une fille doit être respectée.
Dans ma classe, il y avait un type, genre footballeur américain, baraqué, sûr de lui et une bite à la place du cerveau. Il avait redoublé deux fois. C’était un dragueur irrépressible. Après avoir couché avec une nouvelle conquête, il venait s’en venter auprès des garçons de la classe. Bref, le mec à vomir !
Je ne comprenais pas comment un mec ignoble comme lui pouvait tomber autant de nanas et moi aucune !
Vers la fin de l’année, au retour d’un week-end, le footballeur vient discuter avec mon groupe de potes et il annonce fièrement :
-« Samedi soir je me suis fait Armelle » -Armelle, MA copine !-
Il poursuit :
-« Quelle salope celle-là ! Je lui ai tout fait. Quelle salope ! » (Son vocabulaire était assez limité).
François un de mes copains a rétorqué :
-« C’est pas vrai, Armelle aurait jamais accepté de coucher avec toi ! »
-« C’est une salope j’vous dis. Elle est folle de ma queue ! Pour vous le prouver, si vous voulez, je lui demande de me suivre et je la tire dans les chiotte … J’vous jure c’est une vraie salope !»
Sous le regard goguenard des garçons, le footballeur s’approche d’Armelle, il lui susurre quelques mots à l’oreille. Puis il se dirige vers les toilettes.
Aussi incroyable que ça puisse être, Armelle le suit à quelques mètres, l’air de rien !!
J’y croyais pas ! Le ciel me tombait sur la tête !
J’ai refusé de suivre les garçons qui se sont précipités aux toilettes pour assister au spectacle.
François est ressorti quelques minutes plus tard.
« T’as rien raté » M’a-t-il dit. « Ils se sont enfermés. On n’a rien vu. On a juste entendu quelques vagues soupirs »
Le footballeur a, bien sûr, largué Armelle quelques jours plus tard. Et moi je n’ai plus jamais adressé la parole à cette fille.
Cette histoire m’a fait prendre conscience que les femmes sont attirées par les salauds comme les papillons de nuit par la lumière.
Les femmes elles aiment les hommes à femmes, comme dit la chanson.
J’ai décidé d’en profiter aussi. Y’avait pas de raison qu’il y ait que les pourris qui s’amusent et se les tapent toutes ! En plus, moi je le fais avec élégance. »

A la fin de ce récit, il est déjà 12 h. Je propose à Sylvie de la ramener près du camping.
Si elle reste, je vais être tenté. Ces quelques jours de vacances m’ont épuisé. Je ne suis pas Superman. Ma bite n’est pas une mitraillette. J’ai bien amené quelques pilules bleues, mais j’aime autant ne pas les utiliser.
Il faut pourtant que je sois en forme pour ce soir. Et oui, je sors en discothèque avec la caissière et sa copine !
Sylvie voudrait bien rester ou qu’on se revoit ce soir. Je lui explique que je suis pris par une réunion de famille (toujours cet héritage).
Nous prenons rendez-vous pour demain (dimanche) après-midi. Surtout, j’insiste pour qu’elle arrive à convaincre Carine.
Je l’abandonne à quelques rues de chez moi car elle avait des courses à faire.

Fin du 5e chapitre.

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