Arthur, le fils de mon meilleur ami (02)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Arthur, le fils de mon meilleur ami (02)
Cette histoire est celle d’un jeu du chat et de la souris, entre Maxime, un écrivain d’une quarantaine d’années, sur le déclin, et Arthur, un enfant gâté de 18 ans…
Comme d’habitude, n’hésitez pas à me contacter si vous aimez cette histoire, ou si vous souhaitez des photos des personnages. Je réponds toujours (sylvainerotic@yahoo.com)
==
Les jours qui suivent sont comme une torture pour moi. Je n’arrive pas à m’enlever de la tête les images d’Arthur qui déambule à moitié nu autour de moi. Je n’arrive pas à me concentrer ni à écrire quoi que ce soit. Je me masturbe souvent en pensant à Arthur et à son corps de rêve.
J’en rage aussi auprès d’Alain. Quel con ! Mais qu’est ce qui lui a pris avec cette idée de m’envoyer ici et de partager les lieux avec son fils de 18 ans ? Il pensait vraiment que ça allait m’aider à écrire ?
J’essaie de nouer plus de contacts avec Arthur, afin d’avoir plus d’occasions de le voir de près. Mais il reste sauvage. Parfois il dine seul, et je le vois manger des pizzas surgelées, ou en commander au livreur, tard le soir, seul sur la terrasse. Je finis donc par lui proposer donc de diner ensemble un soir, et je pourrais faire à manger. Quelque chose de simple au barbecue… A ma grande surprise, il finit par accepter, un peu en haussant les épaules.
Le soir en question, je prépare donc à diner et met la table en terrasse. C’est une belle nuit d’été. Il fait chaud, mais c’est agréable. Les lumières de la piscine sont allumées. Belle ambiance.
Arthur se joint à moi et on discute. Vu que nous n’avons presque rien en commun, je dirige la conversation vers des souvenirs communs, quand il était enfant, et des anecdotes amusantes sur son père. Ça le fait marrer. J’arrive enfin à connecter un peu avec lui.
Le rosé coule à flots, et Arthur se resserre plusieurs fois. Il est bien à l’aise maintenant. Il se met alors à changer brutalement de sujet, et à parler sexe :
- Ça devait pas être simple, d’être homo à ton époque ?
Il parle de ma génération avec dédain, comme si j’étais son grand père… Mais je réponds quand même… Ça a l’air de l’intéresser. Puis il finit par glisser :
- Je me suis toujours demander ce que ça fera de baiser avec un mec… sucer…. Et en prendre une dans le cul
Je reste cloué sur place… sans savoir quoi répondre. Il sourit, et lâche un petit rire. Soudain, je sens son pied nu me toucher sous la table
- Tu dois avoir une expérience de folie… et t’es pas mal pour ton âge…
Je n’en reviens pas ! Le minet sur lequel je fantasme depuis presque 2 semaines est en train de me chauffer
- Je sais que j’te fais d’l’effet… je t’ai aperçu sniffer mes caleçons
Je suis rouge de honte… je transpire…
- Et puis, on est pas obligé d’en parler à mon père… de toutes les façons, les grandes différences d’âge c’est pas ça qui le choque…
Il fait référence aux infidélités d’Alain avec la stagiaire…
Aucun mot ne sort de ma bouche, et je reste paralysé. Mais mon sang est en ébullition. L’occasion de baiser Arthur est trop belle, et inespérée. Arthur s’est levé, il s’approche et se penche pour m’embrasser sur la bouche. Ses lèvres sont douces et légèrement humides. Un délice.
Je finis par lâcher : « on va dans ta chambre ». On pénètre par la porte vitrée et j’embrasse aussitôt Arthur sur la bouche, avec la langue. Il répond bien, et rentre la sienne dans la mienne. Echange de salive. Je sens sa main sur mon paquet. Il lâche un « ouah, ta teub a l’air énorme… je vais prendre cher… ». Je réponds : « ça fait mal la première fois, mais ne t’inquiète pas, j’irai doucement ».
Les baisers et les caresses reprennent rapidement. J’essaie d’être dans le moment… Je pense à l’idée que je vais le depuceler, difficile de faire plus excitant. Ça sera la deuxième fois. Je repense à la première fois avec Alex. Notre rencontre sur internet. Son manque d’expérience, et son attirance pour les mecs plus âgés. Cette première fois magique où il s’est donné à moi entièrement dans sa piaule d’étudiant. Une journée entière à lui prendre sa virginité et lui faire découvrir tous les plaisirs du sexe entre hommes.
Mes pensées sont vite interrompues par ce que j’ai devant moi, et l’irrésistible envie de découvrir ce corps qui s’offre à moi. Je le connais déjà… sauf le plus important. Arthur me laisse le déshabiller. En quelques minutes il est nu devant moi. Il est encore plus magnifique. Je le désirais comme ça… Tout nu. Mon Apollon rien que pour moi. Je suis surpris de le voir bander… Amusant pour un hétéro curieux. Peut-être pas 100% hétéro après tout.
Mes mains, mes lèvres et ma bouche goutent ce visage et ce torse d’une perfection rare. Arthur se laisse faire mais il frissonne sous mes caresses. Ses petits seins sont sensibles et durcissent sous les caresses, tout comme sa bite.
Il se met doucement à genoux et baisse mon short. Mes 18cm, assez larges, jaillissent. Il lâche un rire nerveux, serre ma queue dans sa main comme pour mieux mesurer la grosseur, puis la met dans sa bouche. Il commence à sucer, tout en levant les yeux vers moi. Qu’est-ce que c’est bon ! Tant la caresse de sa langue sur mon gland et mon chibre, que la vision angélique de ce minet sublime qui me suce. Je passe ma main dans ses cheveux. Je suis surpris de voir à quel point il se débrouille bien pour une première fellation. Je ne sens pas ses dents. Il s’y prend très bien. Il suce, puis lèche, branle. Sa langue vient même glisser sous mes couilles. Il est très doué. Une première fois incroyable.
J’ai retiré ma chemise. Je suis nu à mon tour. Je le redresse et le serre dans mes bras. Je veux sentir ce corps parfait, jeune, un peu musclé contre le mien, comme pour mieux le posséder. On s’embrasse à nouveau tandis que je lui caresse le dos et les fesses.
On avance vers le lit. Je m’assois et il se glisse au pied du lit, à genoux, entre mes jambes pour continuer à me sucer. Je suis au paradis. Bien calé sur mes coudes, je ne le quitte pas des yeux. Il me regarde tout en me suçant comme pour me posséder. Car il me possède déjà. Je suis fou de désir pour lui.
Après un moment, je ne peux résister au désir d’explorer son corps. Je le fais allonger sur le dos, la tête bien calée contre l’oreiller, et me place sur le ventre entre ses jambes. Je le suce. Je vénère cette bite jeune et belle, bien dure. Je la caresse, la lèche, la branle. Je caresse le gland du bout de la langue. En même temps, mes mains travaillent ce corps en permanence. Le torse bronzé, imberbe, lisse. La peau d’une douceur de soie. Arthur gémit, soupire et pousse des petits cris de plaisir : « oh tu suces trop bien, continue »
Ma langue continue son exploration sur les couilles, bien lisses, en dessous. Les cris de plaisir augmentent. Puis je lève carrément les fesses, glisse un oreiller en dessous, pour lécher ce qui m’intéresse le plus : ce petit trou vierge et ultrasensible. Au premier coup de langue, Arthur lance « Oh putain, c’est incroyable… fuck… putain… j’aurais jamais cru que tu me ferais ça… »
Ma langue continue à lécher cette rosette parfaite, imberbe. Elle pénètre même le petit trou. Je lui passe un doigt. Je veux le préparer pour sa première fois, limiter la douleur.
- J’ai du gel si tu veux, j’en utilise avec mes meufs parfois
Il me tend du gel et je continue à l’ouvrir avec les doigts, doucement. Je tourne doucement et active la prostate, histoire de lui donner déjà du plaisir. Il tient ses mains fermement contre ses cuisses, ferme les yeux, penche la tête et continue à lâcher des « oh putain, yes, continue » de plaisir.
Je lui ai maintenant passé deux doigts et il s’ouvre bien. Je me redresse, me lubrifie la bite et la pose contre son anus.
- Ça va aller, détends-toi
Je bande comme un fou. Je vais le depuceler. Mon mythe homosexuel préféré. Celui du jeune éphèbe qui s’offre pour la première fois à un male beaucoup plus âgé. Hadrien et Antinoüs. Je pousse et l’anus s’ouvre doucement. Je glisse en lui. Ça rentre bien. Il grimace un peu. Je suis surpris… Son visage s’éclaire. Il aime ça. « Mmmh oui c’est bon vas-y ». J’ai remonte ses beaux mollets contre mes épaules et je commence des va-et-vient. Son petit cul est chaud et bien serré. Je suis en lui. Je l’encule. Je le dépucele. Je me répète ses mots pour ajouter encore plus de plaisir à cette belle sodo. A cet acte de plaisir rituel. Je ressens un plaisir de dingue. Tout en l’enculant, j’observe ce corps magnifique qui s’est offert à moi. Il est tout nu, immobile. Je regarde son visage, il sourit. Je regarde ma queue glisser en lui. Il se met à bander. Il gémit, soupire. Pour une première fois, il est incroyable !
Je me penche pour l’embrasser et le féliciter. Ses mains glissent contre mes fesses. Le baiser est long et passionné, avec les langues qui se touchent. Bras tendus de part et d’autre, je le baise maintenant en missionnaire. Je ne veux pas perdre de vue son corps. Et ses yeux. J’y lis du plaisir. Je descends encore pour l’embrasser dans le cou. Il me rend fou. Je veux le toucher, le caresser sans arrêt. Je murmure à son oreille : « oh Arthur, tu es incroyable, tu me rends fou… ». Il rit de gêne et de plaisir. Puis il suggère : on change de position ?
Je me place sur le dos, et il vient s’assoir sur ma bite. Comme ça je peux continuer à l’admirer et à caresser son corps d’éphèbe. Il est bien calé sur ses genoux et je fais monter doucement ma queue en lui. Il me sourit. C’est sa première fois et il adore déjà être passif, se faire enculer. Mes mains reprennent leurs caresses, d’abord sur les cuisses, douces. On sent juste un léger duvet. Puis ses fesses que j’agrippe. Le torse superbe, finement musclé. Ses pectoraux, fermes sous mes doigts. Et ses petits tétons, sensibles. Quand je les touche, sa bite durcit et se cambre encore plus, automatiquement.
Nu, libre, Arthur commence à se caresser avec ses propres mains un peu partout. Il se déhanche et monte et descend de lui-même sur ma bite. Immobile, je le laisse faire. J’observe sa belle queue bien bandée, luisante de précum, s’agiter devant moi. C’est maintenant lui qui contrôle la sodomie. Quel bonheur incroyable de le voir s’enculer de lui-même !
On reste comme ça un moment, jusqu’à ce que, n’en pouvant plus, j’éjacule dans son rectum en soupirant. Il m’observe jouir, et sur son visage, je vois qu’il ressent mon sperme se déverser en lui. Il accélère donc ses va et vient, se glisse les doigts d’une main dans la bouche et de l’autre se caresse les tétons. Il se stimule complètement et jouit sans se toucher. Le sperme blanc, crémeux, abondant explose sur mon cou et mon torse. Le contact des semences chaudes sur ma peau est agréable.
Arthur lâche un « ouah ! », surpris de cet orgasme qu’il ne semble pas avoir vu venir. Il reprend son souffle. Je le caresse doucement.
Il se détache et vient s’allonger à côté de moi. Il sourit
- C’était incroyable… pour une première fois
Puis il éclate de rire. Place ses mains sur son visage
- Oh mon dieu, c’est énorme !!
Et il éclate de rire de nouveau
- T’aurais vu ta tête sur la terrasse… À mourir de rire… un vrai prédateur
Quel petit con ! Il s’est bien moqué de moi. Quel mépris ! Je n’en reviens pas
- T’as quand même pas cru que j’étais puceau ?
- Sur la terrasse oui… mais dès qu’on a commencé à baiser, tu m’as paru bien expérimenté pour un débutant
Je repense à son anus et à ses couilles parfaitement épilées, sa capacite à prendre ma queue sans broncher, et sa façon de se faire jouir du cul… Je n’avais rien dit, trop content de le baiser.
Mais à l’entendre se foutre de ma gueule comme ça, avec un tel mépris, je lui collerais bien mon poing sur la figure. Je me retiens, car je réalise ma chance d’avoir quand même pu le baiser… Je préfère en profiter pour en savoir plus sur sa sexualité
- Ça fait longtemps que tu couches avec des mecs ?
- J’ai commencé à 16 ans… exactement dans ce pieu, avec un pote du lycée…
- Et tu te sens plutôt gay ou bi ?
Il éclate de rire comme si ma question était complètement débile
- Pfff. Tout le monde est un peu bi en fait, hein ? Moi je suis 80% homo, 20% hetero. Quand une meuf est très bonne je dis pas non, mais je préfère les mecs, surtout ceux qui me la mette dans le fiak… Mmmhhh
- Tu baises souvent avec des mecs plus âgés ?
- Nan… parfois, mais c’est plutôt rare. Mes plans cul sont pas là cet été, et y a pas grand-chose sur Grindr ici, c’est tellement paumé. J’avais envie de niquer… et t’es pas mal foutu pour ton âge
Toujours à poil, allongé sur le lit à mes côtés, il a pris son smartphone et regarde son compte Grindr…
- En tout cas, tu baises bien c’est sur… je regrette pas… d’ailleurs, j’en redemande
Il se tourne pour m’embrasser sur la bouche. Il commence à me branler
- J’aimerais une deuxième giclée de foutre dans mon cul
Avoir ce minet me dire ça, tout en sentant ses lèvres sur les miennes, et sa main sur ma queue, c’est irrésistible. Je bande aussitôt
Il me remet du gel sur la queue, puis se place sur le flanc. Il lève une jambe
- Prends-moi sur le côté
Je viens caler mon ventre contre son dos et glisse ma bite dans son cul. Il gémit aussitôt. J’enroule mon bras autour de son torse, l’embrasse sur la bouche, et commence des va et vient réguliers. Tout en continuant à l’enculer, je le caresse et l’embrasse dans le cou. Il aime ça. Il lâche des « oui, c’est bon, continue ». Sa queue est bien dure, et je la branle doucement. Il me redemande des baisers en tournant la tête. Nos langues se trouvent.
Après un moment, il se détache et se met aussitôt à quatre pattes
- Prends-moi par derrière
Il se cambre aussitôt et accueille ma queue sans problème. A genoux derrière lui, je l’encule. Des mouvements amples, je vais très profond en lui. Il tourne la tête, me jette des regards salaces digne des meilleurs acteurs porno. Le grand show, yeux mi-clos, bouche entr’ouverte. Mes mains ne résistent pas à l’appel de sa peau jeune et douce. Je caresse les épaules, le dos, effleure ses petits seins, puis saisit ses hanches pour accélérer. Il adore ça.
Toujours désireux de mener les débats, il commence à bouger de lui-même. Son corps et ses petites fesses. Je suis immobile, et c’est lui qui se donne du plaisir en bougeant autour de ma bite. Il sait y faire. Quel délicieux amant ! Il se redresse ensuite un peu pour que je l’embrasse sur la bouche. Je sers son corps contre le mien. Puis je le penche en avant un peu plus, et je monte sur mes pieds. Je veux accélérer. Il répond aussitôt en se laissant faire. Sa tête plonge dans l’oreiller et j’accélère. Je le baise plus vite, plus fort. Il couine et gémit, lâche des « oh oui continue, oui, ah ». L’orgasme est proche et je sens son anus se contracter contre mon sexe. Un frisson le parcourt, les cris deviennent plus aigus, et je l’entends marmonner : « oh je jouis, oui, je jouis »
Les mots sont magiques et suffisent à déclencher mon propre orgasme. Mon sperme se déverse en lui pour la deuxième fois.
Il ronronne et soupire comme un chat. Puis il se marre
- Merci daddy, j’ai bien pris mon pied
Puis il s’éclipse doucement vers la salle de bains. J’entends la douche couler.
Nu sur le lit, je réalise à peine ce qui vient de se passer. Je n’ai pas rêvé. J’ai baisé le fils de mon meilleur ami. Un des plus beaux garçons que j’ai eu la chance de rencontrer. Délicieux amant, très chaud au lit en plus ! Mais un vrai petit connard, manipulateur… Je m’en fous… Il me rend fou… Je ne rêve que de recommencer.
Il revient avec une serviette enroulée autour de la taille.
- Excuse-moi, j’aimerais aller au pieu maintenant
Maintenant qu’il a bien profité de moi, il me renvoie chez moi. Je ne suis pas surpris… Je m’en fous. Je suis fou de lui. Je ferais n’importe quoi pour pouvoir recommencer
Je me rhabille et lui dis : « on recommence quand tu veux »
Il éclate de rire : « ouaih on verra, si j’ai envie… mais rêve pas trop »
Je me mets au lit mais ne dors pas. Je refais le film de notre baise dans ma tête. Il me rend fou, je le désire tellement…
A suivre…
Comme d’habitude, n’hésitez pas à me contacter si vous aimez cette histoire, ou si vous souhaitez des photos des personnages. Je réponds toujours (sylvainerotic@yahoo.com)
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Les jours qui suivent sont comme une torture pour moi. Je n’arrive pas à m’enlever de la tête les images d’Arthur qui déambule à moitié nu autour de moi. Je n’arrive pas à me concentrer ni à écrire quoi que ce soit. Je me masturbe souvent en pensant à Arthur et à son corps de rêve.
J’en rage aussi auprès d’Alain. Quel con ! Mais qu’est ce qui lui a pris avec cette idée de m’envoyer ici et de partager les lieux avec son fils de 18 ans ? Il pensait vraiment que ça allait m’aider à écrire ?
J’essaie de nouer plus de contacts avec Arthur, afin d’avoir plus d’occasions de le voir de près. Mais il reste sauvage. Parfois il dine seul, et je le vois manger des pizzas surgelées, ou en commander au livreur, tard le soir, seul sur la terrasse. Je finis donc par lui proposer donc de diner ensemble un soir, et je pourrais faire à manger. Quelque chose de simple au barbecue… A ma grande surprise, il finit par accepter, un peu en haussant les épaules.
Le soir en question, je prépare donc à diner et met la table en terrasse. C’est une belle nuit d’été. Il fait chaud, mais c’est agréable. Les lumières de la piscine sont allumées. Belle ambiance.
Arthur se joint à moi et on discute. Vu que nous n’avons presque rien en commun, je dirige la conversation vers des souvenirs communs, quand il était enfant, et des anecdotes amusantes sur son père. Ça le fait marrer. J’arrive enfin à connecter un peu avec lui.
Le rosé coule à flots, et Arthur se resserre plusieurs fois. Il est bien à l’aise maintenant. Il se met alors à changer brutalement de sujet, et à parler sexe :
- Ça devait pas être simple, d’être homo à ton époque ?
Il parle de ma génération avec dédain, comme si j’étais son grand père… Mais je réponds quand même… Ça a l’air de l’intéresser. Puis il finit par glisser :
- Je me suis toujours demander ce que ça fera de baiser avec un mec… sucer…. Et en prendre une dans le cul
Je reste cloué sur place… sans savoir quoi répondre. Il sourit, et lâche un petit rire. Soudain, je sens son pied nu me toucher sous la table
- Tu dois avoir une expérience de folie… et t’es pas mal pour ton âge…
Je n’en reviens pas ! Le minet sur lequel je fantasme depuis presque 2 semaines est en train de me chauffer
- Je sais que j’te fais d’l’effet… je t’ai aperçu sniffer mes caleçons
Je suis rouge de honte… je transpire…
- Et puis, on est pas obligé d’en parler à mon père… de toutes les façons, les grandes différences d’âge c’est pas ça qui le choque…
Il fait référence aux infidélités d’Alain avec la stagiaire…
Aucun mot ne sort de ma bouche, et je reste paralysé. Mais mon sang est en ébullition. L’occasion de baiser Arthur est trop belle, et inespérée. Arthur s’est levé, il s’approche et se penche pour m’embrasser sur la bouche. Ses lèvres sont douces et légèrement humides. Un délice.
Je finis par lâcher : « on va dans ta chambre ». On pénètre par la porte vitrée et j’embrasse aussitôt Arthur sur la bouche, avec la langue. Il répond bien, et rentre la sienne dans la mienne. Echange de salive. Je sens sa main sur mon paquet. Il lâche un « ouah, ta teub a l’air énorme… je vais prendre cher… ». Je réponds : « ça fait mal la première fois, mais ne t’inquiète pas, j’irai doucement ».
Les baisers et les caresses reprennent rapidement. J’essaie d’être dans le moment… Je pense à l’idée que je vais le depuceler, difficile de faire plus excitant. Ça sera la deuxième fois. Je repense à la première fois avec Alex. Notre rencontre sur internet. Son manque d’expérience, et son attirance pour les mecs plus âgés. Cette première fois magique où il s’est donné à moi entièrement dans sa piaule d’étudiant. Une journée entière à lui prendre sa virginité et lui faire découvrir tous les plaisirs du sexe entre hommes.
Mes pensées sont vite interrompues par ce que j’ai devant moi, et l’irrésistible envie de découvrir ce corps qui s’offre à moi. Je le connais déjà… sauf le plus important. Arthur me laisse le déshabiller. En quelques minutes il est nu devant moi. Il est encore plus magnifique. Je le désirais comme ça… Tout nu. Mon Apollon rien que pour moi. Je suis surpris de le voir bander… Amusant pour un hétéro curieux. Peut-être pas 100% hétéro après tout.
Mes mains, mes lèvres et ma bouche goutent ce visage et ce torse d’une perfection rare. Arthur se laisse faire mais il frissonne sous mes caresses. Ses petits seins sont sensibles et durcissent sous les caresses, tout comme sa bite.
Il se met doucement à genoux et baisse mon short. Mes 18cm, assez larges, jaillissent. Il lâche un rire nerveux, serre ma queue dans sa main comme pour mieux mesurer la grosseur, puis la met dans sa bouche. Il commence à sucer, tout en levant les yeux vers moi. Qu’est-ce que c’est bon ! Tant la caresse de sa langue sur mon gland et mon chibre, que la vision angélique de ce minet sublime qui me suce. Je passe ma main dans ses cheveux. Je suis surpris de voir à quel point il se débrouille bien pour une première fellation. Je ne sens pas ses dents. Il s’y prend très bien. Il suce, puis lèche, branle. Sa langue vient même glisser sous mes couilles. Il est très doué. Une première fois incroyable.
J’ai retiré ma chemise. Je suis nu à mon tour. Je le redresse et le serre dans mes bras. Je veux sentir ce corps parfait, jeune, un peu musclé contre le mien, comme pour mieux le posséder. On s’embrasse à nouveau tandis que je lui caresse le dos et les fesses.
On avance vers le lit. Je m’assois et il se glisse au pied du lit, à genoux, entre mes jambes pour continuer à me sucer. Je suis au paradis. Bien calé sur mes coudes, je ne le quitte pas des yeux. Il me regarde tout en me suçant comme pour me posséder. Car il me possède déjà. Je suis fou de désir pour lui.
Après un moment, je ne peux résister au désir d’explorer son corps. Je le fais allonger sur le dos, la tête bien calée contre l’oreiller, et me place sur le ventre entre ses jambes. Je le suce. Je vénère cette bite jeune et belle, bien dure. Je la caresse, la lèche, la branle. Je caresse le gland du bout de la langue. En même temps, mes mains travaillent ce corps en permanence. Le torse bronzé, imberbe, lisse. La peau d’une douceur de soie. Arthur gémit, soupire et pousse des petits cris de plaisir : « oh tu suces trop bien, continue »
Ma langue continue son exploration sur les couilles, bien lisses, en dessous. Les cris de plaisir augmentent. Puis je lève carrément les fesses, glisse un oreiller en dessous, pour lécher ce qui m’intéresse le plus : ce petit trou vierge et ultrasensible. Au premier coup de langue, Arthur lance « Oh putain, c’est incroyable… fuck… putain… j’aurais jamais cru que tu me ferais ça… »
Ma langue continue à lécher cette rosette parfaite, imberbe. Elle pénètre même le petit trou. Je lui passe un doigt. Je veux le préparer pour sa première fois, limiter la douleur.
- J’ai du gel si tu veux, j’en utilise avec mes meufs parfois
Il me tend du gel et je continue à l’ouvrir avec les doigts, doucement. Je tourne doucement et active la prostate, histoire de lui donner déjà du plaisir. Il tient ses mains fermement contre ses cuisses, ferme les yeux, penche la tête et continue à lâcher des « oh putain, yes, continue » de plaisir.
Je lui ai maintenant passé deux doigts et il s’ouvre bien. Je me redresse, me lubrifie la bite et la pose contre son anus.
- Ça va aller, détends-toi
Je bande comme un fou. Je vais le depuceler. Mon mythe homosexuel préféré. Celui du jeune éphèbe qui s’offre pour la première fois à un male beaucoup plus âgé. Hadrien et Antinoüs. Je pousse et l’anus s’ouvre doucement. Je glisse en lui. Ça rentre bien. Il grimace un peu. Je suis surpris… Son visage s’éclaire. Il aime ça. « Mmmh oui c’est bon vas-y ». J’ai remonte ses beaux mollets contre mes épaules et je commence des va-et-vient. Son petit cul est chaud et bien serré. Je suis en lui. Je l’encule. Je le dépucele. Je me répète ses mots pour ajouter encore plus de plaisir à cette belle sodo. A cet acte de plaisir rituel. Je ressens un plaisir de dingue. Tout en l’enculant, j’observe ce corps magnifique qui s’est offert à moi. Il est tout nu, immobile. Je regarde son visage, il sourit. Je regarde ma queue glisser en lui. Il se met à bander. Il gémit, soupire. Pour une première fois, il est incroyable !
Je me penche pour l’embrasser et le féliciter. Ses mains glissent contre mes fesses. Le baiser est long et passionné, avec les langues qui se touchent. Bras tendus de part et d’autre, je le baise maintenant en missionnaire. Je ne veux pas perdre de vue son corps. Et ses yeux. J’y lis du plaisir. Je descends encore pour l’embrasser dans le cou. Il me rend fou. Je veux le toucher, le caresser sans arrêt. Je murmure à son oreille : « oh Arthur, tu es incroyable, tu me rends fou… ». Il rit de gêne et de plaisir. Puis il suggère : on change de position ?
Je me place sur le dos, et il vient s’assoir sur ma bite. Comme ça je peux continuer à l’admirer et à caresser son corps d’éphèbe. Il est bien calé sur ses genoux et je fais monter doucement ma queue en lui. Il me sourit. C’est sa première fois et il adore déjà être passif, se faire enculer. Mes mains reprennent leurs caresses, d’abord sur les cuisses, douces. On sent juste un léger duvet. Puis ses fesses que j’agrippe. Le torse superbe, finement musclé. Ses pectoraux, fermes sous mes doigts. Et ses petits tétons, sensibles. Quand je les touche, sa bite durcit et se cambre encore plus, automatiquement.
Nu, libre, Arthur commence à se caresser avec ses propres mains un peu partout. Il se déhanche et monte et descend de lui-même sur ma bite. Immobile, je le laisse faire. J’observe sa belle queue bien bandée, luisante de précum, s’agiter devant moi. C’est maintenant lui qui contrôle la sodomie. Quel bonheur incroyable de le voir s’enculer de lui-même !
On reste comme ça un moment, jusqu’à ce que, n’en pouvant plus, j’éjacule dans son rectum en soupirant. Il m’observe jouir, et sur son visage, je vois qu’il ressent mon sperme se déverser en lui. Il accélère donc ses va et vient, se glisse les doigts d’une main dans la bouche et de l’autre se caresse les tétons. Il se stimule complètement et jouit sans se toucher. Le sperme blanc, crémeux, abondant explose sur mon cou et mon torse. Le contact des semences chaudes sur ma peau est agréable.
Arthur lâche un « ouah ! », surpris de cet orgasme qu’il ne semble pas avoir vu venir. Il reprend son souffle. Je le caresse doucement.
Il se détache et vient s’allonger à côté de moi. Il sourit
- C’était incroyable… pour une première fois
Puis il éclate de rire. Place ses mains sur son visage
- Oh mon dieu, c’est énorme !!
Et il éclate de rire de nouveau
- T’aurais vu ta tête sur la terrasse… À mourir de rire… un vrai prédateur
Quel petit con ! Il s’est bien moqué de moi. Quel mépris ! Je n’en reviens pas
- T’as quand même pas cru que j’étais puceau ?
- Sur la terrasse oui… mais dès qu’on a commencé à baiser, tu m’as paru bien expérimenté pour un débutant
Je repense à son anus et à ses couilles parfaitement épilées, sa capacite à prendre ma queue sans broncher, et sa façon de se faire jouir du cul… Je n’avais rien dit, trop content de le baiser.
Mais à l’entendre se foutre de ma gueule comme ça, avec un tel mépris, je lui collerais bien mon poing sur la figure. Je me retiens, car je réalise ma chance d’avoir quand même pu le baiser… Je préfère en profiter pour en savoir plus sur sa sexualité
- Ça fait longtemps que tu couches avec des mecs ?
- J’ai commencé à 16 ans… exactement dans ce pieu, avec un pote du lycée…
- Et tu te sens plutôt gay ou bi ?
Il éclate de rire comme si ma question était complètement débile
- Pfff. Tout le monde est un peu bi en fait, hein ? Moi je suis 80% homo, 20% hetero. Quand une meuf est très bonne je dis pas non, mais je préfère les mecs, surtout ceux qui me la mette dans le fiak… Mmmhhh
- Tu baises souvent avec des mecs plus âgés ?
- Nan… parfois, mais c’est plutôt rare. Mes plans cul sont pas là cet été, et y a pas grand-chose sur Grindr ici, c’est tellement paumé. J’avais envie de niquer… et t’es pas mal foutu pour ton âge
Toujours à poil, allongé sur le lit à mes côtés, il a pris son smartphone et regarde son compte Grindr…
- En tout cas, tu baises bien c’est sur… je regrette pas… d’ailleurs, j’en redemande
Il se tourne pour m’embrasser sur la bouche. Il commence à me branler
- J’aimerais une deuxième giclée de foutre dans mon cul
Avoir ce minet me dire ça, tout en sentant ses lèvres sur les miennes, et sa main sur ma queue, c’est irrésistible. Je bande aussitôt
Il me remet du gel sur la queue, puis se place sur le flanc. Il lève une jambe
- Prends-moi sur le côté
Je viens caler mon ventre contre son dos et glisse ma bite dans son cul. Il gémit aussitôt. J’enroule mon bras autour de son torse, l’embrasse sur la bouche, et commence des va et vient réguliers. Tout en continuant à l’enculer, je le caresse et l’embrasse dans le cou. Il aime ça. Il lâche des « oui, c’est bon, continue ». Sa queue est bien dure, et je la branle doucement. Il me redemande des baisers en tournant la tête. Nos langues se trouvent.
Après un moment, il se détache et se met aussitôt à quatre pattes
- Prends-moi par derrière
Il se cambre aussitôt et accueille ma queue sans problème. A genoux derrière lui, je l’encule. Des mouvements amples, je vais très profond en lui. Il tourne la tête, me jette des regards salaces digne des meilleurs acteurs porno. Le grand show, yeux mi-clos, bouche entr’ouverte. Mes mains ne résistent pas à l’appel de sa peau jeune et douce. Je caresse les épaules, le dos, effleure ses petits seins, puis saisit ses hanches pour accélérer. Il adore ça.
Toujours désireux de mener les débats, il commence à bouger de lui-même. Son corps et ses petites fesses. Je suis immobile, et c’est lui qui se donne du plaisir en bougeant autour de ma bite. Il sait y faire. Quel délicieux amant ! Il se redresse ensuite un peu pour que je l’embrasse sur la bouche. Je sers son corps contre le mien. Puis je le penche en avant un peu plus, et je monte sur mes pieds. Je veux accélérer. Il répond aussitôt en se laissant faire. Sa tête plonge dans l’oreiller et j’accélère. Je le baise plus vite, plus fort. Il couine et gémit, lâche des « oh oui continue, oui, ah ». L’orgasme est proche et je sens son anus se contracter contre mon sexe. Un frisson le parcourt, les cris deviennent plus aigus, et je l’entends marmonner : « oh je jouis, oui, je jouis »
Les mots sont magiques et suffisent à déclencher mon propre orgasme. Mon sperme se déverse en lui pour la deuxième fois.
Il ronronne et soupire comme un chat. Puis il se marre
- Merci daddy, j’ai bien pris mon pied
Puis il s’éclipse doucement vers la salle de bains. J’entends la douche couler.
Nu sur le lit, je réalise à peine ce qui vient de se passer. Je n’ai pas rêvé. J’ai baisé le fils de mon meilleur ami. Un des plus beaux garçons que j’ai eu la chance de rencontrer. Délicieux amant, très chaud au lit en plus ! Mais un vrai petit connard, manipulateur… Je m’en fous… Il me rend fou… Je ne rêve que de recommencer.
Il revient avec une serviette enroulée autour de la taille.
- Excuse-moi, j’aimerais aller au pieu maintenant
Maintenant qu’il a bien profité de moi, il me renvoie chez moi. Je ne suis pas surpris… Je m’en fous. Je suis fou de lui. Je ferais n’importe quoi pour pouvoir recommencer
Je me rhabille et lui dis : « on recommence quand tu veux »
Il éclate de rire : « ouaih on verra, si j’ai envie… mais rêve pas trop »
Je me mets au lit mais ne dors pas. Je refais le film de notre baise dans ma tête. Il me rend fou, je le désire tellement…
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant la description des sensations lors de la fellation, puis des sodomies. On imagine très bien la scène!
Excellent!
Hé bé ! Y'a pas eu besoin de monter l'escalier ! Assez torride, je dois dire. Bien content d'apprendre que tout le monde veut baiser des jeunes. (Akileditu)