Exhibitionniste !!!!
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Exhibitionniste !!!!
Je n’ai pas honte d’avouer qu’il m’arrivait jadis de faire du naturisme sauvage dans les bois. Mon exhibitionnisme n’était qu’un flirt continuel avec le risque, celui de se montrer pour ne pas être vu, un plaisir qui me procurait une forte montée d’adrénaline chaque fois.
Quand l’envie m’envahissait je me rendais donc dans la forêt proche de chez moi. Une fois sur place je me déshabillais presque entièrement, ne gardant en général que mes chaussures, plus confortable pour marcher. Donc je me baladais ainsi nu aux milieux des arbres et des chants des oiseaux. A plusieurs reprises, il m’arrivait de rencontrer des promeneurs. Je m’étais alors tout en œuvre pour les éviter, et pour cause !
Un après midi après avoir longuement marcher sans me soucier où, je fis irruption dans une clairière inondé par la lumière crue de ce bel après-midi de fin d’été.
Une femme était là, étendue confortablement sur un bain de soleil, en maillot prenant le soleil. D’où je me trouvais il m’était impossible de tout distinguer. Alors je me suis approché. Pour constater qu’il se passait quelque chose du côté de cette femme seule dans son jardin. Qu’elle était en train de s’adonner au plaisir solitaire. Tout en restant à couvert, je m’aperçus qu’un bosquet assez dense se trouvait tout près du grillage délimitant la propriété se la femme. Tout en me déplaçant je fis tout mon possible pour ne pas me faire découvrir.
A l’abri derrière le bosquet, je pris soin de bien m’installer. Assez bien pour apercevoir la femme dans son bain de soleil. La quarantaine, les nichons au soleil, de l’autre main elle se les palpait, de lourds nichons blancs qu’elle avait entièrement sortis de son soutien-gorge et qu’elle était en train de se tripoter. Un délice pour mes yeux !
Sous mes yeux écarquillés, elle se torturait les seins, elle se les tiraillait, apparemment elle avait vraiment l’air d’apprécier car elle y allait de bon cœur la coquine tandis que son autre main accélérait le rythme sur sa fourche.
Cela devait bien faire plus d’un quart d’heure que je regardais quand je l’ai vue prendre son plaisir, sans un bruit, sans crier, juste en rejetant sa tête en arrière, les mains entre les cuisses, en train de se tortiller tout en continuant à se caresser.
Envahit par la folie, j’entrepris de la rejoindre bite à la main.
Elle ne m’avait pas vu approcher, ayant le dos tourné. Lorsque son visage crispé par les spasmes de plaisirs me vit, il était trop tard pour tout arrêter. Elle éclata de nouveau devant mes yeux émerveillés en se mordant les lèvres pour ne pas crier et resta là pantelante dans son bain de soleil. Pantelante et soumise, je me penchais jusqu’à elle, pour que ma bouche se mette à dévorer son cou tandis que mes mains caressaient ses cuisses fermes. Quant à elle, elle me griffait plus qu’elle ne me caressait le dos. Elle voulait du sexe viril, elle allait être servie ! Je pris ses deux seins à pleine main et les pétris fortement. Je sortis ses tétons durcis et les fis rouler sous mes doigts puis les mordis assez brutalement, je dois l’avouer.
Mais elle aimait cela, elle soupirait à chaque fois que j’effleurais ces parties si érogènes de son anatomie et criait même quand je les brutalisais un peu. Je caressai lentement le tissu de son millot et je m’aperçus qu’il était trempé. Je l’écartai donc pour découvrir un sexe entièrement rasé et déjà bien ouvert. Je glissai vite un doigt puis deux dans sa fente ruisselante tandis que mon pouce titillait son clitoris. Elle voulut m’empêcher de glisser un troisième doigt, mais je ne l’écoutai pas. Le passage fut plus difficile que pour les deux premiers mais elle mouillait tellement que je le pus, ce qui lui tira un nouveau cri où se mêlait plaisir et douleur. Je lui fouillai donc la chatte avec trois doigts, alors que ma main gauche continuait à malaxer ses seins. Elle acceptait ce traitement, totalement offerte à moi, exprimant largement son plaisir.
Très vite après, telle une morte de faim, elle se rua sur ma queue pour l’avaler goulûment. Elle ne prenait pas le temps de bien lécher toutes les parties de ma bite et se contentait d’avaler férocement mon gland, alors que sa main branlait la base de ma bite. Rapidement, mes mains se posèrent sur sa tête et je lui imprimai le rythme que je souhaitais.
C’était loin d’être une des meilleures pipes que l’on m’avait faites mais voir une inconnue agenouillée devant moi dans son jardin, en train de dévorer mon organe, m’excitait assez. Au bout d’un moment, alors que sa pipe ne m’émoustiller plus, je lui retirai la tête de mon entrejambe.
Comprenant ce que je désirais elle me présenta ses fesses en les écartant avec ses deux mains. Je me plaçai derrière elle et présentai ma queue devant sa chatte humide. D’un seul mouvement, je l’empalai jusqu’à la garde. Ma rudesse la surprit et lui arracha de nouveau un grand cri. Je sentis qu’elle était un peu contractée mais rapidement son vagin s’adapta à ma bite et je commençai à la limer. Mes mouvements furent assez lents au début pour devenir rapides, voire déchaînéos. Mes mes couilles fessaient ses fesses. Je tenais ses seins à pleine main et les pétrissais au gré de mon va-et-vient. J’étais très excité d’avoir cette femme sous ma domination. Je la tenais par la taille quand mes doigts s’approchèrent de son œillet. Je commençai à masser doucement le tour de son anus qui réagit aussitôt. Dès que mon pouce s’aventurait plus sur son trou, je le sentais prêt à s’ouvrir.
Je crachai dessus pour lubrifier un peu et mes doigts s’immiscèrent rapidement à l’intérieur. Elle ne disait rien devant cette nouvelle incursion dans son être, ce qui me poussait à continuer. Quand je jugeai que son petit trou était assez dilaté, j’arrêtai de la pénétrer pour présenter mon sexe devant lui. Je pressai lentement ma queue mais je ne réussis pas à rentrer du premier coup.
Je recueillis de sa mouille pour lubrifier son trou de balle. Quand je jugeai être prêt, je présentais ma queue à l’entrée de son derrière.
D’un coup de reins, elle entra en elle assez facilement. Elle ne cria pas, soupira même de plaisir. Son anus s’adapta assez vite à mon membre et je coulissai facilement en elle. La coquine devait avoir l’habitude de se faire prendre par ce trou-là. Rapidement, elle se remit à crier son plaisir et j’avais l’impression qu’elle préférait être enculée que pénétrée. Du bout des doigts, j’effleurais son clitoris, ce qui renforçait un peu plus son plaisir. Son bassin ondulait de plus en plus et ses cris étaient très rapprochés. D’un coup, elle se raidit et explosa, manifestant bruyamment son plaisir. Ses muscles se contractèrent autour de mon sexe, entrainant ma jouissance. Je déchargeai ma semence au fond de son cul dans un grand râle. Je continuai à la limer jusqu’à ce que tout mon sperme se soit écoulé de mes couilles.
Elle me gratifia d’un sourire et lâcha un :
-Tu seras toujours le bien venu ici ! Tout en m’embrassant sur la joue.
Je rejoignis ma voiture et rentrai chez moi, l’esprit rêveur.
Le soir dans mon lit, je repensais à cet après-midi fabuleux et je me fis sucer la queue par ma femme en repensant à la femme dont je ne connaissais rien d’elle-même pas son prénom !
Quand l’envie m’envahissait je me rendais donc dans la forêt proche de chez moi. Une fois sur place je me déshabillais presque entièrement, ne gardant en général que mes chaussures, plus confortable pour marcher. Donc je me baladais ainsi nu aux milieux des arbres et des chants des oiseaux. A plusieurs reprises, il m’arrivait de rencontrer des promeneurs. Je m’étais alors tout en œuvre pour les éviter, et pour cause !
Un après midi après avoir longuement marcher sans me soucier où, je fis irruption dans une clairière inondé par la lumière crue de ce bel après-midi de fin d’été.
Une femme était là, étendue confortablement sur un bain de soleil, en maillot prenant le soleil. D’où je me trouvais il m’était impossible de tout distinguer. Alors je me suis approché. Pour constater qu’il se passait quelque chose du côté de cette femme seule dans son jardin. Qu’elle était en train de s’adonner au plaisir solitaire. Tout en restant à couvert, je m’aperçus qu’un bosquet assez dense se trouvait tout près du grillage délimitant la propriété se la femme. Tout en me déplaçant je fis tout mon possible pour ne pas me faire découvrir.
A l’abri derrière le bosquet, je pris soin de bien m’installer. Assez bien pour apercevoir la femme dans son bain de soleil. La quarantaine, les nichons au soleil, de l’autre main elle se les palpait, de lourds nichons blancs qu’elle avait entièrement sortis de son soutien-gorge et qu’elle était en train de se tripoter. Un délice pour mes yeux !
Sous mes yeux écarquillés, elle se torturait les seins, elle se les tiraillait, apparemment elle avait vraiment l’air d’apprécier car elle y allait de bon cœur la coquine tandis que son autre main accélérait le rythme sur sa fourche.
Cela devait bien faire plus d’un quart d’heure que je regardais quand je l’ai vue prendre son plaisir, sans un bruit, sans crier, juste en rejetant sa tête en arrière, les mains entre les cuisses, en train de se tortiller tout en continuant à se caresser.
Envahit par la folie, j’entrepris de la rejoindre bite à la main.
Elle ne m’avait pas vu approcher, ayant le dos tourné. Lorsque son visage crispé par les spasmes de plaisirs me vit, il était trop tard pour tout arrêter. Elle éclata de nouveau devant mes yeux émerveillés en se mordant les lèvres pour ne pas crier et resta là pantelante dans son bain de soleil. Pantelante et soumise, je me penchais jusqu’à elle, pour que ma bouche se mette à dévorer son cou tandis que mes mains caressaient ses cuisses fermes. Quant à elle, elle me griffait plus qu’elle ne me caressait le dos. Elle voulait du sexe viril, elle allait être servie ! Je pris ses deux seins à pleine main et les pétris fortement. Je sortis ses tétons durcis et les fis rouler sous mes doigts puis les mordis assez brutalement, je dois l’avouer.
Mais elle aimait cela, elle soupirait à chaque fois que j’effleurais ces parties si érogènes de son anatomie et criait même quand je les brutalisais un peu. Je caressai lentement le tissu de son millot et je m’aperçus qu’il était trempé. Je l’écartai donc pour découvrir un sexe entièrement rasé et déjà bien ouvert. Je glissai vite un doigt puis deux dans sa fente ruisselante tandis que mon pouce titillait son clitoris. Elle voulut m’empêcher de glisser un troisième doigt, mais je ne l’écoutai pas. Le passage fut plus difficile que pour les deux premiers mais elle mouillait tellement que je le pus, ce qui lui tira un nouveau cri où se mêlait plaisir et douleur. Je lui fouillai donc la chatte avec trois doigts, alors que ma main gauche continuait à malaxer ses seins. Elle acceptait ce traitement, totalement offerte à moi, exprimant largement son plaisir.
Très vite après, telle une morte de faim, elle se rua sur ma queue pour l’avaler goulûment. Elle ne prenait pas le temps de bien lécher toutes les parties de ma bite et se contentait d’avaler férocement mon gland, alors que sa main branlait la base de ma bite. Rapidement, mes mains se posèrent sur sa tête et je lui imprimai le rythme que je souhaitais.
C’était loin d’être une des meilleures pipes que l’on m’avait faites mais voir une inconnue agenouillée devant moi dans son jardin, en train de dévorer mon organe, m’excitait assez. Au bout d’un moment, alors que sa pipe ne m’émoustiller plus, je lui retirai la tête de mon entrejambe.
Comprenant ce que je désirais elle me présenta ses fesses en les écartant avec ses deux mains. Je me plaçai derrière elle et présentai ma queue devant sa chatte humide. D’un seul mouvement, je l’empalai jusqu’à la garde. Ma rudesse la surprit et lui arracha de nouveau un grand cri. Je sentis qu’elle était un peu contractée mais rapidement son vagin s’adapta à ma bite et je commençai à la limer. Mes mouvements furent assez lents au début pour devenir rapides, voire déchaînéos. Mes mes couilles fessaient ses fesses. Je tenais ses seins à pleine main et les pétrissais au gré de mon va-et-vient. J’étais très excité d’avoir cette femme sous ma domination. Je la tenais par la taille quand mes doigts s’approchèrent de son œillet. Je commençai à masser doucement le tour de son anus qui réagit aussitôt. Dès que mon pouce s’aventurait plus sur son trou, je le sentais prêt à s’ouvrir.
Je crachai dessus pour lubrifier un peu et mes doigts s’immiscèrent rapidement à l’intérieur. Elle ne disait rien devant cette nouvelle incursion dans son être, ce qui me poussait à continuer. Quand je jugeai que son petit trou était assez dilaté, j’arrêtai de la pénétrer pour présenter mon sexe devant lui. Je pressai lentement ma queue mais je ne réussis pas à rentrer du premier coup.
Je recueillis de sa mouille pour lubrifier son trou de balle. Quand je jugeai être prêt, je présentais ma queue à l’entrée de son derrière.
D’un coup de reins, elle entra en elle assez facilement. Elle ne cria pas, soupira même de plaisir. Son anus s’adapta assez vite à mon membre et je coulissai facilement en elle. La coquine devait avoir l’habitude de se faire prendre par ce trou-là. Rapidement, elle se remit à crier son plaisir et j’avais l’impression qu’elle préférait être enculée que pénétrée. Du bout des doigts, j’effleurais son clitoris, ce qui renforçait un peu plus son plaisir. Son bassin ondulait de plus en plus et ses cris étaient très rapprochés. D’un coup, elle se raidit et explosa, manifestant bruyamment son plaisir. Ses muscles se contractèrent autour de mon sexe, entrainant ma jouissance. Je déchargeai ma semence au fond de son cul dans un grand râle. Je continuai à la limer jusqu’à ce que tout mon sperme se soit écoulé de mes couilles.
Elle me gratifia d’un sourire et lâcha un :
-Tu seras toujours le bien venu ici ! Tout en m’embrassant sur la joue.
Je rejoignis ma voiture et rentrai chez moi, l’esprit rêveur.
Le soir dans mon lit, je repensais à cet après-midi fabuleux et je me fis sucer la queue par ma femme en repensant à la femme dont je ne connaissais rien d’elle-même pas son prénom !
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