L'été était chaud (la suite)

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'été était chaud (la suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'été était chaud (la suite)
Alors que je déjeunais en compagnie de plusieurs de mes cousins et cousines, Christiane vint jusqu’à moi et alors qu’elle se penchait pour prendre sur la table une tranche de brioche, elle me murmura à mon oreille.
-Dans la bergerie à 10H30, et tu as intérêt d’y êtres, sinon !
Par plus de curiosité que par peur, sachant parfaitement que ma tante n’en fera rien de ses menaces, j’allais au rendez-vous. Prenant garde de ne pas alerter qui que ce soit.
Ma tante était déjà sur place.
-Referme la porte veux-tu, et par la même occasion, coince la avec la fourche !
Ceci fait, bêtement j’attendais sagement la suite.
-Mai qu’attends-tu ? Vient ! me fit-elle en forçant les sourcils.
Elle me fit prendre place à ses côtés, et prit un ton sévère pour m’interroger.
-Qu’as-tu fais, vilain garçon ?
Elle me parlait comme un enfant. Entrant dans le jeu, je répondis d’un ton faussement puéril, la voix tremblante d’excitation.
-Tu parles sans doute de ma petite séance devant tes yeux ?
-Parfaitement ! Je t’écoute !
Et là je me mis à lui exprimer le pourquoi du comment de mon geste. Tout en m’écoutant, elle déboutonna mon short. Je n’essayais même pas de la lui dissuader, tout au contraire, j‘étais le plus heureux des hommes. Cul nu, elle me pinça la cuisse, juste sous les fesses.
-Je pense sans me tromper que tu es le plus pervers de la flatterie.
Un autre pinçon énergique m’obligea à l’admettre. Tout en me pressant de questions, elle me pétrit les fesses et bien sûr je me laissais faire.
-Naturellement tu as aimé te branler devant ta tata ?
-Oh oui ! Cela sortit du cœur. Surtout que je te trouve la plus belle de toutes mes tantes.
La sentant excitée par mon évocation, je poussais le bouchon en lui avouant mes penchants pour ses petites culottes portées.
En m’adressant un sourire de lubrique, elle fit aller et venir un doigt dans la raie. Pour mieux me le planter dans mon anus. Avec son autre main elle caressait mes couilles.
-Cela mérite punition ! Tu n’es pas d’accords avec moi ?
Ma verge dure frémit, elle la masturbait tranquillement tout en me faisant la morale.
Docilement, je me mis à plat ventre en travers ses cuisses. Offrant mon derrière à ma tante, tout en frottant ma queue contre sa cuisse. Elle me claquait les fesses, de plusieurs coups. Mon pénis vibra contre les cuisses de ma tante. Elle gifla mes fesses de plus belle. Je me cambrai, renversant la tête en arrière. Regard flamboyant, elle cingla mon derrière offert, excitée par mes gémissements de douleur.
Enfin Christiane s’arrêta pour reprendre sa respiration. Elle était en sueur. Son épaisse chevelure brune était en désordre. Elle contempla avec satisfaction mes fesses rougies.
D’une poigne énergique, elle me retourna, me faisant prendre place sur ses genoux. Sans un mot, elle me tendait une culotte. Que je devinais être une des siennes. Avec de petits cris de plaisir, je la plaçais sous mes narines et en humer les essences qui s’en dégager. Elle me l’arracha de la main pour l’entourer autour de mon sexe. Le contact était des plus émoustillants ! Et sans bouger, elle laissa tomber : -Je pense que tu as été assez puni ! Veux-tu que je te montre que je ne suis plus fâchée ?
D’abord très lentement comme si elle hésitait à me donner satisfaction, puis ma tante me masturba. Oui elle me masturbait. Sur le même rythme, elle me pompait la bite, et comme ça, jusqu’à ce que je jouisse.
Elle était excitée elle aussi, ses narines palpitaient, ses pommettes se coloraient. Je constatais même que ses mâchoires se contractaient au moment où mon sperme jaillit arrosant copieusement sa culotte.
Elle continua sa masturbation jusqu’à faire sortir les dernières gouttes. Jusqu’au dernier soubresaut de plaisir de ma part. Puis gardant le membre dans la main, elle me parla comme si j’étais un enfant.
-Le vilain neveu n’en veut pas à sa tata, au moins ?
-Pourquoi en voudrais-je à ma tata préférée ?
- C’est bien, alors le vilain neveu va sortir d‘ici et rejoindre les autres.
Et alors que je décoinçais la porte, ma tante me rappela.
-Oui, fis-je en m’approchant.
-Bien sûr cela reste entre nous, mon chéri, sinon nous pourrions plus nous voir, et cela tu ne le veux pas ? Non ?
-Pas du tout, tata !
-Bon alors sache, que quand je te pincerais il faudra que l’heure qui suis tu te rendes ici. En faisant bien sûr attention que personne te suit.
-Tu peux compter sur moi, tata !
-Bien file à présent… J’avais dû patienter trois jours avant que Christiane daigne de nouveau à me donner rendez-vous. Alors que je prenais le chemin me menant jusqu’à paradis, je fus submergeais par une forte excitation.
Je patientais cinq minutes avant de voir la porte s’ouvrir et ma tante m’apparaître. Elle me regarda et me sourit. Elle verroulla l’entrée, et resta un moment immobile, où elle secoua la tête, puis me lança un regard étrange. Enfin, un regard que je ne lui connaissais pas encore à ce jour. Mais cela m’était bien égal. Surtout que mon esprit sale travaillait dur. A faire germer dans mon cerveau une pensée étrange.
-Tu as l’air déçu, tata. Tu veux que je me branle devant toi ?
Puis à ma délicieuse surprise, elle n’avait rien répondu. Elle plia les bras, se mordit la lèvre inférieure avant de lâcher : -Eh bien Alain je te signale tout de même que je suis ta tante mais… Si elle savait comme je m’en foutais. Pour toute répose je lui fis un grand sourire méchant et sale, avant de lâcher : - Alors tata tu veux me voir me branler de nouveau ?
-Si cela te dit, pourquoi pas !
Je m’étais pour cela allongé sur la paille. Je baissais short et slip et j’écartais les jambes pour que Christiane puisse voir ma queue et mes couilles. Ma queue était déjà bien dure. Je la sentais très gênée de me regarder me satisfaire.
-Mais tata, regarde ! Je suis très heureux de faire ça pour toi !
Puis elle s’approchait enfin de moi et posa pour mon plus grand plaisir son œil sur ma queue.
-Tu es sûr que tu prends plaisir de faire ça pour ta tante ?
J’avais souri et je fis oui de la tête. Puis elle m’époustouflait, quand elle laissa tomber : -Je ne pense pas être aussi sexy que comme le sont les femmes dans les bouquins de cul.
-Oh oui tata ! Répliquais-je. Elles ne t’arrivent même pas à la cheville.
Encouragé sans doute par mes paroles, la voilà contre toute attente, déboutonnant bouton après bouton sa robe portefeuille. Elle écarta par la suite les deux pans, assez grand pour m’exhiber un soutien-gorge et une culotte en dentelle de couleur blanche. Il n’y avait rien à mes yeux de plus chaud et sexy que de voir ça.
Mes yeux étaient comme aimanté par le corps de ma tante. Ma vue glissa sur sa culotte dont je percevais quelques poils de son pubis.
Poussée, elle changea de position en se positionnant à genoux pour que je puisse mieux admirer la région de sa chatte. Vu la hauteur de sa culotte, je savais qu’elle ne se raser pas.
-Putain tata, tu m’excites ! Lâchais-je tout en accélérant la cadence de mon branlage.
Avec une furieuse envie de lacher ma jouissance. Juste pour qu’elle assiste à cela. Surtout que ses yeux se posèrent plus que jamais sur ma main qui s’activait sur ma queue à me faire jouir.
Très lentement, mais surement elle tendit la main vers ma queue. Je ne sais pourquoi j’avais lâché cette dernière, en pensant qu’elle allait me la saisir. Et qu’elle s’empressa de faire pour mon plus grand plaisir. Quelle sensation merveilleuse quand ses doigts prirent concat avec mon intimité. Je faillis tressaillir alors qu’elle faisait remonter légèrement le bout de ses doigts de mes couilles jusqu’au dessous de la tête de bite.
-Elle est grosse ! Disait-elle tout en faisant courir le bout de ses doigts de haut en bas. Puis elle me regarda: -Tu permets ?
Je fis juste un signe de tête. Instantanément sa main s’enroula autour de ma queue et elle commença à me faire une superbe branlette, comme j’aimais quand me la fasse. Puis elle caressa de son autre main mes couilles, tout en s’activant sur ma queue. Je ne pus m’empêcher de laisser échapper plusieurs gémissements en trouvant encore la force de lui dire : -Oh tata, tu fais ça bien !
Elle me sourit, accélérant la cadence du branlage. De manière forte et rapide. J’étais fasciné par la façon dont ses seins rebondissaient dans son soutien-gorge. Christiane m’avait surpris en train de les regarder.
-Tu veux les voir ? Laissait-elle tomber.
-Tu ferais ça tata ! Pour moi !
-Pourquoi pas ! Fit-elle en lâchant ma queue.
La laissant rebondir contre mon ventre. Elle attrapa son soutien-gorge dans son dos et le décrocha. D’une manière lente, sensuelle et nerveuse, elle l’enleva. Je pouvais dire qu’elle était très gênée. Ses mamelons étaient durs, son aréole avait la taille d’une pièce de 20 centimes de l’époque.
Puis pour mon plus grand plaisir me reprit en main, faisant courir très légèrement le bout de ses doigts de haut en bas de ma hampe, se penchant généreusement pour que je puisse admirer ses nichons. Surplombé d’une furieuse envie, je tendis la main pour les toucher, mais elle m’arrêta : -Non, on fait déjà tellement de bêtises. Profite de ma branlette.
J’adorais voir ses seins rebondir de partout avec le mouvement de haut en bas qu’elle faisait avec ma queue. Elle alternait entre l’utilisation de deux mains, puis avec une seule pendant qu’elle me caressait les couilles avec l’autre. Elle me caressait la bite rapidement, puis lentement, puis elle tournait sa main autour de ma bite en la pressant. Je sentais que je venais et je l’imaginais déjà avec tout mon foutre sur ses doigts. Je pouvais sentir une grosse giclée s’accumuler dans ma queue. Ma tante sentait ma bite se raidir. Elle ralentit son rythme en me regardant, et elle me dit : -Fais-moi savoir quand tu es sur le point de conclure.
Je gémissais un oui quand puis elle reprit de plus belle sa branlette, ses gros nichons dansant au rythme de sa main.
Mon orgasme se développait maintenant très vite et d’une voix frénétique je lui fis part de ma jouissance arrivante.
Elle avait lâché ma queue.
-Pourquoi as-tu arrêté tata !
Pour toute réponse, elle recula un peu alors qu’elle était encore à genoux, elle se pencha en arrière en posant ses mains sur la paille. Ses jambes étaient un peu écartées. Elle n’avait rien dit en inclinant sa tête en arrière.
-Alain, mets-toi au-dessus de moi, fit-elle dans un murmure bas.
Je me levais et pris position à cheval sur elle. Je me mis à me caresser. Je sentais que mon sperme se préparait à éclater. Je me branlais de plus en plus vite, en regardant les seins de ma tante et son corps, en gémissant à vois haute.
-Oh tata, je vais !
La première giclée de sperme sortait de ma queue et atterrissait sur son visage. Puis une énorme giclée de mon sperme tiède jaillit et éclaboussa ses seins. Je pliais un peu les genoux et tirai sur son cou. Je visais délibérément sa bouche, que Christiane avait ouverte juste un peu. Je lui envoyais une dernière petite giclée de sperme que je réussis à faire passer sur son menton, malheureusement j’avais loupé sa bouche. Incroyable, je surpris ma tante se écher rapidement les lèvres et avaler quelques gouttes de mon plaisir. Elle restait dans cette position pendant encore une minute ou deux, avant de se rajuster. Alors qu’elle allait quitté la grange, je lui lançais : -Hé tata ! Merci !
Elle me jeta un regard par-dessus son épaule.
-Surtout ne le dis à personne !
-Promis !
Puis elle disparut de ma vue.
Mon attente ne dura pas longtemps, le lendemain même, évitant une promenade en famille en faisant croire à une migraine, je me retrouvais de nouveau et pour mon plus grand bonheur avec ma tante dans la grange.
Très vite nous avions la même pose que la veille. Mais cette fois-ci je n’arrivais pas à regarder ses seins rebondir de haut en bas avec le mouvement saccadé de sa main sur ma queue.
-Je veux voir tes nichons, tata !
Lâchant ma queue elle retira tous ce qui m’empêcher de voir sa poitrine. Puis elle recommençait à me branler. Ses mamelons étaient durs et c’était un signe qui ne mentait pas, elle était aussi excité que moi. Mes hormones s’étaient mises à battre à tout rompre. La fois précédente elle n’avait pas voulu que je la touche. Mais cela c’était hier, qu’est-ce qui on serait aujourd’hui ? Et c’est bien connu, qui ne tente rien n’a rien ! Alors pour que tout cela ne finisse pas en regret, j’avais lentement étendu mes mains. Les dirigeants vers ses gros nichons. Pas dupe, elle avait bien deviné mes intentions, et n’avait pas cette fois ci, opposé son interdit. Encouragé je ne m’étais pas gêné de les toucher. Pour commencer ses tétons durs, du bout de mes doigts. En les faisant tourner autour, ce qui eut pour effet de la faire gémir. Comblé, je commençais à bouger lentement les doigts sur ses seins avant de les tenir complètement dans mes mains. Ils étaient si bons, si chauds et si doux. Je me mis à les malaxer et à jouer avec les tétons. Mes pensées dans le cerveau s’emballaient. Je réalisais dans mon nuage dans mon monde sombre et sale de pensées sexuelles sur les seins de ma tante que je n’avais pas remarquer ses yeux vitreux alors qu’elle dévorait de ses yeux ma bite pendant qu’elle me branlait. Je sentais les premiers picotements anonciateur d’un plaisir proche. Et je le fis savoir : -Je vais jouir tata. Veux tu que je décharge sur tes seins ?
A ma grande surprise, elle plia la tête au-dessus de ma queue de sorte que tout ce que je pouvais voir était de haut de sa tête couverte de cheveux. Elle se pencha alors, en ouvrant sa bouche. Je giclai mon premier déclenchement de sperme sur le de sa tête. La suivante allait s’écraser sur sa poitrine. Je n’étais pas mécontent de moi.
J’étais sorti de la grange dans un état d’extase. J’avais pris tellement plaisir d’avoir juté mon sperme sur la poitrine de ma tante que cela m’avait empêché de trouver le sommeil.

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