Astrid (Cinéma Paradiso)
Récit érotique écrit par Stan23JR [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Astrid (Cinéma Paradiso)
Je m’appelle Calvin (et non aucun rapport avec Calvin Klein), mes parents ne m’ont pas appelés comme cela par rapport à la marque de sous – vêtement ou de parfum, ce serait quand même un comble.
La référence est plutôt à chercher du côté de Jean Calvin, le théologien Français de la réforme protestante du XVIème siècle.
Mais bon on ne va pas faire une dissertation sur l’étymologie de mon prénom non plus, depuis tout petit j’ai toujours préféré qu’on m’appelle Cal.
Je suis divorcé depuis environ 3 ans et demi, il faut croire que mes nombreux voyages à l’étrangers pour le travail ont fini par inciter mon ex-épouse Manon à se trouver un amant, pas de chance pour elle j’ai fini par l’apprendre.
Le divorce s’est quand même fait dans le calme, par égard pour notre petit garçon Max qui va sur ces 6 ans (en 2022), il était important pour nous de trouver un bon compromis, même si je lui en veux pour ses tromperies, je reconnais quand même qu’elle est une excellente mère pour Max et que mes nombreux voyages ne me permettront pas de m’occuper de Max au quotidien.
Manon a la garde du petit, mais je peux l’avoir très souvent quand je suis de retour en France, bien plus qu’un autre papa dans une garde alternée.
Je me suis entendu avec mon employeur pour être assez souvent en télétravail quand j’ai Max et pour disposer de bonnes plages de congés (j’ai la chance d’avoir une nouvelle directrice très compréhensive, vous la découvrirez dans l’épisode suivant.
Je n’ai pas nécessairement toujours cherché les relations intimes, ce sont souvent des opportunités qui se sont présentés soit dans un cadre professionnelle ou plus personnelle.
J’ai 35 ans, aux dires de mes partenaires, j’ai un physique plutôt agréable, il faut dire aussi que je vais régulièrement à la salle qui se trouve dans le building de nos bureaux à La Defense et que je m’arrange toujours pour trouver un hôtel qui a une salle de musculation quand je suis à l’étranger.
Je suis assez grand puisque je mesure 1m88, brun avec les yeux verts, apparemment ces yeux seraient assez envoûtants de ce que j’entends, je les aie hérités de ma mère, c’est une marque caractéristique de ma famille maternelle, du coté de mon père c’est plutôt la haute taille et les cheveux épais qui est mis en avant.
Je ne vais pas non plus chercher à me jeter des fleurs, je ne suis pas non plus le Mozart du Porno, et je ne vais pas dire que j’ai un démonte - pneu dans le falzar mais je me suis toujours fiez aux dires des filles et des femmes avec lesquelles j’ai couché, aucune ne s’est jamais plains de ce que je savais faire avec mes doigts, ma langue ou ma queue.
Et comme le dit souvent mon meilleur ami Robbie, « il ne suffit pas d’avoir la bonne clé à molette, il faut aussi avoir le bon process et le bon savoir - faire ».
Sinon je suis dans le domaine des matières premières pour l’aéronautique, j’occupe un poste de directeur commercial, ce qui m’amène très souvent à aller négocier des contrats à plusieurs centaines de millions d’euros moi-même et la plupart du temps à l’étranger.
Au cours de ces trois ans et demi, chose très amusante, j’ai eu pas mal d’aventure et notamment avec 26 femmes dont les prénoms vont de A à Z.
C’est-ce que je vais vous faire découvrir au cours des 26 épisodes de cette histoire, certaines histoires sont liés directement à d’autres et certaines autres sont totalement indépendantes.
A comme Astrid (Cinéma Paradiso)
13 Novembre 2019, Paris (Quartier du Faubourg – Montmartre)
C’était un soir de fin d’automne, on était avant le Covid, les restaurants et les salles de Cinéma étaient toujours ouverts.
Cal rentrait de trois jours de négociation intense à Singapour avec un conglomérat local au sujet d’un contrat de pièces pour remettre en l’état leur parc d’avions.
Il était arrivée en taxi de l’aéroport Roissy CDG jusqu’à l’appartement qu’il s’était offert dans le deuxième arrondissement après le divorce avec Manon.
Cela faisait 7 mois qu’il l’occupait par intermittence entre ces voyages et les moments où il était sur Paris pour s’occuper de Max.
Justement il ne devais récupérer Max chez sa mère que dans deux jours, il aurait le temps de se reposer un peu.
Mais bon il avais quand même prévue quelques sorties avec Max notamment au jardin d’acclimatation de Vincennes et un petit passage par la ludothèque.
En attendant, il posait sa valise dans la penderie et ne la viderai que demain.
Il se fit couler un bon bain (il n’y a pas que les filles qui ont droit) avec un petit verre de blanc (un bon Gewurz, on est alsacien ou on ne l’est pas) et le Canon en D de Pachelbel en fond sonore.
Il n’y avait rien de mieux pour récupérer de trois jours enfermer avec quelques connards, quelques coincées du cul dans une salle surchauffée à peine atténué par la Clim, sans compter la dizaine d’heures de vol entre Singapour et Paris avec escale à Istanbul.
Il s’était prévu ensuite une petite soirée tranquille : un petit Coréen dans le quartier : Chez Matzip sur le Boulevard des Italiens et puis la dernière séance au cinéma qui faisait l’angle entre le Boulevard des Italiens et la rue de Gramont, son ami Franck lui avait conseillé un film : Dans les Hautes herbes, tirée de l’œuvre de Stephen King et de son fils Joe.
Il espérait que l’œuvre tiendrait plus de Ca, des Langoliers ou de Christine que de l’oubliable Dreamcatcher.
Justement il était temps de se préparer : un boxer Calvin Klein (on ne se refait pas), un pull léger bleu marine de chez Célio, un jean noir, une paire de converse et son trench par-dessus.
Première étape : Matzip : le propriétaire le connaissait bien, il venait de temps à autre pour discuter un peu du PSG, de la situation géopolitique, des dernières conneries de Kim-Jun-Un.
Puis il s’attablait ; c’était le pied : des nems au Kimchi en entrée puis un Bimbimbap en plat, ce mélange de riz, de carottes, de bœuf et l’œuf au plat par-dessus c’était divin, le tout agrémenté d’une Cass Lager.
Cela pouvait être surprenant de le voir passer sa soirée seul mais cela lui convenait, après trois jours avec une intimité très limité ou même les repas étaient servis en salle de conférence.
Il avait compté les jours pour retrouver ce calme et cette tranquillité.
Mais bon sa montre affichait déjà 22h15 ; le temps de régler l’addition et de marcher un peu et il serait l’heure de la séance de 22h45 ; avec un peu de chance il pourrait checker les résultats de la 15eme journée de Ligue 1 durant les bandes annonces.
En revanche, pour espérer un petit coup d’adrénaline dans le pantalon, on repassera, le guichet était tenu par une certaine Yvette, une sorte de vieille fille qui est un vrai tue l’amour, un vrai repoussoir et qui plus est, niveau charisme, elle ferait passer Vladimir Poutine pour charmant.
Il arrivait de plus en plus près du guichet, mais sa vision devait lui jouer des tours car ce n’était pas la drageonne qui tenait la tour.
La vision qu’il avait avait bien plus enchanteresse.
Une fille se tenait derrière le comptoir et semblait avoir au moins 3 fois moins l’âge d’Yvette.
Probablement entre 20 et 24 ans, peut - être une étudiante pour payer ces études, le visage lui paraissait bien harmonieux.
Elle était brune avec un carré plongeant qui lui dégageait bien la nuque, le tout au-dessus d’une poitrine qui lui semblait prometteuse, probablement un 90C, le tout sous un débardeur de couleur noir.
Le desk lui cachait le reste mais peut-être aurait - il le loisir d’apercevoir une paire de jambe en payant.
- Bonjour, un billet pour « Dans les Hautes herbes » svp commença - t - il, vous êtes nouvelle ? je ne vous ai encore jamais vu derrière ce desk, j’ai toujours à faire à Yvette à cette heure - ci.
- Oui en effet je ne suis là que depuis quelques soir répondit - elle, j’en profite pour réviser mes partiels de fin de premier semestre, j’étudie à Dauphine, le guichet du cinéma est bien pratique pour réviser, le soir c’est assez calme par ici. Vous préférez voir Yvette ? Je peux lui passer un coup de fil conclue - t - elle avec un regard malicieux.
- Non Non surtout pas, vous me semblez infiniment plus charmante, mademoiselle…
- Astrid ! Dîtes-moi vous le faites à toutes ce couplet ? mais bon je prends quand même le compliment, merci cher monsieur…
- Calvin mais appelez mais moi Cal svp, non rassurez-vous, je suis avare en compliment d’ordinaire mais je suis vraiment ravi de voir vous plutôt que quelqu’un d’autres, vous avez en quelques sortes égayez ma soirée.
- Vous avez un prénom très original répondit-elle avec les joues un peu empourprées, c’est une référence à…
- Au théologien Français Jean Calvin, la devança-t-il
- Oui, c’est bien ce que je pensais, eh bien dis donc j’ignorais que j’avais le pouvoir d’égayer la soirée des hommes, reprit-elle avec un regard perçant tout en se mordant la lèvre, si je peux faire quoi que ce soit d’autres pour votre bon plaisir cher Cal.
- J’en prend note chère Astrid, continua-t-il avec son éternel demi-sourire mais qui ne pouvait pas cacher son amusement à ce gentil badinage.
Le bruit de la machine qui imprimé son étiquette les interrompit ; elle l’arracha soigneusement de la machine et lui tendit en le regardant dans les yeux.
Il le prit du bout des doigts et pu pour la première fois toucher ces doigts d’une finesse exquise et se mit déjà à l’imaginer tenant son membre gorgé de plaisir.
- J’espère que nous aurons l’occasion de terminer cet échange après la séance, reprit-il
- Mais j’y compte bien, Cal conclue – t -elle tout en se passant la langue sur les lèvres.
Il retint avec peine un soupir tout en se dégageant de sa contemplation pour se diriger vers sa salle.
Il fut surpris de constater en arrivant pour sa séance que la salle était totalement vide à 5 minutes du début du film ; il s’installa à sa place et souffla un grand coup pour faire redescendre la pression.
Il y en a qui avait un peu trop aimé ce charmant intermède et qui refusait obstinément de dégonfler : il avait un bon barreau de chaise dans le pantalon.
Il se dit que c’était dommage de gaspiller et qu’il aurait bien passé un bon petit moment avec une charmante demoiselle ; mais bon le tac tac de l’imprimante avait mis fin à ce moment et il passerait pour désespérer s’il allait la retrouver pour lui proposer un quickie dans les toilettes.
D’autant que la donzelle avait un travail ; elle perdrait assurément son travail si elle s’absentait trop longtemps, il connaissait la valeur du travail pour les étudiants et ne lui aurait pas fait prendre ce risque donc.
Mais soudainement alors que la salle était plongée dans la pénombre et que le générique de début du film démarrait, les portes en haut de la salle s’ouvrirent.
La lumière de l’écran illumina Astrid qui descendait les marches à sa rencontre, il put enfin découvrir que caché sous le desk se révélait un jean noir très ajusté qui accompagnait son débardeur.
Elle vint s’asseoir sur le siège à côté du sien, il eut à peine le temps d’apercevoir son regard vorace et ses belles pupilles noisettes avant qu’elle ne se saisisse de son col et commence à l’embrasser fougueusement.
Il lui rendit son baiser mais apparemment mademoiselle en voulait plus car déjà sa main lui caresser les biceps avant de bifurquer vers ses pectoraux et de descendre toujours plus bas pour agripper son paquet à travers son jean.
Décidément cette fille n’allait pas par quatre chemins, elle savait ce qu’elle voulait et n’avait pas froid aux yeux, ni aux mains sembleraient - ils.
Après un moment de baiser enfiévré, il se détacha de sa bouche pour commencer à lui embrasser le lobe de son oreille, pour descendre vers son cou, au même instant sa main gauche partait déjà à l’exploration sous son débardeur, remonta et toucha son soutien - gorge avant de glisser entre le sillon de ses seins.
La chaleur est vite montée puisqu’en moins de 5 minutes, sa main gauche lui triturait déjà les seins pendant qu’il continuait de l’embrasser, tandis que elle le branlait déjà par-dessus son boxer.
Trouvant que son débardeur la gêné, elle se releva et retira ce dernier en dévoilant un ventre plat avec une peau un peu bronzée sous une poitrine protégée pour encore quelques instants par un soutien-gorge noir et il en était sur c’était le modèle Ragazza de chez Valege.
Il le reconnaissait à son balconnet souple et son tissage très léger (il faisait assez les défilés pour le savoir) ; avait-elle opté pour le boxer à lacet sur l’arrière ou peut - être un autre modèle comme le tanga Lulu par exemple.
Il aurait la surprise bien assez tôt, pour l’heure sa bite prenait encore plus d’ampleur devant ce beau spectacle.
Elle se tourna dos à lui et lui offra son côté pile avant de s’asseoir sur lui et de lui offrir une sacré lapdance, il eut vite la réponse à sa question : c’était bien le Boxer Ragazza avec ces lacets.
En attendant elle bougeait d’avant en arrière pour son plus grand plaisir
Il eut quand même la présence d’esprit de lui demander :
- Et si on nous surprenait, il doit encore avoir du monde dans le cinéma non ?
- T’inquiète mon mignon lui glissa - t - elle sur le ton de la confidence à l’oreille, je t’ai dit que c’était calme ce soir, il n’y a que toi et moi, j’ai fini mon service au début du dernier film, le vigile ne passera pas fermer avant 1h du matin, on a tout notre temps pour s’amuser et moi je sais par quoi je veux commencer.
Elle se mit a genou, il avait désormais une vue imprenable sur ces deux globes laiteux dans son soutien - gorge ainsi que la vue sur son boxer de dentelle dépassant au-dessus de son jean.
Elle entoura sa main droite autour de sa queue et se mit à le prendre en bouche, elle descendit assez vite et fit jouer sa langue sur sa hampe.
Cal était déjà parti ailleurs mais les sensations ne serait rien sans cette vue imprenable qu’il avait d’elle, il ne pouvait dégager ces yeux de ce spectacle fantastique.
Il ne savait plus où donner de la tête, elle alterna les techniques, elle le lécha de haut en bas comme un cône glacé, puis ne garda plus que son gland en bouche tout en le regardant dans les yeux en activant sa langue autour du bout hyper sensible.
Puis alors qu’il ne pensait pas qu’elle aurait encore d’autres cordes à son arc, il fut surpris par ce qu’il appellerai le piston : elle se mit à le pomper à une vitesse vertigineuse sans jamais relâcher sa queue et ses cheveux qui cascadaient sur son bas - ventre le stimulait encore plus.
Il faillit rendre les armes plusieurs fois et sincèrement il aurait fait si ce n’était pas elle qui pilotait, mais elle savait parfaitement ralentir le rythme exactement quand il fallait, elle se maîtrisait à la perfection, il vu trente-six chandelles plusieurs fois sans jamais éjaculer.
Quand elle se mit à lui faire une gorge - profonde là il rendit les armes au bout d’au moins quarante-cinq minutes de fellation endiablée.
- J’en peux plus, stp laisse-moi éjaculer, tu es fantastique, je n’ai jamais été sucé comme sa concéda-t-il
- As - tu été sage ? Pour que je t’accorde cet faveur lui répondit - elle en le regardant droit dans les yeux.
- Oh oui dit - il en hochant la tête frénétiquement.
- Dans ce cas,
Elle utilisa alors une dernière technique qui l’acheva littéralement, elle lui pompa juste le gland mais sa main gauche s’activer de haut en bas sur sa hampe à une vitesse ahurissante, si bien qu’au bout de quelques secondes de ce traitement, il se sentit totalement partir.
Il lui déversa directement dans la gorge, un torrent de sperme qu’elle avala sans rechigner tout en le regardant, une fois fini elle continua de téter son gland pour récupérer les dernières gouttes, elle ne gâcha rien.
Puis elle se rassit sur le siège à côté de lui comme de si de rien n’était.
Cal au bord de l’apoplexie finit par lui demander :
- Mais comment diable tu peux connaître toutes ces techniques, sans vouloir être vexant tu as dû beaucoup t’entraîner.
-Tu ne me vexe pas, j’adore sucer, disons que j’ai l’avantage que le cinéma diffuse de temps à autres quelques films pornos très tard le soir et sur grand écran, on peut apprendre beaucoup de chose.
- Eh bien tu en as de la ressource dis donc mais tu vas voire j’ai aussi quelques talents avec mes doigts et ma langue.
- J’ai hâte de voir ça poursuivit-elle tout en s’installant plus confortablement dans son siège ; tandis que lui glisser à ces pieds.
Il commença par déboutonner son jeans et le fit glisser, elle l’aida en soulevant ses fesses; puis il commença par lui embrasser les chevilles avant de remonter jusqu’au haut de ces cuisses ou il laissa une traînée de baiser.
Il lécha le pli de son entrejambe, elle se tortillait de plus en plus, signe qu’elle commençait à bien s’exciter, c’était à son tour de jouer avec son plaisir.
- Tu as beaucoup de goût, j’adore ta lingerie, le Ragazza est un excellent choix, c’est très raffiné lui sussura - t - il.
Elle ne pouvait pas trop répondre, il venait de caresser sa chatte par dessus son boxer de sa main gauche tandis que de la droite il lui avait empaumé fermement son sein droit.
- Hum lui dit-il, tu m’as l’air toute mouillé la dessous tandis qu’il lui écartait sa dentelle et commençait à agacer ses petites lèvres avec son majeur, dans le même temps il était remonté avec sa bouche et lui avait pris son sein en bouche.
Il se fit un plaisir de la torturer en la doigtant avec un doigt d’abord puis deux puis trois, comme elle l’avait fait avec lui, il l’a maintint sur le fil du plaisir, le ploc ploc de sa chatte devenait totalement indécent, de même que sa position totalement ouverte.
Sa poitrine n’était pas laissé en jachère : après avoir martyrisé avec sa langue et ses dents son droit, il était passé au gauche à qui il infligeait le même traitement.
C’était à son tout de crier grâce, mais il n’avait pas tout à fait fini, il remonta un de ces doigts emprunt de mouille et lui présenta devant ces lèvres.
Elle s’empressa de lécher ce doigt.
- Dis moi tu le veux ou ce doigt ?
- Dans mon cul, vas - y fourre moi ton doigt dans mon cul je t’en prie.
- Quand madame veut…
Il continua à lui doigter la chatte avec son majeur pour bien la détendre puis commença à appuyer son annulaire mouillé de sa salive mélangé à sa mouille qui coulait abondamment ( la femme de ménage aurait des surprises demain) sur son petit trou.
Le doigt fut aspiré, le sphincter ne résista pas trop , il commença alors à lui doigter les deux trous avec deux doigts mais bien vite il passa à trois doigts dans la chatte , un dans le cul plus sa main droite qui malaxait violemment ces tétons.
Prise de partout, Astrid ne résista pas et cria son plaisir, encore plus fort que le son du film dont il s’en fichait royalement désormais.
Elle avait du souffle pour crier si fort sans s’arrêter tandis que ses doigts continuer à entrer et sortir autour de ses parois qui se contractaient fortement, il finit par étouffer ces cris avec un baiser.
Il faudrait pas que la mamie qui habitait à côté du cinéma finissent par appeler la marée chaussée à cause du volume du film porno diffusé ce soir, ou qu’elle finisse par faire une syncope.
Après ce baiser, il finit par ressortir ces doigts qui firent un ploc sonore au contact de l’air libre, il regarda Astrid, son regard était léger mais elle avait cet air déterminé, elle allait prendre une nouvelle initiative il en était sur.
Elle tendit le bras vers la poche avant de son jean et en sortit un préservatif, qu’elle déchira prestement avant d’attraper de sa main sa queue et de lui mettre avec dextérité la capote.
Sans lui demander son reste, elle grimpa sur ses hanches et s’empala d’autorité sur son membre, il poussa un cri de plaisir avant de se saisir de ses deux fesses et de la faire redescendre avec fermeté, elle avait posait ses mains des deux côtés de sa tête sur le siège.
- Vas-y, plus vite, plus fort, prend moi violemment, c’est si Bon.
- Tiens prends sa et sa ! T’aime sa hein ? Alors prend la bien ma queue et mon doigt aussi dans ton cul.
Il venait de faire coulisser son doigt dans son anus et simuler une double pénétration avec sa queue et son doigt.
Elle s’empalait encore plus fort mais après quelques minutes de ce traitement, elle en voulait plus, elle se tourna pour se mettre en amazone inversé; il s’apprêtait à la prendre de nouveau par la chatte mais elle fit monter sa queue plus haut (voilà une fille qui sait ce qu’elle veut), il pénétra donc doucement mais sûrement son antre secret.
Pour le remercier de sa délicatesse, elle tourna sa tête de trois quart et l’embrassa avec force, ce petit intermède tendre n’empêcha pas qu’en bas, il commençait à y aller dans son cul, de petit mouvement, il accéléra de plus en plus tout en martyrisant son Clito qui coulait abondamment, lubrifiant parfaitement la pénétration dans son fondement.
Elle remonta ses pieds sur les accoudoirs pour amplifier la pénétration et le sentir encore plus loin, désormais il avait adopté un rythme de métronome et forcer son cul de façon régulière.
Au bout d’un moment, il lui attrapa les deux jambes et les plaça l’une contre l’autre totalement à la verticale, cette position décuplèrent totalement leurs sensations.
Mais elle l’en voulu encore plus et d’elle même, elle se désarçonna et se plaça à 4 pattes en appui sur les deux sièges d’à côté et lui tendit ostensiblement sa croupe.
Il s’enfonça sans ménagement dans sa chatte, puis fit plusieurs aller/retour tout en lui claquant les fesses au passages; il ressortit et se renfonça tout aussi fermement dans son cul; il alla de son cul à sa chatte à plusieurs reprises pour leurs plus grand plaisir à tous les deux.
A un moment donné, pour augmenter son angle de pénétration, il lui attrapa les cheveux et accéléra encore le rythme; de sa main droite il lui tenait les cheveux dans son poing, de la gauche il lui claquait les fesses qui viraient aux rose à certains endroits pendant qu’Astrid allait d’avant en arrière sur son pal toute seule.
N’y tenant plus, il se décida à lui donner le cou de grâce, il lui attrapa les deux hanches et se mit à la besogner au rythme d’un forcené.
- Oui, comme ça, plus vite, plus fort, encule moi bien profond, donne moi tout ton jus vas-y, oh Ouiiii, je viens, c’est trop bon !
Alors que ces parois se contractaient, il n’y tint plus et se lâcha dans la capote, il resta quelques secondes dans cette moiteur avant de s’écrouler de fatigue sur le siège.
Elle se retourna, lui enleva le préservatif et se mit à lui nettoyé la queue, pas un mètre de peau ne fut laissé loin de sa langue, elle enleva toute trace de foutre, il était aux anges.
Il regarda l’écran, le générique de fin s’affichait, il se pencha donc sur le côté pour prendre la brochure du cinéma.
- Eh ben dis donc…
- 1 heure et demi le coupa - t - elle, pas mal du tout bel étalon.
- Mais c’est grâce à la belle monture que j’ai en face de moi lui dit - il tout en se penchant pour l’embrasser.
Après quelques minutes tendre, il se levèrent pour se rhabiller.
Il en profita pour en apprendre un peu plus sur elle, il apprit notamment qu’elle avait 22 ans et préparer un Master en Informatique des Organisations à Dauphine, mais surtout que sa mère était là doyenne de l’Université.
Ce qui expliquait qu’elle se lâchait plus avec les hommes seulement quand elle travaillait au Cinéma, sur le campus c’était impossible, les garçons étaient bien trop intimidé par sa mère.
Il n’était pas le premier avec qui elle s’envoyait en l’air dans le cinéma et ne serait sûrement pas le dernier mais il apprit qu’il était un des rares qui lui avait fais prendre un tel pied.
Il lui proposa de passer la nuit avec lui, ce qu’elle accepta avec grand plaisir, ils s’envoyèrent en l’air une bonne partie de la nuit et le lendemain matin à la douche et sur la table du petit déjeuner.
Il la laissa partir en début d’après - midi après avoir profité de son cul bien accueillant une dernière fois debout contre la porte d’entrée.
Puis il vaqua à ces occupations avec notamment du ménage et des courses pour préparer la venue de Max le lendemain.
Ce dernier fut tout content de retrouver son papa ,il eut droit à un gros câlin pendant que le petit lui raconter ce qu’il avait appris récemment à l’école.
Après avoir salué Manon et son nouveau compagnon Alex, il fit monter le petit dans la voiture, direction le jardin d’acclimatation de Vincennes.
Il fit un Whats’App avec son pote Franck le soir quand le petit fut endormi, il éclata de rire quand son ami lui demanda comment était le film.
Il lui raconta sa rencontre avec Astrid avec moult détail, ce dernier en avait l’eau à la bouche et il comprenait pourquoi, depuis sa rupture avec Tamara, il était un peu en chien, mais il se dit qu’une grosse queue de black allait bien lui faire du bien à Astrid ( il faisait du foot ensemble avec les potes et dans un vestiaire on voit vraiment tout).
Il lui donna l’adresse du cinéma et attendit finalement plusieurs semaines avant d’avoir la réponse à sa question.
Apparemment après deux mauvaises rencontres avec Yvette, la troisième fut la bonne (apparemment elle a tellement gueulé que les voisins ont appelé la police croyant qu’il s’agissait d’une agression), ça les a bien fait rire.
Il les a revu ensemble à à fête d’anniversaire de Stella trois mois plus tard et d’après ce qu’il entendit, sa parler de s’installer ensemble à Lyon où elle a obtenu son premier poste, lui pouvant s’installer n’importe où ,étant Free-lance en consulting commercial.
Il se dit en lui même qu’à défaut de ne plus profiter des belles courbes d’Astrid, au moins il avait rendu heureux un ami et ça il n’y avait pas de prix.
La référence est plutôt à chercher du côté de Jean Calvin, le théologien Français de la réforme protestante du XVIème siècle.
Mais bon on ne va pas faire une dissertation sur l’étymologie de mon prénom non plus, depuis tout petit j’ai toujours préféré qu’on m’appelle Cal.
Je suis divorcé depuis environ 3 ans et demi, il faut croire que mes nombreux voyages à l’étrangers pour le travail ont fini par inciter mon ex-épouse Manon à se trouver un amant, pas de chance pour elle j’ai fini par l’apprendre.
Le divorce s’est quand même fait dans le calme, par égard pour notre petit garçon Max qui va sur ces 6 ans (en 2022), il était important pour nous de trouver un bon compromis, même si je lui en veux pour ses tromperies, je reconnais quand même qu’elle est une excellente mère pour Max et que mes nombreux voyages ne me permettront pas de m’occuper de Max au quotidien.
Manon a la garde du petit, mais je peux l’avoir très souvent quand je suis de retour en France, bien plus qu’un autre papa dans une garde alternée.
Je me suis entendu avec mon employeur pour être assez souvent en télétravail quand j’ai Max et pour disposer de bonnes plages de congés (j’ai la chance d’avoir une nouvelle directrice très compréhensive, vous la découvrirez dans l’épisode suivant.
Je n’ai pas nécessairement toujours cherché les relations intimes, ce sont souvent des opportunités qui se sont présentés soit dans un cadre professionnelle ou plus personnelle.
J’ai 35 ans, aux dires de mes partenaires, j’ai un physique plutôt agréable, il faut dire aussi que je vais régulièrement à la salle qui se trouve dans le building de nos bureaux à La Defense et que je m’arrange toujours pour trouver un hôtel qui a une salle de musculation quand je suis à l’étranger.
Je suis assez grand puisque je mesure 1m88, brun avec les yeux verts, apparemment ces yeux seraient assez envoûtants de ce que j’entends, je les aie hérités de ma mère, c’est une marque caractéristique de ma famille maternelle, du coté de mon père c’est plutôt la haute taille et les cheveux épais qui est mis en avant.
Je ne vais pas non plus chercher à me jeter des fleurs, je ne suis pas non plus le Mozart du Porno, et je ne vais pas dire que j’ai un démonte - pneu dans le falzar mais je me suis toujours fiez aux dires des filles et des femmes avec lesquelles j’ai couché, aucune ne s’est jamais plains de ce que je savais faire avec mes doigts, ma langue ou ma queue.
Et comme le dit souvent mon meilleur ami Robbie, « il ne suffit pas d’avoir la bonne clé à molette, il faut aussi avoir le bon process et le bon savoir - faire ».
Sinon je suis dans le domaine des matières premières pour l’aéronautique, j’occupe un poste de directeur commercial, ce qui m’amène très souvent à aller négocier des contrats à plusieurs centaines de millions d’euros moi-même et la plupart du temps à l’étranger.
Au cours de ces trois ans et demi, chose très amusante, j’ai eu pas mal d’aventure et notamment avec 26 femmes dont les prénoms vont de A à Z.
C’est-ce que je vais vous faire découvrir au cours des 26 épisodes de cette histoire, certaines histoires sont liés directement à d’autres et certaines autres sont totalement indépendantes.
A comme Astrid (Cinéma Paradiso)
13 Novembre 2019, Paris (Quartier du Faubourg – Montmartre)
C’était un soir de fin d’automne, on était avant le Covid, les restaurants et les salles de Cinéma étaient toujours ouverts.
Cal rentrait de trois jours de négociation intense à Singapour avec un conglomérat local au sujet d’un contrat de pièces pour remettre en l’état leur parc d’avions.
Il était arrivée en taxi de l’aéroport Roissy CDG jusqu’à l’appartement qu’il s’était offert dans le deuxième arrondissement après le divorce avec Manon.
Cela faisait 7 mois qu’il l’occupait par intermittence entre ces voyages et les moments où il était sur Paris pour s’occuper de Max.
Justement il ne devais récupérer Max chez sa mère que dans deux jours, il aurait le temps de se reposer un peu.
Mais bon il avais quand même prévue quelques sorties avec Max notamment au jardin d’acclimatation de Vincennes et un petit passage par la ludothèque.
En attendant, il posait sa valise dans la penderie et ne la viderai que demain.
Il se fit couler un bon bain (il n’y a pas que les filles qui ont droit) avec un petit verre de blanc (un bon Gewurz, on est alsacien ou on ne l’est pas) et le Canon en D de Pachelbel en fond sonore.
Il n’y avait rien de mieux pour récupérer de trois jours enfermer avec quelques connards, quelques coincées du cul dans une salle surchauffée à peine atténué par la Clim, sans compter la dizaine d’heures de vol entre Singapour et Paris avec escale à Istanbul.
Il s’était prévu ensuite une petite soirée tranquille : un petit Coréen dans le quartier : Chez Matzip sur le Boulevard des Italiens et puis la dernière séance au cinéma qui faisait l’angle entre le Boulevard des Italiens et la rue de Gramont, son ami Franck lui avait conseillé un film : Dans les Hautes herbes, tirée de l’œuvre de Stephen King et de son fils Joe.
Il espérait que l’œuvre tiendrait plus de Ca, des Langoliers ou de Christine que de l’oubliable Dreamcatcher.
Justement il était temps de se préparer : un boxer Calvin Klein (on ne se refait pas), un pull léger bleu marine de chez Célio, un jean noir, une paire de converse et son trench par-dessus.
Première étape : Matzip : le propriétaire le connaissait bien, il venait de temps à autre pour discuter un peu du PSG, de la situation géopolitique, des dernières conneries de Kim-Jun-Un.
Puis il s’attablait ; c’était le pied : des nems au Kimchi en entrée puis un Bimbimbap en plat, ce mélange de riz, de carottes, de bœuf et l’œuf au plat par-dessus c’était divin, le tout agrémenté d’une Cass Lager.
Cela pouvait être surprenant de le voir passer sa soirée seul mais cela lui convenait, après trois jours avec une intimité très limité ou même les repas étaient servis en salle de conférence.
Il avait compté les jours pour retrouver ce calme et cette tranquillité.
Mais bon sa montre affichait déjà 22h15 ; le temps de régler l’addition et de marcher un peu et il serait l’heure de la séance de 22h45 ; avec un peu de chance il pourrait checker les résultats de la 15eme journée de Ligue 1 durant les bandes annonces.
En revanche, pour espérer un petit coup d’adrénaline dans le pantalon, on repassera, le guichet était tenu par une certaine Yvette, une sorte de vieille fille qui est un vrai tue l’amour, un vrai repoussoir et qui plus est, niveau charisme, elle ferait passer Vladimir Poutine pour charmant.
Il arrivait de plus en plus près du guichet, mais sa vision devait lui jouer des tours car ce n’était pas la drageonne qui tenait la tour.
La vision qu’il avait avait bien plus enchanteresse.
Une fille se tenait derrière le comptoir et semblait avoir au moins 3 fois moins l’âge d’Yvette.
Probablement entre 20 et 24 ans, peut - être une étudiante pour payer ces études, le visage lui paraissait bien harmonieux.
Elle était brune avec un carré plongeant qui lui dégageait bien la nuque, le tout au-dessus d’une poitrine qui lui semblait prometteuse, probablement un 90C, le tout sous un débardeur de couleur noir.
Le desk lui cachait le reste mais peut-être aurait - il le loisir d’apercevoir une paire de jambe en payant.
- Bonjour, un billet pour « Dans les Hautes herbes » svp commença - t - il, vous êtes nouvelle ? je ne vous ai encore jamais vu derrière ce desk, j’ai toujours à faire à Yvette à cette heure - ci.
- Oui en effet je ne suis là que depuis quelques soir répondit - elle, j’en profite pour réviser mes partiels de fin de premier semestre, j’étudie à Dauphine, le guichet du cinéma est bien pratique pour réviser, le soir c’est assez calme par ici. Vous préférez voir Yvette ? Je peux lui passer un coup de fil conclue - t - elle avec un regard malicieux.
- Non Non surtout pas, vous me semblez infiniment plus charmante, mademoiselle…
- Astrid ! Dîtes-moi vous le faites à toutes ce couplet ? mais bon je prends quand même le compliment, merci cher monsieur…
- Calvin mais appelez mais moi Cal svp, non rassurez-vous, je suis avare en compliment d’ordinaire mais je suis vraiment ravi de voir vous plutôt que quelqu’un d’autres, vous avez en quelques sortes égayez ma soirée.
- Vous avez un prénom très original répondit-elle avec les joues un peu empourprées, c’est une référence à…
- Au théologien Français Jean Calvin, la devança-t-il
- Oui, c’est bien ce que je pensais, eh bien dis donc j’ignorais que j’avais le pouvoir d’égayer la soirée des hommes, reprit-elle avec un regard perçant tout en se mordant la lèvre, si je peux faire quoi que ce soit d’autres pour votre bon plaisir cher Cal.
- J’en prend note chère Astrid, continua-t-il avec son éternel demi-sourire mais qui ne pouvait pas cacher son amusement à ce gentil badinage.
Le bruit de la machine qui imprimé son étiquette les interrompit ; elle l’arracha soigneusement de la machine et lui tendit en le regardant dans les yeux.
Il le prit du bout des doigts et pu pour la première fois toucher ces doigts d’une finesse exquise et se mit déjà à l’imaginer tenant son membre gorgé de plaisir.
- J’espère que nous aurons l’occasion de terminer cet échange après la séance, reprit-il
- Mais j’y compte bien, Cal conclue – t -elle tout en se passant la langue sur les lèvres.
Il retint avec peine un soupir tout en se dégageant de sa contemplation pour se diriger vers sa salle.
Il fut surpris de constater en arrivant pour sa séance que la salle était totalement vide à 5 minutes du début du film ; il s’installa à sa place et souffla un grand coup pour faire redescendre la pression.
Il y en a qui avait un peu trop aimé ce charmant intermède et qui refusait obstinément de dégonfler : il avait un bon barreau de chaise dans le pantalon.
Il se dit que c’était dommage de gaspiller et qu’il aurait bien passé un bon petit moment avec une charmante demoiselle ; mais bon le tac tac de l’imprimante avait mis fin à ce moment et il passerait pour désespérer s’il allait la retrouver pour lui proposer un quickie dans les toilettes.
D’autant que la donzelle avait un travail ; elle perdrait assurément son travail si elle s’absentait trop longtemps, il connaissait la valeur du travail pour les étudiants et ne lui aurait pas fait prendre ce risque donc.
Mais soudainement alors que la salle était plongée dans la pénombre et que le générique de début du film démarrait, les portes en haut de la salle s’ouvrirent.
La lumière de l’écran illumina Astrid qui descendait les marches à sa rencontre, il put enfin découvrir que caché sous le desk se révélait un jean noir très ajusté qui accompagnait son débardeur.
Elle vint s’asseoir sur le siège à côté du sien, il eut à peine le temps d’apercevoir son regard vorace et ses belles pupilles noisettes avant qu’elle ne se saisisse de son col et commence à l’embrasser fougueusement.
Il lui rendit son baiser mais apparemment mademoiselle en voulait plus car déjà sa main lui caresser les biceps avant de bifurquer vers ses pectoraux et de descendre toujours plus bas pour agripper son paquet à travers son jean.
Décidément cette fille n’allait pas par quatre chemins, elle savait ce qu’elle voulait et n’avait pas froid aux yeux, ni aux mains sembleraient - ils.
Après un moment de baiser enfiévré, il se détacha de sa bouche pour commencer à lui embrasser le lobe de son oreille, pour descendre vers son cou, au même instant sa main gauche partait déjà à l’exploration sous son débardeur, remonta et toucha son soutien - gorge avant de glisser entre le sillon de ses seins.
La chaleur est vite montée puisqu’en moins de 5 minutes, sa main gauche lui triturait déjà les seins pendant qu’il continuait de l’embrasser, tandis que elle le branlait déjà par-dessus son boxer.
Trouvant que son débardeur la gêné, elle se releva et retira ce dernier en dévoilant un ventre plat avec une peau un peu bronzée sous une poitrine protégée pour encore quelques instants par un soutien-gorge noir et il en était sur c’était le modèle Ragazza de chez Valege.
Il le reconnaissait à son balconnet souple et son tissage très léger (il faisait assez les défilés pour le savoir) ; avait-elle opté pour le boxer à lacet sur l’arrière ou peut - être un autre modèle comme le tanga Lulu par exemple.
Il aurait la surprise bien assez tôt, pour l’heure sa bite prenait encore plus d’ampleur devant ce beau spectacle.
Elle se tourna dos à lui et lui offra son côté pile avant de s’asseoir sur lui et de lui offrir une sacré lapdance, il eut vite la réponse à sa question : c’était bien le Boxer Ragazza avec ces lacets.
En attendant elle bougeait d’avant en arrière pour son plus grand plaisir
Il eut quand même la présence d’esprit de lui demander :
- Et si on nous surprenait, il doit encore avoir du monde dans le cinéma non ?
- T’inquiète mon mignon lui glissa - t - elle sur le ton de la confidence à l’oreille, je t’ai dit que c’était calme ce soir, il n’y a que toi et moi, j’ai fini mon service au début du dernier film, le vigile ne passera pas fermer avant 1h du matin, on a tout notre temps pour s’amuser et moi je sais par quoi je veux commencer.
Elle se mit a genou, il avait désormais une vue imprenable sur ces deux globes laiteux dans son soutien - gorge ainsi que la vue sur son boxer de dentelle dépassant au-dessus de son jean.
Elle entoura sa main droite autour de sa queue et se mit à le prendre en bouche, elle descendit assez vite et fit jouer sa langue sur sa hampe.
Cal était déjà parti ailleurs mais les sensations ne serait rien sans cette vue imprenable qu’il avait d’elle, il ne pouvait dégager ces yeux de ce spectacle fantastique.
Il ne savait plus où donner de la tête, elle alterna les techniques, elle le lécha de haut en bas comme un cône glacé, puis ne garda plus que son gland en bouche tout en le regardant dans les yeux en activant sa langue autour du bout hyper sensible.
Puis alors qu’il ne pensait pas qu’elle aurait encore d’autres cordes à son arc, il fut surpris par ce qu’il appellerai le piston : elle se mit à le pomper à une vitesse vertigineuse sans jamais relâcher sa queue et ses cheveux qui cascadaient sur son bas - ventre le stimulait encore plus.
Il faillit rendre les armes plusieurs fois et sincèrement il aurait fait si ce n’était pas elle qui pilotait, mais elle savait parfaitement ralentir le rythme exactement quand il fallait, elle se maîtrisait à la perfection, il vu trente-six chandelles plusieurs fois sans jamais éjaculer.
Quand elle se mit à lui faire une gorge - profonde là il rendit les armes au bout d’au moins quarante-cinq minutes de fellation endiablée.
- J’en peux plus, stp laisse-moi éjaculer, tu es fantastique, je n’ai jamais été sucé comme sa concéda-t-il
- As - tu été sage ? Pour que je t’accorde cet faveur lui répondit - elle en le regardant droit dans les yeux.
- Oh oui dit - il en hochant la tête frénétiquement.
- Dans ce cas,
Elle utilisa alors une dernière technique qui l’acheva littéralement, elle lui pompa juste le gland mais sa main gauche s’activer de haut en bas sur sa hampe à une vitesse ahurissante, si bien qu’au bout de quelques secondes de ce traitement, il se sentit totalement partir.
Il lui déversa directement dans la gorge, un torrent de sperme qu’elle avala sans rechigner tout en le regardant, une fois fini elle continua de téter son gland pour récupérer les dernières gouttes, elle ne gâcha rien.
Puis elle se rassit sur le siège à côté de lui comme de si de rien n’était.
Cal au bord de l’apoplexie finit par lui demander :
- Mais comment diable tu peux connaître toutes ces techniques, sans vouloir être vexant tu as dû beaucoup t’entraîner.
-Tu ne me vexe pas, j’adore sucer, disons que j’ai l’avantage que le cinéma diffuse de temps à autres quelques films pornos très tard le soir et sur grand écran, on peut apprendre beaucoup de chose.
- Eh bien tu en as de la ressource dis donc mais tu vas voire j’ai aussi quelques talents avec mes doigts et ma langue.
- J’ai hâte de voir ça poursuivit-elle tout en s’installant plus confortablement dans son siège ; tandis que lui glisser à ces pieds.
Il commença par déboutonner son jeans et le fit glisser, elle l’aida en soulevant ses fesses; puis il commença par lui embrasser les chevilles avant de remonter jusqu’au haut de ces cuisses ou il laissa une traînée de baiser.
Il lécha le pli de son entrejambe, elle se tortillait de plus en plus, signe qu’elle commençait à bien s’exciter, c’était à son tour de jouer avec son plaisir.
- Tu as beaucoup de goût, j’adore ta lingerie, le Ragazza est un excellent choix, c’est très raffiné lui sussura - t - il.
Elle ne pouvait pas trop répondre, il venait de caresser sa chatte par dessus son boxer de sa main gauche tandis que de la droite il lui avait empaumé fermement son sein droit.
- Hum lui dit-il, tu m’as l’air toute mouillé la dessous tandis qu’il lui écartait sa dentelle et commençait à agacer ses petites lèvres avec son majeur, dans le même temps il était remonté avec sa bouche et lui avait pris son sein en bouche.
Il se fit un plaisir de la torturer en la doigtant avec un doigt d’abord puis deux puis trois, comme elle l’avait fait avec lui, il l’a maintint sur le fil du plaisir, le ploc ploc de sa chatte devenait totalement indécent, de même que sa position totalement ouverte.
Sa poitrine n’était pas laissé en jachère : après avoir martyrisé avec sa langue et ses dents son droit, il était passé au gauche à qui il infligeait le même traitement.
C’était à son tout de crier grâce, mais il n’avait pas tout à fait fini, il remonta un de ces doigts emprunt de mouille et lui présenta devant ces lèvres.
Elle s’empressa de lécher ce doigt.
- Dis moi tu le veux ou ce doigt ?
- Dans mon cul, vas - y fourre moi ton doigt dans mon cul je t’en prie.
- Quand madame veut…
Il continua à lui doigter la chatte avec son majeur pour bien la détendre puis commença à appuyer son annulaire mouillé de sa salive mélangé à sa mouille qui coulait abondamment ( la femme de ménage aurait des surprises demain) sur son petit trou.
Le doigt fut aspiré, le sphincter ne résista pas trop , il commença alors à lui doigter les deux trous avec deux doigts mais bien vite il passa à trois doigts dans la chatte , un dans le cul plus sa main droite qui malaxait violemment ces tétons.
Prise de partout, Astrid ne résista pas et cria son plaisir, encore plus fort que le son du film dont il s’en fichait royalement désormais.
Elle avait du souffle pour crier si fort sans s’arrêter tandis que ses doigts continuer à entrer et sortir autour de ses parois qui se contractaient fortement, il finit par étouffer ces cris avec un baiser.
Il faudrait pas que la mamie qui habitait à côté du cinéma finissent par appeler la marée chaussée à cause du volume du film porno diffusé ce soir, ou qu’elle finisse par faire une syncope.
Après ce baiser, il finit par ressortir ces doigts qui firent un ploc sonore au contact de l’air libre, il regarda Astrid, son regard était léger mais elle avait cet air déterminé, elle allait prendre une nouvelle initiative il en était sur.
Elle tendit le bras vers la poche avant de son jean et en sortit un préservatif, qu’elle déchira prestement avant d’attraper de sa main sa queue et de lui mettre avec dextérité la capote.
Sans lui demander son reste, elle grimpa sur ses hanches et s’empala d’autorité sur son membre, il poussa un cri de plaisir avant de se saisir de ses deux fesses et de la faire redescendre avec fermeté, elle avait posait ses mains des deux côtés de sa tête sur le siège.
- Vas-y, plus vite, plus fort, prend moi violemment, c’est si Bon.
- Tiens prends sa et sa ! T’aime sa hein ? Alors prend la bien ma queue et mon doigt aussi dans ton cul.
Il venait de faire coulisser son doigt dans son anus et simuler une double pénétration avec sa queue et son doigt.
Elle s’empalait encore plus fort mais après quelques minutes de ce traitement, elle en voulait plus, elle se tourna pour se mettre en amazone inversé; il s’apprêtait à la prendre de nouveau par la chatte mais elle fit monter sa queue plus haut (voilà une fille qui sait ce qu’elle veut), il pénétra donc doucement mais sûrement son antre secret.
Pour le remercier de sa délicatesse, elle tourna sa tête de trois quart et l’embrassa avec force, ce petit intermède tendre n’empêcha pas qu’en bas, il commençait à y aller dans son cul, de petit mouvement, il accéléra de plus en plus tout en martyrisant son Clito qui coulait abondamment, lubrifiant parfaitement la pénétration dans son fondement.
Elle remonta ses pieds sur les accoudoirs pour amplifier la pénétration et le sentir encore plus loin, désormais il avait adopté un rythme de métronome et forcer son cul de façon régulière.
Au bout d’un moment, il lui attrapa les deux jambes et les plaça l’une contre l’autre totalement à la verticale, cette position décuplèrent totalement leurs sensations.
Mais elle l’en voulu encore plus et d’elle même, elle se désarçonna et se plaça à 4 pattes en appui sur les deux sièges d’à côté et lui tendit ostensiblement sa croupe.
Il s’enfonça sans ménagement dans sa chatte, puis fit plusieurs aller/retour tout en lui claquant les fesses au passages; il ressortit et se renfonça tout aussi fermement dans son cul; il alla de son cul à sa chatte à plusieurs reprises pour leurs plus grand plaisir à tous les deux.
A un moment donné, pour augmenter son angle de pénétration, il lui attrapa les cheveux et accéléra encore le rythme; de sa main droite il lui tenait les cheveux dans son poing, de la gauche il lui claquait les fesses qui viraient aux rose à certains endroits pendant qu’Astrid allait d’avant en arrière sur son pal toute seule.
N’y tenant plus, il se décida à lui donner le cou de grâce, il lui attrapa les deux hanches et se mit à la besogner au rythme d’un forcené.
- Oui, comme ça, plus vite, plus fort, encule moi bien profond, donne moi tout ton jus vas-y, oh Ouiiii, je viens, c’est trop bon !
Alors que ces parois se contractaient, il n’y tint plus et se lâcha dans la capote, il resta quelques secondes dans cette moiteur avant de s’écrouler de fatigue sur le siège.
Elle se retourna, lui enleva le préservatif et se mit à lui nettoyé la queue, pas un mètre de peau ne fut laissé loin de sa langue, elle enleva toute trace de foutre, il était aux anges.
Il regarda l’écran, le générique de fin s’affichait, il se pencha donc sur le côté pour prendre la brochure du cinéma.
- Eh ben dis donc…
- 1 heure et demi le coupa - t - elle, pas mal du tout bel étalon.
- Mais c’est grâce à la belle monture que j’ai en face de moi lui dit - il tout en se penchant pour l’embrasser.
Après quelques minutes tendre, il se levèrent pour se rhabiller.
Il en profita pour en apprendre un peu plus sur elle, il apprit notamment qu’elle avait 22 ans et préparer un Master en Informatique des Organisations à Dauphine, mais surtout que sa mère était là doyenne de l’Université.
Ce qui expliquait qu’elle se lâchait plus avec les hommes seulement quand elle travaillait au Cinéma, sur le campus c’était impossible, les garçons étaient bien trop intimidé par sa mère.
Il n’était pas le premier avec qui elle s’envoyait en l’air dans le cinéma et ne serait sûrement pas le dernier mais il apprit qu’il était un des rares qui lui avait fais prendre un tel pied.
Il lui proposa de passer la nuit avec lui, ce qu’elle accepta avec grand plaisir, ils s’envoyèrent en l’air une bonne partie de la nuit et le lendemain matin à la douche et sur la table du petit déjeuner.
Il la laissa partir en début d’après - midi après avoir profité de son cul bien accueillant une dernière fois debout contre la porte d’entrée.
Puis il vaqua à ces occupations avec notamment du ménage et des courses pour préparer la venue de Max le lendemain.
Ce dernier fut tout content de retrouver son papa ,il eut droit à un gros câlin pendant que le petit lui raconter ce qu’il avait appris récemment à l’école.
Après avoir salué Manon et son nouveau compagnon Alex, il fit monter le petit dans la voiture, direction le jardin d’acclimatation de Vincennes.
Il fit un Whats’App avec son pote Franck le soir quand le petit fut endormi, il éclata de rire quand son ami lui demanda comment était le film.
Il lui raconta sa rencontre avec Astrid avec moult détail, ce dernier en avait l’eau à la bouche et il comprenait pourquoi, depuis sa rupture avec Tamara, il était un peu en chien, mais il se dit qu’une grosse queue de black allait bien lui faire du bien à Astrid ( il faisait du foot ensemble avec les potes et dans un vestiaire on voit vraiment tout).
Il lui donna l’adresse du cinéma et attendit finalement plusieurs semaines avant d’avoir la réponse à sa question.
Apparemment après deux mauvaises rencontres avec Yvette, la troisième fut la bonne (apparemment elle a tellement gueulé que les voisins ont appelé la police croyant qu’il s’agissait d’une agression), ça les a bien fait rire.
Il les a revu ensemble à à fête d’anniversaire de Stella trois mois plus tard et d’après ce qu’il entendit, sa parler de s’installer ensemble à Lyon où elle a obtenu son premier poste, lui pouvant s’installer n’importe où ,étant Free-lance en consulting commercial.
Il se dit en lui même qu’à défaut de ne plus profiter des belles courbes d’Astrid, au moins il avait rendu heureux un ami et ça il n’y avait pas de prix.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci à ma chère Olga, j’espère que cette impression perdurera tout au long de mes récits.
Bienvenue en tout cas sur les aventures du beau Cal ma chère Julie.
Bienvenue en tout cas sur les aventures du beau Cal ma chère Julie.
Sur recommandation d'Olga, je vais découvrir vos textes. Excellente impression!
Julie
Julie
Le premier épisode d'une belle série!