Ah ces rugbymen 3 - histoire érotique

Mon regard ne peut s'empêcher de regarder en direction de Jules. J'aperçois une protubérance anormale au niveau du haut de son jean. L'action de force entraînée par ce piquet qui a prit place entre ses jambes, tire encore plus le tissus, et lui fait encore plus un cul magnifique. Papa descend, je sort du lit, pose une main sur l'épaule de Jules, et lui dit qu'il faut y aller. Il m'attrape la main, se tourne, puis me fait un câlin.
On monte dans la voiture, il a l'air énervé, je lui demande si tout va bien. Il a les yeux rouges, comme s'il voulait pleurer, ça ne lui ressemble pas. Il m'explique donc que cela fait une semaine qu'il ne l'a pas vu, et qu'il ne pourrait surement pas dormir ensemble ce soir. Je tente de le réconforter comme je peux. Son téléphone sonne, il reçoit un sms, il ne bouge pas. Son téléphone sonne, c'est « Every Teardrop is a Waterfall » de Coldplay, il sotte sur son mobile, j'en déduis donc que c'est Alex. Son visage s'illumine, un sourire se dessine sur son visage. Le genre de sourire qui rend tout le monde beau, les yeux plissés, remplis d'étoile, puis une bouche légèrement ouverte, laissant apparaître quelques dents (des gens diraient que je suis amoureux de mon frère, ou que je lui vous un culte. C'est mon frère, je l'aime et le trouve beau, j'en suis fier d'être son cadet, et cela s'arrête là).
Il raccroche et pose son téléphone, apparemment les parents d'Alex lui laisse la maison ce soir, coup de chance pour lui, coup de chance pour moi.
On arrive sur le parking du club, y'a Alex et Lucas qui sont là, je check les deux frères, Jules, lui, fais un check à Lucas et embrasse Alex sur la joue (au rugby, c'est assez commun que deux bons potes se fassent la bise). Nos frères nous annoncent qu'on se retrouve dans la piscine, et qu'on verra après ce qu'on fait.
L'entraînement se passe tranquillement, j'en profite pour faire davantage connaissance avec lui (je me demande pourquoi je ne lui ai jamais vraiment parler!).
On fait quelques passes, puis les temps passe très vite. Je savais déjà qu'on était dans me même lycée, mais je ne savais pas dans quelle section il était, j'ai donc apprit qu'il était en S. J'en profite pour lui demander s'il se débrouille, et il me dit qu'Alex l'aide pour comprendre les leçons. J'en profite donc pour tenter de m'incruster chez lui, en prétextant des révisions, officiellement, et officieusement, je pourrai le scruter pendant qu'il travaille, ah, je ne me lasse plus de lui. Voilà comment j'occuperai donc mon après midi demain... bref, l'entraînement se finit, puis nous voilà parti à la piscine. Aucune gêne, on se change ensemble, je fais mine de rien, mais je ne peux m'empêcher de le scruter, un corps, tellement … des abdos, si … et sur ses pectoraux, admirablement bien dessinés, sont posés deux tétons. Pas des tout moches, non non, des beaux petits tétons qui ont l'air tout dur, que l'on a envie de mordiller, de lécher. Assis sur le banc de la cabine, je suis obligé de regarder son visage pour voir s'il ne me capte pas. Ah, qu'est-ce qu'il est beau, blond, bouclé, yeux vert, et une petite barde-de-trois-jours, les hommes « mal rasé », c'est déjà hyper sexy, mais quand en plus ils sont beaux, intelligents, qu'ils font du rugby, et son bien gaulés, c'est ORGASMIQUE... d'ailleurs, bien gaulés, parlons en ! Sa bite, je crois que je dormais à côté, je ne pourrai pas la lâcher.
Son prépuce est d'une telle manière qu'on voit le bout de son gland. Ses poils pubiens sont blond foncé, comme tous ses poils d'ailleurs. Ils sont bien entretenue, ça veut dire qu'il fait attention à lui, et qu'il a vu ça sur d'autres mecs, donc qu'il leur matte la queue (« TA GUEULE TOM ! »). Puis, il se tourne sans faire exprès, il a glissé en mettant son maillot, le voilà dos à moi. Fesse à face. Il a toujours le maillot en bas des jambes. Mais, mais qu'est-ce qu'il fait ? Mais il se baisse, NON, NON, NON ne fait pas ça ! Putain ça y est, j'ai la grosse gaule, je commence donc à me changer petit à petit, pour ne pas qu'il me voit dans cet état. La vision de son anus, de ses boules et sa queue … allez, vite. Il enfile son maillot, je suis rivé sur ses fesses, il se retourne, me fixe droit dans les yeux me regarde, et souris. Je tente comme je peux de cacher mon érection. Il explose de rire :
-Ne me dit pas que tu …
-Je te préviens, pas un mot de ça quiconque, personne ne le sait, t'as tout intérêt à fermer ta gueule !
-C'est bon, je dirai rien, j'ai rien dit pour ton frère et mon frère, je vais rien dire pour toi.
-Pour Alex et Jules, mais, euf, comme tu...
-Ma chambre est collée à celle de mon frère, et à chaque fois que ton frère dort chez moi, c'est surement pas pour jouer aux cartes.
-Merci alors de ne rien dire.
-Au pire, maintenant j'ai un moyen de pression. Bref, range ta matraque, l'heure tourne, ils vont nous attendre.

Pendant que je nageais, je repensais à tout cela. Il le prenait super bien n'empêche. Enfin bon, je mis mes lunettes et nagea derrière lui. Après une bonne demi-heure non-stop, il me dit de passer devant lui, pour voir si je nage aussi bien sans source de motivation. Il a osé me sortir « tant qu'à jouer les poissons en étant appâter pas mon gros appât, tu ferai mieux de nager » . Ah, le con, son arrogance m'excitait. Mais ça me motivait, je me mis donc à fond dans mes longueurs pour le semer. Lorsqu'on se croisait, sous l'eau, je pouvais, du moins, je me laissais persuader qu'il me faisait de grands sourires.
Puis, vers 22h, Alex et Jules sont venus nous chercher, Lucas m'a regardé, on a explosé de rire. Ils arrivaient du sauna, avec le panier aussi remplit que s'ils avaient fait leur marché. Ou alors ils avaient vraiment des bites comparables à des pompes à vélo.
Vers 22h15, on a tous eu fini de se changer, puis Alex demanda à son frère si ça le déranger qu'on dorme chez eux ce soir, celui-ci répondit que non, que comme ça il allait pouvoir faire plus ample connaissance avec son partenaire, en me regardant (au passage, à ce moment là, ce fut la fête dans mon caleçon). Je monta donc dans la mini de Jules et direction la maison des dieux. La soirée se déroula tranquillement, vers 23h15, nos frères s'en retournèrent dans la chambre d'Alex. Lucas me demanda si je souhaitais prendre un douche. Ce fut avec plaisir. L'odeur du chlore, non merci. Il m'indiqua donc la porte, sa salle de bain est dans sa chambre. Génial, moi qui voulais me taper une queue en pensant à lui, c'est mort. Je me déshabille donc, met l'eau à couler, puis naturellement, me met à chanter. Je coupe l'eau, me savonne tout le corps, puis me fais le shampoing. Alors que j'avais les deux mains dans les cheveux, j'eu énormément de mal à comprendre ce qu'en faisait deux autres à me caresser le corps. J'étais tétanisé, ne sachant pas comment réagir. L'eau se ralluma. Je le sentais me mordiller l'oreille. Je savais que c'était Lucas, mais n'osais pas me retourner. Sa succion de mon lobe m'envouta. Il me retourna, puis il se mit à m'embrasser.