Ah, les femmes mûres !

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ah, les femmes mûres ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Ah, les femmes mûres !
Sitôt la porte d’entrée franchie que ma mère au téléphone me demanda : -tu pourrais allers chez Catherine, la pharmacienne, récupérer un médicament ?
-oui, j’y vais.
-bon je vous envoie Alain. Merci de votre gentillesse ! Fit-elle à son interlocutrice.
Sitôt le récepteur posé sur son socle, ma mère se justifia auprès de moi : -je te remercie mon fils, tu sais, le temps que je m’habille cela va mettre un temps fou, et Catherine n’a pas toute la journée en ce jour de relâche.
-oui maman je file.
Catherine habitait à seulement deux quartiers du notre.
-ah, te voilà déjà. Fit-elle d’un ton enjoué sans paraître remarquer mon embarras devant sa tenue, que je citerai de légère.
Elle était en chemise de nuit et il était évident qu’elle ne portait pas grand-chose dessous. Elle ne semblait pas du tout gênée de me recevoir dans cette tenue. Les jambes nues jusqu’à mi-cuisses. Les ongles de ses orteils qui sortaient du bout de ses mules sans talons, étaient laqués d’un vernis rouge vif. Elle interceptait mon regard sur elle.
-ils te plaisent ? Enfin ne répond pas, je sais que tu aimes les pieds de femmes. Corinne (sa fille aînée) me la dit à l’époque où elle vous gardait. Tu vois je le sais ! Que même tu assistais pour qu’elle enlève son collant pour l’humer en cachette dans ta chambre, et qu‘une fois que tu en avais fini de le flairer comme l‘aurait fait un chien, tu le lui redonnais, et là, elle se faisait un plaisir de ce le remettre devant tes yeux ébahis. Tu vois je sais même cela. Et je découvre que tu n’as pas changé. Viens donc t’asseoir un petit moment.
-c’est que ma mère attend… et elle m’a dit que vous étiez presser.
-eh bien mon rendez-vous attendra, voilà tout. Tu n’es pas d’accord avec moi ? Aller bouge toit, j’ai à te parler. Pour une fois que je suis seul avec toi.
Pour ce faire, elle me fit prendre place sur le divan, alors qu‘elle se penchait au dessus de la table basse pour se saisir d‘une boite en métal fantaisiste. Elle ouvrit le couvercle et se pencha pour m‘offrir une crotte au chocolat qui se tenaient au fond. Le décolleté de sa chemise de nuit ouvrit largement et je pus à loisir voir ses seins lourds. Ils ballotaient bien, comme de la gélatine. Leurs pointes brunes se dressaient au centre d’une large aréole brun foncé. Elle attendit patiemment que je me serve pour enfin se redresser et ainsi clore le céleste spectacle qu’elle m’offrait.
-que t’arrive-t-il ? Me questionna-t-elle. Tu es tout rouge. Tu veux un verre d’eau, attends !
Elle pivota jusqu’à un des fauteuils jumeaux, où au pied était posée une bouteille d’eau minérale, sans prendre la peine de plier ses jambes elle s’en empara. Dans l’action le bas de sa chemise de nuit se soulevait, découvrant ses fesses dodues moulées dans une culotte de dentelle blanche.
Putain, les anges étaient de mon côté ce jour là, et je m’en félicitais. Après m’avoir tendue le verre elle prit place sur le divan, juste à côté de moi. Pour lui faire plaisir, je bu une grande rasade d’eau. L’ambiance feutrée, ajoutée à son parfum lourd, il m’en fallait pas plus pour m’engourdir.
-alors, dis-moi, tu ne savais pas que je le savais. Cela t’en bouche un coin. Corinne fière d’elle, m’avait même confié que t’aimer lui masser les pieds, que tu faisais ça même bien, je te mens pas, c’était ses propres paroles. Et qu’une fois ! Elle se mit à rire bêtement avant de poursuivre : je ne sais pas si c’est vrai, je compte sur toi pour me le dire, tu as mis son pied dans ta bouche pour lui sucer le gros orteil comme tu l‘aurais fait avec un sucette. C’est vrai ça ?
-oui, je l’avais fait. D’ailleurs elle m’avait laissé faire à ma guise les fois suivantes.
-tu aimes toujours autant les pieds ?
-ça m’arrive, oui quand ils sont à mon goût.
-un beau garçon comme toi ! Tu ne devrais pas être à la peine pour trouver une prétendante pour te laissait jouer avec ses petons. Je me trompe ?
Je commençais à deviner qu’elle avait une idée derrière la tête. Tout en parlant, elle se vaudrait sur le canapé, jambes écartées. Sa chemise de nuit glissa alors sur ses cuisses. Par politesse j’essayais pas sans mal de détourner les yeux mais mon regard revenait sans cesse sur son ventre bombé que sa culotte ne pouvait toute cachée. Elle possédait une silhouette que je dirai, un peu enveloppée.
-tu les trouves comment mes pieds ?
-à mon goût ! Lâchais-je, sans réfléchir.
-tu m’en vois ravie ! Tu pourrais me faire ce que tu faisais à Corinne alors, à l’époque ?
Je me levais, m’accroupi à ses pieds et les portais à mon visage. Je les avais humé, embrassé, léché, massé, léché de nouveau, enfin tout ce qui fallait pour faire monter sa libido, et la mienne aussi.
Trouvant qu’il était temps de passer à autre chose, elle se précipita sur moi, comme une morte de faim, elle débouclait et déboutonnait mon pantalon. Vous pensez bien je m’étais laissé faire. Encouragée par ma passivité, elle enfonçait sa main dans mon pantalon.
-tu ne peux pas savoir comme cela me fait du bien d’en attraper une. Ça faisait si longtemps ! Tu sais sans doute que j’ai personne en ce moment, et je ressens cruellement le poids de la solitude. On ne pourrait, enfin si tu veux bien sûr, se distraire ensemble, qu’en penses-tu ?
-je ne suis pas contre.
Heureuse de ma réponse, elle caressait mon sexe à travers mon slip. Je bandais très dur. Elle ajoutait d’une voix rauque : -tu bandes bien. Tu aimes qu’en te touche ?
-c’est un régal de ce faire peloter, répondis-je.
-à qui le dis-tu, lâcha-t-elle en glissant sa main sous mon slip, elle emprisonnait ma queue entre ses doigts.
Le contact me fit frissonner.
-tu bandes comme ça avec tes copines ? Ou alors c’est moi qui te fais de l’effet ?
-je pense que c’est vous, madame.
-madame ! Catherine c’est mieux ? Non ?
-si vous le dite !
-détends-toi, je vais te montrer de quoi est capable une femme.
Du pouce, elle frictionnait mon gland, un vrai délice ! Je pris sur mon moi pour contrôler la jouissance. Heureusement pour ma pomme, elle interrompit sa caresse pour se saisir de ma main pour la poser sur sa poitrine.
-cela te dit de t’occuper de moi à présent, tu sais faire ça ?
-je pense oui, Catherine.
Je commençais par lui pétrir la poitrine. La chair ferme de ses seins se gonflait sous mes doigts. Les mamelons se fripaient, chaque fois que je les effleurais, Catherine poussait un soupir bruyant.
Comme pour m’en donner encore plus, elle fit passer sa chemise de nuit par-dessus la tête. Sa culotte était aréolée sur le devant et ses poils formaient une tache sombre sous le tissu. S’agenouillant, elle me soulagea de mon pantalon et slip.
-mon petit doigt me dit qu’en va bien s’amuser tous les deux.
Prenant mes couilles à pleine main, elle jouait avec, tout en me suçant. Elle massait le gland entre ses lèvres, le suçotait, le mordillait pour mon plus grand plaisir.
Y’a pas à dire, une femme mûre s’est y faire !
Devinant que j’étais sur le point de conclure, elle s’arrêta et attendait sagement que la tension retombe pour se remettre à me sucer. Quand elle s’aperçut enfin que j’étais l’incapacité de me retenir plus longtemps, elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes. Et m’exposa sa chatte, large et humide, dont l’odeur forte qu’elle dégageait me saoulait.
La coquine devait être très excitée. Sans me laisser le temps de m’attarder sur son sexe, elle me coucha sur le tapis et se mit à califourchon sur mon ventre. Elle se frotta à moi, et tout de suite ma verge trouva le chemin de son antre.
-j’en avais envie, tu sais ! Qu’est-ce qu’elle est dure… je la sens bien.
Elle me chevaucha en me suppliant de me retenir le plus longtemps possible. Mais c’était peine perdu, nous étions trop excités l’un comme l’autre. Je m’étais lâché dans son con pendant qu’elle me collait les fesses sur le sol avec de furieuses ruades. Ensuite, épuisés, nous allâmes nous asseoir sur le canapé, le temps de reprendre nos souffles.
Suite à cette aventure elle assistait pour qu’en se revoie, et le plus tôt possible, avait été ses mots. Ce qui était loin de me déplaire. J’avais pourtant déjà à cette époque des relations avec Brigitte ma voisine du bas, avec Bernadette celle du haut et maintenant avec Catherine. Si avec ça j’avais encore les couilles pleines ce n’était à plus rien comprendre.

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