Aimé
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 973 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 625 862 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 791 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Aimé
J’étais jeune encore, les glandes me jouaient des tours, j’avais envie de jouir non plus seul mais
avec une autre personne, comme c’est la normalité. J’aurais bien aimé baisé une fille de mon âge.
Comment convaincre une fille de 16 ans de se donner comme ça.
En attendant je savais toujours me branler en regardant des revues porno, ce qui, réflexions faites
me donnaient toujours envie de baiser ma jeune voisine. Je me souviens encore des mouvements de va
et vient que je faisais faire à ma main droite enserrant ma queue bandée. Je me souviens aussi
qu’au moment de jouir, je serrais ma main pour que mon sperme ne souille pas mes draps. J’ai encore
en tête le plaisir trouble que j’avais quand en me branlant des fois je mettais un doigt dans le
cul. Je faisais coulisser mon doigt avec la même cadence que ma main droite.
Un jour, j’en parlais avec mon copain Aimé. Il avait les mêmes désirs que moi. Sauf que pour lui sa
préférée n’étais pas la même : il aurait bien baisé sa cousine Nicole. Il avait bon goût. Il se
masturbait comme tous les copains que nous avions. Avec Aimé nous nous racontions nos masturbation.
Le résultat est que nous bandions sans le dire et le soir dans nos lits, nous nous masturbions
encore plus, jusqu’au jour où….
Jusqu’au jour où devant lui, je sortais ma queue pour lui monter combien je bandais. J’avais
simplement ouvert ma braguette, sorti mon sexe du slip. Devant lui, sans honte je commentais à me
branler. Aimé excité certainement par ma démonstration en faisait autant : je voyais une belle bite
plus grosse que la mienne. Comme moi sa main entourait sa queue pour se donner du plaisir.
Je ne sais comment m’est venue l’idée de lui prendre la pine dans ma main pour le masturber. Elle me
semblait bien meilleure que la mienne. Il a défait sa ceinture pour faire glisser son pantalon et
son slip. J’ai ainsi pu le masturber avec maestria. Je n’ai pas mis longtemps pour voir son sperme
jaillir de sa bite. J’ai eu ma récompense quand il a pris ma bite pour me rendre ce que je venais de
lui faire. Je me suis mis contre le mur de ma chambre pour être plus à l’aise. Je regardais
simplement sa main aller et venir sur ma pine. Mon ventre se creusait quand je sentais arriver
l’orgasme.
Ces nouveaux plaisir nous ont donné envie de recommencer. Régulièrement, soit chez moi, soir chez
lui, nous nous déshabillons pour être à l’aise et mieux jouir. Un après midi il a eu l’idée de me
demander de lui mettre un doigt dans son anus pendant qu’il se branlait. Je me suis mis derrière
lui, je pouvais juste voir sa main autour de sa queue. Je mouillais un doigt comme je faisais pour
moi et cherchais à peine son rectum. Je le faisais aller et venir quand il jouissait.
- Tu m’as bien fait jouir salaud.
- Rends-le-moi
Je me suis mis devant lui pour qu’il me mette aussi un doigt pendant ma masturbation. Je commençais
à peine mes aller et venue. Je serrais bien ma bite dans ma main droite. Je me caressais les
couilles de l’autre main, je sentais sa main sur mon cul. Je la sentais entrer pour finalement avoir
un autre plaisir que d’habitude. Je lui ai demandé de me branler en même temps. C’était la première
fois que mon copain me faisait cette chose désirée.
Bien plus tard, toujours à la recherche du plaisir sans frontière de morale, nous avons été beaucoup
plus loin.
Un jour, sachant que la chose était possible nous nous sommes sucés. Quel plaisir que d’avoir une
queue dans la bouche et quel plaisir de lécher un gland si doux. J’ai encore en tête quand je
l’avais dans ma bouche la quantité énorme de bite que je léchais. Nous attendions l’orgasme de
l’autre avec un peu d’appréhension. Pourtant la réception de sperme dans la bouche était finalement
agréable. Ce liquide chaud de l’autre dans la bouche nous donnaient envie de le déguster pour
l’avaler.
Nous avions l’un et l’autre envie de sentir un corps autour de nos bites. Le cul de l’autre était
disponible : nous en avons profité longuement.
Nous devions avoir à peu près 17 ans quand nous avons décidé de nous enculer. C’est moi qui le lui
proposais : il était d’accord pour me donner son cul, à condition que je le branle. Rien que de
savoir que l’allais enculer mon copain me donnait une bite plus dure et plus grosse.
Nous nous sommes mis nus dans ma chambre. Il s’est couché sur mon lit, les fesses bien en avant. Je
le voulais en levrette pour le branler. J’ai bien posé ma queue sur sa rosette. J’ai forcé beaucoup
pour le sodomiser. Nous avions oublié de mettre une pommade sur ma bite.
Nous sommes allés ensemble choisir ce qu’il fallait à la pharmacie. Nous sommes ressortis avec un
flacon de lubrifiant. De retour à la maison, nous étions toujours décidés à continuer notre jeu.
Cette fois j’étalais sur ma bite une bonne dose de lubrifiant. Cette fois je pouvais pénétrer dans
ce cul offert. J’étais à peine sur son cul quand je l’ai branlé doucement. Son cul suivait les
mouvements de ma main. J’ai pu entrer facilement dans ses intestins. J’allais et venais dans son cul
bien ouvert : il ne se plaignait pas, au contraire. J’arrêtais même de le branler : c’étais plutôt
fatiguant pout moi de me pencher pour bien le masturber.
Je me régalais de ce nouveau plaisir inconnu d’être dans un cul. Je sentais mon prépuce accompagner
mes mouvements. Je sentais que son cul répondait parfaitement à notre plaisir. J’aimais sentir ses
fesses contre mon pubis, il aimait sentir mes poils contre ses fesses.
J’étais étonné de le sentir jouir par des contractions de son anus autour de ma bite, alors que je
n’avais pas encore joui.
- Tu m’as bien fait jouir, tout à l’heure c’est moi qui te la mettrai.
- Bien sur. Attendons de bander.
Nous n’avons pas attendu longtemps. Nous bandions tous les deux. J’ai pris sa bite dans ma main pour
l’exciter encore plus. Fier de mon expérience, je refusais qu’il me branle.
Je me suis mis en levrette, les fesses ouvertes à deux mains. Il a mis le produit utile sur mon cul
qu’il caressait avec deux doigts. Il me tardait d’être sodomisé. Le passage du sphincter a été le
plus difficile. Pourtant je bandais comme un âne. La suite a été bien meilleure. Je le sentais
entrer dans mon cul facilement et j’en ressentais un plaisir trouble, inconnu et agréable, plus
agréable qu’une masturbation partagée. Plusieurs fois par jour, nous alternions les 69 et les
sodomies. Nous améliorons les 69 en entrant au moins deux doigts dans le cul du partenaire. Nous
devenions de véritables homos.
Seulement nous rêvions toujours de baiser une fille. Nous l’avons trouvé un soir, sans la chercher :
c’était la sœur d’un autre copain. A peine plus jeune que nous, elle venait chez moi pour cherche je
ne sais plus quoi. Elle nous surpris pendant que nous nous sucions. Elle n’’est pas parti, elle
regardait en faisant des commentaires :
- Vous êtes des salauds, et moi ?
- Quoi toi, tu veux qu’on t’encule ?
- Non je veux que vous bous mettiez tous les deux sur moi pour baiser.
C’était notre premier contact avec la gens féminine : elle avait à peine 17 ans, à peine moins que
nous. Qu’elle était belle et sexy. Elle savait bien comment faire, en plus elle était plus que
dévergondée.
Pour cette première fois, Cathy s’est mis toute nue seule. Nous voyons pour la première fois une
fille volontaire pour baiser et jolie plus que sexy. Elle est venue devant nous, ses seins pour nos
bouches avides. Nous sentions biens ses tétons bander sous nos lèvres. Elle nous a embrassé sur la
bouche, s’est couché en nous demandant de la branler.
Si nous savions bien branler un homme pour les filles nous ignorions tout. Elle nous l’a vite appris
en jouissant plusieurs fois. Elle m’a fait coucher sur le dos, est venue sur moi, a entrer ma bite
dans son con. Après s’être bien couchée sur moi elle a demandé à Aimé de venir l’enculer. Notre
premier orgasme mixte était avec elle qui jouissait toujours.
Cathy est restée notre fille longtemps, même si souvent nous nous enculions toujours avec Aimé. Elle
participait souvent à notre débauche en se mettant sous celui qui se faisait mettre pour le sucer.
Elle se masturbait également.
Maintenant 10 ans plus tard nous somme tous casés. Il nous arrive souvent de nous retrouver avec nos
conjoints pour nous amuser à plusieurs. Je sais que ma femme aime quand je suce Aimé ou qu’il
m’encule comme je lui fais. Elle se régale de temps en temps avec Cathy pour passer une ou deux
heurs avec elle.
avec une autre personne, comme c’est la normalité. J’aurais bien aimé baisé une fille de mon âge.
Comment convaincre une fille de 16 ans de se donner comme ça.
En attendant je savais toujours me branler en regardant des revues porno, ce qui, réflexions faites
me donnaient toujours envie de baiser ma jeune voisine. Je me souviens encore des mouvements de va
et vient que je faisais faire à ma main droite enserrant ma queue bandée. Je me souviens aussi
qu’au moment de jouir, je serrais ma main pour que mon sperme ne souille pas mes draps. J’ai encore
en tête le plaisir trouble que j’avais quand en me branlant des fois je mettais un doigt dans le
cul. Je faisais coulisser mon doigt avec la même cadence que ma main droite.
Un jour, j’en parlais avec mon copain Aimé. Il avait les mêmes désirs que moi. Sauf que pour lui sa
préférée n’étais pas la même : il aurait bien baisé sa cousine Nicole. Il avait bon goût. Il se
masturbait comme tous les copains que nous avions. Avec Aimé nous nous racontions nos masturbation.
Le résultat est que nous bandions sans le dire et le soir dans nos lits, nous nous masturbions
encore plus, jusqu’au jour où….
Jusqu’au jour où devant lui, je sortais ma queue pour lui monter combien je bandais. J’avais
simplement ouvert ma braguette, sorti mon sexe du slip. Devant lui, sans honte je commentais à me
branler. Aimé excité certainement par ma démonstration en faisait autant : je voyais une belle bite
plus grosse que la mienne. Comme moi sa main entourait sa queue pour se donner du plaisir.
Je ne sais comment m’est venue l’idée de lui prendre la pine dans ma main pour le masturber. Elle me
semblait bien meilleure que la mienne. Il a défait sa ceinture pour faire glisser son pantalon et
son slip. J’ai ainsi pu le masturber avec maestria. Je n’ai pas mis longtemps pour voir son sperme
jaillir de sa bite. J’ai eu ma récompense quand il a pris ma bite pour me rendre ce que je venais de
lui faire. Je me suis mis contre le mur de ma chambre pour être plus à l’aise. Je regardais
simplement sa main aller et venir sur ma pine. Mon ventre se creusait quand je sentais arriver
l’orgasme.
Ces nouveaux plaisir nous ont donné envie de recommencer. Régulièrement, soit chez moi, soir chez
lui, nous nous déshabillons pour être à l’aise et mieux jouir. Un après midi il a eu l’idée de me
demander de lui mettre un doigt dans son anus pendant qu’il se branlait. Je me suis mis derrière
lui, je pouvais juste voir sa main autour de sa queue. Je mouillais un doigt comme je faisais pour
moi et cherchais à peine son rectum. Je le faisais aller et venir quand il jouissait.
- Tu m’as bien fait jouir salaud.
- Rends-le-moi
Je me suis mis devant lui pour qu’il me mette aussi un doigt pendant ma masturbation. Je commençais
à peine mes aller et venue. Je serrais bien ma bite dans ma main droite. Je me caressais les
couilles de l’autre main, je sentais sa main sur mon cul. Je la sentais entrer pour finalement avoir
un autre plaisir que d’habitude. Je lui ai demandé de me branler en même temps. C’était la première
fois que mon copain me faisait cette chose désirée.
Bien plus tard, toujours à la recherche du plaisir sans frontière de morale, nous avons été beaucoup
plus loin.
Un jour, sachant que la chose était possible nous nous sommes sucés. Quel plaisir que d’avoir une
queue dans la bouche et quel plaisir de lécher un gland si doux. J’ai encore en tête quand je
l’avais dans ma bouche la quantité énorme de bite que je léchais. Nous attendions l’orgasme de
l’autre avec un peu d’appréhension. Pourtant la réception de sperme dans la bouche était finalement
agréable. Ce liquide chaud de l’autre dans la bouche nous donnaient envie de le déguster pour
l’avaler.
Nous avions l’un et l’autre envie de sentir un corps autour de nos bites. Le cul de l’autre était
disponible : nous en avons profité longuement.
Nous devions avoir à peu près 17 ans quand nous avons décidé de nous enculer. C’est moi qui le lui
proposais : il était d’accord pour me donner son cul, à condition que je le branle. Rien que de
savoir que l’allais enculer mon copain me donnait une bite plus dure et plus grosse.
Nous nous sommes mis nus dans ma chambre. Il s’est couché sur mon lit, les fesses bien en avant. Je
le voulais en levrette pour le branler. J’ai bien posé ma queue sur sa rosette. J’ai forcé beaucoup
pour le sodomiser. Nous avions oublié de mettre une pommade sur ma bite.
Nous sommes allés ensemble choisir ce qu’il fallait à la pharmacie. Nous sommes ressortis avec un
flacon de lubrifiant. De retour à la maison, nous étions toujours décidés à continuer notre jeu.
Cette fois j’étalais sur ma bite une bonne dose de lubrifiant. Cette fois je pouvais pénétrer dans
ce cul offert. J’étais à peine sur son cul quand je l’ai branlé doucement. Son cul suivait les
mouvements de ma main. J’ai pu entrer facilement dans ses intestins. J’allais et venais dans son cul
bien ouvert : il ne se plaignait pas, au contraire. J’arrêtais même de le branler : c’étais plutôt
fatiguant pout moi de me pencher pour bien le masturber.
Je me régalais de ce nouveau plaisir inconnu d’être dans un cul. Je sentais mon prépuce accompagner
mes mouvements. Je sentais que son cul répondait parfaitement à notre plaisir. J’aimais sentir ses
fesses contre mon pubis, il aimait sentir mes poils contre ses fesses.
J’étais étonné de le sentir jouir par des contractions de son anus autour de ma bite, alors que je
n’avais pas encore joui.
- Tu m’as bien fait jouir, tout à l’heure c’est moi qui te la mettrai.
- Bien sur. Attendons de bander.
Nous n’avons pas attendu longtemps. Nous bandions tous les deux. J’ai pris sa bite dans ma main pour
l’exciter encore plus. Fier de mon expérience, je refusais qu’il me branle.
Je me suis mis en levrette, les fesses ouvertes à deux mains. Il a mis le produit utile sur mon cul
qu’il caressait avec deux doigts. Il me tardait d’être sodomisé. Le passage du sphincter a été le
plus difficile. Pourtant je bandais comme un âne. La suite a été bien meilleure. Je le sentais
entrer dans mon cul facilement et j’en ressentais un plaisir trouble, inconnu et agréable, plus
agréable qu’une masturbation partagée. Plusieurs fois par jour, nous alternions les 69 et les
sodomies. Nous améliorons les 69 en entrant au moins deux doigts dans le cul du partenaire. Nous
devenions de véritables homos.
Seulement nous rêvions toujours de baiser une fille. Nous l’avons trouvé un soir, sans la chercher :
c’était la sœur d’un autre copain. A peine plus jeune que nous, elle venait chez moi pour cherche je
ne sais plus quoi. Elle nous surpris pendant que nous nous sucions. Elle n’’est pas parti, elle
regardait en faisant des commentaires :
- Vous êtes des salauds, et moi ?
- Quoi toi, tu veux qu’on t’encule ?
- Non je veux que vous bous mettiez tous les deux sur moi pour baiser.
C’était notre premier contact avec la gens féminine : elle avait à peine 17 ans, à peine moins que
nous. Qu’elle était belle et sexy. Elle savait bien comment faire, en plus elle était plus que
dévergondée.
Pour cette première fois, Cathy s’est mis toute nue seule. Nous voyons pour la première fois une
fille volontaire pour baiser et jolie plus que sexy. Elle est venue devant nous, ses seins pour nos
bouches avides. Nous sentions biens ses tétons bander sous nos lèvres. Elle nous a embrassé sur la
bouche, s’est couché en nous demandant de la branler.
Si nous savions bien branler un homme pour les filles nous ignorions tout. Elle nous l’a vite appris
en jouissant plusieurs fois. Elle m’a fait coucher sur le dos, est venue sur moi, a entrer ma bite
dans son con. Après s’être bien couchée sur moi elle a demandé à Aimé de venir l’enculer. Notre
premier orgasme mixte était avec elle qui jouissait toujours.
Cathy est restée notre fille longtemps, même si souvent nous nous enculions toujours avec Aimé. Elle
participait souvent à notre débauche en se mettant sous celui qui se faisait mettre pour le sucer.
Elle se masturbait également.
Maintenant 10 ans plus tard nous somme tous casés. Il nous arrive souvent de nous retrouver avec nos
conjoints pour nous amuser à plusieurs. Je sais que ma femme aime quand je suce Aimé ou qu’il
m’encule comme je lui fais. Elle se régale de temps en temps avec Cathy pour passer une ou deux
heurs avec elle.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Baiserjouir
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...