Christine 5 - histoire érotique

Christine 5

Pendant le trajet, Christine sent qu’elle devient une autre femme. Elle veut plaire, séduire, se laisser faire. Avant de partir du magasin, elle a acheté un rouge à lèvres. Elle s’est maquillée les lèvres avant de démarrer.
Quand elle croise son visage dans le rétroviseur, elle se trouve très belle.

Quand j’arrive à la maison, je vois Michel dans la cuisine en train de préparer le repas.

- Coucou, je suis de retour.
- Oh Christine, mais tu es magnifique
- Merci Michel, mais je me sens un peu olé olé.
- Mais qu’est-ce que tu racontes. Tu es resplendissante au contraire.
- Attends, je n’ai pas enlevé la veste.

Christine ôte sa veste, découvrant ainsi son corsage transparent qui laisse deviner les pointes de ses petits seins.

- Tu es magnifique.
- Merci mon bébé. Je te plais ?
- Si tu me plais ? mais bien sûr, je serai vraiment difficile.

Michel s’approche de Christine, lui prend la main et la fait tourner sur elle-même. Il découvre cette femme épanouie, heureuse de séduire et de plaire. Il la prend dans ses bras pour l’embrasser fougueusement. Christine s’abandonne dans les bras de Michel. Elle goute avec plaisir cette langue qui fouille sa bouche. Elle sent son intimité inondée de plaisir.

- Oh mon bébé, j’ai tellement envie que tu me fasses l’amour. J’ai envie de ton sexe, dans ma bouche, dans mon vagin.
- Je t’avais prévenue que tu deviendrais une autre femme avec moi. Tu as envie de plaisir, d’être aimée, d’être désirée, et crois moi je te désire plus que tout.
- Merci mon chéri.

Christine s’agenouilla devant Michel et baissa son short. Elle saisit ce sexe bandé pour le branler et commença à lécher ce gland dont elle rêvait depuis qu’elle avait quitté la maison ce matin. Elle était accroupie, les cuisses écartées. Son string était trempé. Elle pompait ce sexe qui lui remplissait la bouche. Michel lui caressait les cheveux mais sans la contraindre. Il la laissait faire à sa guise.
Il sentait que Christine s’enfonçait son sexe toujours plus loin jusqu’à avoir des hauts le cœur lorsque ce pénis buttait contre sa gorge. Elle bavait sur le sexe de Michel.
Jamais elle n’avait fait ça, mais elle en avait terriblement envie.
Michel était aux anges et gémissait de bonheur.
Sentant qu’il n’allait pas résister longtemps, il se dégagea doucement de la bouche de Christine.

- Christine, vient sur le canapé.
- Oui mon chéri.

Il fit s’allonger Christine sur le dos et plongea sa bouche entre ses cuisses. Il commença à lécher le string trempé de cyprine.

- Oh mon bébé, c’est si bon de te sentir là.
- Ton sexe est trempé ma belle.
- Enlève mon string, bouffe-moi la chatte
- Hummm, oui.

Le string enlevé, Michel repris cuni sur la vulve de Christine qui commençait à gémir. Son bassin ondulait. Elle voulait offrir son vagin à son jeune amant. Elle sentait la langue qui fouillait son antre. Elle sentait son clitoris ultra-sensible qui lui faisait perdre pieds. Elle sentait un orgasme qui la transperçait. Elle poussait des cris en se cambrant sur le canapé, offrant sa vulve à la bouche de son amant qui se délectait de son jus d’amour. Elle appuyait sur la tête de Michel pour la plaquer sur son sexe et poussait un dernier cri rauque qui venait de ses entrailles. Jamais elle n’avait vécu un tel flot de jouissance.

Elle vit Michel se relevé et avancer entre ses cuisses, le sexe dressé. Ce sexe long et large, elle le voulait en elle.

- Vient Michel, prends-moi, fais-moi crier, je n’en peux plus.
- Je viens ma belle, tu vas recevoir mon sexe en toi.

Michel frotta son gland entre les lèvres trempées. La cyprine sortait du vagin sans arrêt. Il présenta son gland à l’entrée du vagin de Christine et poussa doucement. Le vagin s’ouvrit sous la pression. Michel sentit les parois vaginales envelopper son sexe. Michel commença son va et viens dans le sexe de Christine, ou plutôt dans le sexe de la mère de son pote. Cette femme de 45 ans le désirait, elle s’offrait à lui.
Michel commença à prendre Christine avec vigueur. Il baisait cette femme encore habillée qui n’avait pas eu le temps d’ôter ses vêtements, tellement pressée de jouir sous l’effet de ce sexe de jeune homme.
Elle criait de plus en plus fort.

- Oh mon bébé, vas-y, prends moi fort.
- Oui ma chérie, je vais te faire crier de plaisir.
- Ouiiiii, va bien profond, je te veux. Fais-moi jouir.

Christine avait refermé ses jambes sur les reins de Michel. Elle le voulait tout entier en elle. Elle sentait ce sexe butter sur son col. Elle l’attirait en elle en lui tenant les fesses.

- Vas-y bébé, force-moi. Ouvre mon antre.

Michel, dans un dernier effort, força le col de Christine pour répandre sa semence au plus profond de sa maitresse en poussant un cri de bête sauvage. En écho, il entendit un bruit de bête blessée. Christine avait eu un dernier orgasme encore plus puissant que les autres. Elle n’aurait jamais espéré connaitre ça.
Elle connaissait l’extase, l’abandon de soi, elle sentait que sa vie sexuelle ne faisait que commencer.