Alice la gymnaste (Part.6)

- Par l'auteur HDS Alice -
Récit érotique écrit par Alice [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Alice la gymnaste (Part.6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Alice la gymnaste (Part.6)
J’ouvre les yeux sur le plafond blanc d’une chambre. Je ne sais pas où je suis. Je suis incapable de bouger. J’ai l’impression d’avoir dormi très longtemps mais je ne comprends toujours pas ce qu’il m’est arrivé. Ma mémoire me fait défaut. Je tente de me redresser, impossible. Je commence à me dire que c’est peut-être les suites de mon opération qui devait avoir lieu ce matin. Je viens certainement de subir une anesthésie générale, ce qui doit expliquer mon état.

J’entends une porte s’ouvrir et une jeune infirmière brune entre dans la chambre.

"Ah! Vous êtes réveillé mademoiselle ? C’est très bien, ne paniquez pas, votre opération du fémur s’est bien passée, hein? Ne vous inquiétez pas. Je vais vous apporter un petit déjeuner, il faut essayer de manger maintenant, vous n’avez rien avalé depuis plus de 24h... Je reviens mademoiselle."

Je commence doucement à reprendre mes esprits, je réalise que je suis entièrement nue sur le lit et que ma jambe gauche est plâtrée du haut de la cuisse jusqu’au milieu du mollet. Ma jambe est plâtrée un peu pliée au niveau du genoux et couchée sur le côté du fait du poids important du plâtre. Cette position écarte donc ma jambe gauche au maximum, ce qui expose mon sexe désormais entièrement lisse à la vue de toute personne entrant dans la chambre. Mes gros seins sont également à l’air et bien en vue.

L’infirmière revient avec un chariot que lequel je peux apercevoir un plateau sur lequel se trouve un bol de café, deux grandes tartines de pain grossièrement beurrée, un verre de jus d’orange, un yaourt et deux petits gâteaux secs emballé dans du plastique. Un vrai festin pour quelqu’un qui n’a rien mangé depuis près de 24 h..!

L’infirmière s’approche de moi avec un thermomètre à la main.

"C’est l’heure de prendre la température mademoiselle! Allez hop! Pas de chichi! Dans les fesses..!" Dit-elle d’un ton moqueur.

Je n’ai même pas le temps de demander pourquoi elle n’utilise pas un thermomètre auriculaire comme dans tous les hôpitaux modernes. Elle soulève ma jambe plâtrée délicatement mais avec une certaine assurance tout de même. Ce qui m’écarte largement les fesses et dévoile par conséquent mon anus. En moins de deux secondes le thermomètre se retrouve largement enfoncé dans mon rectum. Le temps me paraît très long pendant que le petit tube de verre se réchauffe dans mon intestin grêle. L’infirmière semble s’ennuyer et trouver le temps long, tout en observant le thermomètre planté entre mes fesses rebondies. Plus de deux minutes s’écoulent, qui semblent des heures, et elle me demande de pousser pour faire sortir le thermomètre. Je ne réfléchis pas et contracte mes abdominaux afin d’expulser ce corps étranger de mon fondement. "Plop!" De nouveau ce bruit peu valorisant, mais elle repose enfin ma jambe, refermant ainsi mes fesses.

Ma température est normale, elle pose donc le thermomètre et s’approche pour redresser mon lit avec une télécommande électrique. Les quelques à coups, à la fin, pour ajuster ma position face au plateau repas, ont pour effet de faire remuer mes gros seins, ce qui fait sourire l’infirmière. Elle me dit de ne pas manger trop vite car je sors d’une anesthésie générale et il arrive qu’il y ait des vomissements quand les patients mangent trop vite juste après leur réveil. Je me souviens immédiatement que je me suis vomi dessus plus tôt dans la journée et je me dis que je vais y aller très doucement, pour éviter une nouvelle humiliation.

Le café, les deux grandes tartines, le yaourt, les biscuits… Lentement mais sûrement, tout y passe..! Je suis rassasiée, et sur le moment je trouve cette sensation plutôt réconfortante. Ça fait du bien… J’ai des miettes sur les seins et sur le ventre mais déjà, je sens la fatigue m’envahir. Pour la première fois depuis que je suis entrée dans cet hôpital je me sens presque détendue, je me relâche complètement, je suis seule dans cette chambre silencieuse, personne ne me regarde, je suis bien, enfin… Je m’endors paisiblement sans même avoir repousser le plateau sur lequel trônent les vestiges de mon petit déjeuner.

Je suis tirée de mon sommeil par une violente crampe intestinale, comme un éclair dans tout mon bas ventre. Comme si tout mon système digestif venait de se remettre en marche d’un seul coup. La peur m’envahie et je me souviens à cet instant même que je m’étais promis de me retenir à tout prix jusqu’à mon retour à la maison. Je suis horrifiée. La douleur ne s’estompe pas. Comment vais-je faire ? Je ne peux même pas appeler une infirmière..

Quelques interminables minutes plus tard, l’infirmière revient dans la chambre pour récupérer le plateau. Elle est seule, assez jeune, elle à l’air plutôt gentille, je me dis que c’est la meilleure personne à qui parler de mon "petit" problème de "grosse" commission. Elle comprendra elle. Elle m’aidera sûrement à aller aux toilettes et je pourrai enfin me soulager. Il n’y a pas de raison que cela se passe autrement. Une autre crampe me tord les boyaux et un gargouillis bien significatif émane de mon ventre.
L’infirmière, tout en retirant le plateau, ne peut pas ne pas avoir entendu ce bruit peu ragoûtant. Elle pose le plateau et se retourne avec un petit sourire narquois. Je me dis qu’elle vient de comprendre la situation. Elle doit forcément avoir l’habitude en même temps, vu son métier.

"Je sens que vous avez quelque chose à me demander mademoiselle..! J’me trompe?" Me lance-t-elle avec un grand sourire.
"Ne vous fatiguez pas va, j’ai l’habitude vous savez, j’ai tout de suite compris en voyant votre tête..! C’est rien… c’est tout à fait normal mademoiselle, vous venez de manger pour la première fois depuis 24h, après une anesthésie générale qui a endormi votre système digestif pendant plusieurs heures, ça se réveille, c’est tout ! C’est normal, c’est bon signe même ! Haha!"

Je suis mortifiée et rassurée en même temps car l’infirmière à l’air plutôt bienveillante et elle semble presque vouloir faire mine de respecter quelque peu mon intimité, pour une fois…
En revanche elle m’annonce que je vais devoir me retenir encore un peu car elle n’a pas de "bassin" sous la main, il n’y en a pas non plus dans la chambre.

Au mot "bassin" je ressens comme un vertige, une sorte de haut le cœur… Je comprends tout de suite qu’il n’est pas prévu de vraies toilettes pour moi. Du moins pas aujourd’hui… Je suis atterrée. Mais la douleur est tellement intense et l’envie de me soulager tellement forte maintenant que je suis surtout impatiente qu’elle revienne, avec n’importe quoi, un seau, une bassine, ça m’est égal, je dois évacuer tout ça au plus vite…!!

Quand l’infirmière revient dans la chambre, elle tient dans ses mains un petit "bassin" en inox et une plus grande bassine en plastique verdâtre. Elle ne sourit plus, comme si elle venait de se faire engueuler quelques minutes plus tôt. Elle semble énervée et pressée alors qu’elle avait l’air si douce et compréhensive il y a moins de dix minutes. Je comprends que ma grosse commission va devoir encore attendre quand je la vois ressortir de la chambre sans me prêter attention. Je suis déconfite. Mes intestins font maintenant des bruits très significatifs qui ne laissent malheureusement plus aucune place au doute sur ce qui va arriver, inévitablement… J’en peux plus… Je veux rentrer chez moi… Je vais me faire dessus si ça continue! Avec ma position et ma cuisse très écartée, je n’ose imaginer ce que cela donnerait.

L’infirmière revient dans la chambre et toujours sans dire un mot ni m’adresser un regard se saisit du petit bassin en inox et s’approche rapidement de mon lit.

"Allez mademoiselle, on va faire ça rapidement car je ne vous cache pas que ce n’est vraiment pas mon jour aujourd’hui..! Vous allez vous installez sur le côté, allez hop! Je vais maintenir votre jambe plâtrée en l’air afin de pouvoir positionner le bassin correctement au niveau de votre anus. Je n’ai vraiment pas envie de devoir changer les draps après..!"

Je me retrouve allongée sur le côté droit, la jambe gauche (plâtrée) maintenue en l’air par l’infirmière, ce qui a pour effet de m’écarter les fesses et la vulve de façon très importante. Je suis comme qui dirait "accroupie", les jambes très écartées, tout en étant allongée sur le côté. Heureusement que le ridicule ne tue pas, je serais foudroyée sur le champ. Tout en positionnant le bassin contre ma fesse droite juste en dessous de mon anus et de ma chatte ouverte, elle me dit :

"Allez mademoiselle, pas de chichi, nous sommes entre femmes, je sais ce que c’est, ne vous inquiétez pas. Vous pouvez commencer à pousser, allez-y… Vous allez d’abord uriner, c’est normal, c’est naturel, laissez-vous aller… Vous n’en pouvez plus de vous retenir en plus, je le vois bien..!" Ajoute-t-elle avec un petit sourire narquois.

Je suis rouge de honte tellement la situation et ma position est gênante, mais je me rassure en me disant qu’il n’y a personne d’autre dans la chambre, que je ne connais pas cette femme, que je ne la reverrai sans doute jamais et surtout que je n’ai plus le choix maintenant… Le point de non retour est franchi… J’ai beaucoup trop envie pour me retenir plus longtemps. Je vais devoir faire caca dans un récipient tenu par la main d’une inconnue. Sous ses yeux et sous son nez. Une grande première et un nouveau sommet atteint dans l’humiliation.

Il ne faut pas longtemps pour qu’un jet d’urine assez puissant heurte le fond du récipient en inox avec un bruit bien caractéristique. Je sens tout de suite un pouce m’écarter la vulve comme pour diriger le jet qui en sors, ce qui rajoute encore un peu à mon humiliation, bien entendu. Tout en pissant à gros bouillon dans ce bassin métallique, il me semble percevoir comme un brouhaha qui à l’air de se rapprocher de la chambre. L’angoisse est totale…

Je n’ai pas encore fini d’uriner quand la porte de la chambre s’ouvre tout à coup, sans frapper, sans prévenir, rien… Je suis toujours dans la position humiliante décrite tout à l’heure. Accroupie, jambes écartées, allongée sur le côté, jambe relevée telle une chienne handicapée. La honte totale.
J’aperçois du coin de l’œil un homme à lunettes, d’une cinquantaine d’année, en blouse blanche, suivi de ce qui semble être son assistant, plus jeune, avec une queue de cheval et également en blouse blanche.

"Mesdemoiselles bonjour!" Lance le quinquagénaire en fixant mon corps dénudé.
"Bonjour Docteur Khan…" lui répond l’infirmière qui tiens toujours le récipient dans lequel je termine de faire pipi.
"Oups! Je vois qu’on arrive au mauvais moment..? Hahaha! C’est pas grave mademoiselle, on en a vu d’autres vous savez, depuis le temps..! Hein Karim ?" S’exclame le médecin en s’adressant à son jeune assistant.

Je suis morte de honte… Vu ma position, les deux hommes doivent avoir une vue imprenable sur ma vulve entre ouverte ainsi que sur mon anus largement dévoilé par ma position. Et comble de la gênance, je suis entrain de pisser devant eux, là, juste sous leurs yeux… Ma honte est d’autant plus grande car je sais pertinemment que je ne vais pas pouvoir retenir beaucoup plus longtemps cette envie qui me taraude les entrailles depuis un bon moment maintenant…

"Alors? Comment vous sentez vous mademoiselle? Le réveil s’est bien passé?"

Je n’en reviens pas… Il me parle comme si de rien n’était. Je suis entrain de pisser dans un bassin en inox, le trou du cul bien à l’air, devant trois personnes inconnues, et lui, il me pose des questions, normal..! Je suis abasourdie par autant de mépris de l’intimité des patients… Je termine d’uriner sans lui répondre.

"Docteur Kahn? Désolé de vous couper, mais comme vous le voyez, la patiente était entrain d’aller à la selles, c’est la première fois depuis son admission ici, donc vous savez que parfois cela peut être un peu gênant, surtout pour les jolies jeunes filles comme ça…! Vous comprenez ?"

"Hahaha! Je comprend très bien mademoiselle..! J’ai fait cela avant vous..! La fameuse légende des jolies jeunes filles qui ne font pas caca! C’est ça? Haha! Ici, ça ne fonctionne pas comme ça, malheureusement… On n’a pas le temps de répondre aux exigences des petites princesses un peu trop pudiques..!"

"C’est comme vous voulez docteur, vous préférez que l’on arrête pour que vous puissiez effectuer votre examen postopératoire?"

"Oh non non, terminez ce que vous avez commencé mesdemoiselles..! Ne vous préoccupez pas de nous..! Nous n’allons pas empêcher une jolie jeune fille de satisfaire un besoin naturel enfin..! Hahaha! " Termine-t-il d’un rire goguenard

Je me rend compte à cet instant que l’infirmière ne repose toujours pas ma jambe, qu’elle se saisit de la grande bassine verdâtre et la positionne contre ma fesse droite… Ces deux hommes ne vont pas assister à cela tout de même ?? C’est pas possible..!? Me dis-je dans ma tête…

En effet, commençant à vérifier la réalisation et la solidité de mon plâtre d’une main, le médecin ne semble pas du tout prêter attention à la situation extrêmement gênante pour une jeune fille comme moi…

L’infirmière, ne semblant pas du tout choquée, ni dérangée par la présence proche de ces deux hommes, me dit en parlant doucement, comme pour ne pas gêné le travail du médecin.

"Allez mademoiselle, on va y aller quand même hein..? Ça va bien se passer, ne vous inquiétez pas pour eux, ils en ont vu d’autres vous savez… Et puis c’est la nature après tout..!" Ce qui décroche un rire nerveux chez l’assistant du docteur.

Je suis dans l’impasse… Je dois absolument me soulager les intestins, je n’en peux plus… Ma position augmente mon envie en plus… Je n’ai plus le choix maintenant, je vais devoir faire caca dans cette bassine, devant ces deux hommes, qui semblent désormais observer mon anus avec une grande attention. Comme si ils attendaient avec impatience que ça sorte pour pouvoir continuer leur travail. J’aperçois même le médecin croiser les bras pour assister à la scène, genre tranquillement.

Je suis partagée entre la honte immense de devoir faire mes besoins devant ces gens et une très forte envie de me soulager le ventre. J’ai peur que cela soit volumineux, voir même "explosif" vu les nombreuses "contractions" qui me tordent les boyaux depuis près d’une heure maintenant… Je n’en peux vraiment plus là… Je ne peux plus me retenir…

" Allez mademoiselle, on a pas toute la journée hein, il n’y aucune honte à avoir vous savez? Donc vous allez pousser bien fort, et cela va sortir tout seul…allez.. On commence à pousser jeune fille! On y va..! Voilà..!" Lance le médecin avec un ton autoritaire et très infantilisant à la fois.

Je ne peux plus reculer, ça y est… Je commence à sentir mon anus s’entre ouvrir. Un petit pet aiguë bien humiliant s’en échappe, qui fait ricaner le médecin, je n’y prête même plus attention… Je sens que ça va sortir maintenant, je sui morte de honte, mais j’essaye de faire abstraction de ces six yeux fixant l’ouverture de mon rectum…Je ne tiens plus..!!

À suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
QU'est-ce que c'est bien observé et raconté ! Bravo

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C’est vrai que ce doit être très humiliant. Je ne pense pas que j’aurais réussi à faire quoi que ce soit. J’ai également fait des séjour à l’hôpital mais j’ai eu la chance d’avoir plus d’intimité.



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