Aéroport 1
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Aéroport 1
Aéroport 1
Pierre, proche de la soixantaine, officier supérieur de l'armée de l'air, s'est offert avec son épouse bien plus jeune, un safari en Afrique suivi d'un séjour balnéaire au bord de l'océan Indien.
Ils doivent rentrer à Paris et se présente à l'embarquement.
Lors du passage en douanes, ils sont interpellés et dirigés vers un bâtiment annexe.
Leurs valises ont été ouvertes et plusieurs sachets de cocaïne étaient dissimulés dans un double fond.
Ils sont interrogés séparément.
L'homme dit ignorer tout et clame son innocence. On lui refuse de téléphoner à l'ambassade.
Pour l'intimider, on le déshabille entièrement. Il doit ouvrir la bouche et lever la langue et s'accroupir.
Un douanier enfile un gant en latex et introduit deux doigts dans son rectum. La pénétration est brutale, l'homme se colle à son dos et lui susurre des insultes racistes et le traite de petite pute blanche.
Il fouille son ampoule et appuie sur sa prostate. Il mime un coït sous les yeux de ses supérieurs qui ricanent. Malgré lui, son sexe s'allonge ce qui le rend encore plus honteux.
Il est mortifié.
On lui signifie que la garde à vue dure cinq jours pour le trafic de drogue et il encourt jusqu'à vingt ans de réclusion criminelle.
Notre homme est effondré, à nouveau rhabillé et menotté, il est dirigé vers la prison centrale.
Arrivé à la prison, il est à nouveau fouillé, déshabillé, rasé et douché sous les yeux des gardiens.
Ses effets personnels sont confisqués et il est habillé d'une combinaison informe et rêche.
On le conduit dans un sorte de cachot où on le jette toujours menotté. Seule une petite lucarne apporte un peu d'air et de lumière. Dans la solitude, il réfléchit à son sort et émet des hypothèses quant à son incarcération. Il est convaincu de son innocence : Il envisage divers scénarios : Erreur, vengeance, machination politique ou policière.
Il n'a aucune nouvelle de son épouse et il va jusqu'à la soupçonner. En effet, elle est beaucoup plus jeune que lui et il la sait infidèle.
Ce qu'il ne sait pas c'est que son sort n'a rien d'enviable.
Elle aussi a été menottée et conduite dans une pièce pour y être interrogée.
Il fait très chaud et son corsage est trempée par la sueur, elle a soif et elle aussi ne comprends pas ce qui lui arrive.
Béatrice a été sa secrétaire. Elle aussi est militaire de carrière. Elle a beaucoup voyagé sur les cinq continents.
Une forte femme de couleur est chargée de l'interroger. Elle est avenante et semble plus à l'écoute.
Pour sa défense, Béatrice explique que les valises ont été transportées de l'hôtel à l'aéroport par le personnel.
L’Inspectrice répond que le personnel a été interpellé et aussi interrogé. Mais que si, il y des fournisseurs, c'est qu'il y a des clients qui font le transport.
Seule un ventilateur anémique au plafond brasse l'air, l'inspectrice se lève, fait le tour de la table et se plaçant derrière elle, lui défait les boutons de son chemisier. Elle plonge les mains dans son soutien gorge et prends ses seins à pleines mains. Elle lui demande d'être coopérative en échange de sa libération.
Sa bouche se colle sur la sienne. Elle répond à son baiser en ouvrant grand la bouche. Leurs langues s'emmêlent en un baiser profond.
Béatrice se lève à son tour et ses bras menottés enlacent la policiere. Elle la serre contre elle et leurs seins sont comprimés. Elle descends ses mains et les glissent sous sa jupe. Ils remontent sur ses fesses et empoignent sa culotte qu'elle descends.
Accroupie face à sa geôlière, elle passe sa tête sous la jupe. Celle-ci avance le bassin, plie les genoux et écarte les cuisses…
Béatrice hume les effluves poivrées, avance la langue et colle sa bouche sur le vagin. Les mains sur ses fesses. La policière passe ses mains sous sa jupe et saisit sa tête pour imposer le rythme et diriger la langue dans sa grotte. Le nez de sa prisonnière frotte contre son clitoris proéminent puis elle dirige sa bouche sur celui-ci.
Béatrice le saisit doucement entre ses dents et l'aspire, la cyprine coule sur son menton, elle entend sa proie gémir et haleter. Elle lèche de plus en plus vite et fort. Dans un cri, sa partenaire lui plaque la tête encore plus fort. Elle tremble et l'inonde.
Béatrice est toujours à genoux et entravée. Elle l'a relève, l'embrasse sur la bouche et l'essuie avec son chemisier.
Elle la déshabille entièrement et la couche dos sur la table. Elle remet de l'ordre dans son uniforme et .....appelle son supérieur.
Ce dernier pénètre dans la pièce et découvre Béatrice, nue, les mains entravée, la tête pendue à une extrémité de la table, les jambes pendues de l'autre, le sexe offert, une fine toison blonde bien taillée, les lèvres épilées.
S'adressant à son supérieur, elle lui dit que la suspecte refuse de coopérer et accuse le personnel de l'hôtel. Devant ce spectacle, l'officier de police judiciaire décroche une badine et cingle le ventre de la malheureuse. De profondes stries rouge apparaissent.
Elle essaie de se relever mais les coups l'en empêchent.
Ses cris alertent le personnel de garde qui rentrent à leur tour dans la pièce, ils l'immobilisent et l'un d'eux ramasse sa culotte et l’enfonce dans sa gorge. La policière la laisse aux mains de ces hommes brutaux et vicieux qui parlent de sexe toute la journée.
Les larmes lui brouillent la vue, son ventre la brûle mais son sexe coule. Son mari ne la touche plus depuis plusieurs années et elle a souvent imaginé une scène analogue. Elle a plusieurs fois joué un rôle d'esclave avec ses amants, acceptant scène de lesbianisme, fessées, pose de pinces ou de plug.
Ses tourmenteurs s'en rende compte, les mains courent sur son corps, ils palpent ses seins, glissent sur son ventre, ses cuisses, des doigts s'insinuent dans sa bouche, d'autres pincent ses tétons, pénètrent son vagin, la fouillent.
Elle écarte les cuisses, on lui retire son bâillon, elle gémit. Son sexe coule et inonde la table.
Un premier homme ne tient plus, il dégrafe sa ceinture, baisse son pantalon et exhibe une matraque d'ébène circoncise d'une taille conséquente. Il s'approche de ses lèvres placées à bonne hauteur, appuie légèrement pour qu'elle ouvre la bouche et s'enfonce jusqu'à la garde. Elle manque de s'étouffer, il se retire pour lui permettre de reprendre son souffle avant de la réinvestir.
On voit le mandrin dilater sa gorge et son larynx, il se retire et revient lentement. La tête de sa victime consentante est parfaitement placée. Ses larges mains lui malaxent la poitrine, elle ne voit que ses couilles aux poils frisés battre son front.
Ses camarades l'entourent et commentent la performance. Eux aussi ont baissé le pantalon et se paluchent tranquillement.
Il accélère le mouvement et se vide dans sa bouche et sur son visage. Du sperme ressort par son nez et elle manque d'étouffer. On la relève pour mieux l'installer sur la table.
Le capitaine la saisit, relève son bassin et l'embroche d'un trait. Il fait des va et viens rapides, cogne contre son utérus et jouit dans la foulée.
Les autres tiennent la table qui menace de se casser, il prend de son sperme, lui relève la tête et lui met ses doigts à nettoyer. les policiers se masturbent vigoureusement et se répandent sur tout son corps. Ils prennent leurs portables et filment la scène.
Après l'avoir lavée, elle est emmenée à la prison pour femme en attente de jugement.
A suivre.
Pierre, proche de la soixantaine, officier supérieur de l'armée de l'air, s'est offert avec son épouse bien plus jeune, un safari en Afrique suivi d'un séjour balnéaire au bord de l'océan Indien.
Ils doivent rentrer à Paris et se présente à l'embarquement.
Lors du passage en douanes, ils sont interpellés et dirigés vers un bâtiment annexe.
Leurs valises ont été ouvertes et plusieurs sachets de cocaïne étaient dissimulés dans un double fond.
Ils sont interrogés séparément.
L'homme dit ignorer tout et clame son innocence. On lui refuse de téléphoner à l'ambassade.
Pour l'intimider, on le déshabille entièrement. Il doit ouvrir la bouche et lever la langue et s'accroupir.
Un douanier enfile un gant en latex et introduit deux doigts dans son rectum. La pénétration est brutale, l'homme se colle à son dos et lui susurre des insultes racistes et le traite de petite pute blanche.
Il fouille son ampoule et appuie sur sa prostate. Il mime un coït sous les yeux de ses supérieurs qui ricanent. Malgré lui, son sexe s'allonge ce qui le rend encore plus honteux.
Il est mortifié.
On lui signifie que la garde à vue dure cinq jours pour le trafic de drogue et il encourt jusqu'à vingt ans de réclusion criminelle.
Notre homme est effondré, à nouveau rhabillé et menotté, il est dirigé vers la prison centrale.
Arrivé à la prison, il est à nouveau fouillé, déshabillé, rasé et douché sous les yeux des gardiens.
Ses effets personnels sont confisqués et il est habillé d'une combinaison informe et rêche.
On le conduit dans un sorte de cachot où on le jette toujours menotté. Seule une petite lucarne apporte un peu d'air et de lumière. Dans la solitude, il réfléchit à son sort et émet des hypothèses quant à son incarcération. Il est convaincu de son innocence : Il envisage divers scénarios : Erreur, vengeance, machination politique ou policière.
Il n'a aucune nouvelle de son épouse et il va jusqu'à la soupçonner. En effet, elle est beaucoup plus jeune que lui et il la sait infidèle.
Ce qu'il ne sait pas c'est que son sort n'a rien d'enviable.
Elle aussi a été menottée et conduite dans une pièce pour y être interrogée.
Il fait très chaud et son corsage est trempée par la sueur, elle a soif et elle aussi ne comprends pas ce qui lui arrive.
Béatrice a été sa secrétaire. Elle aussi est militaire de carrière. Elle a beaucoup voyagé sur les cinq continents.
Une forte femme de couleur est chargée de l'interroger. Elle est avenante et semble plus à l'écoute.
Pour sa défense, Béatrice explique que les valises ont été transportées de l'hôtel à l'aéroport par le personnel.
L’Inspectrice répond que le personnel a été interpellé et aussi interrogé. Mais que si, il y des fournisseurs, c'est qu'il y a des clients qui font le transport.
Seule un ventilateur anémique au plafond brasse l'air, l'inspectrice se lève, fait le tour de la table et se plaçant derrière elle, lui défait les boutons de son chemisier. Elle plonge les mains dans son soutien gorge et prends ses seins à pleines mains. Elle lui demande d'être coopérative en échange de sa libération.
Sa bouche se colle sur la sienne. Elle répond à son baiser en ouvrant grand la bouche. Leurs langues s'emmêlent en un baiser profond.
Béatrice se lève à son tour et ses bras menottés enlacent la policiere. Elle la serre contre elle et leurs seins sont comprimés. Elle descends ses mains et les glissent sous sa jupe. Ils remontent sur ses fesses et empoignent sa culotte qu'elle descends.
Accroupie face à sa geôlière, elle passe sa tête sous la jupe. Celle-ci avance le bassin, plie les genoux et écarte les cuisses…
Béatrice hume les effluves poivrées, avance la langue et colle sa bouche sur le vagin. Les mains sur ses fesses. La policière passe ses mains sous sa jupe et saisit sa tête pour imposer le rythme et diriger la langue dans sa grotte. Le nez de sa prisonnière frotte contre son clitoris proéminent puis elle dirige sa bouche sur celui-ci.
Béatrice le saisit doucement entre ses dents et l'aspire, la cyprine coule sur son menton, elle entend sa proie gémir et haleter. Elle lèche de plus en plus vite et fort. Dans un cri, sa partenaire lui plaque la tête encore plus fort. Elle tremble et l'inonde.
Béatrice est toujours à genoux et entravée. Elle l'a relève, l'embrasse sur la bouche et l'essuie avec son chemisier.
Elle la déshabille entièrement et la couche dos sur la table. Elle remet de l'ordre dans son uniforme et .....appelle son supérieur.
Ce dernier pénètre dans la pièce et découvre Béatrice, nue, les mains entravée, la tête pendue à une extrémité de la table, les jambes pendues de l'autre, le sexe offert, une fine toison blonde bien taillée, les lèvres épilées.
S'adressant à son supérieur, elle lui dit que la suspecte refuse de coopérer et accuse le personnel de l'hôtel. Devant ce spectacle, l'officier de police judiciaire décroche une badine et cingle le ventre de la malheureuse. De profondes stries rouge apparaissent.
Elle essaie de se relever mais les coups l'en empêchent.
Ses cris alertent le personnel de garde qui rentrent à leur tour dans la pièce, ils l'immobilisent et l'un d'eux ramasse sa culotte et l’enfonce dans sa gorge. La policière la laisse aux mains de ces hommes brutaux et vicieux qui parlent de sexe toute la journée.
Les larmes lui brouillent la vue, son ventre la brûle mais son sexe coule. Son mari ne la touche plus depuis plusieurs années et elle a souvent imaginé une scène analogue. Elle a plusieurs fois joué un rôle d'esclave avec ses amants, acceptant scène de lesbianisme, fessées, pose de pinces ou de plug.
Ses tourmenteurs s'en rende compte, les mains courent sur son corps, ils palpent ses seins, glissent sur son ventre, ses cuisses, des doigts s'insinuent dans sa bouche, d'autres pincent ses tétons, pénètrent son vagin, la fouillent.
Elle écarte les cuisses, on lui retire son bâillon, elle gémit. Son sexe coule et inonde la table.
Un premier homme ne tient plus, il dégrafe sa ceinture, baisse son pantalon et exhibe une matraque d'ébène circoncise d'une taille conséquente. Il s'approche de ses lèvres placées à bonne hauteur, appuie légèrement pour qu'elle ouvre la bouche et s'enfonce jusqu'à la garde. Elle manque de s'étouffer, il se retire pour lui permettre de reprendre son souffle avant de la réinvestir.
On voit le mandrin dilater sa gorge et son larynx, il se retire et revient lentement. La tête de sa victime consentante est parfaitement placée. Ses larges mains lui malaxent la poitrine, elle ne voit que ses couilles aux poils frisés battre son front.
Ses camarades l'entourent et commentent la performance. Eux aussi ont baissé le pantalon et se paluchent tranquillement.
Il accélère le mouvement et se vide dans sa bouche et sur son visage. Du sperme ressort par son nez et elle manque d'étouffer. On la relève pour mieux l'installer sur la table.
Le capitaine la saisit, relève son bassin et l'embroche d'un trait. Il fait des va et viens rapides, cogne contre son utérus et jouit dans la foulée.
Les autres tiennent la table qui menace de se casser, il prend de son sperme, lui relève la tête et lui met ses doigts à nettoyer. les policiers se masturbent vigoureusement et se répandent sur tout son corps. Ils prennent leurs portables et filment la scène.
Après l'avoir lavée, elle est emmenée à la prison pour femme en attente de jugement.
A suivre.
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Quelle jouissance !! Félicitations !!!