L'embouteillage 3

- Par l'auteur HDS Luc helce -
Récit érotique écrit par Luc helce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'embouteillage 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'embouteillage 3
Après un long silence, il m'a dit : _ Merde Sibylle ! Tu m'avais promis de ne rien dire.
_ J'me souviens pas!
_ C'est dégueulasse !
_ Ah ouais ? Et ce que tu m'as fait faire, comment t'appelle ça ?
_ Merde ! Combien de fois, je vais devoir m'excuser ?
_ Je m'en fout de tes excuses de merde. T'est une vrai salope, une putain d'allumeuse ! Maintenant que tu m'a bien chauffée la chatte, tu me laisse en plan. Et tu crois que je vais me laisser faire sans rien dire ?
_ Mais non mais...
_ Allez ta gueule ! C'est bon ! Tu m'a saoulé ! Dégage ! Je vais pas te forcer si t'as pas envie !

C'est marrant parce qu'à ce moment là j'étais très exactement en train de faire le contraire de ce que j'étais en train de dire et j'y prenais un pied terrible. Luc, m'a fait d'une voix geignarde : _ Attend Sibylle... Excuse-moi. C'est juste que... Le prend pas mal. Je suis fatigué et je... Je savais pas que ça se passerait comme ça. Laisse-moi te... te faire du bien.
_ T'as déjà changé d'avis. Fis-je narquoise. Tu veux juste que je ferme ma gueule !
_ Non, non ! Menti-t-il. Mais Sibylle... tu le ferais, vraiment ? De le répéter à tout le monde...
_ Je sais pas en vrai... mais la façon dont tu me traite ça me donne pas envie d'être sympa avec toi.
_ Désolé...

Il approcha sa tête de mon entrejambe et embrassa doucement ma minette. Je me suis mise à soupirer de plaisir. Ses mains caressaient tendrement mes cuisses tandis qu'il couvrait ma chatte de baisers en reniflant. J'ai adoré ressentir cette espèce de respect et d'adoration pour ma foufoune. Je me suis pas tout de suite rendue compte qu'il chialait. Il reniflait beaucoup c'est vrai, mais moi, j'avais fermé les yeux et je me concentrais sur les frissons de plaisirs provoqués par ses bisous sur ma fente. C'est quand il a dit : « pardon », la voix tremblante que j'ai capté qu'il était si mal. J'ai ouvert les yeux sous la surprise. Il a continué de m'embrasser en murmurant « pardon... pardon ». Moi j'ai fait « chuttt... » en lui caressant les cheveux. Mais il s'est mis à pleurer de plus belle. C'est con mais j'ai failli avoir un fou rire ! Heureusement que ses baisers étaient si excitants, ça m'a coupé un peu l'envie de rire. Ça me plaisait bien qu'il chiale, comme si, plus il était faible, plus je me sentais forte. J'ai fini par lui dire : _ C'est bien... Comme ça... Je crois que je peux te pardonner...
_ Je suis tellement désolé !
_ C'est normal...
_ J'ai tellement honte !
_ Je sais... Fait toi pardonner... Laisse faire ta langue
Il s'est mis à me laper la chatte doucement, tendrement. Moi, j'ai gémis de plaisir. Putain comme c'était bon ! J'ai fait : _ C'est bien Luc, vas-y ! Comme ça oui ! Applique toi bien !
_ Oui Sibylle... Je suis désolé... Excuse-moi... Je t'en supplie... Murmurai-il entre deux coups de langue.

Ces paroles de repentance m'ont donné envie de l'enfoncer davantage.
_ T'est vraiment pathétique ! Regarde toi... Tu crève de trouille à l'idée que je révèle ton sale petit secret hein ?
_ C'est vrai... Pardon... Je vais te faire jouir...
_ T'as intérêt salope ! Applique toi bien ! Mais va pas trop vite... Je veux en profiter longtemps... T'est qu'une pute... une petite pute de bas étage...

Luc appliquait sa langue avec d'infinies précaution, en partant de l'anus et remontant lentement jusqu'au clitoris. Je dégoulinais de plaisir et j'avais envie qu'il me bouffe la chatte, qu'il enfonce sa langue en moi et qu'il active sa langue sur mon clito mais je me suis retenue d'exiger qu'il accélère le mouvement. Je voulais que dure des heures cette exquise torture, mélange de frustration et de plaisir. Le salop ! Est-ce qu'il sentait à quel point j'avais envie qu'il mette le turbo ? En attendant je me suis amusée à le faire flipper. J'ai susurré :
_ Qu'est-ce que tu m'a fait faire ? Espèce de sale pervers... Tu le sais que t'est un putain de dégénéré ? T'est qu'un WC déguisé en homme... Tu mériterais que je te balance... Je m'y vois déjà... C'est pas le genre de truc qu'on balance en pleine réunion... hein ? Un bruit de couloir... Les potins qu'on s'échange autour d'un café... Putain ouais, demain... Tu sais comment Marie-Lou est friande de ce genre de trucs... Il me suffit de quelques instants en tête à tête avec elle.
_ S'il te plaît non ! Il a gémit.
_ Ta gueule ! Putain ! Tu fermes ta gueule et tu me lèche correctement où je le fais pour de bon ! Oui... C'est ça... Lèche-moi bien... ou demain...

J'ai poursuivi sur le ton de la confidence : _ « Mari-Lou, faut que je te raconte une truc... Tu va halluciner... Luc il m'a fait un plan trop dégueu hier dans la voiture... On était coincé dans le bouchon et j'avais envie de pisser... Cet espèce de pervers, il m'a demandé de lui pisser dans la bouche... Quel tordu ! T'imagines... Bien sûr que non je l'ai pas fait ! Ça m'a coupé l'envie ! Mais quel dégueulasse ! »
J'ai ricané doucement tandis que Luc s'était mis à trembler de peur, de frustration et de rage. Il n'en continuait pas moins à me lécher le minou servilement. Il était à ma merci et en avait parfaitement conscience. Après, évidemment, je sais pas si j'aurais osé balancer un truc pareil. C'est le genre de truc qui aurait très bien pu se retourner contre moi et me faire passer pour une mytho. Mais quand même ! C'était pas mon genre d'inventer des histoires et, ce qui était important, c'est que Luc était intimement persuadé que je n'hésiterais pas une seconde à dévoiler son vilain petit secret s'il avait le malheur de me déplaire. Cet imbécile n'imaginait même pas à quel point j'avais adoré me soulager directement dans son gosier ! Et voilà que maintenant je lui mettait la pression pour qu'il me lèche la chatte. Les choses s'étaient enchaînées si naturellement ! En moins d'une heure, on était passé d'un rapport de simples collègues à celui de Maîtresse impitoyable face à son larbin. Je me découvrais l'âme d'une véritable garce et c'était diablement agréable. Je ne sais pas si n'importe quelle femme aurait réagit de la même manière. Peut-être qu'en plus de découvrir un plaisir sadique à lui uriner dessus, je me vengeais aussi d'avoir vu mes efforts pour le séduire rester vain... En attendant, j'enfonçais le clou :
_ T'imagine le scandale ? Si tout le monde savait ça ? Il va falloir que tu vive avec le doute maintenant car je te tiens par les couilles ma salope. Tu va psychoter grave à partir de demain. Est-ce qu'ils sont au courant ? Est-ce qu'elle leur a tout raconté ? Et quand tu va voir des sourires en coins, des ricanements inexpliqués. Et quand une fille du bureau va dire qu'il faut qu'elle aille aux toilettes... Est-ce que tu vas oser lever les yeux vers elle au risque de croiser son regard moqueur ? Allez ! Lèche-moi bien cabinet ! Fais-moi du bien ! Putain ! Sinon je te jure que demain ta vie va devenir insupportable !

Dans le même temps, je sentais que je gérais assez bien mon excitation et la perspective de jouir trop vite était en train de s'éloigner. N'empêche a chaque fois qu'il effleurait mon clito, ça chatouillait sévère. C'est pour ça que je lui ai ordonné : _ Passe moi la langue au cul sale pute !

J'ai basculé mon bassin vers le haut et écarté mes fesses. Luc a soupiré : _ Ne dit rien. Je t'en supplie.

Puis il a appliqué servilement sa langue sur mon trou du cul. C'était trop cool ! J'ai apprécié de voir refluer mon excitation parce que je suis quand même moins sensible de ce coté là mais c'était super agréable. En plus, ça renforçait mon sentiment de supériorité. Luc... Luc le droit... Luc le mari fidèle... Réduit à l'état de lèche-cul. Il avait tellement peur le pauvre ! Je disposais d'un tel levier pour le contraindre à m'obéir ! Le bruit de sa langue s'activant sur ma rondelle avait quelque chose de comique, une sorte de bruit humide à régulier. A chaque fois que sa langue venait se plaquer et se retirer, ça faisait comme un petit bruit de ventouse. J'ai profité à fond de ses caresses pendant quelques minutes et puis j'ai eu envie d'une clope. Alors j'ai chopé son paquet sur le tableau de bord pour lui en taxer une. Il a fallu que je remette le contact pour entrouvrir la vitre et j'en ai profité pour redémarrer le moteur. Il commençait a faire froid. J'ai mis le chauffage à fond. La radio s'est rallumée. Pendant que je faisait ça. Luc m'a dit : _ Tu sais Sibylle, je regrette vraiment de t'avoir entraîné dans mon délire.
_ Parce que maintenant je connais ton petit secret !
_ Non !... Enfin si... Mais aussi parce que je voulais pas que ça soit comme ça entre nous.
_ Comme ça quoi ?
_ Et bien... Que tu m'en veuille autant. Moi, je voulais juste te rendre service au départ.
_ Tu parles !
_ C'est vrai. Et puis... C'était bien entre nous avant ça. Je suis désolé d'avoir brisé notre amitié.
_ Écoute Luc, tu sais que je t'appréciais comme collègue. Mais c'est ta faute si on en est arrivé là ! Fallait réfléchir avant de me faire faire un truc aussi dégueulasse. Alors tu ne peux t'en prendre qu'a toi-même.
_ Je sais. Je dis pas contraire et je m'en veut terriblement.
_ Alors qu'est-ce que tu veux que j'y fasse ?
_ S'il te plaît Sibylle. Je t'en supplie. Ne dis rien à personne.
_ Je vais y réfléchir... En attendant, tu me lèche le cul. C'est ta punition pour m'avoir prise pour ton fantasme.
_ D'accord.

J'ai allumé la clope et je me suis à nouveau bien calé dans le siège, les pieds sur le tableau de bord. A la radio, ils ont annoncé que les opérations de dégagement de la route étaient en cours mais que la neige compliquait les opérations. Ils prévoyaient que la circulation revienne à la normale d'ici une heure maximum. Luc a repris sa fonction de lèche-cul. J'ai fait : _ Tu vois, on a une heure à tuer alors autant que ce soit agréable.

J'ai tiré un moment sur la clope sans rien dire. Luc, pathétique, s'activant à me lécher l'anus servilement. J'ai recommencé à sentir avec plaisir mon envie de pisser qui revenait au galop. Qu'est-ce que j'étais bien ! Confortablement installée, bien au chaud, tirant sur ma cigarette, une langue docile caressant mon petit trou. J'ai fini par dire : _ Tu sais Luc, pendant longtemps tu m'a attiré. T'est plutôt beau gosse et je dois t'avouer que j'étais jalouse de ta femme. Mais franchement, si j'avais su à quel point tu étais un pervers... J'aurais bien baisé avec toi mais maintenant c'est même plus la peine d'espérer. Pour être avec quelqu'un, il faut avoir un minimum de respect pour lui. Moi, mon mec, je veux être fière de lui. Avec toi c'est impossible. T'est un homme chiotte, un putain de cabinet humain ! Je suis bien contente qu'il ne soit jamais rien passé quelque chose entre nous... Je veux dire quelque chose de normal. Maintenant ta femme je la plaint plutôt qu'autre chose. Tu lui lèche le cul comme ça à elle aussi ?
_ Heu... oui mais... heu... pas autant.
_ Ha ha ! La petite cochonne ! Elle doit bien apprécier quand même parce que c'est bien agréable. Pas de risque de jouir trop vite comme ça ! Je sens bien que je suis capable de supporter ça un bon moment. T'as conscience que c'est super dégueulasse ce que tu fais quand même !
_ Heu... Je sais pas... heu.
_ Putain mais t'est grave ! T'es en train de me lécher le trou du cul ducon ! Le trou du cul ! C'est fait pour chier cet endroit là ! T'imagine toute la merde qui est passé par ce trou ? Ce matin encore... Et toi t'y met la langue ! D'ailleurs vas-y, te gêne pas, frotte bien ta langue sur ma boite à caca ! Tu peux même l'enfoncer. Peut-être que tu aura un peu de merde ? Ça doit pas trop te déranger, avec toute la pisse que je t'ai fait boire, tu peux bien avaler un peu de merde !

J'ai jeté le mégot et fermé la fenêtre. J'ai repris ma bouteille et je l'ai fini à grandes gorgées. Cette fois, Luc n'a pas moufté. Je n'avais plus très soif mais je comptait bien lui re-pisser dessus avant que la circulation ne redémarre. J'étais décidée à en profiter le plus possible parce que je savais qu'après, je n'aurais plus jamais l'occasion de recommencer. C'était cool de ressentir à nouveau ma vessie se remplir. J'avais bu exprès pour ça mais l'envie de pisser était revenue vachement vite. Ça devait faire une demi-heure que je m'étais soulagée mais ma vessie recommençait à être bien pleine. C'est comme si mon corps, mes reins, avaient activé le mouvement pour recommencer le plus vite possible. De sentir que j'allais le lui refaire, ça à boosté mon excitation. J'ai fait à Luc : _ Allez fait moi jouir maintenant !
_ Ok.

Les minutes qui ont suivit ont été délicieuses. Et il y en a eu plus de cinq ! Ce Luc, c'était vraiment un lécheur de première. C'est toute la différence entre un mec qui va faire ça parce qu'il lui semble qu'il faut en passer par là pour être qualifié de bon coup (c'est sûr que c'est mieux que rien et c'est toujours bon à prendre) et un mec qui AIME ça. Et Luc c'était un vrai bouffeur de minous, un de ceux qui aime le goût de la chatte ! Avec un cunni comme ça, la pénétration ça devient accessoire. Je ne vais pas vous décrire encore dans les moindres détails tout ce qu'il m'a fait avec sa langue et ses lèvres. Ce qui est sûr, c'est qu'il n'a pas ménagé ses efforts ! Il en a eu la gueule toute tartinée de cyprine. C'était à la fois vachement intense et doux. La vague de plaisir montait, montait, sans discontinuer et sans jamais trouver son point d'orgue. Comme si ma jouissance se trouvait toujours un cran plus loin dans l'excitation. En même temps comme il « manquait » la pénétration, ça donnait la sensation que c'était pas parfait, pas « complet ». C'est un truc bizarre à expliquer mais comme avant ça j'avais jamais joui avec un cunni, mon sexe était habitué à jouir avec quelque chose de « consistant » à l'intérieur et là il n'y avait rien à part sa langue qui s'enfonçait par intermittence dans mon intimité. En tout cas, sans avoir un chronomètre en main, il a dû me lécher un bon quart d'heure avant que j'explose de plaisir. Dans ces moments là, c'est marrant de constater comment l'esprit divague. J'ai laissé le flot des pensées érotiques suivre leur cour, comme un film très agréable, tout en étant connectée à mes sensations dans mon bas ventre.
J'ai expliqué plus haut que mon fantasme à moi c'était de le faire avec une fille. J'imaginais donc que c'était une nana en train de me bouffer la minette. D'ailleurs quand on y réfléchit c'est sûrement pas pour rien que je prenais un malin plaisir à traiter Luc de « salope ». Je pensais donc à différente filles que j'aurais bien aimé voir à la place de Luc et puis c'est l'image de Rachel qui c'est soudainement imposée à moi.

Rachel... Les années collège... C'était en quatrième. Avec mes copines on lui avait fait péter les plombs. C'était une nana assez intello et d'un tempérament solitaire, une fille timide mais quand même très mignonne. Mes copines et moi on était plutôt du genre chipies. Depuis la sixième on l'emmerdait mais en quatrième, on avait pris suffisamment d'assurance pour dépasser régulièrement les limites avec elle. Je vais pas vous raconter toutes les crasses qu'on lui a fait. Mais bon, vous imaginez le genre : moqueries, mise à l'écart, balancer des ragots, lui planquer son sac, lui piquer ses affaires... Et puis il y a eu cette fois dans les vestiaires... On avait mis ses fringues propres sous l'eau et c'était en plein hiver. Ses fringues avaient fini par terre, dans les traces de boues. Quand on est rentré au vestiaire après le cours de gym on a fait comme si de rien n'était. Rachel, a découvert et ramassé ses affaires sans rien dire. Et est restée en tenue de sport, assise sur le banc, pleurant en silence. On a laissé la classe partir et quand on a fini seules avec elle, on s'est mise à l'allumer, à lui mettre la pression pour qu'elle se change. Sous la pression, elle c'est déshabillée et c'est retrouvée en culotte et sous-tif face à nous, sans pouvoir se décider à remettre ses affaires mouillées et sales. Nous on lui gueulait dessus pour qu'elle s'habille. Quand la prof à débarqué. On lui a expliqué que Rachel ne voulait pas se changer. D'abord elle a engueulé Rachel et puis quand elle a vu l'état de ses fringues, elle nous a demandé si c'était nous. Évidemment on a nié et Rachel, s'est bien gardé de nous accuser ouvertement. Finalement, la prof nous a demandé de regarder dans nos affaires et de lui prêter des fringues. On avait que nos affaires de gym qui puaient la sueur. La prof est partie quand on lui a assuré qu'on allait s'occuper d'elle. C'est con un prof ! Mais peut-être qu'elle en avait simplement rien à foutre... Nous, on a fouillé dans nos affaires pour lui filer nos fringues les plus moches et les plus puantes. Je lui ai filé mon tee-shirt avec les aisselles encore trempées. On s'est encore plus foutu de sa gueule pendant qu'on lui mettait la pression pour qu'elle se dépêche de s'habiller parce qu'on était bien gentille de l'aider, qu'avec ses conneries elle allait nous mettre à la bourre, et qu'elle pourrait nous dire merci. Alors, même si elle s'exécutait et enfilait nos vêtements sales, elle pleurait comme un veau. La prof est repassée pour gueuler un coup, Rachel avait fini de s'habiller mais elle avait la mine défaite. Mes copines sous le coup de pression de la prof sont sorties fissa mais moi j'avais une idée derrière la tête. J'ai demandé à la prof à rester avec elle parce qu'elle était trop mal et qu'il lui fallait un peu de temps. La prof à consenti à partir devant avec le reste de la classe et m'a conseillée de l’emmener à l'infirmerie. J'ai pu rester seule avec Rachel et faire un truc qui me faisait très envie. Juste avant, en cherchant des fringues pour Rachel dans mon sac, j'avais vu ma culotte sale, toute humide de sueur, je m'étais dit que c'était dommage parce que je ne voulais pas qu'elle l'enfile mais en même temps, ma culotte puante aurait été le truc le plus cradingue que j'aurais pu lui refiler. J'ai profité d'être toute seule pour récupérer ma culotte dans mon sac tout en rassurant Rachel. J'ai roulé ma culotte en boule dans ma main et je me suis avancé vers elle en lui disant de se calmer. C'était pas évident car mon cœur battait à deux mille et j'avais les jambes toutes flageolantes à l'idée de ce que je m’apprêtais à lui faire. J'ai continué sur mon ton le plus doux et le plus rassurant et, faisant mine de trouver dégueulasse ce que les autres lui avaient fait. Et puis, j'ai essuyé les larmes de son visage avec ma culotte. Docile, elle c'est laissé faire. Elle m'a regardé avec reconnaissance, croyant que quelqu'un prenait soin d'elle alors que j'étais en train de faire le truc le plus salop que j'avais jamais fait à personne. En lui chuchotant doucement que j'étais là, que je m'occupait d'elle, j'en profitais pour lui souiller le visage de mes odeurs intimes. C'était super agréable de faire ça. Au bout de quelques instants, elle a tilté. Elle a sursauté et a eu un mouvement de recul, le regard fixé sur le tissus dans ma main. J'ai défroissé ma culotte et la tenant de part et d'autre avec mes deux main pour la faire danser devant son visage en ricanant. Elle avait l'air choquée et essayait de protester sans pouvoir articuler la moindre parole cohérente. Je lui ai ordonné de la fermer et j'ai approché ma culotte sale de sa figure en lui intimant l'ordre de se laisser faire. La pauvre Rachel était tellement conditionnée par toutes ses années d'humiliation qu'elle s'est comme éteinte. Moi j'en ai profité pour lui frotter ma culotte sur le nez, lui ordonnant de respirer. Je lui chuchotait à l'oreille que ça sentait bon, que ça lui faisait du bien. J'avais ma petite minette d'adolescente qui frétillait de plaisir. Progressivement, comme par magie, elle s'est calmée et a cessé de couiner. Elle respirait mon odeur intime à plein nez, les yeux fermés. Puis elle a ouvert les yeux et à plongé son regard dans le mien. Je me souviens que ça a été une grande surprise pour moi de voir de l'amour dans ce regard et, comme elle prenait la culotte dans ses main pour la frotter elle même sur son visage, j'ai compris qu'elle aimait ça ! Le choc à été rude ! Pour le coup c'est moi qui ai été déstabilisée. Avec le recul, je sais que ce geste c'était une déclaration d'amour mais... c'était Rachel et j'étais trop jeune et idiote à l'époque pour assumer mes désirs mais c'est sûr que si je l'emmerdais autant c'était aussi parce que quelque part, je la désirais. Mais à l'époque j'étais incapable d'assumer un truc pareil. J'ai lâché ma culotte et je lui ai dit de ma voix la plus froide qu'elle pouvait la garder. On est parti jusqu'à l'infirmerie, Rachel ne pleurait plus. Ma culotte avait disparue au fond de son sac. Pendant le trajet, je lui ai simplement dit que si elle racontait ce qui c'était passé je la tuerait. Je l'ai laissé à l'infirmerie et je ne l'ai plus jamais revu. Elle n'a pas fini la semaine et le lundi suivant les profs nous ont dit que ses parents l'avaient changé de collège. J'en ai éprouvé un grand soulagement mais aussi une certaine frustration à l'idée que plus jamais je ne pourrait revivre un truc aussi bon.

En tout cas, à ce moment là, la langue de Luc s'activant entre mes cuisses, je repensais à elle, à son regard, à son plaisir. Comme j'aurais aimé que ce soit elle à la place de ce balourd de Luc. Dans mon fantasme, j'imaginais que Rachel aurait aimé que je lui pisse dessus, j'en étais persuadée, elle aurait voulu que je le fasse. Elle m'aurais supplié de le faire...Et je le lui aurait fait. Oh oui ! Avec quel plaisir je me serais soulagé sur le visage de mon souffre douleur, mon... amoureuse. Dans son amour inconditionnel, elle n'aurait pas rechigné, elle ! Elle aurait souhaité mon bonheur, mon plaisir... Que cette pensée était agréable ! Comme elle me donnait envie de me « lacher », d'ouvrir les vannes...

Je me souviens avec une grande clarté ce qui m'a achevé. J'ai ressenti toute la pression dans ma vessie à la fois douloureuse et excitante. Je me suis sentie « pleine » et j'ai eu envie de jouir en pissant en même temps, en expulsant mon urine de toutes mes forces. Ce connard de Luc, il ne m'aimait pas lui! Il avait juste voulu prendre son pied et maintenant si il comprenait ce que je voulais faire, il allait encore essayer de se débiner. Je l'ai imaginé essayant d'échapper à mon jet, impuissant à l'éviter. Lui me suppliant de l'épargner et moi, impitoyable, le tenant par les cheveux souillant son joli museau en le traitant comme une sous merde. Obéissant à mon impulsion, j'ai attrapé fermement sa tignasse en m'écriant d'une voix qui dérapait dans les aiguës : _ Allez ! Maintenant ! Fais-moi jouir maintenant salope !

Il a gémit de douleur, car je tirais fort sur ses cheveux. Il n'en a pas néanmoins perdu son sens de la dextérité et a aspiré très fort mon clitoris entre ses lèvres tout en frottant le bout de sa langue le plus rapidement possible. Ça m'a achevée. J'ai poussé un cri aigu et quand mon vagin c'est contracté dans ma jouissance, j'ai relâché mes sphincters. Le premier jet qui est sorti de moi était bref mais surpuissant. Luc a eu son visage tout éclaboussé. Il a glapi de surprise et a repoussé très fort le fauteuil de ses bras pour éviter (trop tard) l'énorme giclée. Sa tête s'est reculé un peu mais je serrais tellement bien ses cheveux que je l'ai obligé à pencher la tête vers l'avant en m'exclamant toujours de cette voie suraiguë : _ Prend-ça ! (Mais ça faisait plutôt « prend çaaaaaa ! »)
J'étais hystérique. Mon vagin se contractait sous les vagues successives de plaisir et à chaque fois, une nouvelle giclée sortait de mon sexe. C'était très rapide. Il y a eu trois quatre grosses « éjaculations » en quelques instants. Il s'est tout pris dans la gueule en s'exclamant « Arrête ! Arrête ! » et c'était encore plus jouissif. Quel pied ! Je venais de vivre ma première éjaculation. Les quelques instants qui ont suivi j'avais la tête vide et les jambes en coton, d'autant plus qu'elles étaient toujours surélevée, mes pieds sur le tableau de bord. J'ai lâché sa chevelure et je me suis laissée aller en arrière. J'étais dans cet état sidération quand j'ai pris conscience des lamentations de Luc :
_ Putain ! Mais qu'est-ce que t'as fait ! Bordel ! Salope ! Tu m'en a mis partout ! Non mais regarde ça ! Et comment je vais expliquer ça à ma femme ? Putain ! Mais t'est complètement conne !

La gifle est partie toute seule. J'avais pris un tel pied ! Et ce con qui se permettait de m'en faire le reproche. Il a fermé son clapet direct. J'ai fait : _ Mais va te faire foutre ! Alors là t'as intérêt à changer de ton tout de suite ! C'est pas ça que tu voulais peut-être ? Je vais te dire un truc connard ! C'est bien fait pour ta gueule ! Tu l'as bien mérité ! Fallait réfléchir avant de me demander ça ! Espèce de sale pervers ! Alors t'as toujours envie de te faire pisser dessus, où bien je t'ai définitivement guéri ?

La gifle l'avait sacrément secoué. Il a balbutié : _ Je... Je crois oui.
_ Alors tu crois pas que tu devrais me remercier plutôt ?
_ Euh... Si mais... Putain, je suis dégueulasse ! T'était pas obligée de...

Je lui ai remis une seconde baffe, plus sèche, plus maîtrisée. J'avais repris tous mes esprits et je percevais à quel point j'avais définitivement pris le dessus sur lui. Quand j'y pense, la torgnole que je lui avait balancé par réflexe ! Il aurait pu péter les plombs et devenir agressif. Heureusement, il s'était recroquevillé comme un escargot dans sa coquille. J'ai senti que ma foufoune, bien qu’exsangue, recommençait à me chatouiller gentiment. Cette sensation de prise de pouvoir sur cet être faible était tellement agréable ! J'ai lancé d'un ton cassant : _ Arrête de te plaindre ! T'est pathétique ! On s'arrêtera chez moi et tu pourra te nettoyer. En attendant c'est moi que tu vas nettoyer ! Attends !

J'ai attrapé un paquet de kleenex dans mon sac et je lui en ai tendu un. Il l'a pris dans sa main mais n'a pas esquissé le moindre geste. Il était comme tétanisé. Le temps d'une fraction de seconde, j'ai senti qu'il avait besoin d'une nouvelle gifle pour sortir de sa torpeur. Et je n'attendais qu'un prétexte pour lui en remettre une. Cette fois quand ma main est partie, j'ai clairement senti le frisson délicieux dans ma chatte. Je me suis exclamée : _ Alors ! C'est pour aujourd'hui ou pour demain.

Luc a fait une drôle de tête mais il s'est dépêché de me nettoyer. J'ai croisé mes mains derrière ma tête pendant qu'il s'appliquait à essuyer l'intérieur de mes cuisses et à me tamponner délicatement la minette. Il a fini par dire : _ Voilà.

Il m'a tendu le kleenex. J'ai failli lui dire de le garder mais j'ai repensé à Rachel. Alors, j'ai pris le kleenex humide et je me suis penchée en avant.
_ Approche ! J'ai ordonné.

Il a tendu son visage vers moi et je le lui ai « essuyé » avec. Ça aussi ça m'a excité. Luc ne disait rien et subissait cette humiliation sans rien dire. Comme avec Rachel, j'ai pris un malin plaisir à me montrer gentille : _ Tu vois. Je prend soin de toi moi aussi. Si t'es gentil avec moi, moi aussi je suis capable de me montrer gentille. Laisse-moi te nettoyer. Tout va bien tu vois. Allez respire mon parfum. Allez ! Vas-y ! Ça va te détendre. Ça fait du bien hein ?

Il a hoché la tête tandis que j'appliquais le kleenex souillé sur son nez. J'ai poursuivi : _ Ça sent bon hein ? Tu sent comment ça te fais du bien ? Je suis sûre que ça t'excite non ?
_ Oui. A-t-il murmuré.
_ Tu peux te caresser un peu si tu veux. Tu l'a bien mérité. J'ai susurré.

Il a grogné bizarrement et j'ai vu qu'il amenait sa main entre ses jambes et j'ai entendu le bruit de la fermeture éclair. De la main gauche il tenait le kleenex qu'il respirait à plein nez et la droite bougeait en cadence entre ses jambes. J'ai poursuivi : _ Vas-y... Tu l'a bien mérité... Tu vois je suis pas si méchante. Allez ! Fais toi du bien maintenant...

Le mouvement dans sa main droite est devenu plus rapide. C'était plaisant de le voir se branler à genoux devant moi tout en respirant mon PQ usagé. Sa respiration devenait de plus en plus bruyante. J'avais assez d'expérience pour savoir qu'il n'en avait plus pour longtemps. Vicieuse, j'ai dit : _ Allez ! Colle ta bouche sur ma minette. J'ai encore envie de pisser.

J'avais encore envie de pisser même si ça urgeait plus comme au début. Je voulais aussi vérifier qu'il n'était pas « guéri » de son fantasme. Et puis, j'aimais l'idée qu'il jouisse en buvant ma pisse. Mais surtout, j'avais encore envie de ressentir ce plaisir de me soulager directement dans sa bouche. Luc, dans son état d'excitation n'arriva pas à me résister. Il a plaqué sa bouche grande ouverte sur ma chatte. Je me suis laissée aller... encore une fois... et c'était si bon... J'ai pissé jusqu'à la dernière goutte. Et Luc se branlait tandis qu'il déglutissait. J'ai fini de pisser juste avant qu'il jouisse. Il m'a demandé un kleenex pour s'essuyer et j'en ai pris un pour m'essuyer une nouvelle fois. Je lui lancé : _ Alors ! Heureuse ?
_ C'est bon Sibylle !
_ Quoi ! On peux rigoler !
_ J'ai pas vraiment envie là ! Allez laisse-moi passer maintenant !

Il y avait une certaine lassitude dans sa voix mais j'ai aussi clairement perçu son agacement. A ce moment là j'ai songé que c'était certainement son éjaculation qui avait provoqué son changement de ton. Ça m'apprendra à être gentille j'ai songé. De toute façon, cette fois, j'étais vraiment vide. J'ai soulevé la jambe gauche pour lui ouvrir le passage en répondant : _ Comme tu voudras !

Il s'est déplié en gémissant à cause de la position qu'il avait gardé trop longtemps. En plus, il était trempé de pisse et ne cessait de geindre.
_ Sans déconner, mais comment je vais expliquer ça à ma femme ?

Il a fini par reprendre sa place. Je me suis rhabillée et je lui ai piqué une clope. On a rallumé la radio. Au bout d'un moment, ils ont annoncé que la situation était en voie de s'améliorer vu que les dépanneuses avaient retirées les voitures accidentées et que les chasses neiges avaient pris le relais. On a dû encore poiroter un quart d'heure avant que la circulation ne reprenne. Entre temps, Luc c'était nettoyé comme il avait pu, épuisant sa réserve de kleenex ainsi que la mienne. Il continuait de ronchonner. Moi, je n'avais plus qu'une envie : rentrer chez moi et prendre un bon bain. Même si je n'étais pas sale. Je me sentais souillée par ce que j'avais fait. C'est con parce que j'étais aussi très contente de ce qui c'était passé. Luc a commencé à parler d'autre chose comme si il voulais faire comme si de rien ne s'était passé. Je suis rentrée dans son jeu et on a parlé un peu boulot. Les voitures ont commencé à rouler et on a enfin redémarré. On a fait tout le trajet à quarante à l'heure, en écoutant la radio. Luc était très concentré sur la route et je lui jetais des coups d’œil de temps en temps. La musique meublait le silence entre nous alors que d'habitude nous discutions à bâtons rompu. Il avait l'air décidé à ignorer ce qui c'était passé. Ça m'a énervé parce que tout avait changé entre nous. Je l'avais traité comme la dernière des salopes et il feignait de faire comme si tout était normal, comme si tout allait redevenir comme avant. C'est pour ça que j'ai posé ma main entre ses jambes. Il a sursauté.
_ Eh ! Mais qu'est-ce que ?..
_ Chhhh...

Je me suis amusé à lui caresser doucement l'entrejambe, sentant durcir son sexe à travers son pantalon. Il s'est mis à gémir.
_ Sibylle ! Oh ! Je sais pas si c'est bonne idée. Faut que je reste concentré sur la route.
_ C'est pas agréable peut-être ?
_ Si ! Si !

J'ai descendu ma main plus bas pour lui caresser les couilles. Il a soufflé : _ Ah... c'est...

J'ai serré doucement ma main sur ses couilles. Il a gémit un peu plus fort. J'ai accentué la pression. Il s'est tortillé et j'ai serré un peu plus fort. Il s'est raidi en disant : _ Tu me fait un peu mal là !
_ Ah ouais ? J'ai fait en raffermissant encore davantage ma prise.
_ Aïe ! Sibylle s'il te plaît ! Arrête ! Qu'est-ce que tu fais !
_ Je te tiens par les couilles ! Je me suis exclamée avant d'éclater de rire.
_ C'est pas drôle putain ! Ça fait mal !
_ Tu sais que je te tiens par les couilles hein maintenant ? J'ai continuée narquoise.
_ Arrête on va avoir un accident !
_ T’inquiètes ! A la vitesse où on roule on risque pas grand chose.

J'ai serré d'un bref coup sec et tandis qu'il couinait, ça m'a chatouillé entre les cuisses.
_ Pitié arrête !
_ Pourquoi ? Maintenant que je te tiens par les couilles. Je peux faire ce que je veux. C'est pas vrai peut-être ?
_ Si ! Si ! Mais ne serre pas trop s'il te plaît.
_ Ha ha ! Tout dépend de toi ! Donne-moi une bonne raison de ne pas te les écraser.
_ Mais ! Mais ! T'as pas besoin de faire ça ! Putain !

J'ai encore serré un nouveau coup sec. Et il s'est mis à chouiner, pitoyable.
_ Aïe ! Arrête je t'en supplie !

J'ai adoré l'entendre me supplier. J'ai chantonné : _ Je te tiens par les couilles. Je te tiens par les couilles. Je te tiens par les couilles. Allez à ton tour de chanter, sinon je vais vraiment serrer très fort.

Comme il ne disait rien j'ai encore serré un petit coup et il s'est mis à chanter : _ Tu me tiens par les couilles. Tu me tiens par les couilles.

C'était jouissif mais le ton n'y était pas. J'ai lancé : _ Allez ! Met-y du cœur !
_ Tu me tiens par les couilles. Tu me...

Et son téléphone à sonné. J'ai lâché son entrejambe et saisi son téléphone portable dans le vide proche central. Le nom de sa femme était affiché.
_ C'est ta femme.
_ Attend ! Je...

J'ai décroché sans lui laissé le temps de finir.
_ Allô ?
_ Sibylle ?
_ Ouais, Luc m'a demandé de décrocher. La route est glissante _ Vous en êtes repartis ? Vous en êtes où ?
_ Je sais pas trop. On a pas fait dix bornes. On fait du vingt à l'heure.

Tout en parlant, j'ai glissé ma main entre les jambes de Luc. Il s'est tortillé alors que je rattrapait ses couilles. Sa femme à continué : _ Ça va ? C'est pas trop galère ?
_ Non ça va. On est resté au courant grâce aux infos. Et puis on se tiens compagnie...
_ Ah... Euh... Luc ça va ?
_ Ouais ça va mais heureusement que j'avais de quoi boire sinon il serait mort de soif. Mais, attend, je lui met le téléphone sur l'oreille.

J'ai lâché les couilles de Luc pour faire passer le téléphone dans ma main gauche. J'ai plaqué le téléphone contre son oreille et je me suis tournée pour lui attraper l'entrejambe de la main droite. Je lui ai fait un grand sourire narquois tandis qu'il disait : _ Allô chérie ?
_ _ Ouais ça va. La route est pourrie. Il faut faire vachement gaffe.
_ _ Non. J'en sais rien. Si on continue à ce rythme je serais à la maison d'en moins d'une heure. Ça dépend aussi de l'état de la route entre la sortie et chez Sibylle. Si c'est pas dégagé, on va encore galérer.
_ _ Ouais pas de problème.
_ _ OK. J'essaierais de pas faire trop de bruit.
_ _ Bonne nuit chérie... Je... Je t'aime.

J'ai repris le combiné.
_ Allô ?
_ Ouais Sibylle. Je vais raccrocher, je suis crevée et j'ai une grosse journée demain.
_ OK. Bon ben... bonne nuit alors !
_ Oui merci. Et... soyez prudent.
_ T’inquiètes ! Il est entre de bonnes main ! J'ai dit d'un ton enjoué tout en serrant un petit coup ses testicules. Allez salut !
_ Salut.

_ Ah la jolie petite vue de couple ! J'ai dit à Luc après avoir raccroché.
_ Sibylle ! Tu crois pas que ça suffit maintenant. Je crois que j'ai compris la leçon. Tu peux me lâcher.
_ Bien sûr que je peux te lâcher les burnes. J'ai dit en raffermissant ma poigne. N'empêche que je te tiens.
_ Je sais ! Je sais putain que tu me tiens par les couilles ! Alors qu'est-ce que tu veux bordel ?
_ Et oh ! Sur un autre ton ! Et j'ai resserré en tordant ses boules.

Il a du avoir sacrément mal parce qu'il a crié d'une drôle de voix étranglée et la voiture a fait un écart. J'ai gueulé : _ Putain mais fait gaffe abruti !
_ Oui oui. Pardon. Il a répondu précipitamment avant d'ajouter : Ça fait mal !
_ Tant mieux ! Parce que je veux que tu te souviennes de cette douleur. Je veux qu'elle soit gravé au fer rouge dans ta mémoire. Tu pense que t'en a eu assez ?
_ Oui! Oui !
_ C'est à moi d'en décider ! T'est pas d'accord ?
_ Si si !
_ Je vais te les lâcher, tes petites couilles, ma salope. Et pourtant tu sais que je les tiendrais toujours même quand ma main ne sera plus entre tes jambes. Toute ta vie... toute ta vie, j'aurais la possibilité de te faire très mal. Et la douleur que je peux t'infliger n'est rien comparé à ça.
_ Non non non ! Aïe. A-t-il couiné alors que les lui tordais encore.

J'ai fini par les lui lâcher. Il a soufflé de soulagement avant de dire : _ Merci.
_ Mais de rien ma salope !
_ Sibylle je...

J'ai recommencé à lui caresser la bite. J'avais envie de le sentir bander sous ma main. Il m'a fait : _ Attend ! T'es pas obligé de faire ça...
_ Ta gueule ou je te broie les burnes. T'as pas encore compris que je peux faire tout ce que je veux ?
_ Pardon. Si, si ! J'ai compris !
_ T'est un peu mou du bulbe ! Hein ? Tu commence à piger ! C'est pas trop tôt. T'est à moi ! J'ai dit en serrant son sexe à travers son pantalon.

J'ai senti celui-ci tressaillir et j'ai fait aller et venir ma main, le sentant devenir de plus en plus gros. J'ai fait : _ Voilà... C'est bien... C'est bon ça hein ?
_ Oui.
_ Tu préfère ça j'imagine ?
_ Oui carrément !
_ Je peux être gentille ou méchante. C'est moi qui décide !
_ D'accord Sibylle.
_ D'accord ou pas ça change rien. C'est comme ça ! T'as pas le choix !
_ D'accord quand même ! Écoute ce que j'ai à te dire ! Sybille... T'est pas obligé d'être méchante ou de me menacer. Ce que tu m'a fait c'est... Je me sent...différent. C'est comme si j'avais plus de volonté face à toi. Je devrais te détester, avoir envie de te résister. Mais j'ai pas envie... et ça me fait peur.
_ Peur de quoi ?
_ Peur de tout perdre évidemment, tout ce que j'ai construit : Mon couple, mon travail. Mais c'est plus que ça. J'ai peur de ne plus rien contrôler, d'être un jouet entre tes mains. Mais j'en ai terriblement envie. J'ai envie de sauter dans le vide avec toi, de t'obéir quoi que tu me demande. Même si tu me menace pas. Parce que ce que tu m'a fait...
_ De te pisser dessus !
_ Oui et je crois que c'est ça qui à tout déclenché mais pas que ! Quand tu m'a frappé, c'était comme si je ne pouvais pas faire autrement que de l'accepter parce que je pense que j'en ai... besoin. Même si ça fait mal. C'est plus fort que moi tu comprend, j'ai envie de me... de me... soumettre à toi ! Même si tu me menace pas tu comprend ! J'ai envie de ramper à tes pieds sur un claquement de doigt. J'ai envie de te servir comme une reine. Tu m'a toujours attiré Sibylle. Tu est tellement belle ! Je crois que je suis éperdument amoureux de toi en fait.
_ Et bien ! Ça c'est de la déclaration ! J'ai bien envie d'y croire mais permet moi d'en douter. Quelle excellente stratégie pour éviter de te faire malmener !
_ Non, je te jure que non Sibylle. C'est pas calculé. Je te jure. Je... Je... Je t'aime ! C'est aussi simple que ça. Je t'aime plus que tout.
_ D'accord ! On va faire comme si c'était vrai. Tu renonce librement à ta liberté et tu te soumet à moi totalement, on est d'accord ?
_ Oui.
_ Alors mon premier ordre de Reine sera... Donne moi ton code de carte bleu !
_ C'est heu...
_ Alors ! Je te préviens que je vais essayer pour voir si tu m'a menti.
_ 23-42.
_ Ok... Donne moi ta carte !
_ Elle... Elle est dans la poche intérieur de ma veste, derrière.
Je me suis retournée pour prendre sa veste sur la banquette arrière et je lui ai fait les poches. J'ai trouvé son porteuf et j'ai fouillé dedans. Il y avait quelques billets. Je les ai fait disparaître dans ma poche. J'ai trouvé sa carte et je l'ai rangé dans mon sac à main.
_ Je te préviens que si tu m'a menti, tu vas dérouiller.
_ J'ai pas menti je te jure mais Sibylle...
_ Quoi !
_ Si tu me vide le compte en banque ma femme elle va capter !
_ C'est ton problème ! Mais c'est pas ce que je compte faire. Je suis pas complètement conne ! Il vaux mieux que tu me « dépanne » par-ci, par-là. Ça me permettra d'améliorer l'ordinaire. Sinon, maintenant que j'y pense, au boulot, tu peux certainement faire quelque chose d'utile.
_ Quoi ?
_ Je veux que tu m'aide à dégager l'autre con.
_ Qui ça, Fred ?
_ Ouais.
_ Virer le chef de service, c'est pas une mince affaire. Surtout qu'on a pas grand chose à lui reprocher.
_ Parle pour toi ! T'est pas une meuf ! T'as pas capté comment il est toujours sur mon dos. D'ailleurs, il est sur le dos de toutes les filles du bureau. C'est un putain de Macho ! Alors tu va m'aider à monter la tête à tout le monde contre lui et quand il se sera barré, la place sera pour moi.
_ Mais Sibylle, pour être chef de service, il te faut le diplôme.
_ Je sais ! Qu'est-ce que tu crois ? Je me suis renseignée idiot ! Et je sais ce que ça coûte ! Mais maintenant que j'ai un généreux donateur...
_ Ok. Je sais pas comment on va s'y prendre mais je suis avec toi.
_ Bien sûr que t'est avec moi, mon petit soumis ! Tu vas me payer la formation, dégommer l'autre abruti pour moi et après je serais ta chef ! Tu va participer activement à mon ascension professionnelle et après je te donnerais des ordres et tu pourra être mon souffre douleur aux yeux de tous ! Je suis sûre que ça te fais envie pas vrai ?
_ Oui ! Oui ! Je veux faire ça ! D'ailleurs, il y a aussi des mecs qui se plaignent de Fred au bureau, je vais attiser ça. Et puis, je vais dire à tout le monde à quel point tu est une fille bien. Le jour où tu postulera tout le monde sera derrière toi.
_ Et tu me dira tout ce que les autres disent de moi dans mon dos !
_ Oui ! Comme ça tu pourra réagir si il y en a qui sont contre toi et les mettre dans ta poche.
_ Et les faire payer le moment venu !
_ Oui ! Putain Sibylle ! Je vais te servir ! Je serais ton espion, ton serviteur dévoué.
_ Ouais ! Et moi pour te récompenser, je te pisserais à la gueule !
_ Oui !
_ Ha ha ha ! Tu fantasme dur la hein ? J'ai dit en reposant ma main entre ses cuisses.

Sa bite était bien dure. Je me suis exclamé : _ Ça ment pas ça ! Mon petit soumis. Mon esclave ! Peut-être bien qu'un jour je t'ordonnerais de quitter ta femme pour moi. En attendant évite de lui faire un gosse ça compliquerait les choses le moment venu. Je prend le contrôle sur ta vie ! C'est trop bon ! Et toi, pauvre idiot, tu vas vivre sous ma domination jusqu'à ce que je me lasse de toi ! Tu fera mon bonheur mais moi, je ne ferais pas le tien ! Même si tu quitte ta femme pour moi, j'irais voir ailleurs. Je baiserais avec qui je veux et toi tu sera réduit à être mon pot de chambre ! Ha ha ha !

On est arrivé prés de la sortie d'autoroute. Ça circulait pas trop mal en ville. Je lui ai donné l'ordre de s'arrêter devant un guichet automatique. Il est resté dans la voiture. J'ai testé sa carte et je me suis retrouvée avec quelques billets de plus dans la poche. C'était vraiment une super sensation que de prendre conscience que je pouvais me servir à volonté. Je suis remontée dans la voiture et je lui ai rendu sa carte sans lui dire combien j'avais retiré. Il n'a pas posé la question et j'ai apprécié même si je sentais qu'il était super tendu à l'idée que je pouvais lui taper un gros paquet de fric. Mais, comme je lui avait dit, je ne comptait pas le dépouiller, plutôt le ponctionner régulièrement. On est arrivé dans ma rue. Il y avait beaucoup de neige mais je lui ai ordonné de me ramener jusque devant chez moi. Le quartier était calme, pas un chat dans les rues. Une fois devant ma porte. J'ai dit : _ Et la porte ? Elle va s'ouvrir toute seule ?
_ Ah ! Euh ! Pardon !

Il est sorti précipitamment pour m'ouvrir la portière. Voyant toute la neige dans laquelle je devais marcher avec mes converses, j'ai dit : _ Si tu était bien élevé, tu poserais ta veste par terre pour m'éviter de marcher dans la neige !

Il a ouvert la porte arrière, saisi sa veste et l'a étalé sur le sol à mes pieds pendant que je récupérait ses clopes pour les faire disparaître dans mon sac à main. En sortant, j'ai piétiné sa veste en le toisant et j'ai dit : _ Désormais quand tu viendra me chercher et que tu me ramènera, tu m'ouvrira la portière !

Puis voyant les quelques pas qu'il me restait à faire pour aller dans l'entrée j'ai dit : _ Je ne veux pas me mouiller les pieds ! Porte-moi !

Il a voulu me saisir par la taille mais je l'ai repoussé : _ Sur ton dos ! Imbécile !

Il s'est retourné et penché en avant.
_Plus bas ! Encore !

Il s'est penché davantage et a fléchit les genoux attendant mon bon vouloir. Il avait l'air tellement ridicule que je n'ai pas résisté à l'envie de lui balancer un coup de pied au cul en éclatant de rire. Il s'est étalé dans la neige. Il n'a pas pu s'empêcher de protester. Son amour propre avait encore pris un sacré coup mais entre mes jambes c'était bien agréable. Il c'est relevé et m'a dévisagé, en serrant les dents. J'ai dit : _ Qu'est-ce que t'as ? T'est pas content ?

Et je lui ai mis une gifle. Il a encaissé sans broncher mais toujours avec l'air énervé. Je l'ai engueulé : _ T'en veut encore ? Pauvre merde ! Tu as envie de m'en coller une j'imagine. Qu'est-ce qui te retiens ? Tu crois que t'en est capable ? Bien sûr que non ! Au fond tu sais que tu la mérite ! Pauvre con va ! Tiens !

Et je lui ai balancé une nouvelle paire de gifle. Il a baissé le regard. J'ai ricané : _ C'est ça baisse les yeux devant moi. T'as qu'as te mettre à quatre pattes puisque t'est même pas capable de tenir sur tes jambes !

Il s'est exécuté et je me suis installée sur son dos. Quel pied ! Il a franchi les derniers mètres me séparant de la porte d'entrée, les mains et les genoux dans la neige en geignant, tandis que je ricanait, assise sur son dos. C'est ainsi que je suis arrivée à pied sec jusqu'à l'entrée même de la maison de ma mère. Il s'est relevé et a épousseté la neige. Il a fini par se tenir devant moi. Sa tenue était épouvantable. Sa chemise détrempé lui collait au torse et il frissonnait. Voyant que mon regard s'attardait dessus, il m'a dit : _ Euh Sibylle, tu m'avais dit que je pourrais me nettoyer ici avant de repartir.
_ Ta femme est au lit il me semble ! T'auras qu'a faire tourner une machine en arrivant. Et puis ! Pour qui tu te prend pour réclamer !
_ C'est vrai ! Pardon. A-t-il répondu en baissant la tête.

Je lui ai collé une baffe : _ Tiens ça t'apprendra ! Bon demain tu te pointe à 8h avec le café et les croissants. Je déjeunerais dans la voiture comme ça je pourrais dormir plus longtemps demain matin. Tu passe a la boulangerie du coin, ils font des cafés à emporter. Tu prendra un grand. Ils te servent dans ces gobelets en cartons avec un petit couvercle en plastique. Ce genre de truc ça peut être bien pratique en cas de besoin. Tu vois ce que je veux dire ? Allez dégage maintenant !

J'ai tourné les talons et je suis rentré chez moi. Je l'ai entendu partir à travers la porte. Ma mère à appelé du salon : _ Sibylle ? Tu dois être crevée ma chérie ? Comment ça va ?
_ Salut. Ça va maman.
_ Bon ! Si t'a faim, le repas est prêt. Il n'y a plus qu'a réchauffer.
_ Tout à l'heure ! Là j'ai juste envie d'un bain.

Je me suis fait couler un bon bain chaud et je me suis allongée dedans. J'ai laissé défiler avec plaisir le souvenir de ces dernières heures en me caressant doucement. J'imaginais la langue de Luc entre mes jambes, entre mes fesses. Luc, mon esclave ! La sensation de pouvoir... Toutes ces possibilités que cela m'ouvrait... Ma main c'est activé de plus belle et quand j'ai joui, ma vessie c'est vidée, imaginant son visage entre mes cuisses.

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