A cause d'un sourire
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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A cause d'un sourire
Elle sourit, comme ça, sans raison apparente, je me tourne, à près tour ce sourire était destiné à une autre personne. Je reviens vers elle: je la détaille lentement: des yeux presque verts, belle paire de seins, une taille fine sans qu'elle soit maigre. Finalement le sourire était pour moi: je le lui rends en espérant de sa part pus qu'un simple sourire. Je m'approche d'elle: ce n'est pas facile de fendre la foule. Enfin je la détaille de près: elle est plus belle encore.
- Bonjour !
- Bonjour monsieur !
- Non par monsieur, je m'appelle Yves.
- Bonjour Yves.
- Comment vous vous appeliez ?
- Moi ? Huguette. Ne restons pas là: je n'aime pas parler devant tant de gens.
- Où allons-nous ?
- Peu importe: à un endroit plus calme.
Je la prends par le bras, l'emmène dans mon endroit secret: un petit bistro dont je connais fort bien le patron et où, souvent je viens avec des filles.
Nous allons à l'endroit le plus sombre, je commande deux catés et enfin nous pouvons parler. Elle me raconte son histoire: elle n'est en ville que depuis 15 jours, n'y connaît personne à part ses collègues de bureau. Avant elle avait un ami qu'elle ne peut plus voir, qui a rompu d'avec elle à cause de son départ. La solitude lui pèse: elle aimerait avoir une personne avec qui bavarder.
Elle me plait bien: je me verrai bien comme confident, un confident d'oreiller plutôt. Je ne peux pas lui demander, comme ça de coucher avec moi. Je suis d'accord, nous pourrons nous revoir autant qu'il lui plaira. Elle me fait encore un beau sourire, m'embrasse sur la joue en me remerciant.
Nous sommes samedi après midi: je l'invite à venir au cinéma pour la séance de 21 heures. Elle accepte volontiers. Quand nous sommes dans la salle, le film se déroule: je n'en voit que la moitié, occupé que je suis par Huguette: je la regarde, elle, plutôt que l'écran. Quand nous sortons je la remmène chez elle. Nous nous embrasons comme frères et sœur. Juste avant de rentrer chez elle, elle me dit à demain vers 17 heures au café.
Il me tarde de la revoir: je commence à avoir une envie folle de son corps. Le lendemain arrive, je suis à la même place qu'hier: elle arrive joyeuse: encore une bise sur la joue. Enfin presque sur la joue: une partie de sa bouche est sur la mienne. Elle rougit un peu: elle est charmante. Après avoir commandé je pose ma main sur la sienne. Elle ne se dérobe par, au contraire, Je la lui caresse longuement: elle se laisse faire. Nous bavardons jusqu'au moment où je lui demande si elle s'entendait bien avec son ex: finalement pas tellement. Huguette me demande si j'ai quelqu'un dans ma vie. Comme un jeune amateur je lui réponds que c'est elle qui est la vie. Elle me regarde, mi sérieuse, mi amusée. Elle ne peut pas être dans ma vie depuis que nous nous connaissons, depuis hier seulement.
Pourtant c'est vrai j'ai pensé à elle une bonne partie de la nuit et toute la journée. Elle parait à moitié convaincue: elle aussi a pensé à moi. Je m'enhardie, prends son menton lui tourne la tête pour l'embrasser non plus sur la joue. Mes lèvres sont sur les siennes. Ma langue cherche à ouvrir sa bouche, enfin elle sort sa langue. Nous nous embrassons longtemps. Elle passe ses bras autour de mes épaules: je la tiens par les hanches. Je monte une main vers le sein le plus proche, je le caresse à travers ses vêtements. Ses lèvres appuient encore plus sur ma bouche. Elle accepte que j'aille plus loin peut-être. Je pose une main sur sa cuisse. Je monte doucement par-dessous sa jupe. Sa réaction me plait beaucoup, elle écarte ses jambes pour que j'arrive à son sexe. J'écarte son string pour chercher son bouton. Elle est entièrement mouillée. Elle a envie au moins d'une masturbation. Ça j'aime le faire. Je le lui caresse longuement: notre baiser continue. Elle pousse un long soupir quand elle jouit. A son tour elle pose sa main sur ma queue bien bandée, elle fait descendre la fermeture éclair, me sort la bite et entame une masturbation comme je n'en ai jamais connue. Elle continu juste un moment avant de me dire que nous serions bien mieux chez elle.
C'est une invitation à la baise, il me semble. Nous partons en nous arrêtant en route souvent pour nous embrasser comme de jeunes amoureux. La seule différence est que nous nous touchons souvent là où les jeunes amoureux n'osent pas. Enfin, chez elle je l'embrasse sur la bouche. Nous ne sommes gênés pas personne. Je relève sa jupe, lui fait baisser le string, ma main revient sur son clitoris, je veux la faire jouir une autre fois. Son plan est différent, elle me veut dans la chambre. Nous sommes très vite nus: enfin je peux la voir en détail de très près: je la fais tourner sur elle même pour tout voir. Elle tourne comme si elle montrait une robe d'un grand couturier. Elle est splendide. Elle aussi me regarde d'abord ma bite, puis mes pectoraux. Je ne suis pas un apollon, loin de la. Je ne suis pas trop mal bâti, c'est tout. Elle voit que je bande, ça lui suffit. Elle m'entraîne sur le lit: je me couche à ses côtés, elle pose sa tête sur mon épaule. Je lui caresse à nouveau un sein avant de remettre ma main sur son clitoris. Je la branle encore une fois: elle jouit. Elle aussi m'a prit la queue dans une main et me masturbe avec toujours le même enthousiasme. Elle fait plus de mouvement que moi qui n'ai qu'à bouger deux doigts, alors qu'elle va et vient sur la pine avec de lents mouvements au début pour me faire jouir en finissant très vite. Quand mon sperme sort elle est satisfaite: elle me dit aimer voir le sperme sortir d'une bite. Elle est bien servie: je jouis longtemps il me semble que je me vide complètement.
Huguette sait que pour le moment je suis hors jeu. Il n'empêche qu'elle continue à me caresser la bite. Elle m'embrase à nouveau: elle aimerai que je la suce. Je suis sur le point de me tourner pour lui faire un bon cunnilingus: elle ne le veut pas, se lève au contraire pour venir poser sa moule en entier sur ma bouche. Je sens son odeur de cyprine et la douceur de ses lèvres. Je lui mets la langue d'abord sur son anus, j'y rentre un peu. J'entends Huguette me dire qu'elle aime ça. Je continue: je mets ma langue dans sa vulve, elle aime ça. J'ai ma langue sur son clitoris, elle aime également. Je bande à nouveau: elle se penche complètement pour que nous fassions un 69. Elle ne fait pas ça pour moi, c'est pour elle qui aime avoir une bite dans la bouche. La mienne doit lui convenir.
Enfin nous reprenons une position plus normale, plus catholique diraient certains à juste titre. Je veux la baiser avant tout. Elle me prend sur elle, écarte les jambes. Elle ne me guide même pas vers son sexe: j'y vais tout seul. Dès que je suis en elle, elle recommence à soupirer jusqu'à ce qu'elle jouisse. Je suis bien plus long à jouir maintenant. Je la tourne en levrette: elle se mouille l'anus, ouvre bien ses fesses. J'arrive à rentrer en elle facilement: c'est vrai qu'elle aime la sodomie: elle a du se faite mettre souvent par là. Je lime un bon moment, elle soupire encore tout le temps de mon enculade. Pour lui donner encore plus de plaisir je passe ma main sous elle, lui trouve le bouton le caresse. Elle jouit ainsi eux fois plus vite. Je continue jusqu'à sentir encore une autre jouissance quand je jouis dans son cul.
Nous reprenons nos esprits en nous embrassant encore. Je la caresse longuement comme je le ferais à une chatte, elle ne ronronne pas, elle murmure des mots d'amour. Je ne sais s'ils s'adressent à moi. En tout cas nous passons la nuit ensemble. Le matin nous avons du baiser quatre ou cinq fois, autant que la première fois.
Pour marquer la fin du jour nous nous dévergondons: Huguette ouvre ses jambes, pose une main sur son clitoris, le caresse pour finalement me demande de me branler aussi devant elle. C'est parait-il pour créer des liens indissolubles.
Je ne sais si c'est réellement à cause de ça: nous vivons ensemble depuis: nous devons nous marier sous peu.
- Bonjour !
- Bonjour monsieur !
- Non par monsieur, je m'appelle Yves.
- Bonjour Yves.
- Comment vous vous appeliez ?
- Moi ? Huguette. Ne restons pas là: je n'aime pas parler devant tant de gens.
- Où allons-nous ?
- Peu importe: à un endroit plus calme.
Je la prends par le bras, l'emmène dans mon endroit secret: un petit bistro dont je connais fort bien le patron et où, souvent je viens avec des filles.
Nous allons à l'endroit le plus sombre, je commande deux catés et enfin nous pouvons parler. Elle me raconte son histoire: elle n'est en ville que depuis 15 jours, n'y connaît personne à part ses collègues de bureau. Avant elle avait un ami qu'elle ne peut plus voir, qui a rompu d'avec elle à cause de son départ. La solitude lui pèse: elle aimerait avoir une personne avec qui bavarder.
Elle me plait bien: je me verrai bien comme confident, un confident d'oreiller plutôt. Je ne peux pas lui demander, comme ça de coucher avec moi. Je suis d'accord, nous pourrons nous revoir autant qu'il lui plaira. Elle me fait encore un beau sourire, m'embrasse sur la joue en me remerciant.
Nous sommes samedi après midi: je l'invite à venir au cinéma pour la séance de 21 heures. Elle accepte volontiers. Quand nous sommes dans la salle, le film se déroule: je n'en voit que la moitié, occupé que je suis par Huguette: je la regarde, elle, plutôt que l'écran. Quand nous sortons je la remmène chez elle. Nous nous embrasons comme frères et sœur. Juste avant de rentrer chez elle, elle me dit à demain vers 17 heures au café.
Il me tarde de la revoir: je commence à avoir une envie folle de son corps. Le lendemain arrive, je suis à la même place qu'hier: elle arrive joyeuse: encore une bise sur la joue. Enfin presque sur la joue: une partie de sa bouche est sur la mienne. Elle rougit un peu: elle est charmante. Après avoir commandé je pose ma main sur la sienne. Elle ne se dérobe par, au contraire, Je la lui caresse longuement: elle se laisse faire. Nous bavardons jusqu'au moment où je lui demande si elle s'entendait bien avec son ex: finalement pas tellement. Huguette me demande si j'ai quelqu'un dans ma vie. Comme un jeune amateur je lui réponds que c'est elle qui est la vie. Elle me regarde, mi sérieuse, mi amusée. Elle ne peut pas être dans ma vie depuis que nous nous connaissons, depuis hier seulement.
Pourtant c'est vrai j'ai pensé à elle une bonne partie de la nuit et toute la journée. Elle parait à moitié convaincue: elle aussi a pensé à moi. Je m'enhardie, prends son menton lui tourne la tête pour l'embrasser non plus sur la joue. Mes lèvres sont sur les siennes. Ma langue cherche à ouvrir sa bouche, enfin elle sort sa langue. Nous nous embrassons longtemps. Elle passe ses bras autour de mes épaules: je la tiens par les hanches. Je monte une main vers le sein le plus proche, je le caresse à travers ses vêtements. Ses lèvres appuient encore plus sur ma bouche. Elle accepte que j'aille plus loin peut-être. Je pose une main sur sa cuisse. Je monte doucement par-dessous sa jupe. Sa réaction me plait beaucoup, elle écarte ses jambes pour que j'arrive à son sexe. J'écarte son string pour chercher son bouton. Elle est entièrement mouillée. Elle a envie au moins d'une masturbation. Ça j'aime le faire. Je le lui caresse longuement: notre baiser continue. Elle pousse un long soupir quand elle jouit. A son tour elle pose sa main sur ma queue bien bandée, elle fait descendre la fermeture éclair, me sort la bite et entame une masturbation comme je n'en ai jamais connue. Elle continu juste un moment avant de me dire que nous serions bien mieux chez elle.
C'est une invitation à la baise, il me semble. Nous partons en nous arrêtant en route souvent pour nous embrasser comme de jeunes amoureux. La seule différence est que nous nous touchons souvent là où les jeunes amoureux n'osent pas. Enfin, chez elle je l'embrasse sur la bouche. Nous ne sommes gênés pas personne. Je relève sa jupe, lui fait baisser le string, ma main revient sur son clitoris, je veux la faire jouir une autre fois. Son plan est différent, elle me veut dans la chambre. Nous sommes très vite nus: enfin je peux la voir en détail de très près: je la fais tourner sur elle même pour tout voir. Elle tourne comme si elle montrait une robe d'un grand couturier. Elle est splendide. Elle aussi me regarde d'abord ma bite, puis mes pectoraux. Je ne suis pas un apollon, loin de la. Je ne suis pas trop mal bâti, c'est tout. Elle voit que je bande, ça lui suffit. Elle m'entraîne sur le lit: je me couche à ses côtés, elle pose sa tête sur mon épaule. Je lui caresse à nouveau un sein avant de remettre ma main sur son clitoris. Je la branle encore une fois: elle jouit. Elle aussi m'a prit la queue dans une main et me masturbe avec toujours le même enthousiasme. Elle fait plus de mouvement que moi qui n'ai qu'à bouger deux doigts, alors qu'elle va et vient sur la pine avec de lents mouvements au début pour me faire jouir en finissant très vite. Quand mon sperme sort elle est satisfaite: elle me dit aimer voir le sperme sortir d'une bite. Elle est bien servie: je jouis longtemps il me semble que je me vide complètement.
Huguette sait que pour le moment je suis hors jeu. Il n'empêche qu'elle continue à me caresser la bite. Elle m'embrase à nouveau: elle aimerai que je la suce. Je suis sur le point de me tourner pour lui faire un bon cunnilingus: elle ne le veut pas, se lève au contraire pour venir poser sa moule en entier sur ma bouche. Je sens son odeur de cyprine et la douceur de ses lèvres. Je lui mets la langue d'abord sur son anus, j'y rentre un peu. J'entends Huguette me dire qu'elle aime ça. Je continue: je mets ma langue dans sa vulve, elle aime ça. J'ai ma langue sur son clitoris, elle aime également. Je bande à nouveau: elle se penche complètement pour que nous fassions un 69. Elle ne fait pas ça pour moi, c'est pour elle qui aime avoir une bite dans la bouche. La mienne doit lui convenir.
Enfin nous reprenons une position plus normale, plus catholique diraient certains à juste titre. Je veux la baiser avant tout. Elle me prend sur elle, écarte les jambes. Elle ne me guide même pas vers son sexe: j'y vais tout seul. Dès que je suis en elle, elle recommence à soupirer jusqu'à ce qu'elle jouisse. Je suis bien plus long à jouir maintenant. Je la tourne en levrette: elle se mouille l'anus, ouvre bien ses fesses. J'arrive à rentrer en elle facilement: c'est vrai qu'elle aime la sodomie: elle a du se faite mettre souvent par là. Je lime un bon moment, elle soupire encore tout le temps de mon enculade. Pour lui donner encore plus de plaisir je passe ma main sous elle, lui trouve le bouton le caresse. Elle jouit ainsi eux fois plus vite. Je continue jusqu'à sentir encore une autre jouissance quand je jouis dans son cul.
Nous reprenons nos esprits en nous embrassant encore. Je la caresse longuement comme je le ferais à une chatte, elle ne ronronne pas, elle murmure des mots d'amour. Je ne sais s'ils s'adressent à moi. En tout cas nous passons la nuit ensemble. Le matin nous avons du baiser quatre ou cinq fois, autant que la première fois.
Pour marquer la fin du jour nous nous dévergondons: Huguette ouvre ses jambes, pose une main sur son clitoris, le caresse pour finalement me demande de me branler aussi devant elle. C'est parait-il pour créer des liens indissolubles.
Je ne sais si c'est réellement à cause de ça: nous vivons ensemble depuis: nous devons nous marier sous peu.
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