Ah ces rugbymen, 6

- Par l'auteur HDS Tomy -
Récit érotique écrit par Tomy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ah ces rugbymen, 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

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Ah ces rugbymen, 6
Je ne sais alors pas si ma question va tout chambouler, mais je lui pose tout de même :
« -Alors, nous sommes un couple ?
-Que si tu le veux, me dit-il.
-Oui, je le veux bien, mais on ne se connaît presque pas quoi …
-Et alors, moi je ne veux pas juste du cul avec toi, j’ai envie d’essayer plus
-Alors on a qu’à essayer
-Et puis, après cette soirée, je me sens bien avec toi Tom. J’étais toujours puceau, c’est avec toi que j’ai commencé, et que j’avais envie d’essayer.
-Mais tu savais que t’étais gay ? Lui ai-je donc demandé.
-Beh je ne pensais pas, mais après avoir vu nos frères … Je ne me suis jamais senti attiré par des meufs, je n’arrivais pas à bander en matant des pornos hétéros ou lesbiens. Le seul truc qui me donnait la trique c’était de voir les mecs bander. Alors un soir, quand j’ai entendu mon frère qui se faisait doser par le tien, je me suis mis à bander, j’ai donc décidé de tester une vidéo gay, et la j’avais une gaule énorme. Et puis au rugby, j’aimais regarder les bites des autres aux vestiaires, et surtout toi. Mais j’osais pas trop te parler, tu m’intimidais, et puis, avec tout ce que les autres disais sur toi, du genre, « c’est un chaud de la bite Tom », ou encore « putain, Tom il s’est encore chopé des meufs hier soir », je pensais que t’étais 100% hétéro. C’est pour ça qu’à la piscine, quand je t’ai vu bander en me regardant, je me suis dit que je devrai tenter ma chance. Et comme je ne voulais pas passer pour une lope, j’ai essayé de faire le mec dur, genre, hétéro qui veut tenter de nouvelles choses.
-T’es trop mignon mec. Moi c’est pareil, depuis que j’ai vu nos frères prendre un pied phénoménal ensemble, je me suis dis qu’il fallait que je me trouve un mec pour essayer, et j’ai de suite pensé à toi, t’es le plus bel homme que j’ai jamais vu. Même sous les douches quand je te matais te laver, la manière dont tu passais ta main entre tes fesses, lorsque tu te décalottais, que tu soulevais tes boules, quand tu passais ta main sur tes petits tétons ... Et puis j’ai vu que tu te rasais les poils à la teub, donc c’est que tu l’avais vu sur quelqu’un, et que ça voulais dire que tu matais les bites des mecs. Tu vois, j’aime les mecs bien durs, j’ai aimé me donner une image dominateur avec les filles, mais avec toi, j’ai envie d’être dominé, et puis, je me sens en sécurité dans tes bras, j’ai envie d’être ta salope quand tu veux du hard, et ton amoureux quand tu voudras faire l’amour. Après cette nuit, j’ai l’impression de t’avoir toujours connu.
-Humm … Alors puisque c’est comme ça, ton cul est à moi maintenant. Là tu vas me sucer, je vais t’enculer, je vais jouir dans ton cul de salope, auquel je vais donner quelques gifles pour te punir de m’avoir maté sous les douches. Et je veux qu’à midi, quand on rentrera de l’entrainement, tu ais gardé la surprise que j’aurai lâché dans ton cul. Ça te va ? C’est assez cru pour toi ?
-Je pense que si tu continues comme ça Lucas, tu vas être l’homme de ma vie.
-Viens là que tu m’suces ! »
C’est alors qu’après lui avoir introduit ma langue dans la bouche, nous nous sommes roulés un bon patin, bien baveux. Puis, je suis descendu doucement, en lui léchant quelque peu ses tétons, son nombril, puis j’ai commencé à le sucer en le regardant droit dans les yeux. Jamais cette soumission, mais j’ai besoin d’amour aussi. Pour le moment, entrainement pour le rugby, alors un peu de sport.
Je sens des spasmes dans se queue, il m’attrape la tête, et je me fais remonter, visiblement, il préfère l’intimité de mes fesses. Alors il me fait remonter, encore un baiser, on ne s’en lasse pas, c’est tellement bon, et non nuisible à la santé ! Il me retourne, me mets sur le dos, se retire, me chope les guiboles, et me cambre, il enfile un doigt après m’avoir déposé un baiser sur la rondelle, puis sans que je ne m’aperçoive de quoi que ce soit, son gland butait au fond de mon trou. Y’a pas à chipoter, se faire baiser le matin au lever, quoi de mieux pour commencer une bonne journée ! De part son action, il m’arracha un cri, le genre de cri qui quotidiennement te parais impossible de faire. Puis la vitesse à laquelle il entreprit de me défoncer le trou fait que son lit cogne contre le mûrs. Ce qui a fait qu’on a eu droit à quelques « toc toc toc ». De toute façon, il fallait que les deux soient réveillés pour nous amener au stade ! Histoire de montrer à mon frère à quel point il me domine, il me donne de grands coups de buttoir. Je ne peux m’empêcher de gueuler comme une chienne en chaleur. Et apparemment, mon frère n’a pas trop apprécié le geste de Lucas car on entend maintenant Alex qui gueule telle une pucelle qui se fait sauter pour la première fois. Je ne sais pas si c’est par fierté, ou je ne sais quoi, mais maintenant Lucas se met à me claquer le fessier, tout en poussant des hurlements, oui oui, il hurle. J’espère que c’est bien insonorisé, car sinon je pleins les voisins. Nous voilà parti tous les quatre dans un duel pour savoir lequel des deux mâles (Lucas ou Jules), fera le plus crier son amant.
Vous comprendrez que plusieurs minutes à se traitement eurent raison de moi, dès lors que je pose ma main sur ma queue qui commence à me bruler, mes boules qui me donnent l’impression d’être arrachées ne tardent pas à lâcher un flot de foutre énorme. De même pour Lucas, qui me remplit ma flore intestinale avec passion.
Avec tout ça, l’heure tourne, il nous faut aller déjeuner pour éviter le malaise sur le terrain. Déjà qu’on s’est bien défoncé là, se serait con de chuter en si bon chemin. Je ne vous cache pas que mon anus baillant me lance un peu, je pense que si on fait une petite mêlée, ça risque de piquer. Bref, nous descendons en short et torse nus main dans la main. Pendant qu’il attrape les tartines et le Nutella, je fais chauffer la machine. Le temps que le voyant s’allume, j’ai même droit à un petit câlin, il cale son visage à côté du mien, puis m’enlace. La machine est prête, CONNASSE, tu ne pouvais pas chauffer plus longtemps ?! Il me montre les capsules, je fais les cafés pendant qu’il s’installe à table.
Nous déjeunons tranquillement, sans mots, juste des regards et des sourires qui en disent long. L’escalier grince, nos frères descendent. J’explose de rire, alors que je fais la bise à Jules et Alex, Jules fait juste un check à Lucas, puis, se baisse, et glisse quelques mots à son oreille. Alex passant derrière lui, lui donne une claque sur les fesses et lui dit « Arrête tes conneries bébé, dépêches toi de bouffer on va être en retard à l’entrainement ». C’est vrai qu’eux aussi avaient entrainement.
Bref, ils se posent à table, Jules s’installe à côté de moi, Alex en fasse de lui, à côté de Lucas. Puis, Jule me demande si la nuit a été bonne, et me demande :
« -Alors mon petit Tommy, t’as assez de voix pour parler ?
-Ta gueule conard ! Lui répondis-je
-Oh mais prend pas la mouche, je te taquine ! En tout cas la prochaine fois t’aura qu’à prendre le pot de gel dans ma table de nuit, parce que Lucas, si t’es membré comme ton frère, tu feras attention au cul de mon petit frérot, sinon il va arriver un moment où il devra marcher sur les mains.
-Parce qu’en plus tu te crois drôle ? Vieux mec ! Rétorquais-je Il avait le don de m’énerver dès le matin …
-Allez, va te laver, tu pues le foutre, et je veux pas que les autres vous taquinent», me dit-il.
Je me lève donc de table, suivi par Lucas, je vais poser mes affaires dans l’évier, puis part en direction de l’escalier. Juste pour voir la réaction de Jules, je dis à Lucas qu’il a un point de Nutella au coin de la bouche, et alors qu’il veut l’enlever avec son doigt, je lui dis « non, laisse », m’approche de son visage, lui lèche le coin de la bouche, lui roule une pelle, et l’embrasse. À ce moment là, Lucas me soulève et me prend dans ses bras, et commence à monter l’escalier, nos lèvres toujours soudées. Je suis tout rouge, j’ai la gaule, et Jules n’a rien dit. Je me lave donc les dents, pendant que Lucas pisse, et inversement, pas à être pudique, même pour ce genre de chose, après tout, on est des mecs, et on est tous pareil. D’autant plus qu’on s’est vu dans tout nos états. Bref, je finis de pisser, je me lave les mains, me mets de l’eau sur le visage, du parfum, vais rejoindre Lucas sur le canapé pour attendre les garçons. Ultime câlin, derniers bisous, les garçons descendent, en voiture. Même si on sait que dans un peu plus de deux heures on sera re-ensemble, il faut que même se lâcher.
On est tous dans la voiture, ma main collé à celle de Lucas, puis, la route avant de tourner au club, Jules se gare sur le côté et nous lance « dernier baiser, bougez-vous » puis le vois embrasser Alex. Que dis-je, lui rouler un palot monstre ! Puis lui sentir le coup avant de redémarrer. Je m’empresse de faire de même.

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