L'embouteillage 2
Récit érotique écrit par Luc helce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'embouteillage 2
Malheureusement, cet instant magique ne dura en tout et pour tout que trois secondes environ. J'avais expulsé ma pisse avec tant de force qu'il ne pouvait pas suivre. Il se mit à gémir désespérément en tapant frénétiquement sur le siège. Au prix d'un incroyable effort de volonté, je contractait mon périnée. Luc a gardé quelques instants la bouche collé à ma chatte et je l'ai entendu déglutir. Ce son m'a procuré du plaisir. Mon pipi était maintenant à l'intérieur de lui. Il s'est détaché de moi et a eu un haut de cœur. Je n'ai pas pu m'empêcher de pouffer de rire. Il repris son souffle avant de faire : _ Désolé.
_ Ça va ? J'ai demandé sur un ton moqueur _ Ouais mais... C'est... fort.
_ Pfff ! Tu m'étonnes. Et bien maintenant tu sais le goût que ça a !
_ Ouais, ben....
_ C'est bon ?
_ Pas trop non...
Il avait l'air tellement dépité le pauvre. J'éprouvais encore plus de plaisir. Lui qui avait cru prendre du plaisir grâce à moi. Finalement, c'était moi qui en avait pris sur son dos. J'ai poursuivi, ironique : _ Ben c'est quand même bien. T'as réalisé ton fantasme !
_ Ouais... Mais entre le fantasme et la réalité...
_ C'est pas pareil !
_ Non, c'est pas pareil. Putain, j'ai l'impression d'en avoir sur ma chemise ! Tu peux allumer s'il te plaît ?
_ Non. Je suis le cul à l'air je te rappelle et j'ai pas envie qu'on puisse me voir a travers la vitre. Par contre, ça serait bien qu'on continue parce que j'ai presque rien fait là je te signale.
_ Écoute Sibylle... Heu... Je sais pas si c'est une bonne idée.
_ Attend tu plaisante ! Après le cinéma que tu m'a fait !
_ Pardon mais je savais pas que... que ça serait comme ça !
_ Alors ça y est maintenant que tu a réalisé ton sale petit fantasme, tu va me laisser comme ça ! C'est dégueulasse de me faire ça. J'ai eu un mal de chien à m'arrêter de pisser mais je l'ai fait parce que je voulais pas être salope. Putain si j'avais su ! C'est vraiment un comble, maintenant que j'ai accepté ça, toi tu te débine parce que c'est pas comme dans tes rêves !
_ Attend Sibylle ! Je voulais vraiment t'aider et comme j'avais ce fantasme j'ai pensé...
_ Putain, ta gueule ! Épargne-moi ton discours du bon samaritain parce que si voulais vraiment être sympa, t'assumerais ta proposition, fantasme ou pas. Mais c'est bon j'ai compris ! T'est comme les autres ! T'est bien un mec ! A vouloir prendre ton pied, par contre dès qu'il s'agit d'assumer il n'y a plus personne.
Il est resté la tête basse avant de dire.
_ Je croyais que tu trouvais ça dégueulasse...
Je me suis faite plus douce : _ Bien sûr que je trouve ça affreux, de faire un truc pareil... Si seulement, j'avais pas autant envie... Tu pense bien...
_ Bon ok. Mais vas-y doucement s'il-te-plaît. Il a dit, d'un ton résigné.
_ T'inquiètes. Allez ! Met ta bouche contre ma chatte !
La grosse giclée que je lui avais collé dans le gosier m'avais assez soulagé pour gagner un peu de répit mais comme vous l'avez compris, j'avais terriblement envie de recommencer. Dans la pénombre, j'espérais qu'il prendrait mon sourire pour du soulagement mais c'est un sentiment de triomphe qui m'habitait maintenant. Tandis qu'il venait coller sa bouche sur mon sexe, j'avançais mon bassin et écartait davantage les cuisses. Luc, glissa ses mains sur mes hanches. Je sentais, mon clito, tout dur dans sa bouche grande ouverte. J'avais le sentiment de lui baiser la bouche. Et j'allais la lui baiser en pissant dedans. J'ai gémis de plaisir avant de dire : _ Putain c'est sensible à cet endroit là ! Je veux pas profiter de la situation mais si t'as envie de me lécher la chatte c'est le moment ou jamais.
Ah ! Le gentil Luc ! Sa langue c'est enfoncé en moi et est remontée vers mon clitoris. Quand il a rencontré celui-ci, il s'est mis à le caresser, le titiller, me faisant gémir de plaisir. Je me suis penchée en avant, haletante, et j'ai posé ma main à l'arrière de son crâne, plaquant fermement son visage entre mes cuisses. J'ai gémis : _ Ouvre grand !
Et j'ai balancé une giclée de pipi, sans pouvoir me retenir de m'écrier : _ Oui putain !
Et même si je retrouvait cette délicieuse sensation décrite plus haut, il manquait, et manquera toujours, le plaisir de la première fois. N'empêche ! Qu'est-ce que c'était agréable ! Cette fois, j'avais géré mon jet, lui laissant le temps d'avaler avant de lui envoyer une nouvelle giclée, un peu plus longue. Il a avalé comme il a pu. J'ai bien senti qu'il avait du mal et il avait tendance à vouloir décoller sa figure mais je lui ai maintenu fermement la tête en place. J'ai décidé d'attendre un peu avant de lui en remettre une dans le gosier. J'ai dit : _ On va y aller tranquille. Ça commence à aller mieux. Je te préviendrais quand je recommencerais à pisser. Tu peux me lécher en attendant.
J'ai relâché la pression sur sa nuque et je lui ai caressé la tête pour l'encourager. Luc à recommencé à me lécher. « Bonne chienne », je pensais en mon fort intérieur. Il savait bien s'y prendre, alertant les coups de langues entre mes petites lèvres et sur mon clito. J'ai songé à la chance qu'avait sa femme, car c'est clair que ses caresses témoignaient d'une pratique régulière. De temps en temps, il me suçait le clitoris, l'aspirant entre ses lèvres et faisant rapidement aller et venir le bout de sa langue dessus. Puis il revenait laper la cyprine qui s'écoulait de mon sexe. C'était divin. J'ai commencé à onduler naturellement du bassin sous ses coups de langues. J'ai soufflé : _ Putain tu lèche trop bien.
_ Ma femme, je la fait jouir comme ça en moins de cinq minutes. M'a-il répondu avec une pointe de fierté.
Ça m'a gonflé ! Qu'il trouve le moyen de faire le malin dans sa situation. Putain mais pour qui il se prenait ! J'ai répondu sèchement : _ Me parle pas de ta femme. Lèche moi et ferme ta gueule ! Je m'en fout de ta femme. Je l'emmerde. T'est à moi maintenant ! Tu vas voir moi si je tiens pas plus de cinq minutes ! Allez ouvre grand salope !
Il a ouvert la bouche et j'ai envoyé un long jet, bien puissant, non sans oublier d'enfoncer mes doigts dans sa nuque. Je me suis écrié : _ Avale ! Avale espèce de chienne !
A ce moment là, j'ai senti que ça ne se passait pas trop bien pour lui. Il s'est mis à tousser la bouche toujours collé à mon sexe et le pipi c'est échappé de sa bouche, me trempant les fesses. Je l'ai lâché en gueulant : _ A bravo ! Putain, t'en a mis partout !
Mais il ne m'écoutait pas. Il s'était redressé et éructait comme s'il allait vomir. Il a eu le réflexe de se tourner vers la portière dont il a saisi la poignée pendant que j'ai relevé vivement les jambes. J'ai eu un instant de panique. Je me suis dit : « Il va ouvrir la porte pour gerber et la bagnole à coté va me voir les fesses à l'air ! » Heureusement, ça c'est calmé. Il a réussi à ne pas dégueuler. Mais j'avais le sentiment qu'on était passé à deux doigts de la catastrophe. Luc, encore incapable de parler, a contenu les derniers haut de cœur en me faisant signe avec les mains que ça allait. Moi, j'ai choppé des kleenex dans mon sac et je me suis essuyé les fesses. J'ai entrepris d'essuyer le siège, alors que Luc bafouillait : _ Désolé ! J'ai... avalé de travers.
_ Ouais et ben quand on sait pas boire, on fait pas le malin ! J'ai lancé, rageuse, faute de meilleure répartie.
Mais à ce moment là, j'étais tellement verte ! Son plan gerby m'avais carrément cassé mon délire. Quoi de plus écœurant que ces bruits de régurgitation ? Pour le siège, j'étais surprise de constater qu'il était à peine humide. Il avait quand même réussi a en avaler pas mal. J'ai repris ma position. Je voyais bien qu'il avait envie d'en rester là, il faisait mine de vouloir se relever mais il était obligé d'attendre que je me pousse. Il a fini par essayer de se relever, tentant de forcer doucement le passage. J'ai négligemment posé mes pieds sur ses épaules, le forçant à se rasseoir, en demandant : _ Tu fais quoi là ?
_ Écoute Sibylle, on va en rester là. Je peux pas. Désolé...
_ Tu fantasme plus on dirait !
_ Non pas trop là...
_ En fait, il fallait que tu le fasse pour te rendre compte que t'aimais pas ça. On peux dire que je t'ai guéri de ton fantasme non ?
_ Ouais on peux dire ça... Tu peux me laisser passer s'il te plaît ?
_ Pourquoi ?
_ Ben... euh... T'as bien vu ! J'y arrive pas !
_ Et alors ? On est pas mal là non ?
_ Oui heu... Mais si les voitures redémarrent ?
_ Si ça redémarre, je te laisserais passer mais en attendant...
Je désignai mon entrejambe en souriant.
_ T'as... encore envie ?
_ Ça va mieux mais... Ouais ! Il en reste encore beaucoup, je le sens mais... Je peux me retenir . Par contre... Ça serait bien si tu pouvais me lécher encore un peu.
_ Ah !... Je sais pas... J'ai plus trop la tête à ça !
_ Allez ! On est plus à ça près ! En plus tu lèche divinement bien !
_ C'est vrai ?
_ Ouais carrément.
_ Merci. A-t-il répondu, un peu ému.
_ Alors ? J'ai fait, coquine, en frottant doucement mon pied droit, toujours sur son épaule.
_ Ok, mais... heu... Tu vas encore ?
_ Pisser ?
_ Heu...
_ Écoute, je sais pas, on verra. Si j'arrive pas à me retenir, je te préviendrais. Ok ?
En fait, je comptais bien lui mettre encore un maximum de giclées au fond de la gorge.
_ Ok mais c'est pas ça que je voulais dire... Est-ce que tu va aussi ?...
_ Putain !Quoi encore !?
_ Ben ça justement! T'énerver sur moi, de me traiter... De me parler mal quoi !
_ Ah ça !... Putain mais t'est une vrai chochotte ! Tu veux bien que je te pisse à la gueule mais si j'ai le malheur de t'insulter un petit peu, je froisse la susceptibilité de môsieur. Putain mais quand vous baisez avec ta femme, ça t'arrive jamais de lui parler crûment ?
_ Ben non en fait !
_ Ben vous devriez ! C'est quand même beaucoup plus excitant ! En tout cas moi ça m'excite ! Tu l'a jamais traité de salope pendant que vous baisiez ?
_ Non.
_ Et bien avec moi c'est comme ça ! Allez lèche moi la chatte maintenant salope !
_ Sibylle... Fit-il sur un air faussement réprobateur.
_ Allez c'est cool ! C'est juste pour le fun ! Allez vas-y, t'en meurs d'envie... salope.
Je l'entendis soupirer, résigné, vaincu. Puis, il avança son visage entre mes jambes. Je sentis mon clito durcir tandis que j'écartais grand les jambes, offrant mon sexe à ses coups de langue. Pour ce qui est du langage cru, c'est vrai que de temps en temps j'étais tombé sur des mecs qui me traitaient de pute ou de salope pendant qu'on baisait mais c'était plutôt rare. Même si c'était pas trop ma came, j'avais aimé le coté bestial de la chose. Par contre, jamais je m'étais permise d'insulter un mec pendant la baise. Mais là, déjà, avec ce qu'il m'avait proposé, ce truc dégueulasse, je me sentais en droit de lui parler mal ne serait-ce que pour le faire culpabiliser mais en plus, je l'avais traité comme ça d'instinct et c'était divinement bon. C'était lui qui était a genoux devant moi, c'était lui qui se faisait pisser à la gueule. Moi, j'étais en position de force et c'était encore meilleur d'avoir la sensation de l'obliger à me lécher comme une bonne petite chienne obéissante. Il fallait que je lui pisse encore dans la bouche, c'était vraiment trop top de lui faire ça. Quand il a recommencé à me lécher j'ai soupiré : _ Ah ouais... hum... Vas-y lèche-moi ! Tu fais ça trop bien.
Et c'était vrai ! Ce petit salopard jouait de sa langue comme un virtuose. Moi, je profitais à fond, ma chatte palpitante d'excitation et dégoulinante de cyprine. J'avais toujours dans l'idée de me soulager dans sa bouche et cette envie m'excitait au plus haut point. Sachant qu'il avait admis le fait que pour moi, la vulgarité était source de plaisir, je me suis payé le luxe de lui parler comme une merde : _ T'aimes ça hein ? Salope ! Une sale pute qui se fait pisser à la gueule ! Putain tu lèche trop bien ! Vas-vis, suce-moi le clito ! Fais-moi du bien !
J'ai posé mes pieds sur le tableau de bord, les jambes largement écartées, mécaniquement, mon bassin à pivoté vers le haut et Luc à glissé sa langue entre mes fesses. C'est marrant parce que mon premier réflexe à été de trouver ça complètement « déplacé », pourtant on avait déjà fait largement pire. Il faut dire que personne ne m'avais jamais léché le trou du cul et ma morale, mon éducation, comme un réflexe d'une pensée acquise par toutes les règles de bienséances inculquées depuis mon enfance ( Tu dois être polie, dire bonjour, te laver les mains avant de passer à table) venait d'être heurtée de plein fouet par cette langue qui titillait vicieusement mon anus. Putain que c'était agréable, si délicieusement « déplacé » ! Je l'insultait de plus belle : _ Oh putain ! Oui ! C'est trop bon ! Lèche-moi bien le cul.... Espèce de pute... Oui ! Ça me donne envie de pisser ! Putain ! Je vais te pisser dessus ! Putain ! C'est tout ce que tu mérite !
Et c'était vrai que ses coups de langues sur mon anus avaient accentuées mon envie de pisser. Mais Luc essaya de négocier. Il s'est arrêté de me lécher et m'a dit : _ Sibylle, je sais pas si...
_ Ta gueule ! Je m'en fous ! Je peux plus me retenir. Il faut que je pisse tout de suite !
Luc ne chercha pas a comprendre, craignant que je pisse partout, il colla sa bouche contre ma vulve. J'ai murmuré : _ Oui... c'est ça... Salope !
Et j'ai ouvert les vannes. Et, plutôt que que de forcer sur mon périnée, cette fois, j'ai simplement laissé couler. J'ai fermé les yeux et me suis détendue, profitant pleinement du soulagement procuré par le simple fait de pisser. A ce moment là, je me foutais que Luc puisse suivre ou pas. J'ai pissé comme je l'aurais fait en arrivant chez moi, après une longue journée de travail, assise sur mes toilettes, profitant du soulagement procuré par ma vessie qui se vide enfin. Et que ce soit la bouche de Luc qui me serve de chiotte, c'était encore plus agréable. Je ne comptais pas m'arrêter avant d'avoir fini. Me vider, profiter de la bouche offerte par cet imbécile. Il est resté bien sagement plaqué sur mon sexe à déglutir au fur et a mesure que la pression diminuait dans mon bas ventre. Cette sensation de soulagement était divine et je soupirais d'aise. Il aurait arrêté d'avaler que je n'aurais pas pour autant arrêté de pisser. Je me foutais de lui arroser la figure de pisse. Il était coincé et il le savait aussi bien que moi. Un peu avant que j'en termine il c'est mis à gémir. J'ai fait simplement : _ Allez c'est presque fini.
Il c'est attelé à tout boire jusqu'à la dernière goûte. Puis il a reculé son visage en reprenant sa respiration.
_ Alors, ça t'as plu ? J'ai fait, narquoise.
_ Espèce de... salope ! Je t'avais dit que je voulais plus. Et toi t'as, t'as...
_ Allez c'est bon ! T'avais qu'as pas proposer. Et puis tu me traites pas de salope. C'est toi le gros pervers.
_ Putain mais t'était pas obligé de... de...
_ De quoi !
_ De... tout faire ! De... Merde, j'ai l'impression d'avoir avalé un litre !
J'ai éclaté de rire. Ça a été plus fort que moi. Il avait l'air tellement dégoûté le pauvre ! Cet abruti, je lui avais donné une bonne leçon ! J'ai fini par reprendre ma contenance et je lui ai dit : _ Au moins maintenant tu peux dire que tu a réalisé ton fantasme !
_ Tu savais que je voulais plus !
_ Et alors ?
_ Ben heu... Laisse tomber...
_ C'est ça : laisser tomber...Va te faire foutre ! T'as rien à dire. C'est quand même toi qui m'a proposé ce plan tordu. Normal que j'en profite ! Tu veux que je te dise ? T'est qu'un putain d'égoïste ! Tu dis que tu veux m'aider mais quand t'a réalisé ton fantasme et que t'a vu que t'aimais pas ça, alors plus question de m'aider. C'est bien fait pour ta gueule ! En plus je te ferais remarquer que j'ai fait gaffe de pas pisser trop fort. Franchement si j'avais vraiment voulu être salope j'aurais pu t'en foutre plein la gueule ! Alors tu garde tes reproches. Tu peux t'en prendre qu'a toi même et tu devrais me remercier plutôt que de jouer les pauvres petites victimes.
_ Désolé Sibylle, j'avais pas imaginé ça comme ça c'est tout. J'aurais jamais dû te le proposer. Je regrette.
_ Tu peux regretter oui ! Tu te rend compte ce que tu m'a fait faire ? Quel genre de mec tu es ? T'est un dégénéré et ça me dégoûte d'avoir fait un truc aussi dégueulasse. Le seul avantage c'est qu'on a réglé le problème. Alors que tu trouve ça aussi dégueulasse que moi ça me va.
_ Excuse... C'est vrai t'as raison. On en parle plus d'accord ?
_ Ok mais tu me lèche encore !
_ Ah...
_ Quoi ! C'est quoi le problème ? T'as autre chose de mieux à faire ?
_ Non...
_ Allez au travail salope !
Luc se remis alors à me lécher. Je sentais qu'il n'y mettait pas trop d'entrain mais ça ne m'a pas gêné. J'étais bien calé dans le siège auto, ma vessie soulagé, une langue servile me caressant doucement l'entrejambe. Il y avait pire comme situation ! Ça me plaisait bien de voir comment il était devenu obéissant. A ce moment là, je me souviens que je me suis sentie vachement forte. J'étais fière de moi. Le pauvre, je lui avait retourné le cerveau. En plus, il s'appliquait ce con ! Et même si c'était vachement agréable de se faire gentiment butiner le minou, j'étais moins excitée maintenant que j'avais pissé. D'ailleurs, j'aurais bien aimée avoir encore envie. Du coup, j'ai attrapé ma bouteille d'eau. Luc s'est arrêté pour me regarder faire. J'ai vidé la moitié de ma bouteille d'un trait. L'eau fraîche m'a fait du bien. Luc me regardait, il avait l'air embêté.
_ Qu'est-ce qui y a ? J'ai fait.
_ Heu t'as pas peur de... d'avoir encore envie de...
_ Putain mais tu te prend pour qui ? J'ai besoin de ta permission peut-être ? J'ai encore le droit de boire ! T'est pas ma mère !
_ Excuse...
_ Allez lèche-moi plutôt que de dire des conneries.
_ Heu Sibylle ?
_ Quoi encore ?!
_ Je peux en avoir aussi, de l'eau ?
_ T'as encore soif ? J'ai demandé en pouffant de rire.
_ C'est pour faire passer le goût !
J'ai ricané : _ Tu m'étonnes !
Je lui ai tendu la bouteille et quand il allait s'en saisir, je me suis ravisée et l'ai récupéré en disant : _ Attend ! On sais pas pour combien de temps on va devoir attendre. Il vaut mieux rationner.
_ Putain Sibylle !
_ Je déconne pas ! On pourrait très bien passer la nuit ici. Alors tu m'excusera mais l'eau je me la garde. Toi t'en as pas besoin.
_ T'est dégueulasse !
_ Non, je suis réaliste. T'as déjà bien bu il me semble alors que moi, j'ai vraiment soif. Et puis toi, si t'as encore soif, je pourrais encore te pisser dans la bouche.
_ Mais... Mais... c'est pas... J'aime pas trop, en fait !
_ Tu sais ce qu'on dit : « A la guerre comme à la guerre. » T'as qu'a voir le coté pratique de la chose. Avec une bouteille d'eau, on bois deux fois.
_ Peut-être mais... je voudrais juste une gorgée !
_ Non !
Ce mot claqua comme un fouet. Ferme et définitif, ne souffrant pas la contradiction, ma décision était irrévocable. Luc le sentit car il n'osa pas réclamer à nouveau. Ça me faisait plaisir d'être aussi dure avec lui. J'étais contente de savoir qu'il avait le goût de ma pisse dans la bouche et je ne voulais pas que ça s'arrête. Pour le narguer, j'ai agité ma bouteille devant lui avant d'en reprendre une gorgée. J'ai fait exagérément du bruit avec ma bouche pour le faire râler encore plus. Il a soufflé sans rien dire. J'ai dit : _ Bon ! Tu compte attendre encore longtemps ?
_ Quoi ?
_ Je te rappelle que tu est censé me faire jouir avec ta langue. Soi-disant en moins de cinq minutes, d'ailleurs !
_ Non mais Sibylle... Tu peux pas me traiter comme ça !
_ Pourquoi pas ? Tu l'as pas mérité peut-être ?
_ Peut-être mais c'est bon là ! J'ai assez donné là ! Putain j'ai même pas droit à une gorgée de flotte !
_ Tu sais quoi ? T'as raison. Laisse tomber. Garde ta langue dans ta bouche. Je m'en fous que tu me lèche ou pas. De toute façon, j'ai connu vachement mieux comme cunni ! Par contre... Je me demande ce que vont penser les collègues au bureau quand je vais leur raconter que tu m'a demandé de te pisser dessus.
_ Ça va ? J'ai demandé sur un ton moqueur _ Ouais mais... C'est... fort.
_ Pfff ! Tu m'étonnes. Et bien maintenant tu sais le goût que ça a !
_ Ouais, ben....
_ C'est bon ?
_ Pas trop non...
Il avait l'air tellement dépité le pauvre. J'éprouvais encore plus de plaisir. Lui qui avait cru prendre du plaisir grâce à moi. Finalement, c'était moi qui en avait pris sur son dos. J'ai poursuivi, ironique : _ Ben c'est quand même bien. T'as réalisé ton fantasme !
_ Ouais... Mais entre le fantasme et la réalité...
_ C'est pas pareil !
_ Non, c'est pas pareil. Putain, j'ai l'impression d'en avoir sur ma chemise ! Tu peux allumer s'il te plaît ?
_ Non. Je suis le cul à l'air je te rappelle et j'ai pas envie qu'on puisse me voir a travers la vitre. Par contre, ça serait bien qu'on continue parce que j'ai presque rien fait là je te signale.
_ Écoute Sibylle... Heu... Je sais pas si c'est une bonne idée.
_ Attend tu plaisante ! Après le cinéma que tu m'a fait !
_ Pardon mais je savais pas que... que ça serait comme ça !
_ Alors ça y est maintenant que tu a réalisé ton sale petit fantasme, tu va me laisser comme ça ! C'est dégueulasse de me faire ça. J'ai eu un mal de chien à m'arrêter de pisser mais je l'ai fait parce que je voulais pas être salope. Putain si j'avais su ! C'est vraiment un comble, maintenant que j'ai accepté ça, toi tu te débine parce que c'est pas comme dans tes rêves !
_ Attend Sibylle ! Je voulais vraiment t'aider et comme j'avais ce fantasme j'ai pensé...
_ Putain, ta gueule ! Épargne-moi ton discours du bon samaritain parce que si voulais vraiment être sympa, t'assumerais ta proposition, fantasme ou pas. Mais c'est bon j'ai compris ! T'est comme les autres ! T'est bien un mec ! A vouloir prendre ton pied, par contre dès qu'il s'agit d'assumer il n'y a plus personne.
Il est resté la tête basse avant de dire.
_ Je croyais que tu trouvais ça dégueulasse...
Je me suis faite plus douce : _ Bien sûr que je trouve ça affreux, de faire un truc pareil... Si seulement, j'avais pas autant envie... Tu pense bien...
_ Bon ok. Mais vas-y doucement s'il-te-plaît. Il a dit, d'un ton résigné.
_ T'inquiètes. Allez ! Met ta bouche contre ma chatte !
La grosse giclée que je lui avais collé dans le gosier m'avais assez soulagé pour gagner un peu de répit mais comme vous l'avez compris, j'avais terriblement envie de recommencer. Dans la pénombre, j'espérais qu'il prendrait mon sourire pour du soulagement mais c'est un sentiment de triomphe qui m'habitait maintenant. Tandis qu'il venait coller sa bouche sur mon sexe, j'avançais mon bassin et écartait davantage les cuisses. Luc, glissa ses mains sur mes hanches. Je sentais, mon clito, tout dur dans sa bouche grande ouverte. J'avais le sentiment de lui baiser la bouche. Et j'allais la lui baiser en pissant dedans. J'ai gémis de plaisir avant de dire : _ Putain c'est sensible à cet endroit là ! Je veux pas profiter de la situation mais si t'as envie de me lécher la chatte c'est le moment ou jamais.
Ah ! Le gentil Luc ! Sa langue c'est enfoncé en moi et est remontée vers mon clitoris. Quand il a rencontré celui-ci, il s'est mis à le caresser, le titiller, me faisant gémir de plaisir. Je me suis penchée en avant, haletante, et j'ai posé ma main à l'arrière de son crâne, plaquant fermement son visage entre mes cuisses. J'ai gémis : _ Ouvre grand !
Et j'ai balancé une giclée de pipi, sans pouvoir me retenir de m'écrier : _ Oui putain !
Et même si je retrouvait cette délicieuse sensation décrite plus haut, il manquait, et manquera toujours, le plaisir de la première fois. N'empêche ! Qu'est-ce que c'était agréable ! Cette fois, j'avais géré mon jet, lui laissant le temps d'avaler avant de lui envoyer une nouvelle giclée, un peu plus longue. Il a avalé comme il a pu. J'ai bien senti qu'il avait du mal et il avait tendance à vouloir décoller sa figure mais je lui ai maintenu fermement la tête en place. J'ai décidé d'attendre un peu avant de lui en remettre une dans le gosier. J'ai dit : _ On va y aller tranquille. Ça commence à aller mieux. Je te préviendrais quand je recommencerais à pisser. Tu peux me lécher en attendant.
J'ai relâché la pression sur sa nuque et je lui ai caressé la tête pour l'encourager. Luc à recommencé à me lécher. « Bonne chienne », je pensais en mon fort intérieur. Il savait bien s'y prendre, alertant les coups de langues entre mes petites lèvres et sur mon clito. J'ai songé à la chance qu'avait sa femme, car c'est clair que ses caresses témoignaient d'une pratique régulière. De temps en temps, il me suçait le clitoris, l'aspirant entre ses lèvres et faisant rapidement aller et venir le bout de sa langue dessus. Puis il revenait laper la cyprine qui s'écoulait de mon sexe. C'était divin. J'ai commencé à onduler naturellement du bassin sous ses coups de langues. J'ai soufflé : _ Putain tu lèche trop bien.
_ Ma femme, je la fait jouir comme ça en moins de cinq minutes. M'a-il répondu avec une pointe de fierté.
Ça m'a gonflé ! Qu'il trouve le moyen de faire le malin dans sa situation. Putain mais pour qui il se prenait ! J'ai répondu sèchement : _ Me parle pas de ta femme. Lèche moi et ferme ta gueule ! Je m'en fout de ta femme. Je l'emmerde. T'est à moi maintenant ! Tu vas voir moi si je tiens pas plus de cinq minutes ! Allez ouvre grand salope !
Il a ouvert la bouche et j'ai envoyé un long jet, bien puissant, non sans oublier d'enfoncer mes doigts dans sa nuque. Je me suis écrié : _ Avale ! Avale espèce de chienne !
A ce moment là, j'ai senti que ça ne se passait pas trop bien pour lui. Il s'est mis à tousser la bouche toujours collé à mon sexe et le pipi c'est échappé de sa bouche, me trempant les fesses. Je l'ai lâché en gueulant : _ A bravo ! Putain, t'en a mis partout !
Mais il ne m'écoutait pas. Il s'était redressé et éructait comme s'il allait vomir. Il a eu le réflexe de se tourner vers la portière dont il a saisi la poignée pendant que j'ai relevé vivement les jambes. J'ai eu un instant de panique. Je me suis dit : « Il va ouvrir la porte pour gerber et la bagnole à coté va me voir les fesses à l'air ! » Heureusement, ça c'est calmé. Il a réussi à ne pas dégueuler. Mais j'avais le sentiment qu'on était passé à deux doigts de la catastrophe. Luc, encore incapable de parler, a contenu les derniers haut de cœur en me faisant signe avec les mains que ça allait. Moi, j'ai choppé des kleenex dans mon sac et je me suis essuyé les fesses. J'ai entrepris d'essuyer le siège, alors que Luc bafouillait : _ Désolé ! J'ai... avalé de travers.
_ Ouais et ben quand on sait pas boire, on fait pas le malin ! J'ai lancé, rageuse, faute de meilleure répartie.
Mais à ce moment là, j'étais tellement verte ! Son plan gerby m'avais carrément cassé mon délire. Quoi de plus écœurant que ces bruits de régurgitation ? Pour le siège, j'étais surprise de constater qu'il était à peine humide. Il avait quand même réussi a en avaler pas mal. J'ai repris ma position. Je voyais bien qu'il avait envie d'en rester là, il faisait mine de vouloir se relever mais il était obligé d'attendre que je me pousse. Il a fini par essayer de se relever, tentant de forcer doucement le passage. J'ai négligemment posé mes pieds sur ses épaules, le forçant à se rasseoir, en demandant : _ Tu fais quoi là ?
_ Écoute Sibylle, on va en rester là. Je peux pas. Désolé...
_ Tu fantasme plus on dirait !
_ Non pas trop là...
_ En fait, il fallait que tu le fasse pour te rendre compte que t'aimais pas ça. On peux dire que je t'ai guéri de ton fantasme non ?
_ Ouais on peux dire ça... Tu peux me laisser passer s'il te plaît ?
_ Pourquoi ?
_ Ben... euh... T'as bien vu ! J'y arrive pas !
_ Et alors ? On est pas mal là non ?
_ Oui heu... Mais si les voitures redémarrent ?
_ Si ça redémarre, je te laisserais passer mais en attendant...
Je désignai mon entrejambe en souriant.
_ T'as... encore envie ?
_ Ça va mieux mais... Ouais ! Il en reste encore beaucoup, je le sens mais... Je peux me retenir . Par contre... Ça serait bien si tu pouvais me lécher encore un peu.
_ Ah !... Je sais pas... J'ai plus trop la tête à ça !
_ Allez ! On est plus à ça près ! En plus tu lèche divinement bien !
_ C'est vrai ?
_ Ouais carrément.
_ Merci. A-t-il répondu, un peu ému.
_ Alors ? J'ai fait, coquine, en frottant doucement mon pied droit, toujours sur son épaule.
_ Ok, mais... heu... Tu vas encore ?
_ Pisser ?
_ Heu...
_ Écoute, je sais pas, on verra. Si j'arrive pas à me retenir, je te préviendrais. Ok ?
En fait, je comptais bien lui mettre encore un maximum de giclées au fond de la gorge.
_ Ok mais c'est pas ça que je voulais dire... Est-ce que tu va aussi ?...
_ Putain !Quoi encore !?
_ Ben ça justement! T'énerver sur moi, de me traiter... De me parler mal quoi !
_ Ah ça !... Putain mais t'est une vrai chochotte ! Tu veux bien que je te pisse à la gueule mais si j'ai le malheur de t'insulter un petit peu, je froisse la susceptibilité de môsieur. Putain mais quand vous baisez avec ta femme, ça t'arrive jamais de lui parler crûment ?
_ Ben non en fait !
_ Ben vous devriez ! C'est quand même beaucoup plus excitant ! En tout cas moi ça m'excite ! Tu l'a jamais traité de salope pendant que vous baisiez ?
_ Non.
_ Et bien avec moi c'est comme ça ! Allez lèche moi la chatte maintenant salope !
_ Sibylle... Fit-il sur un air faussement réprobateur.
_ Allez c'est cool ! C'est juste pour le fun ! Allez vas-y, t'en meurs d'envie... salope.
Je l'entendis soupirer, résigné, vaincu. Puis, il avança son visage entre mes jambes. Je sentis mon clito durcir tandis que j'écartais grand les jambes, offrant mon sexe à ses coups de langue. Pour ce qui est du langage cru, c'est vrai que de temps en temps j'étais tombé sur des mecs qui me traitaient de pute ou de salope pendant qu'on baisait mais c'était plutôt rare. Même si c'était pas trop ma came, j'avais aimé le coté bestial de la chose. Par contre, jamais je m'étais permise d'insulter un mec pendant la baise. Mais là, déjà, avec ce qu'il m'avait proposé, ce truc dégueulasse, je me sentais en droit de lui parler mal ne serait-ce que pour le faire culpabiliser mais en plus, je l'avais traité comme ça d'instinct et c'était divinement bon. C'était lui qui était a genoux devant moi, c'était lui qui se faisait pisser à la gueule. Moi, j'étais en position de force et c'était encore meilleur d'avoir la sensation de l'obliger à me lécher comme une bonne petite chienne obéissante. Il fallait que je lui pisse encore dans la bouche, c'était vraiment trop top de lui faire ça. Quand il a recommencé à me lécher j'ai soupiré : _ Ah ouais... hum... Vas-y lèche-moi ! Tu fais ça trop bien.
Et c'était vrai ! Ce petit salopard jouait de sa langue comme un virtuose. Moi, je profitais à fond, ma chatte palpitante d'excitation et dégoulinante de cyprine. J'avais toujours dans l'idée de me soulager dans sa bouche et cette envie m'excitait au plus haut point. Sachant qu'il avait admis le fait que pour moi, la vulgarité était source de plaisir, je me suis payé le luxe de lui parler comme une merde : _ T'aimes ça hein ? Salope ! Une sale pute qui se fait pisser à la gueule ! Putain tu lèche trop bien ! Vas-vis, suce-moi le clito ! Fais-moi du bien !
J'ai posé mes pieds sur le tableau de bord, les jambes largement écartées, mécaniquement, mon bassin à pivoté vers le haut et Luc à glissé sa langue entre mes fesses. C'est marrant parce que mon premier réflexe à été de trouver ça complètement « déplacé », pourtant on avait déjà fait largement pire. Il faut dire que personne ne m'avais jamais léché le trou du cul et ma morale, mon éducation, comme un réflexe d'une pensée acquise par toutes les règles de bienséances inculquées depuis mon enfance ( Tu dois être polie, dire bonjour, te laver les mains avant de passer à table) venait d'être heurtée de plein fouet par cette langue qui titillait vicieusement mon anus. Putain que c'était agréable, si délicieusement « déplacé » ! Je l'insultait de plus belle : _ Oh putain ! Oui ! C'est trop bon ! Lèche-moi bien le cul.... Espèce de pute... Oui ! Ça me donne envie de pisser ! Putain ! Je vais te pisser dessus ! Putain ! C'est tout ce que tu mérite !
Et c'était vrai que ses coups de langues sur mon anus avaient accentuées mon envie de pisser. Mais Luc essaya de négocier. Il s'est arrêté de me lécher et m'a dit : _ Sibylle, je sais pas si...
_ Ta gueule ! Je m'en fous ! Je peux plus me retenir. Il faut que je pisse tout de suite !
Luc ne chercha pas a comprendre, craignant que je pisse partout, il colla sa bouche contre ma vulve. J'ai murmuré : _ Oui... c'est ça... Salope !
Et j'ai ouvert les vannes. Et, plutôt que que de forcer sur mon périnée, cette fois, j'ai simplement laissé couler. J'ai fermé les yeux et me suis détendue, profitant pleinement du soulagement procuré par le simple fait de pisser. A ce moment là, je me foutais que Luc puisse suivre ou pas. J'ai pissé comme je l'aurais fait en arrivant chez moi, après une longue journée de travail, assise sur mes toilettes, profitant du soulagement procuré par ma vessie qui se vide enfin. Et que ce soit la bouche de Luc qui me serve de chiotte, c'était encore plus agréable. Je ne comptais pas m'arrêter avant d'avoir fini. Me vider, profiter de la bouche offerte par cet imbécile. Il est resté bien sagement plaqué sur mon sexe à déglutir au fur et a mesure que la pression diminuait dans mon bas ventre. Cette sensation de soulagement était divine et je soupirais d'aise. Il aurait arrêté d'avaler que je n'aurais pas pour autant arrêté de pisser. Je me foutais de lui arroser la figure de pisse. Il était coincé et il le savait aussi bien que moi. Un peu avant que j'en termine il c'est mis à gémir. J'ai fait simplement : _ Allez c'est presque fini.
Il c'est attelé à tout boire jusqu'à la dernière goûte. Puis il a reculé son visage en reprenant sa respiration.
_ Alors, ça t'as plu ? J'ai fait, narquoise.
_ Espèce de... salope ! Je t'avais dit que je voulais plus. Et toi t'as, t'as...
_ Allez c'est bon ! T'avais qu'as pas proposer. Et puis tu me traites pas de salope. C'est toi le gros pervers.
_ Putain mais t'était pas obligé de... de...
_ De quoi !
_ De... tout faire ! De... Merde, j'ai l'impression d'avoir avalé un litre !
J'ai éclaté de rire. Ça a été plus fort que moi. Il avait l'air tellement dégoûté le pauvre ! Cet abruti, je lui avais donné une bonne leçon ! J'ai fini par reprendre ma contenance et je lui ai dit : _ Au moins maintenant tu peux dire que tu a réalisé ton fantasme !
_ Tu savais que je voulais plus !
_ Et alors ?
_ Ben heu... Laisse tomber...
_ C'est ça : laisser tomber...Va te faire foutre ! T'as rien à dire. C'est quand même toi qui m'a proposé ce plan tordu. Normal que j'en profite ! Tu veux que je te dise ? T'est qu'un putain d'égoïste ! Tu dis que tu veux m'aider mais quand t'a réalisé ton fantasme et que t'a vu que t'aimais pas ça, alors plus question de m'aider. C'est bien fait pour ta gueule ! En plus je te ferais remarquer que j'ai fait gaffe de pas pisser trop fort. Franchement si j'avais vraiment voulu être salope j'aurais pu t'en foutre plein la gueule ! Alors tu garde tes reproches. Tu peux t'en prendre qu'a toi même et tu devrais me remercier plutôt que de jouer les pauvres petites victimes.
_ Désolé Sibylle, j'avais pas imaginé ça comme ça c'est tout. J'aurais jamais dû te le proposer. Je regrette.
_ Tu peux regretter oui ! Tu te rend compte ce que tu m'a fait faire ? Quel genre de mec tu es ? T'est un dégénéré et ça me dégoûte d'avoir fait un truc aussi dégueulasse. Le seul avantage c'est qu'on a réglé le problème. Alors que tu trouve ça aussi dégueulasse que moi ça me va.
_ Excuse... C'est vrai t'as raison. On en parle plus d'accord ?
_ Ok mais tu me lèche encore !
_ Ah...
_ Quoi ! C'est quoi le problème ? T'as autre chose de mieux à faire ?
_ Non...
_ Allez au travail salope !
Luc se remis alors à me lécher. Je sentais qu'il n'y mettait pas trop d'entrain mais ça ne m'a pas gêné. J'étais bien calé dans le siège auto, ma vessie soulagé, une langue servile me caressant doucement l'entrejambe. Il y avait pire comme situation ! Ça me plaisait bien de voir comment il était devenu obéissant. A ce moment là, je me souviens que je me suis sentie vachement forte. J'étais fière de moi. Le pauvre, je lui avait retourné le cerveau. En plus, il s'appliquait ce con ! Et même si c'était vachement agréable de se faire gentiment butiner le minou, j'étais moins excitée maintenant que j'avais pissé. D'ailleurs, j'aurais bien aimée avoir encore envie. Du coup, j'ai attrapé ma bouteille d'eau. Luc s'est arrêté pour me regarder faire. J'ai vidé la moitié de ma bouteille d'un trait. L'eau fraîche m'a fait du bien. Luc me regardait, il avait l'air embêté.
_ Qu'est-ce qui y a ? J'ai fait.
_ Heu t'as pas peur de... d'avoir encore envie de...
_ Putain mais tu te prend pour qui ? J'ai besoin de ta permission peut-être ? J'ai encore le droit de boire ! T'est pas ma mère !
_ Excuse...
_ Allez lèche-moi plutôt que de dire des conneries.
_ Heu Sibylle ?
_ Quoi encore ?!
_ Je peux en avoir aussi, de l'eau ?
_ T'as encore soif ? J'ai demandé en pouffant de rire.
_ C'est pour faire passer le goût !
J'ai ricané : _ Tu m'étonnes !
Je lui ai tendu la bouteille et quand il allait s'en saisir, je me suis ravisée et l'ai récupéré en disant : _ Attend ! On sais pas pour combien de temps on va devoir attendre. Il vaut mieux rationner.
_ Putain Sibylle !
_ Je déconne pas ! On pourrait très bien passer la nuit ici. Alors tu m'excusera mais l'eau je me la garde. Toi t'en as pas besoin.
_ T'est dégueulasse !
_ Non, je suis réaliste. T'as déjà bien bu il me semble alors que moi, j'ai vraiment soif. Et puis toi, si t'as encore soif, je pourrais encore te pisser dans la bouche.
_ Mais... Mais... c'est pas... J'aime pas trop, en fait !
_ Tu sais ce qu'on dit : « A la guerre comme à la guerre. » T'as qu'a voir le coté pratique de la chose. Avec une bouteille d'eau, on bois deux fois.
_ Peut-être mais... je voudrais juste une gorgée !
_ Non !
Ce mot claqua comme un fouet. Ferme et définitif, ne souffrant pas la contradiction, ma décision était irrévocable. Luc le sentit car il n'osa pas réclamer à nouveau. Ça me faisait plaisir d'être aussi dure avec lui. J'étais contente de savoir qu'il avait le goût de ma pisse dans la bouche et je ne voulais pas que ça s'arrête. Pour le narguer, j'ai agité ma bouteille devant lui avant d'en reprendre une gorgée. J'ai fait exagérément du bruit avec ma bouche pour le faire râler encore plus. Il a soufflé sans rien dire. J'ai dit : _ Bon ! Tu compte attendre encore longtemps ?
_ Quoi ?
_ Je te rappelle que tu est censé me faire jouir avec ta langue. Soi-disant en moins de cinq minutes, d'ailleurs !
_ Non mais Sibylle... Tu peux pas me traiter comme ça !
_ Pourquoi pas ? Tu l'as pas mérité peut-être ?
_ Peut-être mais c'est bon là ! J'ai assez donné là ! Putain j'ai même pas droit à une gorgée de flotte !
_ Tu sais quoi ? T'as raison. Laisse tomber. Garde ta langue dans ta bouche. Je m'en fous que tu me lèche ou pas. De toute façon, j'ai connu vachement mieux comme cunni ! Par contre... Je me demande ce que vont penser les collègues au bureau quand je vais leur raconter que tu m'a demandé de te pisser dessus.
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