Le manoir du péché (18)

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le manoir du péché (18) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le manoir du péché (18)
J’étais en train de prendre la direction de la chambre de la patronne, la même qui m’avait quelques minutes plus tôt demandé par téléphone de lui monter une tasse de tisane, quand j’entendis des gémissements filtrant de la chambre voisine, que je préciserais de très érotique. Ma perversité me dictait d’aller voir. Pour se faire, je m’approchais de la porte, en sachant clairement qui se trouvait derrière cette dernière. La nièce de la patronne avec un ami.
Sans un bruit, et heureusement pour moi, la porte tournait sur ses gonds. Le couple était tous les deux sur le lit et s’en donnaient à cœur joie. Heureux de les surprendre nus l’un et l’autre, se faisant du bien. Je m’autorisais à me rincer l’œil. L’ami avait les fesses fermes et rondes de longues jambes recouvertes de poils, et pour finir un dos aussi large que sécurisant. Jeannette, (la nièce) était sur le dos et offrait ses beaux seins blancs à la caresse buccale de son ami. Alors que l’heureux partenaire avait sa main qui farfouillait dans son triangle brun, la faisant gémir de plaisir. Je fus témoin à un moment donné, de voir un doigt inquisiteur percer le tapis de poils et s’activer dans le boisseau que je devinais imprégné de cyprine. Je me surpris en train de me malaxer le gland à travers mon pantalon. Il était gorgé de sang. Le petit copain se leva, m’exhibant par se mouvement sa virilité en érection. Lorsqu’il s’arrêta devant son sac de sport, près de la porte par pur réflexe, je fis un pas en arrière de peur qu’il ne me voie.
J’entendis alors une exclamation et un rire moqueur. Puis de nouveau des bruits de ressorts du lit. Ce qui me réconfortait à reprendre mon poste d’observation. Pour apercevoir dans la main du jeune homme un double gode. J’étais dur comme du bois. Pendant qu’il la baisait, ses gémissements s’étaient faits plus bruyants, a chambre de la tante toute proche. A en faire pâlir une héroïne de film de cul. Le copain s’était accouplé à Jeannette sans difficulté, et elle malaxait ses fesses comme une folle. Après plusieurs allers et retour, la nièce s’était positionnée à quatre pattes sur le lit et avait offert son cul très ouvert à la chose en silicone. Le plus gros diamètre des deux phallus s’était enfoncé dans son minou. La plus petite disparaissant dans le trou de son cul. Elle se cabra, poussant un cri. Le coquin avait planté le double gode dans chacun des orifices juxtaposés. J’avais eu l’agréable vision les sphincters de Jeannette se dilater, et ses fesses prendre une allure de croupe animale.
Elle tortillait son derrière autant de fois que la chose lui rentrait et sortait de ses parties génitales. Vraiment quel pied ! Tout à coup, elle se mit à crier très fort et puis elle soufflait comme un ballon qui se dégonflait. Elle venait d’avoir un orgasme pendant que son copain lui éjaculait sur les fesses. Il était temps pour ma part d’aller rendre une visite à la patronne comme elle me l’avait commandé quelques minutes plus tôt.
Ce fut l’instant là que la porte s’ouvrit sur la jeune fille.
- Alors comme ça on s’est rincé l’œil.
- C’est que… enfin, je… avais-je bafouillé.
- Entrez dans la chambre nous serions plus tranquille.
Je me laissais entraîner jusqu’à l’intérieur de la chambre, qu’elle s’empressa de verrouiller l’accès.
Devant les yeux de son copain elle me défit le bas de ma personne, libérant ma queue. Puis elle se lança alors à une longue fellation, à genoux devant mes pieds. Je l’avoue, elle était douée dans ce domaine. Elle suçait vigoureusement ma verge, en faisant énormément de bruit. Je profitais de l’instant pour passer mes mains le long de son dos, en le massant. Arrivé à son cul, je le tripotais énergiquement comme de la pâte, je sentais aussi que la coquine mouillait de plus en plus, au fur et à mesure de mon tripotage.
Puis elle me recracha et se mit à me lécher mon ventre pour arriver jusqu’à ma bouche, ma bite entre ses mains qui l’astiquaient vigoureusement. Elle m’embrassait avec le souffle du désir qui l’envahissait, elle était vraiment chaude et ce n’était pas moi qui allais m’en plaindre, torturé dans tous les sens par des mains expertes et agiles.
Puis elle arrêta son massage buccal et s’allongea près de son copain, cuvant toujours son plaisir.
-Maintenant, je veux que tu me défonces la chatte devant mon pote.
C’est une chose que je refuge jamais à une femme. Mon gland parcourut son ventre laissant au passage un léger filet de sperme puis, avec mes deux mains, je guidais ma verge à pénétrer l’intimité de la coquine. Elle se mit tout de suite à jouir alors que je la limais.
-Vas-y, vas-y, passant au tutoiement alors que j’allais et venais dans son ventre. Bourre-moi, "AAAhhh!!! Qu’est-ce qu’elle est bonne !!!" "Oh mon Dieu, continue, je la sens tout en moi, que c’est bon, OOOoooh oui!!!".
Encouragé, je continuais de plus belle. Puis, je sortais ma verge toute souillée. Je ne l’avais jamais vu aussi grosse. À partir de là, la jeune fille se mit à geindre : -Non, tu n’as pas le droit de me faire ça. Continue à me labourer la chatte. Continue, oui, continue, mets-la-moi dedans, oui… comme ça… Pour sa part elle ne restait pas passive durant notre coït. Dansant sur ma queue. C’en était trop, je lâchais la sauce en elle. Je fus pris d’un sauvage élan et tout le sperme se jetait par grosses giclées dans les profondeurs de son vagin. La jeune fille était aux anges qu’on je l’avais quitté.
Après m’être rajuster, j’allais frapper à la porte de la patronne, qui me dictait d’entrer. Elle portait une robe blanche. Ses seins sans soutien-gorge, pesaient à l’endroit où le tissu se resserrait.
-Vous en avez mis du temps, Alain ?
Elle s’approcha tout contre moi. Avant que j’aie le temps de réagir, elle se pencha sur moi, ses lèvres effleurèrent les miennes. Je la pris dans mes bras. Sa robe était si légère que je sentis l’élastique de sa culotte sous mes doigts. Elle esquissa un mouvement de recul, mais sa bouche s’ouvrit quand ma langue chercha à s’introduire. Ma main se posa sur son sein. La pointe dure se dressait sous la fine cotonnade. Mais avec une incroyable vivacité, elle se dégagea.
-C’est plus le moment !
Elle remarqua la bosse qui déformait le devant de mon pantalon. Avant de refermer la porte, elle me fit une suggestion : -Malgré que !
Puis elle se débarrassa de sa robe à grands gestes, face à moi. Comme une seconde peau, sa culotte moulait sa motte avec précision. Sa fente s’étirait très haut entre ses grandes lèvres rebondies. J’y passais négligemment le doigt, je lui montrais une tache sur le tissu, juste entre les cuisses.
Elle réagissait en avançant le bas-ventre de façon à accentuer la pression de l’index sur ses chairs intimes. Parcourant la fente sur toute sa longueur, j’appuyais pour y enfoncer l’étoffe. Quand je trouvais le clitoris, je le grattais de la pointe de l’ongle. Plus bas, la tache humide s’élargissait sur le coton. Et les pointes des seins se dressaient.
Les mains dans le dos, la patronne se laissait masturber, n’essayant nullement de maîtriser sa respiration oppressée.
Puis elle me prit par la main, m’entraîna jusqu’à la chambre accolée à la sienne. Claire, la femme de service, s’y trouvait, déguisée en écolière. Ave une très courte robe, des chaussettes blanches et un nœud dans les cheveux. Cette fausse fillette avait quelque chose d’incongru mais de terriblement excitant.
Claire leva la tête, prit un air intrigué. Puis elle se leva pour s’approcher avec une feinte timidité. Sa robe était si courte qu’elle couvrait à peine le haut de ses cuisses. Elle me toisa, indécise, se dandina gauchement. Puis elle se troussa jusqu’au nombril avec une lenteur volontaire. Dessous, elle portait une épaisse culotte de coton blanc. Puis elle m’exhiba sa vulve.
Je ne pus me retenir de me mettre à genoux devant elle, le visage à hauteur de sa vulve. Ses cuisses se hérissaient de chair de poule. Elle écarta largement les cuisses, son sexe s’ouvrit comme un fruit mûr. Ses petites lèvres se défroissèrent, puis se déplièrent comme des pétales. En haut, le clitoris dépassait déjà de son capuchon.
-Renifle-la ! Dis-moi si elle sent la cochonne.
Malgré mon précédent orgasme, ma verge gonflait dans mon slip, je me penchais très bas. Mes narines frôlèrent les petites lèvres. L’odeur de marais qui me monta à la tête m’enivra sur-le-champ.
Les languettes des muqueuses autour de la fente étaient si visqueuses que je dus les pincer pour tirer dessus. Je découvrais l’entrée du vagin dans le losange de chair luisante. Elle respirait très fort.
-Alors elle put ?
J’avais appris que chez ma patronne, la vulgarité du langage accompagnait toujours la montée de l’excitation. Très excité moi aussi, j’approchais le nez plus près encore des replis de la chatte. Mêlé à l’odeur saline de la mouille, je décidai un arrière goût ammoniaqué d’urine.
Claire écarta les cuisses en compas devant mon visage. Son clitoris se dressait comme un ergot de chair crue en haut de sa fente. Une grosse larme claire suintait du minuscule orifice urinaire qui palpitait.
Un jet violent éclaboussa le sol. Elle se laissa aller, les paupières closes, tout entière à son plaisir de s’exhiber salement. Le jaillissement de l’urine produisait un chuintement sifflant qui me faisait bander. Le jet s’éternisait en s’amplifiant comme chez les vaches. Sa giclée n’avait pas une forme régulière, comme celle qui sort d’un pénis. La fente entre les lèvres donnait à sa coulée l’aspect d’une lame. C’était très jaune, très dru. Une odeur de pomme me monta aux narines. Elle termina par quelques jets brefs et bruts qui fouettèrent le sol.
Les deux femmes avaient les yeux rivés sur la bosse qui déformait mon pantalon. Je me sentais sous leur emprise. Elles allaient vouloir que je joue avec elles. J’en avais terriblement envie. Je m’abandonnai volontiers.
La main de Claire remonta entre mes cuisses pour me caresser les couilles. Les doigts se resserrèrent sur ma verge. Je sentis d’abord un chatouillement, puis une forte pression sur ma tige qu’elle finit par étrangler.
Elle prit alors l’initiative de mettre ma queue à l’air libre. Elle me tripota doucement, puis les serrant cruellement pour me faire éprouver un mélange de plaisir et de douleur. La patronne s’approcha à son tour, toutes deux m’empoignèrent la queue pour me masturber. La main de la patronne couvrant celle de Claire.
Sur l’instant je me haïssais. Décidément les femmes me tenaient. Je ne pouvais me passer de leur compagnie. Rien d’autre n’était capable de me produire cet effet magique de plaisir. À cet instant, ce qui comptait, c’était le sexe, rien que le sexe.
Je collais mon nez contre la soie trempée de la patronne tandis qu’elle me caresse la tête.
- C’est bon ! Lâchait-elle, en s’éloignant. Allons sur le lit voulez-vous.
Elle me fit m’allonger, et s’empressa à dire quelques mots à l’oreille de Claire, qui suite à cela vint jusqu’à moi. Je ne voyais plus son visage mais je sentais son souffle tiède sur mon sexe. Ses lèvres picorèrent de furtifs baisers et la pointe de sa langue pris le relais en suivant la longueur de ma chair. Sous l’excitation, elle en engloutit le gland en marmonnant des propos incompréhensibles.
Tout à mon plaisir, je sentais sa langue suivre le frein et remonter jusqu’au méat qu’elle caressait doucement. Sa bouche accompagnait les caresses en aspirant doucement puis en descendant le long de la tige. Claire frémissait et il m’était maintenant difficile de retenir les mouvements qui agitaient mon bassin. Je sentais le fourreau de ses lèvres monter et descendre le long de mon sexe et sa main se saisir de mes bourses qu’elle faisait rouler entre ses doigts, sous les yeux témoins de ma patronne.
Généralement habitué à maîtriser les rapports avec mes partenaires, je m’abandonnai cette fois avec un certain délice. Le caractère inattendu de l’événement freinait intellectuellement mes ardeurs, mais visiblement pas mon corps. Pour cela je plaçais Claire en position de 69, me laissant guider jusqu’au contact des premiers poils de son pubis, puis prolongeai l’initiative de cette partenaire inespérée. Après avoir joué quelques instants avec la petite touffe de poils soyeux qui ornait le léger renflement, je continuai avec une lenteur calculée ma descente vers la fourche de ses cuisses.
Les prémices d’un nouveau tressaillement se firent sentir quand mon majeur, écartant les pétales des petites lèvres gorgées de sève se fraya un chemin vers son clitoris. À peine posais-je mon doigt sur le bouton tendu que ses reins se soulevèrent et son corps s’arqua dans un spasme tétanique. Sa bouche s’empala sur mon sexe, sa main se referma sur mes bourses tandis qu’un long feulement étouffé s’échappait de sa gorge.
Je continuais mes caresses. Écartant de deux doigts les lèvres humides de son sexe, je faisais rouler son clitoris sous mon majeur. Claire serrait et desserrait convulsivement ses cuisses, tantôt les refermant sur ma main comme un étau, tantôt les écartant pour s’offrir et faciliter mon œuvre. Sous le plaisir, libre de toute prévention et toute pudeur, la boniche se révélait aussi enthousiaste et pétillante que dans ses conversations.
Elle descendait et remontait le long de mon sexe alternant le rythme et la pression de ses aspirations. Sa main cajolait mon ventre, descendait vers mes cuisses dont elle caressait l’intérieur avec une dextérité fébrile puis, un doigt curieux s’insinuait entre mes fesses, s’attardait un peu sur la rosette de mon anus et remontait cajoler mes bourses.
Je continuai mes caresses et pénétrai son sexe d’un, puis de deux doigts. Sans lâcher la prise qu’elle tenait entre ses lèvres, avec une souplesse assez surprenante.
Avec l’ardeur qui la caractérisait la patronne repoussa sa boniche, puis me força à m’allonger et m’enjamba, m’offrant la plus excitante des visions. Sous mes yeux, ses fesses rondes et pâles s’exhibaient sans aucune pudeur. Voulant lui rendre un hommage, j’écartai lentement les deux globes de chair, révélant sous mes yeux ébahis une raie culière pâle, percée en son centre d’un œil ridé frémissant, couleur de vieille rose. Je suivais des yeux les trésors qui se dévoilaient. Sous un périnée touffue et délicat s’ouvrait une fente bordée de lèvres fines, brillantes d’humidité, frissonnantes de désir.
Je plongeai mon visage entre les globes palpitants, appliquant la pointe de ma langue sur l’œillet de son anus. Un frémissement parcourut son corps et un long gémissement de plaisir se fit entendre.
Je m’enivrais du parfum opiacé de son intimité. D’une propreté méticuleuse, l’intimité de la patronne dégageait un parfum suave. Je présentai deux doigts à l’entrée du tendre orifice de son vagin. Pressentant la caresse, elle creusa à nouveau les reins et vint s’empaler sur mon index et mon majeur réunis. Elle se mit lentement en branle, réglant le rythme de la pénétration.
Profitant des trésors qui m’étaient si ouvertement offerts, mon œil, comme hypnotisé, fixait son aimable vis-à-vis. Sous l’effet du désir, les petites rides son anus de déplissaient en rythme avec les mouvements de leur maîtresse. À peine l’effleurais-je qu’elle, dans son émoi comprit certainement mes intentions à son égard et recula légèrement pour me faire comprendre qu’elle n’opposerait que peu de résistance à cette nouvelle audace. Une première phalange s’insinua lentement, bientôt suivie d’une deuxième puis d’un doigt complet. La patronne continuait à pousser ses reins tandis que mes deux mains affairées la fouillaient.
Après quelques minutes de ce régime, elle se retira et pivotant, toujours à califourchon sur mon ventre, elle saisit mon sexe et le guida une habilité surprenante entre ses cuisses. Je pénétrai lentement le fourreau de son vagin. Avec une lenteur maîtrisée elle soulevait son bassin en s’appuyant sur ses genoux puis se laissait retomber autour de ma verge qui la pénétrait.
Petit à petit le rythme de ses mouvements s’accéléra et la promenade au pas se transforma en trot enlevé. Les bouleversements du plaisir qui s’y lisaient sur son visage me fascinait. Ses pupilles dilatées par le plaisir reflétaient tous les sentiments qui se mêlaient en elle.
Elle qui montait toujours et descendait avec la même régularité autour de mon sexe, écrasant son pubis contre mon ventre par un délicieux balancement des reins.
Pour mon plus grand désarroi, elle se dégagea, pour positionner Claire à quatre pattes sur le même lit. Comprenant le message je pris position derrière elle, ayant posé mes mains sur ses fesses, elle glissa une main entre ses cuisses et se saisit de mon sexe. J’écartai pour mon plus grand bonheur les deux globes laiteux de ses fesses autant pour faciliter la pénétration que pour me régaler du plaisir très masculin de voir mon sexe pénétrer ses chairs. Je me laissais guider et, à ma grande surprise, alors que j’imaginais me glisser entre ses lèvres luisantes, elle poussa légèrement mon sexe plus haut jusqu’à ce que le gland vienne buter contre son anus.
Je forçai lentement le sphincter. Elle contint un imperceptible mouvement de recul et, se ressaisissant, poussa ses reins en arrière pour aider mon effraction. Lentement le muscle semblait s’habituer à cette toute nouvelle intrusion et se dilatait avec obéissance et douceur. J’écartais les globes splendides. Le gland se forçait un passage dans le petit anneau. Claire retenait sa respiration.
J’arrêtai de pousser afin de lui laisser le temps de s’habituer. Ce fut la boniche elle-même qui, d’un léger mouvement, me fit comprendre que je pouvais pousser plus loin. Je regardais avec délice mon sexe s’enfoncer lentement entre ses fesses qui hier encore n’étaient pour moi l’objet d’aucune convoitise. Arrivé au terme de ce premier voyage exploratoire, je vins buter contre les fesses blanches au sommet. La remontée parut plus facile et j’entendis la respiration de Claire se faire plus profonde. Je replongeai une nouvelle fois avec un peu plus de vigueur mais autant de douceur. Je sentais à chaque pénétration l’étroit conduit se faire plus accueillant et j’ai augmenté la cadence de mes intrusions. La boniche accompagnait chaque descente d’un feulement de contentement.
Le feulement intermittent de Claire était maintenant continu. Je plongeai une dernière fois mon sexe au fond plus profond de son ventre et mes testicules vinrent s’écraser contre ses fesses. Enfin je lâchai toute ma vigueur contenue jusqu’au fond de ses entrailles tièdes dans son cul.
La boniche venait de laisser tomber sa tête sur ses bras repliés et laissait son ventre finir d’exprimer par de longues et profondes contractions.
Nous restâmes de longues minutes collés l’un à l’autre, épuisés de jouissance, rincés de plaisir.
Lentement, je m’étais extrait de la gaine tiède dans laquelle mon sexe reprenait des proportions apaisées. La patronne heureuse comme toujours de mes services me demanda aimablement de me sauver. Sans pour autant me lâcher « à la prochaine fois ».

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