Ah ces rugbymen, 4 - histoire érotique

Il ralluma l'eau, puis me rinça en ne manquant pas de passer ses mains partout la où il pouvait. Il commença par m'enlever le shampoing, puis caressa mon visage pour enlever le savon. Il me frotta le cou, puis, en même temps qu'il descendait ses mains, je sentais ses lèvres et sa langue qui se baladaient sur mon coups. Il arriva à ma queue, puis me susurra : « Je vois que tu as commencé à bien t'amuser dis moi » . Il dit cela avec un ton de voix des plus sexy. Puis il prit mon pénis entre ses doigts. Il était collé à moi, son buste collé à mon dos, son bassin, à mes fesses. Je débuta d'ailleurs à sentir ce don de la nature, celui que je trouve le plus magnifique. Pendant que sa main droite jouait à titiller mon gland, l'index de sa main gauche tenter de s'immiscer sur les plateaux de mon intérieur.
C'est encore mieux que dans le meilleur de mes rêves. Je sentis un souffle sur mon oreille, puis, il commença à me susurrer quelques mots, me disant que j'étais beau, que j'avais un corps magnifique, puis, il se laissa échapper : « ça fait plusieurs moi que j'ai envie de toi. Je crois que je commence à avoir des sentiments... ».
À ce moment là, je ne pu m'empêcher de me retourner puis jeta ma langue violemment dans sa magnifique bouche, le fixant droit dans les yeux.
Je sentais une force pressente sur mon pénis en érection. C'était sa queue, qui était toute droite, et qui me faisait signe de m'occuper d'elle.
C'était la première fois pour nous deux, alors aucun n'osait se lancer. Enfin bon, c'est plutôt que j'avais trop envie de le sucer …
Je descendis donc petit à petit, mordillant ses tétons, puis léchant son nombril. J'embrassa son membre pour finir sur son gland, où je fis passer ma langue entre le prépuce et le gland. J'entrepris une fellation en tentant de faire à la manière des pornos gays que j'avais regardé. Mais je m’aperçus que lorsque j'avalais entièrement son pénis, cela ne le rendait pas indiffèrent. Si bien qu'à un moment donnée, il me bloqua la tête contre son corps. La présence du chibre dans ma bouche m’empêchait de respirer, et me donnée des nausées. Jusqu'à qu'il cria, qu'il hurla. À ce moment là, en plus de m'étouffer et de vomir, j'allais être sourd et me noyer. Il me déchargea dans la bouche une quantité absolument monumentale de sperm, jamais je n'avais vu ça. Mais je ne pu m'empêcher d'avaler, après tout, il fallait quelque chose pour soigner ma gorge. Et ce goût là ne me déplus pas. Tout au contraire.
Puis, mon Lucas me souleva, il me prit dans ses bras, mes jambes enlacées autour de sa taille, mes mains dans ses cheveux, nos bites entrelacées, et nos bouches fusionnées. Il m'emmena de sa salle de bain jusque sur le lit.
À entendre le claquement du lit de la chambre d'à coté ainsi que les râles de plaisir, je me doutais que les deux autres s'afféraient à la même tâche que nous.
Il m'allongea sur le lit, m'embrassa, puis tenta une fellation. Je l’arrêta au bout de quelques minutes, me mis à quatre pattes, et lui présenta mon anus.
Il se mit à le lécher, à me l'aspirer... Sa langue allait si vite, c'était si bon. Je ne pus m'empêcher de lui attraper le crâne pour le coller à mon cul. En regardant les films de cul, je me disais toujours que ce n'était pas possible, les acteurs simulaient, qu'on ne pouvait pas prendre autant de plaisir, et pourtant là, je vivais un rêve. Je sentais sa langue rentrer de plus en plus dans mon conduis anal, je ne pouvais me retenir de gémir. Et à entendre le bruit à côté, nous n'étions pas les seuls à nous amuser !
Puis, je me tourna et me mis sur le dos. Il s'allongea sur moi, on s'embrassa.
Instantanément, mais aussi assez volontairement il faut l'avouer, je releva les jambes, tout en le tenant par le coup en l'embrassant. À ce moment là, je sentis sa bite qui se tenait à l'entrée de mon cul et qui commençait à vouloir tenter un passage. Il ôta donc un ses mains qui lui servait à m'enlacer pour bien positionner sa bite, puis, il m'embrassa très tendrement le temps qu'il la fasse rentrer. Il était tellement doux. Ses deux mains me tenaient le visage, puis, après avoir fait des mouvements très lents, il commença à accélérer la cadence. Puis il allait vite, plus je lui lécher le visage.
C'était tellement bon ! Il a ensuite fait des mouvements de bassin, se retirant doucement, puis rentrant par de gros coup de bassin.
Puis, je lui dit à l'oreille : « maintenant bébé, c'est moi qui prend les choses en mains », il se retira du lit.