Aéroport 3 Fin.
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Aéroport 3 Fin.
Aéroport 3
Revenons à Claire, la jeune et charmante épouse de Pierre qui a accusé son mari contre la promesse d'être libérée.
Elle est, elle aussi, incarcérée à la prison pour femmes en attente d'expulsion.
Rappelons qu'elle a été la secrétaire de Pierre avant qu'ils ne convolent.
C'est une magnifique femme épanouie de plus d'un mètre soixante quinze fine et racée. Sa poitrine de rêve peut soutenir la comparaison avec les mannequins les plus en vue, un joli minois avec un nez fin en trompette et de magnifiques yeux bleus.
Sportive, elle pratique régulièrement le tennis et s'adonnent aux sports d'hiver.
C'est aussi une amante infatigable et exigeante que son mari ne peut satisfaire.
Elle collectionne les conquêtes des deux sexes avec la tacite approbation de son mari.
Il est très fier de l'avoir à son bras et c'est une associée avisée.
Lorsqu'elle arrive dans la prison, elle impressionne par son charme naturel. Si les premiers jours, des gardiennes et ses codétenues lui manifestent de l'hostilité, elle montre beaucoup de calme et de détermination.
Elle sympathise avec des détenues de diverses origines et sert de traductrice, ce qui apaisent les tensions entre filles.
Rapidement, elle est sollicitée pour être l'amie privilégiée des dominantes et des gardiennes et elle parvient à poser ses conditions et ses choix.
Sa première amante est la gardienne chef mais elle a obtenu que lors de ses congés, elle pourrait choisir parmi les détenues qui sont nombreuses à vouloir obtenir ses faveurs.
Quand les filles sont à l'atelier de couture pour fabriquer les jeans que nous achetons hors de prix, elle rejoint la chef dans son bureau.
Elles commencent par s'embrasser à perdre haleine puis elles se défont mutuellement les boutons de chemise et se pétrissent les seins. La chef défait sa ceinture et son attirail : matraque, menottes, bombe lacrymogène, taser, radio…
Elle enjambe son pantalon et garde sa culotte en nylon.
Claire écarte sa blouse sous laquelle elle est nue. La gardienne la contemple et promène longtemps ses mains.
Elle enfile des gants réglementaires en latex et introduit ses doigts en pince simultanément dans le rectum et le vagin. Claire mouille naturellement et avec ces préliminaires , une bave épaisse coule entre ses cuisses. Son bassin va au devant des caresses. La gardienne change de technique. Claire est à moitié allongée sur les coudes, dos à la table, les jambes écartées, la chef à la main droite dans son rectum, l'autre dans son vagin qu'elle agite alternativement de plus en plus vite. Claire parvient à saisir son clitoris avec ses doigts et jouit en pleurant.
Son corps n'en finit pas de s'agiter nerveusement.
La tension retombe, Claire glisse aux pieds de son amante, baisse la culotte trempée et colle sa bouche sur son vagin. Elle aspire, lèche et suce sa bienfaitrice qui finit par jouir en l'inondant.
Elles s'embrassent et s'allongent sur un divan, vestige de l'époque coloniale pour un tendre câlin.
Après un temps de récupération, elle ouvre les fenêtres pour effacer les effluves musquée qui ne laissent aucun doute sur leurs activités.
D'autres fois, elles se font un hammam traditionnel. Claire a appris à enduire sa maîtresse de savon noir, de la masser vigoureusement et de passer le gant de crin puis la rincer abondamment avant de la sécher dans un drap. Nues toutes les deux, le savon noir n'épargne aucune zone et elle insiste pour pénétrer anus et vagin.
S'en suit une séance de massage aux huiles parfumées qu'il faut faire pénétrer pour nourrir la peau. Elle commence par les pieds, les mollets, les cuisses. Elle effleure les grandes lèvres puis revient sur les cuisses. Ensuite, elle s'attaque aux doigts qu'elle étire un par un, elle assouplit les poignets puis remonte sur le bras. Ensuite, elle change de côté et répète la même opération, elle s'occupe du cou et masse le cuir chevelu en soulevant la tête. Ses mains redescendent sur sa poitrine et malaxent les seins. Elle étire les pointes, les pince avant de les reprendre à pleines mains.
Elle retourne sa patiente sur le ventre qui a le visage enfoncé dans une alvéole, elle masse fermement les épaules, le dos, et les fesses qu'elle sépare et réunit. Ses doigts s'insinuent dans la raie et caresse l'anus. Elle rajoute une goutte d'huile que son majeur et index font pénétrer. Elle caresse quelques minutes l'œillet qu'elle lèche , puis l'intérieur des cuisses, le périnée, et tourne autour du clitoris et pénètre dans le vagin.
Elle s'allonge sur elle en se frottant et l'écrase de tout son poids plusieurs minutes avant de la libérer.
Sa chef lui rendra la pareille la prochaine fois en variant éventuellement la technique.
A l'issue de la séance, nos deux tribades sont épuisées et s'endorment enlacées dans une pièce de repos.
Il arrive que la séance s'interrompt pour finir uniquement en jeux saphiques.
Durant l'absence de la chef, ces séances ont eu lieues dans les douches collectives avec deux ou trois détenues, sous l'œil de gardiennes complaisantes.
Elle aime être au centre d'une orgie où ses camarades doivent la satisfaire. Une était au sol et elle chevauchait son visage, un autre lui lavait le dos et les fesses tandis qu'elle embrassait une troisième qui lui caressait les seins.
Son « amitié » avec la chef lui garantissait le respect et l'obéissance de ses codétenues.
Une insubordination se traduisait par la mise au cachot pour la fautive : isolement, jeun, absence de parloir…
Une fois, elles rendirent visite à une détenue particulièrement retors. L'odeur les saisirent, le seau d'aisance dégageait une puanteur insoutenable. La chef renversa le seau et la pauvre victime dû s'étendre à même le sol pour invoquer son pardon. Après de longues minutes où elle stagnait dans ses excréments, elle fut nettoyée elle et sa cellule au Karcher.
Claire savait aussi se montrer sadique. Elle devait montrer qu'elle aussi était immorale et sans pitié pour garder sa position.
Au réfectoire, elle pouvait priver de nourriture une coreligionnaire qui devait rester au coin à genoux, les mains sur la tête.
Aux douches, il n'était pas rare qu'un fille soit molestée à coups de ceinturon, obligée de rester nue, livrée aux attouchements et aux vexations au milieu du vestiaire …
Au bout de quelques mois, elle fut libérée mais quelques temps plus tard, elle liquida ses affaires en France pour s'installer là bas définitivement profitant et participant à l'essor économique du pays.
A la tête de plusieurs entreprises et propriétaire de vastes domaines, elle jouit aujourd'hui d'une quasi impunité quant à ses frasques sexuelles et sa vie dissolue.
Revenons à Claire, la jeune et charmante épouse de Pierre qui a accusé son mari contre la promesse d'être libérée.
Elle est, elle aussi, incarcérée à la prison pour femmes en attente d'expulsion.
Rappelons qu'elle a été la secrétaire de Pierre avant qu'ils ne convolent.
C'est une magnifique femme épanouie de plus d'un mètre soixante quinze fine et racée. Sa poitrine de rêve peut soutenir la comparaison avec les mannequins les plus en vue, un joli minois avec un nez fin en trompette et de magnifiques yeux bleus.
Sportive, elle pratique régulièrement le tennis et s'adonnent aux sports d'hiver.
C'est aussi une amante infatigable et exigeante que son mari ne peut satisfaire.
Elle collectionne les conquêtes des deux sexes avec la tacite approbation de son mari.
Il est très fier de l'avoir à son bras et c'est une associée avisée.
Lorsqu'elle arrive dans la prison, elle impressionne par son charme naturel. Si les premiers jours, des gardiennes et ses codétenues lui manifestent de l'hostilité, elle montre beaucoup de calme et de détermination.
Elle sympathise avec des détenues de diverses origines et sert de traductrice, ce qui apaisent les tensions entre filles.
Rapidement, elle est sollicitée pour être l'amie privilégiée des dominantes et des gardiennes et elle parvient à poser ses conditions et ses choix.
Sa première amante est la gardienne chef mais elle a obtenu que lors de ses congés, elle pourrait choisir parmi les détenues qui sont nombreuses à vouloir obtenir ses faveurs.
Quand les filles sont à l'atelier de couture pour fabriquer les jeans que nous achetons hors de prix, elle rejoint la chef dans son bureau.
Elles commencent par s'embrasser à perdre haleine puis elles se défont mutuellement les boutons de chemise et se pétrissent les seins. La chef défait sa ceinture et son attirail : matraque, menottes, bombe lacrymogène, taser, radio…
Elle enjambe son pantalon et garde sa culotte en nylon.
Claire écarte sa blouse sous laquelle elle est nue. La gardienne la contemple et promène longtemps ses mains.
Elle enfile des gants réglementaires en latex et introduit ses doigts en pince simultanément dans le rectum et le vagin. Claire mouille naturellement et avec ces préliminaires , une bave épaisse coule entre ses cuisses. Son bassin va au devant des caresses. La gardienne change de technique. Claire est à moitié allongée sur les coudes, dos à la table, les jambes écartées, la chef à la main droite dans son rectum, l'autre dans son vagin qu'elle agite alternativement de plus en plus vite. Claire parvient à saisir son clitoris avec ses doigts et jouit en pleurant.
Son corps n'en finit pas de s'agiter nerveusement.
La tension retombe, Claire glisse aux pieds de son amante, baisse la culotte trempée et colle sa bouche sur son vagin. Elle aspire, lèche et suce sa bienfaitrice qui finit par jouir en l'inondant.
Elles s'embrassent et s'allongent sur un divan, vestige de l'époque coloniale pour un tendre câlin.
Après un temps de récupération, elle ouvre les fenêtres pour effacer les effluves musquée qui ne laissent aucun doute sur leurs activités.
D'autres fois, elles se font un hammam traditionnel. Claire a appris à enduire sa maîtresse de savon noir, de la masser vigoureusement et de passer le gant de crin puis la rincer abondamment avant de la sécher dans un drap. Nues toutes les deux, le savon noir n'épargne aucune zone et elle insiste pour pénétrer anus et vagin.
S'en suit une séance de massage aux huiles parfumées qu'il faut faire pénétrer pour nourrir la peau. Elle commence par les pieds, les mollets, les cuisses. Elle effleure les grandes lèvres puis revient sur les cuisses. Ensuite, elle s'attaque aux doigts qu'elle étire un par un, elle assouplit les poignets puis remonte sur le bras. Ensuite, elle change de côté et répète la même opération, elle s'occupe du cou et masse le cuir chevelu en soulevant la tête. Ses mains redescendent sur sa poitrine et malaxent les seins. Elle étire les pointes, les pince avant de les reprendre à pleines mains.
Elle retourne sa patiente sur le ventre qui a le visage enfoncé dans une alvéole, elle masse fermement les épaules, le dos, et les fesses qu'elle sépare et réunit. Ses doigts s'insinuent dans la raie et caresse l'anus. Elle rajoute une goutte d'huile que son majeur et index font pénétrer. Elle caresse quelques minutes l'œillet qu'elle lèche , puis l'intérieur des cuisses, le périnée, et tourne autour du clitoris et pénètre dans le vagin.
Elle s'allonge sur elle en se frottant et l'écrase de tout son poids plusieurs minutes avant de la libérer.
Sa chef lui rendra la pareille la prochaine fois en variant éventuellement la technique.
A l'issue de la séance, nos deux tribades sont épuisées et s'endorment enlacées dans une pièce de repos.
Il arrive que la séance s'interrompt pour finir uniquement en jeux saphiques.
Durant l'absence de la chef, ces séances ont eu lieues dans les douches collectives avec deux ou trois détenues, sous l'œil de gardiennes complaisantes.
Elle aime être au centre d'une orgie où ses camarades doivent la satisfaire. Une était au sol et elle chevauchait son visage, un autre lui lavait le dos et les fesses tandis qu'elle embrassait une troisième qui lui caressait les seins.
Son « amitié » avec la chef lui garantissait le respect et l'obéissance de ses codétenues.
Une insubordination se traduisait par la mise au cachot pour la fautive : isolement, jeun, absence de parloir…
Une fois, elles rendirent visite à une détenue particulièrement retors. L'odeur les saisirent, le seau d'aisance dégageait une puanteur insoutenable. La chef renversa le seau et la pauvre victime dû s'étendre à même le sol pour invoquer son pardon. Après de longues minutes où elle stagnait dans ses excréments, elle fut nettoyée elle et sa cellule au Karcher.
Claire savait aussi se montrer sadique. Elle devait montrer qu'elle aussi était immorale et sans pitié pour garder sa position.
Au réfectoire, elle pouvait priver de nourriture une coreligionnaire qui devait rester au coin à genoux, les mains sur la tête.
Aux douches, il n'était pas rare qu'un fille soit molestée à coups de ceinturon, obligée de rester nue, livrée aux attouchements et aux vexations au milieu du vestiaire …
Au bout de quelques mois, elle fut libérée mais quelques temps plus tard, elle liquida ses affaires en France pour s'installer là bas définitivement profitant et participant à l'essor économique du pays.
A la tête de plusieurs entreprises et propriétaire de vastes domaines, elle jouit aujourd'hui d'une quasi impunité quant à ses frasques sexuelles et sa vie dissolue.
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