Anne_1 - histoire érotique

Un jour que je faisais la sieste dans mon transat, je repensais à mes jeunes années. Années de découvertes. J’avais un super copain qui habitait dans une grande maison de campagne et dont le terrain était clôturé par un mur en pierres super haut. Nous avions 18 ans, et nous étions un peu en manque de connaissance de la gent féminine. J’avoue qu’à l’époque, j’étais sacrément timide et je n’osais aborder les filles. Ce jour-là, il m’arriva une chose incroyable à laquelle je ne m’attendais pas.
Voulant rendre visite à mon pote je décidais de prendre mon vélo pour faire les 7 km qui séparaient nos adresses respectives. J’avais un sac à dos avec mes affaires de toilettes car j’avais l’habitude de dormir chez lui le samedi soir.
Après une bonne demi-heure de route, j’arrivais à son domicile et je sonnais à l’entrée du portail.

- Oui, qui est-ce ?
- Bonjour Anne, c’est Michel- Ah bonjour Michel, je t’ouvre.

Anne est la maman de mon pote. Elle est super sympa. J’ouvrais le portail et rentrait mon vélo en prenant soin de refermer le portail derrière moi.

- Alors mon grand, comment vas-tu ?
- Très bien merci. Je venais voir Régis.
- Régis ? Mais il est parti avec son père pour le week-end.
- Ha zut, il ne m’avait pas dit. Bon ben excusez-moi, je vais rentrer.
- Tu vas quand même boire quelque chose, tu es tout transpirant avec cette chaleur. Viens rentre.
- Je ne veux pas vous déranger.
- Mais non, voyons, viens, laisse ton vélo.
- Suis-moi dans la cuisine.
- Merci Anne.
- Tu veux boire quoi ?
- Oh de l’eau, ça ira très bien.
- De l’eau ? tu ne veux pas un jus de fruit ?
- Oui d’accord, je veux bien.
- Mais tu es trempé, tu vas prendre froid. Tu vas prendre une douche.
- Non, non, ce n’est pas la peine.
- Mais si- Je n’ai pas de serviette.
- Mais j’en ai, viens vite avant de prendre froid.
- Vas-y rentre dans la salle de bain, je vais te chercher une serviette.
- D’accord Anne.
- Tiens voilà la serviette. Donne-moi tes vêtements, je vais les faire sécher au soleil.
- Mais je n’ai pas d’autres vêtements.
- Je vais te chercher des vêtements de Régis. Aller à la douche.
- Oui Anne.

Je me déshabillais, un peu troublé d’être seul dans cette maison avec la mère de mon pote. Je rentrais dans la douche et essayais de cacher mon sexe qui était dressé. Je faisais couler l’eau en espérant le faire redescendre, mais rien n’y faisait. Anne ouvrit la porte pour me donner les vêtements alors que j’étais encore sous la douche. Heureusement je lui tournais le dos de sorte qu’elle ne voyait pas mon sexe.

- Quand tu seras prêt, rejoins-moi à la cuisine.
- Oui d’accord.

Elle sorti, mais je n’avais pas vu qu’elle avait laissé la porte entrouverte. Je sortais de la douche avec toujours mon sexe dressé et décalotté. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai ouvert la corbeille de linge et je trouvais une culotte d’Anne qui était sale. Je me suis mis à la sentir, je découvrais ses odeurs intimes. J’entourais mon sexe avec cette culotte et je me mis à me branler à toute vitesse pour ne pas perdre de temps. J’explosais dans cette culotte à grand jets de sperme. Je remis la culotte dans la panière sans me douter qu’Anne n’avait pas perdu une miette de ce qui se passait. Je me rhabillais et descendit rejoindre Anne qui s’était éclipsée du couloir.

- Ça y est, tu es propre mon grand ?
- Oui, merci Anne.
- De rien. Tiens voilà ton jus de fruit.
- Vous êtes seule ce week-end alors ?
- Et oui, demain à midi je dois aller voir une amie.
- Ah d’accord.
- Tu ne voudrais pas passer la soirée avec moi ?
- Moi ?
- Oui, toi. Tu préviens tes parents. Je me sentirais moins seule.
- Si vous voulez, oui je veux bien.
- Merci mon grand- Je vais prévenir mes parents.
- Pendant ce temps-là je vais faire tourner une machine.
- Maintenant, une machine ?
- Ben oui pourquoi, c’est interdit ?
- Heu non, excusez-moi.

C’est sûr, Anne allait trouver sa culotte pleine de sperme. La honte que j’allais me taper.

- C’est bon tes parents sont d’accord ?
- Oui pas de soucis.
- Viens avec moi dans la pelouse, on sera mieux dehors.
- Oui je vous suis.
- Je vais me mettre un peu au soleil sur le transat, tu veux bien me mettre de la crème sur le dos ?
- Heu oui.

Anne enleva son t-shirt et se retrouva juste avec son bas de maillot de bain, les seins à l’air. Elle s’allongea sur le ventre et je commençais à lui mettre de la crème, ou plutôt de l’huile solaire.

- Hum oui comme çà c’est bien, tu fais ça bien dis donc, tes mains sont douces. Baisse un peu ma culotte pour huiler la partie blanche de mon dos.
- Heu Anne, j’ose pas, je suis timide.
- Ah oui ? pourtant tout à l’heure, tu l’aimais bien ma culotte.
- Que comment ?
- Je t’ai vu petit coquin.
- Oh je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris.
- Ne sois pas désolé, c’est normal à ton âge.
- Ha bon ? vous n’êtes pas fachée ?
- Mais non, tiens regarde, je l’enlève ma culotte puisque tu n’oses pas. Voilà, tu vois c’est facile.
- Oh mais Anne, que faites-vous ?
- Et bien tu vois je vais bronzer, et pour que je ne rougisse pas, tu vas me mettre de l’huile où c’est blanc.
- Où c’est blanc ? mais c’est blanc partout où vous avez enlever votre culotte.
- Et bien met de l’huile.
- Ah ben d’accord.

J’étais rouge comme une pivoine. La mère de mon pote était totalement nue devant moi. Elle écartait même légèrement les jambes me laissant voir son intimité vue de derrière. Je bandais comme un âne. J’étalais l’huile sur ses fesses et commençais à l’étaler. Ma main allait naturellement là où je ne voulais pas qu’elle aille, provoquant chez Anne de petits gémissements. Mes doigts s’égaraient dans son intimité. Passant sur son clitoris qui grossissait et l’entrée de son vagin qui ruisselait de cyprine. J’étais complètement devenu un automate. Je n’étais plus moi-même.

- Hummm continue mon grand, c’est si bon tes caresses. Oh ouiii.
- Je n’avais jamais entendu une femme dire des trucs comme ça.
- Oh mon grand, rentre deux de tes doigts dans mon vagin, doucement.
- Oui Anne, comme ça ?
- Oh oui comme ça, vas y n’ais pas peur, rentre bien au fond.
- Oui, c’est mouillé.
- Oh ouiii c’est si bon, oh mon grand je viens, je viens, oui ,oui, oui, hhhaaaa
Anne venait d’avoir un orgasme. Elle tremblait de partout. Elle se retournait et s’asseyait sur le transat.

- Lève-toi et déshabille-toi mon grand.
- Comment ?
- Enlève tes vêtements, vite- Mais.
- Dépêche-toi- D’accord.
- Je descendais mon short et mon slip , laissant se dresser mon sexe.
- Oh la vache, quelle queue. Approche.
- Oui Anne.

Anne saisi mon sexe pour commencer à le lécher, puis elle prit en bouche et commença à me sucer. Je n’en revenais pas, la mère de mon pote suçait mon sexe. Elle se déchainait dessus comme si elle voulait l’avaler. Je lui fit signe que j’allais éjaculer alors elle s’enfonça mon sexe dans la gorge et j’explosais en elle en poussant un râle roque.

- Ben dis donc que tu donnes tu ne fais pas dans la dentelle. Malgré tout ce que tu as mis dans ma culotte, tu m’a rempli la gorge.

Anne se tourna et se mit à 4 pattes sur le transat.

- Vas-y mon grand, finis ton travail, prends-moi le vagin avec ta grosse queue.
- D’accord Anne, mais vous savez, c’est la première fois.
- Et ce ne sera pas la dernière fais-moi confiance, viens bébé.

Je m’approchais de ce sexe qui m’était offert. Mon sexe était toujours aussi raide. Je le guidais avec ma main pour le mettre en face de l’entrée de la grotte offerte. Et je poussais en avant pour pénétrer Anne.

- Oh ouii mon grand, putain que c’est bon de sentir ta grosse queue dans ma chatte.
- Hummm vous aimez ça.
- Tu ne t’imagine pas à quel point. Un si gros sexe. Vas-y.
- Hummm oui c’est bon, ton vagin est si chaud autour de mon sexe- Ouiii je te sent tellement puissant. Je me sens si salope en ayant un si gros sexe en moi.
- Ah tu te sens salope ? tu es ma salope alors ?
- Oh oui Michel, vas y fort.
- Tiens salope, prends ça, han han han- Oui oui oui hhhhaaaaaaaa- Putain je vais te défoncer le vagin.
- Oui défonce ta salope vas y- Tiens encore- OUiiiiiiiiiiiiii- HHHHAHAAAAAAAAAA je jouis salope , je te remplis- Tu me féconde.

Anne s’effondra sur le transat et moi sur Anne toujours dans son vagin. Le sperme sortait. Anne se tourna et suça mon sexe pour le nettoyer.

- Oh merci Michel, tu es un bon amant.
- Merci Anne pour m’avoir guidé.
- Je vais encore t’apprendre des choses tu sais. On a tout le week-end.