Neuf jours tranquilles à Antibles. 9e chapitre. - histoire érotique

(Pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.

9e chapitre

Je descend manger un morceau, puis je retourne chez moi pour attendre Sylvie.
Elle arrive à 14h30. Elle aimerait bien baiser. Elle m’embrasse et me caresse sans équivoque. Il faut dire qu’elle a pas eu sa dose hier. Et puis elle veut profiter de moi avant mon départ (mes vacances finissent très bientôt).
Mais Sylvie ne me fait plus aucun effet, elle me paraît bien fade. Et puis mes batteries sont à plat, mes couilles sont vides (je sais qu’en réalité c’est plutôt ma prostate qui est vide, mais c’est moins expressif).
Je prends une mine triste et fatiguée. Je lui fais le coup de « je ne me sens pas bien aujourd’hui. Je dois couver une maladie. » Hé oui, le « pas ce soir chéri, j’ai la migraine » n’est pas réservé aux femmes …
Elle insiste pour me faire une tisane, ou autre chose.
-« Tu es trop gentille, mais je préfère que tu partes. Si tu restes je ne pourrais pas résister à la tentation et je n’ai plus de force. Retrouvons-nous demain. J’espère que je serais rétabli et nous rattraperons le temps perdu. »
Tous ces bobards la satisfont. Elle s’en va. Bon débarras …

Je sors. Je traine dans les rues d’Antibes. Toutes ces jolies filles ne me font aucun effet. Je ne pense qu’à Carine.

Je retourne chez moi pour me préparer pour ma soirée et bien vérifier que j’ai les équipements nécessaires.
Juste avant que je parte, Sarah m’appelle. Elle n’a pas trouvé de baby-Sitter pour ce soir. Mais elle me dit de venir quand même. Il faudra juste ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller Paul. Ça risque d’être difficile !
J’avale une pilule bleue et j’y vais …
A 22 h, je tape doucement à la porte de Sarah.
J’ai amené une boite de bonbons pour son fils, le cadeau que je réserve pour elle est dans mon slip.
Elle m’ouvre. Toujours aussi élégante et sexy.
-« Ne fait pas de bruit, Paul vient juste de s’endormir. »
Nous allons directement nous enfermer dans sa chambre. Elle y a préparé des rafraichissements.
Après quelques banalités, j’engage la conversation vers ce qui m’intéresse (d’autant plus que la pilule commence à faire son effet).
-« Alors, tu as fait la liste ? »
-« Tu es vraiment un cochon. Tu crois que c’est nécessaire ? »
-« Allez, donnes-moi cette liste. »
Non, elle ne l’a pas écrite. Faute de confidences sur papier, j’obtiens ses confidences orales.
Elle se lance alors, sans véritable gène, dans le récit de ses aventures sexuelles.
Après son divorce, elle a eu une courte période « collectionneuse d’hommes » au cour de laquelle elle s’est fait plus d’une vingtaine de mecs de tous genres (jeunes, vieux, blacks, maghrébins, grosses bites, petites bites, …). Des relations d’un soir ou de plusieurs semaines. Pour la plupart rencontrés sur internet.
A l’en croire, elle n’a pas fait grand chose d’extraordinaire avec ses nombreux ex. Rien que du classique : fellation parfois complète (elle avale), baise dans diverses positions, cuni, sodomie. Pas de partouze, pas de gang bang, pas de SM, pas d’expérience homosexuelle …
Je lui pose quelques questions pour avoir plus de détails.
J’apprends ainsi que son mari n’était pas imaginatif en amour et qu’il était du genre éjaculateur précoce.
L’un des amants qu’elle a eu ensuite, « très viril » (je pense que ça veut dire gros sexe), lui a fait découvrir qu’elle était vaginale et lui a fait aimer la sodomie -jusque là elle le faisait pour faire plaisir à ses partenaires-. Voilà deux bonnes nouvelles. C’est avec lui qu’elle a aussi essayé 3 ou 4 fois la double-pénétration (homme + vibro). Voilà une troisième bonne nouvelle. Leur relation n’a duré que quelques mois car il était marié.
Une fois, un type se vantait d’être endurant et de faire jouir toutes les femmes. Elle a voulu l’essayer. Pour être endurant, il était endurant ! C’était tellement long et ennuyeux qu’elle s’est endormie avant qu’il ait fini.
Autre anecdotes insolite : elle est sortie avec un prof d’EPS qui n’arrivait à jouir qu’en se branlant en la regardant faire pipi.
Ça l’amuse beaucoup de me raconter tout ça. Elle est même assez fière du succès qu’elle a eu auprès des hommes. Dire que c’est la même femme qui refusait, il y a quelques jours, de parler de sexe et qui refusait de coucher le premier soir …

Pour finir, cela fait 6 mois qu’elle est seule.
Il y a quelque chose qui cloche dans cette histoire. Comment une vaginale aurait-elle pu se passer de bite pendant 6 longs mois ! C’est incroyable ! Une clitoridienne peut se caresser et être pleinement satisfaite sans homme. Ce n’est pas le cas d’une vaginale. Il lui faut une bite !
Une vraie ou une en plastique ...
-« Allez, tu vas pas me faire croire que tu n’as pas baisé pendant tout ce temps … »
-« Non, je t’assure ! »
Je sens bien qu’elle cache quelque chose.
-« Y’a pas de honte à avoir. Avoue, tu te sers d’un godemiché, c’est ça ! Ou alors d’un vibro ou d’un concombre ? »
Elle finit par avouer.
-« Bon, c’est vrai, j’utilise de temps en temps un gode. Et alors …»

Maintenant que j’ai eu l’inventaire de ses expériences sexuelles, nous pouvons passer à la pratique.
Nous finissons de nous déshabiller mutuellement en nous caressant et en nous embrassant. Elle me suce alors que j’explore son intimité avec mes doigts.
Je constate qu’elle mouille beaucoup. Toutes ces questions indiscrètes l’ont bien excitée. Pas besoin de préliminaires !
Je la prends en levrette (la position préférée des vaginales).

Cette chienne a dit vrai. Elle est vaginale ! Elle se tortille sur ma queue, sans s’astiquer le minou !
Après plusieurs minutes de ce traitement, elle mouille tellement que je ne sens plus grand chose. Seuls les « Flic-floc » qui proviennent de sa chatte et les « ha, ha, ha » qui proviennent de sa bouche, m’indiquent que tout se passe bien.
Pour resserrer un peu ce vagin, décidément beaucoup trop large, j’enduis mon pouce de mouille et je l’enfonce dans son anus.
C’est beaucoup mieux ! Mais je n’ai pas vraiment le temps d’en profiter. Cette intrusion de mon doigt déclenche sa jouissance.
Elle se contracte et elle se met à hurler ! Oui, à HURLER comme si on l’assassinait !
Malgré le bruit, j’entends la porte s’ouvrir. J’ai tout juste le temps de me jeter sur le coté et de tirer les draps sur nous. Petit Paul entre dans la chambre, tout ensommeillé.
-« Pourquoi tu crie maman ? C’est le monsieur qui t’a fait mal ? »
Encore secouée de spasmes, Sarah répond en tremblant :
-« Non, non mon chéri … »
Je viens à son secours :
-« J’ai raconté une histoire drôle à ta maman. C’est ça qui l’a fait hurler de rire. C’est tout. »
-« C’est quoi cette histoire ? » Demande-t-il naïvement.
Je suis un peu pris de cour, mais je finis par trouver une histoire racontable.
-« Hé bien, c’est l’histoire d’un horrible sorcière. Elle s’appelle PERSONNE. Elle est vieille, elle est laide, elle sent très mauvais, elle ne se lave jamais et elle est très méchante. Un jour, elle croise ta maman dans la rue et elle lui ordonne de lécher les fesses d’un policier énorme qui passe par là.
Que fait ta mère d’après toi ? Elle obéit ou pas ? »
Paul me répond :
« Non, non jamais ! »
Je poursuis mon histoire :
-« Tu as raison. Alors la sorcière elle dit à ta maman de lécher les fesses d’un clochard qui dort sur le trottoir. Que fait ta mère ? Elle lui lèche les fesses ou pas ? »
-« Non, non ! »
-« Mais alors, ta mère elle va lécher les fesses de qui ? »
Le pauvre Paul répond sans hésiter :
-« De personne ! »

Sarah est pliée en deux. Petit Paul n’a pas compris. Je lui explique que PERSONNE c’est le nom de la sorcière. Donc il pense que sa mère acceptera de lécher les fesses de la sorcière.
Paul essaye de se justifier, il est très embêté.
Sarah se lève, après avoir enfilé une robe de chambre, elle rassure son fils et le raccompagne dans sa chambre.

Elle revient après quelques minutes.
-« Ouf, ça y’est, il dort. »

Je n’ai toujours pas éjaculé et je suis en pleine forme (toujours les effets de la pilule miracle).
Je lui demande de sortir son gode. Elle refuse :
-« Tu es bête. On n’en a pas besoin. »
-« Si, pour ce que je veux te faire, il me le faut ! »
Sarah est à la fois effrayée et curieuse :
-« C’est quoi ton idée ? »
-« J’ai bien envie d’essayer une double pénétration … »
-« Non ! Tu es dégoutant ! » Dit-elle outrée.
J’ai un bon argument à lui sortir :
-« C’est moi qui suis dégoutant ?! C’est la meilleure ! Et toi qui acceptes de lécher le cul d’une horrible sorcière ! »
Elle rit. J’insiste encore un peu, elle finit par céder si je promets de ne pas me moquer. Me moquer de quoi ? Un gode c’est un gode.
Elle le sort, il était simplement caché dans une boite sous le lit.
Je comprends maintenant pourquoi elle faisait tant de manières. Il est ENORME !
Bien plus gros que ma bite ! Probablement le moulage d’une star du porno très avantagée par la nature.
Voilà pourquoi son vagin est si large !
Malgré ma promesse, je ne peux m’empêcher de faire la réflexion :
-« Ben ma cochonne, tu aimes les grosses bites toi ! » « Je sais pas si j’arriverais à te le mettre dans le cul … »
Elle me suggère de réserver le gode pour le vagin. Je persiste dans mon idée.
Elle accepte d’essayer.
Dire que c’est la même femme qui refusait il y a quelques jours de coucher le premier soir …

Elle s’éclipse dans la salle de bain quelques minutes.
Quand elle revient, je la fais mettre à 4 pattes.

Vu le calibre de l’engin, je préfère élargir le passage avec mon chibre. Et puis ainsi j’aurais la satisfaction d’avoir visité ses trois trous dans la même soirée.
Je me présente devant le petit trou. J’y rentre sans vraie difficulté. Je devine que Sarah a du placer là une gélule de vaseline ou un truc du même genre, car ça glisse tout seul.
Je progresse lentement pour ne pas lui faire trop mal.
Quand tout est entré, j’attends un peu sans bouger, puis j’entame un léger va-et-vient.
Sarah se détend et son anus idem.
Le passage est ouvert, je peux envoyer maintenant la grosse artillerie.

J’attrape le lubrifiant, j’en tartine largement le sexe artificiel. Je le pose sur l’anus et je pousse !
-« Non, non, arrête, arrête ! »
Je n’en fais rien, d’autant que ça commence à rentrer.
J’ai droit à d’autres jérémiades, mais je continue l’introduction du membre en caoutchouc.
J’y vais avec précaution. Un tel calibre risquerait de la blesser.
J’arrive au bout. Je suis épaté qu’un tel morceau ait pu rentrer. Vu le peu de réticences de Sarah et cette entrée relativement aisée, je pense que ce n’était pas une première visite … Quelle salope !
Dire que c’est la même femme qui refusait il y a quelques jours de coucher le premier soir …

Je laisse l’objet bien calé et je la pénètre vaginalement.
C’est maintenant très très serré. Plus serré que le cul d’une pucelle !
J’ondule du bassin pour bien masser son point G.
Visiblement ça lui plait.
Elle se cale sur mon rythme.
A chaque mouvement, elle laisse échapper des soupirs. Ses soupirs deviennent des râles.
J’actionne maintenant le sex-toy.
Elle enfouit sa tête dans l’oreiller.
Elle se cambre pour me permettre d’enfoncer encore plus loin les deux queues.
C’est elle qui fait maintenant tout le travail. Elle recule ses fesses de plus en plus violemment.
Ce qui devait arriver arriva : son corps est secoué de tremblements démentiels. Elle étouffe ses cris dans l’oreiller.
Elle a jouit avec une grosse bite dans la chatte et un monstre dans le cul ! Et dire que c’est la même femme qui refusait il y a quelques jours de coucher le premier soir …
Coup de chance, petit Paul ne se réveille pas, sinon il aurait assisté à la fin d’un spectacle strictement réservé aux adultes avertis.

Encore quelques mouvements et je pars à mon tours.
Je sors ma bite.
C’est Sarah elle-même qui extrait délicatement le gode, puis elle s’enfuit à la salle de bain (je pense que ces mouvements, cette dilatation et cette vaseline ont probablement eu quelques conséquences).

Quand elle revient, elle se blottit contre moi. Elle me demande toute contente :
-« Alors, ça t’a plus ? »
Je ne peux pas lui répondre car, comme tous les hommes après une bonne baise, je dors.

Fin du chapitre 9