Alice la gymnaste (Part.5)

- Par l'auteur HDS Alice -
Récit érotique écrit par Alice [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Alice la gymnaste (Part.5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Alice la gymnaste (Part.5)
La nuit a été longue et compliquée, la douleur dans ma jambe et en bas de mon dos s’étant réveillées, sans doute du fait de ma position. Quelques douleurs abdominales aussi, sûrement dues à l’inclinaison spéciale du lit. J’espère… Je suis donc peu reposée et encore très fatiguée quand à 06h05 sur l’horloge accrochée au mur en face de moi, une infirmière entre dans la chambre, elle a l’air pressée.

Des images de la veille me reviennent en tête… Toutes ces situations gênantes et humiliantes… La nuit m’a presque fait oublier que j’ai dû faire pipi de manière très avilissante devant trois hommes goguenards… Je n’en reviens toujours pas… Je prie pour que tout cela se termine aujourd’hui avec l’opération qui m’attend ce matin et l’espoir de rentrer chez moi après.

Rapidement je comprends, d’après les conversations que j’entends dans la chambre, que je vais être détachée de mon lit de "torture" et que je vais devoir être lavée et désinfectée pour mon admission au bloc, qui est programmée pour 8h précise. La fatigue et la résignation m’empêche d’envisager ce qui m’attend… Je suis inerte, toujours entièrement nue aux yeux de tous…

En repensant à la grande toilette qui m’attend, je me dis que depuis mon entraînement de gym assez physique d’hier soir et toutes les péripéties qui ont suivies, je ne me suis pas lavée du tout, évidemment… Je tente de me rassurer en me disant que cela me fera du bien de me sentir propre. Mais j’appréhende quand même beaucoup…

L’infirmière s’approche de mon lit bizarre et d’un seul coup, de manivelle j’imagine, me redresse et me bascule en position presque verticale, presque debout, mais toujours attachée dans le lit. La douleur de ma jambe et de mon dos, associée au renversement surprise de mon estomac de bon matin… Je sens comme une pression sur mon abdomen. Une horrible sensation de nausée m’envahit. Et avant que j’ai le temps de prévenir l’infirmière de ce qui allait arriver, je sens ma bouche se remplir et je commence à me vomir dessus sur les seins. L’infirmière me voyant régurgiter, repousse le lit vers l’arrière, ce qui a pour effet de diriger le vomi sur mon corps et non sur le sol de la chambre. Je termine donc de vomir sur mes seins et mon ventre. Je tousse plusieurs fois et je peux sentir le liquide chaud dégouliner sur mon sexe et venir se loger entre mes fesses. Je suis tellement dans le mal que je ne prête même plus attention au ridicule de la situation. Une autre infirmière entre précipitamment dans la chambre et, me pensant dans les vapes, lance à sa collègue :

"Oh noooooon, Catherine, t’es chiante, tu l’as relevé trop vite là gamine, elle s’est gerbé dessus, c’est dégueulasse!! Baaaahhh..! Regarde les morceaux sur ses gros nichons…Beurk! Haha! J’suis sure qu’elle en a jusque dans la raie du cul cette petite conne..! Faudra dire à Thomas de bien lui laver les fesses pendant sa toilette..! Ça s’impose là! Haha!" J’ai tout entendu, évidemment.

Je m’interroge immédiatement sur ce fameux "Thomas" qui est censé me laver les fesses avec insistance. Je me dis que je ne suis pas au bout de mes peines…

Sans prendre la peine de me nettoyer, ne serait-ce qu’un petit peu, les deux infirmières me transporte à travers un couloir, toujours les seins, le ventre et la vulve, couverts de vomi tout frais et odorant. Nous croisons quelques infirmières et autres patients qui semblent avoir pitié de moi en me voyant dans cet état. Je dois faire peur à voir effectivement. Mais je m’en fout…

On m’installe dans une pièce qui ressemble à une morgue, avec un sol et des murs en carrelage blanc et des tables en inox surmontées de petits robinets.
À cet instant, j’aperçois un charmant jeune homme d’environ 25 ans, en blouse blanche. Grand brun, assez mince, il porte de petites lunettes rondes et semble attendre mon arrivée au milieu de la pièce. En le voyant, la honte commence à monter. Encore un mec jeune et mignon pour me laver le cul… Je me dis que je n’ai vraiment pas de chance…

"Tu lui laveras bien la raie des fesses Thomas..! Elle s’est vomit dessus au réveil la petite et ça a couler partout…sur les seins, le ventre, l’entrejambe, et même jusqu’à l’anus y paraît..! Haha! Bon courage!!" Lui lance une des infirmières avec un ton moqueur, avant de quitter les lieux en ricanant, accompagnée de sa collègue.

Rapidement, je me retrouve seule dans la pièce avec ce jeune homme qui doit être un aide soignant, je suppose. Là où j’espérais un peu de chaleur humaine et de compassion, je ne reçois que mépris, ignorance et froideur. Sans dire un mot, il s’approche de la table métallique froide sur laquelle on m’a allongée. Je peux lire un air de dégoût sur son visage lorsqu’il s’aperçoit de l’ampleur des dégâts. En effet, des morceaux de nourriture digérée sont maintenant collés et séchés sur mes seins et mon ventre. Et certainement ailleurs aussi, mais je ne peux pas voir. Une odeur de vomi mêlée à celle de ma transpiration émane de mon corps tout entier. Et c’est ce bel inconnu qui va devoir le nettoyer, intégralement, sous mes yeux impuissants. J’en peux plus…

Seule consolation dans ce cauchemar éveillé, l’eau est bien chaude. Le jeune homme semble vraiment s’appliquer à frictionner mes gros seins laiteux comme si il passait une évaluation surveillée. Il prend tout son temps et ça en devient vite très humiliant. Il semble prendre un malin plaisir à les faire gigoter lentement "sans faire exprès" alors qu’il reproduit les mêmes gestes depuis près de cinq minutes. Je sens le rouge me monter aux joues quand il dirige le jet sur mon sexe. Toujours avec une lenteur presque énervante, il passe et repasse ses doigts gantés dans les replis de mon intimité. Je sens même son majeur glisser jusqu’à mon petit trou, aidé par le savon. Je dois avouer que sur le moment, ceci n’est pas déplaisant. Je me surprend à fermer les yeux et à me laisser aller à ses lentes caresses.

Le jeune aide soignant me saisi les poignets et me place les mains derrière la tête, me relevant les bras. Cette position, en plus de faire gonfler ma poitrine, faisant ressortir mes gros seins blancs, dévoile aussi mes aisselles poilues et forcément odorantes, après plus de 24 heures sans douche. Je remarque tout de suite son regard attiré par mes aisselles négligées. Il semble surpris et m’adresse la parole pour la premier fois.

"Bah!? Les infirmières ne vous ont pas rasé les aisselles hier soir?"

Question à laquelle je n’ose répondre, préférant baisser les yeux pour ne pas croiser son regard. À ce moment je sens un tiraillement au niveau de mon aisselle droite. Je tourne la tête et aperçois les doigts gantés du jeune homme entrain de tirer et de caresser nonchalamment la touffe de poils qui se trouve sous mon bras droit. Je le regarde, médusée, mais il reste très sérieux, imperturbable et concentré sur sa tâche comme si sa vie en dépendait. Il doit sûrement être en phase d’évaluations et n’a donc pas droit à l’erreur. Ayant tourné la tête, je me rend compte que l’odeur émanant de mon aisselle poilue n’est vraiment pas terrible… Ça sent clairement la transpiration… la gêne est très forte une fois de plus. Pourvu qu’il ne s’en rende pas compte…

À ce moment précis, il remarque que j’ai un grain de beauté un peu en relief entre mon sein et mon aisselles et approche donc son visage au plus près pour regarder. Je peux entendre sa respiration lorsque son nez n’est qu’à quelques centimètres de mon aisselles. Je suis morte de honte… Moi qui suis très à cheval sur mon hygiène corporelle et qui déteste le manque d’hygiène chez les autres, je me retrouve dans cette situation d’autant plus humiliante pour moi du coup… Il ne fait aucun commentaire sur mon grain de beauté, ni aucune réflexion désobligeante sur l’odeur, ce qui, sur le moment, me semble encore plus humiliant en fait…

"Bon… Si elles n’ont pas jugé utile de vous raser les aisselles, c’est sans doute que votre intervention chirurgicale ne le nécessite pas." Ajoute-t-il en m’étalant une bonne dose de gel douche froid sous chaque bras.

Il se met à me frictionner les aisselles, énergiquement cette fois. Ce qui fait beaucoup remuer mes seins de manière assez peu flatteuse. En effet, ils balancent de droite à gauche et de haut en bas, comme de vraies mamelles de vache. Je sens mon visage rougir, donc je baisse les yeux et me laisse faire sans réagir.

D’une pression sur ma hanche droite, il me bascule sur le côté, dévoilant mes grosses fesses blanches à son regard. Ma jambe cassée reste tendue et il me replie l’autre presque jusqu’à la poitrine. Ce qui a pour effet de m’écarter très largement les fesses et la chatte. Je sens donc mes deux globes fessiers se décoller l’un de l’autre. Collés par les restes de vomi certainement. Moi qui suis d’habitude très féminine et très coquette, c’est vraiment extrêmement embarrassant, je me sens sale et humiliée mais je n’ai plus le choix. Ce jeune inconnu timide va me laver la raie des fesses. C’est comme ça…

Je sens une main se poser sur ma fesses droite et l’écarter au maximum, comme pour constater l’état de saleté de mon SIF. Très humiliant, mais pas d’autre choix que de subir, en silence. Deux secondes après, un jet d’eau chaude assez puissant viens directement heurter mon anus puis l’ensemble de mon entre-fesses. Je sursaute et comprends vite que cela ne va pas être d’une grande douceur. Mais malgré la puissance du jet, qui alterne entre mon anus et l’entrée de mon vagin juste en dessous, ces gestes restent très doux, très appliqués et donc toujours très lent, ce qui rajoute à cette sensation insupportable d’humiliation. Comme si il prenait un malin plaisir à faire durer le supplice alors qu’il ne fait que s’appliquer, tel un bon élève.

Un autre sursaut quand, très lentement, Thomas commence à insérer un doigt dans mon rectum. Ce geste semble tellement "pro" et "médical" que je n’ose pas dire un mot. Il enfonce donc son doigt entièrement dans mon anus et commence à tourner comme pour en nettoyer les parois internes. Je suis choquée mais une fois de plus, je dois avouer que cela n’est ni douloureux, ni déplaisant, si vous voyez ce que je veux dire. Je commence donc à me détendre et je sens mes sphincters se relâcher. Très vite j’ai peur qu’il remarque le relâchement et l’ouverture de mon anus et qu’il comprenne que je prend du plaisir. Cette pensée me fait donc immédiatement resserrer les fesses et sans le vouloir j’expulse son doigt de mon fondement. "Plop!" Ce petit bruit caractéristique achève mon humiliation presque jouissive.

Cette petite "fouille" annale, de bon matin, n’a pas mis longtemps à me rappeler que cela faisait un certains temps que je n’avais pas fait la grosse commission. Mon dieu! Comment vais-je… Et hop! Une légère crampe intestinale me rappelle à l’ordre et me glace le sang d’effroi. Comment vais-je faire pour aller aux toilettes normalement avec ma jambe paralysée ? Impossible..! Je dois absolument me retenir!?! Une autre crampe me saisie les boyaux. Plus forte, plus longue et accompagnée d’un petit gargouillis intestinal plutôt inquiétant... Avec un peu de chance je serai sortis demain matin et je pourrai enfin me lâcher tranquillement chez moi..! Il faut que je tienne! Il faut que je tienne!

J’étais loin d’imaginer que je n’étais pas prête de rentrer chez moi et de retrouver l’intimité de mes toilettes bien propres…

À suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
On est partagé entre le rire, la compassion et l'excitation... D'autant que si l'histoire est à moitié vécue, l'autrice est vraiment trop modeste, à voir ce que laisse deviner sa photo de profil : vous êtes aussi sublime que talentueuse. Voulez-vous m'épouser ? ;-)

Histoire Erotique
Je pense que je me serais appliqué beaucoup plus sur ta jolie fente rasée de près et tes fesses ce doit être très agréable à toucher et à caresser. J’attends la suite avec plaisir.

Histoire Erotique
N'est pas aime.

Merci pour vos commentaires, désolé de ne pas avoir répondu plus tôt..! Tant mieux si ce récit vous plaît, cela m’est arrivé, mais seulement en partie. Certaines situations ou détails sont inventés pour agrémenter un peu l’histoire…😉 La suite arrive bientôt..!
Si vous souhaitez échanger sur votre expérience personnelle, vous pouvez me transmettre votre adresse mail.
Cordialement
Alice.

Très bon récit, mais je ne commente plus, je l'ai fait sur les deux premiers chapitres, mais apparemment l'auteur n'a pas envie de partager avec moi sur une situation presque identique, et comme je n'aime pas parlais dans le vent.....



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