Le cahier de Tata (1) - histoire érotique

Le livre de Tata 1

Ma Tata s’appelait Isabelle. Elle vient de décéder à l’âge de 85 ans.
Ma mère est sa sœur jumelle. Elle m’a demandé d’aller dans la maison de Tata pour voir si je voulais récupérer quelque chose avant de faire passer Emmaüs.
Donc un samedi matin, je me rends dans la maison de la défunte.
Après quelques heures tri, je m’apprête à repartir quand je remarque une petite porte derrière la coiffeuse de la chambre.
Je déplace cette dernière pour voir ce qu’il y a derrière cette porte.
Une fois la porte ouverte, je découvre un petit réduit où se tient une grande malle de voyage.
Une fois cette malle ouverte, je m’assois sur une chaise et entreprends de faire le tri de ce qu’il y a à l’intérieur.
Je trouve essentiellement des habits pour le peu surprenant.
Je trouve de vieux porte-jarretelles, des strings, des bas fumés et résilles, des hauts transparents etc …
Mais ce que je découvre en dernier sont deux cahiers.
Le premier est un cahier de comptes avec des noms, des adresses et des sommes avec à côté de chaque nom, entre parenthèses des commentaires qui me laissent sans voix.

Monsieur XXX, adresse XXXX, (Fellation, Pénétrations vaginales), 500 Francs
Madame et monsieur YYYY, adresse YYYY (Jeux lesbiens avec madame devant monsieur). 1000 francs.

Des centaines de lignes avec des dates.

Ma Tata que j’adorais, se prostituait.

Le deuxième cahier, plus épais que le premier, comportait des récits manuscrits qui correspondaient aux dates des comptes, qui détaillaient ce que ma Tata faisait lors de ses, comment dirais-je ? Ses passes ? oui on peut dire ça.

Je commençais à lire le deuxième cahier.

Voilà, je suis veuve depuis un mois. Mon mari est parti suite à une maladie grave.
Que vais-je devenir ? J’ai 60 ans, je suis encore bien pour mon âge, mais ma retraite est plus que petite et celle que me laisse mon mari ne vaut guère mieux.

On sonne à la porte, je vais ouvrir, c’est ma voisine Pascale.

- Bonjour Isabelle, comment tu vas ?
- Bof, pas terrible, je faisais les comptes et ce n’est pas terrible.
- Veux-tu venir te balader avec moi ? ça te changera les idées.
- Ma foi oui, pourquoi pas.

Nous avons pris le chemin de la forêt qui est bien tranquille en semaine.

- Pascale, j’ai peur de l’avenir.
- Je sais Isabelle, mais ça va s’arranger, je suis là.
- Oui je sais que tu es à mes côtés, mais c’est si dur financièrement.
- Écoute, ça fait longtemps que je voulais te dire un truc.
- Quel truc ?
- Voilà, moi aussi j’ai une petite retraite.
- Mais je ne te demande pas d’argent.
- Je sais bien, mais laisse-moi t’expliquer
- Très bien, je t’écoute.
- Après la mort de Georges, j’étais comme toi, et un jour j’ai décidé de m’en sortir.
- Comment ça ?
- Et bien une de mes amies qui est veuve aussi, m’avait avoué qu’elle avait des rapports sexuels avec différentes personnes moyennant finances.
- Hein ? une pute ?
- Doucement Isabelle, c’est une bonne amie à moi.
- Excuse-moi, mais tu te rends compte de ce que tu dis ?
- Oui je sais, j’étais choquée quand elle m’a avoué ça. Mais quand elle m’a dit comment elle s’y prenait et surtout combien elle gagnait d’argent, j’ai réfléchi.
- Ne me dit pas que toi aussi ?
- Et bien si, moi aussi. Mais je ne fais pas le trottoir, je vais chez les personnes en toute discrétion. Maintenant j’ai des habitués.
- Des habitués ? mais je rêve, toi Pascale ?
- Oui moi Pascale. Isabelle, tu sais combien je peux gagner en un mois sans faire ça tous les jours ?
- Non, mais je sens que tu vas me le dire.
- 20 000 francs.
- Hein ?
- Oui, net d’impôts, je suis payée en cash.
Mes jambes tremblaient, je me suis assise sur un banc. Ma voisine et amie, était une pute.
- Isabelle, tu es encore séduisante à ton âge, mais n’attends pas trop longtemps.
- Mais, mon mari ?
- Il n’est plus là Isabelle.
- Mais quand même. Et puis qui voudra de moi ?
- Pour ça ne t’en fais pas, je te trouverai des clients ou clientes. Je t’aiderai au début.
- Je ne sais pas Pascale.
- Prends le temps de réfléchir.

Nous sommes rentrés après deux heures de balade. Nous avons pris un chocolat chaud et Pascale est rentrée chez elle.

Je n’arrivais plus à réfléchir, comment pourrais-je faire ça ? Avoir des rapports sexuels avec des inconnu(e)s ?
C’était à l’opposé de mon éducation. Je passais une nuit blanche à ressasser ce que m’avait dit Pascale.
Deux semaines plus tard, Pascale m’invitait à déjeuner chez elle.
- Bonjour Isabelle, comment ça va ?
- Ça va, ça va.
- Viens t’assoir au salon, on va boire l’apéro.
- Oui d’accord.
- Alors, tu as réfléchi à notre petite discussion ?
- Oui, oui.
- Et ?
- Et quoi ?
- Qu’est-ce que tu en penses.
- Sincèrement tu me vois habillée en pute ?
- Mais enfin, il ne s’agit pas de t’habiller comme ça. Mes clients aiment que je sois classe, BCBG…
- Ah bon ?
- Mais oui, attends, je vais me changer et je reviens.
- D’accord.

Je voyais Pascale qui se dirigeait vers sa chambre, en jean et t-shirt, et j’avoue que même comme ça elle était très séduisante.

Elle ressorti de sa chambre 5 minutes plus tard.

- Alors, ais-je l’air d’une pute ?
- Mais non, tu es magnifique ma chérie.
- Ben tu vois, ce n’est pas si terrible que ça.

Pascale était habillée avec une petite robe noire qui épousait ses formes mais pas de façon vulgaire. Elle avait mis des bas fumés et des talons.

- Tiens suis moi, on a à peu près le même corps, je vais te faire essayer un truc.
- D’accord.

On rentrait dans sa chambre. Pascale me demanda de me déshabiller

- Mets-toi toute nue, je vais te prêter de la lingerie
- Toute nue ?
- Nous sommes entre femmes.
- Oui excuse-moi.

Je me déshabillais, et me retrouvais nue devant ma voisine.

- Il va falloir réduire tes poils ma chérie, c’est une vraie jungle entre tes cuisses.
- Tu trouves ?
- Viens, suis-moi à la salle de bains.
- D’accord
- Assieds-toi sur le rebord du fauteuil et écartes tes cuisses.
A ces mots, je devins rouge comme une pivoine

- Ben qu’est-ce qu’il y a ? tu n’as jamais fait voir ton minou ?
- Ben à part mon mari et mon docteur, non.
- Ah il va falloir t’habituer à écarter les cuisses.
- Oui oui je sais, mais laisse-moi le temps.

Pascale passa d’abord la tondeuse sur ma toison pubienne ainsi que sur les côtés de ma vulve.
Elle était esthéticienne à la retraite, mais avait encore tout le matériel nécessaire.
20 minutes plus tard, je me retrouvais avec un petit triangle au-dessus de mon minou, le reste (raie des fesses comprise) était devenu tout lisse.

- Hummmm Isabelle, tu es vraiment bandante comme ça.

Pascale s’agenouilla entre mes cuisses sous prétexte de mettre de la crème adoucissante.
Elle étala la crème parfumée en insistant un peu sur mon bouton d’amour. Je fermais les yeux, et commençais à ressentir une chaleur dans mon ventre.
Je sentais la langue de Pascale prendre le relais de ses doigts.
Ma respiration s’accéléra, il m’était impossible de résister au flot de plaisir qui montait en moi.
Pascale introduisit deux de ses doigts dans mon vagin, aussitôt je me cambrais en poussant un long gémissement.

- Hummm ma chérie, tu es belle, laisse-toi aller, nous sommes seules toutes les deux, lâche-toi.
- A ces mots, un orgasme m’envahit, et je me mis à pousser un cri puissant.

C’était la première fois que je jouissais sous les caresses d’une femme, et bizarrement j’aimais ça et ne ressentais aucune gêne.


Je venais de lire les deux premières pages du cahier de ma Tata. Qui était au courant ? ma mère ?
Qui sait ?