Adrien, l’amour fou – histoire complète (04)

- Par l'auteur HDS Sylvainerotic -
Auteur homme.
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Récit libertin : Adrien, l’amour fou – histoire complète (04) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Couleur du fond :
Adrien, l’amour fou – histoire complète (04)
Ce long récit en 14 épisodes constitue une histoire complète d’« Adrien l’amour fou », que j’ai souhaité développer. J’ai juste apporté quelques changements minimum (couleur des cheveux d’Adrien, âge des personnages), mais l’idée est la même : les joies et les difficultés d’une relation amoureuse et sexuelle d’un couple avec une grande différence d’âge. Comme d’habitude, beaucoup de sexe aussi… et les photos des personnages disponibles sur demande.
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.

Bonne lecture

Sylvain

==

Je pense que ta première expérience anale a été une vraie étape pour toi… comme elle l’est pour tous ceux qui ont essayé. De mon côté, j’ai toujours eu ce désir ardant de te pénétrer, le besoin d’être en toi. Besoin d’être aussi intime avec toi que possible. Que nos corps soient l’un dans l’autre.
Malheureusement l’engueulade avec ta mère t’incite aussi à la prudence, et ça s’annonce mal pour le week-end qui vient. Malgré la tentation, tu veux aussi faire bonne figure à la maison…
La chance nous sourit en fait dès ce vendredi. Ton cours de l’après-midi est annulé ! Et moi je ne donne pas classe. Echange de SMS.

- Chez moi à 13h. Tellement hâte de te revoir. Je t’aime
- Je t’aime

Une fois arrivé chez moi, tu déposes ton sac et défait ton manteau. J’ai l’impression d’un jeune collégien qui rentre à la maison… ça me touche.
De longs baisers sur la bouche pour se dire bonjour et exprimer la joie de se retrouver. Mais tu es déjà tout a ton affaire

- Je peux me préparer dans la salle de bains

Tu apprends vite…
Tu te mets tout nu tout seul. J’aime te voir ainsi à l’aise chez moi.
Je t’arrête avant de te laisser t’enfermer dans la salle de bains

- Ça ne te dérange pas si je te rase un peu…c’est mieux pour pouvoir te lécher

Tu souris

- Pourquoi pas

Tu te laisses faire quand je te rase bien la raie et l’anus, même s’il n’y pas grand-chose. Tu commences à bander quand je m’attaque aux couilles. J’épargne ton pubis. Je préfère que tu restes naturel à cet endroit-là.
Je te laisse faire ton lavement et te rejoins ensuite sous la douche. On se lave et se caresse mais tu as tout de suite envie de jouer. Tu te mets à genoux pour me sucer. Je regarde l’eau dégouliner sur ton visage et ma bite rentrer dans ta bouche. Je passe ma main dans tes cheveux mouilles. Je te redresse et te mets contre le mur carrelé. A mon tour de jouer. J’écarte tes petites fesses. J’adore ton petit cul. Je te lèche, te caresse les fesses puis travaille ma langue autour et dans ton anus.
On se sèche à peine pour se mettre sur le lit. A genoux, face à face. Lèvres soudées. Gland contre gland. Les mains touchent les torses, puis les fesses, puis les queues. Je me suis levé sur le lit et prends ma queue en main pour la claquer contre ta langue

- Ma bite t’a manqué, hein ?
- Mmhhh oui

Et tu la prends en bouche et commence à sucer frénétiquement. J’agrippe ta tête avec mes mains. Je prends moins de précaution maintenant. J’ai envie de te baiser la bouche. Tu baves et suces avec plaisir. Tu me lèches les couilles. Tu vénères ma queue. Tu t’amuses à m’exciter avec ta langue au bout de mon gland.

- Laisse-moi te sucer mon chéri

Je m’installe sur le dos et tu me chevauches pour me planter ta queue dans ma bouche. Comme moi plus tôt, tu es joueur et tu amuses à frapper ta bite contre mes joues, mais je l’attrape avec mes lèvres, et plaque mes mains sur tes petites fesses pour mieux te contrôler et dévorer ta belle bite. Je la prends tout au fond et vient humer tes poils pubiens. Tu gémis d’avoir ton gland dans ma bouche. Je garde ta bite en permanence dans ta bouche, ma langue te caresse à l’intérieur

- Ah, oui, continue avec ta langue, oh, oui c’est bon…

Tu es de plus en plus bavard pendant nos ébats, et t’endentre m’excite

- Donne-moi ton petit cul maintenant

Tu es radieux car c’est dont tu rêves depuis plusieurs jours

- Mets-toi à quatre pattes

Je me mets derrière toi. Je ne me peux m’empêcher d’admirer tes fesses. Elles sont superbes. Les fesses de minet parfaites. Petites, juste ce qu’il faut de rondeur. Deux fruits mûrs. Je les écarte pour regarder ta rosette maintenant entièrement lisse et je peux te lécher sans contrainte. Premier coup de langue pour te faire frissonner. Petites touches pour te stimuler. Puis longues lèches.

- Oh oui bouffe moi le cul

Je te rimme longuement. Je veux t’entendre crier, me supplier. D’un doigt je caresse ton petit trou

- Prends moi Matthieu, prends-moi, baise-moi

J’attendais ces mots, je les voulais. De toi-même tu sors le gel de la table de nuit et me le tends. Un peu de doigtage.

- Mets-toi sur le dos, ça risque de faire encore mal

Tu te mets toi-même l’oreiller sous les fesses. Je te regarde attendre les jambes levées, écartées. Le corps nu, imberbe, docile. Je n’en reviens toujours pas de ce corps de minet de 18 ans qui s’offre à moi. Chaque séance de sexe avec toi Adrien représente le fantasme ultime dont j’ai toujours rêvé.
Je te pénètre doucement. Tu grimaces mais le désir est plus fort que la douleur. Je caresse ta joue

- Ça va mon chéri ?
- Oui, c’est bon, commence doucement…
- Tu es tellement beau… je t’aime mon amour
- Je t’aime Matthieu, je t’aime

A chacun de ses « je t’aime » ma bite glisse doucement dans son petit cul chaud et serré. C’est tellement bon d’être en toi mon amour. Je me penche et t’embrasse dans le cou, je caresse tes cheveux.

- Je t’aime Adrien, je t’aime… oh je t’aime… je t’aime

Je te sodomise avec tout mon amour doucement. Tu me murmures dans l’oreille. Tes mains me caressent. Je me redresse pour te regarder dans les yeux. Je veux lire ton plaisir. Tes yeux sont tellement magnifiques. La tristesse des premiers mois a disparu. Tu es heureux avec moi. Je suis heureux avec toi. Et je m’en fous de nos âges. On ne se quitte pas des yeux alors que je continue mes va et vient en toi.
Je sors document de ton cul, et me glisse sur le dos

- Viens t’assoir sur moi

Tu es ravi de changer de position, et c’est toi-même qui contrôles et descends sur ma queue. Le plus bas possible

- Ça va, tu n’as pas mal mon bébé ?
- Nan… c’est bon…. Hmmm…

Tu es heureux. Cette nouvelle façon de te faire prendre te plait. Tu commences à bouger par toi-même. Tu gémis du plaisir que tu te donnes. Surpris par les sensations. Douleur quand tu vas trop vite. Plaisir quand tu te caresses la prostate avec ma queue. Je regarde toutes ces émotions sur ton visage

- Oh je t’aime mon amour… je t’aime
- Oh je t’aime…. C’est tellement bon

Mes mains commencent à caresser ton corps imberbe qui bouge. Tu es tellement beau, désirable à te faire le cul comme ça. Je m’occupe de tes petits seins, de tes cuisses et de tes fesses. Je vois ta petite bite dure bien bandée s’agiter au gré des mouvements. Tu commences à te branler. Je ne vais pas résister bien longtemps comme ça et toi non plus

- Oh Adrien... je vais bientôt jouir… je … aaaaahhhh…. Ouiiiiiiiiiii

J’explose à l’intérieur de toi. Tu cries aussitôt

- Oh mon dieu… ton sperme… ah je le sens en moi…. Aaaaahhhh….

C’est en trop et deux coups de branlette sur ta queue te font exploser…les premiers jets sur mon menton et mon cou, le reste sur mon ventre.
Tu te penches pour m’embrasser

- C’est génial, j’ai senti ton sperme couler en moi !
- Mon bébé… tu es adorable

Je dépose des baiser sur tes lèvres. Tu te redresses, et je ramasse ton sperme du bout des doigts. Tu prends ma main dans les tiennes et vient mettre mes doigts dans ta bouche pour lécher. Je te nourris Adrien, je te fais manger ton propre sperme, tandis que ma queue débande doucement en toi.
On s’endort dans les bras l’un de l’autre. C’est la première fois. Une sieste. Toi la tête couchée contre mon torse. Je t’aime mon chéri…
Je suis content de cette opportunité miraculeuse car je sais que je ne te verrai pas ce week-end.
Je suis un peu soulagé, car je commençais à avoir l’impression que tout devenait incontrôlable. Ce week-end nous donne aussi l’occasion de nous parler un peu au téléphone, et d’échanger, de nous donner des nouvelles. La séparation physique nous rapproche intellectuellement. L’amant cède un peu la place à l’ami, au complice. Je ne peux que t’aimer davantage.
Mais les jours qui suivent, très vite, tu me manques. Un vide. La peur revient. Celle d’un amour impossible, éphémère… quelques mois ? quelques semaines ? Qui sait ? Avec toi, c’est l’occasion telle qu’on n’a qu’une dans la vie. J’ai trop de chance ça ne peut pas durer. Du coup je veux en profiter… et tu me manques.
La frustration, la clandestinité, les murmures, les SMS, les interdits à l’école, tout cela nous pousse plus loin.

Un matin tu m’envoies ton premier selfie dans la salle de bains. Torse nu. Une serviette autour de la taille. Légende : je me fais beau pour ton cours de ce matin.
Une deuxième photo… sans la serviette. Nu intégral. Frontal. Tu es magnifique. C’est là où je perçois la différence d’âge. A ton âge, je n’avais pas de portable, et on ne s’échangeait pas de photos de nu. J’imagine que pour toi c’est naturel…
Et quand je te réponds que tes petites fesses me manquent, tu m’envoies un super nu intégral de dos. Je me masturberai tant de fois sur ces photos… et toutes celles qui suivront.
Le dialogue me prend et je t’envoie un nu également avec la bite bien tendue.

Un soir de semaine tu m’envoies un SMS… tu t’ennuies… je te manque. On se connecte sur notre site de rencontre gay. Ça faisait un moment. On chatte. Il est près de minuit. Tu fais tout ton possible pour ne pas faire de bruit. On branche les webcams.

- Tu me manques mon bébé, j’ai envie de te faire l’amour
- Toi aussi tu me manques…
- Déshabille-toi

Tu recules un peu ton siège pour que je vois plus que ton torse nu. Je découvre ta queue à moitié bandée. Tu te touches. Et on continue à chatter. Je me suis déshabillé moi aussi. Et je suis dans la même position. On se branle ensemble… Je te demande de jouir devant moi. Ton sperme dégouline sur tes doigts. Tu les rapproches de la caméra, avant de les lécher devant moi, tout sourire. Ça me fait jouir à mon tour…
Les jours qui suivent nos dialogues coquins, agrémentés de photos, continuent par SMS. Tu m’envoies même des liens vers des vidéos pornos. « J’aimerais qu’on fasse ça ensemble la fois prochaine » …

Peu de temps après, on arrive à franchir une nouvelle étape. Tu parviens à te libérer, en inventant je ne sais quelle excuse pour passer un samedi entier avec toi. Même si ta mère te chaperonne bien et que tu t’efforces de bien bosser et d’aider à la maison, elle comprend quand même ton besoin de liberté, à ton âge.
J’ai décidé d’organiser une petite excursion. La visite d’un château en ruine. Nous sommes déjà début mars. Il faut encore frais, mais le soleil est éclatant. Tu passes d’abord chez moi. Je suis tellement excité. C’est la première fois que l’on va passer une journée ensemble…
J’aime t’avoir à côté de moi dans la voiture. En couple… ça me fait bizarre mais j’aime bien. Le site est magnifique. Tu n’es jamais venu, moi non plus. Tu es intéressé par l’histoire et les vieilles pierres. J’aimerais te prendre par la main. Te toucher de temps en temps, mais le site est bien occupé en ce samedi. On se pose des questions. On commente… Je passe un bon moment. Je m’imagine un moment ce que les gens pensent de nous. Un père et son fils sans doute…
La complicité continue sur le chemin du retour. Que c’est bon de ne pas être pris par le temps.
Arrivé chez moi, je te fais à déjeuner. On discute dans la cuisine, je suis content de faire ça pour toi. De partager ce moment avec toi. Tu m’aides. Tu es gentil avec moi. Je n’ai pas eu l’impression de passer ma journée avec quelqu’un de 18 ans jusqu’à présent. Enfin un peu, dans la façon dont tu ris, où tu t’exprimes parfois… mais pas plus que ça. Je te parle d’égal à égal. En fait, ton âge n’est pas quelque chose qui me vient en tête. Sauf que les choses deviennent physiques entre nous. Oui je l’avoue. J’aime la jeunesse de ton corps. La beauté de ta jeunesse…
Et les choses deviennent physiques après le déjeuner. Je te laisse te préparer pendant que je range la cuisine.
J’entends la douche couler. Je me déshabille et rentre dans la salle de bains. Tu es sous la douche de dos. Vue magnifique sur ton dos et tes petites fesses. Je te prends en photos tu m’aperçois et te retournes. Je continue les photos avant de te rejoindre sous la douche.

- Je vais te faire l’amour tout l’après midi
- Et dans toutes les positions

Tes bras s’enroulent autour de mon cou. On s’embrasse. On se caresse. Tu descends à genoux pour me sucer.
Tu es très excité aujourd’hui, et prends de plus en plus d’assurance. Autant les premières fois, c’est moi qui prenais l’initiative autant maintenant tu décides comment on va baiser. C’est toi qui me guides vers la chambre

- Suce-moi

Je me mets à genoux et te suces au milieu de la pièce. Tu es décidé, en charge, mais doux. Tu demandes juste ce que tu veux. Et j’aime te voir ainsi. Ça va dire que tu as pensé à ça depuis un moment. Ta main me pousse un peu pour que je te lèche sous les couilles. Tu me replantes ta queue dans la bouche. D’une main tu te caresses la fesse. Tu as l’air de reproduire des scènes de porno. Je ne suis pas en reste avec mes mains. Elles caressent tes mollets couverts de quelques poils, puis tes cuisses, avant de trouver tes fesses chéries. Je les pétris. Et les pousse pour te faire une gorge profonde. Ça te fait gémir. Ton cul m’appartient. Je rêve déjà de ce qui va se passer cet après-midi. Je vais te baiser pendant longtemps. Et c’est même toi qui vas me supplier. A cette évocation, des gouttes de sperme apparaissent sur son gland.
De toi-même, tu te mets sur le lit, et je viens te donner ma bite à sucer. Toi, à quatre pattes, moi à genoux. Pour mieux te caresser sur le dos. Ce dos lisse, parfait. Mes mains jusqu’aux fesses. C’est là que j’aime explorer le plus. Je viens toucher tes petits seins.

- Mmmh, oui mon chéri suce moi, continue…

On prend tout notre temps. Mais mon doigt n’a de cesse de revenir vers ta raie et de toucher.

- Tu es prêt pour la sodo bébé, j’ai très envie de ton petit cul… ?
- Non pas tout de suite. Je veux ton sperme dans ma bouche d’abord
- Ok, tout ce que tu veux mon amour, tu l’aurais dans ta bouche et dans ton cul. Les deux…

Tu te redresses et me pousse légèrement. Cela suffit à me faire basculer sur le lit. Tu ne me laisses pas le temps de me redresser et te places au-dessus de moi, les fesses vers moi. 69, toi au-dessus, moi en dessous… Mais tu descends bien les fesses vers mon visage. Le message est clair. Je commence à te rimmer pendant que tu me suces. Je n’ai jamais fait ça comme ça. Ça t’excite beaucoup et tu réponds à chaque coup de langue contre ton anus par un coup de lèche sur ma bite. J’écarte bien tes petites fesses pour rentrer ma langue et toi tandis que mon gland rentre dans ta gorge. Quel pied ! Quel bonheur ! Nos baises deviennent de plus en plus chaudes. Apres des débuts lents, tu prends maintenant beaucoup d’assurance. J’ai tellement de chance avec toi.
On poursuit notre 69 un moment avant que ta bouche ne décide de me faire jouir. Je ne peux pas résister. J’éjacule dans ta bouche, abondamment. Tu te retournes et ouvre la bouche. Elle est maculée de mon foutre. Tu n’as pas avalé. Tu me chevauches et te penche pour m’embrasser. Le sperme chaud se déverse dans ma bouche et nos langues le mélangent. C’est incroyablement sexuel, sensuel, fusionnel.

- Donne-moi le tien maintenant

Tu t’approches et te branles sur mon visage. Tu jouis sur moi et on recommence, tu lèches et on partage tout avec nos langues. Jamais je n’avais quelque chose comme ça. D’aussi intime, érotique.

- Tu es incroyable mon chéri
- J’avais vu ça sur internet et je voulais vraiment le faire avec toi
- Mmhh… tu en as d’autres des comme ça ?
- Plein !

Je ris. On s’embrasse. Le gout de nos spermes persiste dans ma bouche alors qu’on reste nus sur le lit. Je te caresse, surtout les fesses et les couilles. Je sais qu’elles sont bien pleines et que tu es prêt pour une longue session.
On rebande assez vite tous les deux

- J’ai envie que tu m’encules par derrière, en levrette. On ne l’a jamais fait…

Je te positionne à quatre pattes. Je dépose des baisers sur tes petites fesses. Je les lèche. Je veux te préparer. Je m’attaque ensuite à la raie. Je vais progressivement plus à l’intérieur. Ta rosette. Puis l’intérieur de l’anus. Je mouille. Je crache

- C’est bon, ah oui, continue

Tu gémis à chaque fois. J’adore bouffer ton petit cul. Tu penches maintenant en avant, la tête contre la couette du lit. J’ai encore meilleur accès à ton petit trou.

- Oh, vas-y encule moi, encule-moi
- Continue, supplie-moi
- Oh baise moi, Matthieu, je t’en prie, j’y ai pensé toute la semaine

Avec juste un peu de gel, je parviens à rentrer en toi facilement. Je te laisse t’habituer, mon chéri, comme d’habitude, et tu gémis de nouveau quand je commence à t’enculer doucement. J’aime te prendre ainsi par derrière. C’est animal. Tu m’offres ton petit cul. J’admiré ton dos et tes épaules d’homme jeune. Tes cheveux. Je caresse cette peau nue, douce tout en t’enculant en rythme.

- Baise-moi, Matthieu, baise-moi

Tu es tellement plus bavard et désinhibé maintenant. Je suis agrippé à tes hanches. J’accélère un peu, sans violence. Je me penche pour embrasser ta nuque

- Ton petit cul est tellement bon

C’est vrai que tu es incroyablement chaud et serré. Ma queue est électrique de plaisir, mon gland ultrasensible et je mouille déjà en toi. Tu te redresses et on s’embrasse. Ma main caresse ton torse. L’autre te branle. Tu redescends et commence à bouger de toi-même sur ma queue. Je reste immobile. Je t’admire. Tu es tellement beau et sexy. Tu finis par te pencher en avant ce qui me permet d’accélérer et de t’enculer plus vite. Tu pousses maintenant des cris plus aigus. J’adore ça

- Ça va, tu ne fatigues pas trop ? On change de position, si tu veux
- Oui, mets-toi sur le dos

Je t’obéis et de toi-même tu t’introduis ma queue dans le cul. Et tu commences à monter et descendre. Je ne fais rien. C’est toi qui contrôles. Je ne peux que t’admirer, te caresser partout, jouer avec tes seins, tes fesses, et ta bite.

- Tu es tellement beau mon amour. Vas-y continue

Tu souris et accélère. Tu te mets les mains sur les fesses. Tu es vraiment à l’aise maintenant. Tu t’épanouis sexuellement avec moi. Tu te penches pour m’embrasser. Ton visage est collé au mien. Nos yeux se fixent. Je te fais rouler sur le dos, pour te prendre en missionnaire. Et je te baise, je te baise, je te baise… Lentement, puis rapidement. Je veux profiter de ce moment longtemps. Te caresser avec ma langue. Te murmurer à l’oreille à quel point je t’aime, à quel point j’adore être en toi, te pénétrer. Et tes je t’aime, combines tes caresses sur mes fesses mon dos, ainsi que tes baisers m’encouragent.

- Je veux jouir en même temps que toi mon bébé

Nos yeux se fixent. J’accélère sans perdre le contact. Je veux te faire jouir ainsi. Tes lèvres se tordent. Tu gémis. Tu jouis. Je me déverse en toi, en même temps. On a joui ensemble, d’un seul corps. Je t’enveloppe complètement. Je sens ton sperme s’étaler contre nos deux ventres.

- Ça va, pas trop mal au cul
- Un peu... mais c’était bien

Je caresse tes petites fesses. Tu aimerais faire une pause. Tu veux enfiler ton boxer.

- Non, reste tout nu. Je préfère

On reste un moment à se balader dans l’appartement, à poil. J’aime te voir ainsi, entièrement nu, te mouvoir. Autrement que dans un contexte sexuel. De voir ton corps jeune en mouvement comme ça, sous tous les angles
Je ne souviens plus combien de temps on est restés comme ça. Mais tes lèvres ont trouvé les miennes de nouveau, et ta main s’est mis à me caresser le paquet de nouveau.

- J’ai encore envie… j’aimerais recommencer

Tu m’embrasses sur les lèvres. Tu es insatiable aujourd’hui. Tes hormones sont au maximum. Autant les premières fois, on s’arrêtait au bout d’une fois, autant maintenant il t’en faut plus. Plus tu goutes au sexe, plus tu en veux…
En revenant vers la chambre, tu te retournes

- J’ai une idée… Ça te dirait de faire une sex tape ?

Ça m’excite. Je n’en ai jamais fait. Tu m’as initié aux nudes… maintenant à la vidéo. Ça te parait une évidence. Je n’ai pas grandi comme ça. Mais cela m’excite de faire ça avec toi…
Je t’admire tout nu, t’affairer devant mon PC, ajuster la caméra.
Tu me rejoins sur le lit. On se regarde sur l’écran. On le remplit bien, le plan est suffisamment serré. Tu es satisfait. Tu retournes pour démarrer l’enregistrement.
J’essaie de ne pas penser à la caméra. On s’embrasse. Tu bandes, très excité. Il me faut ta main pour me rendre aussi raide que toi. De profil, tu te mets à quatre pattes devant moi. Et tu me suces. Tu tournes parfois la tête pour regarder la caméra. Moi aussi. Je caresse ton dos. Ça m’excite aussi maintenant. On se met en 69, bien de profil. On se suce. On reste silencieux… Silence, ça tourne. Mais les bruits de nos sucions continuent. Ton sens de la mise en scène est certain : tu me fais te baiser dans tous les positions, toujours de profil, afin que la caméra capture parfaitement nos deux corps emboités. D’abord en missionnaire, puis en rodéo, et enfin en levrette. Je jouis sur ton dos, afin que la caméra capture mon orgasme. Le troisième. Quand même, trois beaux jets. Et c’est moi qui te branle assis sur le lit pour te faire jouir devant la caméra. Fin de l’acte 3…
Quel après-midi de sexe… On a donné libre cours à tous nos fantasmes. Je t’ai aimé toute la journée Tu m’as aimé toute la journée. Tu vas devoir me quitter. A regret. Comme d’habitude, j’aurais aimé que tu viennes passer la nuit dans mon lit, pour t’avoir à mes côtés, te sentir respirer. Mon amour… La peur revient toujours la… de l’éphémère. Que ce ne soit qu’un épisode de plus dans une séquence de plans cul et rien d’autre. Qu’il n’y ait pas d’amour. Car je t’aime. Comme un fou, Adrien. Le je t’aime que tu me dises me rassure un peu. Mais qu’est-ce que ça vaut un « je t’aime » quand on a 18 ans…Ma main caresse tes cheveux…

- On s’appelle ce soir
- Promis

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
genial



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