Blablacar 2 - histoire érotique

Blablacar 2


Nous sommes repartis, Paulette, les seins sortis. Je voyais que de temps en temps elle se roulait ses tétons. Et moi je bandais discrètement.

- Paulette, je vais m’arrêter pour déjeuner, il faudrait peut-être ranger tes seins.
- Oui tu as raison, mais je vais remettre mon soutif, car on va vois mes tétons.
- Mais non, reste sans soutif. Je suis avec toi, tu ne risques rien.
- Tu en profites hein ?
- Oui j’avoue que tu as des seins superbes.
- Ça te fait de l’effet ?
- Ben oui, j’avoue.
- Gare-toi à l’écart si tu peux.
- Ah.

Je trouvais une place à l’écart car il n’y avait pas grand monde.
Paulette attendit que je coupe le moteur puis commença par défaire ma ceinture.

- Euh Paulette, tu joues à quoi ?
- Je vois bien que tu bandes depuis que je me travaille les tétons. Je vais te soulager.
- Mais Paulette, on pourrait nous voir.
- Tu n’as qu’à tenir le volant, je m’occupe du reste, à moins que ça t’embête d’avoir une gâterie par une vieille.
- Ah non, pas du tout.
- Tu fais ça à tous tes chauffeurs ?
- Non, tu es le premier.
- Je suis flatté.

Paulette baissa mon pantalon et mon boxer, moi les deux mains sur le volant. Elle saisit mon sexe pour commencer un branlage et le décalotter. Puis commença à donner de petits coups de langue sur mon gland. Je commençais à gémir quand elle prit la totalité de mon sexe en bouche. Elle se mit à me pomper de plus en plus vite. Je lui caressais ses beaux cheveux blancs. Je n’en revenais pas de me faire sucer par une mamie de 80 ans. Elle devait se remémorer sa jeunesse. Je la prévins que j’allais jouir, pour qu’elle se dégage, mais au lieu de ça, elle continua de plus belle avant de bloquer mon sexe contre sa gorge au moment où j’éclatais en elle.
Malgré la grosse quantité de sperme, elle avala tout et nettoya mon gland avec la langue.

- Merci Paulette, ça fait longtemps qu’une femme ne m’a pas sucé de cette façon.
- Et moi j’avais une grosse envie de te sucer. On va déjeuner ?
- Oui, on y va.

Paulette s’était rhabillée mais sans soutif. Et comme elle le pensait, on devinait ses tétons sous son pull. Pas mal d’hommes la regardait.
Nous nous sommes installés à une table un peu à l’écart.

- Michel ?
- Oui.
- Ma culotte est trempée.
- Quoi ?
- Je mouille avec tous ces regards d’hommes.
- Mais Paulette, tu es terrible.
- J’ai chaud dans le ventre. Je vais aux toilettes.
- Ok.

Paulette se rendit aux toilettes et je restais seul pendant un bon quart d’heure. A son retard, elle passa proche de moi et me donna discrètement sa culotte avant de s’assoir.

- Ça va Paulette ?
- Oh oui, je me suis masturbée aux toilettes, j’ai giclé ma cyprine dans ma culotte. Sens-là stp.
- Quoi ?
- Sens ma culotte.

Je portais discrètement sa culotte à mes narines. Ses odeurs intimes m’envahir me provoquant une nouvelle érection.

- Va aux toilettes Michel, branle-toi dans ma culotte.
- Mais Paulette enfin, tu te rends compte de ce que tu me demande ?
- Obéis moi stp.
- Que je t’obéisse ?
- Oui, tu vas m’obéir gentiment et tu vas faire ce que je dis. Je t’attendrai à la sortie des toilettes.
- Bien, comme tu veux Paulette.
Je me rendis aux toilettes, obéissant aux ordres de Paulette, et le pire est que ça me faisait bander.
Dans les toilettes, je baissais mon pantalon et mon boxer et me mit à me branler. J’avais la culotte de Paulette contre mes narines, ce qui augmentait mon désir. Je sentais mon plaisir monter dans mon sexe. Je mis la culotte de Paulette au niveau de mon pénis pour éjaculer dedans.
A la sortie des toilettes je retrouvais Paulette qui me demanda sa culotte.
Elle se dirigea dans les toilettes femmes.
5 minutes plus tard elle ressorti.

- On y va Michel ?
- Euh oui Paulette. Où est ta culotte.
- Sur ma vulve. Je sens ton sperme contre mon clito.
- Ok

On marcha main dans la main jusque vers la voiture.

- Une fois dans la voiture, tu baisseras ton pantalon et ton boxer.
- Bien Paulette, comme tu voudras.

Nous avons repris la route, moi le sexe à l’air, Paulette, les seins sortis. Elle masturbait mon sexe pour me faire bander, mais jamais jusqu’à éjaculer.

- Alors tu aimes bander Michel ?
- Oui mais Paulette, ça va durer combien de temps ?
- Le temps que je voudrais. Tu es à moi Michel
- Oui Paulette.
- Tu es un homme qui a besoin d’obéir et tu vas m’obéir. Quand je l’aurai décidé, je te ferai jouir, mais pas maintenant. Tu vois, mes tétons sont dressés.
- Oui Paulette, tu es belle.
- Vous êtes belle Paulette.
- Ah oui, vous êtes belles Paulette. Vous avez des seins superbes.
- Bien, tu es un gentil. Tu sais que je baigne dans ton sperme ? ma vulve est trempée.
Paulette astiquait mon sexe de temps en temps quand je débandais pour lui redonner de la vigueur. Elle se roulait les tétons et gémissait mais dès qu’elle sentait mon plaisir arriver, elle stoppait tout.

- Paulette, il faudrait qu’on s’arrête, j’ai envie de faire pipi.
- D’accord, mais gare toi vraiment à l’écart.
- D’accord Paulette.

Je me demandais bien ce que Paulette allait me faire faire