Blablacar 1

- Par l'auteur HDS Mimi68 -
Récit érotique écrit par Mimi68 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Blablacar 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Blablacar 1
Fin d’un séjour en Bretagne. Je rentre chez moi en Alsace.
Voyage long quand on est seul dans une voiture.
Je décide de proposer un voyage en Blablacar. Je programme mon voyage. J’accepte une seule personne pour m’accompagner.
Quinze minutes après ma proposition de voyage, une femme s’inscrit. Je l’accepte.
Un SMS arrive, est-ce que je peux vous avoir au téléphone ?
Je réponds, oui bien sûr.

Mon téléphone sonne.

- Bonjour, je vous appelle pour le Blablacar.
- Bonjour.
- Voilà, je m’appelle Paulette et j’ai 80 ans. Est-ce que ça vous gêne ?
- Non, pas du tout.
- Je suis en forme pour mon âge et je m’adapte pour ne pas déranger.
- Pas de soucis, je pars vendredi matin à 7 heures
- D’accord. Et pour déjeuner ?
- J’ai l’habitude de m’arrêter dans un self d’autoroute pour manger chaud.
- D’accord. A vendredi alors ?
- C‘est ça à vendredi.

Vendredi matin 7 heures.

Je gare ma voiture, à l’endroit indiqué.
Une voiture arrive à côté de ma voiture. Deux femmes en descendent

- Bonjour, je suis la fille de Paulette, je voulais vous voir avant votre voyage.
- Je comprends, vous craignez pour elle ?
- Oui j’avoue, elle ne veut jamais prendre le train, elle préfère voyager comme ça.
- Ne vous inquiétez pas, je prendrai soin de Paulette.
- Merci
- Bonjour Paulette, vous me donnez votre valise ?
- Oui merci. Bonjour Michel.
- On ne dirait pas que vous avez 80 ans.
- Merci c’est gentil, mais je suis quand même un peu rouillée.
- C’est un peu normal non ? mais vous êtes charmante.
- Oh merci.
- Bon aurevoir ma chérie.
- Aurevoir maman, tu me dis quand tu arrives ce soir ?
- Mais oui, t’inquiète, tu vois Michel a l’air gentil.
- Oui, mais attention quand même.
- Mais oui.

Michel et Paulette monte dans la voiture de Michel et partent pour ce voyage.

Au bout d’une heure de voyage, Paulette me demande si ça me dérange qu’elle fasse un petit dodo.

- Faites comme vous le sentez Paulette.
- Merci, je vais défaire ma polaire je serai plus à l’aise.
- Faites Paulette, faites.

Paulette baisse ainsi le zip de sa polaire ma laissant voir un corsage blanc derrière lequel je devine un soutien-gorge en dentelle blanche.
J’ai beau me dire que cette femme a 80 ans, je la trouve très belle voir sexy.
Quelques minutes plus tard, ma passagère semble partie dans un sommeil réparateur. Sa tête tournée vers moi, je vois qu’elle respire calmement, la bouche entrouverte.
Je vois sa poitrine monter et descendre au rythme de sa respiration.
Je vois aussi ses mains entre ses cuisses, je me dis qu’elle doit maintenir ses mains au chaud.
Pour son confort, je monte la température de 2 degrés.
Je trouve ma passagère attendrissante.
Quelques minutes plus tard, j’entends de petits gémissements, je la regarde et je vois bouche plus ouverte avec des mouvements de langues à l’intérieur, et surtout je vois son bassin bouger sur le siège.
Je me dis que Paulette doit faire de beau rêve.
Je sens aussi que je suis gagné par un début d’érection.
(non, non, écoute, cette femme pourrait être ma mère).

Après une heure de sieste quelque peu agitée, Paulette ouvre les yeux.

- Ah ça va mieux !
- Bien dormie ?
- Oh oui, très bien.
- Vous voulez qu’on s’arrête pour boire un café ?
- Ah oui si vous voulez, j’irais bien aux toilettes.
- Ok, il y a une aire dans 10 km.

Je vois que Paulette défait deux boutons du haut de son corsage, laissant entrevoir la naissance de ses seins.

- Qu’est-ce qu’on est bien dans votre voiture Michel.
- Ah oui ça va.
- Michel ?
- Oui ?
- Ça vous embête si on se tutoie ?
- Ah non pas du tout. C’est vous qui décidez.
- Alors on se dit « Tu ».
- D’accord, comme tu veux Paulette.
- Je te trouve vraiment sympa.
- Ah merci, c’est gentil, la réciproque est vraie.
- Merci.
- Paulette, je peux te poser une question ?
- Oui bien sûr.
- Tu es seule dans la vie ?
- Oui, je suis veuve.
- Ah je suis désolé.
- Mais non, ça fait 11 ans maintenant.
- Ton mari était malade ?
- Non, il a fait une crise cardiaque 6 ans après sa retraite. Au début ça a été très dur. Je me suis retrouvée toute seule dans notre maison, et surtout le soir, quand je me couchais, je ne sentais plus sa chaleur contre moi. C’était très dur tu sais.
- Je comprends. Et plus tard, tu n’as pas cherché à refaire ta vie comme on dit ?
- Disons, que je n’ai pas rencontré un homme qui pouvait remplacer mon mari.
- Oui, je te comprends. Je compatie.
- Pourquoi me pose tu cette question ?
- Je me disais qu’une femme comme toi aurait trouvé facilement un homme, tu es quand même bien faite et tu es agréable.
- Merci mais j’ai 80 ans.
- L’âge n’a rien à voir, ce qui compte c’est à l’intérieur.
- Quand même, tu te verrais au lit avec une femme de mon âge ?
- Une femme de ton âge comme toi, oui, je pense.
- Tu sais habillée c’est une chose, nue, c’est autre chose.
- Tu n’aimes plus ton corps ?
- Ben tu sais, j’ai des rides, mes fesses s’affaissent maintenant. Il y a que mes seins qui sont encore pas mal.
- Eh bien, c’est bien. Je trouve que beaucoup de femmes de ton âge aimeraient te ressembler.
- Merci Michel, tu vraiment gentil.

Nous nous arrêtons sur l’air d’autoroute pour boire un café. Pendant que je m’occupe des cafés, Paulette va aux toilettes.
Quand elle revient, on s’assoit à une table pour être plus confortable. Paulette enlève sa Polaire et je m’aperçois que son soutien-gorge a disparu.
J’essaye de ne pas me fixer sur ses mamelons que je devine par transparence.
On remonte en voiture.

- Michel ça ne te gêne pas que je sois sans soutien-gorge ?
- Mais non, tu fais comme tu veux.
- Je préfère les avoir en liberté, c’est plus confortable, et je vois que tu es un homme correct.
- Merci pour ta confiance. Cela dit je te trouve très sexy comme ça.
- Ça fait longtemps qu’on ne m’a pas dit ça.
- C’est sincère.
- Merci. Ça me fait tout drôle
- Quoi donc ?
- Notre échange, j’ai l’impression qu’on se connait depuis des années. On a envie de se confier à toi. C’est fou.
- Oui je sais. Je suis un gentil.
- Un gentil, oui, mais qui ne laisse pas indifférent.
- Comment ça ?
- Michel, tu pourrais t’arrêter à la prochaine petite aire ?
- Euh, oui, mais on vient de quitter une grande aire.
- S’il te plait.
- D’accord. Il y en une dans 5 km.
- Merci

En conduisant, je ne faisais pas attention à ce que faisait Paulette.
En fait elle déboutonnait doucement son corsage mais en le gardant croisé.

- Gare-toi à l’écart Michel.
- D’accord.
- Voilà.
- Michel, regarde-moi.

J’obéis en tournant la tête. Paulette avait ouvert son corsage, me présentant sa poitrine au tétons tendus.

- Mais Paulette, qu’est-ce que tu fais ?
- Donne-moi ton avis. Comment tu trouves mes seins ?
- Mais Paulette, je ne sais pas, tu n’es pas obligée de te montrer.
- Ça te gêne ?
- Non, mais je ne veux pas te juger.
- Je ne te demande pas ça, je veux juste savoir.
- Ils sont très beaux, ils ont l’air fermes.
- Touche
- Quoi ?
- Touche-les, touche mes seins.
- Mais.
- Tu as peur d’une vieille ?
- Mais non.
- Alors, touche-les.

J’avançais ma main vers son sein gauche, le sein de l’amour. Je le caressais. Il était chaud, doux et ferme. Paulette fermait les yeux, comme pour déguster ce moment.

- Si tu savais comme c’est bon de sentir la main d’un homme sur mon sein. Masse le plus fort s’il te plait.
- Oui Paulette, comme ça ?
- Oh oui parfait, continue.

Je roulais son téton entre deux de mes doigts. Paulette avait sa tête contre l’appui tête. Offrant sa poitrine à mes mains. Elle gémissait comme pendant sa sieste.

- Tète moi Michel. J’en ai trop envie.

Je me penchais pour sucer son téton gauche puis pour le téter.

- Oh Michel, qu’est-ce que c’est bon. Je mouille ma culotte. Continue, comme ça oui.

Paulette me tenait la nuque comme si elle allaitait un bébé. Elle poussa même un petit cri de jouissance.

- Merci Michel.
- De rien. On peut repartir ?
- Oui, merci. Michel ?
- Oui
- Ça te gêne si je garde mes seins à l’air ?
- Non, mais tiens toi prête si jamais quelqu’un est trop curieux.
- Oui, t’inquiète.

Nous sommes repartis, Paulette, les seins sortis. Je voyais que de temps en temps elle se roulait ses tétons. Et moi je bandais discrètement.

Les avis des lecteurs

J'ai moins de chance; je n'ai jamais eu de passagère comme çà avec Blablacar ...



Texte coquin : Blablacar 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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