Alice La Gymnaste (Part.8)
Récit érotique écrit par Alice [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Alice La Gymnaste (Part.8)
Le lendemain, je suis réveillée par le bruit de la porte de ma chambre, comme souvent… Dans la pénombre, j’aperçois, les yeux mi-clos, un jeune infirmier s’approcher de mon lit. Sans même me parler pour tenter de me réveiller, il soulève le drap blanc qui me recouvre uniquement le bas du corps, pour vérifier mon plâtre à la jambe. Il tâte le plâtre un peu partout en me soulevant un peu la jambe, ce qui a pour effet de m’ouvrir lentement la vulve. Je suis assez étonnée par cette visite matinale et ne voulant pas affronter le regard de ce jeune infirmier et devoir lui parler, je fais semblant de dormir en gardant bien les yeux fermés.
Je commence a sentir ses mains s’aventurées un peu plus sur le haut de ma cuisse, au niveau où le plâtre commence. Je sens qu’il passe deux doigts sous le plâtre comme pour vérifier si il n’est pas trop serré. Il fait le tour de ma cuisse avec ses doigts sous le plâtre, en tâtonnant. Le plâtre montant presque jusqu’à l’aine, au moment où il passe au niveau de mon sexe, je sens le dos de sa main venir frotter de manière assez prononcée sur l’ensemble de ma vulve. Ensuite, comme pour mieux positionner ma jambe, il place sa main sur ma fesse et involontairement ou pas je l’ignore, du fait du léger écartement de mes fesses, un de ses doigts vient se poser directement pile sur mon anus. Je suis extrêmement gênée bien sûr, mais je continue a faire semblant de dormir, profondément, en faisant de longues et lentes respirations. Son doigt reste plusieurs minutes sur mon anus, comme si il n’avait pas remarqué. Il manipule ma jambe très lentement et très délicatement tout en accompagnant le geste de sa main sur ma fesse.
Il fini par reposer ma jambe en retirant sa main de mes fesses et son doigt de ma raie. Je pense que je vais pouvoir terminer ma nuit tranquillement, quand soudain je sens qu’il me fait rouler sur le côté comme pour accéder à mes fesses. Là, je sens une main écarter ma fesse généreuse et juste après, un objet très froid pénétre mon rectum très lentement. je comprend vite que c’est un thermomètre car l’objet se retrouve planté dans mon derrière, immobile, pendant plusieurs minutes. Je reste parfaitement stoïque, afin de continuer a faire croire que je dors profondément. Au bout de plusieurs longues minutes, je sens le thermomètre ressortir de mon anus, toujours très lentement, ce qui accentue grandement ma sensation d’humiliation mêlée à une certaine forme d’excitation et ce, même si je suis censée dormir. J’ai un peu honte en imaginant ce que ce jeune homme doit voir de mon intimité, depuis plusieurs minutes. J’espère surtout qu’il n’a pas pu remarquer que je mouillais, car je dois vous avouer que ces petites manipulations matinales ont eut un effet assez euphorisant sur moi et mon bas ventre.
Avant de quitter la chambre, l’infirmier termine son travail en ouvrant les volets électriques, ce qui a pour effet de laisser entrer une vive lumière dans la pièce. J’entends un « Bonjour mademoiselle! » assez fort, manifestement destiné a me réveiller pour de bon. Je fais semblant d’ouvrir les yeux sur un grand et beau jeune homme brun aux yeux clairs, avec une petite barbe bien dessinée. Il doit avoir entre 25 et 30 ans à vue d’oeil. Evidemment, je fais mine de n’avoir rien remarqué de sa petite visite intime et lui adresse un petit « Bonjour » faussement endormi, auquel il répond par un grand sourire bien blanc. Il semble très satisfait de ne pas m’avoir réveiller pendant ses manipulations et surtout de me voir presque toute nue enfin en pleine lumière.
Plus ou moins involontairement, étant encore émoustillée, je commence a m’étirer devant lui, toute nue, tirant mes bras au dessus de ma tête, faisant gonfler mes seins, pliant mon abdomen, ce qui a pour effet de lancer mon pubis en avant. Les yeux mi-clos, je remarque que le mec n’en perds pas une miette. Une fois mes rapides étirements terminés, je rouvre grand les yeux et remarque immédiatement une bosse sous le pantalon de l’infirmier, au niveau de son sexe, qu’il ne semble même pas essayer de camoufler. Je fais semblant de ne rien remarquer, bien entendu, mais une certaine forme de satisfaction m’envahie. Je suis perturbée, ces agissements ne me ressemblent pas pourtant. Je suis plutôt de nature timide, mais l’excitation, la fatigue, le contexte hospitalier et le sourire de cet homme m’ont probablement échauffé l’esprit…
Après m’avoir posé quelques questions sur mon état de santé, l’infirmier sexy fini par quitter la chambre non sans me lancer un dernier regard plutôt appuyé si vous voyez ce que je veux dire. Même si nos échanges visuels ont été assez brefs, j’ai pu ressentir comme une sorte de connexion étrange entre nous. Je ne sais pas si c’est le fait d’être entièrement nue depuis trois jours, manipulée de toutes sortes par différentes personnes, mais je commence à ressentir une excitation assez inédite monter en moi.
A peine le temps de reprendre mes esprits que le médecin chef entre dans la chambre à son tour. Il est accompagné de la même infirmière qu’hier, qui tient la même bassine qu’hier. Je comprend tout de suite de quoi il s’agit. Il m’avait bien prévenu qu’il viendrait tous les jours vérifier l’état de mes selles. Et en effet, l’heure matinale veut que l’envie se fait plutôt pressante… Je suis un peu perturbée par cette brusque intrusion, mais bizarrement je me sens beaucoup moins gênée par la situation que la veille. Je pense que je me suis faite à l’idée, qu’avec mon plâtre je n’avais pas le choix. J’ai besoin qu’on m’aide pour les besoins les plus élémentaires pendant cette période de convalescence, c’est comme ça, je dois l’accepter.
Je me met donc en position, l’infirmière aussi. Position latérale, jambe cassée largement maintenue en l’air et l’autre jambe repliée sur la poitrine, ouvrant ainsi généreusement mes fesses rebondies. La bassine est en place, sans me faire prier, car l’envie me taraude les boyaux, je commence a pousser et là j’entend un bruit de porte derrière moi. Je tourne la tête et aperçois le beau brun sexy de tout à l’heure qui refait son entrée dans la chambre. Malheureusement pour moi j’avais déjà franchis le point de non retour, si vous voyez ce que je veux dire… Impossible donc de retenir bien longtemps, mais suffisamment pour laisser le temps au jeune homme de bien se placer pour ne rien louper du spectacle… Je suis horrifiée et totalement morte de honte en deux secondes.
Ce garçon que j’ai presque tentée de séduire il y a quelques minutes, s’apprête à me voir déféquer dans une bassine, de bon matin. Je meurs, je voudrais tellement pouvoir claquer des doigts et disparaître, mais le monde réel est plus abrupte. Ces quelques réflexions ont fusées dans ma tête en l’espace d’une demi seconde, et j’ai du me résigner à tout lâcher, les yeux fermés, en pensant au regard du grand brun sur mon anus dilaté, libérant un gros étron bien moulé, me valant les félicitations du médecin chef, toujours accompagné dune bonne claque sur la fesse, la faisant toujours remuer… La honte est intégrale. Je sens que je suis toute rouge, je n’ose ni ouvrir les yeux, ni me retourner, de peur de croiser le regard de ce garçon. Même si cela fait partie de son métier, je n’ai jamais été aussi gênée de toute ma vie je crois. Mon coeur bat a sen décrocher dans ma poitrine.
Je pensais être tirée d’affaire quand j’entend le médecin s’adresser au jeune infirmier.
« Tenez Bastien, approchez-vous! Vous allez nettoyer les fesses de notre jeune patiente! Après tout il faut bien que vous appreniez..! Allez hop! Pas de chichi, aucune gêne à avoir! »
Je suis médusée… Je n’ose toujours pas me retourner. Rapidement je sens une main écartée largement ma fesse supérieur et je sens une lingette humide parcourir très lentement ma raie des fesses. Je ne le vois pas mais j’imagine parfaitement la scène et je suis évidemment morte de honte. L’infirmière le reprend sur sa façon de faire : « Bastien, tu dois commencer par la vulve en allant vers l’anus, jamais l’inverse t’as compris? Toujours de la vulve vers l’anus, c’est plus hygiénique. »
Jusqu’a présent il n’avait pas encore effleuré mon sexe. Je ressent tout à coup une lingette fouiller entre mes grandes lèvres, il doit forcément se rendre compte que j’ai beaucoup mouillée.
Je suis ultra gênée à idée qu’il remarque mon excitation dans ces circonstances plus qu’inhabituelles. Il passe et repasse plusieurs fois pour bien nettoyer ma vulve tout en continuant sur mon anus.
Une fois l’opération terminée je dois reprendre ma position initiale et me retrouve donc face à face avec mon « nettoyeur de fesses » qui esquisse un petit rictus en me voyant déconfite. Je dois être très rouge au niveau des joues comme cela m’arrive souvent et il semble éprouver une sorte de satisfaction un peu malsaine à me voir aussi gênée devant lui, n’osant pas tenir son regard plus d’une seconde.
Le soir venu, en pleine nuit, en demi sommeil, alors que seules les lumières du couloir de l’hôpital éclair faiblement le sol brillant de la chambre, j’entend des pas qui s’approchent dans le couloir. Je me redresse un peu dans mon lit et aperçoit une grande silhouette dans l’encadrement de la porte. La personne entre dans la pièce sans dire un mot et referme la porte derrière elle. Sur le moment, je crois être entrain de rêver et ne m’inquiète pas plus que ça. Je prend conscience que je suis bien réveillée quand la petite lumière douce au dessus du lit s’allume me laissant découvrir mon visiteur nocturne…
A suivre…
Je commence a sentir ses mains s’aventurées un peu plus sur le haut de ma cuisse, au niveau où le plâtre commence. Je sens qu’il passe deux doigts sous le plâtre comme pour vérifier si il n’est pas trop serré. Il fait le tour de ma cuisse avec ses doigts sous le plâtre, en tâtonnant. Le plâtre montant presque jusqu’à l’aine, au moment où il passe au niveau de mon sexe, je sens le dos de sa main venir frotter de manière assez prononcée sur l’ensemble de ma vulve. Ensuite, comme pour mieux positionner ma jambe, il place sa main sur ma fesse et involontairement ou pas je l’ignore, du fait du léger écartement de mes fesses, un de ses doigts vient se poser directement pile sur mon anus. Je suis extrêmement gênée bien sûr, mais je continue a faire semblant de dormir, profondément, en faisant de longues et lentes respirations. Son doigt reste plusieurs minutes sur mon anus, comme si il n’avait pas remarqué. Il manipule ma jambe très lentement et très délicatement tout en accompagnant le geste de sa main sur ma fesse.
Il fini par reposer ma jambe en retirant sa main de mes fesses et son doigt de ma raie. Je pense que je vais pouvoir terminer ma nuit tranquillement, quand soudain je sens qu’il me fait rouler sur le côté comme pour accéder à mes fesses. Là, je sens une main écarter ma fesse généreuse et juste après, un objet très froid pénétre mon rectum très lentement. je comprend vite que c’est un thermomètre car l’objet se retrouve planté dans mon derrière, immobile, pendant plusieurs minutes. Je reste parfaitement stoïque, afin de continuer a faire croire que je dors profondément. Au bout de plusieurs longues minutes, je sens le thermomètre ressortir de mon anus, toujours très lentement, ce qui accentue grandement ma sensation d’humiliation mêlée à une certaine forme d’excitation et ce, même si je suis censée dormir. J’ai un peu honte en imaginant ce que ce jeune homme doit voir de mon intimité, depuis plusieurs minutes. J’espère surtout qu’il n’a pas pu remarquer que je mouillais, car je dois vous avouer que ces petites manipulations matinales ont eut un effet assez euphorisant sur moi et mon bas ventre.
Avant de quitter la chambre, l’infirmier termine son travail en ouvrant les volets électriques, ce qui a pour effet de laisser entrer une vive lumière dans la pièce. J’entends un « Bonjour mademoiselle! » assez fort, manifestement destiné a me réveiller pour de bon. Je fais semblant d’ouvrir les yeux sur un grand et beau jeune homme brun aux yeux clairs, avec une petite barbe bien dessinée. Il doit avoir entre 25 et 30 ans à vue d’oeil. Evidemment, je fais mine de n’avoir rien remarqué de sa petite visite intime et lui adresse un petit « Bonjour » faussement endormi, auquel il répond par un grand sourire bien blanc. Il semble très satisfait de ne pas m’avoir réveiller pendant ses manipulations et surtout de me voir presque toute nue enfin en pleine lumière.
Plus ou moins involontairement, étant encore émoustillée, je commence a m’étirer devant lui, toute nue, tirant mes bras au dessus de ma tête, faisant gonfler mes seins, pliant mon abdomen, ce qui a pour effet de lancer mon pubis en avant. Les yeux mi-clos, je remarque que le mec n’en perds pas une miette. Une fois mes rapides étirements terminés, je rouvre grand les yeux et remarque immédiatement une bosse sous le pantalon de l’infirmier, au niveau de son sexe, qu’il ne semble même pas essayer de camoufler. Je fais semblant de ne rien remarquer, bien entendu, mais une certaine forme de satisfaction m’envahie. Je suis perturbée, ces agissements ne me ressemblent pas pourtant. Je suis plutôt de nature timide, mais l’excitation, la fatigue, le contexte hospitalier et le sourire de cet homme m’ont probablement échauffé l’esprit…
Après m’avoir posé quelques questions sur mon état de santé, l’infirmier sexy fini par quitter la chambre non sans me lancer un dernier regard plutôt appuyé si vous voyez ce que je veux dire. Même si nos échanges visuels ont été assez brefs, j’ai pu ressentir comme une sorte de connexion étrange entre nous. Je ne sais pas si c’est le fait d’être entièrement nue depuis trois jours, manipulée de toutes sortes par différentes personnes, mais je commence à ressentir une excitation assez inédite monter en moi.
A peine le temps de reprendre mes esprits que le médecin chef entre dans la chambre à son tour. Il est accompagné de la même infirmière qu’hier, qui tient la même bassine qu’hier. Je comprend tout de suite de quoi il s’agit. Il m’avait bien prévenu qu’il viendrait tous les jours vérifier l’état de mes selles. Et en effet, l’heure matinale veut que l’envie se fait plutôt pressante… Je suis un peu perturbée par cette brusque intrusion, mais bizarrement je me sens beaucoup moins gênée par la situation que la veille. Je pense que je me suis faite à l’idée, qu’avec mon plâtre je n’avais pas le choix. J’ai besoin qu’on m’aide pour les besoins les plus élémentaires pendant cette période de convalescence, c’est comme ça, je dois l’accepter.
Je me met donc en position, l’infirmière aussi. Position latérale, jambe cassée largement maintenue en l’air et l’autre jambe repliée sur la poitrine, ouvrant ainsi généreusement mes fesses rebondies. La bassine est en place, sans me faire prier, car l’envie me taraude les boyaux, je commence a pousser et là j’entend un bruit de porte derrière moi. Je tourne la tête et aperçois le beau brun sexy de tout à l’heure qui refait son entrée dans la chambre. Malheureusement pour moi j’avais déjà franchis le point de non retour, si vous voyez ce que je veux dire… Impossible donc de retenir bien longtemps, mais suffisamment pour laisser le temps au jeune homme de bien se placer pour ne rien louper du spectacle… Je suis horrifiée et totalement morte de honte en deux secondes.
Ce garçon que j’ai presque tentée de séduire il y a quelques minutes, s’apprête à me voir déféquer dans une bassine, de bon matin. Je meurs, je voudrais tellement pouvoir claquer des doigts et disparaître, mais le monde réel est plus abrupte. Ces quelques réflexions ont fusées dans ma tête en l’espace d’une demi seconde, et j’ai du me résigner à tout lâcher, les yeux fermés, en pensant au regard du grand brun sur mon anus dilaté, libérant un gros étron bien moulé, me valant les félicitations du médecin chef, toujours accompagné dune bonne claque sur la fesse, la faisant toujours remuer… La honte est intégrale. Je sens que je suis toute rouge, je n’ose ni ouvrir les yeux, ni me retourner, de peur de croiser le regard de ce garçon. Même si cela fait partie de son métier, je n’ai jamais été aussi gênée de toute ma vie je crois. Mon coeur bat a sen décrocher dans ma poitrine.
Je pensais être tirée d’affaire quand j’entend le médecin s’adresser au jeune infirmier.
« Tenez Bastien, approchez-vous! Vous allez nettoyer les fesses de notre jeune patiente! Après tout il faut bien que vous appreniez..! Allez hop! Pas de chichi, aucune gêne à avoir! »
Je suis médusée… Je n’ose toujours pas me retourner. Rapidement je sens une main écartée largement ma fesse supérieur et je sens une lingette humide parcourir très lentement ma raie des fesses. Je ne le vois pas mais j’imagine parfaitement la scène et je suis évidemment morte de honte. L’infirmière le reprend sur sa façon de faire : « Bastien, tu dois commencer par la vulve en allant vers l’anus, jamais l’inverse t’as compris? Toujours de la vulve vers l’anus, c’est plus hygiénique. »
Jusqu’a présent il n’avait pas encore effleuré mon sexe. Je ressent tout à coup une lingette fouiller entre mes grandes lèvres, il doit forcément se rendre compte que j’ai beaucoup mouillée.
Je suis ultra gênée à idée qu’il remarque mon excitation dans ces circonstances plus qu’inhabituelles. Il passe et repasse plusieurs fois pour bien nettoyer ma vulve tout en continuant sur mon anus.
Une fois l’opération terminée je dois reprendre ma position initiale et me retrouve donc face à face avec mon « nettoyeur de fesses » qui esquisse un petit rictus en me voyant déconfite. Je dois être très rouge au niveau des joues comme cela m’arrive souvent et il semble éprouver une sorte de satisfaction un peu malsaine à me voir aussi gênée devant lui, n’osant pas tenir son regard plus d’une seconde.
Le soir venu, en pleine nuit, en demi sommeil, alors que seules les lumières du couloir de l’hôpital éclair faiblement le sol brillant de la chambre, j’entend des pas qui s’approchent dans le couloir. Je me redresse un peu dans mon lit et aperçoit une grande silhouette dans l’encadrement de la porte. La personne entre dans la pièce sans dire un mot et referme la porte derrière elle. Sur le moment, je crois être entrain de rêver et ne m’inquiète pas plus que ça. Je prend conscience que je suis bien réveillée quand la petite lumière douce au dessus du lit s’allume me laissant découvrir mon visiteur nocturne…
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La panne (de lit) est un belgicisme, qui passe parfois la frontière, dans le nord. C'est l'équivalent du bassin.
Merci pour vos gentils commentaires qui sont pointus, détaillés et constructifs. En effet, l’histoire se répète un peu mais c’est la vie de l’hôpital, malheureusement... Pour les fautes, je suis désolée, j’ai écris plus vite que les précédents chapitres, sans vraiment prendre le temps de bien relire. Par contre je ne vois pas l’épisode de la panne auquel vous faites allusion?
La suite arrive bientôt..!
Alice
La suite arrive bientôt..!
Alice
Ravi de vous voir reprendre le fil de cette histoire... qui hésite plus que jamais entre burlesque et érotisme, exhibition et humiliation. Et puis voilà un cliffhanger en prime ! Quelques vilaines fractures d'orthographe ("s’aventurées" / "ne pas m’avoir réveiller" / "j’ai beaucoup mouillée") mériteraient d'être plâtrées elles aussi, mais je ne vais pas vous accabler : même si cet épisode de redémarrage ou de transition peine un peu à se renouveller, il y a dans la narration de ces mésaventures un ton délicieux, même l'épisode de la panne reste charmant. Plus charmant que ce Bastien, en tout cas : quand les autres se comportent de façon lamentablement indélicate mais sans véritable intention lubrique, lui se permet des gestes inacceptables. Mais nous sommes en fiction et dans la vôtre. Merci de nous offrir cette suite et d'autres encore sans doute !