Après l'effort, le réconfort...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Après l'effort, le réconfort...
Après une journée à fondre du bois je fus invité à dîner chez le couple d’amis, Corinne et Charles. Alors que ce dernier préparer l’apéro j’en profitais pour m’absenter quelques instants, le temps de me rendre à la salle d’eau pour laver mes mains.
À peine avoir franchis la porte et éclairer la pièce, mon regard tomba un magnifique ensemble, guêpière, bas fumé, porte-jarretelles qu‘elle venait de se séparer après sa journée de boulot avant s‘habiller plus décontracter pour venir nous rejoindre.
Du genre fétichiste, je me mis à caresser la texture mais surtout à humer la culotte.
Pas le temps de m’attarder dessus que je surpris le reflet de Corinne sur le miroir au-dessus du lavabo.
-Si ta femme apprendrait que tu lèches les culottes sales, je pense sans me tromper qu’elle ne serait pas contente. N’est-ce pas ?
-Je compte sur toi pour garder ce secret. Répondis-je le plus simplement possible.
Tout de même gêné, nous rejoignîmes Charles impatient dans son fauteuil de pouvoir boire l’apéro. Je fus frappé quand la gentille Corinne exposa la mésaventure dont elle avait assister, tout en posant la main sur ma braguette.
-Regarde mon chéri, comme il aime cela le cochon, ce faire tripoter, sa queue commence à être ferme.
-Deux solutions viennent à toi, mon bébé, soit tu lui dit de quitter la maison ou alors tu t’occupes de sa queue.
Ses doigts s’activaient déjà sur la fermeture de ma braguette. Elle avait choisi la seconde solution. Une fois la bite à l’air, Charles vint me rejoindre sur le divan.
-Tu veux que je te fasse une confidence, me fit-il en empoignant ma queue.
Sans attendre ma réponse, il ajouta : -ça fait longtemps que moi et Corinne attendions cet instant. N’est-ce pas mon bébé ?
-Et comment ! Lâcha-t-elle, on se soulageant de son polo, puis fit tomber sa jupe. Elle ne portait rien en-dessous. Ses odeurs intimes avaient envahi mes narines. La queue en pleine érection, je m’agenouillais devant son sexe, laissant Charles orphelin. Son clitoris pointait parmi les poils de son pubis peu fourni. Je lui avait fait écarter les cuisses. Sa fente rose était gorgée d’une mouille épaisse. Elle ressemblait à un abricot juteux, je me penchais pour la lécher. Tout en me regardant le mari, j’enfonçais ma langue dans son con, avalant les jets aigrelets de mouille qu’elle m’envoyait dans la bouche. La saveur de sa chatte était renforcée par les relents de pisse et de sueur dans lesquels son sexe avait mariné toute la journée.
Ce fut tout nu, que son mari s’approcha de nous. Pendant un court moment, il regarda sa femme qui avait les yeux fermés, prise qu’elle était dans son plaisir, puis son regard se porta sur ma langue qui faisait des va-et-vient dans le vagin de Corinne.
Dans les secondes qui suivirent, tout s’accéléra, Charles s’était penché et, au moment où sa femme ouvrait la bouche pour laisser sortir sa jouissance, il la força à se courber assez pour lui enfoncer sa queue entièrement dedans pour être sucé.
-Haaaaaa……uhmmmmmm, m…mais, chéri je, je ….
-Chuttt… mon amour, continue de me sucer, pendant que je regarde comment tu te fais sucer par Alain.
Elle avait les yeux ouverts et faisait des va-et-vient entre moi et son mari. Je ne m’attendais pas à cela quand j’avais passer le pas de la porte d’entrée ce matin là. Mais je continuais de la lécher tendrement.
-Je vois que tu aimes la bouche de notre ami. Tu vois, j’avais raison, tu allais aimer, n’est-ce pas mon bébé ?
-Donc, moi aussi, j’avais raison, tu aimais son regard sur mon corps, haaaaaa, oui, c’est bon Alain.
-Oui mon bébé, lève-toi à présent Alain, j’ai envie de fourrer ma femme.
Je quittais à regret la chatte, mais ce n’était que partie remise, son mari l’avait pénétrée, elle s’était mise à genoux et il la prenait en levrette en la tenant par les fesses. Et il larguait tout son plaisir dedans, il était super excité.
-Montre à notre ami, comment tu sais sucer.
Je reconnais qu’elle savait y faire, une parfaite experte en la matière. Tout en me faisant sucer je regardais son mari l’asséner de coup de boutoir. Je rêvais, non, c’était la réalité !
-Ho mon bébé, je vais jouir, humm, prends ça, je t’aimmmmmmmmmmmmme.
Après avoir repris son souffle, et alors que Corinne continuait à me donner du plaisir avec sa bouches, Charles lâcha : -Viens, Corinne, on va te prendre en sandwich, lui et moi, je sais que c’est ton fantasme.
Puis s’adressant à moi : -Tu la prends par la chatte et moi par le cul.
Alors que je prenais place sur le divan, Charles en profita de ce moment-là pour lui glisser son sexe dans la chatte et faire des allers-retours. Puis il se dégagea de sa femme pour la laisser s’accroupir sur ma bite qui la pénétra lentement.
Humm ! quand j’y repense, je bande.
Charles passa derrière et avec un peu de difficultés, il fit rentrer son gland dans ses fesses et, avec un peu de mouille récupérée sur sa chatte, il glissa tout seul dedans entièrement.
Je m’enfonçai par à-coups dans son vagin et ensuite je sentis la queue de son mari à travers la fine paroi. On la baisait en sandwich et elle aimait cela.
-Putain que c’est bon, hummm, chéri ! Ouiii ouiii encore plus vite, haaaa encore là non oui, hooooooooo, je suis folle, ouuuuiiiiiiii.
Moi je n’en pouvais plus de l’entendre dire tout cela et Charles remarqué que je transpirais de plaisir et, quand je sentis qu’il déchargeait son sperme dans le cul de sa femme, moi je lâchais le mien dans sa chatte. J’avais ses deux seins dans les paumes de mes mains, ses tétons étaient érigés et Corinne avait joui à haute voix.
-Humm, putain quel pied… trop bon ! trop bon !
Nous avons renouvelé ce trio à plusieurs reprises les semaines suivantes, et cela jusqu’à je trouve un remplaçant à notre débauche.
À peine avoir franchis la porte et éclairer la pièce, mon regard tomba un magnifique ensemble, guêpière, bas fumé, porte-jarretelles qu‘elle venait de se séparer après sa journée de boulot avant s‘habiller plus décontracter pour venir nous rejoindre.
Du genre fétichiste, je me mis à caresser la texture mais surtout à humer la culotte.
Pas le temps de m’attarder dessus que je surpris le reflet de Corinne sur le miroir au-dessus du lavabo.
-Si ta femme apprendrait que tu lèches les culottes sales, je pense sans me tromper qu’elle ne serait pas contente. N’est-ce pas ?
-Je compte sur toi pour garder ce secret. Répondis-je le plus simplement possible.
Tout de même gêné, nous rejoignîmes Charles impatient dans son fauteuil de pouvoir boire l’apéro. Je fus frappé quand la gentille Corinne exposa la mésaventure dont elle avait assister, tout en posant la main sur ma braguette.
-Regarde mon chéri, comme il aime cela le cochon, ce faire tripoter, sa queue commence à être ferme.
-Deux solutions viennent à toi, mon bébé, soit tu lui dit de quitter la maison ou alors tu t’occupes de sa queue.
Ses doigts s’activaient déjà sur la fermeture de ma braguette. Elle avait choisi la seconde solution. Une fois la bite à l’air, Charles vint me rejoindre sur le divan.
-Tu veux que je te fasse une confidence, me fit-il en empoignant ma queue.
Sans attendre ma réponse, il ajouta : -ça fait longtemps que moi et Corinne attendions cet instant. N’est-ce pas mon bébé ?
-Et comment ! Lâcha-t-elle, on se soulageant de son polo, puis fit tomber sa jupe. Elle ne portait rien en-dessous. Ses odeurs intimes avaient envahi mes narines. La queue en pleine érection, je m’agenouillais devant son sexe, laissant Charles orphelin. Son clitoris pointait parmi les poils de son pubis peu fourni. Je lui avait fait écarter les cuisses. Sa fente rose était gorgée d’une mouille épaisse. Elle ressemblait à un abricot juteux, je me penchais pour la lécher. Tout en me regardant le mari, j’enfonçais ma langue dans son con, avalant les jets aigrelets de mouille qu’elle m’envoyait dans la bouche. La saveur de sa chatte était renforcée par les relents de pisse et de sueur dans lesquels son sexe avait mariné toute la journée.
Ce fut tout nu, que son mari s’approcha de nous. Pendant un court moment, il regarda sa femme qui avait les yeux fermés, prise qu’elle était dans son plaisir, puis son regard se porta sur ma langue qui faisait des va-et-vient dans le vagin de Corinne.
Dans les secondes qui suivirent, tout s’accéléra, Charles s’était penché et, au moment où sa femme ouvrait la bouche pour laisser sortir sa jouissance, il la força à se courber assez pour lui enfoncer sa queue entièrement dedans pour être sucé.
-Haaaaaa……uhmmmmmm, m…mais, chéri je, je ….
-Chuttt… mon amour, continue de me sucer, pendant que je regarde comment tu te fais sucer par Alain.
Elle avait les yeux ouverts et faisait des va-et-vient entre moi et son mari. Je ne m’attendais pas à cela quand j’avais passer le pas de la porte d’entrée ce matin là. Mais je continuais de la lécher tendrement.
-Je vois que tu aimes la bouche de notre ami. Tu vois, j’avais raison, tu allais aimer, n’est-ce pas mon bébé ?
-Donc, moi aussi, j’avais raison, tu aimais son regard sur mon corps, haaaaaa, oui, c’est bon Alain.
-Oui mon bébé, lève-toi à présent Alain, j’ai envie de fourrer ma femme.
Je quittais à regret la chatte, mais ce n’était que partie remise, son mari l’avait pénétrée, elle s’était mise à genoux et il la prenait en levrette en la tenant par les fesses. Et il larguait tout son plaisir dedans, il était super excité.
-Montre à notre ami, comment tu sais sucer.
Je reconnais qu’elle savait y faire, une parfaite experte en la matière. Tout en me faisant sucer je regardais son mari l’asséner de coup de boutoir. Je rêvais, non, c’était la réalité !
-Ho mon bébé, je vais jouir, humm, prends ça, je t’aimmmmmmmmmmmmme.
Après avoir repris son souffle, et alors que Corinne continuait à me donner du plaisir avec sa bouches, Charles lâcha : -Viens, Corinne, on va te prendre en sandwich, lui et moi, je sais que c’est ton fantasme.
Puis s’adressant à moi : -Tu la prends par la chatte et moi par le cul.
Alors que je prenais place sur le divan, Charles en profita de ce moment-là pour lui glisser son sexe dans la chatte et faire des allers-retours. Puis il se dégagea de sa femme pour la laisser s’accroupir sur ma bite qui la pénétra lentement.
Humm ! quand j’y repense, je bande.
Charles passa derrière et avec un peu de difficultés, il fit rentrer son gland dans ses fesses et, avec un peu de mouille récupérée sur sa chatte, il glissa tout seul dedans entièrement.
Je m’enfonçai par à-coups dans son vagin et ensuite je sentis la queue de son mari à travers la fine paroi. On la baisait en sandwich et elle aimait cela.
-Putain que c’est bon, hummm, chéri ! Ouiii ouiii encore plus vite, haaaa encore là non oui, hooooooooo, je suis folle, ouuuuiiiiiiii.
Moi je n’en pouvais plus de l’entendre dire tout cela et Charles remarqué que je transpirais de plaisir et, quand je sentis qu’il déchargeait son sperme dans le cul de sa femme, moi je lâchais le mien dans sa chatte. J’avais ses deux seins dans les paumes de mes mains, ses tétons étaient érigés et Corinne avait joui à haute voix.
-Humm, putain quel pied… trop bon ! trop bon !
Nous avons renouvelé ce trio à plusieurs reprises les semaines suivantes, et cela jusqu’à je trouve un remplaçant à notre débauche.
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