Après le bureau - histoire érotique

Je travaille dans un bureau isolé avec vue directe sur celui de femmes aussi belles les unes que les autres. Je crois connaitre leurs gouts sur le bout des doigts ,il n'y a qu'a les écouter et tendre l'oreille. Je sais qu'une telle n'aime pas baiser le matin, que telle autre se masturbe souvent qu'une autre est bisexuelle et que la dernière aime beaucoup la sodomie. Mais de moi, aucune des filles ne connait mes gouts. Je ne parle pas de ces choses comme ça. A force de les entendre raconter leurs exploits j'en viens à penser que je ne risque pas grand chose à les tester les une après la autres. A condition que cela ne soit pas prit pour du harcellement sexuel.
J'attends un jour la sortie du bureau et propose à la première qui sort, Huguette de venir prendre un verre avec moi. Huguette est une jolie femme bien foutue dune trentaine d'années, c''est elle qui n'aime pas baiser le matin. Au bar nous parlons de diverses choses. Mais elle devine fort bien que mon invitation n'est pas gratuite, et c'est pour ça qu'elle commence à parler sexe. Elle me demande si j'ai une liaison. ma réponse négative semble la rassurer. nous trouvons une stalle au bar et nous nous y installons pour être plus tranquilles. Son regard me donne à penser que si je lui propose de faire l'amour, elle ne sera pas opposée. Je commence mes travaux d'approche et à ma grande surprise, moi qui comptais passer plusieurs jours à la convaincre, elle me demande où je voudrais la retrouver pour faire plus ample connaissance. Je lui propose d'aller chez moi et elle dit oui aussitôt. Je 'enlace et l'embrasse sur la bouche d'un long baiser profond au quel elle répond.
Arrivée dans mon apart, elle se colle à moi pour recommencer un baiser . je ne sais que penser de cette femme désireuse de brusquer es choses, mais puisqu'elle veut bien se faire tringler, pourquoi pas maintenant. Pendant que nous échangeons un baiser, je lui ouvre sa veste et pesse une mai dessous pour chercher un sein. Ce que je trouve est très troublant, Elle ne porte pas de soutif Et j'ai un accès rapide vers sa poitrine, en ouvrant le chemisier en dentelle. Je caresse un sein qui durcit et lui fait tomber la veste et le chemisier. Elle est torse nu et ne cherche pas à fuir quand je lui défait la fermeture éclair de sa jupe qui tombe. Elle est nue, mis à par ses bas. Très excitante elle commence à me déshabiller. Je bande comme un cerf et elle prend ma bite dans sa main et commence à ma branler. Elle sait le faire presque aussi bien que moi. Je ne reste pas inactif ma main droite va entre ses jambes qu'elle ouvre pour chercher son bouton d'amour, que je caresse lentement pour lui donner plus de plaisir. Nous faisons tant et si bien que nous jouissons ensemble de nos masturbations.
Ce n'est pas suffisant et pour elle et pour moi. Nous allons nous coucher et nous nous caressons. Elle aime quand je lui suce les seins et qu'avec les mains je fouille entre ses fesses, jusqu'à trouver son petit trou on j'insère un doigt. Elle me fait bander à force de me caresser les couilles. Mais je ne veux pas baiser encore. Je pose ma tête sur le haut des jambes. Elle comprend et écarte les cuisses pour que je lui suce le con. Avec ses mains, elle me dirige pour être sucée comme elle le veut. Je sens son orgasme, j'arrête de la sucer tout le temps de la jouissance, et reprends aussitôt, pour qu'elle jouisse encore par ma langue. Après cette seconde ,jouissance elle veut autre chose de plus profond. Elle est toujours sur le dos, les jambes grandes ouvertes, con bien en vue, prête à se faire baiser. Je ne la déçois pas, je me mets sur elle, mes jambes entre les siennes, mes bras me tiennent un peu relevé, je l'embrasse profondément et elle me dit que ma langue a le gout de son con. Enfin je pose ma boite sur son con et le pénètre lentement. Je sens la chaleur de son vagin autour de ma bite: c'est toujours très agréable cette sensation de sentir sa pine entouré d'un con. Nous nous baisons pendant un moment. Au moment de jouir, elle accélère la cadence et je sens bien autour de ma bite les spasmes de son orgasme. Ceux sont ses spasmes qui me fond gicler en elle tout mon sperme.Nous nous reposons un moment et comme je bande encore, elle demande de la lui mettre au cul: elle aime cette intrusion dans son corps. Elle est en levrette et écarte avec ses mains ses fesses et guide ma bite vers son petit trou. je pensais y pénétrer lentement,mais d'un coup de rein en arrière, elle se fait enculer et gémit. Je suis le point de partir quand elle sursaute en jouissant.. Nous tombons sur le lit complètement vidés. Nous nous disons adieu car elle sait que je vais m'intéresser aux autre femmes du bureau.
Le lendemain je prend de l'intérêt pour celle qui dit qu'elle se masturbe souvent. Le même scénario se reproduit, d'abord au bar et ensuite chez moi. A croire que les femmes se sont parlé pendant la journée.
Odette est bisexuelle, c'est elle qui l'a dit. Nous parlons donc de ses préférences en amour. Elle avoue franchement qu'elle aime faire l'amour avec un homme et ne autre femme. Je n'ai pas d'autres femmes qu'elle sous la main. Qu'à cela ne tienne. Elle vit avec une amie/amante et elle lui demande de venir. En attendant nous commençons à nous amuser ensemble. Je commence à lui sucer le con quand quelqu'un sonne à la porte. C'est Odette, déjà nue qui va ouvrir à Lucie, son amie. Devant moi elles s'embrassent mais Lucie me voyant vient m'embrasser sur la bouche et me prend la bite en la serrant très fort, comme si elle allait partir. J'ai affaire ce soir à deux filles bisexuelles, c'est la première fois que ça m'arrive.
Mais tant Odette que Lucie, elles savent comment faire. Je les suis dans leur façons. D'abord Lucie se propose pour baiser avec moi la première. On ne se connait que depuis quelques instants. Elle se met en levrette, comme ça elle a la bouche libre pour sucer Odette tout en baisant. Je la pénètre juste après l'avoir sucé. Surexcitée elle m'offre son con et profère des insanités;: je suis une pute, j'aime les filles, j'aime les hommes, j'aime me branler, je suis une fille de trottoir. Mais quand elle l'a dans le con elle se tait et demande à Odette de venir pour qu'elle la suce. Odette ne se fait pas prier ni répéter deux fois la même chose. Elle se positionne juste sous la bouche de Lucie qui passe sa langue dans toute la ;longueur du con, depuis le cul jusqu'au clitoris. C'est Odette qui jouit la première devant Lucie et moi. Maintenant c'est Odette qui dirige Lucie pour baiser entre elles. Elle se branlent un peu puis, font 69 sur 69, sans trop se préoccuper de moi. Je les regarde et bande je n'en peux plus. Je leur demande de s'arrêter pour me faire jouir. La réponse est tout simplement, branles toi. C'est ce que je fais en les regardant. Enfin elles cessent leurs amours pour venir me demander de la faire jouir toutes les deux: couches toi on s'occupe de tout. Je me couche dons et je reçois enfin le con d'Odette qui s'enfile toute seule sur son cul et Lucie qui s'assoit sur ma bouche. Les deux filles s'embrassent pendant nos accouplements et jouissent presque ensemble. Ma jouissance n'est pas venue. Alors les deux fille viennent se partager mon chibre et le suce jusqu'au mol ment où j'éjacule: elle se disputent pour se partager mon sperme. Mais la nuit d'amour est terminé. Nous nous reverront demain au bureau.
.Le lendemain se passe comme les jours suivant: je m'intéresse à celle qui aime se faire enculer
Comme la veille, je pense mais à juste titre qu'elles se sont données le mot.
Chez moi je trouve un fille très bien faite, la plus "baisable" de toutes. Nus nous nous banlons un peu, je lui propose un cunnilingus, elle accepte et s'ouvre devant ma bouche, Son con a aussi très bon gout. Elle me demande de prendre ma bite dans sa bouche, elle aime sucer les hommes et avaler leur jus. Nous faisons un beau 69. Nous jouissons ensemble. Après des pelotages je bande encore et vais la baiser. Non elle veut être enculée; c'est bien meilleur que de se faire mettre dans le con. en se faisant enculer, elle peut se branler. Et c'est ainsi qu'elle se met en levrette, le cul en l'air, posée sur sa tête et les mains libres pour se masturber. Pour moi c'est encore une nouvelle expérience de sentir que des mains s'occupe de son clitoris pendant que j'encule. Elle jouit très vite et m'explique que c'est pour ça qu'elle aime se faire mettre pas le cul. Mais ensuite, après avoir récupéré elle accepte de se faire baiser. Ma bite rentre comme dans du beurre dans ce con très mouillé qui pourtant réagit favorablement à mon sexe, puisqu'elle jouit vite.
Le lendemain il me reste à baiser Marianne. Elle aime se branler parce qu'elle ne craint rien avec un godemiché, alors qu'avec un homme on ne sait jamais ce qui peut arriver. Je lui explique que la pire des choses qui puisse lui arriver est de tomber amoureuse. Marianne ne m'écoute qu'à moitie. Elle veux bien faire l'amour avec moi mais aussi avec son god. Je lui dit qu'elle fera ce qu'elle veut du moment que c'est pour jouir. Donc je la déshabille lentement avec beaucoup de tendresse en embrassant chaque pouce de peau dénudée. Elle ronronne comme une chatte que l'on caresse. Une fois nue, elle déshabille sans que je ne lui ai rie demandé. Elle aussi embrasse tout ce qui est nu. Ma bite l'intéresse beaucoup: elle n'en a pas vue souvent. Mais elle sait bien la prendre pour la branler. Comme je lui branle le con, elle s'accroche à mon cou pour se consacrer au plaisir que normalement elle se donne toute seule. Nous allons nous coucher et je peux la sucer avant d'aller plus loin. C'est elle qui me guide tout en continuant à ronronner. Elle jouit vite: il faut dire que je me suis particulièrement appliquer dans cette dernière opération. Elle m'attire sur elle et je lui rentre ma bite dans le vagin. De toutes les filles du bureau, c'est elle qui me semble la plus sensuelle. Elle se fait baiser et pose ses talons sur mes reins pour être mieux pénétrée. Cette fois je jouis avant elle. Elle me demande de lui mettre son godemiché dans le con, c'est moi qui la fait jouir. Un moment après, elle me demande de l'enculer et elle se baisera avec le god, elle n'a jamais expérimenter la double pénétration: pour elle c'est le moment de la faire. Nous jouissons ensemble.
Après l'amour, nous restons collés pendant longtemps jusqu'au moment où, je ne sais pourquoi je lui dit que je l'aime. Elle ouvre de grands yeux et m'avoue qu'elle aussi elle m'aime. Ces aveux font que nous nous mettons à baiser encore toute la nuit. Le lendemain est un dimanche et nous pouvons nous reposer. Mais le dimanche soir, elle amène ses affaires chez moi et c'est ainsi que depuis nous sommes ensemble.