Arrangement à l'amiable
Récit érotique écrit par Luc helce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Arrangement à l'amiable
_ Bonsoir Madame _ Bonsoir Luc _ Heu… Excusez-moi mais est-ce qu’on pourrait faire vite ? Il est déjà assez tard et je suis attendu.
_ Vous n’avez pas de téléphone ?
_ Heu… si, mais… _ Tu crois que ça m’amuse de finir à cette heure ci ? Les entretiens annuels ne sont une partie de plaisir pour personne. En plus, comme tu le sais, ça fait un mois que j’ai pris le poste de chef de service et je profite de ces entretiens pour mieux vous connaître individuellement. Mais excuse-moi de vouloir faire mon travail correctement !
_ Je comprend Madame, c’est juste qu’il est déjà tard et que ça m’aurait arrangé de ne pas être convoqué en dernier.
_ Ah ça, c’est de ta faute Luc ! Tu est le cas le plus épineux que j’ai a traiter et tu sais très bien pourquoi.
_ Je suis désolé mais je ne vois vraiment pas de quoi vous parlez !
_ Je pense que tu le sais très bien mais comme tu fais semblant de ne pas comprendre, je vais éclairer ta lanterne. Tu sais ce qu’il disait de toi Michel avant que je prenne son poste ?
_ Non. Mais suppose que vous allez me le dire.
_ Il t’appelait le lèche cul !
_ Que !… Qu’est-ce que c’est que ces conneries ?!
_ Il pouvait pas te sentir, c’est la vérité. Il savait très bien que sous tes petits airs de parfait petit employé se cachait un sale petit arriviste ambitieux.
_ Madame je… je suis vraiment surpris ! C’est pas possible. On avait une très bonne relation… C’était un bon boss. Avec lui on était respecté !
_ J’entends bien qu’avec moi, tu ne te sens pas respecté mais laissons ce point là de coté pour l’instant. Michel était un très bon manager qui savait se faire apprécier mais il savait aussi parfaitement cerner ses collaborateurs et crois moi qu’il t’avait particulièrement bien cerné. Avant de me laisser sa place, il m’a fait un topo sur chacun d’entre vous et laisse moi te dire qu’il n’a pas été tendre avec toi. Il m’avait prévenu que tu risquais de me poser problème. Qu’est ce que tu crois ? Il m’a tout expliqué : comment tu aimais jouer les langues de putes avec tes collègues, plus particulièrement tes collègues féminines. Je sais aussi à quel point il voyait clair dans ton jeu quand tu lui faisait de la lèche en lui rendant toutes sortes de petits services, en jouant les conseillers, en lui rapportant tout les ragots du service et en flattant chacune de ses décisions. Tu crois réellement qu’il t’as fait miroiter son poste parce qu’il t’aimais bien ? Tu n’as pas les épaules pour manager une équipe. Pour ça il ne faut pas se croire malin, il faut vraiment l’être. Les lèches-cul sont fait pour lécher des culs pas pour se le faire lécher. Il t’as berné Luc. Il n’a jamais eu l’intention de te pistonner. Il savait très bien que le poste me reviendrai. Cette décision a été prise depuis longtemps par la direction générale. Il était parfaitement au courant. Et tu sais quoi ? Il a émis un avis favorable à ma nomination. Il m’a prévenu qu’avec ma prise de poste, soit tu allais continuer à faire ton lèche cul, soit tu serais tellement déçu que je t’ai soufflé le poste que tu allais jouer les langues de putes avec moi, notamment parce que tu ne supporte pas qu’une femme soit meilleure que toi. Franchement ça m’aurait clairement arrangé que tu ne change rien et que tu me fasse de la lèche ! Mais, malheureusement pour toi, tu as choisi de jouer les langues de putes avec moi. Moi ! Ta supérieure hiérarchique directe !
_ Écoutez Madame. Je ne comprend vraiment pas ! Je vous jure que ne vous ai jamais manqué de respect. J’ai toujours été un travailleur acharné et honnête. Regardez mes états de services. Tout mes dossiers sont parfaitement à jour. Je n’ai pas hésité à assumer des taches d’un niveau supérieur au mien. Michel à du vous le dire ! Je ne compte pas mes heures. J’ai développé sans cesse mes compétences. Vous appelez ça de la lèche, moi je vois plutôt ça comme de la volonté de donner le meilleur de moi-même. Alors oui… bien sûr que j’ai été déçu de ne pas avoir votre poste. J’avais travaillé dur pour ça ! Mais je n’ai pas fait d’histoire. Vous ne pouvez pas dire que je vous ai manqué de respect. Je n’ai jamais été désagréable avec vous.
_ Encore heureux ! Tu est assez malin pour m’avoir toujours montré un visage avenant avec ton petit sourire mielleux. Néanmoins, depuis mon arrivée j’ai la preuve que tu me manque de respect. Derrière ton sourire mielleux et ton petit air entendu, je sais très bien que tu déverse ton sale petit fiel dans mon dos ! Et il est temps de te remettre à ta place ? Tu crois que je ne suis pas au courant de tes petites phrases et du petit surnom dont tu m’a affublé ?
_ Mais ! Madame ! Je… Je ne sais pas qui ?….
_ Oh ! Regardez le pauvre petit Luc, le pauvre petit innocent accusé injustement. Arrête de me prendre pour une conne, ou plutôt pour :… « Madame Connasse »! C’est bien comme ça que tu m’appelle ? … Et bien ? Tu ne répond rien ? Tu crois que tu es le seul à balancer tes collègues ? Attend… je prend mes notes… Voilà : Le lundi 3 mars, le jour même de ma prise de fonction, vers 10h , en salle de pause : « Je vais lui en donner du Madame moi ! Madame Connasse ! ». Ça m’a été rapporté par deux témoins différents. Le 17 mars : « Madame connasse, elle tortille du cul comme si elle faisait un défilé ». Et attend… J’adore celle-là, le 20 mars : « Ou là là ! Madame Connasse est en manque de bite on dirait ! Elle m’a foutu son cul sous le nez exprès pour que je le lui reluque. Elle porte des strings». Une petite question ? Ça t’es pas venu à l’idée que cette petite mise en scène était délibéré de ma part ? Tu n’a pas imaginé que quelqu’un du bureau était justement chargé de me rapporter les propos que tu ne manquerait pas de tenir ? Et j’en ai quelques autres encore ! Avec tout ce que j’ai appris en à peine un mois, j’ai de quoi te foutre à la porte !
_ Attendez ! Mais !…. Madame ! Je ne sais pas ce qu’on vous a rapporté mais ce n’est qu’un tissus de mensonge !
_ Il faut que tu arrête maintenant Luc ! Tu es en train d’aggraver ton cas en niant ce que je sais de source sûre car plusieurs personnes m’ont rapporté les mêmes propos Et je viens de t’expliquer que je t’avais piégé. D’ailleurs ce n’est pas la seule fois. Tu te souviens du jour où je suis venue en mini-jupe ? Tu veux que je te lise ce que tu as dit ce jour là ? Je suis « bandante » c’est ça ? Alors même si je suis certaine que je ne suis pas au courant de toutes tes petites phrases, le peu que j’ai appris me suffit. Et il n’y a pas que ça ! Mais pour l’instant, si tu veux avoir une chance de ne pas te faire virer, commence par reconnaître que je dis la vérité !... Alors ! J’attends ! C’est simple, soit tu reconnais m’avoir manqué de respect et tu garde ton poste, soit tu dégage !
_ Pardon… _ Qu’est-ce que tu as dis ? J’ai mal entendu !
_ Pardon Madame.
_ Tu reconnais m’avoir appelé « Madame connasse » ?
_ Oui… _ Et c’est toi qui te plaint de ne pas être respecté… Bon ! Deux choses : Premièrement si j’exige qu’on m’appelle Madame même si je ne porte pas d’alliance, c’est mon droit, tu n’as rien à dire ! J’ai parfaitement le droit d’exiger le respect de mes subalternes. Deuxièmement :que tu me trouve à ton goût et que tu me reluque les fesses, je le comprend, je sais que je suis belle. Et j’ai parfaitement le droit de tortiller du cul sous ton nez. Par contre, tes remarques salaces tu les gardes pour toi. Tu peux baver sur mon cul autant que tu veux mais tu m’a manqué de respect et ça tu va me le payer ! Alors ! Est-ce que tu as quelque chose à proposer pour régler ce litige entre nous ?
_ Je… Je sais pas… Je suis désolé Madame. Ça ne se reproduira plus.
_ Il ne manquerait plus que ça ! T’as plutôt intérêt parce qu’on est en train de régler ça à l’amiable et si tu recommence ça va être une autre histoire. Mais pour que je t’accorde mon pardon, il faut bien que je sois dédommagée pour le préjudice subi non ?
_ Si… J’imagine oui… _ Allez ! Une bonne paire de claques et on est quitte !
_ Pardon ?
_ Oui c’est exactement de ça dont il s’agit : de pardon ! Une paire de gifle et tu est pardonné. A moins que tu préfère la porte ?
_ Enfin ! Madame ! Vous ne pouvez pas faire ça ! Vous n’avez pas le droit !
_ C’est vrai ! Je n’ai pas le droit de te gifler, … pas sans ton accord... En tant que supérieure hiérarchique, j’ai juste le droit de te virer pour faute. Tu préfère quoi ?
_ C’est une blague !
_ A ton avis ? Pourquoi tu crois que j’ai décidé de te recevoir si tard, alors que les locaux sont vides. Il ne reste que la sécurité. D’ailleurs, tu sais que j’ai un petit bouton quelque part pour les appeler en cas d’urgence ? Alors ? Je te les colle ces gifles ?
_ J’y crois pas putain…. Vous voulez vraiment me gifler !
_ Oui ! J’en ai vraiment très envie ! Ça va me faire le plus grand bien de te donner ce que tu mérite. Et là on sera vraiment quitte !
_ Non… mais attendez…. D’accord, je vous ai manqué de respect mais moi ce n’était qu’en paroles. Alors que vous, vous voulez ma frapper ! C’est pas équitable !
_ Ha ha ha ! Non mais sérieux ! Tu essaye de négocier ? Tu crois que tu est en position de force ? Si tu savais le nombre de fois où j’ai eu envie de le faire ! C’est pas facile d’être une belle femme dans cet univers de mâles bestiaux. Là, j’ai une occasion de pouvoir me défouler en toute impunité et j’ai bien l’intention d’en profiter. Tu l’a bien mérité en plus ! Non ? A m’appeler « Madame connasse » dans mon dos !
_ Si… _ On est d’accord alors !
_ Heu… attendez ! Bon admettons que j’accepte… On repart à zéro tout les deux. Et on en reparle plus jamais !
_ C’est bien comme ça que je vois les choses.
_ Bon… d’accord… allez-y qu’on en finisse.
_ Bouge pas ! Attend, laisse moi le temps de me lever…. Je vais t’attraper par les cheveux pour être sûre que tu n’esquive pas. Voilà ! Comme ça ! Prêt ?
_ Ou… _ Tiens ! Ça c’est de la part de « Madame Connasse »!
_ Aie !!!
_ Mmmm c’est vrai que ça soulage ! Ha ha ha. T’est tout rouge ! Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? T’es pas content ?
_ Laissez-moi deux minutes… _ Pour quoi faire ? T’es énervé c’est ça ? T’as envie de m’en retourner une ? Maintenant qu’on est quitte, tu voudrais encore me donner une raison de te virer ? Je dois appeler la sécurité ?
_ Non… _ Félicitation ! Tu viens de sauver ton job. Tu devrais être content. Tu devrais même me remercier de t’avoir offert cette porte de sortie même si elle n’est pas très glorieuse.
_ Bon, vous avez eu ce que vous voulez, je vais m’en aller je crois... que c’est mieux...
_ L’entretien n’es pas terminé.
_ Madame, je ne suis plus trop en état de parler là tout de suite… _ Oui, je vois ça. Tu tremble de rage ! C’est dur de pas pouvoir me rendre ces gifles hein ? Sauf que c’est trop tard maintenant. Tu as accepté de les prendre comme un idiot ! Ou un lâche… Oui c’est ça plutôt : un lâche ! Fort avec les faibles, faibles avec les forts. Et je suis plus forte que toi ! Rentre toi bien ça dans le crâne ! Toi qui croyait que tu pourrais avoir ce bureau alors que c’est mon cul… mon joli petit cul qui se tortille dans ce fauteuil. Et c’est mon cul que tu va devoir lécher dorénavant ! Allez commence par me remercier et me féliciter pour avoir su si brillamment régler ce problème. Allez ! J’attends !
_ Merci Madame… _ Met-y plus de conviction ! On y croit pas ! Fais moi sentir à quel point je suis une boss géniale !
_ Vous êtes… vraiment une patronne… Je reconnais que je vous ai très mal jugé. Vous êtes faites pour ce poste, plus que moi… Je vous remercie de m’avoir permis de garder mon poste. Je vous promet de ne plus vous manquer de respect et de continuer à donner le meilleur de moi-même. Mais… pardon Madame mais, je me sens pas trop bien là… _ Luc… Vas-y ! Tu peux craquer. Je comprend… Quelques larmes ne me font pas peur. Au contraire. Ça ne me fait pas vraiment pitié car on sait tout les deux que tu as bien mérité ce qui t’arrive mais je t’avoue que de voir enfin disparaître ton petit air supérieur te rend plus sympathique. J’y vois un signe de ton acceptation de ta qualité de subalterne vis à vis de moi. Par contre maintenant Luc, Il va falloir qu’on aborde ton plus gros problème.
_ Quoi ?
_ Oui Luc… Et c’est autrement plus embêtant !
_ Vous m’aviez dit que on serait quitte !
_ Oui Luc, on est quitte pour ce qui est du litige entre nous par contre, avec le reste de l’équipe, on a un très gros problème sur les bras.
_ Je… Je comprend pas ! Quel problème ?
_ Je parle de ton comportement vis à vis de Laure, de Sylvie, de Anne et de Marion. Tu vois de quoi je parle ?
_ Je… je… écoutez je… _ Calme toi Luc ! Je comprend… C’est classique, les allusions salaces, les gestes déplacés, les regard appuyés… Tout ça c’est très humain, enfin très… masculin ! Et tant que Michel était là ça ne posait aucun problème apparent. D’autant plus que, croyant que ce poste allait te revenir, tes collègues n’ont pas osé se plaindre. Tu comprend pourquoi elles ont été tellement soulagées de me voir à ta place ? Tu peut facilement imaginer le défilé dans mon bureau à peine quelques jours après ma prise de fonction. Tu comprend qu’en tant que femme et en tant que responsable de ce service je ne peux plus fermer les yeux, d’autant plus que c’est toute la réputation de l’entreprise qui est en jeu.
_ Madame ! J’ai peut être été lourd parfois mais je vous jure que je n’ai jamais dépassé les limites de… _ Arrête Luc ! Pas à moi ! Tu veux que je te lise les déclarations de tes collègues. Peut-être que c’est « pour rire » que tu leur à demandé de te rejoindre aux toilettes pour te faire des pipes, ou encore que leur cul te faisait « lever la queue ». J’en ai encore d’autres. Je continue ? On parle de tes mains baladeuses ?
_ Non… _ La situation est très sérieuse. Tu savais que certains de leurs conjoints sont au courant ? Je serais pas étonné qu’il y en ai un qui t’attende un soir au coin de la rue. On parle de plainte, de tribunal, de condamnation et pas que pour toi ! L’entreprise est responsable du bien être de ses salariées et garante d’une ambiance saine entre ses membres. Et moi, en tant que chef de service nouvellement nommée, je suis personnellement responsable de ça. En gros, il faut que je nettoie la merde que Michel à laissé derrière lui. Et la merde en l’occurrence c’est toi ! Quand elles m’ont vu arriver, tes collègues ont compris que j’étais leur alliée. Et elles ont eu raison ! En tant que femme, j’exige le respect de mes collègues féminines. Maintenant, laisse moi t’exposer le problème. Je ne peux pas te virer si elles ne portent pas plainte mais si je ne te sanctionne pas c’est ce qu’il va se passer. Et personne n’a intérêt à ça ! Ni toi, ni moi, ni l’entreprise. Et maintenant que j’ai été mise au courant de ton comportement, je suis tenue de réagir ! Au moins aux yeux de tes collègues. Tu comprends ?
_ Oui… je crois… _ Tu as compris comment je fonctionnais, je suis adepte des arrangements à l’amiable mais je doute qu’une paire de gifles soit suffisante à calmer tes collègues et d’ailleurs, je ne peux pas le leur proposer. Il n’est pas dit qu’elles apprécie autant que moi de t’infliger un châtiment corporel. Ça m’arrangerais bien qu’elles t’en collent une paire chacune pour te punir et qu’on en reste là. On est d’accord que tu le mériterais bien non ?
_ Je… Je sais pas… _ Non ? Moi je trouve même que c’est pas cher payé !
_ Si, si, vous avez raison...
_ Je pourrais te gifler de leur part pour te punir, une paire de gifle par collègue par exemple. Ça te semble correct ?
_ Au point où on en est… _ On est d’accord. Allez ! Tend moi ton visage !
_ Attendez… Aie ! Aie !
_ Tais toi ! J’ai pas fini !
_ Aie !
_ Voilà ! Et bien ! J’ai pas trop compté mais je pense que le compte y est. La vache ! J’en ai mal aux mains mais au moins ça défoule ! Bon, alors maintenant, passons à ta sanction. Tu ne vas pas être content : j’ai rédigé ta nouvelle fiche de poste.
_ Ma nouvelle fiche de poste ?
_ Oui, c’est clairement une rétrogradation mais il faut que ce soit bien visible pour que tes collègues ne portent pas plainte.
_ Mais, je comprend plus rien là… Je croyais qu’on était quitte. Avec ….
_ Quoi ? Les baffes ?
_ Ben oui !
_ Mais non, tu n’a rien compris ! Ça c’était juste entre toi et moi.
_ Oui mais… mais… on est pas quitte alors !
_ Mais tu est complètement idiot ou quoi ? Tu as admis toi même que tu les méritais ! C’était juste pour te punir. Fallait pas me dire que tu étais d’accord.
_ Je comprend plus rien ! Vous voulez dire que je les ai prises pour rien ?
_ Tu peux le voir comme ça me m’en fous ! Et puis… tu les méritais point ! Bon, on va pas y passer la nuit ! Non, là je te parle de ta nouvelle fiche de poste pour que tes collègues voie que je t’ai sanctionné.
_ Non non non ! Attendez ! Je refuse quoi que ce soit de plus. J’en ai marre ! Vous ne pouvez pas me gifler comme ça et après me dire qu’en plus vous allez me sanctionner.
_ Bon écoute moi bien maintenant connard, tu n’est pas en position de négocier quoi que ce soit. ! Des baffes, je peux t’en coller autant que je veux ! Je te tiens par les couilles. Avec le dossier que j’ai sur toi, j’ai de quoi t ‘envoyer au tribunal et il vaut largement mieux pour toi qu’on règle ça en interne. Et puis quelques petites gifles ne sont pas grand-chose comparé à la correction que tu pourrais recevoir par les maris et les copains des filles à qui tu as manqué de respect. Maintenant comme je vois bien que tu ne comprend pas, je vais à nouveau t’expliquer : Ces gifles tu m’a bien dit que tu étais d’accord de les prendre ?
_ Oui mais… je croyais que… _ Attend ! Tu as convenu devant moi que tu les méritais !
_ Oui... peut-être mais… _ Je t’ai dit que je ne pouvais pas proposer ça a tes collègues.
_ Oui… _ Tu comprend comme moi que si je leur propose de te donner une paire de gifle chacune pour que vous soyez quitte, c’est pas possible. Non seulement, elles pourraient ne pas être d’accord mais en plus, elles risqueraient d’être choquées par le procédé. Tu comprend ça ?
_ Oui… _ Bon ! Du coup, moi quand je te propose de t’en donner quelques paires c’est juste pour te punir. C’est juste entre toi et moi. Parce que tu les mérite et que tes collègues ne peuvent pas le faire. Ça n’a rien a voir avec ta sanction, qui elle, doit être visible pour tes collègues, d’où la fiche de poste. Tu comprends : _ Oui.
_ Il faut que tu arrête de croire que chaque gifle te donne l’absolution et le droit de recommencer. C’est tout l’inverse. Une punition c’est fait pour te faire passer l’envie de recommencer. C’est bon cette fois ? Tu as bien compris ?
_ Oui.
_ Oui qui ?
_ Oui Madame.
_ Et arrête de faire cette tête ou je t’en remet deux ! Tu sais bien que tu les mérites.
_ Oui Madame… Aie ! Arrêtez putain !
_ Hé ! Sur un autre ton ! Tu viens d’admettre que tu les mérites. Tu en veux encore ?
_ Non ! Non ! … Madame !
_ Et bien tu vois ! Il suffit de le dire ! Tu est long à la détente mais ça commence à rentrer ! Bon ? Tu veux connaître ton nouveau job ?
_ Heu… Oui… Madame… _ Et bien ! Tu as perdu de ta superbe ! Toi qui essaye de ressembler à une jeune cadre dynamique avec ton sourire de faux cul. Maintenant tu as plutôt l’air d’un pauvre con pathétique ! Et ça va pas aller en s’arrangeant crois moi ? Tu connais Corinne ?
_ Corinne ?
_ La femme de ménage. Tu vas passez sous ses ordres !
_ Quoi ???
_ Rassure toi c’est temporaire. Une semaine uniquement. Le temps qu’elle te forme. Ensuite tu travailleras seul. Elle passera au quatrième étage, ils ont besoin de quelqu’un là haut.
_ Je vais pas me taper le ménage quand même ?!? Non mais vous êtes sérieuse?!!
_ Oh que si mon petit ! Pour toi c’est corvée de chiottes et tout le reste : Aspirateur, serpillière et poussière.
_ Vous pouvez pas faire ça ! Je !… Je préfère encore démissionner !
_ Mais oui vas-y... Fais donc ça ! Et demande moi une lettre de recommandation tant que tu y est. Ha ha ha !!! J’imagine la tête du service juridique quand je vais leur faire passer ton dossier. Ils aurons vite fait d’engager des poursuites pour être sûr de ne pas être tenu pour responsable de tes agissements pervers au bureau. Et crois moi qu’ils sauront convaincre tes collègues de tout balancer. Mais oui, c’est ton droit de démissionner… Par contre, réfléchis bien. Tu va être certainement la femme de ménage la mieux payée de la ville. Car, heureusement pour toi, on a pas le droit de baisser ton salaire. Et puis, tu ne fera pas que ça quand même… Je crois savoir que tu as travaillé dur pour avoir mon poste. Michel t’as délégué pas mal de choses je crois ?
_ Oui… mais… bon. A l’époque, je croyais que… qu’il me faisait confiance.
_ Tu croyais surtout que tu finirais à ma place ! Mais tu t’es fait rouler dans la farine, pauvre andouille ! Là où tu croyais le seconder dans l’espoir d’avoir sa place. Il te fourguait simplement la partie la plus rébarbative de son travail : la synthèse des indicateurs qualité, la préparation des Power Point pour les réunions de direction, la préparation du rapport mensuel d’activité… Et je suis heureuse de t’apprendre que tout ça, tu va pouvoir continuer de le faire !
_ En fait, je vais devoir faire votre boulot… _ Oh ça va ! Fait pas cette tête ! Tu l’a bien fait pour mon prédécesseur. Au moins tu feras quelque chose d’important. Et puis ! Le travail de lèche cul, tu est fait pour ça ! Je ne fais qu’utiliser tes compétences.
_ Vous êtes vraiment !!! … _ Quoi ?… Vas-y ! Exprime toi !
_ Non rien… _ Allez ! Vas-y, insulte-moi. T’en crève d’envie ça se voit ! Par contre, tu connais le tarif. Allez ! J’ai la main qui me démange.
_ Non rien… Pardon… Madame.
_ Pfff t’es pas drôle. Tant pis… Alors pour toi c’est ménage de 5h30 à 8h30. Tu feras mon bureau aussi. Tu prend ta pose à huit heure trente et à neuf heures, quand les autres salariés arrivent, je ne veux plus te voir traîner. Tu file dans ton nouveau bureau et tu y reste sauf si je te convoque.
_ Quel nouveau bureau ?
_ Oui ! Afin d’éviter les contacts avec tes collègues, tu quitte l’open space. Le local pour les produits d’entretien n’est pas très spacieux mais on peux y emménager un poste. J’ai vérifié c’est réglementaire. Tu sera entre les toilettes et la salle de pose. En collant ton oreille à la porte tu pourra toujours entendre tout les cancans. Et tu pourra tout me répéter si le cœur t’en dis. Tu finira ta journée à 13 heures. C’est pas mal ça ! Tu va avoir tes après-midi de libre en plus ! Je te confierait moi-même les taches que tu devra exécuter pour moi et tu me les remettra en main propre tout les jours avant de quitter le bureau. Qu’est-ce que t’en pense ?
_ Il faudrait que j’y réfléchisse mais je crois que j’ai pas trop le choix… _ Moi il me semble que c’est vraiment un poste taillé sur mesure pour toi. Vu que tu est nocif à l’équipe, ça te met à distance de tout le monde. Tes collègues, en constatant ta nouvelle position vont se sentir quittes et elles ne porteront pas plainte. Tout les matins, en nettoyant les chiottes, tu va apprendre l’humilité, ça te sera bénéfique. Comme tu conserve des taches importantes, tu vas pouvoir quand même te sentir utile. Par contre, fais bien attention. Ne me déçois pas ! Je pourrais tout à fait te laisser dans ce bureau sans que tu aies le droit d’en sortir et sans avoir rien à faire ? Ça se fait dans certaines entreprises pour faire craquer les gens. Tu est au courant ? Tu imagine l’enfer de sentir jour après jour que tu passe ta vie à perdre ton temps. On fait devenir des gens fous comme ça ? Tu préférerais ?
_ Je… Écoutez Madame, j’en sais rien… Là ça fait beaucoup pour moi… _ Je crois qu’en fin de compte tu me remerciera de te donner du travail et si je ne suis pas contente de toi, alors tu n’aura vraiment rien a faire que de passer ton temps dans cette petite pièce à regarder les murs et écouter tes collègues plaisanter en salle de pause. Je pense que, si tu joue à ce petit jeu, tu craqueras la premier. Et c’est toi qui finira par me supplier de te donner quelque chose à faire. Tu crois pas ?
_ Si , si, j’imagine… _ Je certaine que tu me léchera le cul finalement. Juste pour me supplier de te laisser faire mes taches ingrates pendant que je papote avec tes collègues. Pas vrai ?
_ Je… je… _ Me lécher le cul… Il est temps de retrouver le rôle pour lequel tu est taillé sur mesure. Je sais qu’il est à ton goût en plus ! Il est plutôt joli, non ? Allez tu peux le dire. Il te plaît avoue ?
_ Ou… oui Madame.
_ Attend, je me tourne, regarde… C’est juste pour toi. Comme l’autre jour tu sais, quand tu pouvais voir mon string ? Ça va ? Je suis assez cambrée ? Tu le vois bien ? C’est pas le cul de Michel hein ? Celui-là au moins tu vas certainement le lécher avec plaisir non ? Il est toujours à ton goût?
_ Hem heu… oui Madame.
_ Attend regarde… Je vais carrément baisser mon pantalon. Attend… deux secondes… Voilà… Et oui, je porte des string ! Tu a l’œil ! Ha ha ha… Je l’enlève ?
_ Je… je sais pas Madame c’est… _ Excitant ?
_ Heu oui… _ Mmmm…. Moi aussi ça m’excite ! Mais comment tu peux être sur qu’il est à ton goût si tu n’y a pas vraiment goûté ?… Regarde… Maintenant que j’ai baissé mon string... Ça c’est le cul que tu vas lécher dorénavant. Et… si j’écarte mes fesses, tu peux même voir l’endroit exact où tu vas devoir passer ta langue pour ne pas crever à petit feu au milieu des produits à chiotte. Alors ? Tu en dis quoi ?
_ Madame. Je ne comprend ce que vous faites.
_ Mais j’attends ton coup de langue, lèche cul !
_ Je… je…. Vous voulez dire ?… Pour de vrai ?
_ Mais oui espèce d’andouille ! On va pas y passer la nuit non plus ! Dépêche toi maintenant !
_ Madame je… _ Tu en a envie, je le sais, c’est dans ta nature de lèche-cul, alors vas-y ! Si tu le fais pas maintenant tu n’en aura plus l’occasion avant longtemps et crois moi que tu finira par me supplier de le faire. Juste pour avoir un peu de travail. Allez Luc ! C’est entre toi et moi… C’est bien…. Avance encore ton visage…. Allez plus que quelques centimètres…. Mmmmmmm Ha oui !!!! Je le savais !!!! Vas-y frotte bien ta langue sur le cul de Madame Connasse !!! Ha ha ha ! …. Comme c’est bon !…. Mmmm… Lèche bien ! Applique bien ta langue ! Voilà comme ça…. Alors ? Il est a ton goût ?
_ Mmmm oui Madame… _ Tu vois que tu est fait pour ça ! Allez nettoie moi bien… Mmmmm…. Nettoie bien le cul de ta supérieure ! Tu vois que je suis capable de reconnaître tes compétences. Je suis la patronne qu’il te fallait : sévère mais juste, belle et intelligente… Mmmm… Tu est d’accord ?
_ Oui… oui… Madame… _ Régale toi ! Mon petit lèche cul. Allez ! Vas-y… Je veux sentir du respect dans tes coups de langue ! Sinon, je vais encore te taper ! Mmmmm…. Voilà… En douceur c’est ça… C’est mieux que les baffes dans la gueule hein ?
_ Oui… _ Tu vois que je sais être gentille aussi… Il ne tiens qu’a toi de ne pas me décevoir… Lèche moi bien pour me monter que tu as bien compris ! Allez… Je veux que ta langue connaisse les moindres recoin de mon derrière ! Attend… J’écarte encore plus mes fesses… Allez ! Applique toi… Mmmm… Tu a l’air de vraiment apprécier… Je ne suis pas déçue mais je vais être très exigeante avec toi… dans les jours qui viennent… Parce que j’adore aussi te mettre des gifles… Et crois moi que je trouverai le moindre prétexte pour t’en donner… C’est pas parce que tu me donne du plaisir avec ta langue que je vais devenir plus gentille… Allez lèche ! Lèche !!! Encore !!! Je vais te dresser à être le parfait lèche cul ! Je veux que tu te souvienne de ce moment comme le plus agréable de ta vie. Tu sais maintenant tout le plaisir que je peux t’offrir. Alors applique toi parce que c’est bientôt terminé… Profites en bien… Allez … Pourlèche moi comme une vrai petite chienne… Et peut-être qu’un jour tu aura même le droit de me lécher la chatte… Allez ! Allez ! Bientôt tu chérira ce souvenir et tu espérera au fond de ton cœur qu’on recommence parce que tu va devoir attendre longtemps avant d’avoir le droit de recommencer. Tu vas devoir encore en prendre des baffes dans la gueule pour avoir le droit de simplement espérer me lécher le cul ! Je vais faire de toi un bon toutou bien obéissant. Bon allez ! Allez-ça suffit comme ça ! Laisse moi me rhabiller…. Ça va ?
_ Ho !!! Oui Madame.
_ Ha ha ha ! Comme il a l’air content mon petit lèche cul ! En plus il rougit c’est trop mignon ! Bon, on va bien s’entendre finalement tout les deux non ?
_ Oui… Oui je crois !
_ C’est bien ! Bon maintenant, on a presque fini. Je veux que tu signe ta fiche de poste. Attend… la voilà ! Tiens, prend ce stylo et signe ici !… Voilà, on y est presque ! Il ne manque que ma signature… Ça va tes joues ?
_ Oui, oui je crois… _ Tu vois ! Quelques paires de gifles c’est pas bien méchant et ça ne laisse aucune trace. C’est pas si douloureux finalement. Non ?
_ Si… si… _ A mon avis, si tu en prend suffisamment, tu devrait même finir par les apprécier, autant que moi je les apprécies. Tu crois pas ?
_ Je… Je sais pas… _ Allez ! Une dernière paire pour la route ?
_ Ha ! Cette fois j’ai bien compris que je dois faire attention à ce que je dis !
_ Ha ha ha oui ! Mais avoue, je suis bien gentille de te laisser encore le choix non ?
_ Ah… euh… Oui oui !
_ Mais bon, il va falloir qu’on dépasse ce stade, toi et moi parce que je ne vais pas te demander la permission à chaque fois que j’ai envie de t’en coller une. On est d’accord ?
_ Ben, je sais pas si je peux encore négocier mais…. Madame… Je sais pas si je suis capable de supporter ça… _ Tu doutes vraiment de tes capacités ! Je suis persuadé qu’avec l’entraînement tu en prendra sans broncher et même… Que tu diras merci !
_ Alors ça, je sais pas !
_ Si je signe ce papier, c’est pourtant ce que tu vas devoir subir. Alors ?… Je le signe ou pas ?… _ Je .. J’ai un peu peur Madame… _ C’est normal. Ta vie va changer mais je suis sûre que tu vraiment t’épanouir à mes cotés. Il va te falloir être patient mais je te promets que si tu es bien docile, tu finira par me lécher souvent, très souvent ! Et les gifles ça fait pas mal. Tu l’as reconnu toi même… Alors ? Je signe ?
_ D’accord… _ Tend moi ton visage !… Allez !
_ Aie ! Aie !
_ Alors qu’est-ce qu’ont dit ?
_ Merci Madame.
_ Très bien ! Allez je signe pour ta nouvelle vie. … Voilà ! Bon et bien je crois qu’on a fini ! Je te conseille d’annuler ce que tu avais prévu pour ta soirée. Tu commence tôt demain !
_ Madame, avant de partir, je peux vous demander quelque chose ?
_ Oui mon petit Luc ?
_ Heu… Comment vous saviez que j’en avais envie. Je veux dire, vraiment envie ? De vous… Enfin, de vous lécher… _ Comme tu est naïf ! Tout les hommes sont fait pour ça ! J’aurais pu choisir n’importe lequel d’entre-vous mais mon choix c’est porté naturellement sur toi. Il faut croire que tu as de la veine ! Allez file !
_ Merci Madame. A demain.
_ A demain lèche cul !
_ Vous n’avez pas de téléphone ?
_ Heu… si, mais… _ Tu crois que ça m’amuse de finir à cette heure ci ? Les entretiens annuels ne sont une partie de plaisir pour personne. En plus, comme tu le sais, ça fait un mois que j’ai pris le poste de chef de service et je profite de ces entretiens pour mieux vous connaître individuellement. Mais excuse-moi de vouloir faire mon travail correctement !
_ Je comprend Madame, c’est juste qu’il est déjà tard et que ça m’aurait arrangé de ne pas être convoqué en dernier.
_ Ah ça, c’est de ta faute Luc ! Tu est le cas le plus épineux que j’ai a traiter et tu sais très bien pourquoi.
_ Je suis désolé mais je ne vois vraiment pas de quoi vous parlez !
_ Je pense que tu le sais très bien mais comme tu fais semblant de ne pas comprendre, je vais éclairer ta lanterne. Tu sais ce qu’il disait de toi Michel avant que je prenne son poste ?
_ Non. Mais suppose que vous allez me le dire.
_ Il t’appelait le lèche cul !
_ Que !… Qu’est-ce que c’est que ces conneries ?!
_ Il pouvait pas te sentir, c’est la vérité. Il savait très bien que sous tes petits airs de parfait petit employé se cachait un sale petit arriviste ambitieux.
_ Madame je… je suis vraiment surpris ! C’est pas possible. On avait une très bonne relation… C’était un bon boss. Avec lui on était respecté !
_ J’entends bien qu’avec moi, tu ne te sens pas respecté mais laissons ce point là de coté pour l’instant. Michel était un très bon manager qui savait se faire apprécier mais il savait aussi parfaitement cerner ses collaborateurs et crois moi qu’il t’avait particulièrement bien cerné. Avant de me laisser sa place, il m’a fait un topo sur chacun d’entre vous et laisse moi te dire qu’il n’a pas été tendre avec toi. Il m’avait prévenu que tu risquais de me poser problème. Qu’est ce que tu crois ? Il m’a tout expliqué : comment tu aimais jouer les langues de putes avec tes collègues, plus particulièrement tes collègues féminines. Je sais aussi à quel point il voyait clair dans ton jeu quand tu lui faisait de la lèche en lui rendant toutes sortes de petits services, en jouant les conseillers, en lui rapportant tout les ragots du service et en flattant chacune de ses décisions. Tu crois réellement qu’il t’as fait miroiter son poste parce qu’il t’aimais bien ? Tu n’as pas les épaules pour manager une équipe. Pour ça il ne faut pas se croire malin, il faut vraiment l’être. Les lèches-cul sont fait pour lécher des culs pas pour se le faire lécher. Il t’as berné Luc. Il n’a jamais eu l’intention de te pistonner. Il savait très bien que le poste me reviendrai. Cette décision a été prise depuis longtemps par la direction générale. Il était parfaitement au courant. Et tu sais quoi ? Il a émis un avis favorable à ma nomination. Il m’a prévenu qu’avec ma prise de poste, soit tu allais continuer à faire ton lèche cul, soit tu serais tellement déçu que je t’ai soufflé le poste que tu allais jouer les langues de putes avec moi, notamment parce que tu ne supporte pas qu’une femme soit meilleure que toi. Franchement ça m’aurait clairement arrangé que tu ne change rien et que tu me fasse de la lèche ! Mais, malheureusement pour toi, tu as choisi de jouer les langues de putes avec moi. Moi ! Ta supérieure hiérarchique directe !
_ Écoutez Madame. Je ne comprend vraiment pas ! Je vous jure que ne vous ai jamais manqué de respect. J’ai toujours été un travailleur acharné et honnête. Regardez mes états de services. Tout mes dossiers sont parfaitement à jour. Je n’ai pas hésité à assumer des taches d’un niveau supérieur au mien. Michel à du vous le dire ! Je ne compte pas mes heures. J’ai développé sans cesse mes compétences. Vous appelez ça de la lèche, moi je vois plutôt ça comme de la volonté de donner le meilleur de moi-même. Alors oui… bien sûr que j’ai été déçu de ne pas avoir votre poste. J’avais travaillé dur pour ça ! Mais je n’ai pas fait d’histoire. Vous ne pouvez pas dire que je vous ai manqué de respect. Je n’ai jamais été désagréable avec vous.
_ Encore heureux ! Tu est assez malin pour m’avoir toujours montré un visage avenant avec ton petit sourire mielleux. Néanmoins, depuis mon arrivée j’ai la preuve que tu me manque de respect. Derrière ton sourire mielleux et ton petit air entendu, je sais très bien que tu déverse ton sale petit fiel dans mon dos ! Et il est temps de te remettre à ta place ? Tu crois que je ne suis pas au courant de tes petites phrases et du petit surnom dont tu m’a affublé ?
_ Mais ! Madame ! Je… Je ne sais pas qui ?….
_ Oh ! Regardez le pauvre petit Luc, le pauvre petit innocent accusé injustement. Arrête de me prendre pour une conne, ou plutôt pour :… « Madame Connasse »! C’est bien comme ça que tu m’appelle ? … Et bien ? Tu ne répond rien ? Tu crois que tu es le seul à balancer tes collègues ? Attend… je prend mes notes… Voilà : Le lundi 3 mars, le jour même de ma prise de fonction, vers 10h , en salle de pause : « Je vais lui en donner du Madame moi ! Madame Connasse ! ». Ça m’a été rapporté par deux témoins différents. Le 17 mars : « Madame connasse, elle tortille du cul comme si elle faisait un défilé ». Et attend… J’adore celle-là, le 20 mars : « Ou là là ! Madame Connasse est en manque de bite on dirait ! Elle m’a foutu son cul sous le nez exprès pour que je le lui reluque. Elle porte des strings». Une petite question ? Ça t’es pas venu à l’idée que cette petite mise en scène était délibéré de ma part ? Tu n’a pas imaginé que quelqu’un du bureau était justement chargé de me rapporter les propos que tu ne manquerait pas de tenir ? Et j’en ai quelques autres encore ! Avec tout ce que j’ai appris en à peine un mois, j’ai de quoi te foutre à la porte !
_ Attendez ! Mais !…. Madame ! Je ne sais pas ce qu’on vous a rapporté mais ce n’est qu’un tissus de mensonge !
_ Il faut que tu arrête maintenant Luc ! Tu es en train d’aggraver ton cas en niant ce que je sais de source sûre car plusieurs personnes m’ont rapporté les mêmes propos Et je viens de t’expliquer que je t’avais piégé. D’ailleurs ce n’est pas la seule fois. Tu te souviens du jour où je suis venue en mini-jupe ? Tu veux que je te lise ce que tu as dit ce jour là ? Je suis « bandante » c’est ça ? Alors même si je suis certaine que je ne suis pas au courant de toutes tes petites phrases, le peu que j’ai appris me suffit. Et il n’y a pas que ça ! Mais pour l’instant, si tu veux avoir une chance de ne pas te faire virer, commence par reconnaître que je dis la vérité !... Alors ! J’attends ! C’est simple, soit tu reconnais m’avoir manqué de respect et tu garde ton poste, soit tu dégage !
_ Pardon… _ Qu’est-ce que tu as dis ? J’ai mal entendu !
_ Pardon Madame.
_ Tu reconnais m’avoir appelé « Madame connasse » ?
_ Oui… _ Et c’est toi qui te plaint de ne pas être respecté… Bon ! Deux choses : Premièrement si j’exige qu’on m’appelle Madame même si je ne porte pas d’alliance, c’est mon droit, tu n’as rien à dire ! J’ai parfaitement le droit d’exiger le respect de mes subalternes. Deuxièmement :que tu me trouve à ton goût et que tu me reluque les fesses, je le comprend, je sais que je suis belle. Et j’ai parfaitement le droit de tortiller du cul sous ton nez. Par contre, tes remarques salaces tu les gardes pour toi. Tu peux baver sur mon cul autant que tu veux mais tu m’a manqué de respect et ça tu va me le payer ! Alors ! Est-ce que tu as quelque chose à proposer pour régler ce litige entre nous ?
_ Je… Je sais pas… Je suis désolé Madame. Ça ne se reproduira plus.
_ Il ne manquerait plus que ça ! T’as plutôt intérêt parce qu’on est en train de régler ça à l’amiable et si tu recommence ça va être une autre histoire. Mais pour que je t’accorde mon pardon, il faut bien que je sois dédommagée pour le préjudice subi non ?
_ Si… J’imagine oui… _ Allez ! Une bonne paire de claques et on est quitte !
_ Pardon ?
_ Oui c’est exactement de ça dont il s’agit : de pardon ! Une paire de gifle et tu est pardonné. A moins que tu préfère la porte ?
_ Enfin ! Madame ! Vous ne pouvez pas faire ça ! Vous n’avez pas le droit !
_ C’est vrai ! Je n’ai pas le droit de te gifler, … pas sans ton accord... En tant que supérieure hiérarchique, j’ai juste le droit de te virer pour faute. Tu préfère quoi ?
_ C’est une blague !
_ A ton avis ? Pourquoi tu crois que j’ai décidé de te recevoir si tard, alors que les locaux sont vides. Il ne reste que la sécurité. D’ailleurs, tu sais que j’ai un petit bouton quelque part pour les appeler en cas d’urgence ? Alors ? Je te les colle ces gifles ?
_ J’y crois pas putain…. Vous voulez vraiment me gifler !
_ Oui ! J’en ai vraiment très envie ! Ça va me faire le plus grand bien de te donner ce que tu mérite. Et là on sera vraiment quitte !
_ Non… mais attendez…. D’accord, je vous ai manqué de respect mais moi ce n’était qu’en paroles. Alors que vous, vous voulez ma frapper ! C’est pas équitable !
_ Ha ha ha ! Non mais sérieux ! Tu essaye de négocier ? Tu crois que tu est en position de force ? Si tu savais le nombre de fois où j’ai eu envie de le faire ! C’est pas facile d’être une belle femme dans cet univers de mâles bestiaux. Là, j’ai une occasion de pouvoir me défouler en toute impunité et j’ai bien l’intention d’en profiter. Tu l’a bien mérité en plus ! Non ? A m’appeler « Madame connasse » dans mon dos !
_ Si… _ On est d’accord alors !
_ Heu… attendez ! Bon admettons que j’accepte… On repart à zéro tout les deux. Et on en reparle plus jamais !
_ C’est bien comme ça que je vois les choses.
_ Bon… d’accord… allez-y qu’on en finisse.
_ Bouge pas ! Attend, laisse moi le temps de me lever…. Je vais t’attraper par les cheveux pour être sûre que tu n’esquive pas. Voilà ! Comme ça ! Prêt ?
_ Ou… _ Tiens ! Ça c’est de la part de « Madame Connasse »!
_ Aie !!!
_ Mmmm c’est vrai que ça soulage ! Ha ha ha. T’est tout rouge ! Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? T’es pas content ?
_ Laissez-moi deux minutes… _ Pour quoi faire ? T’es énervé c’est ça ? T’as envie de m’en retourner une ? Maintenant qu’on est quitte, tu voudrais encore me donner une raison de te virer ? Je dois appeler la sécurité ?
_ Non… _ Félicitation ! Tu viens de sauver ton job. Tu devrais être content. Tu devrais même me remercier de t’avoir offert cette porte de sortie même si elle n’est pas très glorieuse.
_ Bon, vous avez eu ce que vous voulez, je vais m’en aller je crois... que c’est mieux...
_ L’entretien n’es pas terminé.
_ Madame, je ne suis plus trop en état de parler là tout de suite… _ Oui, je vois ça. Tu tremble de rage ! C’est dur de pas pouvoir me rendre ces gifles hein ? Sauf que c’est trop tard maintenant. Tu as accepté de les prendre comme un idiot ! Ou un lâche… Oui c’est ça plutôt : un lâche ! Fort avec les faibles, faibles avec les forts. Et je suis plus forte que toi ! Rentre toi bien ça dans le crâne ! Toi qui croyait que tu pourrais avoir ce bureau alors que c’est mon cul… mon joli petit cul qui se tortille dans ce fauteuil. Et c’est mon cul que tu va devoir lécher dorénavant ! Allez commence par me remercier et me féliciter pour avoir su si brillamment régler ce problème. Allez ! J’attends !
_ Merci Madame… _ Met-y plus de conviction ! On y croit pas ! Fais moi sentir à quel point je suis une boss géniale !
_ Vous êtes… vraiment une patronne… Je reconnais que je vous ai très mal jugé. Vous êtes faites pour ce poste, plus que moi… Je vous remercie de m’avoir permis de garder mon poste. Je vous promet de ne plus vous manquer de respect et de continuer à donner le meilleur de moi-même. Mais… pardon Madame mais, je me sens pas trop bien là… _ Luc… Vas-y ! Tu peux craquer. Je comprend… Quelques larmes ne me font pas peur. Au contraire. Ça ne me fait pas vraiment pitié car on sait tout les deux que tu as bien mérité ce qui t’arrive mais je t’avoue que de voir enfin disparaître ton petit air supérieur te rend plus sympathique. J’y vois un signe de ton acceptation de ta qualité de subalterne vis à vis de moi. Par contre maintenant Luc, Il va falloir qu’on aborde ton plus gros problème.
_ Quoi ?
_ Oui Luc… Et c’est autrement plus embêtant !
_ Vous m’aviez dit que on serait quitte !
_ Oui Luc, on est quitte pour ce qui est du litige entre nous par contre, avec le reste de l’équipe, on a un très gros problème sur les bras.
_ Je… Je comprend pas ! Quel problème ?
_ Je parle de ton comportement vis à vis de Laure, de Sylvie, de Anne et de Marion. Tu vois de quoi je parle ?
_ Je… je… écoutez je… _ Calme toi Luc ! Je comprend… C’est classique, les allusions salaces, les gestes déplacés, les regard appuyés… Tout ça c’est très humain, enfin très… masculin ! Et tant que Michel était là ça ne posait aucun problème apparent. D’autant plus que, croyant que ce poste allait te revenir, tes collègues n’ont pas osé se plaindre. Tu comprend pourquoi elles ont été tellement soulagées de me voir à ta place ? Tu peut facilement imaginer le défilé dans mon bureau à peine quelques jours après ma prise de fonction. Tu comprend qu’en tant que femme et en tant que responsable de ce service je ne peux plus fermer les yeux, d’autant plus que c’est toute la réputation de l’entreprise qui est en jeu.
_ Madame ! J’ai peut être été lourd parfois mais je vous jure que je n’ai jamais dépassé les limites de… _ Arrête Luc ! Pas à moi ! Tu veux que je te lise les déclarations de tes collègues. Peut-être que c’est « pour rire » que tu leur à demandé de te rejoindre aux toilettes pour te faire des pipes, ou encore que leur cul te faisait « lever la queue ». J’en ai encore d’autres. Je continue ? On parle de tes mains baladeuses ?
_ Non… _ La situation est très sérieuse. Tu savais que certains de leurs conjoints sont au courant ? Je serais pas étonné qu’il y en ai un qui t’attende un soir au coin de la rue. On parle de plainte, de tribunal, de condamnation et pas que pour toi ! L’entreprise est responsable du bien être de ses salariées et garante d’une ambiance saine entre ses membres. Et moi, en tant que chef de service nouvellement nommée, je suis personnellement responsable de ça. En gros, il faut que je nettoie la merde que Michel à laissé derrière lui. Et la merde en l’occurrence c’est toi ! Quand elles m’ont vu arriver, tes collègues ont compris que j’étais leur alliée. Et elles ont eu raison ! En tant que femme, j’exige le respect de mes collègues féminines. Maintenant, laisse moi t’exposer le problème. Je ne peux pas te virer si elles ne portent pas plainte mais si je ne te sanctionne pas c’est ce qu’il va se passer. Et personne n’a intérêt à ça ! Ni toi, ni moi, ni l’entreprise. Et maintenant que j’ai été mise au courant de ton comportement, je suis tenue de réagir ! Au moins aux yeux de tes collègues. Tu comprends ?
_ Oui… je crois… _ Tu as compris comment je fonctionnais, je suis adepte des arrangements à l’amiable mais je doute qu’une paire de gifles soit suffisante à calmer tes collègues et d’ailleurs, je ne peux pas le leur proposer. Il n’est pas dit qu’elles apprécie autant que moi de t’infliger un châtiment corporel. Ça m’arrangerais bien qu’elles t’en collent une paire chacune pour te punir et qu’on en reste là. On est d’accord que tu le mériterais bien non ?
_ Je… Je sais pas… _ Non ? Moi je trouve même que c’est pas cher payé !
_ Si, si, vous avez raison...
_ Je pourrais te gifler de leur part pour te punir, une paire de gifle par collègue par exemple. Ça te semble correct ?
_ Au point où on en est… _ On est d’accord. Allez ! Tend moi ton visage !
_ Attendez… Aie ! Aie !
_ Tais toi ! J’ai pas fini !
_ Aie !
_ Voilà ! Et bien ! J’ai pas trop compté mais je pense que le compte y est. La vache ! J’en ai mal aux mains mais au moins ça défoule ! Bon, alors maintenant, passons à ta sanction. Tu ne vas pas être content : j’ai rédigé ta nouvelle fiche de poste.
_ Ma nouvelle fiche de poste ?
_ Oui, c’est clairement une rétrogradation mais il faut que ce soit bien visible pour que tes collègues ne portent pas plainte.
_ Mais, je comprend plus rien là… Je croyais qu’on était quitte. Avec ….
_ Quoi ? Les baffes ?
_ Ben oui !
_ Mais non, tu n’a rien compris ! Ça c’était juste entre toi et moi.
_ Oui mais… mais… on est pas quitte alors !
_ Mais tu est complètement idiot ou quoi ? Tu as admis toi même que tu les méritais ! C’était juste pour te punir. Fallait pas me dire que tu étais d’accord.
_ Je comprend plus rien ! Vous voulez dire que je les ai prises pour rien ?
_ Tu peux le voir comme ça me m’en fous ! Et puis… tu les méritais point ! Bon, on va pas y passer la nuit ! Non, là je te parle de ta nouvelle fiche de poste pour que tes collègues voie que je t’ai sanctionné.
_ Non non non ! Attendez ! Je refuse quoi que ce soit de plus. J’en ai marre ! Vous ne pouvez pas me gifler comme ça et après me dire qu’en plus vous allez me sanctionner.
_ Bon écoute moi bien maintenant connard, tu n’est pas en position de négocier quoi que ce soit. ! Des baffes, je peux t’en coller autant que je veux ! Je te tiens par les couilles. Avec le dossier que j’ai sur toi, j’ai de quoi t ‘envoyer au tribunal et il vaut largement mieux pour toi qu’on règle ça en interne. Et puis quelques petites gifles ne sont pas grand-chose comparé à la correction que tu pourrais recevoir par les maris et les copains des filles à qui tu as manqué de respect. Maintenant comme je vois bien que tu ne comprend pas, je vais à nouveau t’expliquer : Ces gifles tu m’a bien dit que tu étais d’accord de les prendre ?
_ Oui mais… je croyais que… _ Attend ! Tu as convenu devant moi que tu les méritais !
_ Oui... peut-être mais… _ Je t’ai dit que je ne pouvais pas proposer ça a tes collègues.
_ Oui… _ Tu comprend comme moi que si je leur propose de te donner une paire de gifle chacune pour que vous soyez quitte, c’est pas possible. Non seulement, elles pourraient ne pas être d’accord mais en plus, elles risqueraient d’être choquées par le procédé. Tu comprend ça ?
_ Oui… _ Bon ! Du coup, moi quand je te propose de t’en donner quelques paires c’est juste pour te punir. C’est juste entre toi et moi. Parce que tu les mérite et que tes collègues ne peuvent pas le faire. Ça n’a rien a voir avec ta sanction, qui elle, doit être visible pour tes collègues, d’où la fiche de poste. Tu comprends : _ Oui.
_ Il faut que tu arrête de croire que chaque gifle te donne l’absolution et le droit de recommencer. C’est tout l’inverse. Une punition c’est fait pour te faire passer l’envie de recommencer. C’est bon cette fois ? Tu as bien compris ?
_ Oui.
_ Oui qui ?
_ Oui Madame.
_ Et arrête de faire cette tête ou je t’en remet deux ! Tu sais bien que tu les mérites.
_ Oui Madame… Aie ! Arrêtez putain !
_ Hé ! Sur un autre ton ! Tu viens d’admettre que tu les mérites. Tu en veux encore ?
_ Non ! Non ! … Madame !
_ Et bien tu vois ! Il suffit de le dire ! Tu est long à la détente mais ça commence à rentrer ! Bon ? Tu veux connaître ton nouveau job ?
_ Heu… Oui… Madame… _ Et bien ! Tu as perdu de ta superbe ! Toi qui essaye de ressembler à une jeune cadre dynamique avec ton sourire de faux cul. Maintenant tu as plutôt l’air d’un pauvre con pathétique ! Et ça va pas aller en s’arrangeant crois moi ? Tu connais Corinne ?
_ Corinne ?
_ La femme de ménage. Tu vas passez sous ses ordres !
_ Quoi ???
_ Rassure toi c’est temporaire. Une semaine uniquement. Le temps qu’elle te forme. Ensuite tu travailleras seul. Elle passera au quatrième étage, ils ont besoin de quelqu’un là haut.
_ Je vais pas me taper le ménage quand même ?!? Non mais vous êtes sérieuse?!!
_ Oh que si mon petit ! Pour toi c’est corvée de chiottes et tout le reste : Aspirateur, serpillière et poussière.
_ Vous pouvez pas faire ça ! Je !… Je préfère encore démissionner !
_ Mais oui vas-y... Fais donc ça ! Et demande moi une lettre de recommandation tant que tu y est. Ha ha ha !!! J’imagine la tête du service juridique quand je vais leur faire passer ton dossier. Ils aurons vite fait d’engager des poursuites pour être sûr de ne pas être tenu pour responsable de tes agissements pervers au bureau. Et crois moi qu’ils sauront convaincre tes collègues de tout balancer. Mais oui, c’est ton droit de démissionner… Par contre, réfléchis bien. Tu va être certainement la femme de ménage la mieux payée de la ville. Car, heureusement pour toi, on a pas le droit de baisser ton salaire. Et puis, tu ne fera pas que ça quand même… Je crois savoir que tu as travaillé dur pour avoir mon poste. Michel t’as délégué pas mal de choses je crois ?
_ Oui… mais… bon. A l’époque, je croyais que… qu’il me faisait confiance.
_ Tu croyais surtout que tu finirais à ma place ! Mais tu t’es fait rouler dans la farine, pauvre andouille ! Là où tu croyais le seconder dans l’espoir d’avoir sa place. Il te fourguait simplement la partie la plus rébarbative de son travail : la synthèse des indicateurs qualité, la préparation des Power Point pour les réunions de direction, la préparation du rapport mensuel d’activité… Et je suis heureuse de t’apprendre que tout ça, tu va pouvoir continuer de le faire !
_ En fait, je vais devoir faire votre boulot… _ Oh ça va ! Fait pas cette tête ! Tu l’a bien fait pour mon prédécesseur. Au moins tu feras quelque chose d’important. Et puis ! Le travail de lèche cul, tu est fait pour ça ! Je ne fais qu’utiliser tes compétences.
_ Vous êtes vraiment !!! … _ Quoi ?… Vas-y ! Exprime toi !
_ Non rien… _ Allez ! Vas-y, insulte-moi. T’en crève d’envie ça se voit ! Par contre, tu connais le tarif. Allez ! J’ai la main qui me démange.
_ Non rien… Pardon… Madame.
_ Pfff t’es pas drôle. Tant pis… Alors pour toi c’est ménage de 5h30 à 8h30. Tu feras mon bureau aussi. Tu prend ta pose à huit heure trente et à neuf heures, quand les autres salariés arrivent, je ne veux plus te voir traîner. Tu file dans ton nouveau bureau et tu y reste sauf si je te convoque.
_ Quel nouveau bureau ?
_ Oui ! Afin d’éviter les contacts avec tes collègues, tu quitte l’open space. Le local pour les produits d’entretien n’est pas très spacieux mais on peux y emménager un poste. J’ai vérifié c’est réglementaire. Tu sera entre les toilettes et la salle de pose. En collant ton oreille à la porte tu pourra toujours entendre tout les cancans. Et tu pourra tout me répéter si le cœur t’en dis. Tu finira ta journée à 13 heures. C’est pas mal ça ! Tu va avoir tes après-midi de libre en plus ! Je te confierait moi-même les taches que tu devra exécuter pour moi et tu me les remettra en main propre tout les jours avant de quitter le bureau. Qu’est-ce que t’en pense ?
_ Il faudrait que j’y réfléchisse mais je crois que j’ai pas trop le choix… _ Moi il me semble que c’est vraiment un poste taillé sur mesure pour toi. Vu que tu est nocif à l’équipe, ça te met à distance de tout le monde. Tes collègues, en constatant ta nouvelle position vont se sentir quittes et elles ne porteront pas plainte. Tout les matins, en nettoyant les chiottes, tu va apprendre l’humilité, ça te sera bénéfique. Comme tu conserve des taches importantes, tu vas pouvoir quand même te sentir utile. Par contre, fais bien attention. Ne me déçois pas ! Je pourrais tout à fait te laisser dans ce bureau sans que tu aies le droit d’en sortir et sans avoir rien à faire ? Ça se fait dans certaines entreprises pour faire craquer les gens. Tu est au courant ? Tu imagine l’enfer de sentir jour après jour que tu passe ta vie à perdre ton temps. On fait devenir des gens fous comme ça ? Tu préférerais ?
_ Je… Écoutez Madame, j’en sais rien… Là ça fait beaucoup pour moi… _ Je crois qu’en fin de compte tu me remerciera de te donner du travail et si je ne suis pas contente de toi, alors tu n’aura vraiment rien a faire que de passer ton temps dans cette petite pièce à regarder les murs et écouter tes collègues plaisanter en salle de pause. Je pense que, si tu joue à ce petit jeu, tu craqueras la premier. Et c’est toi qui finira par me supplier de te donner quelque chose à faire. Tu crois pas ?
_ Si , si, j’imagine… _ Je certaine que tu me léchera le cul finalement. Juste pour me supplier de te laisser faire mes taches ingrates pendant que je papote avec tes collègues. Pas vrai ?
_ Je… je… _ Me lécher le cul… Il est temps de retrouver le rôle pour lequel tu est taillé sur mesure. Je sais qu’il est à ton goût en plus ! Il est plutôt joli, non ? Allez tu peux le dire. Il te plaît avoue ?
_ Ou… oui Madame.
_ Attend, je me tourne, regarde… C’est juste pour toi. Comme l’autre jour tu sais, quand tu pouvais voir mon string ? Ça va ? Je suis assez cambrée ? Tu le vois bien ? C’est pas le cul de Michel hein ? Celui-là au moins tu vas certainement le lécher avec plaisir non ? Il est toujours à ton goût?
_ Hem heu… oui Madame.
_ Attend regarde… Je vais carrément baisser mon pantalon. Attend… deux secondes… Voilà… Et oui, je porte des string ! Tu a l’œil ! Ha ha ha… Je l’enlève ?
_ Je… je sais pas Madame c’est… _ Excitant ?
_ Heu oui… _ Mmmm…. Moi aussi ça m’excite ! Mais comment tu peux être sur qu’il est à ton goût si tu n’y a pas vraiment goûté ?… Regarde… Maintenant que j’ai baissé mon string... Ça c’est le cul que tu vas lécher dorénavant. Et… si j’écarte mes fesses, tu peux même voir l’endroit exact où tu vas devoir passer ta langue pour ne pas crever à petit feu au milieu des produits à chiotte. Alors ? Tu en dis quoi ?
_ Madame. Je ne comprend ce que vous faites.
_ Mais j’attends ton coup de langue, lèche cul !
_ Je… je…. Vous voulez dire ?… Pour de vrai ?
_ Mais oui espèce d’andouille ! On va pas y passer la nuit non plus ! Dépêche toi maintenant !
_ Madame je… _ Tu en a envie, je le sais, c’est dans ta nature de lèche-cul, alors vas-y ! Si tu le fais pas maintenant tu n’en aura plus l’occasion avant longtemps et crois moi que tu finira par me supplier de le faire. Juste pour avoir un peu de travail. Allez Luc ! C’est entre toi et moi… C’est bien…. Avance encore ton visage…. Allez plus que quelques centimètres…. Mmmmmmm Ha oui !!!! Je le savais !!!! Vas-y frotte bien ta langue sur le cul de Madame Connasse !!! Ha ha ha ! …. Comme c’est bon !…. Mmmm… Lèche bien ! Applique bien ta langue ! Voilà comme ça…. Alors ? Il est a ton goût ?
_ Mmmm oui Madame… _ Tu vois que tu est fait pour ça ! Allez nettoie moi bien… Mmmmm…. Nettoie bien le cul de ta supérieure ! Tu vois que je suis capable de reconnaître tes compétences. Je suis la patronne qu’il te fallait : sévère mais juste, belle et intelligente… Mmmm… Tu est d’accord ?
_ Oui… oui… Madame… _ Régale toi ! Mon petit lèche cul. Allez ! Vas-y… Je veux sentir du respect dans tes coups de langue ! Sinon, je vais encore te taper ! Mmmmm…. Voilà… En douceur c’est ça… C’est mieux que les baffes dans la gueule hein ?
_ Oui… _ Tu vois que je sais être gentille aussi… Il ne tiens qu’a toi de ne pas me décevoir… Lèche moi bien pour me monter que tu as bien compris ! Allez… Je veux que ta langue connaisse les moindres recoin de mon derrière ! Attend… J’écarte encore plus mes fesses… Allez ! Applique toi… Mmmm… Tu a l’air de vraiment apprécier… Je ne suis pas déçue mais je vais être très exigeante avec toi… dans les jours qui viennent… Parce que j’adore aussi te mettre des gifles… Et crois moi que je trouverai le moindre prétexte pour t’en donner… C’est pas parce que tu me donne du plaisir avec ta langue que je vais devenir plus gentille… Allez lèche ! Lèche !!! Encore !!! Je vais te dresser à être le parfait lèche cul ! Je veux que tu te souvienne de ce moment comme le plus agréable de ta vie. Tu sais maintenant tout le plaisir que je peux t’offrir. Alors applique toi parce que c’est bientôt terminé… Profites en bien… Allez … Pourlèche moi comme une vrai petite chienne… Et peut-être qu’un jour tu aura même le droit de me lécher la chatte… Allez ! Allez ! Bientôt tu chérira ce souvenir et tu espérera au fond de ton cœur qu’on recommence parce que tu va devoir attendre longtemps avant d’avoir le droit de recommencer. Tu vas devoir encore en prendre des baffes dans la gueule pour avoir le droit de simplement espérer me lécher le cul ! Je vais faire de toi un bon toutou bien obéissant. Bon allez ! Allez-ça suffit comme ça ! Laisse moi me rhabiller…. Ça va ?
_ Ho !!! Oui Madame.
_ Ha ha ha ! Comme il a l’air content mon petit lèche cul ! En plus il rougit c’est trop mignon ! Bon, on va bien s’entendre finalement tout les deux non ?
_ Oui… Oui je crois !
_ C’est bien ! Bon maintenant, on a presque fini. Je veux que tu signe ta fiche de poste. Attend… la voilà ! Tiens, prend ce stylo et signe ici !… Voilà, on y est presque ! Il ne manque que ma signature… Ça va tes joues ?
_ Oui, oui je crois… _ Tu vois ! Quelques paires de gifles c’est pas bien méchant et ça ne laisse aucune trace. C’est pas si douloureux finalement. Non ?
_ Si… si… _ A mon avis, si tu en prend suffisamment, tu devrait même finir par les apprécier, autant que moi je les apprécies. Tu crois pas ?
_ Je… Je sais pas… _ Allez ! Une dernière paire pour la route ?
_ Ha ! Cette fois j’ai bien compris que je dois faire attention à ce que je dis !
_ Ha ha ha oui ! Mais avoue, je suis bien gentille de te laisser encore le choix non ?
_ Ah… euh… Oui oui !
_ Mais bon, il va falloir qu’on dépasse ce stade, toi et moi parce que je ne vais pas te demander la permission à chaque fois que j’ai envie de t’en coller une. On est d’accord ?
_ Ben, je sais pas si je peux encore négocier mais…. Madame… Je sais pas si je suis capable de supporter ça… _ Tu doutes vraiment de tes capacités ! Je suis persuadé qu’avec l’entraînement tu en prendra sans broncher et même… Que tu diras merci !
_ Alors ça, je sais pas !
_ Si je signe ce papier, c’est pourtant ce que tu vas devoir subir. Alors ?… Je le signe ou pas ?… _ Je .. J’ai un peu peur Madame… _ C’est normal. Ta vie va changer mais je suis sûre que tu vraiment t’épanouir à mes cotés. Il va te falloir être patient mais je te promets que si tu es bien docile, tu finira par me lécher souvent, très souvent ! Et les gifles ça fait pas mal. Tu l’as reconnu toi même… Alors ? Je signe ?
_ D’accord… _ Tend moi ton visage !… Allez !
_ Aie ! Aie !
_ Alors qu’est-ce qu’ont dit ?
_ Merci Madame.
_ Très bien ! Allez je signe pour ta nouvelle vie. … Voilà ! Bon et bien je crois qu’on a fini ! Je te conseille d’annuler ce que tu avais prévu pour ta soirée. Tu commence tôt demain !
_ Madame, avant de partir, je peux vous demander quelque chose ?
_ Oui mon petit Luc ?
_ Heu… Comment vous saviez que j’en avais envie. Je veux dire, vraiment envie ? De vous… Enfin, de vous lécher… _ Comme tu est naïf ! Tout les hommes sont fait pour ça ! J’aurais pu choisir n’importe lequel d’entre-vous mais mon choix c’est porté naturellement sur toi. Il faut croire que tu as de la veine ! Allez file !
_ Merci Madame. A demain.
_ A demain lèche cul !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Salut leche-cul.
J'ai loupé cet histoire à l'epoque de sa publication, sans doute parcequ'il n'y avait pas le tag urophilie. Maintenant que le site est de nouveau fonctionnelle, peut-on espérer la suite dans laquelle je ne doute pas que le pipi sera de nouveau à l'honneur.
Galileo.
J'ai loupé cet histoire à l'epoque de sa publication, sans doute parcequ'il n'y avait pas le tag urophilie. Maintenant que le site est de nouveau fonctionnelle, peut-on espérer la suite dans laquelle je ne doute pas que le pipi sera de nouveau à l'honneur.
Galileo.